Dictionnaire – Parenthèses

On les trouve surtout dans les Ebauches, où elles constituent une intrusion permanente de l’écrivain, une sorte d’a-parte, ou de nota bene, donc une sorte de méta-métadiscours puisqu’elles ouvrent un commentaire sur un discours qui porte déjà sur un discours virtuel. Une parenthèse introduit un discours adjacent allant dans le sens du soulignement d’une hésitation ou d’une difficulté (« (?) ») ,ou d’une rectification, d’une modification, d’une mise en attente (du type : « (à régler) », « (à voir) », (« effet à étudier) ») , d’une accentuation de la consigne, ou d’un simple commentaire (« (!) ») sur un point précis de l’acte d’écriture en cours. Elles ont plusieurs fonctions : ou bien elles introduisent une consigne portant sur la globalité du programme (« (en me méfiant ») ; ou bien elles introduisent parfois une intervention de type quasi autobiographique, dans ce discours déjà personnel que constitue l’Ebauche(« Moi, le travail, la littérature », Ebauche du Rêve ) ; ou bien elles introduisent un complément d’information ponctuel sur un motif ou un terme avancé par la consigne qui précède (« Une église (romane, douzième siècle », et cela vaut alors comme une consigne complémentair de description ; ou bien elles rappellent un élément important pour la cohérence locale de la séquence ou générale du projet, cohérence symbolique (« Le Jésus qu’elle voit (il ressemble à Félicien) » ; « Un long baiser sur la bouche (ce baiser représente le mariage consommé) »), cohérence référentielle et maintien d’un vraisemblable (« quelqu’un qui la guette (les arbres de l’ évêché sont si épais l’été qu’on ne voit rien absolument) ») , cohérence du récit (« La grande porte (c’est par laquelle Angélique n’entrait jamais) » ; « Son fils qu’il a fait élever loin de lui (il ne l’a revu qu’à vingt ans et pour le marier) »).

La Curée (1872)

Nous ne donnons ici que quelques exemples, parmi les plus significatifs. Sur la combinaison des signes de la parenthèse et du point d’interrogation, voir supra. – Comme les guillemets, les parenthèses s’ouvrent, mais ne se ferment pas toujours (d’où la difficulté d’isoler certains passages).
Montrer la déchéance de tout, même du crédit viticole (Maxime roulé ?) (MS NAF 10 282, La Curée, f°246). – Il flaire penant les premières années de l’Empire (époque à étudier) (MS NAF 10 282, La Curée, f°295). – La femme (appelons-la Blanche) mène la haute vie… (MS NAF 10 282, La Curée, f°297). – Aristide et son fils Maxime vivent dans une sorte de promiscuité honteuse (Arsène et Henri Houssaye). Le fils est d’une liberté étonnante avec le père (MS NAF 10 282, La Curée, f°299). – Il faut faire de Blanche une fille grisée, une parisienne que le tourbillon contemporain a emportée, mais qui se réveille à un moment, fille de son père (quel est son père ? à trouver) (MS NAF 10 282, La Curée, f°301). – Elle lui raconte ses affaires, ce qu’elle doit signer : « Bast ! dit Maxime, refusez et vous verrez – Mon père vous vole. (Le fils assommant le père) (MS NAF 10 282, La Curée, f°319). – Affaire du boul. du Prince Eugène (une à l’amiable, l’autre devant le jury) (MS NAF 10 282, La Curée, f°324). – […] dans ce que j’ai appelé 1ère spéculations d’Aristide (après son mariage) (MS NAF 10 282, La Curée, f°326). – Et là, il perd, les maison* lui reste* sur les bras (affaires de la Cie immobilière) (MS NAF 10 282, La Curée, f°330). – Puis il apprend par la bouche même du père la vérité (au sortir d’un souper où son père compare sa femme à Laure d’Aurigny). Alors il revient, ça ne fait rien [puisque] c’est mon père (toujours ses scènes dans le cabinet (elle est au bain par exemple) Céleste au* main* froide*) (MS NAF 10 282, La Curée, f°343). – La scène (courte) a lieu dans le cabinet de Larsonneau (MS NAF 10 282, La Curée, f°347). – Dans la conversation des hommes sérieux, Toutin parle des ports du Maroc qui viennent de sombrer et du Crédit viticole en bonne voie (il faut toujours garder la double note de l’or et de la chair) (MS NAF 10 282, La Curée, f°352).

Le Ventre de Paris (1873)

