Ouvrages collectifs

Cette rubrique propose un choix d’ouvrages collectifs publiés au cours de ces vingt dernières années. On se reportera à la bibliographie proposée sur ce site pour avoir plus d’informations sur les ouvrages critiques consacrés à l’œuvre d’Émile Zola.

Émile Zola et le naturalisme en tous genres (2019)

Publié sous la direction d’Olivier Lumbroso, Jean-Sébastien Macke et Jean-Michel Pottier, cet ouvrage s’interroge sur les différents visages de l’écrivain : l’artiste, le critique, l’épistolier ou encore l’intellectuel engagé.

Contenu. – Olivier Lumbroso, Jean-Sébastien Macke et Jean-Michel Pottier, « Introduction », p. 7-16 ; Pierre Glaudes, « Octave Mirbeau. Un critique écrivain face au naturalisme », p. 19-37 ; Béatrice Lavillle « Barrès et Zola », p. 39-47 ; Jean-Yves Mollier, « Naissance ou renaissance de l’intellectuel au moment de l’affaire Dreyfus ?», p. 49-57 ; Philippe Oriol, « Quelques nouvelles considérations sur le « J’Accuse…! » », p. 59-70 ; François-Marie Mourad, « « Parlons de moi » : Les lettres de Zola à Antony Valabrègue », p. 73-82 ; Céline Grenaud-Tostain, « Zola et Mirbeau : une amitié à l’aune de la correspondance », p. 83-95 ; Marion Glaumaud-Carbonnier, « La pluie et le beau temps. L’inclinaison du ciel dans les Lettres à Alexandrine », p. 97106 ; Philippe Hamon, « « Très grave » », p. 109-120 ; Marie-Ange Fougère, « Le rire féminin : savoir-vivre et savoir rire dans Les Rougon-Macquart », p.121-130 ; Éléonore Reverzy, « Le discours de l’histoire. Quelques remarques sur les dates dans La Fortune des Rougon », p. 131-140 ; Geoff Woollen, « « Cet étrange mélange » : le prince d’Écosse aux Variétés », p. 141-149 ; Anna Gural-Migdal et Carolyn Snipes-Hoyt, « Marie de Guersaint : une conception néo-naturaliste du personnage féminin dans Lourdes », p. 151-159 ; Clive Thomson, « À la frontière des savoirs : Paris d’Émile Zola. « Ne rien entendre aux théories » », p. 161-170 ; Colette Becker, « Modernité de Vérité », p. 171-178 ; Pierre-Jean Dufief, « Au cœur de la topographie naturaliste : l’hôpital », p. 179-186 ; Jacques Noiray, « « L’heureuse conquête » : Zola romancier de la bicyclette dans Paris », p. 187-198 ; Antonia Fonyi, « « Boule de suif », la seule nouvelle à succès des Soirées de Médan », p. 201-211 ; Pascaline Hamon, « Contre Zola : du charivari au… silence calculé », p. 213-222 ; Nicholas White, « « La débâcle de la débâcle » : esthétique et idéologie dans la réception de la conclusion historique des Rougon-Macquart », p. 223-232 ; Aurélie Barjonet, « Zola, auteur traumatisant ? », p. 233-242 ; Paolo Tortonese, « Les remords de Thérèse », p.243-255 ; Daniel Compère, « Un grelot accroché à Zola », p. 257-265 ; Henri Mitterand, « D’un barrage l’autre. François Zola et Alexandre Labot », p.269-288 ; Yves Chevrel, « 1886 : année zéro de l’année théâtrale parisienne ? », p. 289-297 ; Anne-Simone Dufief, « Jean Jullien : la gageure d’un théâtre réaliste », p. 299-307 ; Jean-Marc Hovasse, « La vie et l’œuvre d’A. Pagès (entre Hugo, Balzac et Zola) », p. 309-322 ; Robert Lethbridge, « Paul Alexis et la peinture », p. 323-335 ; Henri Scepi, « Laforgue, Zola et le naturalisme », p. 337-349 ; Brigitte Émile-Zola et Charles Dreyfus, «Témoignages des familles Zola et Dreyfus», p. 353-355 ; « Bibliographie d’Alain Pagès », p. 357-365.

