Dictionnaire – Pour-Putois

POUR

Voir aussi : Donner ; Afin de. L’une des prépositions les plus importantes du métadiscours utilitariste zolien ; elle signale le poids du cahier des charges documentaire, la permanente finalité et téléologie qui impose à l’écrivain de toujours viser en la justifiant l’insertion d’un motif ou d’une fiche descriptive. Elle apparaît souvent dans des consignes du type : « Donner à tel personnage telle occupation/ inventer tel personnage ou telle scène pour décrire telle ou telle chose » ou : « Pour décrire telle ou telle chose, il me faut/ j’ai besoin de… etc. ».Le but et la volonté documentaire impose ici le choix de la thématique, et la thématique est là pour donner/ redonner le document.

Le Ventre de Paris (1873)

Je garde la traversée et Cayenne pour la scène du boudin. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°200)

La Conquête de Plassans (1874)

Puis un grand morceau d’analyse
mais d’analyse en action pour montrer que rien n’a plus l’air d’un fou qu’un homme possédant tout son bon sens (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°s 24-25)
Pour le dénouement, il me faudrait quelque chose de raide

(Prendre le cadre d’une journée pour le réputer) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVIII F˚ 12)

Nana (1880)

Juillerat et la Faloise venus trop tôt me servent pour la description. (NAF Ms. 10313, Nana. F°6- Plan)
Alors Juillerat présente du monde, ce qui m’aide pour ma description (Ibid. F°7)
Juillerat a pu passer pour nommer Satin. (Ibid. F°10)
Nana posée par la salle. Cartier et les jeunes gens la reconnaissent pour l’avoir vue dans des endroits étranges. (Ibid. F°11)
Dans ce chapitre ne donner que des indications rapides, suffisantes pour poser les personnages. (Ibid. F°12)
Pour le théâtre, mettre là : le boulevard, la façade des Variétés, le quartier (…). (Ibid. F°13)
Une lettre écrite par madame Maloir à Daguenet, pour remettre un rendez-vous. (Ibid. F°15)
Madame Maloir doit partir aussi, ou bien rester avec Zoé pour quelque chose. (Ibid. F°16)
La scène, il (sic) viennent pour une quête. (Ibid. F°17)
Elle a bien songé à écrire une autre lettre à Daguenet pour lui dire de venir (…). (Ibid. F°18)
Muffat qui habite l’arrondissement (…) vient pour une quête, avec le Marquis de Chouard. (Ibid. F°19)
Passion d’oiseau de Nana pour le petit.
En mots énigmatiques, un monsieur donne 500 fr. pour l’avoir. Nana a un besoin d’argent particulier, pour son bébé peut-être. Et elle accepte. Le rendez-vous est pour de trois à quatre. (Ibid. F°22)
Mais les détails ne doivent venir que peu à peu, à mesure des invitations, pour se compléter à la fin.
Alors Fauchery me sert pour poser les Muffat. (Ibid. F°26)
L’honorabilité de madame Hugon, Fauchery penchant alors pour que Sabine n’ait pas d’amant. (Ibid. F°28)
Et finir par les aparté de tous les hommes se retirant et se donnant rendez-vous pour le lendemain soir chez Nana (Ibid. F°29)
Je prendrai pour cadre une soirée. (Ibid. F°30)
L’homme sérieux avec lequel est Mme Robert est questionné, pour l’amener au dîner. Mais il refuse pour elle
Dans un coin, un petit jeune homme (ne pas le nommer) parie qu’il aura Nana pour 500 fr. (Ibid. F°31)
une grande affaire pour les Jésuites
Steiner s’est débarrasser (sic) de Mignon pour aller chez Nana. (Ibid. F°32)
Caroline Hequet qui voit qu’il n’y a rien à faire, s’en va; sa mère ne veut pas qu’elle découche, pour qu’elle garde son teint. (Ibid. F°41)
Le jour qui se lève Nana veut aller au bois de Boulogne pour boire du lait : C’est Steiner qui l’emmène. (Ibid. F°42)
Le chapitre est pour peindre la tentation de Muffat. (Ibid. F°48)
Toutes ces scènes, pour avoir de l’unité, doivent se passer dans le foyer. (Ibid. F°49)
Indiquer déjà la tendresse de Nana pour Fontan. (Ibid. F°50)
(…) à la fin elle plantera tout là, pour s’en aller avec un figurant (…). (Ibid. F°52)
Au départ, dans le couloir, bien peindre toutes les petites qui filent par là, pour éviter les hommes. Le passage n’est pas encore fermer (sic) ; mais on a ouvert le couloir pour le prince. (Ibid. F°53)
Chapitre V. – Une représentation derrière la toile, gaz flambant. Servant de cadre pour allumer l’homme mûr. (Ibid. F°54)
Pour le théâtre, mettre là : loge et buvette du concierge ; la scène, décors, machinistes (…). (Ibid. F°55)
Poser les gens qu’on attend, les amis que Georges a invités pour se retrouver tous avec Nana.
C’est à une lieue, dans le pli d’un coteau, derrière une rivière qu’il faut remonter pour avoir un pont. (Ibid. F°57)
Tout cela, c’est pour ne pas tromper Georges, une idylle quand elle montre (sic) le retrouver. (Ibid. F°59)
Tout ce monde n’est venu que pour deux jours. (Ibid. F°60)
Il faut une soirée, un dîner, aux Fondettes pour mettre Fauchery en face de Sabine et Daguenet en face d’Estelle. (Ibid. F°61)
Labordette est venu pour voir la propriété. (Ibid. F°62)
C’est là que j’ai envie de mettre l’épisode de Philippe, le capitaine, venant pour faire une scène, et se laissant empaumer. (Ibid. F°63)
Et me servir de la description du passage, la grande galerie, puis de la petite cour, du vestibule, [et] du bec de gaz, pour espacer les explications sur Muffat.
Préparer le coup de tête pour Fontan. (Ibid. F°67)
Il faudrait indiquer déjà qu’il va beaucoup chez les Muffat, et qu’il est en observation entre la comtesse et le comte, pour avoir la fille. (Ibid. F°84)
Là elle est prise par (sic) une cocotte par un vieux beau (complication), qui la suit. (Ibid. F°89)
Tout cela avec des descriptions et des détails sur la pièce pour couper.
Il faut que le drame violent de Muffat reprenne là-dedans pour que le roman ne fléchisse pas au milieu. (Ibid. F°95)
XIII. – Enfin un chapitre jeté. L’enfant de M. pour finir les Mignon (Ibid. F°97)
Pensée de suicide pour le greluchon (plus loin, à la fin). (Ibid. F°104)
Tout le morceau est pour poser Nana comme la reine.
Tout le morceau est pour poser ces dames, et pour faire peu à peu triompher Nana autour de laquelle on se presse. (Ibid. F°119)
Ne pas oublier les conversation (sic) sur les courses ; à bâtons rompus avec des noms de chevaux, de jockey (sic) ; mais garder pour le grand prix.
non pas tous, garder pour l’effet plus loin (Ibid. F°120)
Les filles contre la grille ; en garder pour en mettre là : Tatan Néné et Maria Blond. (Ibid. F°121)
C’est pour étudier à fond le comte X. de Vendoeuvres. (Ibid. F°125)
Pour finir les Mignon, il faudrait que Rose voulût enlever Muffat à Nana (…). (Ibid. F°126)
Il faudrait que Muffat fût tout puissant pour faire entrer Rose quelque (Folio 127) part, à l’Odéon par exemple. (Ibid. F°126-7)
Elle pourrait dire ça à une autre personne que son mari, pour que ce fut moins raide. (Ibid. F°127)
[Nana] elle pourra le [Muffat] questionner pour savoir s’il a reçu la lettre.). (Ibid. F°131)
Une soirée, une cérémonie, pour servir de pendant au 3e chapitre.
Muffat sait que sa femme le fait cocu et qu’elle a plusieurs amants. Et, pour dernières ignominie (sic), il lui emprunte de l’argent (…).
Un mariage serait bon pour cela. (Ibid. F°136)
Muffat toujours mêlé, pour garder ma gradation, par dessus l’épisode de Mignon
Venot pourra venir pour le trouver là (Ibid. F°143)
La marchande à la toilette doit reparaître pour proposer une affaire à Nana. (Ibid. F°149).

C’est elle [Madame Hugon] qui a pu amener son fils pour qu’il fasse son droit. (NAF Ms. 10313, Nana. F°179- Personnages)
[Madame Lerat] Se reporter pour le portrait physique et pour le caractère à L’Assommoir. (Ibid. F°183)
[Estelle] Pour lui donner du caractère, voir si à la fin je ne puis pas faire éclater chez elle une personnalité (…). (Ibid. F°190)
[Nana] Voir l’Assommoir, pour toute la première période (…).
Le jour de la première, certains hommes, Cartier et les jeunes gens, pourront la reconnaître pour l’avoir rencontrée dans des endroits particuliers. (Ibid. F°191)
[Madame Robert] Il faut la regarder un instant pour voir qu’elle a de jolis yeux, une petite bouche, un nez très-fin. (Ibid. F°195).

Il me faut donc montrer Nana, centrale, comme l’idole aux pieds de laquelle se vautrent tous les hommes, pour des motifs et avec des tempéraments différents. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
au lieu d’un sénateur pour mon vieux, je chercherai sans doute autre chose. (Ibid. F°210)
Mais il faudrait une autre intrigue pour corser ça davantage. (NAF Ms. 10313, Nana. F°210-1)
Bien la poser, comme nudité, dans la première représentation, toute une salle s’enflammant pour le cul ; un grand rut. (Ibid. F°212)
(…) puis il trouverait moyen d’avoir encore de l’argent et il se remettrait avec elle, pour en finir. (Ibid. F°213)
Enfin, elle va au Grand Hôtel, et y meurt, entourée de femmes. Pour cela, il faudrait que l’homme mûr l’eut quittée. (Ibid. F°215)
Il faudra que le mari pour donner quelque chose à Nana, extorque une signature à sa femme (…). (Ibid. F°216)
J’aimerai à la faire infirme. Beaucoup de peine pour marcher une paraplégie se déclarant ; elle serait bientôt clouée sur son fauteuil. (Ibid. F°217)
De toute façon, lorsque Nana débutera, ce sera pour écraser sa rivale.
Dans ce cas, il faudra que je prenne une autre fille pour le type de la fille qui redevient ordurière en vieillissant. (Ibid. F°219)
Enfin, je voudrais une fille, qui passât pour relativement honnête (…). (Ibid. F°220)
Je pourrais revenir, à plusieurs fois, dans de courts passages, pour bien avoir le théâtre bordel, la cour, le foyer, les loges d’actrices. (Ibid. F°221-2)
Chez l’homme mûr. Une réception. Pour poser les personnages. (Ibid. F°222)
Un chapitre pour la course du grand prix ; cadre où l’ont (sic) mettra des événements. (Ibid. F°223)
Un chapitre pour montrer à quelle tolérance, à quelle honte, Nana amène l’homme mûr. (Ibid. F°224)
Voyons les conditions où le comte Muffat peut se trouver, pour qu’en aimant Nana, il y ait drame. (Ibid. F°225)
(…) tout au plus puis-je donner des instincts de dévotion à Muffat, pour ménager un dénouement (…). (Ibid. F°226)
Il y aura une ou deux personnages qui auront intérêt à ce que Muffat appartienne à la religion et qui pourront le jeter à Nana pour le repêcher ensuite et le conquérir aux joies du ciel. (Ibid. F°227)
Pour bien mettre cela en vue, il faudra bien peser le caractère de Muffat, de la comtesse et de Nana. (Ibid. F°229)
Pour le type, poser l’intérieur. (NAF Ms. 10313, Nana. F°237).

Tout pour la pose, de la part de l’homme et de la femme, de la bêtise. (NAF Ms. 10313, Nana. F°262/11- Notes)
Des chemises de foulard pour que les hommes ne chiffonnent pas leur linge. (Ibid. F°267/27)
Les hommes doivent abandonner tout amour-propre. Concessions, lâches pour le cul. (…) L’abaissement de l’homme, l’abandon de tout pour le cul. (Ibid. F°268/28).

La Terre (1887)

Pour mettre cela en action, j’aurai besoin à quelques reprises de lui faire voir le paysage (MS NAF 10329 La Terre F° 9 – Personnages, Jean Macquart)
Cette scène est pour montrer la dépendance de Buteau, qui à la fin sera le Maître impitoyable de son père (Ibid., F° 16 – Personnages, Louis Fouan)
Et une fin bonne, pour ne pas avoir que des natures mauvaises (Ibid., F° 48 – Personnages, Lise Fouan)

Le Rêve (1888)

Au milieu un débat pour me donner la psychologie (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 224/8)
La grande porte uniquement pour son mariage (Ibid., f° 234/18)
Je lui donnerai des traits un peu tourmentés pour ne pas avoir que des figures correctes (Ibid., f° 248/32)
Toucher à cela avec beaucoup de délicatesse pour rester pur (…) je voudrais bien que la mère de Hubertine fût enterrée par là pour avoir la tombe (Ibid., f° 250/34)
je voudrais encore cinq chapitres, ce qui est possible (…) trois pour la lutte (Ibid., f° 265/48)
je ne voudrais remettre les amoureux en présence que pour une grande scène (Ibid. f° 267/50)
Le chapitre est surtout pour montrer le ravage chez Angélique (Ibid., f° 270/53)
Il faudrait
qu’il vint /sic/ seulement pour le viatique ou pour l’extrême onction (Ibid., f° 295/78- 296/79)
Si je mets une chapelle dans le château (…) oui une chapelle dans le château, et un vieux curé qui sera pour la procession, pour l’extrême onction et pour le mariage (Ibid., f° 308/91- Ebauche)

Hubertine continue son éducation, orthographe parfaite (pour plus tard) (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
(…) En réservant les détails pour le IV (…) Dire que le seigneur s’est enfermé et garder son hist./oire/ pour le IV (Ibid., f° 36)
(…) Là, je ne voudrais pas avoir encore la description de l’église . Mais il faut que j’en aie la masse , pour faire ombre sur la maison (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
(…) Relire toutes les notes de Thyébaut pour la tutelle oficieuse (…) L’histoire de Beaumont l’église doit être là pour poser le milieu cloîtré (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 38)
(Ibid.,f° 38)
(…) L’angoisse dès que la grâce, le milieu l’abandonne. Garder cela je crois pour plus tard (Ibid., f° 39)
(…) Et cela doit me donner aussi toute la religion pour elle et pour les Hubert (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 21)
garder beaucoup de détails sur la broderie pour le IV, où Angélique fait son chef-d’œuvre. (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
(je garde la description de la chapelle pour plus loin) (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)

Mais réserver
le travail le plus intéressant pour le moment où elle fait son rêve (MS NAF 10323, Le Rêve, second plan détaillé du chapitre III, f°s 40-41)
Ici un changement dans le travail. Donner à Angélique le travail pour accompagner son rêve (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre III, f° 42)
(Un doute pourtant pour laisser de l’intérêt) (Ibid., f° 44)
je ne sais si je dois pousser cette scène à fond ou plutôt la garder pour le milieu du livre (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 49)
Ne pas mettre la visite à la tombe, ou l’indiquer à peine, pour la garder et la mettre vers le milieu (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 49)
réserver l’histoire des armes pour le chapitre suivant (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Un mot de la grâce pour Hubert (Ibid., f° 55)
je garde la description de la chapelle pour plus loin (…) (garder les échafaudages pour plus loin) (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 58)
Je reviens là à la Légende dorée. D’abord pour le vitrail (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Ensuite je mets ce que j’ai appelé les miracles , pour montrer dans quel rêve vit Angélique (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Saint Georges n’est pas bien pour Félicien (Leg.dorée 6) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 68)
C’est là que je reprends la description du château , pour dire avec détails ce qu’Angélique voit de sa fenêtre (Ibid., f° 68)
La religion, la grâce (?) pour Hubert (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 71)
L’échafaudage pour la réparation du St Georges (vitraux) (Ibid., f° 73)
Félicien revenant presque tous les jours pour des détails (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 82)
se méfier. Garder les pauvres pour plus loin, car ils sont encore bien près (…) Là au moins, à la fin, elle doit savoir qu’elle aime, pour que le réveil de son instinct se réveille dans le chapitre suivant (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 91)
Tout cela pour donner à entendre que les Hubert s’aiment en bas. Très chaste, très discret (Ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 93)
Poser la question seulement pour la résoudre plus loin à l’arrivée de Félicien (non, les saintes ne sont pas fâchées) (Ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 94)
Tout cela pour arriver à son aveu (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Je veux garder le baiser sur la bouche pour le dénouement (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
C’est dans l’autre chapitre qu’Angélique et que le public va savoir qui est Félicien . Pour que cela ne soit pas brutal, il est nécessaire de le faire prévoir (…) Reprendre la description de la chambre (13) et surtout de la façade pour la montée de Félicien (5). (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 103)
Se servir du reposoir qui est au coin de la rue pour arrêter la procession (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 107)
L’église est posée pour le mariage (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 113)
Si je ne réservais pas la grande façade pour la fin, je pourrais la mettre là, à la rentrée de la procession (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 116)
Tout cela c’est pour bien poser la situation de mon évêque, que je mets en scène dans la seconde partie du chapitre (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 130)
Mais le chapitre est surtout pour montrer le ravage chez Angélique (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Mais pour que la scène ait toute sa signification et soit complète, il faut bien montrer la lutte entre son hérédité (…) et le milieu et l’éducation (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
le livre lui-même peut revenir. Elle l’a emporté, elle en lit. C’est pour faire équilibre (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)
(…) Brusquer cette fin sans doute pour se débarrasser de Monseigneur (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 175)
arranger la chambre pour la cérémonie (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
Mais je crois qu’il ne doit arriver qu’après la cérémonie, ou du moins que Angélique ne le voit qu’après, qu’au moment nécessaire pour l’effet (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)
Cela est pour mettre le revirement du marquis en scène (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 181)
Ai-je réservé la grande façade (Egl.6 à 10) pour être mise là comme un hosanna, un élancement final ? (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)

Pour y grimper, sur l’auvent, puis par la jambe de force sur la sablière et de là sur le balcon (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur la maison des Hubert, f° 400/7).

Lourdes (1894)

Une intrigue autour du pape sans doute pour l’amener à une décision ; et des vues lointaines. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°8)
Il s’est heurté au rejet du surnaturel par la science et au besoin de justice qui grandit chez les peuples : c’est même cela qu’il faudra reporter dans « Rome » ; pour montrer comment échoue la tentative de mon prêtre. (Ibid. F°13)
Il faut que dans « Paris », j’aie, comme dans « Germinal » un très grand fonds de souffrance ; et cela surtout,
pour faire pendant aux souffrances physiques que j’aurai dans « Lourdes ». Pour les revendications du socialisme, mettre donc toutes les souffrances des misérables (…). (Ibid. F°s23-24)
Pour la symétrie je ferai aussi « Paris » composé de cinq [chapitres biffé] parties de cinq chapitres chacune. (Ibid. F°24)
Pour arriver à suivre d’abord l’idylle de l’enfance, l’apparition, puis le drame de l’âge mûr, il faudrait trouver un procédé (…). (Ibid. F°33)
Encore moins d’intrigues que dans « la Débâcle », rien de forcé pour représenter tous les mondes, aucune rencontre romanesque, aucun dénouement forcé. (Ibid. F°55)
Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
(…) si mon roman se passe de nos jours ? (Ibid. F°s57-58)
J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. Ce serait pour mettre dans le premier le réveil naïf du vieux catholicisme (…). (Ibid. F°60)
Si je faisais Rome, je garderais un ou plusieurs personnages, l’évêque et d’autres, pour réunir les deux volumes. (…) C’est pourquoi, en faisant le plan de Lourdes, il faudra que je décide si je ferai ensuite Rome, pour préparer ce dernier. (Ibid. F°61)
(…) la faire frapper dans son sexe, mais avec la plus grande discrétion, pour que tout le monde puisse lire mon livre. (Ibid. F°77)
En un mot, il faut que mon prêtre représente toutes les protestations contre la superstition (…) \\. Le bâtir pour cela, faire que s’il ne croit plus, c’est par une révolte de sa raison. (Ibid. F°s95-96)
Il me faudrait certaines histoires à côté pour emplir certaines parties qui restent un peu vides. (Ibid. F°100)
J’ai aussi mon agrégé de l’Université, ou quelque chose de semblable, pour mettre là un intellectuel. (Ibid. F°106)
Pour avoir un drame d’intérêt, il suffirait que le petit ait sur sa tête un héritage, que les parents perdraient, s’il venait à mourir. (Ibid. F°109)
Pour rendre cela sensible, je voudrais que cette sœur ait soigné un jeune homme de trente ans, un pauvre, dans sa chambre où il agonisait à Paris. (Ibid. F°114)
Pour le médecin des constatations, je prendrai un Boissarie quelconque. (Ibid. F°118)
Un mouvement, deux scènes pour l’utiliser [le coiffeur]. (Ibid. F°120 bis)
Les détails
nécessaires pour expliquer sa présence là. Maladie. Douleurs atroces parfois. Et pauvreté, pour expliquer qu’elle [Marie] est hospitalisée (…) – (Ibid. F°s122-123)
Marie a été mise dans un compartiment voisin, pour que son père et Pierre restent avec elle. (Ibid. F°124)
Et je donne alors une description (…) de tout le wagon (…). (…) Un ensemble enfin, pour tout poser, sans les détails sur mes personnages, les malades, que je vais présenter un à un. (Ibid. F°124)
Mais on est à Etampes (6.32, une heure et demie après Paris.) [en interligne : dire les stations, pour donner la sensation de la marche.] (Ibid. F°126)
Je reprends aussi madame Jon- \\quière et je me sers d’elle pour donner Mme Vêtu, l’horlogère, avec son cancer qui empoisonne, et Elise Rouquet, avec son lupus, une affreuse vision, quand le [f biffé] mouchoir s’écarte. (Ibid. F°s127-128)
Tout le chapitre n’est que pour montrer cette souffrance qu’on charrie. (Ibid. F°131)
Je mets au milieu Marie, M. de Guersaint et Pierre. (…) Je les pose tous les trois : portraits physiques, conversation donnant les détails suffisants pour voir qui ils sont. (…) Un mot de leur pauvreté pour expliquer qu’ils sont en troisième. – (Ibid. F°132)
Poser seulement M. Sabathier, garder sa foi et son analyse pour une scène dans l’hôpital, une fois à Lourdes. (Ibid. F°135)
C’est eux [Pierre et Marie] qui doivent tout mener, je les pose d’abord, dès les premières lignes, et je me sers d’eux, pour mener la présentation de tous les autres – (…) Avec un crescendo dans la souffrance, et le sentiment que tout cela roule, est emporté. De Paris à Orléans par exemple (garder ensuite jusqu’à Angers pour le II). (Ibid. F°136)
Un mot des sœurs qui sont dans le fourgon de la cantine (avec un interne) et un mot des hospitalières, pour que, dans le III, tout ce monde n’ait pas l’air de tomber du ciel. (Ibid. F°137)
Consulter surtout les notes que j’ai prises à Paris, au départ du train blanc, et en tenir compte pour toute la première partie. (Ibid. F°143)
Je prendrai mon horaire, pour les heures et
les pays qu’on traverse. (Ibid. F°s143-144)
Et il [Pierre] la [Marie] regarde, (mais garder le portrait lamentable pour plus tard). (Ibid. F°147)
Un intermède, avec le dedans et le dehors. Sans trop insister, pour la gradation. (Ibid. F°147)
Se débarrasser tout de suite du docteur Chassaigne, qui va partir pour [Lour biffé] Cauterets avec sa femme malade. Cela lui donnera quatre ans, pour son évolution. (Ibid. F°150)
Enfin, trouver le moyen [qu biffé] pour que le mouvement du premier chapitre continue et soit naturellement repris au III. (Ibid. F°156)
Pour Pierre toute l’éb. (p. 7.) (Ibid. F°162)
Pour Lourdes, doubles des procès-verbaux administratifs, rapports de police, interrogatoires de Bernadette, consultations des médecins, enquêtes de toutes sortes, lettres confidentielles. (Ibid. F°163)
Du reste, poser là le départ des personnages. En réservant pour plus loin ce qu’ils doivent faire. – (…) Tous les malades du train, un mot seulement, et plus loin j’en décrirai quelques uns pour faire sentir tout le train. (Ibid. F°166)
L’arrêt à [Angers biffé] Poitiers, pour poser tout le train et surtout continuer la souffrance, en l’augmentant encore, en l’exaspérant. (Ibid. F°173)
Graduer toutes ces souffrances, pour
arriver à la plus grande intensité possible. (Ibid. F°s174-175)
Enfin s’arranger pour préparer
la suite. (Ibid. F°s176-177)
Garder donc les faits les plus affreux pour la fin, les échelonner. (Ibid. F°178)
Pour Ferrand et sœur Hyacinthe, voir s’il ne suffirait pas de les poser là, et [d’uti biffé] de renvoyer toute leur idylle, les détails du passé, à l’hôpital. (Ibid. F°179)
Mais surtout montrer peu à peu l’intérêt que le récit, puis le pied montré, déterminent chez tous les malades. L’intérêt part de là, pour arriver à la passion. (Ibid. F°184)
Pour cela, je reprendrai sans doute les malades, et je les montrerai, ceux qui souffrent se soulevant, les autres s’intéressant. (Ibid. F°185)
Et enfin Marie pour amener Pierre – (Ibid. F°186)
Elle [Sophie Couteau] s’est oubliée pour un fait quelconque, par une étourderie d’enfant qui la peindrait (…). (Ibid. F°192)
Je n’ai qu’à dépouiller les miracles, à les avoir tous, puis à les classer. – Par moments, interrompre sans doute, pour montrer l’effet sur les malades. (Ibid. F°194)
Et il [Pierre] voudrait croire, lui aussi, pour
avoir [cette biffé] cet espoir [qui biffé], ce soulagement, qu’il voit dans les yeux de Marie. (Ibid. F°s196-197)
Naturellement, il faudra distribuer tous les personnages du wagon pour leur faire jouer un rôle, dans ce récit des miracles. (Ibid. F°197)
J’ai pour le miracle jusqu’à l’Angélus, à Coutras, vers six heures. (Ibid. F°199)
A l’église pourtant, et garder, je crois, la description de l’église pour la fin, ainsi que le vieux Lourdes – (Ibid. F°206)
Toutes les objections qu’il [Pierre] s’était faites, et qui peuvent fléchir un peu à ce moment, pour le
mouvement du chapitre. (Ibid. F°s207-208)
Mais surtout l’homme qui meurt, voir où je puis placer la mort. Un peu avant la fin, pour qu’on ait le corps quelque temps avec les cantiques. (Ibid. F°211)
Voit-on la grotte. Non, mais trouver pour que Bernadette revienne et termine. (Ibid. F°211)
Je voudrais que la lecture continuât jusque vers onze heures. Pour cela, il faudrait peut-être que Pierre, qui a commencé par lire, continue en improvisant (…). (Ibid. F°217)
Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions que je garde pour le chapitre V de la seconde partie (…). (Ibid. F°221)
Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions que je garde pour le chapitre V de la seconde partie, où je reviendrai sur ses premières pages pour reprendre les persécutions mêlées aux apparitions et montrer comment les persécutions peuvent fonder une religion. (Ibid. F°221)
Le père Forcade [sic], le père Massias [en interligne : Bonamy] doivent revenir là, pour la fin avec le mort. (Ibid. F°229)
Lire la brochure sur l’Hospitalité de N.-D.-du-S. Le commencement surtout, pour l’organisation de l’Hospitalité. (Ibid. F°241)
C’est Pierre qui me sert ensuite pour le paysage, l’admirable pays que traverse l’horrible défilé. (Ibid. F°246)
Ce qu’on voit. (…) Orienter tout cela pour avoir les ombres. – (Ibid. F°247)
La fontaine, les piscines, tout cela géographiquement, pour les besoins du récit. (Ibid. F°247)
Marie placée au milieu de la salle, madame Vêtu sera près d’elle, la cancéreuse, dans un
lit tout à fait voisin. (Ceci pour la mort par le cancer).– (Ibid. F°s250-251)
Encore une fois tout cela n’est que pour poser l’hôpital et l’installation de la salle Sainte-Claire. (Ibid. F°251)
Orienter la description, pour les ombres. (Ibid. F°252)
Enfin, trouver l’excuse pour que Pierre puisse s’éloigner. – Donc finir sur le miracle, pour que cela se rattache avec la conversation du grand médecin converti et de Pierre. (Ibid. F°253)
Et enfin la lassitude, le doute sur la science, que je ne fais que poser pour les reprendre au chapitre suivant. (Ibid. F°260)
Puis ceux qu’on va baigner : Gustave Vigneron [en interligne : le garder pour après l’homme], avec
son père (les deux dames sont restées dehors), Sabathier, et enfin le frère Isidore (celui-ci on le rhabille, quand Pierre entre). (Ibid. F°s262-263)
Tout cela est pour en arriver à la scène où le cadavre de l’homme est trempé [en interligne : M.V. 157]. (Ibid. F°263)
Foule énorme. Je ne la décris pas, je ne l’analyse pas, car je la garde pour la quatrième partie. (Ibid. F°267)
Relire tout Boissarie, pour baser mon docteur Chassaigne (Médecins). (…) Je l’ai posé pour la raison, il [Pierre] n’a que la soif de la contenter. (Ibid. F°275)
Et je réserve son opinion sur la science et la médecine, je ne fais que l’indiquer là d’un mot, pour la reprendre ensuite au bureau des constatations. – (Ibid. F°276)
Les plaies d’origine nerveuse [en interligne : la foi qui guérit. Phénomène de la nutrition.], etc. Mais garder ces choses pour la discussion qui va suivre. – (Ibid. F°282)
Je le [le père Dargelès] pose, et je profite de l’occasion pour poser les pères de la Grotte. (Ibid. F°289)
Pour que Bonamy fasse du zèle, il faut qu’il y ait là quelqu’un à convaincre, un médecin, un personnage, qu’il sait incrédule (…) \\. (Ibid. F°s290-291)
Mais ne faire qu’indiquer, car je garde la foule bouleversée, entraînée par les miracles, pour la quatrième partie. (Ibid. F°291)
Et les imprécations de Lazare pour terminer. (Ibid. F°293)
Chute de Peyramale et de la Grotte, et départ de Bernadette pour le V de la 3e. (Ibid. F°301)
Peu à peu, Marie s’est intéressée à l’histoire, que j’ai interrompue deux ou trois fois, pour montrer la force de l’illusion. (Ibid. F°302)
Il [Pierre] vient donc dans la salle avec l’abbé Judaine apporter la communion ; et je m’arrange pour qu’il y reste ensuite. (Ibid. F°305)
C’est un enfer que cette salle. La bien poser pour y développer la force de l’illusion, le besoin de mensonge, avec la lecture. (Ibid. F°308)
Il faut aussi que Pierre connaisse la situation de Mme Volmar dans son ménage, pour comprendre, au chapitre suivant. (Ibid. F°308)
Seulement, je reprends les persécutions pendant les apparitions, pour montrer comment les persécutions peuvent fonder une religion – (…) Je crois que je vais jusqu’à Lourdes fondé, en gardant la lutte de Peyramale et de la Grotte et le départ de Bernadette pour le chapitre V de la troisième partie. (Ibid. F°309)
Il [Pierre] la connaît, et elle [Mme Volmar] peut entrer, se confesser à lui, dire son malheur. Et il pardonne – Pour cela, il faudrait que M. de Guersaint soit sorti. (Ibid. F°319)
Enfin, il faut que je fasse manger Pierre et M. de Guersaint de bonne heure pour les mener ensuite à la popote. (Ibid. F°325)
Voir s’il ne faut pas garder ces scènes pour la fin et au contraire lui donner là une inquiétude, de façon à ce qu’il [Vigneron] n’ait ce matin-là que des inquiétudes. (Ibid. F°326)
M. Vigneron obtient nécessairement là sa première grâce, son espoir d’être nommé chef, car je veux garder tout l’effet de la mort de Mme Chaise pour l’autre scène. (Ibid. F°327)
Indiquer le revirement qui se fera au V chez Cazaban. Garder pour ce V, ce qu’il faudra. (Ibid. F°336)
J’ai donc M. de Guersaint pour le promener comme je voudrais, même l’inviter à la popote. (Ibid. F°339)
Et profiter de cette promenade, vers une heure, pour montrer la kermesse, les guinguettes parfois, la mangeaille en plein vent. (Ibid. F°342)
Ce sera très bien, cette promenade à cinq (…). Quelque chose de mondain, de très joli, pour faire opposition à l’hôpital, etc. – (Ibid. F°343)
Le chant arrive, très faible, très lointain. Première petite description, avec de la conversation, pour couper – (Ibid. F°353)
On donnera la communion le matin : à la Grotte, pour finir le chapitre IV. (Ibid. F°358)
Mais je veux avoir des épisodes, pour corser un peu le chapitre, et particulièrement l’épisode de Mme Vincent et de la petite Rose à l’abri. (Ibid. F°360)
Enfin la fin de foire de ce beau dimanche, la gaieté, la mangeaille encore éparse dans le noir (ne pas insister, pour le sentiment de grand calme éprouvé par Pierre ; mais il pourra ne l’éprouver qu’à la fin). (Ibid. F°363)
Puis pour finir, il [Pierre] tombe sur madame Vincent : Rose s’est réveillée et se plaint. (Ibid. F°369)
Ne pas le [Pierre] faire rejeter la foi encore, car je garde cela pour après le miracle (…). (Ibid. F°377)
Je voudrais le [Pierre] garder jusqu’au soleil levant, pour l’avoir là, et pour que le médecin converti ou un autre me donne le cinquième chapitre, en continuant l’histoire de Bernadette. (Ibid. F°379)
Rappeler la figure de Guillaume Froment, pour qu’il ne soit pas complètement oublié. (Ibid. F°380)
Tout le panorama de Lourdes se déroulant ; mais garder cela pour le retour. (Ibid. F°383)
Ce serait pour cela qu’il [Chassaigne] lui répondrait si complaisamment, malgré sa tristesse. (Ibid. F°384)
Surtout un morceau pour bien montrer qu’elle [Bernadette] ne pouvait pas devenir une sainte militante, une conductrice de peuples (…). (Ibid. F°386)
Aussi fureur de la ville qui se voit dépossédée, colère du conseil municipal, et le chagrin de Peyramale (…) [en interligne : je garde les détails qui serviront pour la V e partie]. – (Ibid. F°389)
Le chapitre de fin consacré à Bernadette. Je crois que, pour varier, il faut en faire un récit du docteur Chassaigne à [Bernade biffé] Pierre. (Ibid. F°391)
Pour finir Chassaigne (…) donne rendez-vous pour le soir, après
la procession de quatre heures. (Ibid. F°s395-396)
Et ne réserver de l’histoire de Bernadette [qu biffé], pour la fin, V e chapitre de la 5 e partie, que le séjour de Bernadette au couvent de Nevers et que sa mort (…) \\. (Ibid. F°s396-397)
Pour la lutte du curé Peyramale, et pour le départ de Bernadette, qui amènent le chapitre V de la quatrième partie, voir les notes, le dossier de ce chapitre V. (Ibid. F°397)
Lire le plan, pour le préparer. (Ibid. F°397)
Ce qui ne pourra entrer dans ce chapitre, devra être conservé pour le chapitre V de la quatrième partie. (Ibid. F°398)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (Ibid. F°398)
Voir comment je la [Mme Vêtu] ferai mourir, résignée ou non. (…) A voir, pour le plus d’intensité et de vérité ! (Ibid. F°410)
Je crois que cela suffira pour emplir le chapitre, en reprenant la salle par un clair soleil. – (Ibid. F°412)
Je garde M. Sabathier et le frère Isidore pour l’autre chapitre. Car je n’ai pas eu de nouveau la salle des ménages en bas. Et je voudrais l’avoir, ne fut-ce qu’un instant, pour retrouver tout l’hôpital. (Ibid. F°413)
Et tous les pèlerins reprenant en chœur, en un bourdonnement confus. – Je pars de là pour l’excitation. (Ibid. F°416)
Le prêtre cède à l’inspiration, dit ce qui lui passe par la tête. Pour plus loin. (Ibid. F°417)
Un mot [en interligne : garder cela pour la fin] : « Regarde donc, quelle foi ! La Sainte Vierge va le guérir, celui-là, car il prie trop bien et il a l’air trop content. » (Ibid. F°421)
Et c’est à partir d’ici que je fais partir cette fièvre pour
mes personnages et surtout pour la foule. (Ibid. F°s423-424)
Pour remplir le chapitre, j’ai surtout deux épisodes : [celui biffé] ceux de M. Sabathier et du frère Isidore. (Ibid. F°424)
Ce sont les deux bons épisodes, mais ils ne suffisent pas pour emplir le cha- \\pitre. (Ibid. F°s425-426)
En somme, tout ce chapitre peut-être pour mes malades secondaires devant la Grotte, car je puis ne pas les avoir montrés encore là. (Ibid. F°426)
Et enfin, si j’ai besoin de Pierre, m’en servir uniquement pour le bureau des constatations. (Ibid. F°428)
Si je reviens à la salle des constatations, c’est pour faire triompher Bonamy avec Elise Rouquet. (Ibid. F°429)
Garder le père Massias pour lui faire hurler des litanies (voir son personn.) (Ibid. F°430)
Pourtant, garder, je crois son portrait, pour le moment où elle [Marie] est arrivée devant la Grotte. (Ibid. F°432)
Elle [Marie] se soulève (prendre des détails chez Lasserre, Mlle de Fontenay [) biffé], pour la marche du miracle). (Ibid. F°438)
L’écroulement chez Pierre, mais pour plus loin. (Ibid. F°439)
Mais garder cela pour l’autre chapitre : autrement, je ne saurais plus que faire de Pierre. (Ibid. F°440)
Relire pour le miracle toute la consultation des 3 docteurs, à la fin du II de la première journée. (Ibid. F°441)
Le dernier effort qu’il [Pierre] va faire vers la foi ; et, pour corser le chapitre, il faut que je donne tout entier l’écroulement en lui, lorsque Marie poussera son cri : « Je suis guérie ». (Ibid. F°443)
Et là des femmes la [Marie] baignent, je puis décrire cela pour corser le chapitre, s’il en est besoin. (Ibid. F°445)
Mais je réserve l’effet pour ensuite. (Ibid. F°446)
Si elle [Marie] est sauvée, lui [Pierre] est perdu : garder cela pour le mot final. (Ibid. F°455)
Et rappel pour finir de toute la cérémonie. (Ibid. F°459)
Bien distri- \\buer les parties pour qu’on ait l’intense sensation de cette montée dans la foi. – (Ibid. F°s461-462)
J’aimerai, il le faut même, avoir Pierre seul, séparé de Marie, pour le faire se rendre tout de suite au rendez-vous que le docteur Chassaigne lui a donné, pour se rendre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. Pour corser un peu le chapitre, il faut voir si je ne pourrais pas y introduire quelques uns de mes personnages. (Ibid. F°465)
Contre la prière, là ou à l’autre chapitre. Voir la note, à la fin du chap. IV de la 5e partie. Pour Pierre. (Ibid. F°469)
Mais surtout l’opposition intense avec la Grotte. Tout le chapitre est pour cela – (Ibid. F°472)
Pour que Pierre soit mêlé, le mieux est de faire qu’on l’appelle, quand on trouve Mme Chaise agonisante ou morte, pour [l’ex biffé] la confession, etc. – (Ibid. F°486)
Enfin, j’ai pour finir le chapitre, le déjeuner très gai qu’ils [Pierre, Marie et M. de Guersaint] peuvent faire à trois. (Ibid. F°488)
Revoir absolument le chap. I de la 3e journée, pour finir madame Volmar. (Ibid. F°490)
Mais Pierre devant le Panorama évoque l’ancien Lourdes. (…) Cela pour l’opposer au nouveau Lourdes que je vais décrire à l’instant. (…) Mais surtout, je le répète, tout l’ancien Lourdes pour que je puisse l’opposer au nouveau que je vais décrire. (Ibid. F°496)
Et je termine avec Pierre qui résume le chapitre en ramassant tout le nouveau Lourdes, (…) pour l’opposer à l’ancien Lourdes. (Ibid. F°502)
Je crois que je devrais conserver la boutique et Appoline pour la fin du chapitre (…). (Ibid. F°504)
Comme épisode particulier, il faut que je fasse [aller biffé] retourner M. de Guersaint chez le coiffeur Cazaban, soit qu’il ait oublié quelque chose dans la voiture, soit pour toute autre cause. (Ibid. F°506)
Je puis aussi utiliser le diorama et le panorama, pour faire une comparaison entre l’ancien Lourdes et le nouveau Lourdes. (Ibid. F°507)
Pour finir par Appoline et le nouveau Lourdes, j’ai envie de rejeter à l’autre chapitre, celui du départ, les adieux à la Grotte et l’épisode du Commandeur. (Ibid. F°507)
Le bureau des constatations pour Marie. Guérie d’une paralysie quel miracle, ou garder ça pour le départ. (Ibid. F°509)
D’autre part il est bien entendu que j’ai, pour l’Hospitalité, le baron Suire, Berthaud
et Gérard – (Ibid. F°s511-512)
Mais elle [Mme de Jonquière] heureuse, à cause de Raymonde, et de Marie (garder ça pour le IV). (Ibid. F°513)
Elles [la Grivotte, Elise Rouquet et Sophie Couteau] viennent de la Grotte, et je ne fais que les indiquer d’un train [sic], car je les garde pour le chapitre suivant. (Ibid. F°517)
Le père Dargelès peut-être entrevu, pour mieux faire sentir l’absence des autres. – (Ibid. F°527)
Enfin, les dames hospitalières. (…) Les finir, les mettre là pour le voyage. (Ibid. F°528)
J’ai M. Sabathier, toujours le même ; et je le garde pour le voyage, disant qu’il ne désespère pas. (…) Elise Rouquet, dont le lupus va mieux,
la Grivotte toujours exaltée. Je garde sa rechute pour le voyage. – (Ibid. F°s529-530)
Pour le rembarquement, je reprendrai mon wagon tel qu’il est venu. (Ibid. F°532)
Ne pas nommer l’homme je crois. Ce sera pour plus loin, en un coup. – (Ibid. F°533)
Et là j’ai un retour dans le wagon pour commencer à poser que le retour n’est pas comme l’aller (…). (Ibid. F°535)
Et le sommeil, on n’a pas dormi ; mais pour plus loin – (…) Garder peut-être cela pour servir de transition, tout à l’heure avec M. Sabathier. Alors ne mettre là qu’un mot de la Grivotte, pour préparer sa rechute prochaine (…). Elise Rouquet aussi, qui a acheté un miroir et qui ne cesse de s’y regarder (la garder pour tout à l’heure après la Grivotte). (Ibid. F°536)
Garder pour la fin ce cri : Oh ! l’année prochaine, je serai sûrement guéri. – (Ibid. F°538)
Il faudrait en arriver à une somnolence générale, pour laisser Marie et Pierre seuls. (Ibid. F°541)
Pour le contraire, il faudrait qu’il [Pierre] la [Marie] détrompât, qu’il lui expliquât scientifiquement le miracle. (Ibid. F°542)
Mêler Blanche aux projets d’avenir de Marie, pour que la figure ne disparaisse pas (personn. de Marie.) (Ibid. F°561)
Pour Pierre réflexion qu’il peut faire là-dessus. (Ibid. F°567)
Je garde le troisième mystère pour la fin ; indiquer là les deux premiers, qu’on répète. (Ibid. F°569)
Tout ce monde se ruant (…) : le malheur d’avoir été élue [en interligne : rayée du nombre des femmes et dès lors malheureuse] ; mais garder la réflexion pour la fin – (Ibid. F°571)
Ses beaux yeux de visionnaire, garder cela pour le portrait. (Ibid. F°573)
Il [Pierre] a dit quelque part qu’il suffisait [d’aimer biffé] de pleurer et d’aimer. Non, il faut agir (pour tout à l’heure). (…) Il faudrait avoir le courage d’opérer l’humanité brutalement. Mais est-ce possible (pour tout à l’heure) – (Ibid. F°582)
Je crois que, pour le balancement des lignes, je dois faire reprendre le petit livre de Marie. (Ibid. F°594)
Et [finir biffé] voir pour les autres personnages. (Ibid. F°595)
Et reprendre la salle des constatations pour la finir. (Ibid. F°604)
Est avec Pierre pour trouver l’abominable des objets de piété de Lourdes. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 29 – Notes sur M. de Guersaint)
Et elle mourra au retour dans le train, ou plutôt sera ramenée mourante à Paris, pour que je n’aie pas trop de morts. (Ibid. Fo 40 – Notes sur la Grivotte)
Me servir d’elle, pour mon idée de la salle des plaies apparentes. (Ibid. Fo 48 – Notes sur Elise Rouquet)
Il mourra au IV, après les miracles pour finir le chapitre, ou plutôt au V. (Ibid. Fo 51 – Notes sur l’Homme)
Pour excuser sa faute, faire que son mari, un [nego biffé] négociant en diamant, à Paris, la batte presque, ait des maîtresses, d’une laideur repoussante et d’une attitude de goujat. (Ibid. Fo 75 – Notes sur Madame Volmar)
Je l’ai donc pour finir le chapitre I de la deuxième partie, lors du débarquement (…). (Ibid. Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Puis il s’approche de Marie, et sa minute d’attendrissement. Cela est pour mettre un lien entre lui et les Guersaint (…). (Ibid. Fo 113 – Notes sur le Commandeur)