Au fond, même avachissement, même décomposition morale et sociale. (Je pourrai, dans l’œuvre, rappeler Saccard) (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 50)
Devant la famille, elle est morale (…), puis l’abandonne le jour où elle se sent compromise par elle (Là est sans doute le drame à trouver.) (Ibid., f° 53)
Il a reçu plus d’éducation que son frère ; il est l’aîné, traite un peu son cadet en galopin. (Baille et son frère, l’un savant, l’autre cuisinier). (Ibid., f° 56)
Elle fait causer son mari (grande scène) et en fin de compte, elle livre Charles qui retourne à Cayenne. (Ibid., f° 58)
Je ferai de Gervaise une de ces marchandes de quatre saisons qui partent pour vendre dans Paris (rayonnement des halles). (Ibid., f° 65)
à qui je donnerai une tante poissonnière, avec une jolie cousine (petite et mignonne au milieu de la marée) auxquelles je donnerai des rôles très secondaires.(Ibid., f° 70)
la cousine au contraire l’aimerait, un petit type de vierge égarée parmi les harengères (à trouver). (Ibid., f° 70)
Je n’ai encore pour les Halles, comme types, qu’une charcutière, une marchande de poissons, une marchande des quatre saisons (avec voiture d’abord, puis devant un éventaire) (Ibid., f° 72)
On ne pince que lui compromis par blague (Arbinet) et que Charles l’illuminé.(Ibid., f° 74)
Quenu se réfugie chez son oncle, auquel Florent l’a recommandé (les deux frères habitaient la même chambre, au quartier latin, rue Royer-Collard ; détails.) (Ibid., f° 81)
Quand il a su que Florent est un échappé de Cayenne, par les cancans d’une vieille fille qui vient prendre son mêle-cassis (Mademoiselle Saget) (Ibid., f° 84)
Il est contre l’ordre, il va tout bouleverser avec sa révolution (Mettre ces choses en conversation le plus souvent, entre Lisa et Quenu) (Ibid., f° 86)
Elle va consulter son confesseur. (Elle ne sait pas encore que Florent veut tuer l’empereur ; elle l’ignore jusqu’au dénouement) (Ibid., f° 86)
(Lisa devant la dévotion : point dévote, elle va à l’église, parce que cela est bien et qu’on doit le faire ; elle consulte son directeur parce que c’est un homme de bon conseil. Pas nerveuse dans l’église. – Lisa devant la politique : la société secrète s’est formée des débris d’un comité électoral, et elle en écarte son mari qu’elle fait voter pour le candidat officiel. Plus tard, son opinion sur Florent transporté, conspirateur, régicide. C’est là où je la développe surtout. — Lisa devant la famille, même point. Ses luttes, parce que Florent est son beau frère. — Lisa devant l’amour; la scène violente du viol, l’acceptation d’une tendresse muette ; mais pas d’adultère. (Ibid., f° 88)
Lisa d’abord a l’estime ou désintéressement de Florent ; puis elle a une antipathie pour ce garçon qui vit en dehors du monde ordinaire ; puis elle s’effraye (scène du boudin). (Ibid., f° 89)
Puis comme Florent est un grand innocent, elle est terriblement piquée (elle lui a fait des cadeaux en nourriture). (Ibid., f° 92)
J’opposerai alors la scène de fâcherie , au commencement, (Florent est arrivé Lisa refuse de recevoir la Normande, parce qu’elle a peur que la vue de Florent la compromette). (Ibid., f° 92)
Fier, d’ailleurs, n’aimant pas Lisa, trouvant Marjolin idiot (c’est lui qui peindra tout d’un mot.) (Ibid., f° 96)
Donc, le personnel de la Conspiration : Un ancien ouvrier, aux mains noires, 1)
Daguenet (Paul)
(D’autres jeunes gens). (Ibid. F°36)
Daguenet et Georges (ils deviendront bon (sic) amis)
(Nana familière)
(Nana commençant ses démonstrations) – Vendoeuvres et Blanche (Nana devient très cérémonieuse.)
(Nana le sait). (Ibid. F°37)
(Il doit partir le lendemain, il va se marier à Moscou: une légende.)
Lafaulotte, une femme (Louise Violaine),
(Voir les notes d’Halevy). (Ibid. F°38)
Amy une caillette (voir les notes d’Halevy.)
excepté Caroline Hequet (qui a couché avec). (Ibid. F°39)
Chouard fraternel pour Gaga (une spécialité, frais pour les hommes)
(voir le dîner de Céard). (Ibid. F°41)
Bien poser Labordette (important.)
Les 2000 fr. dans un panier de pêches (Céard). (Ibid. F°44)
Les Judic (notes d’Halévy.). (Ibid. F°45)
se gobe gris (crie et plaisante). (Ibid. F°48)
(voir si Clarisse ne doit pas lui rapporter la réponse dans la loge, plus loin, lorsque Muffat est là ?). (Ibid. F°50)
(Chouard a disparu.). (Ibid. F°51)
(Il faut que ce soir-là Nana ait promis à Satin de la faire engager, d’avoir un amant chic; Bordenave finit par dire oui, mais ça embête Satin, tous ces gens si bien, et à la fin elle plantera tout là, pour s’en aller avec un figurant, un garçon qu’elle a connu autrefois; elle s’en va malgré les offres de Chouard.). (Ibid. F°52)
Détails sur les Judic (notes d’Halévy)
(le plus important, avec la scène) (…). Le couloir qui s’en va sur le boulevard (C’est par là que Muffat emmènera Nana; les figurantes chieront aussi du poivre à leur entreteneur.) – Des chats partout. (prendre une chatte noire et une chatte blanche, avec un gros chat gris coupé; des noms). (Ibid. F°55)
l’attitude de la comtesse (où un changement s’opère). (Ibid. F°57)
Venot. (voir le portrait). (Ibid. F°58)
par Georges Daguenet, (qui n’est plus amant de cœur, mais qui la reprend de temps à autre par sa voix). (Ibid. F°60)
(Laisser prévoir son rendez-vous avec Fontan). (Ibid. F°67)
L’adresse donnée, chez Fauchery (?).
(Je poserai l’article, et je développerai plus loin, avec Muffat. (Ibid. F°68)
(Qu’est-ce que tu ferais si ta femme te trompait ? Fauchery, l’adresse donnée.Eh bien et moi; des bouderies, etc. Puis quand Muffat reçoit le coup. Mon pauvre chéri, je croyais que tu le savais. (Nana courant à Fontan, je ne le nomme pas.). (Ibid. F°69-70)
La mouche d’or (voir chap. XIII). (Ibid. F°73)
Train de maison établi (Laporte). (Ibid. F°74)
(Mettre ça à l’autre chapitre). Zoé détaillant Nana et disant pourquoi elle réussira, Zola (sic) très sensée.). (Ibid. F°75)
Chouard poursuivant Amélie qui veut y passer (important.). (Ibid. F°86)
Egayer (siffler). (Ibid. F°87)
Le chat en rond au soleil (tout cela par Muffat)
Ce qu’on voit de la loge (Note, plan). (Ibid. F°88)
une cocotte par un vieux beau (complication)
Prullière de Saint-Firmin (gommeux qui veut perdre la comtesse)
Fontan – (baron Tardiveau le vieux beau qui se passionne)
Isabelle Clarisse (voudrait jouer la cocotte). (Ibid. F°89)
La cocotte engueulant le mari (c’est la seule scène), (Ibid. F°87 (sic))
(Et les Mignon). (Ibid. F°90-91)
(Mais Mignon a des projets). (Ibid. F°91)
(Bordenave embarrassé voulant tomber Muffat)
(Labordette l’accompagne et il s’effacera.)
Après la première émotion (à trouver). (Ibid. F°92)
(Ici mettre que le comte ne sait plus si sa femme le trompe avec Fauchery Laisser un doute.). (Ibid. F°93)
Le dernier mot de Rose sur Muffat, qui reste (Cette fois, il faut qu’elle se venge au dénouement.). (Ibid. F°94)
Mabille le soir (c’est là qu’il surprend sa femme.)
Daguenet (sa femme le sauve, très raide)
Bordenave (une fin). (Ibid. F°97)
C’est Labordette qui maguignonne le tout. (les pièces reviendront à la fin.)
(à arranger.)
La dépense, la toilette (Laporte 18.). (Ibid. F°98)
La chiffonière (sic) passe, une lanterne, lève les yeux (sa face ravagée). (Ibid. F°101)
Labordette qui tâche de battre monnaie (c’est lui qui a installé Nana et qui l’aide à dépenser l’argent du comte.). (Ibid. F°102)
13 Existence vide sans souci du lendemain (bordel libre).
Personnel d’amants (Laporte 17.)
La dépense, la toilette, etc. (Laporte, 18.). (Ibid. F°104)
C’est là (ou au chap. suivant) que Nana voit l’ancienne fille devenue chiffonnière (Ibid. F°105)
Georges surtout (c’est ce qui amène son suicide.)
le soir à l’hôtel (police)
Et c’est là qu’elle enlève Satin à Mme Robert. (Celle-ci vient lui faire une querelle grossière le lendemain.). (Ibid. F°107)
Lui offre-t-on de l’épouser (?). (Ibid. F°108)
Gaga (Amélie)
(Tatan Néné- Maria Blond). (Ibid. F°109)
Nana (par qui) bleu (…)
(Michelle). (Ibid. F°110)
Il a un cheval Lusignan, qui a deux ans, a gagné le Prix de Condé, à Chantilly)
(Le prix de Condé, 2000 met, est de la plus grande longueur pour les chevaux de deux ans. – Puis à 3 ans, Lusignan gagne dans la Grande Poule des Produits Longchamps (20 000 fr.)
(Longchamp avril) 6000 fr.
le Prix de Diane (Chantilly). (Ibid. F°115)
comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain). (Ibid. F°116)
ce qui fait 60000 louis (1200000 fr). (Ibid. F°117)
(un mot de Labordette plus loin). (Ibid. F°118)
(court a parte sur les billets, où Nana le rassure, en disant qu’elle fera le nécessaire). (Ibid. F°120)
Charles le cocher qui s’attrappe avec les autres cochers (le duc de Corbreuse). (Ibid. F°123)
Puis le retour, dans le Bois (la retape). (Ibid. F°124)
Nana causant avec son cocher, qui s’attrape avec les autres cochers (Céard.). (Ibid. F°126)
Elle vient de faire ça avec Muffat (elle pourra le questionner pour savoir s’il a reçu la lettre.). (Ibid. F°131)
(M. Venot veut ramener tout le monde à la religion. Content à la fin du chapitre. Dieu par tous les moyens.). (Ibid. F°132)
La situation du chap. II retournée. (Il faut que Fauchery vienne très tard ; cet épisode sera le dernier du bal.). (Ibid. F°133)
Coulage par les domestiques (revenir aux domestiques.) Zoé fait son beurre.). (Ibid. F°139)
Elle a pleuré dans les bras de Philippe qui a volé la grenouille (ne pas le dire là, plus loin).
Alors le lendemain après une nuit terrible (idée de tuer son frère) il vient trouver Nana. (Ibid. F°140)
Elle a déjà renvoyé Muffat une fois (XI)
les bocks qu’elle lui fait porter, (très court.)
Satin a une rue de Suresnes (?)(Ibid. F°126)
(M. Venot veut ramener tout le monde à la religion. Content à la fin du chapitre. Dieu par tous les moyens.) La situation du chap. II retournée. (Il faut que Fauchery vienne très tard ; cet épisode sera le dernier du bal.) Coulage par les domestiques (revenir aux domestiques.) Zoé fait son beurre.) Elle a pleuré dans les bras de Philippe qui a volé la grenouille (ne pas le dire là, plus loin). Alors le lendemain après une nuit terrible (idée de tuer son frère) il vient trouver Nana. Elle a déjà renvoyé Muffat une fois (XI) les bocks qu’elle lui fait porter, (très court.)
Satin a une rue de Suresnes (?)(Ibid. F°142)
un dernier petit bien (pas gros, une vingtaine de mille francs.). (Ibid. F°143)
D’abord montrer tous ses hommes (les nommer depuis Vandoeuvres) abattus à ses pieds. (Ibid. F°144)
Finir Satin (un mot dans le XIV). (Ibid. F°151)
(Mme Lerat et Louiset)
Steine (sic) (?)
Daguenet (?)(Ibid. F°153)
Puis Mignon montrant Muffat sur un banc (il a été averti par Labordette.). (Ibid. F°155)
Gaga et Lili (?) à Juvisy
Gaga redevenue dégoûtante (mariée). (Ibid. F°156)
Mme Robert (parfumeuse). (Ibid. F°157)
Mignon va se charger de tout (ou le gérant de l’hôtel). (Ibid. F°158)
Une vente chez Nana. Voir (?)(Ibid. F°160)
enfin Gaga qui soupire et qui avoue que la marquis lui a acheté sa fille, (il est imbécile.). (Ibid. F°162).