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Lire Zola au XXIe siècle (2018)

Publié sous la direction d’Aurélie Barjonet et Jean-Sébastien Macke, cet ouvrage recueille les actes d’un colloque qui s’est tenu à Cerisy, en 2016. Les auteurs des différentes contributions reviennent sur leur lecture du romancier et évoquent son actualité au début du XXIe siècle.

Contenu. –  Aurélie Barjonet et Jean-Sébastien Macke, « Introduc­tion », p. 9-17 ; Alain Pagès, « Cerisy, juillet 1976 », p. 21-35 ; Marion Glaumaud-Carbonnier, « La mémoire pérégrine », p. 37-52 ; Charles Dreyfus, Brigitte Émile-Zola et Martine Le Blond-Zola, « De mémoire de descendants. Entretien. », p. 53-65 ; Jean-Yves Mollier, « Zola dans l’édition », p. 69-83 ; Adeline Wrona, « Zola dans la presse. Circulation médiatique et patrimonialisation », p. 85-97 ; Jean-Michel Pottier, « Textes et prétextes. La place de Zola dans les manuels scolaires », p. 99-114 ; Karl Zieger, « La présence de Zola à l’étranger au début du xxie siècle. L’exemple de l’Allemagne et de l’Autriche », p. 115-133 ; Elizabeth Emery, « Zola et les réseaux sociaux », p. 135-149 ; Olivier Lumbroso, « Quatre ans d’ArchiZ. Le numérique, la pensée, la vie », p. 151-159 ; Stephan Leopold, « Le spectre de la régénération et les ambiguïtés de l’utopie. Michel Houellebecq, lecteur du dernier Zola », p. 163-179 ; Thierry Beinstingel et Aurélie Barjonet, « Entretien », p. 181-196 ; Anna Gural-Migdal, « L’héritage zolien dans le cinéma de Bruno Dumont. La Débâcle et Flandres », p. 197-209 ; Fabrice Humbert et Dominique Manotti, « Entretien croisé », p. 211-225 ; Émilie Piton-Foucault, « La parabole des aveugles dans Les Rougon-Macquart. Les personnages éten­dards du naturalisme dans l’impasse », p. 229-245 ; Jeanne Bem, « “L’excès de la réalité”. Ce que Flaubert nous apprend de Zola quand il le lit », p. 247-263 ; Thomas Conrad, « La longueur des chapitres », p. 265-281 ; Midori Nakamura, « Destin des personnages secondaires du roman au théâtre. L’exemple de la reine Pomaré dans Nana », p. 283-295 ; Frédérique Giraud, « Pour une sociobiographie de Zola », p. 297-311 ; Marie Scarpa, « La pensée sauvage du récit. Pour une ethnocritique de Zola », p. 313-327 ; Éléonore Reverzy, « Parmi les tombes. Un nouveau régime de la mort chez Zola », p. 329-343 ; Sébastien Roldan, « Quelques notes sur la Seine chez Zola », p. 345-360 ; Michaël Rosenfeld, « Scéno­graphie et esthétique de la sexualité dans l’œuvre de Zola », p. 361-372 ; Larry Duffy, « Zola et les humanités médicales. Le(s) cas de Lourdes », p. 373-385 ; Céline Grenaud-Tostain, « La chorégraphie clinique. Le ballet hystérique zolien », p. 387-402 ; Lola Kheyar Stibler, « Lire La Joie de vivre à l’aune de l’épistémo-stylistique », p. 403-416 ; Béatrice Laville, « Les vertus romanesques de l’émotion », p. 417-428 ; Chantal Pierre, « Zola, auteur empathique ? », p. 429-443.

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« Au courant de la plume ». Zola et l’épistolaire (2018)

Publié sous la direction de Geneviève de Viveiros et Soundouss El Kettani, ce recueil explore les différents aspects de la correspondance de Zola. Il s’interroge sur l’usage de la lettre comme œuvre de combat littéraire et personnel et comme outil de rassemblement des écrivains naturalistes.