Travail (1901)

Pour le travail, tout le développement de la cité future. Pour la vérité, toute la conquête d’un siècle avec le recul de l’erreur, la science de plus en plus triomphante (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 348/1)
Difficulté pour faire, avec cela, un livre vivant et humain (Ibid., f° 349/2)
Pour avoir un drame, le mieux est de partir des misères et des hontes de la société actuelle (Ibid., f° 351/4) \\Il me faut un capitaliste, fournissant des fonds à l’usine, pour représenter le capital, le fonctionnement du capital actuel (Ibid., f° 352/5)
Toute une première partie pour poser le bourg tel qu’il est (Ibid., f° 353/6) \\Mais pour la seconde partie, l’action qui modifiera Luc ne suffira peut-être pas (Ibid., f° 356/9)
Luc essaie naturellement de prendre l’ouvrier avec lui, pour le sauver de l’ivrognerie, de la paresse, et sauver ainsi la femme avec lui (Ibid., f° 360/13-361/14)
Ce que je veux, c’est qu’à la fin, dans le triomphe l’ouvrier reparaît (il est le symbole de l’ouvrier du salariat, ni bon ni mauvais, gâté par le salariat, c’est pour cela qu’il ne peut pas s’entendre dans le phalanstère trop gâté déjà pour s’améliorer) (Ibid., f° 361/14-362/15)
C’est par la femme et pour la femme que Luc crée la cité (Ibid., f° 362/15)
Non, il vaudrait peut-être mieux, pour le symbole, que ce fût un petit frère de la femme de l’ouvrier qui fut de l’idylle avec la fille de l’usinier (Ibid., f° 369/22) \\sa lutte pour réorganiser une société (Ibid., f° 375/28)
Cela traversé par son amour pour l’ouvrière et par son amitié avec la fille du savant (Ibid., f° 375/28) \\Pour cela, il me faudra des enfants, ceux de Luc, d’autres aussi (Ibid., f° 376/29)
Je suis pour pas de religion (Ibid., f° 376/29)
Voilà le grand type, qui doit venir en avant, au premier plan, pour bien montrer la bête monstrueuse du salariat (Ibid., f° 376/29-377/30)
Sorti, renvoyé de l’usine, pour un motif injuste à trouver (Ibid., f° 378/31)
En outre, pour montrer des flacons, des nécessaires de voyage, je puis avoir des orfèvres (Ibid., f° 386/39)
D’abord, pour le phalanstère que Luc fait bâtir ; puis, pour toute la ville qui se crée et de fonde (Ibid., f° 387/40)
Ce sera là le cabaret, dont j’ai besoin pour le livre premier (Ibid., f° 388/41)
Et cela sera complet, pour la question du commerce, des intermédiaires (Ibid., f° 388/41) \\C’est pour montrer l’anarchiste, mon Souvarine désarmé (Ibid., 391/44)
et le premier chapitre pour la peinture du bourg, avec toutes les déchéances du travail (F° 392/45)
)
§§pour poser les deux ménages du capitaliste et de l’usinier, avec leurs drames respectifs, leur histoire (F° 392/45)
C’est ici que l’usinière doit travailler pour que l’ouvrier sonne un coup de couteau à Luc (MS NAF 10334 Travail, Ebauche, f° 395/48)
Des bruyères aussi, des terrains de chasse, pour défricher plus tard (Ibid., f° 400/53)
Pour les âges.C’est important.Luc peut n’avoir que 25 ans à la première partie (Ibid., F°404)
Tout cela pour leurs amours (…) En somme les âges iront . Mais il faut que je règle surtout un tableau des enfants pour avoir deux ou trois générations (Ibid., F°405)
Tout cela sera très bon pour la peinture affreuse de mon bourg (Ibid., F°410)
les deux pour peindre la déchéance du travail sous toutes ses formes. Le troisième chapitre (…) est plus difficile (Ibid., F°411)
Pour le sous-prefet Chatelard, j’en fais le représentant de l’autorité centrale (Ibid., F°414)
Pour les paysans, je ne vois guère que le fermier Fouillat (Ibid., F°415)
Pour les paysans (…) j’en fais deux petits propriétaires ( …) Toujours les enfants pour le futur (Ibid., F°416)
Ce qui me gêne pour distribuer cela, c’est que je ne sais comment attribuer les fonctions aux ouvriers, mes personnages, pour que quittant l’atelier Delaveau ils puissent être utilisés chez Luc (Ibid., F°417)
Je ferai vivre le père assez tard pour qu’il assiste à l’évolution (…) Pour les deux enfants, je les fais déjà touché par l’évolution (Ibid., F°425)
Pour la grève, il faudra la régler (Ibid., F°427)
Chez les Caffiaux pour l’exploitation, le cabaret, l’alcool, l’empoisonnement (Ibid., F°432)
Donc préparer Suzanne et Paul pour cela (Ibid., F°437)

POURQUOI (C’EST) / (-PAS)

Voir aussi : donc ; expliquer Cette interrogation peut être prise à compte d’auteur (Zola se pose alors une question à lui-même concernant la conduite de sa fiction, et notamment la nécessité de donner une explication), ou alors être prise en charge par la parole ou la pensée d’un personnage, ouvrant et esquissant ainsi un passage en style direct ou indirect-libre, accompagné ou non de guillemets et de signe de ponctuation ( ?).

Nana (1880)

Elle en a assez, elle ne veut plus, même avec l’amant de cœur et c’est pourquoi, elle peut filer avec Labordette. (NAF Ms. 10313, Nana. F°22- Plan)
Pourquoi ne demanderait-elle [Nana] pas un rôle dedans. (Ibid. F°83).

Nana, c’est la perdition, c’est le diable ; pourquoi n’attirera-t-elle pas un catholique, tout frémissant de la crainte de Dieu ? (NAF Ms. 10313, Nana. F°226- Ebauche).

Les billets de banque dans la corbeille, envoyés par un Russe, elle renvoie tout, on ne sait pas pourquoi, et regrette les fruits. (NAF Ms. 10313, Nana. F°250/2- notes).

La Terre (1887)

Mais il trouve que son gendre manque d’énergie et n’est pas sans inquiétude […] ; et c’est pourquoi sa femme va là-bas, aux moments de presse (MS NAF 10329 La Terre f° 59 – Personnages, Monsieur Charles)

Le Rêve (1888)

Elle épouse le prince charmant (…) C’est pourquoi tout doit chanter (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 279/62)
(…) / Félicien/ riche à dix millions (…) Pendant que j’y suis, pourquoi ne pas me payer une fortune colossale (Ibid., f° 299/82)
Bien dire pourquoi il ne veut pas être soldat (Ibid. f° 300/83)

Pourquoi les Hubert la ramassent (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, premier Plan détaillé du Chapitre I, f° 11,)
Mais très naïf chez Angélique son rêve d’une jeune fille, pourquoi elle rêve le monde (Ibid., 2ème Plan détaillé du chapitre III, f° 42)
Et sur le duc, son histoire, pourquoi il s’est enfermé là, ce qu’il fait (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 68)
Pourquoi la suit-il ? Pourquoi donne-t-il tant qu’elle n’ose plus donner et arrive partout trop tard (Ibid., deuxième plan du chapitre V, f° 76)
Pourquoi Angélique le peut-elle (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 90)
Pourquoi donc a-t-elle lutté, pourquoi l’aimer sans jamais le dire ? (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 93)
Expliquer pourquoi tout ça (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
(Expliquer pourquoi et comment l’on sort le Saint-Sacrement) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Hubert restera à garder la maison, (pourquoi ?) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 107)
Très riche et n’ayant que le goût de l’art. Pourquoi pas militaire, savant, diplomate. Haine de l’intrigue (Ibid., plan du chapitre IX, f° 118)
Félicien (…) éloigné de son père, pourquoi rappeler (ce détail ne sera sans doute donné que par Hubertine) (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 125)
Pourquoi Félicien n’a-t-il pas donné signe de vie (Ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre X, f°128)
Les Hubert voulaient refuser (?) Pourquoi donc (Ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 143)
Mon Dieu, pourquoi m’avez-vous abandonnée ? (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 146)
Pourquoi ce malentendu, pourquoi ne vient-il
pas ? A trouver (Ibid., premier plan du chapitre XI, f°s 154-155)
C’est là aussi qu’il doit expliquer pourquoi elle l’a vu avec Claire (…) pourquoi il a laissé les choses aller jusque là (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 159)
Elle était résignée. Pourquoi est-il venu ? (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 163)
Elle épouse
le prince charmant, la beauté, la fortune, au delà de tout espoir . C’est pourquoi tout doit chanter (Ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f°s 185-186)
C’est pourquoi tout doit chanter (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 189)

Lourdes (1894)

Il y a d’autres raisons qui la font échouer : étudier cela, pourquoi le catholicisme, le christianisme ne peuvent assez se renouveler pour être la religion du nouveau peuple – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°13)
Je ne puis guère prêter à mon socialiste que ces idées-là, et ce sera donc un évolutionniste. Mais alors
pourquoi assassin. (Ibid. F°s21-22)
Toute la société reposait sur l’espoir en une vie future : à quoi bon se plaindre de l’injustice, pourquoi ne pas tout accepter, (…) puisque le ciel était au bout. (Ibid. F°26)
L’évêque Laurence qui ne croit pas, mais qui finit par céder : Mon Dieu ! pourquoi résister au triomphe de la religion. Et puis pourquoi refuser l’illusion aux hommes. (Ibid. F°38)
Si mon médecin finit par croire, c’est qu’il a vu que la science ne guérit pas, et qu’une douleur personnelle l’a jeté dans le besoin du mensonge et du surnaturel. C’est pourquoi les Pères, ces marchands de surnaturel, réussissent. (Ibid. F°39)
Il y a encore les dames hospitalières de l’hôpital qui ont dû la panser, voir la plaie, puis voir la chair refaite. Où sont-elles, qui sont-elles ? pourquoi n’avons-nous pas leur témoignage ? (Ibid. F°47)
Est-ce que la foi ne devrait pas suffire pour croire aux miracles ? alors pourquoi un médecin constatant ? (Ibid. F°48)
Mais maintenant dix-huit siècles ont épuisé cet espoir. Et c’est pourquoi le peuple, après
cette longue expérience, cette longue attente du bonheur, se détourne des églises et demande autre chose. (Ibid. F°s51-52)
C’est pourquoi, en faisant le plan de Lourdes, il faudra que je décide si je ferai ensuite Rome, pour préparer ce dernier. (Ibid. F°61)
Dire pourquoi, régler le bilan du siècle au point de vue de la foi et de l’idée religieuse. (Ibid. F°62)
Puisqu’ils sont heureux d’être trompés,
mon Dieu ! pourquoi leur refuser ce bonheur. (Ibid. F°s64-65)
Puis, pourquoi il accepte,
par tendresse pour la malade, et aussi avec la volonté de continuer ses études sur les lieux. (Ibid. F°s97-98)
Mme de Jonquière, très dévouée, un peu molle : pourquoi sa fille est restée avec Mme Volmar et Mme Désagneaux dans un wagon de première (…) \\. (Ibid. F°s123-124)
Pourquoi Pierre s’est fait brancardier auxiliaire. (Ibid. F°126)
Lui [M. Sabathier] s’est fait hospitaliser, quoique à son aise. Pourquoi ? par humilité, pour toucher la Vierge. (Ibid. F°127)
Il [l’homme] ne s’est pas fait hospitaliser, et c’est pourquoi on ne sait pas son nom. (Ibid. F°139)
Reprise de l’idylle, mais douloureuse, avec Marie [en interligne : déjà ruinée], immobilisée déjà : elle ne sera jamais femme, pourquoi serait-il homme ? – (Ibid. F°157)
Puis, pourquoi il [Pierre] cède, par tendresse pour Marie et par un vague espoir d’être converti lui-même (…). (Ibid. F°158)
Son voyage là-bas, devant lequel il [Pierre] recule, est déterminé un peu par l’envie de savoir. Pourquoi il hésitait d’abord : peur de gâter en
lui Bernadette. (Ibid. F°s160-161)
Puis le Magnificat terminé, il [Pierre] l’interroge. Pourquoi elle [Sophie Couteau] était en retard. Une étourderie d’enfant qui doit la peindre. (Ibid. F°183)
Et alors avec Pierre, la reprise de l’analyse. La fureur expliquée des pèlerinages, l’explication de l’illusion, pourquoi Lourdes, pourquoi tous ces trains qui roulent. (Ibid. F°187)
(…) le besoin immense de consolation, d’espoir, d’illusion, de mensonge, renaissant toujours [en interligne : quand même] avec la douleur et la mort. C’est pourquoi les religions, fondées là-dessus, sont éternelles. – (Ibid. F°189)
Mais une hallucinée [Bernadette], et
il [Pierre] voudrait savoir comment et dans quelles conditions. Et c’est un peu pourquoi il s’est décidé à aller à Lourdes. (Ibid. F°s203-204)
C’est Pierre qui la monte (avec qui ?) Pourquoi elle [Marie] arrive la première. (Ibid. F°245)
Il [M. de Guersaint] a déjeuné en courant, s’est oublié à quelque chose ; et expliquer pourquoi il n’a revu ni sa fille (qu’il aura pu manquer à l’hôpital), ni Pierre, qu’il n’aura pas su trouver. (Ibid. F°271)
On dit [sur biffé] celui-ci phtisique : oui, mais pourquoi, comment. (Ibid. F°272)
Pourquoi un catholique ne croirait-il pas aux miracles ? (Ibid. F°274)
Ces vieilles plaies ne craignent rien ; et quant à la peau saine elle ne peut rien prendre. C’est pourquoi sans doute il n’y a pas de contagion. (Ibid. F°278)
Les autres médecins, les contradictions. Ceux qui doutent se taisent. Bonne compagnie. Pourquoi les grands médecins ne se hasardent pas. – (Ibid. F°282)
L’eau qu’on ne change pas, et qu’on changera davantage. Pourquoi il n’y a pas de contagion. (…) Ces vieilles plaies ne craignent rien ; et quant à la peau saine, elle ne peut rien prendre. C’est pourquoi il n’y a pas de contagion. – (Ibid. F°283)
On dit celui-ci phtisique : oui mais pourquoi, comment ? (Ibid. F°284)
Il [Pierre] est inquiet, il a vu Marie très sombre, et c’est pourquoi il revient, laissant M. de Guersaint dormir à l’hôtel des Apparitions. (Ibid. F°305)
Poser tout ce qu’il sera nécessaire de l’Hospitalité. [en interligne : Pourquoi Gérard a déjeuné déjà.] (Ibid. F°330)
Il faut dire que celui-ci [Gérard] a justement déjeuné plus tôt, trouver pourquoi. (Ibid. F°341)
Pourquoi n’a-t-il [Pierre] pas prié [en interligne : l’idée de sa messe] tout à l’heure ? – (…) Il veut attendre encore plus de silence et plus d’oubli. Pourquoi ? Analyse. (Ibid. F°368)
Faire que cette mort d’une innocente l’ébranle [Pierre] encore : le choix, pourquoi celle-ci et pas celle-là ? (Ibid. F°374)
Montrer la force des choses (…), et pourquoi le départ de Bernadette s’est produit logiquement, ainsi qu’une chose nécessaire (…). – (Ibid. F°386)
Le matin, l’abbé Judaine a administré Mme Vêtu, et il ne reste donc que le recours au médecin. C’est pourquoi Mme Désagneaux et sœur Hyacinthe prennent Mme de Jonquière, en lui demandant de faire venir le médecin. (Ibid. F°402)
Elise a continué à se lotionner, et elle sort du bureau des constatations : on lui a dit vous êtes guérie. Guérie, non, mais le mal soulagé. Et comment, et pourquoi. (Ibid. F°405)
Puis dire pourquoi Raymonde est montée. (Ibid. F°406)
Pourquoi celui-ci sauvé et pourquoi pas celui-là. Conversation avec Lasserre (éb. 66). (Ibid. F°448)
Puis pourquoi chercher à faire long : un chapitre de 28 à 30 pages serait bien suffisant, s’il est d’une belle envolée. (Ibid. F°467)
Des miracles commençaient à se produire. C’est pourquoi Mgr Jourdan interdit là tout culte religieux, [pr biffé] procession, pèlerinage. (Ibid. F°476)
Pierre est allé voir pourquoi Marie n’arrive pas. (Ibid. F°516)
Et enfin Marie et son père arrivant avec les autres de la Grotte : pourquoi leur retard. (Ibid. F°517)
Là dire les places, rétablir tout le wagon tel qu’il est – Dire pourquoi Marthe n’y est pas. (Ibid. F°533)
Les caprices de la Sainte Vierge. Pourquoi celui-ci, pourquoi celui-là. (Ibid. F°537)
[en interligne : Devant le mort, vous n’avez pas fait le signe de la croix. Vous n’avez pas prié, Pierre, c’est que la foi n’est pas revenue. C’est pourquoi elle [Marie] était triste.] (Ibid. F°547)
Pourquoi veut-on de [la vérité biffé] l’égalité et de la justice ? Grave problème. (Ibid. F°556)
Et il [M. Sabathier] cherche pourquoi elle [la Vierge] ne le guérit pas ; il trouve des péchés : c’est lui qui est dans son tort. (…) Pierre songe à cette singulière distribution des grâces. Pourquoi celui-ci et pas celui-là. Pourquoi pas les plus malades, les plus méritants. (Ibid. F°558)
Pour Pierre réflexion qu’il peut faire là-dessus. Haïr Marie, et pourquoi grand Dieu. (Ibid. F°567)
N’est-ce pas la condamnation de la claustration. Pourquoi le Seigneur la [Bernadette] veut-il immobile. (Ibid. F°573)
Elle [Bernadette], l’eau ne la guérissait pas. Pourquoi la guérison des autres et pas la
sienne. (Ibid. F°s575-576)
« Je souffre, mais je suis contente de souffrir. – [»] Pourquoi, mon Dieu ! quel blasphème et quelle cruauté inutile ! Cela est révoltant ! Pourquoi ne pas souhaiter la santé et le bonheur ? (Ibid. F°577)
Le démon dans cette vie innocente, pourquoi ? Elle [Bernadette] n’avait
pas péché. (Ibid. F°s578-579)
Pourquoi vouloir pousser Dieu à transgresser [Dieu biffé] les lois de la nature qu’il a établies, dans sa sagesse infinie. (Ibid. F°583)
Pourquoi veut-on de l’égalité et
de la justice ? Il [Pierre] se trouble et il hésite. – (Ibid. F°s585-586)
Pourquoi M. de Guersaint n’est-il pas là. (Ibid. F°602)

Jeter la soutane ? mais il a vu des prêtres défroqués, et son dégoût. Il connaît un prêtre marié, son dégoût. Pourquoi ? (…)
Pourquoi ne serait-il pas prêtre ? (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 10-11 – Notes sur Pierre Froment)
C’est parce qu’il ne croit pas qu’il reste ainsi dans l’ombre, résolu à vivre ainsi en prêtre obscur et honnête. (Pourquoi, d’autre part, être un homme, puisque Marie n’est pas femme). (Ibid. Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Comprenant bien pourquoi ses parents veulent qu’il soit gentil avec sa tante. (Ibid. Fo 57 – Notes sur Gustave Vigneron)
Homme de bon sens et pourquoi il fait le mariage, les bonnes raisons de Gérard (voir à ce Personnage). (Ibid. Fo 80 – Notes sur Berthaud)
D’autre part, beaucoup d’autres tournant autour d’elle, la boutique très achalandée (c’est pourquoi Majesté ferme les yeux). (Ibid. Fo 104 – Notes sur Appoline)
Et puis pourquoi dix-huit l’apparition [sic], et jamais plus ensuite. – L’inconnu, l’inexpliqué. (Ibid. Fo 133 – Notes sur le Dr Dozous)
L’idée de Dieu est l’idée de l’infini (parole de pasteur). Boissarie dit que cette parole est la réfutation du matérialisme. Pourquoi ? (Ibid. Fo 145 – Notes sur Boissarie)
Les traces qui restent. Pourquoi, en effet. Pour le témoignage, dit Boissarie. (Ibid. Fo 149 – Notes sur les Miracles)
L’imagination ne peut reconstituer les organes – Pourquoi pas ? Ibid. Fo 161 – Notes sur les Miracles)
Et plus tard suivre Bernadette : on l’a fait disparaître, pourquoi ? (Ibid. Fo 211 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Le pouvoir civil aussi cède. Pourquoi fermer cette illusion, ce soulagement, ce ciel où la souffrance est soulagée. (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette épuisée, fatiguée, tombe malade. Mgr l’envoie à Cauterets. Pourquoi la V. ne la guérit-elle pas ? (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
La source (…) d’abord bourbeuse, pourquoi pas tout de suite limpide ? (Ibid. Fo 241 – Notes sur H. Lasserre)
L’abbé Peyramale au fond promet d’aller voir l’évêque. (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Le pouvoir civil aussi cède. Pourquoi fermer cette illusion, ce soulagement, ce ciel où la souffrance est soulagée. (Ibid. Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette, épuisée par son asthme, fatiguée par les visiteurs, tombe malade. (…) Pourquoi la Vierge ne la guérit-elle pas. (Ibid. Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
Pourquoi ne croirait-il pas aux miracles, puisque toute la religion est basée sur le miracle. (Ibid. Fo 257 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette], l’eau ne la guérissait pas. Quelle singulière philosophie. Pourquoi la guérison des autres, et pas la sienne ? (Ibid. Fo 261 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] gémissait, puis se le reprochait. « Je souffre mais je suis contente de souffrir. » – Pourquoi mon Dieu ! quel blasphème et quelle cruauté inutile. (Ibid. Fo 267 – Notes sur H. Lasserre)

Travail (1901)

Pourquoi y vient-il à vingt-cinq ans, et qu’y fait-il ? (F°408)
Comment il est là, le poser brièvement tout de suite (…) pourquoi il est à Beauclair (F°431)

POURSUIVRE

Lourdes (1894)

Dans les notes succinctes et primitives, rien que les bases d’une enquête qui doit se poursuivre. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 165 – Notes sur les Miracles)

POURTANT

Voir aussi : Cependant ; Mais.

Le Ventre de Paris (1873)

Pourtant, peu à peu, il trouve quelques leçons, qu’il donne à des enfants des Halles. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 97)
Les Halles sont bien grandes et pourtant les marchandises débordent comme autrefois dans les rues voisines (Le rêve de Florent, les Halles grandissant toujours) (Ibid., f° 128)
Pourtant certains coins noirs sont éclairés par des becs de gaz. (Ibid., f°301)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Pas de hauteur pourtant à cette figure. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 8)
On l’enterrera pourtant. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 24)
Sa jalousie pourtant contre les gens du Paradou, contre Albine (il vaut [mieux ?] conserver son caractère.) (Ibid., f° 26)
Vie de renoncement et d’austérités. Je ne fais pourtant pas de Serge un lutteur contre ses passions, excepté dans la 3e partie. (Ibid., f° 36)
Je ferai bien de mettre là la soumission des êtres, des plantes, des choses. Je montre le couple voyant la vie qui fourmille dans le parc, sans pourtant être encore tenté par elle. (Ibid., Le Paradou, f° 46)
Ne pas le faire trop bête. Puceau pourtant (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 234/18 )
La charité (…) N’en pas abuser pourtant (Ibid., f° 290/73)
Un doute pourtant pour laisser de l’intérêt (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre III, f° 44)
réveiller là la passion (…) (dans de l’innocence pourtant) (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Il faut pourtant qu’on sente que rien n’est fini (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 124)
Une émotion pourtant, un frémissement faisant prévoir le dénouement possible (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
Ne pas dire, laisser entendre pourtant qu’il va voir son père (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 163)
Pourtant ne pas dire ces choses, ne les laisser que soupçonner (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 182)

Nana (1880)

Pourtant pendant la scène, le timbre a continué de résonner, quatre fois.
Pourtant, le salon est vide quand Nana reconduit Muffat et Chouard.
Pourtant Nana ouvre le petit salon, et se trouve nez à nez avec Georges. (NAF Ms. 10313, Nana. F°17- Plan)
Pas de grand luxe. Parfum excitant pourtant. (Ibid. F°21)
Pourtant un coin de cocodette introduit par Sabine. (Ibid. F°25)
Pourtant Fauchery sentant dans ce milieu digne un détraquement prochain (…). (Ibid. F°27)
Pourtant celui-ci ne s’engage pas entièrement. (Ibid. F°29)
Pourtant il arrive encore trois personnes. (Ibid. F°38)
Pourtant les acteurs allant s’habiller. (Ibid. F°50)
On croit pourtant l’avoir vue : c’est Nana qui croit ça. (Ibid. F°61)
La première gifle de Fontan. Ça ne déplaît pas à Nana qui hurle pourtant. (Ibid. F°80)
Muffat a pu payer un dédit. Pourtant avant de décider cela, voir si j’ai tiré du théâtre tout ce que je pouvais. (Ibid. F°105)
Pourtant il gardait sa hauteur aristocratique, la fine élégance de sa race appauvrie (…). (Ibid. F°109 verso)
Je ne suis pas d’avis pourtant de remontrer tous les personnages, qui paraissent un peu souvent. (Ibid. F°136-7)
Elle ne peut pourtant se boucher le c. (Ibid. F°144).
[Gaga]
Pourtant a continué à exercer. (NAF Ms. 10313, Nana. F°177- Personnages)
[Philippe Hugon] Bien élevé. Pourtant a un peu la bêtise du régiment. (Ibid. F°181)
[Labordette] Aucun revenu connu et pourtant vie à grandes guides. (Ibid. F°182)
[Muffat] Il a apporté sa virginité à sa femme. Sanguin pourtant. (Ibid. F°187)
[Laure Piédefer] Sa maison n’est pas une maison de passe ; pourtant, elle a un petit salon, où l’on peut se voir. (Ibid. F°194)
[Madame Robert] Elle pose surtout avec eux pour l’honnêteté, porte des voilettes, ne se laisse voir que dans des endroits honnêtes (pourtant, une odeur de mystère.). (Ibid. F°195)
[Satin] (…) fait le boulevard le soir (n’est pas en carte pourtant), etc. (Ibid. F°196)
[Vandeuvres] Pourtant soutenant le trône et l’autel, se battant peut-être sa cause (…). (Ibid. F°202).

Aimant ça pourtant. Bonne fille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche)
La fille du boulevard sera une amie de Nana, du quartier de la Goutte d’or ; pas de charme ; jolie pourtant ; (Ibid. F°220)
Mon drame ne peut pourtant m’être donné que par un homme qui aimera Nana (…). (Ibid. F°225).