Personnages, (les âges pris en 1867, après l’Exposition)
(Françoise Baudu)
(Ollivier (sic) Stewart) 18 ans
(Justine)
Gaga (August. Mauduit) 59 ans
Amélie (Lili) 18 ans
Comte Muffat de Béville (officier)
Steiner (Gustave) banquier
Daguenet (Paul)
Georges (Zizi)
(Charles)
Henri et Charles (fils de Mignon). (NAF Ms. 10313, Nana. F°165- Personnages)
Daguenet (Paul). (Ibid. F°72)
Comte Muffat de Bréville (Alexandre). (Ibid. F°187-188)
Voir l’ébauche (vers la fin). (Ibid. F°189)
Nana.– Née en 51. En 67 (fin d’année, décembre)
(voir si elle ne s’est pas livré d’abord à un homme de sa classe). (Ibid. F°191)
(pourtant, une odeur de mystère.). (Ibid. F°195)
fait le boulevard le soir (n’est pas en carte pourtant). (Ibid. F°196)
Steiner (Gustave). (Ibid. F°198)
(autre chose). (Ibid. F°204).

(je pourrai en nommer un plus grand nombre.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
(Il est venu sur une lettre de la mère, qui peut être l’amie du vieux dégoûtant). (Ibid. F°211)
La femme très fière, noble, aimant suffisamment son mari, se conduisant bien (plus tard elle pourra prendre un amant.)
(Se méfier beaucoup d’Hulot.)
La fille mariée par Nana à un de ses amants de cœur (amant de cœur au moment où a lieu la 1ère au théâtre.) Et ce ménage aussi tournant mal. (Le vieux dégoûtant affectant de se fâcher avec son gendre. (Ibid. F°213)
Elle [Sabine Muffat] refuserait simplement l’argent (ce serait elle qui aurait apporté la plus grande partie de la fortune.)
(…) la femme infirme indiquant (bien discrètement) qu’elle aurait préféré que son mari se mit avec la cocodette (…). (Ibid. F°217)
(pendant ce temps, une scène très osée chez Nana, qui le questionne sur sa femme.). (Ibid. F°218)
Nana (une grasse, Blanche d’Antigny) et une autre (la maigre, Cora Pearl.). (Ibid. F°219)
(celui-là, je lui ferai commettre à la fin une gredinerie dans le jeu du courier. (Ibid. F°219-220)
Il n’y a que la figure de Mathilde changée (je vais lui donner un autre nom.). (Ibid. F°232)
il veut lancer Simonne Cabiroche ; il la lance, refait des affaires grâce à elle (une vilaine)
(Il ira quelques fois avec Rose Mignon.). (Ibid. F°234).

Ça ne déplaît pas à Léon (c’était son amant). (NAF Ms. 10313, Nana. F°243- Notes)
Train de maison (6oooo). (Ibid. F°253/2)
Connaître Madrid (Bois de Boulogne). (Ibid. F°255/4)
Dans la Tourraine (sic) et Orléanais (Loiret). (Ibid. F°256/5)
Dessous (les)
Appuyez (en haut)
Chargez (en bas). (Ibid. F°270)
Pont-volant (allant d’un côté à l’autre de la scène
Portant (mât pour le gaz). (Ibid. F°271)
Appuyez (enlevez) tout ce qui monte
Bâti (dans les féeries). (Ibid. F°272)
Dessous (les)
Egayer (siffler). (Ibid. F°273)
Côté jardin, côté gauche (du spectateur).
Maquillage (façon de se farder). (Ibid. F°274)
avec Galiffet et Davilliers (le précepteur du prince impérial)
C’était le jour de la fête d’Hittmann (comique). (Ibid. F°279)
Il a deux enfants de sa femme (9 et 10 ans) qu’il adore
Le matin distribution de prix des enfants qu’elle adore (très bourgeoise.). (Ibid. F°280)
Le cheval a très bien galopé (dans le canter). (Ibid. F°293)
Des coquineries (?)(Ibid. F°299 verso)
(Longchamp
15000 fr. (Longch)
Prix de Diane (Chantilly) 25000 fr. (mai fin). (Ibid. F°300[1])
le Prix de Condé (Chantilly) 6000 fr. (Ibid. F°302)
Elle passait à Judic un costume de bain (Niniche). (Ibid. F°313)
(Savoir comment une actrice s’habille, et fait sa figure.)
le couloir où se trouve la loge de Judic (comme à part). (Ibid. F°314)
Amphithéâtre (3e étage) Tringle en fer pour appui des baies demi cintre, fenêtre au fond éclairant le jour (on les ferme pendant les répétitions). (Ibid. F°320)
(3 portes). (Ibid. F°323)
Sur la scène, planche (caisse d’emballage). (Ibid. F°326)
(J’ai couché avec mon cocher, je l’ai flanqué à la porte.). (Ibid. F°334)
(Justine) Simonne Cabiroche
(Charles) 45 (Ibid. F°340)
Houpettes à poudre de riz (pour mettre sur le nez). (Ibid. F°341).

Pot-Bouille (1882)

Il [Octave] ressemble à son père, François Mouret, physiquement et intellectuellement : donc, posé, raisonnable, de sang plus net que les Rougon, avec l’appétit, la ponité qu’il a par sa parenté avec les Macquart (expliquer ses parents [sic]) (MS NAF, 10321, f°s 381-382)
Il [Octave] est dans un magasin (le magasin d’où partira mon grand magasin) (Ibid., f° 382)

Au bonheur des dames (1883)

grande scène (éviter la ressemblance avec Saccard (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 12)
Et à la fin, pour que tout finisse bien, je lui [à Mouret] ferai sauver ses cousins [à Denise] (après une chose très dramatique comme un suicide par exemple) (Ibid., fº 13)
(…) alors le caractère [de Denise] qui apparaît: posée, sage, pratique (pas répéter Mme Hédouin pourtant) (Ibid., f°s13-14)
Il [Octave] fonde le grand magasin (cela est l’intrigue d’argent à examiner) (Ibid., f° 16)
Il [“le chef de rayon”] dirait: le patron se marie) (Ibid., fº 17)
Tous les personnages du magasin posés (pas encore les clientes) (Ibid., fº 25)
(Voir le portrait [de Baudu]) (Ibid., Plan, fº 33)

La Terre (1887)