Contenu. – Dorothy Speirs, « Préface » ; Geneviève de Viveiros, « La lettre dans les lettres : autoréférentialité dans la correspondance intime de Zola », p. 11-27 ; Arnaud Verret, « Démonter le monstre : l’entreprise de justification de la correspondance d’Émile Zola », p. 29-49 ; Alain Pagès, « Un acte épigraphique : la signature », p. 53-66 ;Jean-Sébastien Macke, « Une autobiographie en images : la photographie », p. 67-87 ; Jeremy Worth, « Entre le néant et l’immortalité : l’éphémère humain inscrit dans les lettres de Zola », p. 91-102 ; Sébastien Roldan, « Propriété littéraire et arguties philosophiques autour de Zola dans la querelle des “Werther retournés” », p. 103-132 ; Sophie Guermès, « Éclats de voix : tentative de restitution de la polyphonie zolienne dans la correspondance », p. 135-159 ; Soundouss El Kettani, « Les lettres de Zola à une “chère femme”… puis à une autre : un essai de lecture comparative », p 157-176.

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Éditer et relire la correspondance de Zola (2018)

Publié sous la direction de Sophie Guermès, cet ouvrage se propose de dresser un bilan de l’état de la recherche sur la correspondance de Zola, et d’ouvrir de nouvelles perspectives de lecture et d’interprétation.

Contenu. – Sophie Guermès, « Présentation », p. 7-10 ; Brigitte Émile-Zola, « Des Lettres à Jeanne Rozerot aux Lettres à Alexandrine », p. 11-12 ; Alain Pagès, « La correspondance reçue », p. 11-23 ; Kelly Basilio, « “Quelle chose lourde qu’une plume !” La correspondance de Zola au temps d’Au Bonheur des Dames », p. 25-33 ; Jean-Michel Pottier, « Zola par le menu : nourriture et gastronomie dans les Lettres à Alexandrine », p. 35-47 ; Bruna Donatelli, « Flaubert et Zola : espaces et étapes d’un dialogue », p. 49-66 ; Kyoko Watanabe, « La correspondance de Zola et de ses disciples de Médan : le cas de Maupassant », p. 67-84 ; Céline Grenaud-Tostain, « Le vibrato épistolaire de l’exil : les lettres à Alexandrine », p. 85-99 ; Sophie Guermès, « Fragmentation d’optique en deux foyers », p. 101-115 ; Jean-Sébastien Macke, « Une correspondance musicale à trois : Émile Zola, Alfred Bruneau et Louis Gallet », p. 117-130 ; Jolanta Rachwalska von Rejchwald, « Les convaincus mènent le monde  ou le “coaching” littéraire de Zola. Remarques sur le discours volontariste et prescriptif de Zola (lettres à Baille, Cézanne et Valabrègue) », p. 131-146 ; Frédérique Giraud, « “Moi je travaille beaucoup” : la mise au travail de soi comme moyen de tirer profit et légitimité de la littérature », p. 147-168 ; Lucie Riou, « La correspondance avec les artistes : laboratoire d’esthétique et genèse de la création romanesque », p. 169-184 ; Geoff Woollen, « Ernest et Edward Vizetelly, traducteurs de Zola : fidèle Achate et traître Sinon ? », p. 185-204 ; Marie Aynié, « Un monument épistolaire : lettres de soutien à Zola pendant l’affaire Dreyfus », p. 205-219 ; Sophie Guermès, « Conclusion », p. 221-225.

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L’écriture du cycle (2016)

Ce numéro de la revue Genesis, coordonné par Olivier Lumbroso et Alain Pagès, s’interroge sur les formes du cycle romanesque dans les romans du XIXe siècle et du XXe siècle. L’œuvre de Zola fait l’objet d’une attention particulière.

Contenu. – Alain Pagès, « Pour une génétique des cycles romanesques » ; Olivier Lumbroso, « Génétique des textes et génétique des cycles : pourquoi changer d’échelle ? » ; Christophe Pradeau : « La beauté ajoutée cyclique » ; Aude Leblond : « Genèses du roman-fleuve : réduire le cycle à l’opus ? » ; Thomas Conrad : « Du cercle fermé au réseau ouvert : Les Treize comme avant-texte de La Comédie humaine » ; Jean-Michel Pottier : « Une poétique du cycle. Regards sur l’œuvre de J.-H. Rosny aîné » ; Céline Grenaud-Tostain : « Zola et Rolland : deux paradigmes du travail génétique » ; Sophie Guermès : « La “recréation organique” au principe des Hommes de bonne volonté de Jules Romains » ; Hédi Kaddour, « L’écriture du roman-monde » (entretien avec Jacques Neefs et Alain Pagès) ; Jean-Sébastien Macke : « Emile Zola ou la conquête des planches. Cinq ébauches inédites pour le théâtre » ; Olivier Lumbroso, Jean-Sébastien Macke et Alain Pagès, « Le site ArchiZ » ; Agnès Sandras et Charles-Éloi Vial, « Zola à la Bibliothèque nationale ».