La Terre (1887)

Voilà les deux sœurs seules dans la maison. Quelques pièces de terre. Pourtant, Bonhomme revient et se décide à épouser Palmyre. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 406/7 – Ebauche)
(…)Il faudrait disjoindre les deux histoires. Pourtant, voyons, s’il épousait sa nièce. (Ibid., f° 414/15)
(…) Dès lors cela peut marcher : les deux affaires sont distinctes, et se réunissent pourtant en une seule. Cela me donne la division par la famille. (Ibid., f° 419/20)
(…) Pourtant, il faut qu’à la fin Beaugrand soit piller [sic] par ses enfants, le roi Lear. (Ibid., f° 422/23)
(…) L’oncle sera à peine une silhouette. Il meurt tout de suite, d’un coup de sang. Un type à créer pourtant, ayant perdu de ses terres pour des raisons à trouver. (Ibid., f° 440/41)
(…) Je crois donc qu’il ne faut pas incarner la terre dans un personnage. Aucun ne serait assez grand, aucune femme. Mais pourtant, je puis mettre de la terre dans Louise, un peu abêtie, très bien portante, lourde et inconsciente, fertile, grasse en odeur. (Ibid., f° 485/77)
(…) Le paysan qui rase ; – Pourtant un petit village plus grand que Medan. (Ibid., f° 498/90) Il a fait une campagne, il en rapporte une fatigue et un dégoût. Puis, pourtant, c’est à cela qu’il retourne (MS NAF 10329 La Terre f° 8 – Personnages, Jean Macquart)
Orléaniste, rallié à l’Empire. Garde en son cœur l’amour de la monarchie de juillet. Pourtant appuyé une première fois comme candidat officiel (Ibid., F° 111 – Personnages, M. de Chédeville)

Lourdes (1894)

Mon prêtre fait une dernière tentative pour avoir cette foi-là, et il échoue. Il est pourtant respectueux de cette foi qui est un soulagement pour le pauvre monde. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°2)
Le château en face, qui n’existe plus, qu’on a abîmé, et qui a pourtant si grand air. (Ibid. F°45)
Il y va donc monté contre ces mômeries, presque avec colère ; et il faudrait, pour qu’il évoluât qu’il fût touché d’abord, puis qu’à la fin, il sentît pourtant le besoin d’autre chose. (Ibid. F°73)
Si j’en fais un honnête homme, il faut qu’il croie, lorsqu’il prononce ses vœux. Pourtant l’épisode où il revoit la malade, avec ses vœux. (Ibid. F°86)
Jamais, elle ne sera femme, jamais elle n’épousera un prêtre parjure ; et la voilà femme pourtant, [désireuse de biffé] pouvant se marier. (Ibid. F°99)
Pierre sans doute a dit : « En voilà pour jusqu’à demain matin 3h40. » Lourdes au bout pourtant. (Ibid. F°122)
Je donne ces réflexions à Pierre, parce que cela amorce le chapitre suivant. Mais pourtant ne pas le montrer encore incroyant (…) – (Ibid. F°130)
Sa mère veut qu’il [Pierre] soit prêtre, avec l’idée de rachat du père. Il veut lui faire plaisir. Ses doutes en germe pourtant, ses hésitations. (Ibid. F°148)
Pourtant, il [Pierre] avait eu un instant l’idée
d’aller y terminer une enquête. (Ibid. F°152)
Elle [Marie] dit pourtant que si elle [allai biffé] va à Lourdes, elle est certaine d’être guérie. (Ibid. F°153)
(Pourtant, ce n’est pas la souffrance qui va suivre. Sophie Couteau monte, le Magnificat, et l’espoir qui vient. (…)) (Ibid. F°172)
Je crois qu’il y a des cérémonies
religieuses à [Angers biffé] Poitiers. (…) Peut-être pourtant, [faudr biffé] vaudrait-il mieux n’avoir que la gare. (Ibid. F°s175-176)
Il est assez difficile que Marie et Pierre restent au centre. Je pourrai pourtant prendre Pierre comme lien naturel entre les divers épisodes. (Ibid. F°178)
Songer pourtant qu’il [Pierre] va parler de Bernadette, en non croyant. (Ibid. F°191)
Peut-être finir par un Magnificat. Je le préférerais pourtant à la fin de la partie. (Ibid. F°197)
[Bernadette] Ne sait pas encore bien lire, va suivre le catéchisme de l’abbé Pommyan [sic], ne connaît pas le curé Peyramale. A l’église pourtant, et garder, je crois, la description de l’église pour la fin, ainsi que le vieux Lourdes – (Ibid. F°206)
Une peinture de l’ancien Lourdes, au début ou à la fin. Je la préférerai à la fin. Pourtant tout de suite, Lourdes, au [fond biffé] pied des Pyrénées (…)– (Ibid. F°214)
L’abominable fatigue. Pourtant un peu de fraîcheur. (Ibid. F°218)
A la fin, celui-ci [le Commandeur] incrédule, aura pourtant peur d’un miracle possible, par Judaine. (Ibid. F°230)
Pas un croyant décidément ; ce qu’il souhaite, c’est le repos de la mort, et non le paradis. Pourtant à la fin, il [le Commandeur] se méfie du miracle possible. (Ibid. F°239)
Je fais une description assez complète du paysage. Mais pourtant, je ne fais que poser la Grotte, sans grands détails. (Ibid. F°252)
Je reprends le portrait de Chassaigne. Et je le montre vieilli par le chagrin, très blanc, avec des yeux qui luisent pourtant. (Ibid. F°258)
Mais pourtant Chassaigne plaisantant, la rage d’antisepsie, la mode du microbe qu’on met partout la [ra biffé] fureur d’antisepsie. (Ibid. F°283)
Lui [M. de Guersaint] s’est couché à onze heures et a bien dormi ; tandis que Pierre (…) dort encore écrasé de fatigue. Pourtant, il se réveille. (Ibid. F°310)
Elle [Marie] plus gaie. Pourtant elle sent que ce ne sera pas pour ce jour-là. (Ibid. F°313)
Et pourtant finir par une joie : le courrier distribué à toute la salle, la lettre qui apprend à Vigneron que son chef est mort, il va sans doute passer chef de sous-chef. (Ibid. F°316)
L’analyse de Pierre est d’être très écœuré. Pour- \\[tant] aux deux autres chapitres, dans la nuit, il fera un très gros effort pour croire – (Ibid. F°s342-343)
Je ne ferai tourner Cazaban qu’à la cinquième partie. Là, pourtant, il faudrait indiquer le mouvement peut-être. (Ibid. F°346)
Donc,
personne. Pierre aperçoit pourtant Mme Vincent seule, avec Rose sur ses genoux. (Ibid. F°s352-353)
Mais c’est [la grande messe de minuit] fini. Et l’église pourtant reste pleine de monde. (Ibid. F°369)
Et comme Mme Vêtu paraît s’assoupir, il [Ferrand] reste là pourtant, avec sœur Hyacinthe qui la veille (…). (Ibid. F°404)
Pourtant, garder, je crois son portrait, pour le moment où elle [Marie] est arrivée devant la Grotte. (Ibid. F°432)
Aussi les brancardiers font-ils la chaîne plus étroitement, elle se creuse, défile, tient bon pourtant. (Ibid. F°451)
Pourtant, je ne crois pas que Pierre doivent se livrer là : il préfère encore ne rien dire. (Ibid. F°459)
Il [Chassaigne] a connu Peyramale, il a pu le voir mourir, il en parle. Pourtant, les dates ne [s’y biffé] sont pas. Se méfier. (Ibid. F°482)
Pourtant, Berthaud et Gérard, [apr biffé] ainsi que le baron Suire, après avoir laissé leurs hommes dans la cour
peuvent très bien être sur le quai, où ils attendent. (Ibid. F°s510-511)
Ce qu’il [le Commandeur] souhaite, c’est le grand repos de la mort. Pourtant, il se méfie du miracle possible. (Ibid. F°519)
Donc, pas un pessimiste [le Commandeur], et pourtant d’accord avec eux. – (Ibid. F°524)
Pourtant, ici, il [le Commandeur] se méfie du miracle possible. Si l’eau le guérissait pourtant et le faisait vivre ? – (Ibid. F°530)
Pourtant, l’ébranlement, l’entraînement, la fièvre continuent. (Ibid. F°536)
Dire pourtant que les simulateurs sont assez rares. (Ibid. F°538)
Pourtant, ses révoltes d’homme raisonnable et sain. (Ibid. F°555)
Elle [Bernadette] faisait son pèlerinage en pensée. [Que de fois biffé] Elle n’y est pas même allée pour la mort de son père et de sa mère, elle aimait pourtant sa famille (…). (Ibid. F°574)
Répugnance instinctive. Et il [Pierre] se rappelle pourtant ce frère, quand il était petit, venant aux vacances. (Ibid. F°588)
Ils [les Pères de la Grotte] la [Bernadette] surveillent pourtant, la défendent contre la curiosité, pour son bien disent-ils. (Ibid. F°593)
Le train roule pourtant, les stations nommées, et l’arrivée à Paris, au moins aux fortifications. (Ibid. F°595)
Pourtant très capable d’amour, et marquer lorsque la face se détend (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 3 – Notes sur Pierre Froment)
De grands combats pourtant. (Ibid. Fo 4 – Notes sur Pierre Froment)
Mais ce que
sa piété a souffert, à côté de ce mari ni croyant. Pourtant très douce [Mme Froment], n’a jamais osé tenter de le convertir. (Ibid. Fos 5-6 – Notes sur Pierre Froment)
Les mêmes yeux pourtant, largement ouverts et le regard direct. (Ibid. Fo 16 – Notes sur Guillaume Froment)
Et pourtant, il se rappelle ce frère, quand lui était petit, et que ce frère venait aux vacances : comme il était bon, comme il avait l’esprit droit ! – (Ibid. Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)
Jamais elle ne sera sa femme, bien que guérie ; jamais elle n’épousera un prêtre parjure ; et la voilà femme pourtant, pouvant se marier. – (Ibid. Fo 27 – Notes sur Marie de Guersaint)
Pourtant, s’oublie jusqu’à aller à Gavarnie, séduit par les beautés de la nature. (Ibid. Fo 29 – Notes sur M. de Guersaint)
Pourtant, ne pouvoir rien conclure, puisqu’il y a des plaies apparentes de source nerveuse, d’après Charcot. (La foi qui guérit). (Ibid. Fo 48 – Notes sur Elise Rouquet)
Pourtant, elle n’est pas pauvre ; car c’est un brave garçon, qui veille à ses besoins. (Ibid. Fo 61 – Notes sur Madame Maze)
Pas charlatan pourtant, pas menteur sciemment. – (Ibid. Fo 67 – Notes sur le docteur Bonamy)
Toucher le personnage discrètement ; et, pour sa fille, lui donner le désir de la marier, mais ne venant pourtant
pas exprès (…). (Ibid. Fo 72 – Notes sur Madame de Jonquière)
Dévoué à ses malades pourtant, et, je le répète, brave homme. (Ibid. Fo 79 – Notes sur Berthaud)
Pourtant, je le répète très dévoué à ses malades, chef du service des piscines, et baignant lui-même ses malades, très charitable. (Ibid. Fo 80 – Notes sur Berthaud)
Soumis pourtant, et l’air gai et malin, très galant avec les dames, jouant avec la jeune fille. (Ibid. Fo 95 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Au fond, étroit et chicanier. Malin pourtant dans les petites choses. (Ibid. Fo 100 – Notes sur le père Dargelès)
Il faudrait en faire un homme ayant quelque argent et une famille. Mais mystérieux pourtant. (Ibid. Fo 112 – Notes sur le Commandeur)
Elle se lèvera et marchera : exaltation, transport de joie ; mais elle ne marchera pourtant qu’avec le manque d’habitude. – (Ibid. Fo 120 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Un défi jeté à la raison. Mais comme le succès s’explique pourtant. (Ibid. Fo 147 – Notes sur Boissarie)
Les maigres pourtant ne viennent pas subitement gras. (Ibid. Fo 172 – Notes sur les Miracles)
Pas un bain. Un jour pourtant, sur les instances de ses amies, boit un verre. (Ibid. Fo 172 – Notes sur les Miracles)
Les phtisiques dans l’eau froide, étonnement et inquiétude. – Et pourtant des attestations de médecins. (Ibid. Fo 178 – Notes sur Dozous 7-12)
J’ai vu pourtant pour le train vert une véritable bousculade. (Ibid. Fo 188 – Notes sur le Départ de Paris)
Mgr convaincu. Pourtant il laissa s’écouler trois années, sanction du temps, avant de prononcer son verdict épiscopal. – (Ibid. Fo 226 – Notes sur H. Lasserre)
Son front s’illuminait, rayonnant. Pourtant, elle [Bernadette] palissait légèrement. (Ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
L’indigence de la chambre des Soubirous. Pourtant une chapelle. (Ibid. Fo 240 – Notes sur H. Lasserre)
L’évêque alors est convaincu. Pourtant, avant de prononcer son verdict épiscopal, il demande encore la sanction du temps. (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
Il perd du temps, pourtant. Quatre ans s’écoulent. (Ibid. Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)
On lui dit que c’est une folie d’aller à Lourdes, et il [sic] part pourtant, et y arrive le 21 mai 73, veille de l’Ascension. (Ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Des doutes pourtant parfois, la peur de mourir en route. (Ibid. Fo 274 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Malgré la chaleur torride elle était glacée – (…) Pourtant, on la plonge dans la piscine, en épargnant ses cheveux. (Ibid. Fo 275 – Notes sur Mlle de Fontenay)

Travail (1901)

Pourtant comme l’ouvrier disparaît à la fin du Livre deuxième , et ne reparaît qu’un peu au Livre troisième (…) je n’aurai donc pas d’ouvrier sur lequel je puisse montrer un bon changement (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 381/34)
Mon premier livre est l’état actuel, la misère et la douleur, avec toutes les tentatives d’amélioration pourtant, les coopératives de production et de consommation, les syndicats, etc. (Ibid., f° 402/55)
Voir pourtant s’il faudra un mécanicien, forgeron ou ajusteur (Ibid., F°423)

POUSSER

Nana (1880)

(…) mais je repousse cela. (NAF Ms. 10313, Nana. F°225- Ebauche).

Au bonheur des dames (1883)

Tous poussant Louise à Octave (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Plan, fº 31)

La Terre (1887)

On a dit que le paysan est l’animal farouche, meurtrier, au milieu de la terre bienfaisante et calme. Peindre cela, en évitant de trop pousser au noir (MS NAF 10.328 La Terre. f° 401/2 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Toute une partie fantaisiste, idéaliste très poussée (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 222/6).
(…) Il faut que je pousse les choses jusqu’à la mort presque (Ibid., f° 238/22)

je ne sais si je dois pousser cette scène à fond ou plutot la garder pour le milieu du livre (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 49)
Pousser à une extrême passion, à l’extrême drame. Une envolée (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 158)

Lourdes (1894)

Donc, sous le prodige, sous le ciel ouvert, toutes les misères poussant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°36)
Tout le va comme je te pousse. Aucune certitude, aucune constatation vraiment définitive. (Ibid. F°48)
Un grand médecin (Charcot) le pousse à déterminer la malade au voyage, puisqu’elle a des sentiments religieux ardents. (Ibid. F°96)
Enfin comment une Bernadette a dû fatalement pousser dans un tel milieu. – (Ibid. F°209)
Et pousser le triomphe jusqu’à l’enquête de Mgr Laurence, à l’acceptation par l’église. (Ibid. F°301)
Et pousser le triomphe jusqu’à l’enquête de Mgr Laurence, à l’acceptation de l’Eglise. (Ibid. F°306)
Garder la [bon biffé] bousculade, mais pousser l’émotion jusqu’au plus violent effet possible. (Ibid. F°437)
Ce qui me donne le chapitre, c’est Marie, guérie, qui veut aller partout avec son père et Pierre, ayant une soif de montrer combien elle est forte. C’est le lien, la poussée du chapitre. (Ibid. F°503)

Travail (1901)

Puis je pousse la vision plus loin et j’en arrive à la commune anarchiste (F°403) ; Et si je le pousse jusqu’à quatrevingt dix ans, j’ai donc cinquante ans pour l’hypothèse de mon utopie (F°404)
Je puis pousser cela plus loin, Suzanne peut avertir Luc (F°443)

POUVOIR

voir aussi : Peut-être ; possible

La Curée (1872)

On pourra donner à Renée comme amie une camarade de couvent, grande cocodette du faubourg St Germain (MS NAF 10 282, La Curée, f°212). – Dans mon premier portrait de Toutin, j’ai mis en train l’affaire du Maroc, sans donner le dénouement… (MS NAF 10 282, La Curée, f°220). – A un certain moment, dans le tourbillon qui les emporte, on pourrait les montrer comme affolés (MS NAF 10 282, La Curée, f°298 / Premiers détails). – Au dénouement, Maxime pourrait dire à son père… (MS NAF 10 282, La Curée, f°299 / Premiers détails). – Les spéculations ont pu porter… (MS NAF 10 282, La Curée, f°330). – Voici quelle pourrait être en gros l’histoire de ces spéculations (MS NAF 10 282, La Curée, f°330). – Maintenant toutes les autres spéculations pourront être jetée[s] entre cela (MS NAF 10 282, La Curée, f°331).

Le Ventre de Paris (1873)

Je pourrai dans l’œuvre rappeler Saccard.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 50)
Le drame pourrait être celui-ci.( Ibid., f° 55)
Le dieu de la halle peut être le fils d’une marchande de poissons, forte commère, le type du métier.( Ibid., f° 64)
On pourrait imaginer ce drame. Le dieu de la Halle, que je nomme en attendant Jacques Duval, est une brute heureuse.( Ibid., f° 66)
L’intrigue d’à côté pourrait peut-être alors être celle-ci.( Ibid., f° 72)
Je pourrai finir par une réconciliation (…) amenée par le dénouement même.( Ibid., f° 77)
Je puis conserver à Nanette une petite parente poitrinaire qui agonise au milieu des odeurs fortes de la marée.( Ibid., f° 77)
Enfin comme personnage secondaire, je puis avoir un liquoriste mouchard sur le comptoir duquel mes hommes iront prendre le vin blanc (Ibid., f° 77)
Ce pourra être lui (…) qui l’aura amené à Paris .( Ibid., f° 78-79)
Je puis montrer Lisa au dénouement [pu] visitant et purifiant la mansarde de Florent. ( Ibid., f° 90)
On peut imaginer que la Normande s’imaginant que Florent est l’amant de Lisa veut le lui prendre. ( Ibid., f° 92)
On pourrait faire deux amies de Lisa et de la Normande avant l’arrivée de Florent, deux amies qui s’égratinent un peu. ( Ibid., f° 92)
L’intrigue avec la Normande peut être là. C’est à son petit garçon que Florent peut donner des leçons. ( Ibid., f° 98)
Quand on l’arrête, elles peuvent être prévenues, et aller vider la caisse ( Ibid., f° 105)
où il pourrait avoir fait de mauvaises affaires. ( Ibid., f° 106)
Lacaille ne peut entrer dans les forts, parce qu’il est trop vieux ( Ibid., f° 108)
Au dénouement Florent peut le rencontrer dans sa promenade ( Ibid., f° 110)
Je puis ne la faire que passer, approuvant Lisa (la vue du bonheur de Mme Taboureau l’enfonce dans ses idées.) ( Ibid., f° 114)
Anna en 1868 peut dont* avoir dix-huit ans. – (Ibid., f° 243)
Je pourrais y faire aimer Cadine par une belle soirée. (Ibid., f°294)
(Florent, dans / son rêve, peut voir sortir de là des fumées épaisses de volaille, toute une évaporation épaisse et noire de nourriture.) (Ibid., f°308-309)
Remontée, Lisa pourra ouvrir le regard. (Ibid., f°309)

La Conquête de Plassans (1874)

Comme marche générale dans l’œuvre, il est temps de revenir à Plassans, où, de longtemps, je ne pourrai remettre les pieds (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Mon drame peut se passer en 1857 (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, .F°19)
En un mot il pourrait être le sujet d’un petit réveil républicain (Ibid.F° 19)
On pourrait peut-être faire passer l’Empereur dans la ville (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 20)
Je pourrais imaginer ceci. Je ferais arriver à Plassans un prêtre avec sa mère (ibid, F° 20)
Il peut avoir une scène avec chacun d’eux (Ibid.F°22)
Il peut même y avoir là un joli fait (…) Le sous-préfet a pu faire la cour à Marthe (Ibid. F°24)
grande scène, qui pourra rappeler, par les actes d’un fou, le grand morceau du milieu, les actes d’un homme sage (Ibid.F°26)
Je voudrais bien employer le personnage de Macquart. Je pourrai en faire un employé de la maison de fous (…) Il pourrait aider Bonnard (…) On pourrait lui donner un intérêt quelconque qui lui ferait lâcher Bonnard (Ibid. F° 27)

chez les Rougon, puis peu à peu chez le sous-préfet (…) puis il a pu leur emprunter de l’argent (Ibid.F°30)

Il peut commencer à leur parler (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VII F° 9)
Trouche peut servir dans l’œuvre pieuse (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VIII F° 9)
Là, on peut mettre le voyage aux Tulettes, on voit Macquart (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIV F° 11)
La maison est vide, je puis bien la brûler ((NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXVI F˚14)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Je puis faire de frère Archangias son ennemi, parce que l’oncle n’a pas voulu l’envoyer à l’école, etc. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 6)
Ainsi de l’oncle de Blanche, je puis faire un athée ridicule, un vieux bonhomme enfoncé dans Voltaire, etc. (Ibid., f° 9)
On peut la mêler au drame, en la faisant céder à un homme. On peut aussi mettre en face d’elle le frère Archangias, (je veux cependant conserver à celui-là sa raideur catholique ! [sic] (Ibid., f° 10)
A la rigueur, on peut voir la mer, comme une tache bleu [sic], du paradis terrestre. (Ibid., f° 10)
Je puis choisir comme fond pour représenter le village, quelques galopins et quelques galopines, en classe chez Archangias, et qui assisteront au catéchisme de Serge : deux garçons et une fille sans doute. (Ibid., f° 12)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (Ibid., f° 14) / : Voici alors l’histoire qu’on peut imaginer. (Ibid., Les personnages, f° 16)
Archangias peut, dans ses remontrances, lui montrer la colère de ses supérieurs. (Ibid., f° 18)
Elle peut venir souvent à la brèche. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 24)
On peut le faire inviter après la messe par les mariés à venir : le soir faire quelque chose. (Ibid., f° 27)
(En un mot, lui peut ignorer. L’oncle Pascal a pu exiger le secret de la Teuse, tout comme devant la maladie de Serge. [ ) ] (Ibid., La Bible, f° 66)
Je ne reviens à l’autel qu’à la consécration et à l’élévation de l’hostie et du calice. Les moineaux s’enfuient aux coups de sonnettes ; leur effarouchement ; puis ils reviennent. C’est Désirée qui peut leur avoir mis des mies de pain. (Ibid., Sur la messe et l’église, f° 111)

Nana (1880)

Gaga et sa fille peuvent passer dans le foyer.
Il appelle Juillerat et tous deux aperçoivent madame Robert avec son sous-chef de bureau à l’intérieur (ou bien cela peut avoir lieu dans la loge des Muffat.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°9- Plan)
Bordenave qui est là peut leur crier un mot qui résume la situation. (Ibid. F°10)
Léon Juillerat est avec Amy Stewart. C’est lui, très parisien, qui pourra être le lien des personnages dans ce premier chapitre. (Ibid. F°11)
Le succès sauvera tout, mais il faut pouvoir attendre (Ibid. F°14)
Conversations stupides. Bordenave peut venir, on apporte des journaux ou un billet du théâtre. (Ibid. F°15)
Je pourrais montrer là Satin (…). (Ibid. F°20)
Elle en a assez, elle ne veut plus, même avec l’amant de cœur et c’est pourquoi, elle peut filer avec Labordette. Arranger cela. (Ibid. F°22)
C’est la Faloise qui peut nommer Théophile Venot à Fauchery. (Ibid. F°26-7)
Muffat ne dira un mot avec Venot que plus tard, vers la fin, lorsque ce mot pourra faire un effet, lorsqu’il aura accepté le dîner.
Cette scène peut se passer dans un coin du salon (…).
Invitation à Steiner. Voir s’il s’invite. Il peut se pencher à l’oreille. (Ibid. F°27)
(Est-ce ici que je ferai intervenir Venot qui a entendu, et qui peut décider Muffat.). (Ibid. F°29)
On dit que Bordenave ne pourra pas venir (Nana le sait). (Ibid. F°37)
Nana peut avoir promis pour ce soir-là à Muffat. (Ibid. F°54)
Voir ce qu’on fera de Cartier- Il peut être allé acheter la campagne. (Ibid. F°55)
Bordenave peut la voir, la foutre à la porte ou la retenir Muffat chambellan de l’impératrice. (Ibid. F°56)
D’autre part, il [Labordette] peut rendre un service à Muffat. (Ibid. F°62)
Je puis faire que les Muffat sont venus passer huit jour (sic) chez Madame Hugon. (Ibid. F°63)/ Mes deux mondes pourraient se rencontrer dans un chemin.
C’est là où il [Daguenet] peut voir Estelle et où il se dessine comme roublard. (Ibid. F°64)
C’est là qu’il [L’homme dévot] peut sembler jeter Muffat à Nana. (Ibid. F°66)
Expliquer d’abord comment Nana peut savoir que Juillerat est avec la comtesse (…). (Ibid. F°71)
Nana peut être couché (sic) avec Muffat (…). (Ibid. F°72)
Une (sic) amant a débauché Sabine, Nana peut le dire : « Ah bien ! si c’est un tel, il doit lui en avoir appris de propre. (Ibid. F°73)
L’idée d’une séparation peut venir à Muffat.
C’est elle [Zoé] qui peut se trouver à la fin du chapitre avec Cartier Muffat et Daguenet (…). (Ibid. F°75)
Nana peut se réfugier chez sa tante, en lui jurant qu’elle en a assez. (Ibid. F°82)
Il [Chouard] peut parler de Muffat à Nana.
Nana peut rencontrer Cartier qui est aussi très bas. (Ibid. F°84)
Voir si l’on ne peut pas mettre là la rue Monnier.
Nana peut y aller avec Satin. (Ibid. F°85)
Nana peut loger à côté de Nana (sic), sur le même palier. (Ibid. F°86)
Muffat peut rappeler à Nana qu’il la veut tout (sic) à lui, quand Zizi arrive. (Ibid. F°94)
Fontan pourra lui [à Nana] avoir préféré un souillon.
Muffat peut s’être entendu avec Bordenave. (Ibid. F°95)
C’est là que Cartier peut venir offrir à Simonne Cabiroche de la lancer. (Ibid. F°96)
Je peux le montrer serrant la main à Juillerat, qui est toujours avec Rose Mignon (…). (Ibid. F°103)
Pourtant avant de décider cela, voir si j’ai tiré du théâtre tout ce que je pouvais. (Ibid. F°105)
Nana peut lui donner ses anciens meubles. (Ibid. F°106)
Il [Francis] peut escompter des billets de Muffat (…). (Ibid. F°107)
Mais Labordette revient, il a des nouvelles qu’il peut chuchoter à l’oreille de Nana, ou dire tout haut : fin du drame de Vandeuvres. (Ibid. F°124)
C’est là qu’on peut poser le mariage de Daguenet.
Les deux voitures un instant peuvent être côte à côte. (Ibid. F°125)
Le docteur Boutarel et le prince peuvent paraître – Bordenave aussi. (Ibid. F°126)
Alors, dès que Nana l’a planté là, Mignon le fait trouver avec sa femme. « Eh bien ? peut-il demander ensuite.
Elle [Rose] pourrait dire ça à une autre personne que son mari, pour que ce fut moins raide. (Ibid. F°127)
Elle vient de faire ça avec Muffat (elle pourra le questionner pour savoir s’il a reçu la lettre.). (Ibid. F°131)
Un Daguenet très souriant, une Estelle fermé (sic), l’air toujours raide et énigmatique. A quoi peut-elle penser.
Venot convertissant Daguenet, ramenant tout le monde à Dieu, Sabine, Estelle, Muffat. Il peut dire à celui-ci du courage. (Ibid. F°134)
C’est là que je pourrai montrer et faire agir le dévot, le personnage qui voudra gagner Muffat à la dévotion. (Ibid. F°136)
Venot pourra venir pour le trouver là, à la suite de quelque chose chez la comtesse, une disparition, ou mieux. (Ibid. F°143)
Elle ne peut pourtant se boucher le c. Finir par ce craquement du sexe (…). (Ibid. F°144)
C’est le comble, Muffat sanglottant (sic) tombe à genoux et prie Dieu. Le personnage dévot peut le prendre à ce moment. (Ibid. F°145-6)
C’est quand Muffat lui fait des reproches, qu’elle peut répondre. (Ibid. F°147)
Rose Mignon veut l’avoir ; mais Zoé pourrait peut-être se retiré (sic).
Voir si cela ne pourrait pas servir de cadre à un des deux chapitres, terminés par le drame des Hugon. (Ibid. F°148)
L’homme dévot ne rêve pas d’agir sur l’impératrice ; il veut seulement Muffat qui peut être une arme. Quand Muffat perd sa place, l’impératrice par un revirement, travaillée, peut s’intéresser à lui et lui procurer autre chose.
Elle [Zoé] pourrait avoir un petit commerce de femme dans son arrière boutique. (Ibid. F°149)
Finir Satin (un mot dans le XIV). Madame Robert peut la reprendre et la tuer. (Ibid. F°151)
[Mignon] Il peut encore donner des détails. (Ibid. F°155)
Fontan peut passer en bas. (Ibid. F°162).

Juillerat peut avoir hérité lorsqu’il a la comtesse, et celle-ci le ruinerait. (NAF Ms. 10313, Nana. F°174- Personnages)
Encore des hommes, et même des tous jeunes, dont elle [Gaga] pourrait être la grand’mère. (Ibid. F°177)
[Georges Hugon] Il est timide et Satin une fois peut le faire rougir. (Ibid. F°180)
Je puis me servir de l’intérieur de madame Lerat. (Ibid. F°183)
Nana, quand elle l’emmène, peut lui en faire faire un ; seulement « Maman Maloir » s’arrange pour que le chapeau prenne tout de suite une tournure extravagante. (Ibid. F°184)
[Estelle Muffat] A quoi peut-elle penser et que peut-il y avoir en elle ? Pour lui donner du caractère, voir si à la fin je ne puis pas faire éclater chez elle une personnalité (…). (Ibid. F°190)
Dans ce moment-là, elle [Nana] peut être la maîtresse de Bordenave (…). (Ibid. F°191)
[Satin] Sa caractéristique est de mener une vie si sale, si désordonnée, qu’elle ne peut sortir du vice d’en bas. (Ibid. F°196)
Le m. de Chouard pourra vouloir l’[Zoé] embrasser. (Ibid. F°204).

Je montrerai cinq ou six femmes autour d’elle (je pourrai en nommer un plus grand nombre.)
Ce monde à côté pourrait me servir à dramatiser un peu l’action. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
Je pourrai avoir la famille d’un homme honorable que Nana ruine et conduit à la misère ou à la honte : cet homme serait marié et aurait une fille que je pourrai marier à la fin à l’amant de cœur. D’autre part, je pourrai encore avoir un autre coin, qui est à choisir. (Ibid. F°208-9)
Voyons le personnel d’hommes que je puis employer. Le Monsieur en question. Je puis en faire un haut fonctionnaire.
Un autre boursier, homme épais, payant à tout la fois. Il peut avoir un lien avec l’amant de cœur. (Ibid. F°209)
Voyons les liens qu’il pourrait y avoir entre ces personnages. Je puis faire de mon vieux dégoûtant, le sénateur, le beau-père de mon homme mûr, respectable et aimant vraiment. (Ibid. F°210)
Voilà quel peut être ce coin de drame.
(Il [Philippe Hugon] est venu sur une lettre de la mère, qui peut être l’amie du vieux dégoûtant). (…) Il peut faire quelque chose contre l’honneur, voir s’il ne doit pas se donner un coup de couteau à la fin. (Ibid. F°211)
(…) mon Boursier, homme épais, et mon gentilhomme, homme de sport pourraient être absolument nettoyé (sic) par elle (…). (Ibid. F°211-2)
Qu’est-ce que je pourrait (sic) trouver ? Cela pourra finir par une séparation de corps (…).
La femme très fière, noble, aimant suffisamment son mari, se conduisant bien (plus tard elle pourra prendre un amant.)
Il me faut maintenant fourrer les autres filles et voir le rôle qu’elles peuvent jouer là dedans. (Ibid. F°213)
Lorsque Nana le quittera vers le milieu il pourra se mettre un instant avec le gamin de Paris (…).
Ce n’est que par les hommes que je puis fourrer les femmes.
C’est cette lutte entre deux femmes qui peut seule me faire introduire plusieurs femmes.
A la fin, l’autre dépassant la quarantaine pourra retomber à l’ordure (…).
Je songe à la mort de Nana. Je pourrai avoir le coup de foudre (…). (Ibid. F°214)
Pour cela, il faudrait que l’homme mûr l’eut quittée. On peut faire qu’il se soit remis avec sa femme (…).
Je puis lui donner une jeunesse austère (…). (Ibid. F°215)
Maintenant, voilà ce que je puis inventer (…). (Ibid. F° 216)
On pourrait ne pas faire demander la séparation par (Folio 217) la femme. (Ibid. F°216-7)
Cela me donnerait un coin d’originalité et expliquerait le dérangement du mari et sa douceur à elle. Cela peut même me donner de jolie scène (…). (Ibid. F°217)
La femme mourant tâche d’arranger les affaires de sa fille, elle peut causer avec sa fille.
Nana alors peut se fâcher. (Ibid. F°218)
Maintenant c’est de la maigre dont je pourrai faire Judic, avec son mari et deux enfants.
Dès que j’aurai deux femmes, je puis en grouper plusieurs autres. (Ibid. F°219)
Le bordel me sera donné par le voyou, qui pourra y finir. (Ibid. F°221)
Je pourrais revenir, à plusieurs fois, dans de courts passages, pour bien avoir le théâtre bordel, la cour, le foyer, les loges d’actrices. – Enfin, voir si on ne pourrait pas finir par changer de théâtre et montrer les coulisses d’une grande féerie. (Ibid. F°221-2)
Mon drame ne peut pourtant m’être donné que par un homme qui aimera Nana ; et il faudra que cet amour amène un choc dans un autre milieux (sic). Voyons les conditions où le comte Muffat peut se trouver, pour qu’en aimant Nana, il y ait drame. (Ibid. F°225)
J’aurais la lutte entre les deux principes, et je pourrais montrer à la fin lequel l’emporterait. (Ibid. F°226)
On peut chercher ailleurs. (Ibid. F°227)
Cherchons un peu les détails. Ainsi la comtesse peut prendre un amant à Nana.
Autre chose. Muffat peut en arriver à emprunter de l’argent à sa femme pour donner à Nana (…). (Ibid. F°228)
Je peux lui donner aussi un étranger, un Russe, qui ne fait que paraître. Plus tard, quand Nana fera une bêtise pour le comique Fontan. Muffat pourra être pris par Rose Mignon, et tâtera même d’Amy Stewart, avant de revenir à Nana.
Cartier dont Rose Mignon ne veut plus peut se mettre avec Blanche de Sivry. (Ibid. F°233)
Il pourra essayer de lancer Satin, qui paralysera ses efforts par ses allures.
Juillerat pourra finir par être l’amant de la comtesse. (Ibid. F°235).

Le public hurle, des applaudissements ironiques éclatent quand une des débutantes se trouble, oublie son rôle, rate sa note, ne peut pas continuer. (NAF Ms. 10313, Nana. F°248- Notes)
Monde de bourse et de sport gagnant l’argent au jour le jour. Ça peut durer des années comme ça peut finir brusquement. Les amants de cœur très variables. (Ibid. F°253/22)
(…) le greluchon, amant de cœur, arrivant derrière l’homme marié, amant en titre, qui ne peut coucher. (Ibid. F°258/17)
peut avoir un enfant. Elle l’élève, l’aime, le suit, en pension. (Ibid. F°260/15)
Le train peut être de 150 mille fr. (Ibid. F°261/10)
[Lambert Thiboust] Il se sauve moitié habillé, n’ayant qu’un soulier, ne pouvant s’en aller ainsi.
Puis il cause de madame, paternellement, en homme sensé, disant qu’elle pourrait bien éviter ces rencontres (…). (Ibid. F°277)
Un cheval peut-il courir le Grand prix sans avoir couru ailleurs
Les mêmes chevaux peuvent-il (sic) courir plusieurs courses. (Ibid. F°299)
Le coiffeur, dans une sorte de placard, dans le couloir ; travaillant dans le couloir, lorsqu’il peut. (Ibid. F°314-5).

Pot-Bouille (1882)

Je ne puis prendre qu’Octave Mouret (MS NAF 10321, f° 381)

Au bonheur des dames (1883)

Et alors je pourrai changer le sujet dans cette idée générale et philosophique (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 8) \\Je puis mettre cette boutique dans le pâté de maisons et la faire absorber, ce qui me donnerait le drame d’un immeuble longtemps convoité et enfin conquis (…) (Ibid., f° 6) \\(…) je pourrai étudier dans cette nature honnête, les révoltes et la jalousie (Ibid., f° 8) \\Il faut des fonds considérables à Octave qu’il peut se procurer dans une grande maison de banque (Ibid., f° 7) \\Et alors je pourrai changer le sujet dans cette idée générale et philosophique (…) (Ibid., f° 8) \\On pourrait peut-être mettre un lien (?) entre cette boutique et ma demoiselle de magasin (Ibid., f° 6) \\Pour le drame, cette femme [Denise] peut être aimée de quelque employé (Ibid., f° 11) \\Il [Mouret] peut essayer de la [Denise] prendre de force (Ibid., f° 12) \\Pour corser l’action, je pourrais mettre un intérêt pécuniaire entre la petite boutique rivale et mon héroïne (Ibid., f° 15) \\Son [à Denise] oncle pourrait avoir des fonds à elle (…) et le contrecoup financier la frapperait: il faudra étudier cela (Ibid., f° 15) \\Le chef de rayon devrait avoir un lien avec la maîtresse d’Octave. Elle pourrait l’avoir comme amant de cœur (Ibid., Fº17) \\Il ne pourrait y avoir qu’une lutte d’intérêts (Ibid., f° 18) \\Je pourrais prendre chez la maîtresse d’Octave la femme très bien qui vole par tentation (…) (Ibid., f° 18) \\On pourra deviner leur vie [des clientes], faire des conjectures etc (Ibid., f° 19) \\Elle [Louise] pourra comme je l’ai dit sauver son oncle et sa tante, leur donner leur rêve (Ibid., f° 21)

La Terre (1887)

mon héros, Jean Macquart. Il est menuisier, il peut très bien venir travailler chez le Kedot [?] du pays. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 404/5 – Ebauche)
(…) Je pourrais faire le partage entre les fils, et faire que les deux femmes soient les filles d’un père à Beaugrand, très âgé, dont l’histoire serait à régler. (Ibid., f° 415/16)
(…) Tout donc dans l’amour de la terre, dans la constitution d’un grand lopin. Cela pourrait aller peut-être. (Ibid.)
(…) Dès lors cela peut marcher : les deux affaires sont distinctes, et se réunissent pourtant en une seule. Cela me donne la division par la famille. (Ibid., f° 419/20)
(…) Pourtant, il faut qu’à la fin Beaugrand soit piller [sic] par ses enfants, le roi Lear. Dans ce cas on pourrait le faire réfugier chez son enfant bien, où il mourrait dans le silence, après avoir voulu brûler les papiers. (Ibid., f° 422/23)
(…) La politique l’ [Jean Macquart] ennuie. Mais je puis le modifier. Il a pu après sa sortie du service, travailler dans une ville et prendre des idées de justice, d’égalité. (Ibid., f° 430/31)
(…) S’il [Jean Macquart] n’était qu’ouvrier, il travaillerait chez un menuisier d’un village voisin ; et je ne pourrais le sauver que par une grande passion pour Louise (Ibid., f° 431/32)
(…) Dans ce cas, il faut une mort de Louise terrible. Je la voudrais occasionnée par Bonhomme. Pauline pourrait être reprise par lui, dans une de ces secousses de colère (Ibid., f° 433/34)
(…) Je puis faire aussi qu’elle retourne à Bonhomme, ou du moins qu’il la prenne et qu’elle en meurt. (Ibid., f° 434/35)
(…) L’oncle sera à peine une silhouette. (…) Il le faut moins riche que son frère : il pourra toujours se plaindre que son lot lors de l’héritage a été moins bon. (Ibid., f° 440/41)
(…) La fille du braconnier (…) C’est elle qui peut me donner ma bande d’oies. (Ibid., f° 449/50)
(…)Enfin comme troisième comique je pourrais avoir le cabaretier, marchand de tabac. La question du billard, un billard apporté et révolutionnant le pays. (Ibid.F° 450/51)
(…) Comme jeune [sic] gens, le fils de l’aîné qui tourne à la ville, au Godchau, et un fils des deux cabaretiers. Je pourrai avoir pour maire le fermier qui a une grande ferme, la grande culture, sur la commune, soit louée, soit à lui. (Ibid., f° 460/52)
(…) Il faut que la ferme me donne toute la grande culture, des histoires de chasse, et que je puisse conclure sur la grande culture et sur la petite. (Ibid., f° 467/59)
(…) Voilà donc Bonhomme intéressé, agissant dans l’affaire ; et ce pourra être Jean, lors de son mariage, qui acceptera, pour faire plaisir à la ferme. Puis, les accusations, ce qui suit. (Ibid., f° 474/66)
(…) Le notaire sera mêlé à cela, il sera pour la ferme, et il pourra en dire un mot, dans le chap.II. (Ibid., f° 475/67)
(…) Quant au prêtre, à la religion, on pourrait l’avoir, en faisant que le prêtre dessert seulement l’église du village, comme à Medan. Il serait d’une commune à trois kilomètres, et viendrait seulement les dimanches et les jours de fête. Comme cela, il m’encombrerait moins, et je pourrais le mouvementer davantage. (Ibid., f° 478/70)
(…) (Le prêtre) Reste un mois sans venir : plus de religion, ça marche bien tout de même : un mort, et il est obligé de venir. Le mort pourrait être mon vieux. (Ibid., f° 479/71)
(…) [Le braconnonier] Je pourrais lui joindre un ami, un peintre en bâtiment, un ouvrier qui a passé dans le pays, brave et mendiant, cherchant de l’ouvrage, de ces ouvriers vagabonds, rencontrés sur un chemin (les étudier, savoir d’où ils viennent). (Ibid., f° 482/74)
(…) Je crois donc qu’il ne faut pas incarner la terre dans un personnage. Aucun ne serait assez grand, aucune femme. Mais pourtant, je puis mettre de la terre dans Louise, un peu abêtie, très bien portante, lourde et inconsciente, fertile, grasse en odeur. (Ibid., f° 485/77)
(…) 2 ans s’écoulent. Printemps 61 mai. I. – Si j’ai une histoire à la ferme, je puis la poser là avec Jean. La fermière prendrait la brute. Description de la grande culture. (Ibid., f° 500/2)
Je ne puis le sauver que par une passion ardente pour Françoise (MS NAF 10329 La Terre F° 6 – Personnages, Jean Macquart)
Je ne puis le sauver que par une passion ardente pour Françoise (Ibid., F° 6)
J’aimerais avoir une vieille paysanne très dure. Je pourrai en faire l’aînée des Fouan (Ibid., F° 40 – Personnages, Marianne Fouan)
Si j’en fais un beau-frère de Hourdequin, je puis le faire déjeuner à la ferme. (Ibid., F° 105 – Personnages, Maître Baillehache)

Le Rêve (1888)

Je puis faire qu’elle a abandonné cette enfant de hasard (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 223/7). \\(…) Je pourrais étudier en elle le rêve de la vie, ce qu’elle rêve de la vie (Ibid., f° 224/8) \\(…) On ne peut guère s’en sauver que par l’envolée, sans sortir toutefois de la simplicité (Ibid., f° 227/11) .
(…) Le sujet peut être dès lors celui-ci (Ibid., f° 228/12).
(…) Mais je n’ai pas l’au delà, qui pourrait peut-être m’être donné par le mari (Ibid., f° 230/14). \\(…) C’est surtout avec la vie des saints que je puis la faite toute (Ibid.F° 241/24)
(…) Cela pourrait avoir lieu pendant le travail de broderie (Ibid., f°244/28)
(…) Et ne pourrais-je imaginer qu’elle a épousé son mari contre la volonté de sa mère (Ibid., f° 246/30)
(…) Une veilleuse qui peut être allumée toute la nuit et le Jésus qu’elle voit (…) j’aimerais peut-être mieux un Saint-Georges, un beau jeune homme.(à voir) (Ibid., f° 254/38)
(…) Pour varier, je puis amener Félicien qui ment, qui se donne comme un dessinateur, ou autre chose (Ibid., f° 258/41)
(…) Et là peut-être je pourrais l’amener chez les Hubert (Ibid., f° 259/42)
(…) Je voudrais encore cinq chapitres, ce qui est possible. (…) Félicien (…) peut se tenir à l’écart (Ibid., f° 265/48)
Elle se jette à ses pieds : Mon père, et tout ce que l’amour peut dire (Ibid., f° 268/51)
Peut-être pourrais-je me servir là des broderies que le jeune homme a commandé [sic] (Ibid., f° 270/53)
(…) Pour matérialiser la lutte, mettre un chant de Félicien au dehors (…) Le chant pourra se rapprocher peu à peu (Ibid., f° 272/55)
(…) Dans l’idylle du IV au VIII, je puis mettre quelque bouderies, quelque angoisse (Ibid., f° 286/69)
(…) Elle peut s’imaginer que Félicien obéissant à son père va épouser Blanche (Ibid., f° 286/69)
(…) Le je t’aime de Félicien peut venir alors (…) Félicien très riche peut donner beaucoup (…) voir si cela ne peut pas avoir un écho plus loin (Ibid., f° 290/73)
(…) Angélique peut croire que Félicien vient de la rue (…) le ruisseau peut me donner un épisode de linge lavé (…) il peu /sic/ l’aider à étendre son linge (Ibid., f° 292/75)
(…) Que peut donc être un jeune homme riche à dix millions (Ibid., f° 299/82)
(…) soldat ou diplomate, ou grand propriétaire /trop jeune , c’est tout ce qu’il pourrait faire (Ibid., f° 300/89)
(…) je puis lui faire réparer par amusement un vitrail de l’église (Ibid., f° 301/84)
(…) je peux imaginer que ce sera un dais par exemple, pour une procession ; et j’aurai la procession (Ibid., f° 308/91)
(…) je pourrais peut-être prendre le château de Chateaudun, avec une rivière (Ibid., f° 309)
(…) le vitrail (…) pourrait être au premier étage (Ibid., f° 310/93).