Le mieux, si les dates s’y prêtent, ce sera de ne l’amener là qu’après son tirage au sort, soit qu’il ait tiré un bon numéro qui l’exempte, soit qu’il ait fait son temps (si les dates le permettent) (MS NAF 10.328, La Terre, f° 405/6- Ebauche)
(…) Le partage de l’héritage n’a pas été fait, le ménage garde Louise avec lui (elle dit : notre vache). (Ibid., f° 407/8)
(…) (arranger le type de Palmyre. La faire écrasée sans doute) (Ibid., f° 408/9)
(…) Il faut, d’abord, que j’organise les trois histoires (Bonhomme, Beaugrand et Bouffard) pour la lier l’une à l’autre. (Ibid., f° 411/12)
(…). Puis mort de Louise, tuée par Bonhomme ( ?) (Ibid., f° 416/17)
(…)Là le père resté seul mangé par le fils braconnier, repris par le fils bien (je le supprimerai peut-être, et je ne lui donnerai qu’une fille ; et il irait alors chez son gendre : cela serait plus simple. (Ibid., f° 428/29)
(…)Des coups terrible [sic] chaque fois. Puis, pour la mort, il faudra que j’aie un coup encore ( ?) (Ibid., f° 431/32)
(…) Son acharnement contre lui, son besoin de brutalité (le désir du mâle en dessous) (Ibid., f° 434/35)
(…)Tous deux fauchant, allant l’un vers l’autre, pour du regain (une femme fauche-t-elle.) (Ibid., f° 436/37)
(…) Puis la querelle (les misères de champ à champ, elle l’accuse de faucher chez eux). (Ibid., f° 437/38)
(…) le maire, le fermier (celui-ci bonapartiste, vaguement monarchiste). Puis, le candidat (vaguement orléaniste lui aussi) (Ibid., f° 476/68)
(…) c’est sur cette question politique que l’autre cabaretier se réconcilie dans l’affaire du terrain, inquiet, craignant qu’on ne lui retire sa patente de marchand de vin (à ce propos les vols au fisc, la contrebande, les dénonciations, en rats de cave.) (Ibid., f° 477/69)
(…) Je pourrais lui joindre un ami, un peintre en bâtiment, un ouvrier qui a passé dans le pays, brave et mendiant, cherchant de l’ouvrage, de ces ouvriers vagabonds, rencontrés sur un chemin (les étudier, savoir d’où ils viennent). (Ibid., f° 483/75)
(…) Je prends donc (côté social) un tout petit village, dépendant autrefois d’un château. (Ibid., f° 487/79)
(…) Resté avec la servante avec laquelle il couche (une petite fille du village, beaucoup plus jeune que lui, qui le domine, et finit par coucher avec tous les garçons sans qu’il le sache d’abord. (…) Celui-ci tue le fermier, quand il sait que sa maîtresse est héritière ( la fille déshéritée autant que possible, fureur du père d’avoir reçu des sommations respectueuses.) (Ibid., f° 489-90/81-82)
(…) C’est avec celui-là que va la fille du braconnier (la querelle entre les deux pères ; qui finissent par se soûler ensemble, ce jour-là). (Ibid., f° 491/83)
(…) Les deux jeunes gens quittant donc le village vers le milieu, puis retour à la fin, épatement des autres (une fille qui a mal tourné qui fait la vie à Paris, à voir). (Ibid.)
(…). Le château ( ?) ancien château démoli, ce qui l’a remplacé. Voir s’il faut en mettre un dans le fond, une grande propriété ou des petites ( ?). (Ibid., f° 495/87)
(…) La mairie, la maison d’école, le cabaret (y a-t-il un billard, lorsqu’on en met un). (Ibid., f° 496/88)
(…) Les oies de la fille du braconnier (chez Fouan, Rose – La Grande , Fanny et Delhomme- Buteau – Lise et Françoise – Jean – Jésus Christ et Bécu – Nénesse, Delphine et Olympe – Palmyre et Hilarion – (La Grande devant ceux-ci, la sœur sauvant le frère) (Ibid., f° 499/1 – Plans)
(…) La ferme revient. (Et la fête du pays). (Ibid., f° 501/3)
(…)Tirage au sort (janvier, février). (Ibid., f° 503/5)
épuisé par un travail de 60 ans (il travaillait à 10 ans) (MS NAF 10329 La Terre f° 14 – Personnages, Louis Fouan)
Le drame sera dans l’autorité paternelle, très vivace en lui (une révolte chez le notaire, tous ses fils tremblent) (Ibid., F° 14-15)
Hyacinthe (Jésus-Christ) (Ibid., F° 17 – Personnages, Rose Maliverne)
Bonne ménagère, secondant très bien son mari, plus intelligente que lui (le contraire de chez son père) (Ibid., F° 24 – Personnages, Fany Fouan)
Des casquettes achetées aux foires (la casquette et la cravate sont le luxe) (Ibid., F° 29 – Personnages, Ernest Delhomme)
(La conscription, Delphin se coupant quelque chose pour n’être pas soldat.) (Ibid., F° 30)
un marchand de vin qui tient un bal (ou autre chose) (Ibid., F° 30-31)
et sa rage contre la terre quand elle ne donne pas tout (el. 45, très important) (Ibid., F° 37 – Personnages, Joseph Fouan)
Très grande, d’où son surnom. (La Beaugrand) (Ibid., F° 38 – Personnages, Marianne Fouan)
Elle serait devenue veuve d’assez bonne heure, après avoir enterré tous ses enfants, gardant ainsi son bien (deux enfants, un fils mort sans postérité, une fille ayant laissé une fille et un fils… son gré. (Ibid., F° 40)
(Louis 70, la grande 80) (Ibid., F° 46 – Personnages, Michel Fouan)
Et sa mort, ses dernières paroles à Jean, où elle se confesse ( ?) (Ibid., F° 50 – Personnages, Françoise Fouan)
Il est déjà bon de ne pas la faire prendre par Buteau (tentative simplement) (Ibid., F° 52)
Sa fille Estelle a alors 30 ans son gendre 36 ans – (en 59 elle aura 35 ans et lui 41) (Ibid., F° 59 – Personnages, Monsieur Charles)
En a eu un fils à 23 ans qui est militaire (engagé par répugnance de la terre, et fait capitaine, pendant la guerre d’Italie) (Ibid., F° 64 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
Il s’abandonne à une servante maîtresse (il a toujours été porté sur les filles, même du temps de sa femme) : le vice chez cette nature sanguine) (Ibid., F° 65)
et le berger obligé de partir (avec ses petites économies, Hourdequin peut aussi lui faire une rente), il parle, et c’est ce qui amène le drame de la fin (Ibid., F° 79 – Personnages, Soulas)
Nénesse fait le guet, ( : ) quand il est sur la fille à J.-C. (Ibid., F° 85-86 – Personnages, Delphin Bécu)
Catholique et pourtant se disputant avec l’abbé (à voir) (Ibid., F° 108 – Personnages, Le docteur Finet)
Là-haut des choux (à voir) (Ibid., F° 113 – Personnages, La Frimat)
Elle va à Cloyes à chaque marché à pied, vendre, des œufs, des poulets, des lièvres ( ?), des légumes (Ibid., F° 113)

Le Rêve (1888)

De la psychologie donc, ou ce qu’on appelle
ainsi (!), c’est à dire une lutte d’âme (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 217/1-218/2)
(…) Si j’ai à la rigueur la pureté (en me méfiant) et la psychologie (…) je n’ai pas la fantaisie (…) (Moi, le travail, la littérature qui a mangé ma vie) (Ibid., f° 221/5)
(…) Tout se passe autour d’une église (…) (romane, douzième siècle) (231/15) \\(…) Il ne viendra avec un précepteur, à voir (?) que pour son mariage (Ibid., f° 234/18)
(…) [L’évêque] (tout ce qu’on dit de lui, orgueil nobiliaire, orgueil de fortune, sévérité terrible) (Ibid., f° 239/23) )
(…) Hubert fait un voyage à Paris, voit Sidonie, comprend, obtient le consentement (à régler) et revient adopter Angélique (Ibid., f° 242/26)
,mieux un Saint-Georges, un beau jeune homme.(à voir) (Ibid., f° 254/38)
(…) quelqu’un qui la guette (les arbres de l’évêché sont si épais l’été qu’on ne voit rien absolument) (Ibid., f° 257/40)
(…) Il faut que Félicien dise cela à Angélique, ou du moins à Hubertine qui le répétera à Angélique (j’aime mieux, car je ne voudrais remettre les amoureux en présence que pour une grande scène (Ibid., f° 267/50)
(…) Et le regard d’Angélique qui comprend (?) et qui se ranime (Ibid., f° 276/59)
(…) son fils qu’il a fait élevé [sic] loin de lui (il ne l’a revu qu’à vingt ans et pour le marier) (Ibid., f° 277/60)
(…) La grande porte (c’est par laquelle Angélique n’entrait jamais) (Ibid., f° 280/63)
(…) du reste à la fin, dans la maladie (effet à étudier), je briserai les défauts d’Angélique, si bien qu’à la fin je la montrerai modeste et humble (Ibid., f° 282/65)
(…) Il y aura en elle la Rougon-Macquart (ce que les Hubert diront après le voyage du mari à Paris, leur inquiétude d’avoir à élever ce rejeton (…) jusqu’au désir de la corriger). C’est encore de l’hérédité (Ibid., f° 283/66)
(…) Le plus grand tourment est de croire qu’on n’est plus aimé (à dire cela). (Ibid., f° 286/69) )
(…) Son désir de la richesse avoué, proclamé (il est riche, mais tant mieux. Pourquoi ne l’épouserai-je pas. Je lui devrais tout, je l’aimerai davantage !) (Ibid., f° 289/72)
(…) Un jeune homme riche à dix millions (sa mère lui a laissé quelque chose qui profite depuis vingt ans (…) une fortune colossale) (Ibid., f° 299/82)
(…) Un long baiser sur la bouche (ce baiser représente le mariage consommé) et elle meurt (Ibid., f° 305/88)
(…) la même petite rue ancienne aboutissant à la porte du château (?) (Ibid., f° 310/93).