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Naturalisme. – Vous avez dit NaturalismeS ? (2016)

Publié sous la direction de Céline Grenaud-Tostain et d’Olivier Lumbroso, cet ouvrage s’efforce de revisiter la notion de « naturalisme ». Il montre la vitalité du mouvement littéraire naturaliste en France et à l’étranger et il analyse son formidable pouvoir d’influence.

Contenu. – Céline Grenaud-Tostain et Olivier Lumbroso, « Avant-propos », p. 7-16 ; Henri Mitterand, « Au risque du dictionnaire », p. 19-26 ; René-Pierre Colin, « Le Dictionnaire du naturalisme », p. 27-31 ; Colette Becker, Pierre-Jean Dufief, « Pourquoi un Dictionnaire des naturalismes ? », p. 32-48 ; Kosei Ogura, « Un Guide Zola en japonais », p. 49-53 ; Renaud Oulié, « Léon Hennique est-il un héritier du naturalisme ? », p. 57-64 ; Béatrice Laville, « Les Naturistes, des héritiers ? », p. 65-76 ; Marie-Ange Fougère, « Une postérité naturaliste inavouable : le roman psychologique », p. 77-86 ; Aurélie Barjonet, « Dans les pas de Jules Huret : l’enquête de Curt Grottewitz sur l’avenir de la littérature allemande (1892) », p. 91-105 ; Zaki Coussa, « L’émergence du naturalisme dans le monde arabe », p.107-119 ; Kosei Ogura, « L’héritage du naturalisme au Japon », p.121-128 ; Béatrice Desgranges, « Mo Yan, un naturaliste chinois ? », p. 129-140 ; Chantal Pierre, « Un héritage naturaliste ? La querelle de l’empathie », p. 143-153 ; Véronique Cnockaert, « L’économie du bonheur » dans Au Bonheur des Dames », p.155-166 ; Marion Glaumaud-Carbonnier, « Le divorce, en dehors naturaliste », p. 167-177 ; Sophie Guermès, « Ouvrir le champ des possibles naturalistes », p. 179-191 ; Corinne Saminadayar-Perrin, « Les Rougon-Macquart : une poétique cyclique de l’histoire ? », p. 193-207.

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RelireLa Fortune des Rougon” (2015)

Ouvrage publié sous la direction de Pierre Glaudes et Alain Pagès, à la suite de l’inscription de La Fortune des Rougon au programme de l’agrégation.

 Contenu. – Pierre Glaudes et Alain Pagès, « Avant-propos », p. 7-9 ; Colette Becker, « Aux sources de La Fortune des Rougon. Les dossiers préparatoires », p. 13-27 ; Claude Sabatier, « D’une chronique de la « tache originelle » au « roman des origines » », p. 29-41 ; Romain Brethes, « Aux origines du mythe, le roman grec », p. 43-57 ; Olivier Lumbroso, « La Fortune des Rougon, vitrine et miroir du cycle », p. 59-72 ; Alain Pagès, « Écrire après Balzac. L’arbre des Rougon-Macquart », p. 73-88 ; Jacques Noiray, « La Fortune des Rougon, roman « hugolien » », p. 89-105 ; Henri Mitterand, « La partition d’ouverture », p. 109-126 ; Claire Borde, « Les marges de Plassans et la figure du narrateur », p. 127-142 ; Émilie Piton-Foucault, « Une femme à sa fenêtre. Félicité ou l’axiologie des regards », p. 143-157 ; Céline Grenaud-Tostain, « Topiques du renversement dans La Fortune des Rougon », p. 159-171 ; François-Marie Mourad, « La fortune dans La Fortune des Rougon », p. 173-186 ; Béatrice Laville, « Le romanesque dans La Fortune des Rougon », p. 187-200 ; Boris Lyon-Caen, « L’institution du héros. Poétique d’une réverbération », p. 201-215 ; Pierre Glaudes, « Le naturel et le social dans La Fortune des Rougon », p. 219-255 ; Éléonore Reverzy, « La scène de bataille. L’écriture de la guerre dans La Fortune des Rougon », p. 257-269 ; Arnaud Verret, « L’image des républicains dans La Fortune des Rougon », p. 271-283 ; David Charles, « La Fortune des Rougon et l’insurrection de la Commune de Paris », p. 285-297 ; Nicholas White, « Entre République et Empire. La Fortune des Rougon et la relecture de l’histoire », p. 299-309 ; David Baguley, « Bibliographie », p. 311-322.