On pourrait faire que les vitraux soient de cette époque, un peu plus tard (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 265) Mon Hautecoeur redevient évêque. Mais je voudrais lui conserver le blason et son histoire. Peut-être le pourrai-je en lui donnant une chapelle dans la cathédrale (MS NAF 10324, Le Rêve, f° 52 à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou premier Plan du chapitre III)

Mais je ne puis garder le château entier, entièrement conservé . Ce serait peu historique (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur le château de Hautecoeur, f° 370)

Je crois qu’on pourrait conter toute l’histoire /d’Hubert et Hubertine/ (…) Plus tard je tirerai les conséquences de l’histoire (MS NAF 10323, Le Rêve, premier Plan détaillé du Chapitre I, Plan, f° 11)
(…)Si je fais un récit de l’abandon de l’enfant, il ne peut venir qu’avec la sage-femme (Ibid., f° premier plan détaillé du chapitre II, f°32)
(…) Rappeler le livret (…) La vue peut l’en ramener à l’humilier (Ibid., f°38)
Les deux mortes heureuses (ce pourrait être le tombeau) (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 53)
Elle peut avoir une grande confusion en voyant qu’il a levé la tête, qu’il la regarde (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
Prendre toute son histoire aux personnages et la résumer là à l’aide d’Angélique à qui on l’a dite . Si elle ne peut pas tout savoir, user d’un moyen (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
La porte Sainte-Agnès peut revenir (…) Peut-être pourrai-je garder la façade pour l’élancement de la fin (Voir Eglise 6 à 10) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
Félicien pouvait être sous les arbres à lire, à dessiner plutôt le moulin (Ibid., Plan détaillé du chapitre V, f°s 73-74)
Comme je garde Félicien mystérieux, je ne puis raconter son histoire que lorsqu’il est connu au IX (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f°77)
Le sait-on ? A voir. On peut le prendre pour un ouvrier du fils de l’évêque. A arranger enfin. Cela explique comment il pourra venir commander la broderie (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Les épisodes du travail au fur et à mesure qu’il avance peuvent être d’abord : un morceau sur toutes
les belles broderies (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f°s 83-84)
Je puis faire que les Hubert sont dans une grande adoration (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 90)
Les détails ne peuvent venir que lorsqu’il est connu après la procession (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 92)
Ne pas oublier que je ne puis faire Angélique absolument ignorante (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Un reposoir à l’angle de la rue des Orfèvres et de la Grand’Rue, dont Angélique peut s’occuper un peu (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 105)
Et c’est avec Hubertine et Hubert que je puis
avoir l’incertitude (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f°s 106-107)
Pendant que l’évêque pose le Saint-Sacrement, je puis analyser ce dont il est question plus haut. Toute la cérémonie (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f°107)
Je pourrai avoir d’abord la peinture du quartier qui attend ; puis la sortie de la procession (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
Je puis dire d’ailleurs qu’on les y tolère. Non ! (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
Si je ne réservais pas la grande façade pour la fin, je pourrais la mettre là, à la rentrée de la procession (…) il se donne enfin (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 116)
Il est tout à l’amour, voir son portrait, l’artiste qui est en lui. Son histoire peut arriver là (Ibid., plan du chapitre IX, f° 118)
Peut-être peut-il la mener à son four (Ibid., plan du chapitre IX, f° 120)
Ces scrupules peuvent être très intéressants, un combat sur l’éducation (Ibid., plan du chapitre IX, f° 122)
Ce qu’elle peut répondre à ses parents qui l’interrogent (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 127)
Elle peut voir passer Félicien (Ibid., f° 128)
(si Félicien vient chez les Hubert, je puis faire sortir Angélique d’elle-même, ce qui serait grand) (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 137)
Elle peut s’irriter contre Félicien (Ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 144)
Elle peut là rencontrer justement Claire et Félicien (…) voir si la Légende dorée peut revenir (Ibid., premier plan du chapitre XI, f°156)
Elle peut travailler à la lampe (…) Félicien monte (…) mais cette venue ne peut avoir lieu que sur un motif (premier plan du chapitre XII, f° 164)
Voir si l’on peut faire un rappel là. C’est le seul endroit possible (…) Faire ainsi revenir l’idée de virginité (…) le livre lui-même peut revenir (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)
Félicien a pu suivre l’extrême-onction, il est resté en bas dans l’atelier (Ibid., deuxième plan du chapitre XIII, f° 173)
Voir si une légende ne pourrait pas expliquer que les Hautecoeur guérissent les maladies (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)

Lourdes (1894)

Entretenir l’illusion, (…) c’est entretenir l’[h biffé] infirmité humaine, tandis que si on combattait l’illusion, la superstition, on travaillerait à une humanité pouvant peu à peu regarder la vie en face (…). (…) Je puis donc finir « Lourdes » sur cette question anxieuse que se pose mon prêtre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°3)
Cela peut élargir encore mon dévouement. – Quant au combat contre la superstition, je le mettrai dans mon troisième volume « Paris ». (…) Ce troisième volume pourra être le combat de la justice contre la charité ainsi que je l’expliquerai tout à l’heure. (Ibid. F°4)
Et comment elle s’immole pour la religion, l’idée du devoir. (…) Là-dedans, je puis mettre une ironie saignante. (Ibid. F°6)
D’ailleurs, je crois que tout mon sujet [de biffé], mon prêtre voulant réconcilier l’église et l’esprit moderne, peut très bien s’organiser autour de cette passion. Il ira à Rome avec un évêque, il pourra être le confident de la dame (…) \\. (Ibid. F°s7-8)
Il y a d’autres raisons qui la font échouer : étudier cela, pourquoi le catholicisme, le christianisme ne peuvent assez se renouveler pour être la religion du nouveau peuple – (Ibid. F°13)
J’aurais voulu une lutte héroïque, terrible, sanglante : tout un choc de deux mondes. Et je ne puis guère arriver à cela que si, à la fin de « Rome » je montre mon prêtre écrasé, reprise [sic] par la machine sacerdotale (…). (Ibid. F°14)
Je pense que je n’ai pas besoin de mettre cela à la fin de « Rome » ; je puis le montrer seulement foudroyé par son second échec, et je le reprends
ensuite dans Paris (…). – C’est alors que je le heurte contre son frère. – De ce frère, je fais un combattant, un apôtre, un illuminé. Il peut être allé jusqu’au crime pour ses idées. (…) L’anarchiste peut ne pas savoir l’état exact de l’esprit de son frère et le croire un catholique pratiquant. (Ibid. F°s15-16 )
Il faut que l’action ne puisse pas se passer ailleurs qu’à Paris, qu’on sente Paris
autour, la cuve, l’alambic où s’élaborent les idées, le monde futur. (Ibid. F°s17-18)
Mais je ne puis aller contre les idées de toute ma vie, je suis pour l’évolution, je suis pour la satisfaction de tous les besoins, pour la nature, pour les besoins naturels contentés. (Ibid. F°20)
Les reconstructions futures, ce que peut espérer l’humanité pour l’évolution. Le sens de la vie, le but final. Où nous allons, quel peut être notre espoir. (…) Ma phrase du discours aux étudiants sur « le travail libérateur et pacificateur ». Je ne puis guère prêter à mon socialiste que ces idées-là, et ce sera donc un évolutionniste. (Ibid. F°21)
C’est sur ce fond que je puis détacher mon Jacques et l’histoire où il sera mêlé. (Ibid. F°24)
Dans le premier Lourdes je pourrais montrer le besoin d’illusions et de croyance que l’humanité a. (…) Dans Rome, je pourrais montrer l’écroulement du vieux catholicisme (…). – (Ibid. F°28)
Et puis pourquoi refuser l’illusion aux hommes. La divine charité qu’il peut y avoir à leur laisser le mensonge, l’espoir de [L biffé] l’au-delà. (Ibid. F°38)
Quand elle [l’humanité] a touché le malheur de vivre, (…) elle a besoin de faire un appel à un pouvoir mystérieux qui peut tout pour [l’im biffé] le bonheur, même l’impossible. (Ibid. F°40)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « (…) Refaire des os, refaire de la chair, instantanément, mais c’est le miracle, et si je pouvais le faire, je serais Dieu. (…) » – (Ibid. F°46)
Mais je ne veux pas, je ne puis pas faire cette œuvre. La consolation, l’espoir que le catholicisme a apporté au monde semble épuisé. (Ibid. F°51)
Je tiens absolument à ne pas sortir du temps présent, et je ne pourrais sans doute avoir le passé que par des visites (…). (Ibid. F°59)
Il faudra donc chercher, voir ce que pourrait être Rome. (Ibid. F°62)
D’autre part les mots : « Je suis l’Immaculée conception » sont très singuliers dans la bouche de cette enfant. On a pu les lui souffler, car ils sont venus
à l’avant-dernière apparition. (Ibid. F°s62-63)
Et il faudrait que je puisse interroger le commissaire Jacomet, s’il vit encore, ainsi que le baron de Massy (…) \\. (Ibid. F°s65-66)
Un amas extraordinaire de souffrances, tout le poignant que je pourrais inventer, avec le roulement continu du train. (Ibid. F°69)
Le passé des malades, la misère et la souffrance qu’il y a derrière eux. Un pourra mourir entre Tarbes et Lourdes, celui qu’on baignera mort. – Mettre aussi les hospitalières, une ou deux sœurs de l’Assomption, enfin tous les personnages possibles. (Ibid. F°69)
Le personnage pourrait me servir plus tard, pour Rome, et pour Paris. – (Ibid. F°73)
Une mère me gênerait peut-être (d’ailleurs, je peux la mettre avec le père, si j’en sens le besoin). (Ibid. F°76)
Je les fais de la province (…) : le vicaire est là, la sœur institutrice peut descendre dans Paris, avec le tramway. – (Ibid. F°76)
Puis, l’idée que la jeune malade pourrait être guérie le bouleverse : Oui, elle le peut, [et com biffé] maladie [nerveuse biffé] de cause nerveuse, la faire frapper dans son sexe, mais avec la plus grande discrétion, pour que tout le monde puisse lire mon livre. (Ibid. F°77)
Je pourrai plus tard reprendre mon [person biffé] prêtre pour « Rome » et pour « Paris », dont il serait aussi le personnage central. (Ibid. F°79)
Il peut garder aussi l’espoir d’être foudroyé par la grâce. Il est incroyant, il [attend biffé] ne vient pas précisément pour être converti ; mais il [attend biffé] peut attendre tout de même la grâce, car ses années de séminaire repoussent. Et même je peux faire que la malade l’a deviné (…) – (Ibid. F°82)
La mère sera morte ; mais je ferai bien de [ plu biffé] lui donner un frère, (…) dont je pourrai me servir dans « Rome », et dans « Paris ». Dans « Paris », surtout, si je fais de ce frère un anarchiste militant, je puis le heurter [ à biffé] au prêtre et avoir ainsi une lutte entre deux frères. Toutes les combinaisons sont possibles, surtout si je marie ce frère, ou si je lui donne une maîtresse (…). (Ibid. F°85)
Je pourrai fixer tout de suite où tout ce monde s’est connu et a évolué. Je voudrais un faubourg de Paris, un village des environs. (Ibid. F°91)
On le sait très intelligent, on lui a fait des offres à l’archevêché, où l’on voudrait se l’attacher. (…) Ce pourrait même être sur une de ces offres, qu’il regrette de ne pas croire, pour accepter et se rendre utile (…). (Ibid. F°93)
Dans « Rome » il pourra essayer une tentative de concilier la foi avec l’esprit moderne (de Voguë) et il échouera encore. (Ibid. F°94)
Comment Lourdes agit sur lui. Si même il pouvait penser, sur la partie humaine et fragile, l’impossibilité de croire. – (Ibid. F°95)
Je puis faire que la mère de cette fille soit précisément la directrice de la salle, et j’en fais une femme vraiment méritoire (…). (Ibid. F°100)
Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille ; et là je voudrais tout un drame qui peut me donner les deux chapitres qui me manquent. (Ibid. F°108)
Pas d’autres enfants ; car si le petit mourait, la tante pourrait laisser aux autres. – (Ibid. F°110)
D’ailleurs, mon prêtre pourra en une page, passer en revue tous les genres de prêtres qu’on rencontre à Lourdes. [Me biffé] Mon aumônier, je puis l’avoir pour le train accompagnant la petite hydrocéphale (…). (Ibid. F°116)
Comment un homme d’une intelligence élevée et claire, nourrie dans l’analyse, peut arriver à croire aux miracles, sous le
coup d’une grande douleur. (Ibid. F°s118-119)
Il accuse les pères d’accaparer le commerce, et il peut faire des confidences sur eux. (…) C’est sa nièce
qui tient le magasin. Une très jolie fille à laquelle je puis trouver un bout d’intrigue. Les confidences peuvent être faites au père de ma malade et au prêtre (…). (Ibid. F°s119-120)
Je pourrai le mettre au conseil municipal, ou ayant un oncle qui en est (ce que j’aimerai mieux). (…)
Il pourrait aussi accompagner mon prêtre à la chambre de Bernadette et à l’église de Peyramale. (Ibid. F°s120-120 bis)
Enfin, un coiffeur en face de l’hôtel, qui couche et qui donne à manger. (…) Je pourrai le mettre au conseil municipal, ou ayant un oncle qui en est (ce que j’aimerai mieux). (…)
C’est en allant se faire raser chez lui qu’un de mes personnages, le père de ma malade, accompagné de mon prêtre, peut le faire causer. (…) Il pourrait aussi accompagner mon prêtre à la chambre de Bernadette et à l’église de Peyramale. (Ibid. F°120 bis)
Et pauvreté, pour expliquer qu’elle est hospitalisée : on peut renvoyer ce détail [en interligne : sa carte au cou] à plus tard (…) – (Ibid. F°123)
Marie peut le [l’homme] voir qui s’évanouit, et alors, on s’empresse. (Ibid. F°128)
Lorsque Pierre et M. de Guersaint soulèvent Marie, elle peut rester sur son séant, et voir et causer avec les voisins. – (Ibid. F°134)
Cela me donnera (…) sœur Saint-François, qui pourra apporter un bouillon. (Ibid. F°139)
Cette année, à cause des élections, on n’y va pas [à Poitiers]. Donc, je puis imaginer une cause qui fait qu’on ne s’y arrête pas. (Ibid. F°140)
Ici, pendant qu’il la regarde, une interruption. La souffrance du wagon peut revenir. (Ibid. F°147)
Sa terreur, sa peine ; et elle [Marie] peut faire le projet immédiat de prier pour sa conversion, si elle va à Lourdes. – (Ibid. F°153)
A la fin sans doute, un évanouissement de l’homme. On peut le croire mort un instant, on s’effare. (Ibid. F°159)
Et lui [Pierre], peut continuer l’enquête, mais se heurter à des difficultés. (Ibid. F°160)
Chassaigne est d’un village près de Lourdes. C’est donc lui qui a pu mettre le père de Pierre [sur biffé] dans l’étude des apparitions. (Ibid. F°161)
M. de Guersaint pourra lui avoir cédé sa place, près de la portière, pour qu’il puisse regarder le paysage. (Ibid. F°162)
L’homme ouvre les yeux. Ferrand a pu apporter une petite bouteille, lui faire prendre quelques gouttes de quelque chose. (Ibid. F°167)
C’est la Grivotte qui retient Mme de Jonquière, laquelle peut enfin avoir Ferrand, lui montrer sa malade, cause. Ferrand peut ramener la Grivotte à elle. – (Ibid. F°168)
Et alors, pour voir l’homme dont on parle [dans le biffé] parmi les gens du train, j’amène les Vigneron, je les mêle à Pierre, à qui ils peuvent s’adresser pour avoir des nouvelles. (Ibid. F°169)
Enfin, (…) Mme de Jonquière peut s’échapper un instant, pour aller retrouver
sa fille et ses dames.  (Ibid. F°s169-170)
Et là il [Pierre] est en face de Mme Volmar. Il peut la connaître, savoir son histoire, le mouvement qu’il fait. (Ibid. F°170)
Il [l’homme] peut passer d’une minute à l’autre (…). (Ibid. F°171)
La cérémonie dans la bousculade du départ ; on peut même retarder un peu le départ. (Ibid. F°172)
D’abord, tout l’épisode de l’homme. On a pu le croire mort, mais il n’est qu’évanoui. (…) La sœur Saint-François peut arriver avec un bouillon, ce qui la pose. Ferrand ne pouvant s’expliquer sur la maladie de l’homme (…). (Ibid. F°173)
Je puis poser les Vigneron et madame Chaise (…). Tous peuvent s’approcher pour voir l’homme, même l’infirme, le petit Gustave (…). (Ibid. F°174)
En outre, on peut avoir descendu sur le quai madame Dieulafay, qui occupe un compartiment de première. (…) Graduer toutes ces souffrances, pour
arriver à la plus grande intensité possible. (Ibid. F°s174-175)
Peut-être pourtant, [faudr biffé] vaudrait-il mieux n’avoir que la gare. Dans ce cas, je pourrais ne dire qu’un mot des cérémonies, en nommant simplement les malades qui peuvent y aller. (Ibid. F°176)
Elles [Mme de Jonquière, sa fille Raymonde et Mme Volmar] peuvent venir voir l’homme et s’intéresser tout de suite à lui (…). (Ibid. F°176)
Je pourrai pourtant prendre Pierre comme lien naturel entre les divers épisodes. Il peut
connaître du monde. (…) Il peut aussi faire connaissance avec les Vigneron (…). (Ibid. F°s178-179)
Sœur Hyacinthe, court chercher Ferrand, pour l’homme. Et là leur passé. Elle peut ne pas l’avoir encore vu (…). (Ibid. F°180)
Un instant, il [Pierre] peut croire qu’il croit. (Ibid. F°191)
Un instant même où il [Pierre] peut espérer qu’il va croire. (Ibid. F°197)
C’est alors que Pierre, qui a toujours aimé Bernadette, peut parler d’elle à tout le wagon, en commençant une lecture. (Ibid. F°197)
J’ai donc deux heures de chapelet et de cantique, pendant lesquelles Sophie Couteau pourra raconter son miracle. (Ibid. F°198)
Dès 8.20, je puis faire commencer la lecture. (…) Tous les exercices sont faits, les cantiques chantés ; et une lecture est possible. (Ibid. F°202)
Toutes les objections qu’il [Pierre] s’était faites, et qui peuvent fléchir un peu à ce moment, pour le
mouvement du chapitre. (…) Les paroles qu’elle prête à la Vierge, elle a dû les entendre. Le temps voulu. Comment cela a pu se faire. – (Ibid. F°s207-208)
Marie et Pierre [en interligne : M. de Guersaint dort], elle peut s’assoupir et rêver, lui insomnie, repassant cette idée, se forçant à croire. (Ibid. F°210)
On chante, à Adé, (3.30) dix minutes avant l’arrivée « l’Ave maris stella » et je puis aussi faire chanter l’obsession, l’Ave, Ave, Ave Maria. Mais surtout l’homme qui meurt, voir où je puis placer la mort. (Ibid. F°211)
Même, il [Pierre] pourra par moments quitter le livre, et parler de lui-même, avec une facilité charmante, un charme pénétrant (…). (Ibid. F°212)
Déjà il [Pierre] peut discrètement indiquer la sacrifiée [Bernadette]. (Ibid. F°213)
Puis avec le père et le docteur qui continuent à se promener, je puis avoir les premiers pèlerinages (1875) (…). (Ibid. F°224)
Elle [Mme Désagneaux] peut causer avec les Pères ou avec les hospitaliers. (Ibid. F°233)
Enfin, faire agir tout le monde le plus possible. Et tâcher de garder Pierre et Marie au centre, avec M. de Guersaint, dont je me débarrasserai, si je puis, en lui faisant lier connaissance avec l’abbé Des Hermoises, qui pourrait être là aussi, et avec lequel il parlerait tout de suite de Gavarnie. (Ibid. F°236)
Lui [Pierre], voudrait croire. Il a pu espérer un instant qu’il croyait. (Ibid. F°248)
Enfin, trouver l’excuse pour que Pierre puisse s’éloigner.– (Ibid. F°253)
Et [dire biffé] laisser entendre alors comment il [Chassaigne] a pu en arriver à croire à Lourdes. (Ibid. F°259)
Et dire qu’on trempe dans la même eau un autre malade, tout de suite, le petit Gustave peut-être. Voir si cela peut s’arranger. (Ibid. F°263)
Je montre enfin (…)
Raymonde de la Jonquière, en jeune hospitalière aimable, qui distribue du bouillon devant la grotte. Marie, épuisée, pourra en prendre un. (Ibid. F°s269-270)
Il [M. de Guersaint] a déjeuné en courant, s’est oublié à quelque chose ; et expliquer pourquoi il n’a revu ni sa fille (qu’il aura pu manquer à l’hôpital), ni Pierre, qu’il n’aura pas su trouver. (Ibid. F°271)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (Ibid. F°272)
Est-ce qu’un lupus peut être d’origine nerveuse ? – (Ibid. F°273)
Il [Pierre] pourrait surtout conclure, quand il sortirait de ce bureau. (Ibid. F°274)
L’état actuel de Chassaigne, comment il y est arrivé et les raisons qu’il peut donner. (Ibid. F°276)
Et Pierre le dira, l’expliquera, car lui est la conclusion, le bonheur cherché dans la raison. Il ne peut être que là. (Ibid. F°277)
C’est par lui [Pierre] que j’ai la description de la salle et du personnage. Il peut juger toutes ces choses. (Ibid. F°280)
Tumulte, et je puis avec Pierre et Chassaigne en aparté. – (Ibid. F°282)
Ces vieilles plaies ne craignent rien ; et quant à la peau saine, elle ne peut rien prendre. C’est pourquoi il n’y a pas de contagion. – (Ibid. F°283)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (Ibid. F°284)
Puis le remède qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple ; très dangereux, mais qui sait ?
Ça peut sauver, si ça ne tue pas. – (Ibid. F°s284-285)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes (…). (Ibid. F°285)
Ils [les pères de la Grotte] sont derrière comme une force cachée, organisant tout et ramassant tout. Je puis dire cela ici et le répéter, le faire sentir à plusieurs reprises, plus loin. (Ibid. F°290)
Et je puis faire que l’abbé Judaine s’arrête aussi avec eux [Pierre, Chassaigne et le Commandeur]. (…) Il parle de ce mort que le père Fourcade a voulu ressusciter. Est-ce qu’il en avait le droit. Si cela avait réussi, est-ce que le ressuscité n’aurait pas pu lui dire : De quoi vous êtes-vous mêlé. (Ibid. F°293)
Tous les dossiers sont là. Pierre peut songer à celui de Marie (…). (Ibid. F°295)
C’est madame de Jonquière qui le [Pierre] reçoit ; et comme elle est très inquiète de Marie, (…) elle le laisse entrer, car lui seul pourra peut-être avoir une action. (Ibid. F°296)
Poser tout de suite (…) que Pierre pourra proposer une histoire, une lecture, la continuation de la lecture du petit livre sur Bernadette, qu’il trouve sur la petite valise de Marie. – (Ibid. F°296)
Elle [Marie] ne peut communier dans cet état de révolte. Mais elle ne lui répond. (Ibid. F°297)
Peut-être pourrait-elle [madame Volmar] être là et disparaître devant Pierre, qui l’avait entrevue dans l’escalier de l’hôtel des Apparitions. (Ibid. F°298)
Manque de volonté surtout, [Bernadette] ne peut pas vouloir se dégager de ce rêve. Les hystériques ne savent pas, ne peuvent pas, ne veulent pas vouloir. (Ibid. F°302)
Pierre l’accompagne [l’abbé Judaine] pour cette communion, l’assiste,
et c’est ainsi qu’il peut rentrer dans cette salle de femmes. (Ibid. F°s304-305)
Sophie Couteau peut passer, quoiqu’il faille se méfier de la prodiguer trop. – (Ibid. F°307)
Seulement, je reprends les persécutions pendant les apparitions, pour montrer comment les persécutions peuvent fonder une religion – (Ibid. F°309)
Je crois que le monsieur aurait pu louer
deux chambres voisines, communiquer, l’une pour lui, l’autre pour sa prétendue sœur. (…) Puis, Pierre qui a vu Mme Volmar disparaître de l’hôpital, l’aperçoit. Il la connaît, et elle peut entrer, se confesser à lui, dire son malheur. (Ibid.F°s318-319)
Ce qui peut être très intéressant, c’est tout l’hôtel. (Ibid. F°322)
On peut voir les allées et venues du monsieur. Mais madame Volmar ne reparaîtra qu’à la cinquième partie. (Ibid. F°324)
Maintenant, Mme Maze peut arriver là, de cette façon. (…) Amertume de Majesté, d’autant plus qu’il peut y avoir d’autres erreurs, d’autres lettres pour des dames qui sont aux Sœurs bleues.– (Ibid. F°324)
Mais le baron Suire est là aussi, et Pierre (…) songe à lui demander directement la permission pour Marie, qui désire [de biffé] passer à la Grotte. Il peut l’autoriser. (Ibid. F°331)
Je puis faire passer le père Capdebarthe. (Ibid. F°332)
Mais auparavant, dire que le mariage est décidé entre Raymonde et Gérard. Elle l’a conquis. C’est fait. Elle peut le dire à sa mère. – (Ibid. F°333)
Et je puis alors le [Pierre] promener dans Lourdes avec M. de Guersaint, organisant toujours la partie. (Ibid. F°337)
Ils [Pierre et M. de Guersaint] ren- \\contrent Gérard qui peut leur faire tout visiter, le magasin des cierges, l’emballage de l’eau. (Ibid. F°s337-338)
Je puis ne faire partir M. de Guersaint que le lundi matin, parce que c’est moins cher, et il espère revenir le lundi soir (voir les distances). (Ibid. F°338)
Et je puis créer des épisodes, faire passer des personnages (…), chacun avec son trait caractéristique. – (…) Et finir par M. de Guersaint qui revient, la procession étant interminable (vingt mille personnes).
Comment il peut revenir. (Ibid. F°s354-355)
M. de Guersaint peut en être et se récrier sur la beauté artistique de cela. (…) Et ce pourrait être lui qui monterait au Calvaire, et puis qui reviendrait. (Ibid. F°359)
Pendant qu’elles [Marie et Mme Vincent] causent, Pierre peut entrer dans l’abri, et le visiter, le poser, si c’est nécessaire. (Ibid. F°361)
Le chapitre m’a l’air un peu maigre, et je puis y développer une sorte d’idylle entre Marie et Pierre, par cette
promenade, cette petite voiture qu’il traîne sous la belle nuit. (Ibid. F°s361-362)
Je puis faire passer Mme Maze, reconnue peut-être dans la procession. (Ibid. F°362)
Enfin, je puis avoir des conversations dans la folle [sic], des gens qui ont fait des excursions et qui les racontent. Enfin la fin de foire de ce beau dimanche (…) (ne pas insister, pour le sentiment de grand calme éprouvé par Pierre ; mais il pourra ne l’éprouver qu’à la fin). (…)
Et Pierre, pendant qu’il reconduit Marie à la Grotte, pourrait apercevoir la lumière de Mme Volmar et de son monsieur à la fenêtre lointaine de l’hôtel. (Ibid. F°s363-364)
A chaque chapitre, revoir les personnages et choisir ceux qui peuvent entrer dans le chapitre. (Ibid. F°364)
Hospitalité de nuit, ce que j’ai vu dans l’abri. On aurait pu y recueillir la petite Rose (Hospitalité de N.-D.-du-S. 34). (Ibid. F°365)
La source qui coule derrière la grille, qu’on entend : l’idée de l’empoisonner. Le bruit qu’elle fait peut revenir plus loin. (Ibid. F°367)
Poser qu’elle [Mme Vincent] ira à la Grotte. Des gens, que les plaintes de Rose gênent, peuvent grogner. (Ibid. F°369)
C’est alors qu’il [Pierre] peut retourner à la Grotte (…), avec la volonté de demander la foi. (Ibid. F°371)
Quelqu’un peut être là, le baron Suire, et lui donner les détails, la Grotte par tous les temps, l’hiver, etc. (Ibid. F°375)
Ne peut-on pas dire qu’elle [Marie] sait qu’elle guérira à quatre heures. L’auto-suggestion. (…) Enfin tous les détails que peut donner une nuit passée à la Grotte. (Ibid. F°378)
Il [Chassaigne] l’in- \\terroge [Pierre], comprend [ses dou biffé] qu’il doute encore ; et je pourrais le faire travailler, mais discrètement, à tâcher de rendre la foi à son jeune ami. (Ibid. F°s383-384)
Surtout un morceau pour bien montrer qu’elle [Bernadette] ne pouvait pas devenir une sainte militante, une conductrice de peuples (…). (Ibid. F°386)
Alors finir par Bernadette. Pierre se jette tout vêtu sur son lit et peut s’endormir en songeant à elle. (Ibid. F°390)
Il [Chassaigne] n’a pas connu Bernadette ; [mais il biffé] et encore il aurait pu l’entrevoir à un de ses voyages (…). Il était jeune médecin, contre tout surnaturel (…) ; mais, en passant, il peut l’avoir tout de même aperçue. (Ibid. F°391)
Elle [Bernadette] ne pou- \\vait pas devenir une sainte, une agissante, une conductrice de peuples (…). (Ibid. F°s393-394)
Voir si je ne pourrais pas mettre toute la conversation dans un cadre de paysages. (Ibid. F°397)
Ce qui ne pourra entrer dans ce chapitre, devra être conservé pour le chapitre V de la quatrième partie. (Ibid. F°398)
Une fenêtre a pu être ouverte (à côté de Marie) sur la cour. (Ibid. F°400)
Et elle [Mme Vêtu] peut faire donner à son mari le conseil de se remarier. (Ibid. F°407)
Marie doit finir. Elle peut voir enfin Mme Vêtu mourant. (Ibid. F°407)
C’est cette mort qui peut servir de [p biffé] cadre, de pivot, à tout le
chapitre. (Ibid. F°s409-410)
Ce serait Ferrand qui pourrait me [le biffé] donner le frère Isidore qu’il serait en train de ranimer, lorsqu’on l’appelle pour Mme Vêtu. (Ibid. F°413)
De même que Raymonde peut me donner le réfectoire, en bas, où mangent les malades qui peuvent marcher. (Ibid. F°413)
Et elle [Mme Vêtu] peut faire donner à son mari le conseil de se remarier. (Ibid. F°414)
Mettre cela en conversation, sans oublier le baron Suire, qui peut venir donner un coup d’œil. – (Ibid. F°415)
Je puis dire qu’on les voit de la Grotte, quelqu’un
qui serait du défilé et qui les verrait. (Ibid. F°s416-417)
[M. Sabathier] Peut causer avec sa femme de madame Maze (…) qu’ils voient tous les jours à genoux, discrète et effacée. (Ibid. F°418)
Le père [M. Vigneron] s’asseyant, pouvant causer avec quelqu’un, ce qui diversifierait un peu. (Ibid. F°418)
Il [l’abbé Judaine] peut causer aussi avec M. Vigneron. (Ibid. F°419)
Marthe peut causer avec Mme Sabathier, ce qui me donnerait un bout de conversation. (Ibid. F°420)
Je puis faire se lever madame Maze pour aller [embra biffé] baiser le roc, ainsi que les Vigneron : madame Chaise est remise. (Ibid. F°422)
Je les mets côte à côte, M. Sabathier pourra suivre la mort du frère. (Ibid. F°424)
En somme, tout ce chapitre peut-être pour mes malades secondaires devant la Grotte, car je puis ne pas les avoir montrés encore là. Je puis surtout les réserver, ne
les avoir que nommés dans les autres parties, et les étaler là devant la Grotte. (Ibid. F°s426-427)
Les mots qui peuvent être dits dans la foule à la vue de la jeune fille. (Ibid. F°432)
Un dernier effort chez lui [Pierre], pour reconquérir la foi – Le drame est là. Il peut l’espérer (…) \\. (Ibid. F°s435-436)
Raboin, le père Dargelès, les autres personnages qui peuvent être là. (Ibid. F°439)
Et lorsque Marie dit : « Je suis guérie » lui [Pierre] peut dire : « Je suis perdu. » (Ibid. F°440)
Quelqu’un a pu rouler jusque-là le chariot qu’elle [Marie] avait laissé devant la Grotte [dans biffé]. (Ibid. F°440)
Je ne puis l’avoir [la Grotte] de nouveau qu’en la rendant plus intense. – (Ibid. F°443)
Et là des femmes la [Marie] baignent, je puis décrire cela pour corser le chapitre, s’il en est besoin. (Ibid. F°445)
Je puis avoir comme personnage marchant la Grivotte toujours exaltée, Sophie Couteau gaminant, Elise Rouquet aussi, avec elle. – De plus je puis mettre en haut les Vigneron, que je retrouverai dans la Grotte, et madame de Jonquière et madame Désagneaux, dont j’aurai besoin tout à l’heure – (Ibid. F°453)
Et désormais elles [madame Jonquière et madame Désagneaux] veillent sur Marie, on peut la leur confier, ce qui rend Pierre libre. (Ibid. F°454)
Ce sont les Vigneron (…) qui lisent les inscriptions des ex-voto. Lui-même [Pierre] peut se lever et en lire. (Ibid. F°457)
Pour corser un peu le chapitre, il faut voir si je ne pourrais pas y introduire quelques uns de mes personnages. (Ibid. F°465)
En bas dans la crypte, il [Pierre] peut voir Mme Maze, ou les Vigneron lisant les ex-voto ; et Raymonde peut passer (…). (…) Raymonde pourrait lire les inscriptions avec Gérard et Berthaud, bien que cela me semble inutile. Le Commandeur pourrait être dans la Crypte, si je ne l’ai pas utilisé au chapitre précédent ; et l’employer alors. (Ibid. F°466)
Je puis avoir la description en y faisant promener mes deux personnages – (Ibid. F°474)
Auparavant, ils [Pierre et Chassaigne] peuvent voir le moulin sur le Lapaca, en passant. (Ibid. F°480)
Le docteur Chassaigne s’agenouille. Il a connu Peyramale, il a pu le voir mourir, il en parle. (Ibid. F°482)
Songer qu’on ne peut emporter le corps le même jour (…). (Ibid. F°486)
Mme de Jonquière l’a permis et sœur Hyacinthe peut accompagner Marie. (Ibid. F°488)
Enfin, j’ai pour finir le chapitre, le déjeuner très gai qu’ils [Pierre, Marie et M. de Guersaint] peuvent faire à trois. (Ibid. F°488)
Si je veux montrer le monsieur de Mme Volmar, je pourrai le faire passer à la fin. (Ibid. F°489)
On pourrait lui faire acheter une paire de bottines, car elle [Marie] n’en a pas apportées (pour ne pas se porter malheur). (Ibid. F°492)
Mais surtout, je le répète, tout l’ancien Lourdes pour que je puisse l’opposer au nouveau que je vais décrire. (Ibid. F°496)
Appoline peut regarder Marie avec curiosité. (…) Ils [M. de Guersaint et Des Hermoises] peuvent aussi causer de leur excursion – Mais le plus tôt possible, je mets Appoline en conversation avec Des Hermoises. (Ibid. F°500)
Mme Majesté peut revenir. (Ibid. F°501)
Comment une nouvelle Bernadette ne peut pousser à Lourdes, parce que les visions de
la première Bernadette a fait [pa biffé] naître un Lourdes nouveau. (Ibid. F°s501-502)
Elle [Appoline] ressemble à Bernadette, c’est frappant ! peut dire M. de Guersaint, et Des Hermoises aussi (très bon). (Ibid. F°502)
Comment une nouvelle Bernadette ne pourrait pousser à Lourdes, parce que les visions de la première Bernadette a [sic] fait de l’ancien Lourdes un Lourdes nouveau. (Ibid. F°504)
Je puis aussi utiliser le diorama et le panorama, pour faire une comparaison entre l’ancien Lourdes et le nouveau Lourdes. (Ibid. F°507)
Pourtant, Berthaud et Gérard, [apr biffé] ainsi que le baron Suire, après avoir laissé leurs hommes dans la cour
peuvent très bien être sur le quai, où ils attendent. (Ibid. F°s510-511)
Celui-ci [Gérard] et Berthaud ont fait la demande le matin à Mme de Jonquière, et rendez-vous peut être pris en septembre, pour que les jeunes gens se retrouvent – (Ibid. F°513)
Les dames hospitalières peuvent être allées au wagon ; mais ne pas oublier que Raymonde et les deux autres remontent en première. (…) Pierre et Ferrand peuvent causer. (Ibid. F°514)
Faire qu’il [le Commandeur] puisse dire quelques mots. (…)
Lui donner donc une maladie qui puisse l’emporter [le Commandeur] en trois attaques, et en lui conservant à peu près son intelligence à la troisième. (Ibid. F°524)
Tout le personnage [le Commandeur] : « Mourez donc tranquillement, et ne venez pas si loin chercher cette misérable vie. » Ce pourrait être la conclusion philosophique. (Ibid. F°525)
Je pourrais donc mettre l’épisode du Commandeur à la fin de ce chapitre. (Ibid. F°526)
Avec le docteur Chassaigne, je puis montrer le docteur Bonamy. (Ibid. F°528)
Pour le rembarquement, je reprendrai mon wagon tel qu’il est venu. Seulement, je puis y faire, dans les places, tous les changements que je croirai nécessaires. Ainsi Mme de Jonquière et sœur Hyacinthe peuvent être placées autrement. (Ibid. F°532)
Insister, elle [Mme Vincent] peut le [en interligne : faire] demander aux directeurs du pèlerinage (…). (Ibid. F°534)
Pour Pierre réflexion qu’il peut faire là-dessus. (Ibid. F°567)
Et ce que répond
le docteur : Il n’y a que l’amour qui est la toute puissance de la vie (…) (voir si cela ne peut pas servir plus loin, au moment des scrupules). (Ibid. F°s584-585)
Mais je crois que le chapitre gagnera à être très simple et à ne contenir absolument que Bernadette, avec toutes les réflexions que peuvent faire faire
sa vie et son œuvre. (Ibid. F°s594-595)
La nuit à l’hôpital. Toute la salle. [M. biffé] L’abbé peut y rentrer grâce à l’aumônier. (Ibid. F°602)
Un récit qu’on peut faire à mon prêtre. (Ibid. F°603)
Pourquoi ne serait-il pas prêtre ? (…) Puis, la foi peut revenir. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 11 – Notes sur Pierre Froment)
Et c’est en pensant à lui que Pierre peut faire, à la fin, dans le train, la comparaison entre les premiers chrétiens et les anarchistes d’aujourd’hui. (Ibid. Fo 17 – Notes sur Guillaume Froment)
Elle n’a jamais été réglée ; et, si je pouvais,
le miracle, ce serait la venue du sang. (Ibid. Fos 21-22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Ce pourrait même être, à la suite d’une de ces offres, qu’il regrette de ne pas croire, pour accepter et se rendre utile : dès lors, l’effort pour croire, à Lourdes. (Ibid. Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
On a retenu tout un compartiment de première (…) ; et elle est accompagnée de son mari et de sa tante, madame Jousseur que Pierre pourra connaître. (Ibid. Fo 42 – Notes sur Mme Dieulafay)
Mme Jousseur aura pu faire parler d’elle. Une histoire de passion. (Ibid. Fo 44 – Notes sur Mme Jousseur)
Pourtant, ne pouvoir rien conclure, puisqu’il y a des plaies apparentes de source nerveuse, d’après Charcot. (Ibid. Fo 48– Notes sur Elise Rouquet)
C’est elle qui va chez les sœurs bleues. Donc quelque argent. Elle peut donner cent sous à la mère. Non. (Ibid. Fo 62 – Notes sur Madame Maze)
Comment un homme d’une intelligence élevée et claire, nourrie dans l’analyse, peut arriver à croire aux miracles, sous le coup d’une grande douleur. – (Ibid. Fo 65– Notes sur le docteur Chassaigne)
L’atavisme qui le prédisposait à la foi, un admirateur de Bernadette qu’il a pu connaître. (Ibid. Fo 66 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Autrement, dès que le miracle peut passer, il est admis. (Ibid. Fo 70 – Notes sur Raboin)
Son frère, un diplomate, qui pourra pousser son gendre. (Ibid. Fo 72 – Notes sur Madame de Jonquière)
Cela pourrait être une de ses pénitentes et il [Pierre] connaîtrait l’histoire par la confession, mais je répugnerais un peu à cela. (Ibid. Fo 76 – Notes sur Madame Volmar)
Je puis faire que son mari soit à Cauterets. (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Voir si je puis l’employer davantage. (Ibid. Fo 85 – Notes sur le baron Suire)
D’ailleurs Pierre pourrait et devra passer en revue, en une page, tous les genres de prêtres qu’on rencontre à Lourdes. L’abbé Judaine sera aumônier de la salle de madame de la Jonquière. Il pourra être dans le train, avec ses dames, ou accompagnant une malade. (Ibid. Fo 92 – Notes sur l’abbé Judaine)
Et c’est ainsi que je le pourrai. Puis, je l’aurai au moins à la procession et à la fin. (Ibid. Fo 93 – Notes sur le père Massias)
[Je puis en faire l’aumônier de la salle des ménages, où se trouvent [Sabat biffé] Sabathier et le père Isidore. (…) Et voir si je ne pourrais pas le mêler [d’ava biffé] davantage aux différents drames. Il est d’Angers. Il ne montera que là dans un wagon de première. Sophie Couteau peut parler de lui. (…) biffé] (Ibid. Fo 95 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Ce que le milieu a fait d’Appoline, qui aurait pu être une Bernadette. (Ibid. Fo 103 – Notes sur Appoline)
Il a un oncle au conseil municipal, ce qui lui permet d’en connaître les secrets. Aussi peut-il raconter toutes les histoires de la Grotte (…). C’est en allant se faire raser chez lui que [mon biffé] M. de Guersaint, accompagné de Pierre, peut le faire causer. (Ibid. Fo 106 – Notes sur Cazaban)
Peut-être
pourrait-il accompagner Pierre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. – (Ibid. Fos 106-107 – Notes sur Cazaban)
Il peut s’appeler M. Commandeur, et c’est pour cela qu’on l’appelle le Commandeur. (…) Il veut mourir et que cela soit fini. Les
furieuses parades que Lazare pourrait adresser au Christ (…). (Ibid. Fos 108-109 – Notes sur le Commandeur)
J’en puis faire l’ami de l’abbé Judaine (…) \\. (Ibid. Fos 113-114 – Notes sur le Commandeur)
La faiblesse dans les jambes peut aller jusqu’à la paralysie. (Ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Presque tous les autres médecins ont
pu croire à une paralysie venant de la moelle (elle ne remue plus, au lit). (…) Et tous continuent à affirmer leur opinions, de sorte que lorsque la guérison se produira, ils pourront crier au miracle. (Ibid. Fos 118-119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Il [le grand médecin] comprend qu’en principe il [y biffé] a pu y avoir une luxation de l’utérus, mais que cela s’est guéri et qu’il ne reste qu’un état névropathique. (…) L’attention immobilisée, ne pouvant se distraire et acquérir des notions nouvelles, sauf sous le coup d’une grande émotion. (…) Le hale terreux peut être remplacé immédiatement par un teint rosé. (Ibid. Fo 120 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Mais l’apparence peut être qu’elle renaît et engraisse. (Ibid. Fo 121 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Carreau très rare [en interligne : la mère peut dire qu’elle a le carreau]. (Ibid. Fo 122 – Notes sur la maladie de la petite Rose Vincent)
L’aplatissement peut succéder au gonflement. (Ibid. Fo 122 – Notes sur la maladie de la petite Rose Vincent)
On ignore quel coup de fouet peut modifier la nutrition. Une émotion peut déterminer des modifications. Là est un inconnu que la science épelle à peine (la nutrition, les modifications qui peuvent lui être apportées). – (Ibid. Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
Lupus. (…) Toute la partie cartilagineuse peut être détruite (…). (Ibid. Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
Femme de 30 ans. Affection de la colonne vertébrale. Moxas, iode, cautères, rien n’y fait.
On ne peut en croire ses yeux, toujours cela revient. (Ibid. Fo 136 – Notes sur les Miracles)
Sœur Dorothée. Myélite grave. – (…)
Dans le train terrible, ne peut plus manger, abattement extrême. (Ibid. Fos 136-137 – Notes sur les Miracles)
Sœur Dorothée. Myélite grave. – (…)
Un bain froid, déconseillé, mais moyen perturbateur très puissant. [On biffé] Il peut faire beaucoup de mal, mais il peut avoir des résultats très surprenants. (Ibid. Fos 136-137 – Notes sur les Miracles)
Marguerite Gehier, 59 ans, malade depuis 27 ans, constitution scrofuleuse. (…) Va à Lourdes, [en interligne : peut] s’agenouiller tout de suite, se relève et marche sur ses deux jambes. (Ibid. Fo 140 – Notes sur les Miracles)
Louise Gibert. (…) Ne peut marcher sans être soutenue. (…) Le lendemain, elle se bouge et peut faire quelques pas. (Ibid. Fo 141– Notes sur les Miracles)
Macary. (…) La chirurgie ne peut intervenir. (Ibid. Fo 152 – Notes sur Pierre Froment)
L’imagination ne peut reconstituer les organes – Pourquoi pas ? (Ibid. Fo 161– Notes sur les Miracles)
Un interne de Paris, et un médecin de Tarbes soutiennent que cette paralysie est d’origine cérébrale. Saint-Maclou dit qu’elle peut être essentielle, c’est-à-dire sans lésion. (Ibid. Fo 163 – Notes sur les Miracles)
L’imagination fait les miracles. Mais vous ne pouvez restaurer une [j biffé] substance détruite. – (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Le miracle opérant. On ne peut pas en croire ses yeux [les médecins n’y comprennent rien].– (Ibid. Fo 178 – Notes sur Dozous 7-12)
Le plafond, lambrissé, est peint en blanc, et très propre. Une malade peut compter les lambris, de la lampe à une portière. (…)
Et il y a là, au-dessus de la cloison, des patères où l’on peut accrocher des bagages. (Ibid. Fos 181-182 – Notes sur le Départ de Paris)
L’odeur infecte qui règne parfois dans les wagons, avec la chaleur (…). On ne peut pas toujours ouvrir. (Ibid. Fo 189 – Notes sur le Départ de Paris)
Il faudrait revoir tout cela de près, l’étudier à fond, pendant un grand pèlerinage, de façon à pouvoir tracer les tableaux sur
des faits absolument vrais – (Ibid. Fos 213-214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Et ne pas oublier les singuliers [dessins biffé] profils que l’on peut reconstituer avec les [flaques biffé] nappes de neige (…). – (Ibid. Fo 220 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Le préfet, la grotte appartenant à la Commune, la C. peut défendre de prendre de l’eau. (Ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
(C’est la 3ème apparition.) (…) Du monde peut venir. – (Ibid. Fo 234 – Notes sur H. Lasserre)
Quel secret pouvait-il y avoir entre Bernadette et la Vierge. – (Ibid. Fo 238– Notes sur H. Lasserre)
Les médecins concluent qu’elle [Bernadette] « pourrait bien être hallucinée ». (Ibid. Fo 247 – Notes sur H. Lasserre)
L’eau pouvait peut-être guérir médicalement. (Ibid. Fo 247 – Notes sur H. Lasserre)
La grotte appartenant à la commune, la commune peut défendre de prendre de l’eau. (Ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] aurait [aimé] revenir à Lourdes. (…) Mais elle savait qu’elle ne pouvait y passer inaperçue. (Ibid. Fo 263 – Notes sur H. Lasserre)
Elle part le 10 août, radieuse, au milieu des larmes. (…) Le lendemain matin, elle ne peut aller à la Grotte, tant elle est fatiguée. (Ibid. Fo 275 – Notes sur Mlle de Fontenay)