Marquis de Hautecoeur, pair de France (?) (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 245
(…) Monseigneur de Hautecoeur (Jean XII) a 60 ans (…) Il a son fils Félicien (Félicien VIII) (…) marié (…) en 1845 (sa femme a 22 ans de moins que lui).(…) Son coup de passion pour Paule à la campagne (Paule de Souvigny, très riche (Ibid., f° 256)
(…) Hautecoeur-le-château (Cambrai) (…) (à Cambrai un archevêque) (Ibid., f° 258)
(…) Ancienne ville fortifiée. Dans le département du Nord, à 160 kilomètres de Paris (40 lieues (…) ) (…) des parties de ses anciens remparts, et des portes (prendre Coucy) (Ibid., f° 258-259)
(…) au bord du Ligneul qui se jette dans l’Oise (la Chevrotte, elle, se jette dans le Ligneul) (…) le Ligneul (protection contre les Normands) (Ibid., f° 260)
(…) commence son église en 1150 (commencement du XIIe) (…) Il y a là un couvent de moines (lequel ?) (…) fenêtres du croisillon à l’abside (côté des Hubert) (Ibid., f° 261)
(…) Donc, négligeant pour le moment l’histoire des Hautecoeur, j’arrive au moment où le château fut démantelé, vers la fin de la ligue (fin du XVIème) (Ibid., f° 263)
(…) Luttant toujours contre Henri IV par catholicisme outré (le Hautecoeur est un ligueur effréné, pour les Guise)
(…) pour des questions de tribut et de préséance (?) (Ibid., f° 264)
(…) lever des droits pour la navigation sur le Ligneul (?) (Ibid., f° 265)

Figures mieux drapées, expression plus vraie (N.D. de Paris dans le transept méridional, la plus belle rose connue (…) aujourd’hui diamant) (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Vitraux, f° 273-274)
Les vitraux remplacés par des vitres sous Louis XIII (commencement du XVIIè) (…) La charpente (delta) faisant saillie sur le perron (1 mètre) (Ibid., Notes sur la maison des Hubert, f° 396/3-)
(…) La souche (le coffre ?) en briques (Ibid., f° 400/7)
(…) En bas on a ajouté des volets (sous la Révolution) (Ibid., f° 402/9)

Une lecture de la vie des saints (?) (…) Le désir d’être charitable (je lui devrai tout, je l’aimerai davantage) (…) Portrait d’Angélique jeune fille absolument (Personnage) (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 50. f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche)

Angélique (9 ans) (MS NAF 10323 Le Rêve, Plan, premier plan détaillé du Chapitre I, f° 10)
La ville ou [sic] elle est, distance de Paris (?) (Ibid., 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 4)
(…) L’enfant qu’ils ont eu tout de suite et qui est mort. Ils n’en ont plus eu. Ils se croient punis (?) (Ibid., f° 6)
(…) Second portrait (…) Angélique (…) orgueilleuse et passionnée, sensuelle (gourmande ?), telle enfin qu’il faudra la corriger, une Rougon-Macquart (Ibid., f° 8)
(…) Leurs devoirs envers l’enfant (voir les notes) (Ibid., f° 9)
La montrer dans l’extrême misère, opposition, ramassée dehors (?) (…) crainte de la chûte (dans de l’innocence) (Ibid., résumé du Plan du chapitre I et du chapitre VII f° 2)
Mariés depuis vingt ans (?) (Ibid., chapitre I, Premier Plan détaillé, f° 11)
Ils font une déclaration au Maire (?) (Ibid., premier plan détaillé du Chapitre I, f° 11) ; son dépôt à l’hospice (dont elle ne se souvient pas) (…) (Voir les notes Thyébaut) (Ibid., f° 12). La porte Saint-Agnès (Eglise 1-5) (Ibid., f° 14).

La rue soleil, la rue des Orfèvres, tout le quartier autour (Plan) où elle ne va guère (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 17)
(…) Orthographe parfaite (non) pour plus tard (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 17)
(…) Jolie petite écriture personnelle, vieille écriture, longue et fine, élancée (?) (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 17)
(…) (relire attentivement ma note Religion pour y prendre ce qu’il faudra) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 21)
(…) Montrer le mécanisme de la grâce (?) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 21)
(…) Elle a quatorze ans, indiquer dans quel monde la Légende l’a mise (se méfier, à cause du IV). Mais dire qu’elle tient à la vie (pour expliquer son rêve au III) (…) (relire absolument Leg.Dor.4) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 22)
(…) Finir par la tutelle officieuse (voir les notes de Thyébaut) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 23)
(…) Le livret encore sans doute. La tutelle officieuse. (L’administration tache que jamais l’enfant avant sa majorité ne puisse être renseignée sur son origine) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 23).