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“La Fortune des Rougon” d’Émile Zola. Lectures croisées (2015)

Ouvrage publié sous la direction de Béatrice Laville et Florence Pellegrini, à la suite de l’inscription de La Fortune des Rougon au programme de l’agrégation.

Contenu. – Béatrice Laville et Florence Pellegrini, « Préface », p. 7-9 ; Alain Pagès, « La Fortune des Rougon : lectures programmées », p. 13-27 ; Olivier Lumbroso, « Spatialité et temporalité familiales dans La Fortune des Rougon », p. 29-46 ; Chantal Pierre, « Comment commencer ? La Fortune des Rougon, un roman contraint », p. 47-58 ; Pierre Laforgue, « Un enterrement à Plassans (Courbet, Zola, Hugo) », p. 59-72 ; François-Marie Mourad, « La Famille dans La Fortune des Rougon », p. 73-93 ; Henri Mitterand, « Au soir du septième jour », p. 95-113 ; Sophie Ménard, « Les Logiques prédictives du récit », p. 117-134 ; Florence Pellegrini, « Causalité et démonstration : parce que, car, puisque et comme dans La Fortune des Rougon », p. 135-152 ; Jacques Noiray, « Aspects du grotesque dans La Fortune des Rougon », p. 153-170 ; Florence Leca Mercier, « Caractérisations animalières (comparative et métaphorique) dans La Fortune des Rougon », p. 171-186 ; Béatrice Laville, « Le Secret dans La Fortune des Rougon », p. 189-202 ; Marie Scarpa, « Figures du sauvage dans La Fortune des Rougon », p. 203-216 ; Guy Larroux, « La Fortune des Rougon, roman sonore », p. 217-233 ; Marie-Ange Fougère, « Pour une étude chromatique de La Fortune des Rougon », p. 235-251 ; Lola Kheyar Stibler, « Description et amplification dans La Fortune des Rougon », p. 253-270.

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Lectures de Zola. “La Fortune des Rougon” (2015)

Ouvrage publié sous la direction de Émilie Piton-Foucault et Henri Mitterand, à la suite de l’inscription de La Fortune des Rougon au programme de l’agrégation.

Contenu. – Henri Mitterand et Émilie Piton-Foucault, « Présentation », p. 11-14 ;  Corinne Saminadayar-Perrin, « Storytelling : fictions de l’his­toire dans La Fortune des Rougon », p. 17-32 ; Françoise Gaillard, « La Fortune des Rougon ou la scène primitive de la modernité », p. 33-43; Adeline Wrona, « La Bataille des journaux de Plassans : l’effet-retard », p. 45-56 ; Éléonore Reverzy, « Zola caricaturiste : Lecture de La Fortune des Rougon », p. 63-73 ; Marie-Ange Fougère, « La Fortune des Rougon, roman de la connivence », p. 75-85 ; François-Marie Mourad, « Médi­sances et commérages : les usages de la rumeur dans La Fortune des Rougon », p. 87-98 ; Véronique Cnockaert, « Silvère ou le corps déserté », p.105-116 ; Marie Scarpa, « Le Vert Paradis des amours enfantines », p. 117-128 ; Clélia Anfray, « Lecture politique du mythe de Pyrame et Thisbé dans La Fortune des Rougon », p. 135-143 ; Olivier Got, « La Transgres­sion spatiale dans La Fortune des Rougon », p. 145-157 ; Émilie Piton-Foucault, « L’Eau dans La Fortune des Rougon : de l’idylle à la tragédie, ou quand Zola refuse le réel », p. 159-173 ; Philippe Hamon, « Note sur un incipit », p. 179-190 ; Sophie Guermès, « Le Hasard et la Nécessité dans La Fortune des Rougon », p. 191-205 ; Patricia Carles et Béatrice Desgranges, « La Fortune des Rougon et ses “écrans” », p. 207-215.