Travail (1901)

cela peut donner un drame intéressant (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 352/5)
Je ne puis naturellement prendre tous les corps d’état (Ibid., f° 352/5) \\La misérable fille peut-être déjà mariée (Ibid., f° 354/7) \\j’ai de l’amour, le lien entre Luc et la femme, qui peut devenir une grande passion (Ibid., f° 355/8)
Ce savant pourrait avoir une fille avec lui (Ibid., f° 356/9) \\Il ne peut donc avoir que des élans, une prédestination (Ibid., f° 358/11) \\L’idée du travail, je puis la mettre chez le vieux professeur, dans lequel je me mettrai un peu (Ibid., f° 358/11)
C’est donc chez le vieux professeur que Luc peut venir (Ibid., f° 358/11) \\Il pourra mettre un peu d’art dans la construction de la cité (Ibid., f° 359/12)
Elle peut être assez affinée, voir à la créer, et peut-être, la femme d’un jeune contremaître de l’usine (Ibid., f° 360/13) \\Il peut écouter d’abord (Ibid., f° 361/14) \\Je puis faire qu’on croie le mari mort et qu’on dresse un acte de décès (Ibid., f° 361/14)
Il peut être un savant, un électricien faisant des découvertes qu’on appliquera, le mouvement, la chaleur, etc. (Ibid., f° 364/17)
Il peut se contenter du minimum. Il peut aussi se trouver sauvé par le travail (Ibid., f° 365/18) \\La femme de l’usinier peut être sa maîtresse et le désoler par un caractère de chien (Ibid., f° 365/18)
Elle peut finir par dire elle-même son adultère à son mari (Ibid., f° 367/20)
Voir si cela ne pourrait pas être le fils du capitaliste et la fille de l’usinier (Ibid., f° 369/22)
Dans ce cas-là, je puis donner deux enfants aux capitalistes que j’utiliserai (Ibid., f° 370/23) \\Le capitaliste peut se trouver rapproché des ouvriers (bonne entente, lutte des classes finie) (Ibid., f° 370/23)
Un moment, je le répète, il peut croire tout perdu (Ibid., f° 373/26)
Je ne puis guère donner à Luc d’autre mouvement, c’est un architecte, un constructeur de ville (Ibid., f° 374/27-375/28)
Et celui-là, je puis le donner comme une recrue hésitante à Luc (Ibid., f° 377/30-378/31)
Mais un drame chez lui (…) et il peut avoir à sa charge le père de cette femme (Ibid., f° 378/31)
Ce contremaître, relativement jeune, peut être le frère de l’ouvrière, ce qui resserrerait l’action (Ibid., f° 378/31)
Pourtant comme l’ouvrier disparaît à la fin du Livre deuxième , et ne reparaît qu’un peu au Livre troisième (…) je n’aurai donc pas d’ouvrier sur lequel je puisse montrer un bon changement (Ibid., f° 381/34)
Les deux autres (…) peuvent être deux frères (Ibid., f° 382/35)
mais je puis avoir encore de la verrerie artistique, ce qui me donnerait des ouvriers d’art (Ibid., f° 386/39)
En outre, pour montrer des flacons, des nécessaires de voyage, je puis avoir des orfèvres (Ibid., f° 386/39)
Je puis faire qu’on se remette à la culture de la terre, scientifiquement (Ibid., f° 386/39)
Je puis nommer enfin un boulanger, un boucher (Ibid., f° 388/41) \\Luc peut y conduire la femme (F° 392/45)
On pourrait retrouver là, dans une maison, la femme de l’ouvrier (F° 393/46) \\La femme de Luc peut mourir, en lui laissant cinq enfants (Ibid., f° 397/50)
Je pourrais utiliser cela (Ibid., f° 398/51)
D’abord, il peut s’occuper d’une usine qui a poussé au flanc du colosse, une usine d’instrument aratoire en plus simple, charme, biche, etc. (Ibid., 399/52) \\Cette usine peut appartenir à Jordan, le savant, qui la lui confie (Ibid., 399/52)
Les personnages peuvent donc être un fermier (Ibid., f° 400/53)
Alors, Luc qui prospère peut racheter (?) les Hauts Fourneaux (Ibid., f° 401/54)
Pour les âges.C’est important.Luc peut n’avoir que 25 ans à la première partie (…) Toute la période de la seconde partie peut tenir dix années (Ibid., F°404)
Si j’ai cinquante-cinq ans d’espace, je puis les marier à 23 ans et 18 ans (…) Delaveau peut avoir 35 ans (…) pourra très bien vivre 20 ans encore (Ibid., F°405)
Je peux très bien faire que la grossesse de Josine soit le point déterminant de la querelle (Ibid., F°407)
Jordan et sa petite soeur peuvent n’être pas là (Ibid., F°408)
Il peut les connaître (…) ce qui serait le mieux (Ibid., F°411)
Suzanne peut même être une petite parente lointaine à lui (Ibid., F°412)
C’est avec la femme du maire qu’il peut avoir une liaison (Ibid., F°414)
Tout cela pourra suffire (…) les deux bourgeois rentiers (…) peuvent avoir une fille que je ferai épouser plus tard au fils Boisgelin (Ibid., F°415)
Voici les divers éléments que je puis employer (Ibid., F°417)
Ce qui me gêne pour distribuer cela, c’est que je ne sais comment attribuer les fonctions aux ouvriers, mes personnages, pour que quittant l’atelier Delaveau ils puissent être utilisés chez Luc (…)Peut-être pourrais-je donner à Delaveau le haut-fourneau (Ibid., F°417)
Mabire (que j’ai mis comme le mauvais contre-maitre chez Delaveau) peut devenir le chef fondeur (Ibid., F°422)
Gourg, le maire, pourrait avoir un atelier de cordonnerie ou de quelque chose concernant le vêtement (Ibid., F°423)
Je m’aperçois que je ne peux rien faire de bon si je ne fais pas de Bonnaire un révolutionnaire (Ibid., F°427)
Peut-être puis-je me contenter de cela comme point aigu (Ibid., F°429)
Et là retrouver Ragu et Bourron avec Josine et Nanet à la porte.Luc les revoit, il peut leur parler cette fois (Ibid., F°432)
Je songe que cela pourra très bien se faire avec la scène où je veux relever le vieux Qurignon (Ibid., F°437)
Donc ils n’ont pu se connaître que pendant deux ans à Paris (Ibid., F°439)
Et même sans qu’il y ait une explication entre eux, ils peuvent sentir qu’ils continuent à être d’accord (Ibid., F°442)
Je puis pousser cela plus loin, Suzanne peut avertir Luc (Ibid., F°443)

PRÉCÉDER (-DENT)

La Terre (1887)

Voir si le partage doit précéder ou suivre le mariage. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 418/19 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Ce chapitre doit précéder celui où elle travaillera avec les Hubert et dira son rêve (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 254/38-255/38bis)
J’en arrive ainsi à la faire éclater en larmes, le soir de mai, après le chapitre précédent (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)

Lourdes (1894)

Continuer le mouvement de la fin du précédent chapitre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°209)
Je reprends tout le wagon, avec le mouvement d’espoir et d’illusion de la fin du précédent chapitre. (Ibid. F°209)
Tout ce qui précède doit être traité brièvement, parce qu’en somme c’est Bernadette qui est centrale et qui doit emplir le chapitre. (Ibid. F°300)
Le morceau que j’ai déjà indiqué dans le chapitre précédent. (Ibid. F°362)
Seulement, je ne suis pas sans crainte ; car j’ai déjà la Grotte, au chapitre précédent, et je ne veux pas en abuser. (Ibid. F°443)
Le Commandeur pourrait être dans la Crypte, si je ne l’ai pas utilisé au chapitre précédent ; et l’employer alors. (Ibid. F°466)
Elle [Marie] peut le [Pierre] questionner discrètement, il répond de même. (Ibid. F°552)

PRÉCIEUX

Travail (1901)

Montrer que c’est par les enfants que l’évolution heureuse s’accomplira . Les enfants de Luc et Josine seront précieux(F°405)

PRÉCIS ( -CISER ) / PRÉCISÉMENT

Le Rêve (1888)

Le rêve encore vague que je veux préciser à la fin (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 264/47) Laisser encore un doute (…) Mais rien encore de précis (deuxième plan détaillé du chapitre VIII f° 106)
ne rien préciser qu’à la fin (Ibid., plan du chapitre IX, f° 120)

Lourdes (1894)

Son idée est que la science ne peut suffire, ni le travail, qu’il y a dans l’homme un besoin inexpliqué d’au-delà que la notion précise des faits ne satisfait pas. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°11)
Il est incroyant, il [attend biffé] ne vient pas précisément pour être converti ; mais il [attend biffé] peut attendre tout de même la grâce (…). (Ibid. F°82)
Il se décide à prononcer ses vœux, sans trop s’interroger sur son esprit précis et logique (…). (Ibid. F°87)
Je puis faire que la mère de cette fille soit précisément la directrice de la salle, et j’en fais une femme vraiment méritoire (…). (Ibid. F°100)
Elle [Bernadette] a cru voir quelque chose, et le quelque chose se précisant peu à peu sous la multiplicité des questions. (Ibid. F°208)

Il se décide à prononcer ses vœux, sans trop s’interroger sur son esprit précis et logique, voulant aussi faire ce grand plaisir à sa mère (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 8 – Notes sur Pierre Froment)

PRÉDESTINÉ

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Serge est un affaiblissement, il est prédestiné à la prêtrise, à être eunuque, par le sang, par la race et l’éducation. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 17)

PRÉDISPOSER

Lourdes (1894)

S’il [Chassaigne] est Pyrénéen, l’atavisme qui le prédispose à la foi. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°161)
Le docteur Chassaigne Pyrénéen. (…) L’atavisme qui le prédisposait à la foi. (Ibid. F°271)

L’atavisme qui le prédisposait à la foi, un admirateur de Bernadette qu’il a pu connaître. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 66 – Notes sur le docteur Chassaigne)

PRÉFÉRABLE / PRÉFÉRER

Voir aussi : Aimer

Le Ventre de Paris (1873)

Mais je préfère que Jacques ne meure pas (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 68)
Je préfère en faire un orphelin de marchande de poisson, un orphelin riche, à qui je donnerai une tante poissonnière (Ibid., f° 70)
je préfère garder les sergents de ville, la rue de Jérusalem, etc., pour un autre roman.(Ibid., f° 78)
En faire un brave homme alors. Non, il est préférable que ce soit une fermière. (Ibid., f° 79)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Cela est préférable, pour plusieurs raisons. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)

La Terre (1887)

je préfèrerait [sic] plutôt la [Louise] lui [Jean] faire épouser, puis la faire tuer, la ruiner ; et il se réengagerait. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 411/12 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Le sujet fatalement sera banal, je le préfère même tel (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 219/3).
(…) Je crois que je préférerai quelque chose de beaucoup plus simple (Ibid., f°224/8).
(…) Cela me donnerait une figure d’évêque très à l’arrière-plan ce que je préfèrerais (Ibid., f° 239/23)
(…) je pourrais peut-être prendre le château de Chateaudun, avec une rivière (…) peut-être serait-il préférable de l’avoir à plat (Ibid., f° 309/92)

Lourdes (1894)

J’ai dit que mon héros serait un anarchiste ; mais je n’en sais rien, ce sera peut-être un évolutionniste (je préférerais cela). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°18)
L’abbé Judaine est évidemment avec les Dieulafay, peut-être pas dans le même wagon. Je préfère le mettre avec Mme de Jonquière. (Ibid. F°179)
Peut-être finir par un Magnificat. Je le préférerais pourtant à la fin de la partie. (Ibid. F°197)
Une peinture de l’ancien Lourdes, au début ou à la fin. Je la préférerai à la fin. (Ibid. F°214)
Je crains que ce chapitre ne soit trop plein si j’y mets des discussions médicales. Je préfère le renvoyer au chap. suivant. (Ibid. F°276)
Puis, des mots dans la foule peut-être ; bien que je préfèrerais les [Pierre et Marie] avoir seuls, sous un arbre, dans l’ombre. – (Ibid. F°354)
En tous cas, y mêler Marie qui (…) vit dans une attente extasiée, Pierre ne doit venir la chercher qu’à trois heures (donc pas de Pierre dans ce chapitre, ce que je préfère). (Ibid. F°410)

En tous cas, cette maladie venue [après biffé] à la suite d’une chute. Ce serait préférable. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Peut-être
pourrait-il accompagner Pierre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. – Mais il est presque comique et je préférerai que ce fût le docteur [Lacassagne biffé] Chassaigne qui fût l’accompagnateur. (Ibid. Fos 106-107 – Notes sur Cazaban)
Il est difficile que ce malade vienne à Lourdes, sans vouloir être guéri. Je préférerai prendre un homme qui soit déjà à Lourdes. (Ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
==== PREMIER(E) (second / troisième) ====

Voir aussi : dernier ; fin ; d’abord… ; puis… ; enfin ; commencer

Le Ventre de Paris (1873)

Je raconte encore dans le premier chapitre le séjour à Bicêtre. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 200)
Lisa, née la première, en 1827, un an après le mariage, resta peu au logis. C’était une grosse et belle enfant, très saine, toute sanguine qui ressemblait beaucoup à sa mère. (Ibid., f°242)

La Conquête de Plassans (1874)

Premier Pierre et Félicité (…) Ils doivent reparaitre , et tenir une large place. Mais plutôt un fond de tableau qu’un premier plan (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
première période, sa soumission et sa tendresse pour son mari. Puis révolte contre son avarice, sa froideur,etc. Et enfin (…) chûte dans la religion (Ibid.F°22)
dans les premiers temps, Faujas croit devoir s’emparer de Marthe (Ibid.F°31)

Le premier coup d’œil de Faujas et de sa mère dans cet intérieur, sur la famille dans la salle à manger, dans le jardin (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F˚ 4)
Première attitude de Faujas, il va à sa paroisse, il (…) avec discrétion la maison des Mouret, reste humble. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan III F° 5)
Premier symptôme de dévotion chez Marthe, qui se croit délaissée par son mari. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
Première querelle entre Mouret et Marthe au sujet des enfants et de l’argent (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VIII F° 9)
Le cercle de la jeunesse, première idée. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan X F° 10)
Premiers succès politiques de Faujas. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 10)

Second Par les enfants il atteint une seconde fois les parents (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 10)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Ce roman est l’histoire d’un homme frappé dans sa virilité par une éducation première, devenu être neutre, se réveillant homme à vingt cinq ans, dans les sollicitations de la nature, mais retombant fatalement à l’impuissance. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 2)
Dans cette première partie, j’y pose également les personnages secondaires. (Ibid.,, f° 2)
Blanche descend parfois au village, et je la fait [sic] passer ainsi dans la première partie. (Ibid., f° 6)
Je la ferai blonde, pas trop grande, l’air d’une bohémienne endimanchée dans la 1ère partie, sauvage, avec une pointe de mystérieux. (Ibid., f° 7)
Je le pose dans la première partie. (Ibid., f° 8)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (Ibid., f° 14)
Trouver dans la première partie la place de ces choses. (Ibid., f° 17)
Premier morceau. Serge livré à l’humilité, la simplicité, la pureté, le mépris du monde, la défiance de la nature, la patience, etc.. Chrétien et catholique parfait. (Ibid., Extraits de L’Imitation, f° 34)
Se recueillir le matin et le soir (Serge se recueille le soir à la fin du 1er chap. ) (Ibid., f° 37)
Expliquer tout cela dans une première scène. Parler de Jeanbernat, de la Teuse, de Désirée. (Ibid., Le Paradou, f° 61)
(Plus tard, la fenêtre ouverte, le premier coup d’œil dehors me donnera un tableau.) (Ibid., f° 61)
Réveil de Serge, sa première conversation avec Albine (c’est vous, etc.) (Ibid., f° 61)
Premier jour naissance de l’homme dans la lumière. Il ne voit pas Albine. (Ibid., f° 62)
Dans la première scène des chapitres, faire dire à Albine. « … » (Ibid., La Bible, f° 66)
On se serait caché au village. Mais cela est trop raide. Il vaut mieux ma première version. (Ibid., f° 66)

Nana (1880)

Premier

I. – Première représentation 12 avril (avril 1867)
VIII. – Premier plongeon de Nana. (janvier-octobre 68). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Premier acte. – Conseil des dieux sur le sommet de l’Olympe. (Ibid. F°4)
Poser que c’est une 1ère représentation importante. (Ibid. F°6- Plan)
Premier acte, la pièce. Rose Mignon, Clarisse, Simonne
Après le 1er acte dans les couloirs. (Ibid. F°8)
Chapitre I. – La première représentation
Léon Juillerat est avec Amy Stewart. C’est lui, très parisien, qui pourra être le lien des personnages dans ce premier chapitre. (Ibid. F°11)
Georges Hugon ne lâche pas son bouquet arrive le premier. (Ibid. F°16)
Le premier acte de la Blonde Vénus s’ouvrait par un conseil des dieux, tenu dans l’Olympe. (Ibid. F°18 verso)
Première apparition de Francis le coiffeur (Ibid. F° 20)
Léoville 1er service (Ibid. F°35)
1er acte. Iris et Ganymède préparent l’Olympe pour le conseil (Ibid. F°47)
Ici, quand ils passent, la 1ère description de l’escalier le souffle de bordel, l’éclat, l’odeur, la chaleur. marchant solennellement le premier. (Ibid. F°49)
La première fois où il est posé que le ferment, laissé en bas, pourrit les hautes classes ensuite. La mouche d’or (voir chap. XIII). (Ibid. F°73)
La première gifle de Fontan. (Ibid. F°80)
Madame Robert entrevue la première fois, reconnue la seconde. (Ibid. F°81)
Au premier acte, exposition.
L’idée première a pu être inspiré (sic) à Fauchery par le ménage des Muffat. (Ibid. F°89)
On répète aux Variétés la pièce de Fauchery. on est au 1me (sic) acte (Ibid. F°90)
Il sait que celui-ci lâchera Rose au premier mot de Nana.
Après la première émotion (à trouver), Muffat faisant ses offres (Ibid. F°92)
La première. Rose riant pour faire tomber la pièce. première vengeance Four de Nana. (Ibid. F°94)
Un instant il s’abîmèrent, car pour la première fois elle le mordait. (Ibid. F°94 verso)
Muffat, dans sa première liaison, n’a eu que le besoin de la possession de Nana; maintenant il l’aime. (Ibid. F°96)
Là elle nettoie Vendoeuvres, Bordenave sa 1ère victime. (Ibid. F°97)
Poser d’abord les lieux. Premier dimanche de juin.
Nana venue la première a sa voiture près du poteau d’arrivée.
Nana a fait une première infidélité à Muffat, ce qu’elle n’explique pas aux jeunes gens ; alors une crise de foi.
Et là une première course. (Ibid. F°118)
Le bruit des chevaux quand ils passent une première fois, puis l’arrivée. (Ibid. F°123)
C’est la première victime. (Ibid. F°124)
Un homme fini par Nana ; c’est la première victime. (Ibid. F°125)
Poser là, une première fois, Philippe et Georges la Faloise Foucarmont et Steiner. (Ibid. F°134)
Le premier amant de Nana imposé à Muffat (Ibid. F°138)
Avec Muffat, donc, le premier amant accepté. (Ibid. F°139)
Le premier, il parla de vendre la Glissonnière. (Ibid. F°139-verso)
Le premier il parla de vendre ill. Elle, tout de suite, consentit. (Ibid. F°140 verso)
Nana ramasse les premiers torchons venus. (Ibid. F°142)
Satin, raccrochant la première venue (Ibid. F°150)
Les trois premières nuits à le soigner. (Ibid. F°154).

[Gaga] A fait les délices des premières années de Louis Philippe. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Personnages)
Il [Georges Hugon] voit Nana le premier soir et lui apporte un bouquet le lendemain. (Ibid. F°180)
Il faudra raconter sa [Nana] vie antérieure. Voir l’Assommoir, pour toute la première période (Ibid. F°191)
Dans les premiers temps, très lâchée, grossière ; puis, faisant la dame et s’observant beaucoup. (Ibid. F°192)
Dès le premier chapitre, je montre toute la salle prise et adorant (Ibid. F°193).

La première fois qu’elle le voit ; mais il faut qu’on te mouche, Bibi. (NAF Ms. 10313, Nana. F°211- Ebauche)
Bien la poser, comme nudité, dans la première représentation, toute une salle s’enflammant pour le cul ; un grand rut. (Ibid. F°212)
En plein triomphe, après un de ces caprices qui la ruine, un caprice pour le premier venu, Nana est atteinte de la petite vérole. (Ibid. F°214)
Il faudra que le mari pour donner quelque chose à Nana, extorque une signature à sa femme ; elle signe une première fois, en le regardant fixement, la seconde fois elle refuse ; et c’est alors qu’elle réclame la séparation. Maintenant, voilà ce que je puis inventer ; dans la 1ère partie, jusqu’à la séparation, l’homme mûr n’aura eu Nana que parfois, grâce à des sommes considérables, elle l’appelle son chien. (Ibid. F°216)
Dans le premier chapitre, représentation, je poserai mes hommes avec mes femmes. (Ibid. F°220)
Nana débute. Judic joue. Première représentation
J’ai la 1ère représentation qui me donnera, la salle, le soir. (Ibid. F°221)
De sens très éveillés, n’ayant pas trouvé des satisfactions sensuelles suffisantes dans le mariage, a cédé une première fois à un amant qui l’a débauché, en trouvant chez elle de belles dispositions. (Ibid. F°231)
Non, j’aime mieux que Nana, dans la première période nettoie Cartier. (Ibid. F°233)
Clarisse Besnus est la première, une figurante (Ibid. F°235).

Cintre, corridor du cintre, 1er, 2e, 3e. (NAF Ms. 10313, Nana. F°273- Notes)
Les cavaliers sur la pelouse 3 1er (Ibid. F°286)
5 étages. Judic au 1er. (Ibid. F°319)
La première rencontre de Nana et de la comtesse sur la route de Gumière. (Ibid. F°336)
Le 1er amant de cœur Paul Daguenet (Ibid. F°340).

Second Second acte – Continuation de la pièce (NAF Ms. 10313, Nana. F°9- Plan)
On va commencer le second acte de la Blonde Vénus.
Second épisode, toujours dans le foyer.
Mignon et Fauchery ; le premier bourrant le second ; et celui-ci tolérant ; préparer la giffle (sic). (Ibid. F°48)
Madame Robert entrevue la première fois, reconnue la seconde. (Ibid. F°81)
On achève le deuxième acte pour la seconde fois. (Ibid. F°93)
Penser (sic) de se venger de Nana, donc il faudrait que le piège fût tendu, avant que Nana fît son second plongeon. (Ibid. F°127)
Elle [Nana] a repris Cartier qu’elle mange une seconde fois, elle a ruiné et déshonoré Vendoeuvres (Ibid. F°145).

Il faudra que le mari pour donner quelque chose à Nana, extorque une signature à sa femme ; elle signe une première fois, en le regardant fixement, la seconde fois elle refuse (NAF Ms. 10313, Nana. F°216- Ebauche)
La cocodette et son mari qui la surprend une seconde fois. (Ibid. F°223)
Mais il reviendra à Nana plus tard, dans la seconde période (…). (Ibid. F°234).

les planches finissent au second. (NAF Ms. 10313, Nana. F°319- Notes)
Le cintre 1er et second service (Ibid. F°326).