Sa chambre (décrite, avec les charpentes et le treillage) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 26)
(…) Finir par une scène avec l’au-delà du milieu (?) (Ibid. premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
(…) De l’ignorance naît le rêve, c’est mon sujet (au chapitre suivant) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 29)
(…) Les Hubert vont jusqu’au regret de l’avoir prise (?) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 32)
(…) La tutelle officieuse (Notes Thyébaut) (…) (Thyébaut) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 32)
(…) Hubert qui a le nom de la sage-femme va pourtant d’abord à l’Assistance Publique (?). Puis chez la sage-femme (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 32)
(…) Hubertine continue son éducation, orthographe parfaite (pour plus tard) (…) la première communion (cette communion importante, un paragraphe) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
(…) Bien dire cela et lire absolument mes notes (Leg.dorée 4) (…) là ou plutôt au chapitre suivant (Leg.dorée 5) (…) L’Histoire des Hubert (au portrait d’Hubertine). Détails sur Sidonie (aux personnages) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 36)
(…) (Note complémentaire de Thyébaut) (…) (Voir toutes les notes sur Beaumont) (…) (?) (Ibid. premier plan détaillé du chapitre II, f° 38)
(…) Rappeler le livret, qui est la marque de l’abandon, de la bassesse (?) d’Angélique (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 38)
(…) Rappeler le livret, qui est la marque de l’abandon, de la bassesse (?) d’Angélique (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 38)
(…) Faire attention qu’on oblige les patrons à envoyer les enfants à l’école et à l’église (Voir le livret) (…) (Religion) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 38)
Description des ruines (…) (Ne réserver que la description de l’église, le roman et le gothique superposé) (…) Un mot de la chapelle où sont enterrées les chatelaines (par les légendes) (…) Les Hautecoeur (marquis ou duc) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre III, f° 41)
dureté pour son fils (indiquer à peine) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre III, f° 42)
(mot d’Hubertine) (…) et là il me faut donc reprendre le diable toujours battu (Lég. dorée 4) (Ibid., f° 42)
C’est Jean que je veux (à la fin peut-être, comme mot final, à garder) (Ibid., f° 43)
(Un doute pourtant pour laisser de l’intérêt) (Ibid., f° 44)
La mort indiquée, souriante (?) (Ibid., f° 45)
Ignorante de tout, enfermée dans sa vie des saints (c’est ici où je ferai le morceau sur le volume) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 46)
De là la petite dispute avec sa femme (celle-ci chaque fois qu’elle va au cimetière demande son pardon (…) ) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 48)
une lecture de la vie des saints (?) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
Angélique bien portante (…) (je lui devrai tout, je l’aimerai davantage) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
portrait d’Angélique jeune fille, absolument (Personnage) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
Les deux mortes heureuses (ce pourrait être le tombeau) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 53)
(une de leurs sorties très rares) (…) (reprendre ensuite au chapitre suivant) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Un mot de la grâce pour Hubert (relire la note sur la Regilion) [sic], pour Religion (Ibid., premier plan du chapitre III , f° 55)
( Et alors description de la chambre (J.15) (…) La façade sur le jardin, le balcon tel qu’il est (comment on peut y monter) (J.17) (…) La puberté qui arrive avec ses seize ans ( femme très femme, toucher ce point délicatement) (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 56)
Ensuite tout sur l’église (église 6 à 10) (…) et les armes (egl.(2) (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
(je garde la description de la chapelle pour plus loin) (…) (garder les échafaudages pour plus loin) (…)
Elle ne voit le monde que par la Légende (cela après le morceau) (…) Tout le morceau sur la religion (sans doute) (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)
Et dès lors les voix, l’invisible qui parle, tout ce qui l’entoure (le rêve naît de l’orgueil et de l’ignorance) (…) L’inconnu, l’au delà, les forces inconnues qui vont décider de sa vie, agir pour produire des événements ( cela suit naturellement le mécanisme de la grâce, je crois) (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 59)
Création de l’être attendu qui sort du néant, de l’ombre
de l’inconnu (que j’ai posé), pièce à pièce à l’aide des sens (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f°s 59-60)
Dans la nuit noire d’abord des pas (l’ouie) (…) (les arbres de l’évéché très touffus, le Clos-Marie, noir ). Puis elle voit (la vue) une ombre à la lune (le gout et le toucher pour plus tard naturellement) (…) Ste Cécile) (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Félicien (…) Ressemble-t-il au Saint Georges (?) (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 61)
(Les arbres de l’évéché sont si épais, l’été, qu’on ne voit rien absolument) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 65)
D’autres scènes prises à la légende autour (XIIe siècle) (…) énumérer les autres (Ibid., premier plan duchapitre IV, f° 67)
L’idée d’être aimée d’un ange (Ste Cécile) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f°s 67-68)
Voir absolument mes notes (Leg.dorée 4). Saint Georges n’est pas bien pour Félicien (Leg.dorée 6) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 68)
Et sur le duc, son histoire, pourquoi il s’est enfermé là, ce qu’il fait, les Bollandistes (documents divers) (…) Les armoiries des Hautecoeur (il faut que Hubert les ait brodées dans l’ancien temps) (…) ce que fait le duc (le vitrail éclairé) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 68)
Un portrait du duc (Voir aux personnages) (…) Description complète de la chambre d’Angélique (maison 15) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Peut-être pourrai-je garder la façade pour l’élancement de la fin (Voir Eglise 6 à 10) (…) (relire la note religion) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
La religion, la grâce (?) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 71)
Description du champ (…) champ pas très grand (…) Des arbres (…) (une grille). D’abord description du champ (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 72)
L’échafaudage pour la réparation du St Georges (vitraux) (…) je voudrais de l’enfance, de la gaieté dans les deux épisodes (tape-t-elle son linge ?) (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 73)
Dans le second épisode (à quelques jours de distance) le linge est étendu (…). Et là il l’aide à retourner les pièces et je veux qu’ils causent (comment se fait-il que les Hubert ne les voient pas). Dans l’atelier, le mur trop haut (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 74)
Si leurs mains se rencontrent en maniant les linges (emportés par le vent ?) elle retire vivement la sienne (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 75)
Jusque là sa psychologie (la voir aux personnages) n’apparaît que dans son air et dans ses actes. L’extérieur de l’église revient un peu (Egl.6) (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 77)
Il répare le Saint-Georges dont des vitraux sont cassés (…) (Voir la note Vitraux) (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 78)
(Tout le chapitre avec ce trouble, cette question qui revient : qu’a-t-elle donc ?) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 79)
C’est une mitre que le chapître (?) l’a chargé de dessiner (non, une personne qui veut en faire cadeau à l’évêque et on est pressé, on veut arriver pour la procession. Les dates ?) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 80)
cela la calme donc (?) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 84)
(…) Et je voudrais arriver à une scène finale (la mitre est finie, le jour où elle la livre, à voir) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 84)
Tout le travail expliqué (…) (c’est pour l’église du château, un cadeau à l’abbé Glorian, ou plutôt à son père) (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 86)
L’enfant qui doit naître (?) (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 90)
Lettre aussi refusée (?) (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 91)
Psychologie de Félicien (aux personnages) (…) reprendre la description de l’atelier (13 maison) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre VI, f° 92)
Les bouquets de violettes (…) (toutes les autres fleurs lui donnent des maux de tête) (…) elle s’habille très chastement (à voir) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 94)
Puis c’est Félicien qui parle le premier. Il lui dit longuement comment il l’aime, depuis quand (la création, le vitrail, le linge, les pauvres) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
il offre de parler, de dire qui il est (le peintre verrier) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Reprendre les Hubert (nuit blanche, nuit d’amour aussi) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
réveiller là la passion (…) (dans de l’innocence pourtant) (…) Psychologie de Félicien (aux personnages) rien que dans son air et dans ses actes (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Reprendre la description de la chambre (13) et surtout de la façade pour la montée de Félicien (5) (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 103)
rappeler la procession du miracle, les seigneurs d’Hautecoeur, etc. Beaumont- L’Eglise (reprendre) (…) (rappeler la description de la vieille façade) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
(Expliquer pourquoi et comment l’on sort le Saint-Sacrement) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Hubertine croit bien le reconnaître (elle le reconnaît) (…) je la fais sortir s’en allant par la vieille ville (Beaumont-L’Eglise) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 107)
Donner peut-être auparavant la façade de l’église en faisant rentrer les deux femmes par la place du Cloître (elles ont suivi la rue Soleil). L’élancement (à moins que je ne le garde pour la fin) (…) Enfin la rentrée de la procession (Eglise, 11) (Ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
La femme se faisant connaître (se donnant) l’homme se réservant (…) Le maître futur, le roi (Félicien VII) (…) Pour qu’elle lui pardonne sa fortune (?) et heureux de la voir rayonner (deuxième plan détaillé du chapitre VIII f° 110)
Août (?) (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 111)
Et là Angélique ne reconnaissant pas nettement Félicien (Hubertine oui ou non) (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
La procession qui revient dans le crépuscule (voir si la contraire ne faudrait [sic], pour : vaudrait pas mieux (pas de fermeture de la parenthèse Ibid., f° 113)
l’intérieur de l’église (…) (égl. 11) (…) la femme se donnant (se faisant connaître) (…) (/illisible / du V) (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 116)
c’est lui qui donne toute son histoire (la prendre aux Personnages) (Ibid., plan du chapitre IX, f° 120)
Le mariage projeté avec Claire
de Voincourt (aux personnages, voir) (Ibid., plan du chapitre IX, f°s 122-123)
Voir si je ne dois pas finir par le livret. Elle monterait le prendre et pleurerait (Non) (Ibid., plan du chapitre IX, f° 124)
Là enfin l’histoire complète de Félicien (la prendre aux Personnages) (Ibid., plan du chapitre IX, f° 125)
Angélique ne mettant pas l’orthographe. Son écriture personnelle, son ignorance (là ou plus loin) (Ibid., f° 126)
Et il faut qu’un jour Hubertine lui dise tout (pas dans l’atelier. En bas dans la salle commune) (Ibid., deuxième plan du chapitre X, f° 128)
Là la description de la chapelle (Eglise 12) romane que je n’ai pas encore eu (Ibid., f° 131)
ses cheveux blonds sur la nuque (elle s’est agenouillée) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 133)
(si Félicien vient chez les Hubert, je puis faire sortir Angélique d’elle-même, ce qui serait grand) (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 137)
Hubert est pour la grâce (Leg.dorée 5) (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)
La scène d’Angélique et de l’évêque se passe dans la chapelle Saint-Georges. Description de cette chapelle (église 12) (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 140)
Un travail de broderie (…). Il y faut de la force. Sombre, violente (non, à voir, énergique simplement) (…) Les Hubert voulaient refuser (?) Pourquoi donc (Ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 143)
Le morceau sur la grâce (voir les notes Religion) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 146)
L’histoire du collier rompu (esclavage) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 147)
un bouquet de fleurs qu’elle copie en soie nuancée (les fleurs lui font du mal) (Ibid., f° 149)
Je voudrais une visite d’ Hubertine à la tombe de sa mère (…) (discret) (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Elle (…) travaille, s’occupe du ménage, lave (une scène de lavage irait bien dans le terrain), lit la
Vie des Saints (Ibid., premier plan du chapitre XI, f°s 151-152)
Portrait de Claire de Voincourt (Personnages) (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 153)
Finir le vitrail (notes sur les vitraux) (Ibid., f° 157)
L’histoire du collier rompu (esclavage) (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 157) \\(il faudra dire où en est Félicien avec son père (…) peur de son père) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 159)
Tout de suite, une scène toujours (…) il la serre dans ses bras (?) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 160)
(Leg.dorée-4) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
la faire si immatérielle que la scène reste très pur [sic] (?) (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 165)
portrait d’Angélique malade, émaciée. Un Memling. Reprendre son portrait de jeune fille (personnages) et le pâlir .La description de la chambre revient, là et au suivant (15 Maison) (…) La grâce (…) (Religion 9) (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)
Le père a résisté encore, il n’est venu que / pour l’extrême-onction, en assistant (?) (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f°s 180-181)
Au chapitre suivant (et non ici sans doute) l’autorisation qu’Hubert doit solliciter du Directeur de l’Assistance publique (…) (Notes de Thyébaut) (…) (Enfants assistés 5) (…) mariage (Thyébaut 11) (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 181)
Alors les préparatifs. L’autorisation demandée par Hubert (…) (Notes de Thyébaut II, Enfants assistés 5 ( parenthèse non fermée, deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 183)
Tout est un rêve. L’homme n’est qu’une apparence qui disparaît après avoir créé une illusion (Religion 9) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 187)
elle en mourra (je ne donne aucune explication médicale) (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 191)
elle est résignée, humble et douce, corrigée de l’orgueil et de la passion (?) (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 192)
Le marquis s’y attendait ; l’avait compris (?) . Arranger cela (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 193)
Ai-je réservé la grande façade (Egl.6 à 10) pour être mise là comme un hosanna, un élancement final ? J’ai en tous cas tout l’extérieur de l’église, flamboyant, rayonnant, glorieux : roman en bas, ogival [gothique rayé] en haut (egl.11) (…) Tout est un rêve (…) Très important (religion 9) (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)
L’évêque (…) s’inquiète (toute sa mère et tout lui, hélas !) (NAF MS 10323, Dossier personnages, f° 201)
(Mettre la scène du lit de mort. Hubertine est enceinte) (Ibid., f° 211)