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Re-Reading Zola and Worldwide Naturalism (2013)

Publié sous la direction de Carolyn Snipes-Hoyt, Marie-Sophie Armstrong et Riikka Rossi, cet ouvrage étudie la variété des formes du naturalisme au sein de la littérature mondiale.

Contenu. – « Introduction », p. ix-xii ; Alain Pagès, « Comment définir le naturalisme? », p. 3- 20 ; Chiu-Yen Shih, « La physiologie du corps dans la critique d’art d’Émile Zola », p. 21- 31; Claude Sabatier, « Aphorismes et paradoxes dans les chroniques politiques de Zola au début de la Troisième République (1871-1872) », p. 32- 44 ; Mihaela Marin : « Concept anatomique ou métaphore? Le roman ‘respiratoire’ de Zola », p. 45- 55 ; Robert Viti : « (Double-) Crossing the Bo(a)rder : Faujas, Félicité and the Place of La Conquête de Plassans », p. 56- 67 ; Francis Lacoste, « Flaubert et L’Assommoir », p. 68- 79 ; Midori Nakamura, « ‘L’annonce’ zolienne : le roman et le cinéma – l’adaptation cinématographique de L’Argent (1928) par Marcel L’Herbier », p. 80- 93 ; Christian Mbarga, « Émile Zola: Just a Well-Known Figure of the Naturalist Movement or an Overlooked Historian? », p. 97- 113 ; Andrea Gogröf, « Public and Private Hygiene in Émile Zola’s La Curée », p. 114- 133 ; Julia Przybos, « Entre document et fiction: l’hygiène dans Les Sous-Offs de Lucien Descaves », p. 134- 144 ; Soundouss El Kettani, « Vérité et aléas du document dans Lourdes », p. 145- 158 ; Lisa Ng, « The Invisible Family Ledger in Zola’s Rougon-Macquart », p. 161- 175 ; Jérôme Lucereau, « Les identités de l’affamé dans Les Rougon-Macquart », p. 176- 191 ; Carolyn Snipes-Hoyt, « The Victorious ‘Other’ as Stereotype in Émile Zola’s La Débâcle », p. 192-205 ; Jeremy Worth, « On Paradigmatic Resonances and the ‘Mechanized’ Beds and Bedchambers of Zola’s Glass House », p. 206-222 ; Marie-Sophie Armstrong, « Marius Roux et Émile Zola, ou l’écriture à quatre mains », p. 225- 239 ; Jean Anderson, « A Woman Naturalist? Henry Gréville (Alice Fleury Durand, 1842-1902) », p. 240- 255 ; Sébastien Roldan, « Quelle Joie de vivre dans La Course à Mort ? Le narrateur pessimiste d’Édouard Rod comme réponse au Lazare Chanteau d’Émile Zola », p. 256- 269 ; Kyoko Watanabe, « La réception de Zola et son influence au Japon », p. 273- 284 ; Miyuki Terashima-Fukuda, « Les avatars du naturalisme français au Japon: du roman naturaliste au roman personnel », p. 285- 297 ; Akiko Miyagawa, « Accueil de Travail de Zola au Japon. Traduction, publication et recherche du style dans les années 1900-1920 », p. 298- 311 ; Ki-HwanYu, « Le manifeste naturaliste de Corée et Le Roman expérimental –Yeom Sang-Seob et Émile Zola », p. 312-323 ; Mélanie Giraud, « Les Rougon-Macquart by Émile Zola and Three Generations by Yeom Sang-Seob : Two Families, Two Empires », p. 324-340 ; Guri Ellen Barstad, « Au-dessus des forces humaines de Bjørnstjerne Bjørnson. Ambiguïté d’une polémique sur le miracle », p. 343- 356 ; Vasily Tolmatchoff, « OscarWilde as a Reader of French Naturalism », p. 357- 367 ; Haroldo Ceravolo Sereza, « Machado de Assis and the Problem of ‘Realism-Naturalism’ », p. 368-380 ; Keith Newlin, « American Naturalism and Dramatic Adaptation”, p. 381-398 ;  Riikka Rossi, « Noble Savages and Human Beasts. The Primitive in Finnish Neo-Naturalism », p. 399-413 ; Jean-Sébastien Macke, « Pierre Magnan, un écrivain à la confluence de Zola et Giono », p. 414-426.