Au bonheur des dames (1883)

Comme intrigue d’argent, j’ai mon idée première d’un grand magasin (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, f° 5) \\Dès le premier ou deuxième chapitre, montrer cette jeune fille dans sa misère (Ibid., f° 14) \\Elle [Louise – future Denise] descend chez un oncle petit boutiquier (…) Là, ces premiers temps (Ibid., f° 16) \\Elle [Louise-Denise] devient seconde, puis première (Ibid., f° 17) \\Il faut la [Louise] mettre le premier jour effarée en face du monstre, qu’elle mettra un jour dans sa poche (Ibid., f° 21) \\Première période de Louise au Bonheur (Ibid., f° 23) \\I Louise arrive à Paris. Sa première journée (Ibid., f° 25) \\C’est Octave qui est le pivot du chapitre [le IIème] comme Louise a été le pivot du premier (Ibid., f° 25) \\IV Les premiers jours de Louise au Bonheur (Ibid., f° 26) \\IX Second état du Bonheur (Ibid., Plan, Fº 31) \\XIV 3ème état du Bonheur (Ibid.) \\Chapitre I: Un vendredi matin, dans les premiers jours d’octobre, Denise arrive à Paris avec Jean et Pépé (Ibid., Plan, Fº 33) \\Première description du Bonheur (Ibid., Plan, Fº 33)

La Terre (1887)

Je voudrais mettre en 1ère ligne la partie passionnelle, les amours de Jean avec Louise. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 411/12- Ebauche)
(…) Toute cette histoire de ferme ne va pas très bien, il la faudrait plus souple et plus rattachée à mon histoire. Par Jean. C’est là, au premier chapitre que Louise peut mener la vache. (Ibid., f° 464/56)
(…) Les paysans votant en grande majorité pour le gouvernement, pour le plus fort, celui qui assure la vente du grain. Et dès lors, je pourrais avoir deux élections contradictoires. Dans la première partie, ils votent pour un candidat officiel que le préfet leur recommande, ainsi que le maire, le fermier (celui-ci bonapartiste, vaguement monarchiste). (Ibid., f° 475/67)
(…) 2 ans s’écoulent. Printemps 61 mai. (…) I. Le vieux et la vieille. Premier état de l’ingratitude. La Grande un simple mot. Vis à vis des enfants. (Ibid., 500/2)

Le Rêve (1888)

Dans ce jour, j’ai alors la première apparition d’Hubertine (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 5)
Puis c’est Félicien qui parle le premier (Ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
C’est la première fois qu’on voit monseigneur. Son portrait (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Il faudrait, pour première condition, qu’il /mon livre/ pût être mis entre toutes les mains (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 217/1)
(…) Voici donc le premier jet du plan (Ibid., f°235/19)
(…)
(…) Il faut absolument que la première apparition se fasse dans le jardin, dans du soleil, ou dans un terrain vague à côté (Ibid., f° 256/39)
(…) Le premier /chapitre/ s’est passé dans la chambre d’Angélique, le second dans le terrain vague, le troisième chez les Hubert, et le quatrième devrait encore se passer dans la chambre d’Angélique (Ibid., f° 261/44)
(…) Par exemple le premier
épisode : le sauvetage d’un linge (…) puis l’épisode du linge étalé (Ibid., f°s 292/75-293/76). Au XIIIe, presque tout de suite, je place ma première légende (…) je saute au XIV siècle (…) enfin au XVI (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 266)
La mère et la fille (…)
La première la mère est morte dans sa tendresse pour son fiancé (…)
tandis que la seconde Balbine (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur le château de Hautecoeur, f°s 367-368-369) Second portrait / d’Angélique/, méchant ( NAF MS 10323 Le Rêve, f° 8- 2ème Plan détaillé du Chapitre I)
Dans le second épisode (à quelques jours de distance) le linge est étendu (deuxième plan détaillé du chapitre V f° 74)
Tout cela c’est pour bien poser la situation de mon évêque, que je mets en scène dans la seconde partie du chapitre (deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 130)

Lourdes (1894)

Premier Et une première scène où les deux frères, mis en présence, discutent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°16)
« Chanter l’hymne à l’aurore. » C’est ce que je voudrais que fût le troisième volume de ma série : Paris. – Dans le premier Lourdes je pourrais montrer le besoin d’illusions et de croyance que l’humanité a. (Ibid. F°28)
Là arrive le pèlerinage national, charriant tout avec lui, les malades au premier plan avec leur innocent besoin d’espoir (…). (Ibid. F°36)
C’est là enfin ce que je voudrais surtout mettre dans mon œuvre, au premier plan, débordant tout. D’abord un cri superbe de l’humanité souffrante (…). (Ibid. F°38)
J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. Ce serait pour mettre dans le premier le réveil naïf du vieux catholicisme (…). (Ibid. F°60)
Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille (…) et que, dès lors, venant après Lourdes, l’intérêt ne monte pas et que le second
n’ait même pas la puissance du premier. (Ibid. F°s61-62)
Première partie Chapitre I [en marge : vendredi 19 août] (Ibid. F°131)
Naturellement, garder Pierre et Marie au centre. C’est eux qui doivent tout mener, je les pose d’abord, dès les premières lignes, et je me sers d’eux, pour mener la présentation de tous les autres – (Ibid. F°136)
Enfin, je voudrais, dans ce premier chapitre, poser tout le fonctionnement du pèlerinage. (Ibid. F°136)
Il [l’homme] mourra [après biffé], au IV, après les miracles, [au biffé] ou au V. Enfin, il doit être mort à la fin de la première partie. – (Ibid. F°138)
Consulter surtout les notes que j’ai prises à Paris, au départ du train blanc, et en tenir compte pour toute la première partie. (Ibid. F°143)
Mon premier chapitre part donc de 5h30 à peu près (dès qu’on est sorti des fortifications [)]. (Ibid. F°143)
On est à Poitiers à midi et demi. Mes deux premiers chapitres [von biffé] vont donc jusqu’à cette heure-là. (Ibid. F°144)
Je crois que je dois aller, avec le premier chapitre jusqu’à Saint-Pierre-des-Corps. (Ibid. F°144)
Et son premier souvenir, la mort de son père, comme il [Pierre] a [quatre biffé] 5 ans. (Ibid. F°146)
Enfin, trouver le moyen [qu biffé] pour que le mouvement du premier chapitre continue et soit naturellement repris au III. (Ibid. F°156)
Première enfance de Pierre dans la petite maison de Neuilly, poser le vieux chimiste son père, sa dévote de mère et son frère à part : aussi loin que ses souvenirs remontent. (Ibid. F°156)
Des dossiers chez lui [M. Froment], dans son cabinet, que Pierre trouve. (…) Des procès-verbaux, des renseignements, les premiers documents, à la veille de la mort de son père. (Ibid. F°160)
Faut-il la [Sophie Couteau] faire monter à la fin du chapitre, ou bien la faire monter dès les premières lignes de l’autre. (Ibid. F°178)
Première contrariété en voyant l’enfant [Sophie Couteau], puis on l’accepte. Elle gentille et petite, ne tiendra pas beaucoup de place – (Ibid. F°183)
A partir de là, je distribue donc les miracles dans une première partie de conversation. (Ibid. F°185)
Après avoir montré, dans les trois premiers chapitres, l’abomination de la souffrance, [en interligne : montrer] l’humanité malade (…). (Ibid. F°187)
Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions que je garde pour le chapitre V de la seconde partie, où je reviendrai sur ses premières pages (…). (Ibid. F°221)
Enfin le train est signalé (…). L’arrivée dans la nuit noire, et une première description du déballage. (Ibid. F°226)
Alors état d’âme de Pierre [en interligne : la Grotte ne lui cause qu’un premier malaise, la boutique à côté, les piscines, la fontaine] devant la Grotte où le Rosaire est commencé (…). – (Ibid. F°248)
Mais pourtant, je ne fais que poser la Grotte, sans grands détails. L’aspect premier. (Ibid. F°252)
Pierre veut croire, espère qu’il va croire. Et la Grotte ne lui cause qu’un premier malaise – (Ibid. F°254)
Il [Pierre] ne sait pas ce qu’il [M. de Guersaint] a fait, s’il a loué les deux chambres, et son premier mouvement est d’aller à lui. (Ibid. F°257)
Le premier appel de la Grotte
et l’attitude du père Fourcade l’a bousculé simplement (…). (Ibid. F°s266-267)
D’ailleurs, ce matin du premier
jour, elle [la foule] n’est point aussi considérable qu’elle le sera les autres jours, l’après-midi. (Ibid. F°s267-268)
Et surtout dire que la première journée est finie (…). (Ibid. F°296)
C’est le lendemain matin que Pierre la [madame Volmar] revoit. Lui est au courant, je crois déjà l’avoir dit (Première journée, chap. III). (Ibid. F°298)
Cette première journée est finie. (Ibid. F°304)
Donc, pendant que Pierre s’habille (pudeur) première conversation sur Marie, que Pierre dit plus heureuse (il ne veut pas inquiéter le père). (Ibid. F°310)
Ce que j’ai déjà dit dans le III de la 1ère j. (Ibid. F°313)
J’aurai une autre scène au 1er chapitre de la 5ème. Mme Volmar pleure, etc. – (Ibid. F°319)
De premières scènes, jusqu’à huit heures, la scène surtout de Mme Volmar surprise et s’excusant près de Pierre qui la connaît. (Ibid. F°321)
Voir le chap. 1er, première journée. (Ibid. F°353)
Le chant arrive, très faible, très lointain. Première petite description, avec de la conversation, pour couper – (Ibid. F°353)
[en interligne : C’est la première chose très belle qu’il [M. de Guersaint] ait vue.] (Ibid. F°355)
M. de Guersaint peut en être et se récrier sur la beauté artistique de cela. [Ja biffé] C’est la première chose très belle qu’il voit. (Ibid. F°359)
Premier épisode. Celui de M. Sabathier et de madame Sabathier. (Ibid. F°417)
Relire pour le miracle toute la consultation des 3 docteurs, à la fin du II de la première journée. (Ibid. F°441)
Relire le morceau dans le V de la première journée, relatif à la chambre de Bernadette. (Ibid. F°471)
Mais Pierre devant le Panorama évoque l’ancien Lourdes. Tout le morceau du chap. V de la 1ère journée (pl. 14). (Ibid. F°496)
Un rappel de l’ancienne ville telle que
je l’ai indiquée dans le chap. V de la première partie. (Ibid. F°s505-506)
Premier épisode, auquel Pierre est mêlé. (Ibid. F°512)
On dit le 1er chap. 145, le reprendre tel que dans la [1ère biffé] première journée. (Ibid. F°533)
(Prière du matin, p. 25 (la prendre à la première journée). (Ibid. F°549)
Et tout repris, comme au premier voyage : les arrêts, la cantine, la vie du train tout entier. Relire les premiers chapitres. (Ibid. F°559)
1ère partie. I. – Le wagon roule, hors de Paris. [Je pose biffé] Tout un chapitre d’exposition. (Ibid. F°601)
Première vue de Lourdes au soleil levant, château, Basilique, rampes, Grotte. (Ibid. F°602)

Donc nommer le frère dans l’histoire au chap. II de la 1ère partie (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)
Poser tout cela dans une première scène à l’hôtel, et [pl biffé] puis dénouer par le drame dans une autre scène, lorsque Mme Chaise meurt. (Ibid. Fo 55 – Notes sur M. Vigneron)
La première scène, dans l’hôtel, est parce qu’il a été un peu brusque avec sa tante, dans un moment de souffrance, à table. (Ibid. Fo 57 – Notes sur Gustave Vigneron)
Il perd sa femme à Cauterets, au lendemain de l’arrivée (utiliser mes notes du Mont-Dore) ; et sa colère contre la science impuissante. Le premier ébranlement. – (Ibid. Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Pas belle au premier aspect, et à mesure qu’on la regarde saisissante, troublante, conquérante. (Ibid. Fo 74 – Notes sur Madame Volmar)
Le grand médecin comprend donc que la cause première a dû disparaître, l’état organique s’améliorer (…). – (Ibid. Fo 118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Philomène Simonneau. 20 ans. (…)
Pour la première fois depuis cinq ans, elle s’agenouille. (233) (Ibid. Fos 138-139 – Notes sur les Miracles)
La moelle, poussée rhumatismale. Paralysie des jambes. (…) En 79 premier pèlerinage, pas de résultat. (Ibid. Fo 160 – Notes sur les Miracles)
Muette depuis l’âge de 7 ans. (…) Elle jette un cri : – Vous êtes malade, demande une voisine – Non ! (le premier mot depuis 45 ans [)]. Puis : Je vous salue, Marie. (Ibid. Fo 160 – Notes sur les Miracles)
Prenez ces esquisses, les premières notes, comme
une première impression. (Ibid. Fos 164-165 – Notes sur les Miracles)
Cela est bon pour ma malade ; le premier jour elle ne croit pas assez, et échec. Le second jour elle croira. (Ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)

Second

Lourdes (1894)

Mais j’ai le second volume « Rome »,
et j’ai déjà dit que mon prêtre (…) tâche dans « Rome » de réconcilier le catholicisme (…) avec la science moderne (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s4-5)
Cela sera assez difficile à mettre, mais il le faudra au second plan. – (Ibid. F°56)
J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. Ce serait pour mettre (…) dans le second, tout le néo-catholicisme ou plutôt le néo-christianisme de cette fin de siècle. (Ibid. F°60)
Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille (…) et que, dès lors, venant après Lourdes, l’intérêt ne monte pas et que le second
n’ait même pas la puissance du premier. (Ibid. F°s61-62)
Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions que je garde pour le chapitre V de la seconde partie (…). (Ibid. F°221)
Seconde journée (Ibid. F°223)
Les plaies apparentes, dont il a été question au chap. II de la seconde partie. – (Ibid. F°429)
Reprendre ce que le père Fourcade a dit [Pierre biffé] sur l’utilité de créer une
démocratie catholique : le second problème sera là. – (Ibid. F°s587-588)

Pour quelque chose dans la [conversion biffé] guérison de Marie, Pierre l’aura mis en rapport avec lui, au débarquement (Seconde Partie, cha. I). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 98 – Notes sur le père Massias)
Phtisie se dessine. Seconde poussée plus tard. (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Cela est bon pour ma malade ; le premier jour elle ne croit pas assez, et échec. Le second jour elle croira. (Ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)

Travail (1901)

Toute une première partie pour poser le bourg tel qu’il est (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 353/6)
Une seconde partie, la lutte, comment le bourg change (Ibid., f° 353/6) \\C’est le premier chapitre (Ibid., f° 354/7)
C’est qu’il y a de bon, c’est que dès le premier chapitre, j’ai de l’amour (Ibid., f° 355/8)
Puis, cela est saisissant, toute la misère et toute la honte du travail mal organisé se résumant dès le premier chapitre dans une pauvre femme jetée à la rue (Ibid., f° 355/8)
Je vois bien la première partie, l’enfer du travail actuel (Ibid., f° 356/9)
Mais pour la seconde partie, l’action qui modifiera Luc ne suffira peut-être pas (Ibid., f° 356/9)
Pendant la 1ère partie, Luc ne voit que sa misère, son désir de la sauver (Ibid., f° 360/13)
A la fin, opposer la cité heureuse au bourg, tel qu’il l’a vu le premier soir, un samedi jour de paix (Ibid., f° 362/15-363/16)
cela finirait la seconde partie (Ibid., f° 366/19)
Il faut au premier livre montrer le désordre partout (Ibid., f° 371/24)
et tout ce qu’il voit dans le premier livre (Ibid., f° 372/25)
Dès lors, dans la seconde partie, Luc devient un fondateur (Ibid., f° 372/25)
et tout ce qu’il voit dans le premier livre (Ibid., f° 372/25)
elle l’aime déjà à la fin de la première partie, et lui est très ému (Ibid., f° 372/25)
Cela me fait penser que le premier livre devrait être court, de même que le dernier, de même longueur tous les deux et symétriques (Ibid., f° 373/26)
Livre premier, peinture noire de ce qui est tous les personnages posés, tous les drames partiels mis en marche. Livre deuxième la lutte, le heurt du patron et des ouvriers (Ibid., f° 374/27)
Puis le livre troisième, la partie utopique, la contre partie du livre premier (Ibid., f° 374/27)
Voilà le grand type, qui doit venir en avant, au premier plan, pour bien montrer la bête monstrueuse du salariat (Ibid., f° 376/29-377/30)
Mais mauvais spéculateur, l’essai périclite à la fin du premier livre (Ibid., 384/37)
Ce sera là le cabaret, dont j’ai besoin pour le livre premier (Ibid., f° 388/41)
L’attentat qu’il annonce au Livre premier, il le prépare au second (Ibid., 390/43)
L’attentat qu’il annonce au Livre premier, il le prépare au second (Ibid., 390/43)
et le premier chapitre pour la peinture du bourg, avec toutes les déchéances du travail (Ibid., f° 392/45)
Dans le premier et le second chapitre il faut que tous les ouvriers soient posés (Ibid., f° 392/45)
Livre premier (Ibid., f° 392/45)
Dans le premier et le second chapitre il faut que tous les ouvriers soient posés (F° 392/45) \\La première organisation, timide encore, du familistère (Ibid., f° 394/47) \\On bâtit, on crée le premier four de la nouvelle verrerie (Ibid., f° 394/47)
L’organisation première du familistère (Ibid., f° 396/49)
Donc, dans mon premier livre poser aussi la campagne, les agriculteurs agonisant (Ibid., f° 401/54)
Mon premier livre est l’état actuel, la misère et la douleur, avec toutes les tentatives d’amélioration pourtant, les coopératives de production et de consommation, les syndicats, etc. (Ibid., f° 402/55)
Les premiers succès, mais noyés dans le malaise général (Ibid., f° 402/55) \\Mon second livre, la lutte (Ibid., f° 402/55)
je me débarrasserai en un premier chapitre de toute l’organisation nouvelle (Ibid., F° 403) ; Ainsi, au premier livre il me faut le crime (Ibid., F°404)
Toute la période de la seconde partie peut tenir dix années (Ibid., F°404)
Le premier chapitre sera le premier sans qu’il se trouve là (Ibid., F°408)
Les deux premiers chapitres vont tout seul : le premier dehors, dans le bourg. Le
second chez Bonnaire (Ibid., F°410-411)
Je voudrais régler tout de suite le premier chapitre, surtout Josine et Nanet (Ibid., F°429)
(dans ce premier chapitre, ne pas le poser définitivement) (Ibid., F°433)
cela me donne le second chapitre (Ibid., F°434)
Je me demande si tout cela ne doit pas être le premier chapitre de l’utopie ouvrant le rêve (Ibid., F°438)

PRENDRE / REPRENDRE / REPRISE / PRISE

Voir aussi : revenir ; rappeler

Le Ventre de Paris (1873)

Je ne prendrai pas le nain romantique, mais le jeune homme réaliste (MS NAF 10277, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 62)

La Conquête de Plassans (1874)

Prendre le type du père de C., goguenard, républicain bourgeois(MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 19)
Prendre le cadre d’une journée peut-être (ibid F° 25)
Après avoir parcouru mes anciennes notes prises dans Trélat, je pense qu’il faut modifier le sujet ainsi qu’il suit ( Ibid. F° 29)

(Prendre le cadre d’une journée pour le réputer) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVIII F˚ 12)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Eux sont des créations, des études physiologiques ; tandis que je prendrais les autres dans la vie ordinaire, en les haussant le moins possible. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 9)
Je prendrai ensuite un couple de dix-huit ans ; il couche dans les blés depuis 14 ans ; mais il ne se marie pas parce qu’il n’a pas d’enfant. (Ibid., f° 12)
Enfin je prends une troisième figure, la femme Duval très malheureuse qui est restée toute seule avec deux enfants, Charles et Léon, de sa fille qui est morte. (Ibid., f° 13)
Il s’éveille peu à peu, (Prendre l’enfant). (Ibid., Le Paradou, f° 62)

Nana (1880)

Trois ou quatre dames. (Prendre les noms : du Joncquoy, Chantereau, Léonide de Chezelles). (NAF Ms. 10313, Nana. F°25- Plan)
La conversation a repris, Fauchery songe, et on lui donne quelques détails (…). (Ibid. F°27)
Je prendrai pour cadre une soirée. (Ibid. F°30)
Tout le souper de Céard à prendre. (Ibid. F°44)
Des chats partout. (prendre une chatte noire et une chatte blanche, avec un gros chat gris coupé ; des noms). (Ibid. F°55)
Il faut absolument que Satin revienne là et prenne une certaine importance. (Ibid. F°56)
Prendre du souffleur (Ibid. F°87)
Là prendre Muffat. Son désir est devenu de l’amour.
Reprendre Nana en haut. Description de la loge. (Ibid. F°92)
Reprendre les jeux de chaque acte Mignon les surveillant. (Ibid. F°93)
Il faut que le drame violent de Muffat reprenne là-dedans pour que le roman ne fléchisse pas au milieu. (Ibid. F°95)
Elle prend du genre, très distinguée vraiment.
Elle prend des airs maternels. (Ibid. F°98)
Et je reprend (sic). Les conversations. (Ibid. F°120)
Et alors, reprendre le jour des noces, chez les Muffat. (Ibid. F°132-3)
Je finirai par une reprise des danses (…). (Ibid. F°133)
[Muffat] repris par la religion, mais courbant la tête, allant à la chair. (Ibid. F°135)
Lui, déjà plein de remords, repris par la religion, souffrant horriblement de sa situation, mais allant quand même à la chair. (Ibid. F°136)
Muffat, repris de ses terreurs dévotes (…). (Ibid. F°140 verso).

Personnages, (les âges pris en 1867, après l’Exposition). (NAF Ms. 10313, Nana. F°165- Personnages)
Cela serait original. A prendre. (Ibid. F°190)
[Nana] Je la reprendrai là, sans donner beaucoup de détails. (Ibid. F°191).

Dans ce cas, il faudra que je prenne une autre fille pour le type de la fille qui redevient ordurière en vieillissant. Je prendrai la lymphatique. (NAF Ms. 10313, Nana. F°219- Ebauche).

(…) pendant que le visage prenait une sensuelle expression de douleur, c’était dans le miroir à double biseau, le rondissement de doigts, et la grâce lesbienne d’une Vénus de Médicis obscène. (NAF Ms. 10313, Nana. F°247/1- Notes)
Prendre du souffleur. (Ibid. F°271).

Pot-Bouille (1882)

Je ne puis prendre qu’Octave Mouret (MS NAF 10321, f° 381)
Jusqu’ici, je n’ai pas la grande ligne philosophique. Il me faudrait peut-être pour l’avoir prendre un ouvrier et le poser en comparaison (Ibid.,, f° 386)

Au bonheur des dames (1883)

Je prendrai les parents de Mme Hédouin (…) et je les montrerai ruinés, conduits à la faillite (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, IBID) \\Si je prends Louise pour centre, je la prends à son arrivée à Paris (Ibid., f° 16) \\Je pourrais prendre chez la maîtresse d’Octave la femme très bien qui vole par tentation (…) (Ibid., f° 18) \\Donc je prends Louise pour guide (Ibid., f° 23)

La Terre (1887)

Prenons l’histoire toute simple. Un père, trois fils et une fille. Il partage, et un des fils refuse se part parce qu’il se prétend volé. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 415-16 – Ebauche)
(…)Je prends les personnages un à un, pour les chercher un peu. (Ibid., f° 430/31)
(…) Prendre Goussin pour le vétérinaire, il vient soigner une vache, accoucher, car elle est près de mourir, et il va en même temps pour un petit chien chez les retraités. (Ibid., f° 471/63)
(…) Pour le médecin prendre un garçon qui a le regret de Paris, ou un vieux qui s’abrutit là : à chercher. (Ibid., f° 471/63)
(…) Pour opposer l’épargne à la dépense, prendre le père, le gendre et les mettre près du braconnier. (Ibid., f° 482/74)
(…) Je prends donc (côté social) un tout petit village, dépendant autrefois d’un château. (Ibid., f° 487/99) Comme figure prendre le père Martin ou plutôt Auguste Voyer (MS NAF 10329 La Terre F° 13 – Personnages, Louis Fouan)
Je prends pour type madame Burneron, le nez en plus (Ibid., F° 24 – Personnages, Fany Fouan)
Prendre le caractère de madame Burneron (Ibid., F° 24)
Comme situation, richesse et influence, prendre les Martin (Ibid., F° 25)
– Prise dignement (Ibid., F° 61 – Personnages, Monsieur Charles)
Prendre Mallet (Ibid., F° 105 – Personnages, Maître Baillehache)
Prendre Goussu, un petit homme sanguin, violet (Ibid., F° 107 – Personnages, Patoir)

Le Rêve (1888)

Puis le jeune homme revient et l’idylle reprise (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 220/4).
(…) Je prends donc une jeune fille et je raconte ses amours et son mariage (Ibid., 227/11)
(…) Je reprends Angélique ignorante rêvant la vie à travers la vie des saints (Ibid., f° 253/37)
(…) je pourrais peut-être prendre le château de Chateaudun, avec une rivière (Ibid., f° 309).
Hautecoeur (…) des parties de ses anciens remparts, et des portes (prendre Coucy) (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 258-259)
Et alors prendre la petite morte de froid presque évanouie contre Saint [sic] Agnès (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 7)
(…) (relire attentivement ma note Religion pour y prendre ce qu’il faudra) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 21) \\La maison des Hubert en général, reprendre la salle commune (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37).
Toute la théorie optimiste dans sa bouche, la prendre aux idéalistes (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre III, f° 42)
C’est là où je veux la prendre comme artiste (Ibid., f° 41)
et là il me faut donc reprendre le diable toujours battu (Ibid., f° 42)
Reprendre le travail, la croisée ouverte, la belle matinée (Ibid., f° 45)
Si je reprends l’église, certaines modifications importantes en résultent (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 52)
prendre tous les Hautecoeur, les titres, l’histoire et les légendes (…) (reprendre ensuite au chapitre suivant) (…) reprendre donc et complèter (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Au IV, reprendre les cloches, les bruits des offices, le chant, l’encens, l’ombre de l’église, et développer (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 62)
D’autres scènes prises à la légende autour (XIIe siècle) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
C’est là que je reprends la description du château (Ibid., f° 68)
Prendre toute son histoire aux personnages et la résumer là (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Prendre la légende de Saint Georges dans la légende dorée (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
Voir ce qu’il y a à reprendre dans l’histoire des Hautecoeur et de Beaumont à propos de l’église (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
reprendre la description de l’atelier (13 maison) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre VI, f° 92)
Mais la chambre s’éclaire. La lune se lève. Et Angélique voit la chambre. Reprise de la description, le lit surtout (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 94)
Reprendre les Hubert (nuit blanche, nuit d’amour aussi) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Reprendre la description de la chambre (13) et surtout de la façade pour la montée de Félicien (5). Reprendre la chambre du IV (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 103)
rappeler la procession du miracle, les seigneurs d’Hautecoeur, etc. Beaumont- L’Eglise (reprendre) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
Elles sont près de la chapelle Hautecoeur, le vitrail restauré, le vitrail au jour tombant. Description de l’église dans l’attente. Je la reprendrai avec les cierges (Ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
Je prendrai le cadre d’une procession telle que j’en ai vu dans le midi (Ibid., premier plan du chapitre VIII Ibid., f° 111)
c’est lui qui donne toute son histoire (la prendre aux Personnages) (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 120)
Reprise de sa peur du rêve (Ibid., plan du chapitre IX, f° 122)
Là enfin l’histoire complète de Félicien (la prendre aux Personnages) (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 125)
Prendre les détails dans la note sur les vitraux (Ibid., f° 126)
Là le portrait du duc de Hautecoeur revient (aux personnages). Le reprendre (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)
Reprendre les légendes des chatelaines de Hautecoeur (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 140)
La chambre, reprendre la description (Ibid., deuxième plan du chapitre XII, f° 158)
Faire là son portrait de malade en détail en reprenant son portrait de jeune fille (Ibid., deuxième plan du chapitre XII , f° 158)
La légende, une dernière apparition des Vierges, Agnès, Catherine, Barbe, toutes, les reprendre avec leurs attributs (…) L’idée de virginité (Ibid., deuxième plan du chapitre XII, f° 162)
portrait d’Angélique malade, émaciée. Un Memling. Reprendre son portrait de jeune fille (personnages) et le pâlir (…) reprendre la chambre avec les meubles (chap.IV) (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)
Faire passer sa silhouette à diverses reprises (Ibid., Personnages, f° 212)

Lourdes (1894)

Prendre Tout est laid, au milieu du décor splendide. Ils ont gâté la nature. (Mettre cela dans la bouche d’un personnage, si je ne le prends pas pour mon compte.) (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°45)
Partout la même chose. Prendre des exemples. Sera-ce de même pour Lourdes. (Ibid. F°45)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « (…) Surtout, je voudrais organiser les choses de façon à ce qu’aucun doute ne subsistât. Je prendrais des mesures telles que la terre entière verrait et croirait. » – (Ibid. F°46)
Pour le médecin des constatations, je prendrai un Boissarie quelconque. (Ibid. F°118)
Et pendant l’Angélus et après, je présente Mme Maze et Mme Vincent, avec sa petite fille. Les prendre aux personnages. (Ibid. F°125)
Prendre tous les renseignements aux notes et les distribuer ici. Il faut poser les Pères, les sœurs et les hospitalières. (Ibid. F°126)
Je prends donc mon wagon de troisième et j’y distribue mes personnages. (Ibid. F°132)
Consulter surtout les notes que j’ai prises à Paris, au départ du train blanc, et en tenir compte pour toute la première partie. (Ibid. F°143)
Je prendrai mon horaire, pour les heures et
les pays qu’on traverse. (Ibid. F°s143-144)
Son portrait serait bon ici [Pierre]. Le prendre au personnage. (Ibid. F°148)
Marie abandonnée par la science, condamnée. Et toute la consolation, au chevet de Marie (la prendre dans la maladie.) (Ibid. F°153)
L’histoire de Pierre et des Guersaint. La prendre aux Personnages. Je crois que le mieux sera de la prendre et de la suivre chronologiquement. (Ibid. F°156)
Dès l’arrêt du train, Pierre court chercher l’interne, qui arrive avec sœur Hyacinthe. Cela doit me donner ces deux personnages, les prendre aux Pers. (Ibid. F°173)
Il est assez difficile que Marie et Pierre restent au centre. Je pourrai pourtant prendre Pierre comme lien naturel entre les divers épisodes. (Ibid. F°178)
Prendre les litanies et montrer le culte autour d’elle [la Vierge],
le culte même de la femme, dans une page très ardente, très envolée. (Ibid. F°s199-200)
Nommer Barbet, Ader ; [en interligne : la Salette, détails] les fameux mots sur l[a biffé]es [Vierge biffé] bergers de la Salette [en interligne : prendre les paroles au Guide]. (Ibid. F°205)
Et enfin la première
apparition, prendre le récit dans Lasserre (…). (Ibid. F°s206-207)
Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions que je garde pour le chapitre V de la seconde partie (…). (Ibid. F°221)
Avec Berthaud, j’ai la politique. Prendre cela au personnage. (…) Ils [le baron Suire, Berthaud et Gérard de Peyrelongue] me donnent aussi toute l’Hospitalité. Prendre les détails dans la [pe biffé] brochure. (Ibid. F°225)
Et c’est dans cette bousculade que je dois [pas biffé] mettre l’épisode du Commandeur. Le prendre aux personn. (Ibid. F°229)
Donc le Commandeur (…). Le prendre aux Personn. (Ibid. F°237)
Je prends Pierre, lorsque, plein de malaise, (…) il s’éloigne de la grotte, où il doit revenir prendre Marie dans une heure. (Ibid. F°265)
Et je trouve aussi le marquis de Salmon-Roquebert, si dévoué. Le prendre aux Personnages – (Ibid. F°269)
Ce que je disais au docteur Boissarie : Si moi j’avais une source et [q biffé] si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. Prendre tout cela à l’Ensemble sur Lourdes p. 17 et suivantes. (Ibid. F°274)
Et un journaliste influent de Paris, tombé là, auquel Bonamy donne la représentation. (…) Très mielleux, très charmant : prendre au personnage, le poser, tout à fait. (Ibid. F°280)
Et j’ai ainsi tout un défilé de malades sans
conséquence (à prendre dans mes notes), qui m’aident à tout poser. – (Ibid. F°s280-281)
Et je prends les épisodes que j’ai vus : un défilé quelconque de malades, puis la petite Sophie Couteau qui répète son récit tel qu’elle l’a déjà dit dans le wagon. (Ibid. F°290)
Défilé de malades se prétendant guéris, je les prendrai dans mes notes. (Ibid. F°291)
Il [le baron Suire] [a biffé] fait visiter la Grotte [en interligne : (M.V. 107)] à Pierre : tout l’intérieur décrit (…). Prendre cela à mes notes. (Ibid. F°367)
Rappeler la figure de Guillaume Froment, pour qu’il ne soit pas complètement oublié. Le prendre à son personnage– (Ibid. F°380)
C’est cette foule que je prends, et je fais partir d’ici son exaltation. (Ibid. F°416)
C’est une description générale, et je la fais en prenant les malades qui ont défilé, à la sortie de l’hôpital. (Ibid. F°417)
Mais cette fois, je fais monter en chaire le père Massias. Poser son personnage définitivement (le prendre aux personn.). (Ibid. F°419)
Alors, je prends la procession de 4 h [en interligne : ([éb. biffé] M.V. 13-49)]. (…) Prendre à mes notes la description de la procession qui avance lentement au milieu de la foule. (Ibid. F°436)
Elle [Marie] se soulève (prendre des détails chez Lasserre, Mlle de Fontenay [) biffé], pour la marche du miracle). (Ibid. F°438)
Cela me donne d’abord une description (…) de l’intérieur de la Basilique, que je n’ai pas encore eue. La prendre à mes notes. (Ibid. F°454)
Prendre la basilique dans mes notes, avec son trésor. (Ibid. F°463)
Prendre les ex-voto dans mes notes, écrire une ou deux pages avec. (Ibid. F°463)
Et j’arrive immédiatement à la rue des Petits-Fossés (…). Prendre la description à mes notes. (Ibid. F°471)
Ce n’est pas lui [Gustave] qui hérite [en interligne : le rêve d’aller à la campagne, prendre à la fin], comme le semble dire son père (…). (Ibid. F°486)
Montrer là le très brave homme [qu’ biffé], le bon chrétien [en interligne : l’abattre à genoux] qu’il est, sous son étourderie. (Prendre à la note. Joie divine, acte de remerciement et de foi ardente.[)] (Ibid. F°488)
Puis la prière du matin n’est qu’à Châtellerault. (Prière du matin, p. 25 (la prendre à la première journée). (Ibid. F°549)
Prendre la suite dans l’Ensemble sur Lourdes p. 28. (Ibid. F°564)
Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre, la raison emportant tout en lui, mais honnête. Prendre cela aux Personnages. – (Ibid. F°585)
Très important, tout le drame psychologique est lu. – Sa dualité, la prendre au personnage. (Ibid. F°589)
Prendre tout cela dans mes notes – (Ibid. F°593)

Prendre tout cela dans le miracle de Lasserre [en interligne : Mlle de Fontenay]. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Je préférerai prendre un homme qui soit déjà à Lourdes. (Ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
Il est trop rare [le carreau], je prends la péritonite tuberculeuse chronique. (Ibid. Fo 122 – Notes sur la maladie de la petite Rose Vincent)
Rosine Ollivier. (…) Elle reste un
quart d’heure dans l’eau. Et en sort guérie. (Prendre les détails intéressants 27). (Ibid. Fos 141-142 – Notes sur les Miracles)
Le récit de Pierre de Rudder. (…) Le récit entier est à prendre. (Ibid. Fo 155 – Notes sur les Miracles)
Ne rien exagérer, mais bien prendre
ce cas de Lourdes comme ce que j’appelle un coup [de biffé] d’un tronçon du serpent qui ne veut pas mourir. (Ibid. Fos 214-215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Onze ans après 58, en 69, l’église presque achevée. Même dans la crypte souterraine. Et prendre la fin aux notes de Lasserre (27). (Ibid. Fo 227 – Notes sur H. Lasserre)