Lourdes (1894)

Reprendre la tradition du Christ semant la parole révolutionnaire au travers de la Judée (on a un peu cette idée en 48). (NAF MS 1455 Lourdes, Deuxième ébauche, F°9)
Il [Pierre] n’a pu croire comme un simple (Lourdes) et il n’a pu réconcilier le catholicisme, en faire [une biffé] la religion attendue (Rome). (Ibid. F°11)
Il est humble, il donne des conseils miraculeux à tous (il fait presque des miracles par l’observation stricte de la règle.) (Ibid. F°15)
Il peut être allé jusqu’au crime pour ses idées. Un attentat anarchiste sans doute (étudier tout ce monde-là). (Ibid. F°16)
J’ai dit que mon héros serait un anarchiste ; mais je n’en sais rien, ce sera peut-être un évolutionniste (je préférerais cela). (Ibid. F°18)
Maintenant, dix-huit siècles
ont épuisé cette espérance, et il faut autre chose (éb. de « Lourdes » 32). (Ibid. F°s25-26)
Ensuite, la nécessité qui a fait qu’on l’a escamotée soit qu’elle [Bernadette] fût malade (…), soit qu’on craignît qu’elle parlât trop ; soit simplement qu’on voulût la soustraire à l’exploitation de sa famille, (pour l’exploiter autrement), ou qu’on craignît pour elle les effets d’une adoration trop grande, d’une obsession dangereuse, d’offres d’ar- \\gent même, lui acheter son chapelet mille francs (ce qu’on laisse entendre) ; soit qu’on craignît pour elle l’orgueil, la situation d’une sainte, visitée par Marie, adorée du monde entier (elle était simple, la tête pouvait lui tourner). N’en est-il pas moins vrai que la voilà séparée de sa famille, cloîtrée, ne pouvant plus voir personne. (Dès Lourdes, on ne la laissait plus parler avec personne sans témoins, et à Nevers, son frère eut toutes les peines à la voir.) (Ibid. F°s 30-31)
Cela tourne en emprisonnement pour elle [Bernadette], et il n’est pas certain qu’elle n’en soit pas morte emportée par son asthme (nerveux), elle habituée à vivre libre aux
champs. (Ibid. F°s31-32)
La grotte avec le quai du Gave, les lacets, tout ce travail qui a déjà coûté cinq ou six millions (la crypte et la Basilique, huit cent mille francs, les rampes et le Rosaire 3 millions deux cent mille, puis l’hôpital du Salut, les terrassements, tout enfin, la Résidence, un million encore). (Ibid. F°34)
Et maintenant religion bruyante, piété très mêlée, bataille âpre et continuelle pour l’argent, prostitution (les filles qui vendent les bouquets et les vierges qui se dégoûtent du travail et qui se prostituent). (Ibid. F°35)
Ceux [les prêtres] qui ont la foi, ceux qui viennent par chic, ceux qui s’amusent, font un voyage aux Pyrénées, ceux même qui se donnent là un rendez-vous, dans la grande [cohue biffé] liberté de la grande cohue (on parle de prêtres se rencontrant avec des dames) ils sont au moins deux à trois cent mille. (Ibid. F°36)
Je tiens à mon médecin qui finit par croire pour des raisons (le docteur Maclou je crois). (Ibid. F°38)
Quand elle [l’humanité] a touché le malheur de vivre, l’injustice de la nature (d’où nous vient donc l’idée de justice ?), la misère de tout, elle a besoin de faire un appel à un pouvoir mystérieux qui peut tout pour [l’im biffé] le bonheur, même l’impossible. (Ibid. F°40)
Et l’horreur
de leurs objets de sainteté ! d’affreuses quincailleries, l’article Paris dans ce qu’il y a de plus camelote ! Tout est laid, au milieu du décor splendide. Ils ont gâté la nature. (Mettre cela dans la bouche d’un personnage, si je ne le prends pas pour mon compte.) (Ibid. F°s44-45)
La victime dans tout cela, la sacrifiée, l’escamotée, la femme malade, que la Vierge en la choisissant (d’après eux) a retranchée du nombre des épouses et des mères (…). Et je mettrai comme je l’ai dit, sa figure dominant tout le livre. – Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
comment raconter tout Bernadette (et aussi le Lourdes ancien, Peyramale et les Pères), si mon roman se passe de nos jours ? (Ibid. F°s57-58)
Je tiens absolument à ne pas sortir du temps présent, et je ne pourrais sans doute avoir le passé que par des visites à Bartrès, à la chambre de Bernadette, au couvent, à Nevers (en pensée), à l’église du curé Peyramale ; cela revenant en temps et lieu, de façon à ne pas trop couper l’intérêt du récit. (Ibid. F°59)
Enfin, il faut que je me procure le procès verbal des médecins (Balensi) qui ont étudié Bernadette et qui
ont conclu à l’hallucination – (Ibid. F°s63-64)
Il (…)
aurait peut-être réussi à tout, s’il avait pu l’épouser ; mais on ne pouvait épouser cette enfant malade, condamnée, (le médecin mêlé à cela, celui qui se sera converti là-bas). (Ibid. F°s 74-75)
Deux filles : l’infirme qui ne peut rien faire (corps dévasté, mais tête adorable) et une autre fille, institutrice, laide, l’aînée, qui se tue
pour faire vivre son père et sa sœur. Une mère me gênerait peut-être (d’ailleurs, je peux la mettre avec le père, si j’en sens le besoin). (Ibid. F°s 75-76)
Dans la troisième [partie], il obtient qu’elle passe une nuit devant la grotte (après son accès de doute, elle craint la nuit à l’hôpital). (Ibid. F°81)
Donc, au départ, tout au fond de lui, cette expérience de savoir si un miracle ne se fera pas pour lui (en dépit [de ce qu’il biffé] de l’effet d’incrédulité où il est.) (…) Tout ce qui frappe sur lui, la simonie, la laideur de ce culte, l’exil de Bernadette (il se prend de passion pour elle), la lutte [de l’abbé biffé]
du curé Peyramale (…). (Ibid. F°s83-84)
Elle lui a laissé à dix ans (lui en avait seize) un souvenir exquis. (…) Plus tard, il reste avec sa mère veuve, qui le pousse à la prêtrise (la raison de cela). (Ibid. F°84)
Elle n’est plus femme : on prétend qu’elle n’a jamais été réglée (?).(Ibid. F°87)
Il rêve de grandes charités (mais cela viendra surtout à la fin, après Lourdes, avec l’idée d’une religion de la souffrance humaine.[)] (…) Dans « Rome » il pourra essayer une tentative de concilier la foi avec l’esprit moderne ( de Voguë) et il échouera encore. (Ibid. F°94)
Il faudrait enfin tenter de la justice (le socialisme). (Ibid. F°95)
Un grand médecin (Charcot) le pousse à déterminer la malade au voyage, puisqu’elle a des sentiments religieux ardents. (Ibid. F°96)
Il faudra que mon prêtre la connaisse, ou qu’il soit mêlé à cela ; et qu’il pardonne. C’est
une de ses pénitentes ; et il connaît l’histoire par la confession (?).(Ibid. F°s103-104)
Une ouvrière d’un quartier excentrique de Paris. A perdu son mari, [maçon tombé d’un échafaudage biffé] ouvrier (métier délétère) tué par le travail, phtisique. (Ibid. F°105)
J’ajouterai comme personnage de fond (…) une autre qui [est biffé] a la figure mangée par un lupus et qu’on prétend guérie (plaies apparentes). (Ibid. F°107)
On les a mis dans la salle des ménages (ou à l’hôpital du Salut). Tout seul alors. (Ibid. F°108)
Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille (…). Toute la famille (bourgeoise) descendue dans un hôtel). (Ibid. F°108)