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Le signe et la consigne (2009)

Publié sous la direction de Philippe Hamon, cet ouvrage explore le corpus des dossiers préparatoires, avec le souci d’un dépouillement méthodique de ses données. Il étudie, dans une perspective génétique, les règles d’écriture que l’on peut y observer.

Contenu. –  « Introduction », par Philippe Hamon. – Chapitre I : « L’invention », par Alain Pagès. – Chapitre II : « La disposition », par Olivier Lumbroso. – Chapitre III : « La mémoire », par Chantal Pierre-Gnassounou. – Chapitre IV : « L’élocution », par Philippe Hamon. – Chapitre V : « L’action », par Philippe Hamon. – « Conclusion », par Henri Mitterand.

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Les lieux du réalisme (2005)

Publié sous la direction de Vincent Jouve et d’Alain Pagès, avec la collaboration de Boris Lyon-Caen et d’Alexandrine Viboud, cet ouvrage explore les lieux (espaces et figures) où se construit le récit réaliste, dans le prolongement des recherches conduites par Philippe Hamon.

Contenu. – Henri Mitterand, « Abymes zoliens », p. 25-36; Colette Becker, « Le collage, tremplin pour l’invention: l’utilisation du journal par Zola », p. 37-48; Olivier Lumbroso, « Forme du métatexte et métatexte de la forme », p. 48-59; Silvia Disegni, « Remarques sur Zola et Aristote », p. 61-74; Paolo Tortonese, « ‘De la description’: Zola, l’homme et les choses », p. 77-86; Robert Lethbridge, « Passages zoliens », p. 121-129; Jean-Pierre Leduc-Adine, « L’escalier de Pot-Bouille », p. 131-138; Adeline Wrona, « ‘Vitraux naturalistes’: les imageries de la transparence », p. 139-146; Mieke Bal, « L’éthique de la description », p. 146-157; Chantal Pierre-Gnassounou, « Quand la description passe mal… », p. 175-187; David Baguley, « Le ‘personnel’ de La Débâcle », p. 191-199; Sophie Spandonis, « Véronique ou l’extinction de voix: quelques réflexions sur le traitement de la parole dans La Joie de vivre », p. 201-212; Régine Borderie, « Pièces détachées: à propos du personnage dans Au Bonheur des Dames », p. 249-260; Jean-Louis Cabanès, « Bonhomies zoliennes », p. 285-298; Jacques Noiray, « Représentation et visualisation: réflexions sur quelques problèmes d’esthétique réaliste dans le roman du XIXe siècle », p. 373-383; Philippe Berthier, « Zola coprologue », p. 437-446; Alexandrine Viboud, « Bibliographie. L’œuvre critique de Philippe Hamon », p. 463-469.

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Lire / Dé-lire Zola (2004)

Publié sous la direction de Jean-Pierre Leduc-Adine et Henri Mitterand, cet ouvrage propose de lire Zola autrement, en restituant à l’écrivain toutes les richesses de sa sensibilité et de son imaginaire, l’étendue de sa culture, le raffinement de son travail d’écriture, la profondeur de ses intuitions sur le corps, le peuple, l’espace humain et l’histoire.