Reprendre / Reprise Reprendre la tradition du Christ semant la parole révolutionnaire au travers de la Judée (on a un peu cette idée en 48). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°9)
Je (…) le reprends
ensuite dans Paris, pour le montrer tel que je le dis, une haute et extraordinaire figure. – (Ibid. F°s15-16)
Ne faire que poser tout cela dans « Lourdes » de façon à reprendre le person- \\nage plus tard. (Ibid. F°s19-20)
Reprendre « tout dire, tout connaître, pour tout guérir ». (Ibid. F°21)
Mais moi, si je veux rétablir la vérité, je n’ai qu’à reprendre l’affaire, l’enquête, au point où elle a été abandonnée. – (Ibid. F°65)
Alors, reprise du récit : Bernadette partant pour Nevers, les luttes du curé Peyramale. (Ibid. F°70)
Enfin, dans la cinquième partie finir les malades, mettre des détails, et reprendre le train, le remontrer roulant, remuant les malades, avec toutes les conclusions. (Ibid. F°71)
Je pourrai plus tard reprendre mon [person biffé] prêtre pour « Rome » et pour « Paris », dont il serait aussi le personnage central. (Ibid. F°79)
Et je donne alors une description [en interligne : Organis. des trains, éb. 205] de tout le wagon (…). La description sera reprise à la fin. (Ibid. F°124)
A deux ou trois reprises, je la [Elise Rouquet] montre, et le frémissement d’horreur de Pierre et de Marie. (Ibid. F°135)
Et je reprends sœur Hyacinthe, qui fait dire le 2e chapitre, avec un cantique. Je reprends aussi madame Jon- \\quière (…). (Ibid. F°s127-128)
Enfin, l’homme avant de reprendre tout le wagon. (Ibid. F°128)
Et je reprends tout le wagon, avec Pierre [en interligne : M. de Guersaint]. (Ibid. F°129)
Et finir sur une reprise de la douleur, le malaise dans le wagon, ce [f biffé] voyage affreux exaspérant toutes les souffrances. (Ibid. F°137)
Reprendre l’abbé Pierre Froment, à la portière, regardant défiler le paysage. (Ibid. F°146)
Ils [Pierre et Marie] reprennent leur idylle, elle tout en noir de la mort de sa mère, lui déjà en soutane, quoique
pas engagé. (Ibid. F°s148-149)
Son père se réveillant en lui. Le portrait repris sans doute dans le début, le père l’emportant. (Ibid. F°150)
Enfin, trouver le moyen [qu biffé] pour que le mouvement du premier chapitre continue et soit naturellement repris au III. (Ibid. F°156)
Reprise de l’idylle, mais douloureuse, avec Marie [en interligne : déjà ruinée], immobilisée déjà (…) – (Ibid. F°157)
Et là je reprends tous mes malades (…), je leur fais faire l’action que j’ai commencée plus loin. (Ibid. F°168)
Enfin, je reprends le quai avec sa bousculade croissante, tout le monde se butant. – (Ibid. F°169)
On n’a plus que cinq minutes, [en interligne : le quai] la bousculade encore, et reprendre tous les personnages. (Ibid. F°171)
Reprise de la souffrance – Toute cette souffrance dans le train. Un cri de misère, le train lamentable qui va reprendre sa course à toute vapeur sous le soleil de plomb. (Ibid. F°172)
Je reprends donc chacun de mes malades du wagon et je le fais agir selon la logique et selon les besoins du récit. (Ibid. F°175)
Bien montrer le début de ce moment, dans le wagon qui est parti désespéré de rentrer dans sa souffrance, et qui va en arriver à l’espoir. Dans cette reprise de la souffrance. Pour cela, je reprendrai sans doute les malades, et je les montrerai, ceux qui souffrent se soulevant, les autres s’intéressant. (Ibid. F°185)
Et alors avec Pierre, la reprise de l’analyse. (Ibid. F°187)
Insister sur Sophie Couteau qui a apporté l’espoir. Tous les autres plus vaillants. Les reprendre tous grisés, dans le train qui roule. (Ibid. F°190)
On est à Lamothe, on l’a dépassé [en interligne : les laudes ensuite, reprendre et décrire], et sœur Hyacinthe rigide sur le règlement, veut faire faire le silence. – (…) Reprendre tout le wagon, les dix femmes du fond, sans nommer personne. (Ibid. F°206)
Je reprends tout le wagon, avec le mouvement d’espoir et d’illusion de la fin du précédent chapitre. (…) Je reprends tous les personnages, sans les nommer. (Ibid. F°209)
Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions que je garde pour le chapitre V de la seconde partie, où je reviendrai sur ses premières pages pour reprendre les persécutions mêlées aux apparitions (…). (Ibid. F°221)
Description de la salle encombrée, avec les bagages, les paniers, les valises (à reprendre pendant la nuit). – (Ibid. F°246)
Et après Marie, voici les malades qu’on installe dans la salle (une description sommaire, que je reprendrai au V : des matelas ajoutés par tous). (Ibid. F°250)
Une fois que j’aurai posé ces vingt cas, je les reprendrai aux endroits nécessaires, et ils me serviront toujours. (Ibid. F°252)
Je reprends le portrait de Chassaigne. (Ibid. F°258)
Et reprendre, pendant la conversation, un peu le paysage, les lacets derrière, le Gave devant, avec le soleil sur les coteaux en face. (Ibid. F°259)
Et je réserve son opinion sur la science et la médecine, je ne fais que l’indiquer là d’un mot, pour la reprendre ensuite au bureau des constatations. – (Ibid. F°276)
Ils [les pères de la Grotte] sont derrière comme une force cachée, organisant tout et ramassant tout. Je puis dire cela ici et le répéter, le faire sentir à plusieurs reprises, plus loin. (Ibid. F°290)
Reprendre l’hôpital (…) de Notre-Dame-des-Douleurs. (Ibid. F°296)
Donc Pierre reprend le petit livre bleu et lit. (Ibid. F°300)
Reprendre le récit où je l’ai laissé dans le wagon, après les apparitions et les premiers miracles. (Ibid. F°301)
Je reprends à l’hôpital, pendant la nuit. (Ibid. F°304)
Et reprendre les dames hospitalières, Mme de Jonquière dévouée, ne fermant pas les yeux (…). (Ibid. F°304)
Je veux en arriver à ce que Pierre (…) reprenne le petit livre qui appartient à Marie, et continue la lecture sur Bernadette. Reprendre le récit où je l’ai laissé dans le chemin de fer, sans doute après les apparitions et les premiers miracles. (Ibid. F°306)
Je reprends ici le récit de la vie de Bernadette. Seulement, je reprends les persécutions pendant les apparitions, pour montrer comment les persécutions peuvent fonder une religion – (Ibid. F°309)
Reprise de
la description de la Grotte, vue du dehors. (Ibid. F°s371-372)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (Ibid. F°398)
Ce serait donc là, près de cette mourante qu’ils [Ferrand et Hyacinthe] [soignent biffé] assistent ensemble que je reprendrai ce que j’appelle leur idylle, ou plutôt leur amitié si pure et si profonde. (Ibid. F°412)
Je crois que cela suffira pour emplir le chapitre, en reprenant la salle par un clair soleil.– (Ibid. F°412)
Le pêle-mêle de tout cela, et sous le ciel très bleu, dans l’air doux, au milieu des vastes montagnes. Reprendre un peu tout cela. (Ibid. F°417)
Les litanies reprennent. Le même prêtre, petit et gros. (Ibid. F°417)
Les litanies reprennent ; mais je change le prêtre. Un religieux à inventer. (Ibid. F°418)
Les quatre Vigneron : le père, la mère, le fils, la tante. Les reprendre chacun, les montrer demandant chacun sa grâce à la Vierge. (Ibid. F°418)
Les litanies reprennent. Mais cette fois, je fais monter en chaire le père Massias. (Ibid. F°419)
Enfin, reprise de la foule. (Ibid. F°421)
Reprendre le baron Suire, Berthaud, Gérard, réglant toujours
le défilé [en interligne : Raymonde], ayant grand’ peine à empêcher qu’on ne s’écrase. (Ibid. F°s421-422)
Reprendre mes hospitaliers et mes prêtres. (Ibid. F°428)
Au bureau. (…) En reprendre brièvement la description. (Ibid. F°439)
Donc, je reprends avec la procession de quatre. (Ibid. F°446)
Tout s’est produit comme le grand médecin l’a annoncé, reprendre les faits et conclure. (Ibid. F°447)
Je reprends tout de suite la procession, et je mets Pierre près de Marie, derrière, avec le père Massias, qui a suivi. (Ibid. F°451)
Je reprends Marie avec son chariot, vaillante malgré sa fatigue, montant quand même avec élan. (Ibid. F°452)
Le vaste horizon, reprendre la foule [en interligne : (M.V. 197)], les jardins, le Gave, le château (légendes du Moyen Âge) [en interligne : (M.V. 132)], Lourdes tout entier. (Ibid. F°453)
Puis je reprends la conversation de Pierre et de Chassaigne, et j’explique tout. (Ibid. F°473)
Et la conversation reprend, je reviens sur la lutte avec le Père
Sempé, sur la mort de Peyramale (…) – (Ibid. F°s474-475)
Je reprends toute la description (…). (Ibid. F°510)
Toute ma description du chapitre de l’arrivée reprise. – (Ibid. F°511)
D’autre part, je reprends le chef de gare, qui attend le train de Toulouse (…). (Ibid. F°512)
Cela me sert à [pos biffé] reprendre le wagon, à dire qu’il est bien le même. (Ibid. F°512)
Mme Maze rayonnante,
rajeunie, reprendre son portrait en beau. (Ibid. F°s516-517)
[en interligne : (…) Reprendre le père Fourcade.] (Ibid. F°517)
Le [le Commandeur] reprendre tout
entier. (Ibid. F°s518-519)
Reprendre les personnages qui sont là : le chef de gare, hâtant tout le monde. (Ibid. F°520)
Pour le rembarquement, je reprendrai mon wagon tel qu’il est venu. (Ibid. F°532)
La description reprise, les malades et les pèlerins, les deux sœurs, madame de Jonquière [et s biffé] etc. (…) On dit le 1er chap. 145, le reprendre tel que dans la [1ère biffé] première journée. (Ibid. F°533)
Et là j’ai un retour dans le wagon pour commencer à poser que le retour n’est pas comme l’aller, ce que je reprendrai tout à l’heure, au moment du sommeil. (Ibid. F°535)
Avec lui [M. Sabathier], reprendre les détails du wagon : ce qu’il a remarqué à l’aller. (Ibid. F°537)
Et en même temps reprendre tout le wagon au moment où l’on va faire le silence. (Ibid. F°540)
Je crois que je dois seulement l’indiquer là seulement, en me réservant de le reprendre
dans Paris, dont le sujet sera là sans doute – (Ibid. F°s555-556)
Et tout repris, comme au premier voyage : les arrêts, la cantine, la vie du train tout entier. (Ibid. F°559)
(…)
toute la ville revient, sa tante la marchande de [f biffé] vin, et surtout Bartrès (…) – (Ibid. F°s574-575)
Reprendre ce que le père Fourcade a dit [Pierre biffé] sur l’utilité de créer une
démocratie catholique : le second problème sera là. – (Ibid. F°s587-588)
Je crois que, pour le balancement des lignes, je dois faire reprendre le petit livre de Marie. (Ibid. F°594)
Reprendre l’espoir. (Ibid. F°601)
Reprendre toute la Grotte. (…) Et reprendre la salle des constatations pour la finir. (Ibid. F°604)

Je songe même que, dans « Lourdes », je ne ferai pas mal à une ou deux reprises d’évoquer sa figure, pour
qu’il ne tombe pas dans « Paris » comme un aérolithe. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 16-17 – Notes sur Guillaume Froment)

Travail (1901)

Je ne puis naturellement prendre tous les corps d’état (MS NAF 10333, Travail, Ebauche f° 352/5) \\Il faudra me borner, prendre des exemples (Ibid., f° 353/6)
Prendre donc l’amitié entre un homme et une femme (Ibid., f° 363/16)
J’ai dit que je prendrai deux frères, ou peut-être plutôt deux cousins (Ibid., f° 364/17)
Je reprends les drames personnels de chaque groupe, de chaque personnage et les §§ dans la joie (Ibid., f° 374/27-375/28)
Je reprends la famille (Ibid., f° 379/32)
Comme usine, je crois que je ferai bien en prenant une verrerie (Ibid., f° 385/38)
Il faut que je reprenne mon Guillaume Froment, mon Souvarine (Ibid., f° 390/43) \\D’abord, prendre une verrerie comme usine ma paraît une donnée étroite (Ibid., f° 398/51)
Seulement, faut-il que je prenne des Hauts fourneaux ou que je les mette à l’horizon, en ne prenant qu’une usine qui fabriquerait des armes par exemple (Ibid., f° 398/51)
Alors, un peu ma Catherine de « Germinal », mais reprise et développée (Ibid., F°406)
Je prends Morfain, chef fondeur à 40 ans.Et je le fais veuf (…) Et je lui donne deux enfants (Ibid., F°423)
Les Jordan posés brièvement (à reprendre) (Ibid., F°431)
Reprendre le paysage dans la nuit (Ibid., F°434)

PRÉPARATION /PRÉPARER

Le Ventre de Paris (1873)

Cela préparera mon roman ouvrier. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 61)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

J’ai la préparation de l’autel ; la scène complète dans la sacristie (la Teuse bavardant, Serge s’habillant) ; l’entrée dans l’église. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Sur la messe et l’église, f° 111)

Nana (1880)

préparer la giffle (sic). (NAF Ms. 10313, Nana. F°48- Plan)
Préparer le coup de tête pour Fontan. (Ibid. F°67).

Le Rêve (1888)

Si je fais vivre Angélique, il faudra lui préparer un hôtel : à dire (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 256) \\Préparer donc, en faire un résultat, un cri (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Reprendre la description de la chambre (13) et surtout de la façade pour la montée de Félicien (5). (…) Préparer ainsi la montée par les jambes de force (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 103)

Lourdes (1894)

C’est pourquoi, en faisant le plan de Lourdes, il faudra que je décide si je ferai ensuite Rome, pour préparer ce dernier. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°61)
Le danger de l’absurde, la génération qu’on prépare ; et l’expérience si longue faite, d’une humanité, d’un train humain basé sur la charité – (Ibid. F°95)
Enfin s’arranger pour préparer
la suite. (Ibid. F°s176-177)
Lire le plan, pour le préparer. (Ibid. F°397)
Cela préparerait très bien la crise pour l’autre journée. – (Ibid. F°419)
Alors ne mettre là qu’un mot de la Grivotte, pour préparer sa rechute prochaine (…). (Ibid. F°536)

D’ailleurs, je n’aurai besoin de lui que dans « Paris ». A moins que je ne fasse passer son (…) image dans « Rome », ce qui ne serait pas mauvais, rien que pour ne pas le perdre de vue et le préparer. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 16 – Notes sur Guillaume Froment)

Travail (1901)

la scène où je veux relever le vieux Qurignon. Elle a quelque invraisemblance . Il faudra la préparer et l’arranger (…) Donc préparer Suzanne et Paul pour cela (F°437)

PRÈS

Voir aussi : loin.

Le Ventre de Paris (1873)

Types à trouver quand j’en viendrai à étudier ces personnages de plus près. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 74)

Nana (1880)

Mais lui a trafiqué avec un bookmacker (sic), Maréchal véreux et près de sombrer, son ancien intendant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan)
Pendant près d’une heure, elle tourna, sans voir (Ibid. F°122 verso).

Dès lors le plaisir que j’ai indiqué plus haut reste à peu près le même. (NAF Ms. 10313, Nana. F°232- Ebauche)
Il faut serrer le plan d’un peu plus près. (Ibid. F°233).

Le Rêve (1888)

Se méfier. Garder les pauvres pour plus loin, car ils sont encore bien près (MS NAF 10324, Le Rêve premier plan du chapitre VI, f° 91)

Lourdes (1894)

Pierre a dû se griser lui-même, et le montrer ici près de croire, croyant qu’il croit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°215)
Dans les sept dernières années près de 15 cent mille fr. d’aumônes (…). (Ibid. F°224)
Enfin M. de Guersaint va voir son coiffeur avec Pierre. Il est près de deux heures. (Ibid. F°345)
Il est près d’onze heures déjà. (Ibid. F°355)
Dire qu’une lecture sera faite [p biffé] après les Aulrays [sic], pendant qu’on déjeunera dans le train, et cela jusqu’à Etampes, ce qui donne près de deux heures – (Ibid. F°569)
Elle [Bernadette] demande pardon à tous. Son agonie dure encore près de trois semaines. (Ibid. F°578)

Si une guérison se produit, on cherche immédiatement le dossier. (Près de mille malades). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 164 – Notes sur les Miracles)
Il faudrait revoir tout cela de près, l’étudier à fond, pendant un grand pèlerinage (…)
– (Ibid. Fos 213-214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)

PRÉSENCE

Lourdes (1894)

Et une première scène où les deux frères, mis en présence, discutent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°16)
Quand Marie s’est recouchée, son portrait physique (…). (…) Les détails
nécessaires pour expliquer sa présence là. (Ibid. F°s122-123)

PRÉSENT

Le Rêve (1888)

Félicien (…) Dans le présent chapitre, il n’est pas même nommé (MS NAF 10323, Premier plan du chapitre IV, f° 63)
Le présent chapitre doit expliquer cela, son trouble (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 88)

Lourdes (1894)

Et tout ce qui est en nous, l’idée de l’infini, le besoin de justice et d’égalité, d’où cela vient-il ? L’insondable problème jusqu’à présent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°27)
Je tiens absolument à ne pas sortir du temps présent, et je ne pourrais sans doute avoir le passé que par des visites (…). (Ibid. F°59)

PRÉSENTER / PRÉSENTATION

Nana (1880)

Alors Juillerat présente du monde, ce qui m’aide pour ma description (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°7- Plan).

La Terre (1887)

Mon drame se présente naturellement par un partage entre vifs. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 403/4- Ebauche)

Lourdes (1894)

Puis, poser sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière. (…) C’est l’installation, avant le train-train des prières. Cela me permet de les présenter comme je le voudrais. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°123)
Un ensemble enfin, pour tout poser, sans les détails sur mes personnages, les malades, que je vais présenter un à un. (Ibid. F°124)
Et pendant l’Angélus et après, je présente Mme Maze et Mme Vincent, avec sa petite fille. (Ibid. F°125)
Naturellement, garder Pierre et Marie au centre. C’est eux qui doivent tout mener, je les pose d’abord, dès les premières lignes, et je me sers d’eux, pour mener la présentation de tous les autres – (Ibid. F°136)
Je pose d’abord le bureau, je dis [que biffé] les personnes [du biffé] qui sont là, [des méde biffé] Bonamy que je présente, si je ne l’ai pas présenté à la gare, Raboin, son aide, puis des médecins, et le personnel (…). (Ibid. F°289)

Lupus. (…) Toute la partie cartilagineuse peut être détruite, le nez présente une large ouverture à bords durs et livides, le triangle du squelette. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)

PRÉSIDER

Lourdes (1894)

Voir l’ordre qui présidera à ces récits. Chacun, peut-être, s’intéressant à son genre de maladie. Un ordre, enfin. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°186)

PRESQUE

Le Ventre de Paris (1873)

La restauration, le gouvernement de juillet ne font rien ou presque rien. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 117)
Presque au coin de la rue de Mondétour (Ibid., f° 146)
quatre fenêtres petites et presque carrées (Ibid., f° 146)
Les marchandes ont presque toutes leur argent dans un sac.(Ibid., f° 169)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Presque toutes les filles du pays sont grosses, quand elles se marient ; le mariage ne vient que légitimer l’enfant. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 12)
Donc deux familles de paysan [sic] me suffiraient presque, pour personnifier tout le village. (Ibid., f°12)
Ils se prennent presque aux cheveux. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 27)

Nana (1880)

Un appartement dont presque toutes les pièces donnent dans l’antichambre, et dans un corridor. (NAF Ms. 10313, Nana. F°16- Plan)
J’aimerais assez que le chapitre se passât presque entièrement chez les Muffat, ou du moins fût à cheval sur les deux intérieurs. (Ibid. F°71)
Poser largement les tribunes qui sont presque vides (…). (Ibid. F°118)
Muffat dit jamais, mais elle le convainct (sic) presque. (Ibid. F°132)
Encore une défaite ! et une ardeur de vœu extraordinaire, presque religieuse, montait pour Lusignan (…). (Ibid. F°135 verso)
Un jour Georges a surpris son frère et Nana presque en flagrand (sic) délit. (Ibid. F°140)
Alors, comme il était au bord du lit, elle l’empoigna de ses deux bras nus, secouée d’un beau rire, et pleurant presque tant elle trouvait ça gentil. (Ibid. F°144 verso).

[Rose Mignon] Elle est mince de taille moyenne ; presque maigre, avec une figure chiffonnée (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F° 185- Personnages).

Train de domestiques, de voiture, de loyer. – Presque pas de nourriture. (NAF Ms. 10313, Nana. F°257/6- Notes).

Le Rêve (1888)

Il faut que je pousse les choses jusqu’à la mort presque (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 238/22)
(…) leur inquiétude d’avoir à élever ce rejeton (…) jusqu’au regret presque (Ibid., f° 283/66).

Au XIIIe, presque tout de suite, je place ma première légende (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 266).

Et alors prendre la petite morte de froid presque évanouie contre Saint [sic] Agnès (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 7)
(…) Enfin montrer les Hubert presque inquiets ( Ibid., f° 8) \\Les instincts d’orgueil et de passion combattus par Hubertine et le milieu, détournés presque en qualité (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 26)
(…) L’instruction d’Angélique, presque rien (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
Le prince attendu (…) aussi l’attend-elle presque, à sa fenêtre
elle lui dirait presque comme dans les cantiques : Mon Jésus, je vous attendais (Ibid., premier plan du chapitre VII, f°s 100- 101)

Lourdes (1894)

Il est humble, il donne des conseils miraculeux à tous (il fait presque des miracles par l’observation stricte de la règle.) (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°15)
Il y va donc monté contre ces mômeries, presque avec colère (…). (Ibid. F°73)
Et il se serait fait une opinion. Ainsi, au premier mot du médecin, [aurait biffé] refuse-t-il presque violemment. (Ibid. F°97)
Le mari voyageur de commerce, presque toujours en voyage, et elle seule à Paris, ou à Angers où l’on s’arrête. (Ibid. F°111)
Et il apprend par la lettre d’un ami l’accident arrivé au chef, une attaque d’apoplexie qui le laisse gaga ; et la presque certitude qu’il va être nommé chef. (Ibid. F°113)
Les cahots du wagon, comment il est placé, presque en queue. (Ibid. F°129)
Pierre s’est écarté, dans un malaise, presque irrité de l’extraordinaire idée du père Fourcade, jugeant cela fou et terrible. (Ibid. F°257)
A voix basse, terrible. Presque des insultes à la Sainte Vierge qui ne l’a [Marie] pas guérie. (Ibid. F°299)
Alors, la crise de doute chez Marie. La Vierge ne l’a pas guérie, et elle l’insulte presque. (Ibid. F°305)
Et la femme au cancer, Mme Vêtu, presque à l’agonie, heureuse de cette guérison, l’abnégation des malades (…). (Ibid. F°305)
Une description, et presque une ovation à Marie, qu’on reconnaît. (Ibid. F°496)
Appoline est une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). Elle lui ressemble physiquement, elle a presque eu la même enfance. (Ibid. F°501)
Appoline sera une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). Elle lui ressemble physiquement, elle a eu presque la même enfance ; mais ce n’est pas à elle que la Vierge serait apparue. (Ibid. F°504)

Pour excuser sa faute, faire que son mari, un [nego biffé] négociant en diamant, à Paris, la batte presque, ait des maîtresses, d’une laideur repoussante et d’une attitude de goujat. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 75 – Notes sur Madame Volmar)
Une blonde assez grande, élancée, fine et élégante, avec presque pas de poitrine, et des membres souples. (Ibid. Fo 87 – Notes sur sœur Hyacinthe)
Peut-être
pourrait-il accompagner Pierre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. – Mais il est presque comique et je préférerai que ce fût le docteur [Lacassagne biffé] Chassaigne qui fût l’accompagnateur. (Ibid. Fos 106-107 – Notes sur Cazaban)
Presque tous les autres médecins ont
pu croire à une paralysie venant de la moelle (elle ne remue plus, au lit). (Ibid. Fos 118-119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Le foie gonfle. Eau presque pure. (Ibid. Fo 125 – Notes sur la maladie de Frère Isidore)
Phénomène presque constant chez les malades, abandonnés de la science, que l’eau de Lourdes guérit : douleurs très vives dans les parties privées depuis longtemps de mouvements, ou qui sont le siège de phénomènes anormaux, pathologiques. (Ibid. Fo 138 – Notes sur les Miracles)
Dans tout cela des tissus, de la chair refaite [en interligne : presque] instantanément : là est le miracle. (…) Veuve Rizan, depuis 25 ans. En 32, choléra. (…) Ne parlant presque plus, livide. (Ibid. Fo 149 – Notes sur les Miracles)
Hypertrophie du cœur, paralysie de la jambe gauche, ulcère variqueux, goitre exophtalmique. Presque aveugle. (Ibid. Fo 158 – Notes sur les Miracles)
Diagnostic presque certain. A l’auscultation, les ravages décrits (305). (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Presque tout cela est pauvre et vieux, raccommodé avec des ficelles, l’air souffrant, lamentable. (Ibid. Fo 182 – Notes sur le Départ de Paris)
Presque toutes les malades couchées sont habillées. (Ibid. Fo 183 – Notes sur le Départ de Paris)
Presque toutes [les sœurs de l’Assomption] petites et rendues agréables, même les laides, par ces blancheurs. (Ibid. Fo 191 – Notes sur le Départ de Paris)
Presque tous [les pères] la grande barbe. (Ibid. Fo 191 – Notes sur le Départ de Paris)
Au fond, en haut, sur l’horizon, le cirque est terminé par une ligne presque horizontale (…). (Ibid. Fo 218 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Onze ans après 58, en 69, l’église presque achevée. (Ibid. Fo 227 – Notes sur H. Lasserre)
Onze ans après 1858, en 64, l’église presque achevée. (Ibid. Fo 254 – Notes sur H. Lasserre)

PRESSE

Lourdes (1894)

La campagne à Paris, par la presse antireligieuse. Prévost-Paradol, un article (334). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)

PRÉTENDRE / PRÉTENDU

Lourdes (1894)

Bien analyser cette force, parce qu’elle est sûrement un des agents du prétendu surnaturel. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°434)
Au lieu de lui rendre la foi, le prétendu miracle achèvera de ruiner la foi en lui [Pierre]. (Ibid. F°436)
De sorte que c’est le prétendu miracle qui empêche Pierre de croire. (Ibid. F°441)
Bien l’analyser cette force, parce qu’elle est l’agent du prétendu surnaturel. (Ibid. F°445)
Au lieu de lui rendre la foi, le prétendu miracle a achevé de ruiner la foi en lui [Pierre]. (Ibid. F°460)
Elise Rouquet avec son ulcère prétendu guéri, Sophie Couteau gaminant, et les Vigneron, tous en haut. (Ibid. F°465)

De même, que de tableaux intéressants à faire avec les pèlerinages (…). On prétend qu’il se passe là de terribles choses. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 211 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Il prétend que toute la population allait à l’école. (Ibid. Fo 229 – Notes sur H. Lasserre)

PRÊTER (SE)

Le Ventre de Paris (1873)

Je ne lui prêterait [sic] aucune mauvaise action : Je la montrerai honnête et pire peut-être qu’une coquine. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 88)

Lourdes (1894)

Ma phrase du discours aux étudiants sur « le travail libérateur et pacificateur ». Je ne puis guère prêter à mon socialiste que ces idées-là, et ce sera donc un évolutionniste. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°21)

Il me semble que j’étais née pour agir, pour me remuer, pour être toujours en mouvement, et le Seigneur me veut immobile. – Paroles très graves que lui prête Lasserre (327). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)

Le Rêve (1901)

Quant au quartier, il est complètement à régler de nouveau pour se prêter à tous les épisodes (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 310/93)

PRÉTEXTE

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Après le déjeuner, il faut faire sortir l’abbé sous un prétexte. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 27)

PRÉVOIR

Le Rêve (1901)

Pour que cela ne soit pas brutal, il est nécessaire de le faire prévoir (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre VII, f° 103)
Une émotion pourtant, un frémissement faisant prévoir le dénouement possible (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)

PRÉVOST-PARADOL

(Lucien-Anatole) Journaliste et essayiste français (1829-1870).

Lourdes (1894)

Campagne à Paris, par la presse. Prévost-Paradol – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 226 – Notes sur H. Lasserre)
La campagne à Paris, par la presse antireligieuse. Prévost-Paradol, un article (334). (Ibid. Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)

PRIMITIF

a) notion esthétique et stylistique, et qualificatif associé à la fin du XIXème siècle aux peintres du mouvement pré-raphaélite Voir aussi : vitrail

Le Rêve (1901)

Un ouvrier primitif. Je puis lui faire réparer par amusement un vitrail de l’église (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 301/84)

J’en fais un ouvrier primitif (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Félicien peintre verrier, ouvrier primitif (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 92)
Voir si j’en fais un ouvrier primitif (Ibid., plan du chapitre IX, f° 119)
Quelque chose de légendaire et de mystique, de frêle, de primitif, d’élancé dans la passion, de passionnement chaste (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 133)
Quelque chose de mystique et de légendaire, de frêle, de primitif, d’élancé dans la passion, de passionnément chaste (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
Félicien, peintre verrier, ouvrier primitif (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)

Le côté métier dans la peinture sur verre, ouvrier primitif (…) Peintre verrier, ouvrier primitif (Ibid., Personnages, f° 203)

b) de base

Lourdes (1894)

Pierre se retrouve dehors [en interligne : voir la dernière page du plan primitif (Guide Barbet. 41)] et va au Rosaire, allumé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°369)

Dans les notes succinctes et primitives, rien que les bases d’une enquête qui doit se poursuivre. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 165 – Notes sur les Miracles)

PRINCESSE

=== Le Rêve (1901) ===

Si je garde le garçon riche, qui n’est rien, qui ne
peut rien être, cela fait qu’Angélique entre dans cette vie oisive de princesse (NAF MS 10323 Le Rêve f° 302/85- Ebauche)

PRINCE CHARMANT

(personnage-type des contes merveilleux)

Le Rêve (1901)

Ne pas oublier que le jeune homme doit arriver en prince charmant (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 234/18) \\(…) Apparition du prince charmant (Ibid., f° 235/19)
(…) Angélique questionnée, ou lisant la Vie des Saints
ou les voyages, et disant le roman qu’elle rêve, le prince /bleu raturé/ charmant (Ibid., f°s 244/28- 245/29)
(…) Angélique fait son rêve sur le prince charmant (Ibid., f° 247/31)
(…) Enfin la montrer troublée, femme sans le savoir, attendant le prince
charmant (Ibid., f° 254/38-255/38bis)
(…) Si le prince charmant est attendu, il est bon qu’il soit tout de suite le prince charmant. C’est à régler (Ibid., f° 357/40)
Le prince charmant se révélant (…) Insister sur le prince déguisé (Ibid., f° 262/45)
(…) Elle épouse le prince charmant, le Jésus, la beauté et la fortune (Ibid., f° 279/62)
(…) j’ai la lente venue du prince charmant (Ibid., f° 290/73)

L’attente du Prince Charmant (MS NAF 10323, f° 2, Plan, Plan du chapitre IV(
Cela s’élargit et prend son importance au IV lors de la venue du Prince charmant (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 29)
Elle se voir donc reine, veut un prince charmant (Ibid., 2 ème Plan détaillé du chapitre III, f° 42) ).
Ce qu’elle ambitionnerait : un prince charmant (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 46)
Et tout ça prendrait place au chapitre IV, avant l’arrivée du prince / charmant (Ibid., premier plan du chapitre III, f°s 52-53)
Le prince sort de l’invisible (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 59)
L’attente du Prince Charmant (…) il n’est pas même nommé : c’est le prince (…) Tout annonce le prince charmant (…) la venue lente du prince (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 63)
femme sans le savoir attendant le prince (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 64)
Il faut qu’elle se doute que c’est le prince (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 65)
Le prince attendu (…) le prince sort vraiment de l’invisible (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
la venue du prince charmant (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
J’aimerais mieux qu’il ne dise rien sur lui. Il est le prince charmant (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 74)
Il est le prince (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 81)
Il est le prince (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 86)
Vous êtes venu, mon prince (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Le prince attendu (premier plan du chapitre VII f° 100)
La ressemblance avec le vitrail. Le prince charmant, le
Jésus (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f°s 109-110)
Le prince charmant se révélant dans sa gloire (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 114)
Angélique qui se doutait de son prince déguisé (Ibid., premier plan du chapitre suivant, f° 115)
Elle épouse
le prince charmant, la beauté, la fortune, au delà de tout espoir (Ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f°s 185-186)
Elle épouse le prince charmant (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 189) ==== PRINCIPAL ====

Le Ventre de Paris (1873)

Lisa domine, c’est ma création principale. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 64)

Nana (1880)

Ce serait là, mes trois types principaux, l’ordure du vieux, l’amour profond de l’homme mûr, et le baisage aimable et facile de l’amant de cœur. (NAF Ms. 10313, Nana. F°210- Ebauche)
(…) le gamin de Paris, maigre, laide et spirituelle et plus âgée, dont je ferai la fille principale après Nana. (Ibid. F°214)
Elle [L’intrigue] me semble rappeler un peu trop la situation principale de la Cousine Bette. (Ibid. F°225).

Lourdes (1894)

Naturellement, je mets mon prêtre, ma malade et son père, dans le compartiment de troisième, où se passeront les scènes principales du début. (…) Mais tenir compte que j’aurai besoin de lui dans les scènes principales. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°80)

Enfin, dans « Paris », il sera le personnage principal. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 19 – Notes sur Guillaume Froment)
Le Gave vient du torrent, des montagnes, le principal est celui de la Cascade de Gavarnie. (Ibid. Fo 228 – Notes sur H. Lasserre)

Travail (1901)

Je vois à peu près le rôle des principaux personnages (F°413)

PROBLÈME

Nana (1880)

Un mari fera d’elle [Estelle Muffat] tout ce qu’il voudra. Une chose, un problème. A quoi peut-elle penser et que peut-il y avoir en elle ? (NAF Ms. 10313, Nana. F°190- Personnages).

Le Rêve (1888)

Les éléments du problème à résoudre restent d’ailleurs toujours les mêmes : pureté, psychologie, au delà (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 227/11)

Lourdes (1894)

Et tout ce qui est en nous, l’idée de l’infini, le besoin de justice et d’égalité, d’où cela vient-il ? L’insondable problème jusqu’à présent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°27)
Je ne résous pas ici le problème, mais j’étudierai ce sentiment à notre fin de siècle, en mettant en face les pèlerins et mes anarchistes, le passé et l’avenir. (Ibid. F°54)
Pourquoi veut-on de [la vérité biffé] l’égalité et de la justice ? Grave problème. (Ibid. F°556)
Reprendre ce que le père Fourcade a dit [Pierre biffé] sur l’utilité de créer une
démocratie catholique : le second problème sera là. – (Ibid. F°s587-588)

PROCÉDÉ / PROCÉDER

La Curée (1872)

Dans l’affaire du Prince Eugène, voici comment je procéderai (MS NAF 10 282, La Curée, f°326).

