Ami de Goncourt, Bracquemond découvre la Manga d’Hokusai en 1856. Enthousiasmé par la peinture de fleurs et d’oiseaux, dite Kachô-ga, il jouera un rôle majeur dans la diffusion du japonisme en France avec le fameux service de porcelaine que lui a commandé le Rousseau pour l’Exposition Universelle de 1867 :
« Service Rousseau ».
Zola n’évoque Bracquemond qu’une seule fois dans ses Ecrits sur l’Art, dans Le Sémaphore de Marseille du 18 avril 1874, à propos de le première Exposition Impressionniste. Bracquemond y montrait un portrait dessiné, des eaux-fortes (entre autres les portraits d’Auguste Comte, Charles Baudelaire et Théophile Gautier), des reproductions d’oeuvres de Turner, d’Ingres et de Manet mais aussi des oeuvres personnelles comme Les Saules ou Le Mur.
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portrait dessiné et eau-forte
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eaux-fortes représentant Le Divan de Manet, et La Source d’Ingres,
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oeuvres personnelles de Bracquemond, Les Saules et Le Mur
Je vous indique en outre des Études de danseuses, de M. Degas ; des paysages de MM. Pissarro, Monet, Béliard et Sisley ; enfin, diverses toiles très intéressantes de Mlles Morisot et de MM. Renoir, Bracquemond, Colin et Boudin. Bonne chance aux jeunes.
Lettres de Paris, Le Sémaphore de Marseille du 18 avril 1874
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