Contenu. – Avant-propos. Lire/Dé-lire Zola », p. 9-13; Henri Mitterand, « Libérer Zola », p. 15-21; Jean-Pierre Leduc-Adine, « Vrai ou vivant? », p. 23-34; Patricia Carles et Béatrice Desgranges, « Émile Zola et ses peintres », p. 35-59; David Baguley, « L’histoire en délire: à propos de La Débâcle », p. 61-77; Colette Becker, « De La Vénus de Gordes à la Vénus du Pont-Neuf. Jeux de réécriture », p. 79-96; Sophie Spandonis, « Roman-feuilleton et poétique naturaliste: une étude des Mystères de Marseille », p. 97-115; Dominique Jullien, « Dans les jupes du Paradou : pour une topique de l’Immaculés Conception dans La Faute de l’abbé Mouret », p. 117-134; Robert Lethbridge, « L’Homme et L’Œuvre: Zola et la déformation romanesque », p. 135-152; Antonia Fonyi, « Thérèse Raquin, chef-d’œuvre. Approche psychanalytique de la ‘littérature putride’ », p. 153-169; Pierluigi Pellini, « La norme et l’exception. Remarques préliminaires sur la folie dans les Rougon-Macquart », p. 171-184 ; Auguste Dezalay, « Zola et la poétique de l’espace urbain », p. 185-200 ; Paolo Tortonese, « Les ancêtres de Claude Lantier: hérédité naturaliste et héritage littéraire », p. 201-212; Olivier Lumbroso, « Zola, acrobate des figures », p. 213-228; Chantal Pierre-Gnassounou, « Discrétion et indiscrétion de Zola », p. 229-240; Marie Scarpa, « Entre broderie et ‘conterie’… Le Rêve. Lecture ethnocritique », p. 241-258; Marie-Ange Voisin-Fougère, « Émile Zola, un Rabelais lugubre? », p. 259-274 ; Jacques Noiray, « De La Confession de Claude à J’accuse : formes et significations du sacrifice dans l’œuvre d’Émile Zola », p. 275-293; Sophie Guermès, « Rome : l’histoire naturelle d’une ville ? », p. 295-311; Béatrice Laville, « Les Évangiles, entre épuisement et modernité », p. 313-326; Jean-Louis Cabanès, « Travail: roman lyrique », p. 327-347; Alain Pagès, « Le premier centenaire », p. 349-362 ; « Annexe. Le dossier de presse du centenaire de 1940 », p. 363-364.

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Zola. Genèse de l’œuvre (2002)

Publié sous la direction de Jean-Pierre Leduc-Adine, cet ouvrage se consacre à l’étude des dossiers préparatoires du romancier, en explorant les différents aspects de la genèse de l’œuvre.

Contenu. – Jean-Pierre Leduc-Adine, « En guise d’introduction », p. 7-15; Daniel Ferrer, « Combien d’enfants avait Lady Gervaise? Le style de l’invention dans les ébauches de Zola », p. 17-32; Almuth Grésillon, « Complexité énonciative et dénouement narratif dans le dossier génétique de La Bête humaine », p. 33-61; Colette Becker, « De la note à la fiction », p. 63-74 [sur Germinal]; Jacques Neefs, « Forme et fiction: la pensée du récit dans l’ébauche », p. 75-87; Chantal Pierre-Gnassounou, « Dispersion et double emploi : les ratés de la structure dans les ébauches des Rougon-Macquart », p. 89-102; Silvia Disegni, « Les dialogues dans les avant-textes de Zola », p. 123-140; Daniel Compère, « La Curée et Nana : genèse des scènes théâtrales », p. 141-153; Marie-Ange Voisin-Fougère, « De l’avant-texte au texte: la neutralisation du trait », p. 155-171; Kelly Basilio, « Genèse romanesque et onomastique chez Zola », p. 173-185; David Baguley, « Genèse d’un roman, genèse d’une série: à propos de Au Bonheur des Dames », p. 187-197; Béatrice Laville, « Les voies de la Vérité », p. 199-209 ; Antonia Fonyi, « Du Zola pur et propre. Approche psychanalytique de la genèse de La Faute de l’abbé Mouret et du Rêve », p. 211-223; Nicholas Dobelbower, « Dérive génétique et déviance génésique », p. 225-243; Jacques Noiray, « De la mise à nu comme principe poétique: la genèse du personnage de Benedetta dans Rome », p. 245-262 ; Claire Bustarrit, « Enquête sur les papiers dans les dossiers préparatoires : Zola ou le degré zéro du support? », p. 263-279 ; Alain Pagès, « Comment Zola écrivait-il ? », p. 281-291 ; Danielle Coussot, « Zola, bibliographie génétique », p. 293-300.

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