La Terre (1887)

Voir si je n’en ferai pas un historien amateur, ayant achevé une histoire de mon village, à travers les âges, qu’il n’achève jamais. Cela me donnerait cette histoire, mais ce serait du procédé bien visible. (MS NAF 10329 La Terre f° 105 – Personnages, Maître Baillehache)

Lourdes (1894)

Pour arriver à suivre d’abord l’idylle de l’enfance, l’apparition, puis le drame de l’âge mûr, il faudrait trouver un procédé (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s32-33)
Toutes les apparitions antérieures, toutes procèdent de la même façon : [des be biffé] l’enfantillage [et de biffé] et la naïveté des moyens. (Ibid. F°207)
Tous les détails, la façon dont on procède pour les malades : les pancartes, les lits, les numéros d’ordre, etc. – (Ibid. F°244)
Constatations peu sérieuses, garanties insuffisantes, façons de procéder dérisoires, le doute reste quand même. – (Ibid. F°281)
Ce que je veux montrer surtout, ce que Pierre sentira surtout, c’est le peu de sérieux de ces constatations. Les garanties insuffisantes, les façons de procéder dérisoires, le doute restant
quand même. (Ibid. F°s291-292)
Je crois que je dois tout de suite, après avoir posé Appoline (…), faire procéder à un achat. (Ibid. F°498)

PROCÈS VERBAL

Lourdes (1894)

Enfin, il faut que je me procure le procès verbal des médecins (Balensi) qui ont étudié Bernadette et qui
ont conclu à l’hallucination – Il faut aussi que j’aie les procès verbaux du commissaire Jacomet, enfin tous les dossiers administratifs de l’époque. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s63-64)
Le dossier que Pierre trouve chez son père, le double des procès-verbaux administratifs, des rapports de police [en interligne : enquêtes de toutes sortes], des interro- \\gatoires de Bernadette, des rapports des médecins, et lettres confidentielles. (Ibid. F°s150-151)
Des dossiers chez lui [M. Froment], dans son cabinet, que Pierre trouve. (…) Des procès-verbaux, des renseignements, les premiers documents, à la veille de la mort de son père. (Ibid. F°160)
Pour Lourdes, doubles des procès-verbaux administratifs, rapports de police, interrogatoires de Bernadette, consultations des médecins, enquêtes de toutes sortes, lettres confidentielles. (Ibid. F°163)

PROCHAIN

Lourdes (1894)

Le mois de Marie [en interligne : N. s. L. p. 37], de Lasserre lu dans les [illisible], trente suites au prochain
numéro. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s188-189)
On lisait le mois de Marie de Lasserre dans les églises (en mai, 30 jours). La suite au prochain numéro. (Ibid. F°200)
Et j’irai aussi jusqu’au retour à Lourdes, quelques jours avant les apparitions. La suite au prochain numéro. (Ibid. F°205)
Alors ne mettre là qu’un mot de la Grivotte, pour préparer sa rechute prochaine (…). (Ibid. F°536)

PROCURER (SE)

Lourdes (1894)

Enfin, il faut que je me procure le procès verbal des médecins (Balensi) qui ont étudié Bernadette et qui
ont conclu à l’hallucination – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s63-64)

PRODIGE

Lourdes (1894)

Le nombre des guérisons est déjà un prodige. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 161 – Notes sur les Miracles)

PRODIGUER

Lourdes (1894)

N’en faire que le témoin des faits, et ne pas le prodiguer, le faire intervenir seulement quand cela est bon. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°82)
Sophie Couteau peut passer, quoiqu’il faille se méfier de la prodiguer trop. – (Ibid. F°307)

PRODUIRE

Le Ventre de Paris (1873)

Il est dans le trou heureux où la nourriture se fabrique. Comparaisons. Mettre cela au milieu de l’œuvre, pour produire une opposition. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 80)

Lourdes (1894)

Cela n’entrave pas le mouvement de la science, mais expliquer comment cela se produit. Le moment politique aussi, Léon XIII, le socialisme religieux, etc. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°41)
(…) c’est ce sentiment qui a produit les religions et [q biffé] dont la source est si difficile à connaître. (Ibid. F°54)
Et l’effet d’écartement que lui produit Lourdes. (Ibid. F°83)
Montrer la force des choses (…), et pourquoi le départ de Bernadette s’est produit logiquement, ainsi qu’une chose nécessaire (…). – (Ibid. F°386)
Ne pas manger du prêtre, montrer la force des choses, et comment le départ de Bernadette s’est produit logiquement, comme une chose nécessaire. (Ibid. F°393)
Car des miracles se produisent, et on
conduit les miraculés au docteur Bonamy. (Ibid. F°s428-429)
L’émotion produite par ces voix gémissantes était irrésistible. (Ibid. F°437)
C’est quand on l’a [Marie] sortie des piscines et qu’on la ramène, qu’elle
rencontre la procession de quatre heures, et que le miracle se produit. (Ibid. F°s445-446)
Tout s’est produit comme le grand médecin l’a annoncé, reprendre les faits et conclure. (Ibid. F°447)
L’émotion produite par ces voix gémissantes était irrésistible. (Ibid. F°449)
Les miracles qui se produisent (21). (Ibid. F°450)
Les détails sur ce qui se passait, le buste de Peyramale, devant lequel les dévotes entretenaient des lampes. (…) Des miracles commençaient à se produire. (Ibid. F°476)
Mais aussi le wagon revient, effet produit par la lecture, nommer seulement et le moins possible les personnages. (Ibid. F°580)

Et l’idée qu’elle pourrait guérir, que produit-elle en lui [Pierre] ? (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Et tous continuent à affirmer leur opinions, de sorte que lorsque la guérison se produira, ils pourront crier au miracle. (Ibid. Fo 119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Si un travail inflammatoire et ulcératif se produit dans les parois de la tumeur, l’ouverture se fait dans le péritoine ou dans le[s biffé] [visc biffé] conduit hépatique. (Ibid. Fo 125 – Notes sur la maladie de Frère Isidore)
Mais, quand l’attaque se produit, il ne peut plus parler. (Ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
En ce moment de mysticité, de révolte contre la science, un admirable sujet : (…) cette extraordinaire histoire de Bernadette Soubirous, la petite paysanne de douze ans (…) produisant cet énorme mouvement d’humanité (…). (Ibid. Fo 208 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Et la vision se produit. – (…) Elle [Bernadette] tomba à genoux. (Ibid. Fo 233– Notes sur H. Lasserre)
Bernadette se transfigure, l’apparition se produit. (Ibid. Fo 234– Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] n’y va pas le matin, mais à midi, une force s’empare d’elle et l’y pousse (22 février) (85). Mais ce jour-là l’apparition ne se produit pas. – (Ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
Le miracle ne se produit que pendant la messe suivante. (Ibid. Fo 275 – Notes sur Mlle de Fontenay)

PROFIL

La Conquête de Plassans (1874)

Fenil, à peine un profil noir. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 9)

Lourdes (1894)

Des profils, le père supérieur, le père Noguès. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°118)
Finir de poser le père (…),
un intéressant profil, à son personnage (…). (Ibid. F°s151-152)
Et elle [Mme Maze] montre son mari qui l’attend (un profil), elle est ravie de ce regain, de cette aubaine d’amour, et elle croit que la Sainte Vierge [l’exau biffé] l’exauce. – (Ibid. F°517)

PROFITER

Lourdes (1894)

Je le [le père Dargelès] pose, et je profite de l’occasion pour poser les pères de la Grotte. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°289)
Et profiter de cette promenade, vers une heure, pour montrer la kermesse, les guinguettes parfois, la mangeaille en plein vent. (Ibid. F°342)

PROFOND / PROFONDÉMENT

Lourdes (1894)

Sa conversation avec un grand médecin, qui envoie la malade à Lourdes. (…) Et le coup d’œil fin et profond. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°78)
Mme Maze, effacée, discrète. (…) Donner à comprendre une profonde douleur [malade biffé] morale – (Ibid. F°125)
Et pendant ce temps-là l’idylle entre Ferrand et sœur Hyacinthe. (…) Leur amitié si pure et si profonde. (Ibid. F°404)
Ce serait donc là, près de cette mourante qu’ils [Ferrand et Hyacinthe] [soignent biffé] assistent ensemble que je reprendrai ce que j’appelle leur idylle, ou plutôt leur amitié si pure et si profonde. (Ibid. F°412)
Mais les yeux se rouvrent, obstinément. Ils regardent toujours la Vierge, avec une expression d’extase [infinie biffé] profonde (…). (Ibid. F°420)
Mais les yeux se rouvrent, obstinément. Ils regardent toujours la Vierge, avec une expression d’extase profonde (…). (Ibid. F°425)
Le froid que cela lui met au cœur, malgré sa joie, sa profonde émotion. – (Ibid. F°439)
Commencer là l’analyse qui le [Pierre] montre troublé, plein de malaise, devant Marie guérie, malgré la joie profonde qu’il en éprouve. (Ibid. F°455)
Et alors Pierre et Chassaigne. Un silence profond. (Ibid. F°471)
Effarement, mais joie profonde inconsciente. Enfin, l’héritage est acquis à Gustave. (Ibid. F°485)
C’est alors qu’elle [Marie] fait tout bas son vœu de virginité. Il [Pierre] en est ému profondément. (Ibid. F°553)
Et Pierre, pendant qu’on se rapproche de Paris où l’on sera à 3h10 (une heure et demi encore) tombe dans une profonde rêverie. (Ibid. F°580)

La profonde et navrante tristesse de cela, que l’humanité ait besoin de ce mensonge. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Aimable, spirituelle, enjouée, amour fervent et vertu profonde [Bernadette]. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)

PROGRÈS

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

L’idée de progrès dans la vie spirituelle revenant toujours. Toujours l’anéantissement devant Dieu. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Extraits de L’Imitation, f° 39)

Lourdes (1894)

Mais j’ai le second volume « Rome »,
et j’ai déjà dit que mon prêtre (…) tâche dans « Rome » de réconcilier le catholicisme (…) avec la science moderne, le monde moderne, le progrès. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s4-5)
Enfin, il représente la ville haute, le progrès de la libre pensée, et mieux
encore l’intérêt personnel. (Ibid. F°s120-120 bis)
Pierre, le libre examen, la foi au seul progrès par la science (éb. 5). (Ibid. F°162)

PROGRESSION

Lourdes (1894)

Il va être de toutes les scènes, et en spectateur immobile, je veux dire chez lequel il n’y a pas conflit, progression ; par conséquent, il [f biffé] manque d’intérêt. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°82)
Ici donc, je n’ai qu’à suivre la progression, la marche chez lui [Pierre] [du biffé], sans conclure. – (Ibid. F°436)
Cela me donne une progression : d’abord cela ; puis, toutes les voix, et le Saint-Sacrement qui manque d’être emporté. – (Ibid. F°437)
Cela me donnera une progression ; d’abord cela ; puis toutes les voix ; et le Saint-Sacrement qui manque d’être emporté. (Ibid. F°449)

PROLONGER / PROLONGEMENT

Travail (1901)

après la longue consultation de la réalité, un prolongement dans demain, et d’une façon lyrique, mon amour de la force et de la santé, de la fécondité et du travail, mon besoin de vérité et de justice éclatant enfin (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 350/3)

PROMENER

Le Ventre de Paris (1873)

Je la promènerai avec mon peintre. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 95)

Lourdes (1894)

Donc, je fais sortir Marie avec
[M. biffé] son père et Pierre, et je la promène dans le nouveau Lourdes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s504-505)

PRONONCÉ(E) / PRONONCER (SE)

Lourdes (1894)

Pas de sensualité prononcée – le nez assez petit ; mais les lèvres [pas fortes biffé] fortes, la bonté et la tendresse. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 3 – Notes sur Pierre Froment)
Ne pas prononcer le mot boule ; dire un poids, ou autre chose. – (Ibid. Fo 121 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
On se prononce d’une façon hâtive, sur des documents incomplets. (Ibid. Fo 146 – Notes sur Boissarie)

PROPHÉTIE

Travail (1901)

La prophétie de Lange revenant (F°434)

PROPORTION

Lourdes (1894)

Les vraies proportions du cirque échappent, l’impression n’est pas aussi énorme qu’elle devrait l’être. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)

PROPOS (À)

Le Rêve (1901)

A ce propos je voudrais bien que la mère de Hubertine fut [sic] enterrée par là pour avoir la tombe (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 250/34)
Le Saint-Georges, les armes et à ce propos l’évêque, son histoire à lui, son passé (…) les légendes des mortes heureuses (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 53)
Histoire de l’église (…) Voir ce qu’il y a à reprendre dans l’histoire des Hautecoeur et de Beaumont à propos de l’église (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)

PROUDHON

Philosophe et économiste français

Travail (1901)

Les précurseurs Saint-Simon, Proudhon et Saint-Simon surtout (F°435)

PSYCHOLOGIE (-QUE)

Le Rêve (1888)

Puisqu’on m’accuse de ne pas faire de psychologie, je voudrais forcer les gens à confesser que je suis un psychologue. De la psychologie donc, ou ce qu’on appelle
ainsi (!), c’est à dire une lutte d’âme (…) De la psychologie, lutte d’âme (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 217/1-218/2-)
(…) La psychologie en mettant un combat chez le quadragénaire (Ibid., f° 221/5)
(…) Tout cela à étudier psychologiquement (Ibid., f° 222/6)
(…) Au milieu un débat pour me donner la psychologie (Ibid., f° 224/8)
(…) Cela me donnerait donc une certaine lutte, une certaine psychologie (Ibid., f° 225/9)
(…) Les éléments du problème à résoudre restent d’ailleurs toujours les mêmes : pureté, psychologie, au delà (Ibid., f° 227/11)
(…) C’est ce qui fait le combat, la psychologie (Ibid., f° 231/15)
(…) Là toute la lutte, toute la psychologie de Marguerite (Ibid., f° 237/21)
(…) Et le renoncement, mysticisme. Toute une psychologie particulière (Ibid., f° 238 /22)
(…) Le saut en arrière, étudier ça psychologiquement, son bonheur et sa terreur (Ibid., f° 259/42)
(…) Je voulais une lutte psychologique, et c’est ici qu’il faudrait la mettre (Ibid., f° 271/54)
(…) La psychologie est là dans cette lutte (Ibid., f° 284/67)
(…) donner une grande place possible à la lutte psychologique (Ibid., f° 295/78)
(…) Seulement, Félicien m’inquiète davantage comme solidité psychologique (Ibid., f° 297/80)

Psychologie (Ibid., Plan, f° 1); toute la psychologie du cœur et de la jeunesse (…) détail psychologique (Ibid., résumé du Plan du chapitre XI, f° 3)  \\je ne puis raconter son histoire que lorsqu’il est connu au IX. Jusque là sa psychologie (la voir aux .personnages) n’apparaît que dans son air et dans ses actes (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 77)
Psychologie de Félicien (aux personnages) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre VI, f° 92)
Psychologie de Félicien (aux personnages) rien que dans son air et dans ses actes (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Détail sur le peintre verrier, toute la psychologie enfin ouverte de Félicien (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 125)
Lutte psychologique : la jeunesse, la santé, l’orgueil, la passion d’un côté, le devoir, le respect, l’obéissance , le renoncement, l’humilité de l’autre (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 152)
Ajouter ceci, le combat psychologique, l’hérédité des Rougon-Macquart en lutte avec l’éducation et le milieu (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 166)

J’ai tous les personnages, sauf Félicien, comme psychologie (Ibid., Personnages, f° 201)

Lourdes (1894)

Toute une étude de leur fameuse psychologie, puisque pour eux la psychologie consiste uniquement dans le combat du devoir contre la passion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°6)
Cela serait donc assez original de faire passer le drame psychologique du miracle dans un prêtre. (Ibid. F°76)
La fin psychologique est que si la crédulité est une consolation, il faudrait chercher ailleurs. (Ibid. F°78)
La psychologie de Marie à un autre chapitre, [lorsqu biffé] sans doute lorsqu’elle va passer une nuit devant la Grotte. (Ibid. F°303)
Et son ancienne tendresse avec Pierre. Toute sa psychologie (voir la note). (Ibid. F°356)
La psychologie de Marie : une une [sic] toute blanche, la meilleure et la plus pure. (Ibid. F°545)
Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre, la raison emportant tout en lui, mais honnête. (Ibid. F°585)
Très important, tout le drame psychologique est lu. – (Ibid. F°589)

Il faudra donc que je donne la psychologie de cela. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)

Travail (1901)

Montrer la nécessité du travail pour la santé psychologique (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2)
Cela m’amène à Luc, à sa psychologie (Ibid., f° 371/24)
Mais quelle est sa psychologie là-dedans ? (Ibid., 383/36)
L’ouvrier, sa psychologie, l’embarras qu’il crée à sa femme (Ibid., f° 394/47)

PUBLIC Voir aussi : Lecteur

Le Rêve (1888)

C’est dans l’autre chapitre qu’Angélique et que le public va savoir qui est Félicien (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre VII, f° 103)

Lourdes (1894)

Le rôle de Napoléon III. Impassible, muet, il suivait la polémique, regardait osciller la bataille, attendant que la conscience publique en dictât sa décision. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)

PUBLICATION

Le Rêve (1888)

(…) J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage . En dehors de ses quelques livres classiques étroits et secs, la légende (…) Il est là depuis sa publication (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)

PUIS Voir aussi : d’abord ; enfin.

La Curée (1872)

(Relevé non exhaustif) Puis la fin comme une phrase musicale revenant (MS NAF 10 282, La Curée, f°227). – Puis elle se décide à coucher avec Aristide (MS NAF 10 282, La Curée, f°348). – Puis Aristide parle de sa femme (MS NAF 10 282, La Curée, f°349). – D’abord Larsonneau seul trafiquant. Puis Saccard – fin du traité (MS NAF 10 282, La Curée, f°350). – Puis Sidonie rôdant et voyant son amant [barré] (MS NAF 10 282, La Curée, f°351). – Puis le cotillon continue (MS NAF 10 282, La Curée, f°351).

Le Ventre de Paris (1873)

Puis je compte faire passer mais en fond seulement Gervaise sœur cadette d’Elisa, avec ses trois enfants.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f°s 60-61)
Il a eu des amours que je raconterai. Puis il se prend d’une belle passion pour la belle Lisa. (Ibid., f° 66)
Je n’ai encore pour les Halles, comme types, qu’une charcutière, une marchande de poissons, une marchande des quatre saisons (avec voiture d’abord, puis devant un éventaire) (Ibid., f° 72)
D’abord, impression pénible, puis respect devant le désintéressement de Florent (Ibid., f° 83)
Puis viennent les naïfs. Peinture de quelques types. (Ibid., f° 85)
Puis, comme l’occasion ne vient pas, l’idée de tuer l’empereur pousse dans sa tête, une nuit qu’il regarde les Halles. (Ibid., f° 85)
Lisa d’abord a l’estime ou désintéressement de Florent; puis elle a une antipathie pour ce garçon qui vit en dehors du monde ordinaire; puis elle s’effraye (scène du boudin); puis elle apprend par son mari la conspiration et s’inquiète (Ibid., f° 89)
Ainsi donc le personnage de Lisa vis-à-vis de Florent est très net : estime d’abord, antipathie, puis frayeur, et lutte pour le dénoncer, pour éviter qu’il ne compromette son mari et ses deux petits enfants; puis un fait qui la décide, et dénonciation. (Ibid., f° 90)
Puis comme Florent est un grand innocent, elle est terriblement piquée (elle lui a fait des cadeaux en nourriture). (Ibid., f° 92)
Je la promènerai avec mon peintre. / qui n’aura que dix-sept ans, il n’aura été que jusqu’en seconde; puis [m] sans métier, crevant la faim, jeté sur le pavé. (Ibid., f° 95-96)
Puis devinant la vérité, sachant l’histoire des cinquante mille francs trouvés dans un saloir, par Melle Saget, elle pousse Florent à réclamer sa part. (Ibid., f° 99)
Puis elle consent à épouser Lebigre. (Ibid., f° 100)
Comme maigres, j’ai d’abord Florent, puis Claude, puis quelques types de chez Lebigre (Ibid., f° 101)
Puis c’est en action. (Ibid., f° 104)
Dans les courses de Melle Saget (gourmande) Dans le marché de Lisa) – Puis avec Cadine et dans les cancans. (Ibid., f° 114)
Puis 1814 arrive, la restauration (Ibid., f°117)
Puis, après les maraîchers, arrive la viande (Ibid., f° 122)
Les marchands vendent en gros leurs denrées jusqu’à 10h ; puis ils les portent dans la resserre publique (Ibid., f° 128)
D’un côté les bijoux d’argent : les montres […] ; puis sur la glace les tabatières (…) et surtout les dés étagés. De l’autre côté les bijoux d’or : les chaines (…) puis (…) enfin des bijoux, chaines, bracelets, etc. (Ibid., f° 163)
D’abord (…) puis les fruits dans des paniers (Ibid., f° 170)
Puis tout devient d’un gris tendre.(Ibid., f° 173)
Puis le soleil sur les légumes.(Ibid., f° 176)
Puis vient la vente de la volaille vivante. (Ibid., f° 180)
En bas contre la vitrine, pots de rillettes (jaune clair) puis dans des assiettes (Ibid., f° 193)
Sur la glace de la devanture, en lettres de cristal, Concours de Poissy, puis une rangée de médailles (Ibid., f° 195)
Chaque médaille est ainsi : dans une couronne de laurier, le nom puis : primé à l’exposition de… En exergue : Ministre du commerce (Ibid., f° 195)
Traîné d’abord de poste en poste, puis mis à la préfecture de police. (Ibid., f° 202)
[a matelassé les murs. Puis, voyez comme le moment est bien choisi: la gauche radicale se tait, la session des conseils généraux s’annonce dans la plus grande quiétude, et voilà un monsieur qui crie au loup] (Ibid., f° 213 verso)

La Conquête de Plassans (1874)

Mon drame physiologique sera donc l’étude de la parenté qui rapprochent /sic/ les époux (…) Puis le vieux levain de haine de la batardise. A étudier (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Bonnard commence par éloigner les enfants. Puis il s’attaque au mari (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 21)
première période, sa soumission et sa tendresse pour son mari. Puis révolte contre son avarice, sa froideur,etc. Et enfin (…) chûte dans la religion (Ibid.F°22)
Le maire, un type, le portrait de R. puis deux ou trois autres que j’arrêterai (Ibid.F°23)
Puis un grand morceau d’analyse (Ibid.F°24)
Puis la fin du drame, le dénouement (Ibid.F°25)
La conversation raisonnable qu’elle a d’abord avec lui, puis soudain la folie éclate (ibid, F°26)
Puis Mouret étrangle Bonnard et met le feu chez lui.Scène tragique (Ibid.F°26)
Puis ce serait un type terrible (Ibid.F°27)
chez les Rougon, puis peu à peu chez le sous-préfet (…) puis il a pu leur emprunter de l’argent (Ibid.F°30)

Puis conversation de Faujas avec Mouret qui s’humanise sur la situation politique de la ville (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan III F° 5)
Le drame physiologique: Mouret, un Macquart,- Marthe, une Rougon; parenté qui rapproche, puis qui éloigne ; le vieux levain de haine de la bâtardise. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
La conversation raisonnable avec lui, puis la folie qui éclate (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXV F˚ 13)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Puis les paysans. Durand, l’homme et la femme, moins riches, ils ont un garçon Jacques qui est l’amoureux de Rose, et qui fait avec elle le couple dont j’ai parlé plus haut. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f°12-13)
Le petit, d’abord au petit séminaire, puis au grand, puis prêtre. (Ibid., Les personnages, f° 16)
Puis, il se remet avec le père ; mais celui-ci, d’une fortune ordinaire (probe, méticuleux, arrivé seulement à l’aisance) ne lui donne pas un sou. (Ibid., f° 16)
Ne pas oublier de mettre Serge dans son milieu catholique habituel. D’abord parmi ses professeurs. Puis, parmi les prêtres du canton, avec le doyen, et au-dessus l’archevêque et les autorités ecclésiastiques. (Ibid., f° 18)
Puis le drame, le dénouement. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 24)
Puis le dernier mot de Désirée : La vache a fait son veau ! (Ibid., f° 25)
Puis Jeanbernat raconte que la petite est malade, qu’il va envoyer quelqu’un à la ville. (Ibid., f° 27)
Puis les tentations du jardin, les fleurs, la statue noyée, l’Amour désarmé, toutes les promenades revenant. (Ibid., Le Paradou, f° 46)
Je fais connaître le jardin par des promenades, d’abord courtes, puis lointaines, à tous les points, à toutes les heures. (Ibid., f° 62)
Puis des épisodes nombreux, à trouver. (Ibid., f° 63)
La tombe d’Albine ? Je mettrai à côté du cimetière une sorte de précipice, ou plutôt je l’établirai au bord d’un grouffre [sic], qui évitera de le border d’un mur. – Le cimetière va un peu en pente. Puis, derrière l’église, je mettrai le presbytère. (Ibid., L’Eglise, Les Artaud – le Presbytère , f° 108)

La Terre (1887)

je veux peindre d’abord, en bas, l’amour du paysan pour la terre, un amour immédiat, la possession du plus de terre possible, la passion d’en avoir beaucoup, parce qu’elle est à ses yeux la forme de la richesse ; puis, en m’élevant, l’amour de la terre nourricière, la terre dont nous tirons tout, notre être, notre substance, notre vie, et où nous finissons par retourner. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 400/1 – Ebauche)
(…). Le paysan qui ne possédait rien, puis qui a possédé un jour, comment et quand ? (Ibid., f° 401/2)
(…)Puis, comme ils sont vieux, ils font un partage entre vifs (Ibid., f° 403/4) Et, dès lors, la querelle dans la famille, tout le roman sera l’histoire de ce partage : d’abord, l’idée du partage chez le père et la mère, puis le partage (Ibid., f° 403/4)
(…). Puis, Bonhomme enragé a du [sic] quitter la maison et est allé habiter un village voisin. (Ibid., f° 410/11)
(…) et je préfèrerait [sic] plutôt la lui faire épouser, puis la faire tuer, la ruiner ; et il se réengagerait. (Ibid., f° 411/12) Et relier cela avec le vieux père qui à la fin déterminera le mariage, par une menace de le déshériter. Puis mort de Louise, tuée par Bonhomme ( ?) et le lot enfin lui revenant. (Ibid., f° 416/17)
(…) Plus tard, elle se débattra contre Bonhomme, à chaque fois ; puis vaincue, se laissera faire, et n’en parlera pas. Des coups terrible [sic] chaque fois. Puis, pour la mort, il faudra que j’aie un coup encore ( ?). (Ibid., f° 431/32)
(…) D’abord, il [Jean Macquart] la [Louise] traite en gamine ; puis, il plaisante librement, il la mène à la vache ; et comment elle se donne. Leur amour ardent. Leur intérêt n’est que là. (Ibid., f° 432/33)
(…) Son acharnement contre lui, son besoin de brutalité (le désir du mâle en dessous) ; et à la fin, la scène dans le champ : elle croit qu’il va la brutaliser, puis quand il la prend, le fameux regard qu’ils échangent ; et elle le subit ; puis il la lance contre la faux. (Ibid.F° 434/35)
(…) Palmyre (…) Comment elle prend la frasque de Bonhomme avec sa sœur : c’est pas vrai et en tous [sic] cas tant pis pour elle. Puis se mettant à la détester et donnant raison à son mari, même lorsqu’il la bat. Se défendant, la battant à son tour. (Ibid., f° 441/42)
(…) c’est à dire que le vieux père auraient [sic] eu deux frères, l’oncle, et un autre qui aurait réalisé ses terres, pour acheter la maison. Il s’est marié, a fait élever sa fille dans un couvent voisin ; puis quand il s’est retiré avec sa femme, au moment de lâcher cette maison si bonne, il s’est décidé à marier sa fille et à lui céder la maison (Ibid., f° 468/60)
(…) Voilà donc Bonhomme intéressé, agissant dans l’affaire ; et ce pourra être Jean, lors de son mariage, qui acceptera, pour faire plaisir à la ferme. Puis, les accusations, ce qui suit. (Ibid., f° 474/66)
(…) Puis, le candidat (vaguement orléaniste lui aussi) ayant eu des velléités d’indépendance et ayant déplu lui aussi, il est lâché par les autorités, par le préfet qui en patronne un autre. (Ibid., f° 476/68)
(…) D’abord j’aurais les querelles des femmes pour la communion, lorsqu’il voudrait que les enfants aillent à l’autre commune. Puis, ce prêtre venant par tous les temps serait plus intéressant. (Ibid., f° 478/70)
(…) Je suis un peu ennuyé d’un adultère à la ferme. Il faudrait [sic] mieux peut-être y avoir une servante maîtresse , montée du village, tenant le fermier. Ce serait mieux déjà, cela ne rappellerait pas les Hennebeau. Puis, cela est dans les mœurs de la campagne. (Ibid., f° 489/81)
(…) Resté avec la servante avec laquelle il couche (une petite fille du village, beaucoup plus jeune que lui, qui le domine, et finit par coucher avec tous les garçons sans qu’il le sache d’abord. Puis, quand il s’en aperçoit. Elle est avec Jean, ensuite elle se donne à la brute. (Ibid., f° 490/82)

Le Rêve (1888)

Elle dit toute la situation : l’orgueil nobiliaire de l’évêque, la rigidité ; puis la fortune immense ; enfin Félicien fiancé, marié presque (MS NAF 10323, Ebauche, f° 264/47)

Puis la venue lente du prince, par tous les sens, et qui semble se dégager, descendre d’un vitrail (Ibid., Premier plan du chapitre IV, f° 63)
Dans la nuit noire d’abord des pas (…) Puis l’ombre à la lune (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 65)
Donc tout un enveloppement avant que le rêve se montre (…) Puis quelque chose (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
Puis, avant l’épisode de la charité, j’ai un morceau où je le montre rôdant (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 75)
Puis alors une série de scènes pendant le travail de la mitre (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 82)
Puis un jour son saisissement (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 86)
Puis c’est Félicien qui parle le premier (Ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
Le quartier attend. Le beau ciel, l’air de fête, l’odeur. Puis sonnerie des cloches (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 105)
Puis l’évêque avec le Saint-Sacrement derrière. Et la mitre surtout (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Je pourrai avoir d’abord la peinture du quartier qui attend ; puis la sortie de la procession (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
Et c’est alors qu’elle veut rejoindre Félicien. Puis la grâce revient. Enfin tout le mécanisme de la grâce (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 147)

Puis, le dehors sur le devant, qu’elle voit seulement du salon, où elle ne va guère (MS NAF 10323, 2ème Plan du chapitre II, f° 17)
(…) Puis le catéchisme plus tard pour la première communion (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 17) \\Les Hubert ont d’abord été inquiets de ses colères d’orgueil (….) Puis ils l’adorent (…) Alors (…) la tutelle officieuse (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 27) \\(…)Donc grammaire, choix de dictées, arithmétique, histoire sainte où on la fait lire (…) Puis catéchisme pour la première communion (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33)
Puis, de là, retour de
souvenir au château (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f°s 57-58)
Non, rien encore. Puis quelque chose (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 59)
Dans la nuit noire d’abord des pas (…) Puis elle voit (…) plus tard (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Puis alors une série de scènes pendant le travail de la mitre (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 82)
Puis l’envahissement de tout son être par la passion (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 91)
J’ai indiqué qu’Hubertine suivait Angélique et assistait cachée à la scène, puis emmenait la jeune fille (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)

Travail (1901)

Puis les deux autres romans créeront l’humanité (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 350/3)
Le mieux serait peut-être d’avoir une usine fabriquant une matière première, puis tout autour l’emploi de cette matière première, par des corps d’état (Ibid., f° 353/6)
Puis, cela est saisissant, toute la misère et toute la honte du travail mal organisé (Ibid., f° 355/8)
puis débauché par l’usine, il retombe et met la cité en péril (Ibid., f° 361/14) \\Puis, il prend la fuite (Ibid., f° 361/14) \\Puis son effondrement lorsqu’elle voit Luc aimer la femme (Ibid., f° 363/16)
Puis, à la fin, la mort heureuse de la fille du savant (Ibid., f°s 363/16-364/17) \\Tout à son œuvre, puis à une autre (Ibid., f° 364/17)
D’abord, il se contente du minimum ; puis il travaille, se porte mieux (Ibid., f° 365/18)
Puis, à la fin elle l’accable, lui dit qu’il est cocu, voir le drame de cela (Ibid., f° 366/19) \\Puis, dans l’incendie de l’usine, le garçon sauve la fille, à la fin de la deuxième partie (Ibid., f° 370/23)
Mais si je veux lui donner du mouvement, il faut que dans la deuxième partie, il lutte, espère, puis désespère, s’imagine même un moment que tout est perdu (Ibid., f°s 372/25-373/26) \\Puis l’incendie de l’usine (Ibid., f° 373/26) \\Puis le livre troisième, la partie utopique, la contre partie du livre premier (Ibid., f° 374/27) \\Puis, à la fin, dire que de proche en proche la cité sera imitée, va être pacifiée par la nouvelle organisation du travail (Ibid., f° 375/28)
sa lutte pour réorganiser une société, puis sa joie de l’avoir recréée (Ibid., f° 375/28)
Puis, un vieil ouvrier, le produit du salariat dans la vieillesse, ce que deviendra l’ouvrier dans sa vieillesse (Ibid., f° 377/30)
Je le mets en ménage avec une femme, des enfants, et tout cela souffrant par lui, puis sauvé par lui, quand il est guéri (Ibid., f° 382/35) \\Puis, il retrouve toujours le savant au travail (Ibid., f° 384/37)
D’abord, pour le phalanstère que Luc fait bâtir ; puis, pour toute la ville qui se crée et de fonde (Ibid., f° 387/40) \\Puis les bourgeois, ce qu’ils deviennent. Puis, le dépôt de verrerie supprimé, fin des commerces et des avantages (Ibid., f° 396/49)
Puis je pousse la vision plus loin et j’en arrive à la commune anarchiste (Ibid., F°403) ; Puis le curé et le sous-préfet à l’arrière-plan (Ibid., F°404)
Puis,s’il n’a que des aspirations, il faut le développer là (Ibid., F°420)
Puis, on ne s’expliquerait pas comment Delaveau se séparerait d’un bon ou
vrier en somme.Donc il faut que Bonnaire soit un révolutionnaire (Ibid., F°427-428)
Puis l’enfant saisi (…) et enfin Luc suivant Nanet (Ibid., F°433)
Puis il condamne l’oisif, Boisgelin qui est là. Et enfin il est avec Paul (…) Puis il y a le don de l’Abîme à Luc et à Bonnaire qui ouvre la période du rêve (Ibid., F°438)

PUISQUE

Lourdes (1894)

Puisqu’ils sont heureux d’être trompés,
mon Dieu ! pourquoi leur refuser ce bonheur. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s64-65)
Je voudrais aussi finir par Bernadette puisque tout le chapitre lui appartient. (Ibid. F°211)
C’est donc une heure à employer, et puisque tous les exercices de piété sont faits, tous
les cantiques chantés, on va faire une lecture. (Ibid. F°s216-217)
Puis, sa fille le décide à aller se coucher, puisqu’il [M. de Guersaint] doit être debout à deux heures du matin. (Ibid. F°355)
Sa fille finira par l’envoyer se coucher, puisqu’il [M. de Guersaint] doit partir à trois heures du matin. (Ibid. F°359)
Ce
serait là le rêve dont j’ai parlé, et qu’elle ne saurait avoir que devant la Grotte, puisqu’elle ne couche pas à l’hôpital. (Ibid. F°s377-378)
Et j’ai donc, cette salle à moitié vide, puisque tous les malades sont à la Grotte. (Ibid. F°409)
En bas dans la crypte, (…) Raymonde peut passer, s’en allant, lui disant que sa mère ramènera Marie à l’hôpital, puisque son père n’est pas là. (Ibid. F°466)
Je le [Vigneron] montrerai encore sur le quai, au moment du départ, (…) se débattant pour obtenir que son retour soit valable, deux jours plus tard, puisqu’un cas
de force majeure le retient. (Ibid. F°s486-487)
[en interligne : Sophie (…). Son pied. Elle se déchausse, le regarde toute seule, puisque personne ne demande à le voir.] (Ibid. F°540)
Devant la Grotte, pour obtenir sa guérison, elle [Marie] a fait le vœu de virginité, puisqu’elle ne pourrait jamais être à lui [Pierre] – (…) Et il faut qu’elle ait compris, qu’elle le sache jaloux confusément, qu’elle ait donc déjà elle-même une prescience de la vie, puiqu’elle sait qu’elle va le calmer. (Ibid. F°548)
Et il [Pierre] n’aura que la fameuse religion de la souffrance humaine, laisser croire les humbles, des dévots (Marie) puisqu’il y a là pour eux une consolation. (Ibid. F°554)
Dans le compartiment de Marie, de Pierre et de M. de Guersaint, il n’y a plus que madame Vincent, sans sa fillette, accablée, imbécile, puisque Mme Maze est restée. (Ibid. F°557)
Un mari, des enfants. Femme, épouse, mère. Mais c’est un rêve, puiqu’elle [Bernadette] est l’élue. (Ibid. F°575)
Il [Pierre] n’a pu redevenir enfant comme les autres, puisque le bonheur était dans l’ignorance et le mensonge. (Ibid. F°580)
Un moment il [Pierre] en est là. Laisser croire les humbles, les dévots, puisqu’il y a là pour eux une consolation. (Ibid. F°581)
Et Pierre reste donc en suspens sur cette idée qu’il a besoin d’une religion nouvelle, puisque la foi, Lourdes, se meurt (…). (Ibid. F°588)

PUISSANT

Nana (1880)

Il faudrait que Muffat fût tout puissant pour faire entrer Rose quelque part, à l’Odéon par exemple. (NAF Ms. 10313, Nana. F°126-7- Plan).

Avec cela, finissant par considérer l’homme comme une matière à exploiter, devenant une force de la nature, un ferment de destruction, mais cela sans le vouloir, par son sexe seul et par sa puissante odeur de femme, détruisant tout ce qu’elle approche, faisant tourner la société comme les femmes qui ont leurs règles font tourner le lait. (NAF Ms. 10313, Nana. F°192-193- Personnage).

En un mot, la morale est toujours celle-ci : le cul est tout puissant et celui le grand générateur et le grand destructeur. (NAF Ms. 10313, Nana. F°228- Ebauche).

PUISSANCE / PUISSANT

Lourdes (1894)

L’hosanna, les Etats-Unis d’Europe, le rêve d’un seul peuple. Le bonheur idéal, les poètes imaginateurs de monde. La cité idéale, la puissante architecture. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°20)
Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille (…) et que, dès lors, venant après Lourdes, l’intérêt ne monte pas et que le second
n’ait même pas la puissance du premier. (Ibid. F°s61-62)

PUR / PURETÉ (style) / PURIFIER / PUREMENT Voir aussi : chaste ; simple.

Le Rêve (1888)

Ces choses ne seront pures que si je les fais purement (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 222/6)
Toucher à cela avec beaucoup de délicatesse pour rester pur (Ibid., f° 250/34)
je veux que la pureté soit absolue dans la forme, dans la façon de traiter le roman (Ibid., f° 284/67)
J’aimerais mieux qu’elle mourut /sic/ dans son triomphe . Cela est plus grand, plus pur, plus éthéré (Ibid., f° 303/86)

Cela en style envolé, pur, chaste, mystique (MS NAF 10323, Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
Mais la scène très chaste, tout de suite saisie par cette chambre de jeune fille dont la description revient. Pur, mystique et tendre (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 99 )
Grande scène de lune et de passion, mais chaste (…) la faire si immatérielle que la scène reste très pur [sic] (?) (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 165)
Mais une grande pureté, une grande blancheur (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
Un grand alinéa de pureté, envolé (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 186)
Enfin le dénouement, la mort (…) Grand, pur, élancé (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 186)

Lourdes (1894)

Il la voyait en vacances, il l’aimait très chastement, très purement, et
il aurait peut-être réussi à tout, s’il avait pu l’épouser (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s74-75)
Elle est la seule qui l’ait deviné. Cela très pur et très grand – (Ibid. F°83)
Pendant ce temps, Pierre regarde Sophie Couteau [en interligne : Clémentine Trouvé. N.S.L. 29]. Une miraculée, une enfant l’air modeste et pur : ça l’intéresse. (Ibid. F°183)
Le ciel d’une pureté infinie, les belles étoiles qu’on aperçoit. (Ibid. F°210)
Il n’y a pas eu d’orage, le ciel est redevenu d’une pureté infinie, les belles étoiles qu’on aperçoit [en interligne : pas de lune]. (Ibid. F°218)
La nuit admirable, la fraîcheur du Gave, la bonne odeur des montagnes, les étoiles pures, et la procession qui se déroule. (Ibid. F°343)
Quant à Marie, elle est dans une pure extase. (Ibid. F°377)
Marie à Pierre : J’ai prié pour vous. – Pour moi !– Oui, je sais que vous souffrez et que vous en avez besoin.– Très pur et très grand. (Ibid. F°380)
Et pendant ce temps-là l’idylle entre Ferrand et sœur Hyacinthe. (…) Leur amitié si pure et si profonde. (Ibid. F°404)
Ce serait donc là, près de cette mourante qu’ils [Ferrand et Hyacinthe] [soignent biffé] assistent ensemble que je reprendrai ce que j’appelle leur idylle, ou plutôt leur amitié si pure et si profonde. (Ibid. F°412)
Ce que l’antique petite ville pyrénéenne [en interligne : comment les visions d’une petite fille si pure ont amené la foule, et par là l’argent, l’intérêt, ce qui a tout pourri] est devenue sous la poussée de la superstition. Cas étrange d’une Bernadette si pure dont la vision extatique a gâté tout ce coin de terre. (Ibid. F°502)
Comment les visions d’une petite fille, si pure ont amené la foule [dans la marge : ], et par là même l’argent, l’intérêt, qui a tout pourri. (Ibid. F°506)
Ce cas étrange d’une Bernadette si pure dont la [v biffé] vision extatique a gâté tout ce coin de terre. (Ibid. F°508)
La psychologie de Marie : une une [sic] toute blanche, la meilleure et la plus pure. (Ibid. F°545)
Un portrait physique même [en interligne : ses yeux de visionnaire, candeur et pure lumière] (…). – (…)
Ses yeux, candeur et pure lumière des yeux. (Ibid. F°s572-573)

Mais pas de bas calcul, le tout emporté par un souffle de désir, une flamme de passion qui purifie tout. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 76 – Notes sur Madame Volmar)
Soins intimes, très grande pureté, la souffrance et la charité les gardant de la [mort biffé] chute. La vénération qu’il a pour elle [sœur Hyacinthe], la fraternité qu’elle a pour lui, et jamais un désir entre eux, leur liaison très
pure et au-dessus de la vie même. (Ibid. Fos 89-90 – Notes sur Ferrand)
Les yeux de B. limpides et profonds. Imposante candeur et pure lumière des yeux. (Ibid. Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)

PYRAME ET THISBÉ Héros d’une des « Métamorphoses » d’Ovide.

Le Rêve (1888)

Les images collées contre le mur, Pyrame et Thisbé (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 225/9-)

PUREMENT

Le Ventre de Paris (1873)

On l’aura trouvé sur un tas de choux. Purement épisodique, d’ailleurs. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 94)
J’ai mon peintre, purement épisodique. (Ibid., f° 95)

PUTOIS (Mme) Ouvrière blanchisseuse chez Gervaise puis chez Mme Fauconnier dans L’Assommoir.

Nana (1880)

Mme Putois (NAF Ms. 10313, Nana. F°250 verso- Notes)