Et j’ai envie de mettre un autre père de l’Assomption, plus jeune, entré dans les ordres par vocation, ami de séminaire de mon prêtre (et qui est [l’ biffé] son antithèse) [de mon biffé]. (Ibid. F°117)
Les confidences peuvent être faites au père de ma malade et au prêtre (quand il s’est assuré que celui-ci n’est pas avec les pères de la Grotte.) Voir le bout d’intrigue de la nièce, avec un prêtre (le prêtre mondain ?)– (Ibid. F°120)
Je pourrai le mettre au conseil municipal, ou ayant un oncle qui en est (ce que j’aimerai mieux). (Ibid. F°120)
Comme on achève de chanter « l’Ave maris stella », commencé à Paris, au départ du train blanc (5h25 du matin), Marie de Guersaint se soulève un peu et aperçoit les fortifications (…).(Ibid. F°122)
Les insignes de Mme de Jonquière [en interligne : ( H de N.–D. du S. 16) éb. 104 – ]. (…) Elle a quatre malades (la pancarte au-dehors) : Elise Rouquet, Mme Vêtu, la Grivotte et Marie. (Ibid. F°124)
Et je donne alors une description (…) de tout le wagon, avec ses malades [en interligne : (relire tout le départ du train blanc.)], en réservant les malades, mes personnages. (Ibid. F°124)
Mais, pendant que je donnais ces détails, on a passé à Juvisy (5.45, vingt minutes après Paris) où l’on a dit le chapelet et l’on arrive à Brétigny (6, une demi-heure après Paris). La sœur Hyacinthe qui dirige gaiement les exercices, donne le signal pour l’Angélus (Neuvaine, angélus). (Ibid. F°125)
Marie
qui a été hospitalisée (pauvreté, mais aussi d’autres raisons), en face de cette enfant qui aurait mérité de l’être plutôt qu’elle. Et alors toute l’organisation [en interligne : (éb. 82-205) Lourdes 244. –] du pèlerinage. (Ibid. F°s125-126)
Mais on est à Etampes (6.32, une heure et demie après Paris.) (…) Et c’est pendant ce temps que, par-dessus la Grivotte assoupie, très malade (je la poserai complètement tout à l’heure) M. de Guersaint se met à causer avec M. Sabathier [en interligne : (ataxique éb. 64)]. (Ibid. F°126)
Le «Parce Domine» à Beaugency (8.10). (Ibid. F°127)
Enfin, à Beaugency sans doute, la Grivotte se soulève (très malade, phtisique au 3e degré). (Ibid. F°127)
On arrive à Blois (8.40). (Ibid. F°127)
Enfin, on est à Amboise (9.12). (Ibid. F°129)
On arrive à Saint-Pierre-des-Corps, (10h20) – (Ibid. F°130)
Marie est dans une sorte de gouttière, de chariot auquel on adapte des roues (elles sont aux bagages) et que Pierre ou le père roule. (Ibid. F°132)
J’ai envie de mettre dans le même compartiment : aux pieds de Marie, Mme Maze, discrète et effacée (douleur morale) et en face d’elle Mme Vincent et sa fille Rose (douleur maternelle). (Ibid. F°133)
Puis la Grivotte, debout qui se soulève, à chaque instant, malgré son état de faiblesse [et q biffé] (phtisique) et qui cause avec Marie, surtout avec Mme Maze et madame Vincent. (Ibid. F°134)
Avec un crescendo dans la souffrance, et le sentiment que tout cela roule, est emporté. De Paris à Orléans par exemple (garder ensuite jusqu’à Angers pour le II). (Ibid. F°136)
Un mot des sœurs qui sont dans le fourgon de la cantine (avec un interne) et un mot des hospitalières, pour que, dans le III, tout ce monde n’ait pas l’air de tomber du ciel. (…) Indiquer le plus tôt possible, je crois, l’organisation et le fonctionnement du pèlerinage (à [cause biffé] propos de Mme Vincent, qui n’est pas hospitalisée ?) (Ibid. F°137)
Mme de Jonquière emmènera comme malade la Grivotte, et Mme Vêtu, toutes les deux touchées à mort, ainsi que Elise Rouquet, M. Sabathier (pas dans sa salle) et Marie. Si je ne compte pas M. Sabathier (bien qu’elle l’ait pris dans son wagon) cela fait [q biffé] 4 malades en comptant Marie. (Ibid. F°140)
Il faut que sœur Hyacinthe dise que le père Massias est dans le train (avec les saintes huiles). (Ibid. F°142)
Mon premier chapitre part donc de 5h30 à peu près (dès qu’on est sorti des fortifications [)]. Le soleil se lève vers cinq heures à cette époque-là (il se couche à 7). (Ibid. F°143)
Et il n’y a plus ensuite que le Chapelet (à Ste-Maure), la Neuvaine et l’Angélus (à Châtellerault), ce qui me permettra de mettre les réflexions de Pierre, sans trop les encombrer par ce qu’on fera – (Ibid. F°144)
M. Faure ataxique (éb. 64). Détails sur l’organisation du pèlerinage (éb. 82). Aumônes. Souscriptions. 50 fr. pour un malade, etc. Les insignes (éb. 104). Organisation des trains (éb. 205). (…) Organisation du pèlerinage (Lourdes 244). Insigne (H. de N.–D. de S. 16). (Ibid. F°145)
La petite maison décrite (avec la maison voisine, les jardins qui se [trou biffé] touchent [)]. Son père, chimiste illustre, membre de l’Institut, qu’il ne revoit pas ([il biffé] son père avait 50 ans à sa naissance). Sa mère (35 ans) douce, mais catholique. (Ibid. F°146)
Lui [Pierre] a seize ans. Marie en a 10. (…) Et il la regarde, (mais garder le portrait lamentable pour plus tard). (Ibid. F°147)
Et avant de recevoir le premier ordre majeur qui l’engage, il a des vacances qu’il passe à Neuilly (ou une petite indisposition qui le force à prendre un congé et le retarde). Il a vingt-quatre ans, Marie en a 18. (…) Depuis cinq ans malade, déjà [dans sa biffé] promenée partout (pas encore dans sa gouttière.) (…)
Ils se rappellent les serments échangés, le baiser (?). (Ibid. F°s148-149)
Le voilà prêtre. Il a 26 ans. [en interligne : les 3 Villes 18. Son frère disparu (au Personn. détails)] (Ibid. F°149)
Le coup de foudre [en interligne : éb. 5 et 7. 12.], la raison se réveille (après la maladie) et emporte tout. Une révolte [en interligne : (éb. 5 et 7, 12)] de la raison [en interligne : toujours elle se révolte]. (Ibid. F°150)
Le dossier que Pierre trouve chez son père (…) \\. Comment ces papiers se trouvaient là, depuis 1862 (?) (Ibid. F°s150-151)
Le grand médecin alors amené par Pierre. Un ami de son père encore (?). (…) Et toute la consolation, au chevet de Marie (la prendre dans la maladie.) (Ibid. F°153)
Il priera aux pieds de la Vierge, il tâchera de s’abîmer dans une foi d’enfant [en interligne : dernier effort de croyance, s’anéantir dans la foi, si la foi vient (suprême et ardent espoir) (…)]. (Ibid. F°154)
Blanche a donné vingt francs à son père (pour Gavarnie). (Ibid. F°154)
Chapitre II. Entièrement consacré à revenir en arrière et à conter l’histoire complète de Pierre Froment (avec son frère) et des Guersaint. (Ibid. F°155)
Son analyse, sa résolution (est-ce que Lourdes est déjà là-dedans ? a-t-il les dossiers et comment ? voir cela aux Personnages) – (Ibid. F°157)
Son père, mort en [79 biffé]63 (il y a [ving biffé] trente ans) était au courant des choses de Lourdes, par un ami (de Mussy). (Ibid. F°160)
Il y va donc par tendresse pour Marie (après des répugnances) et pour continuer ses recherches, avec le sourd espoir encore d’être converti (le sourd ferment religieux laissé par sa mère en lui[)].(Ibid. F°161)
Pierre, le libre examen, la foi au seul progrès par la science (éb. 5). Pour Pierre toute l’éb. (p. 7.) Le médecin a prédit le miracle (éb. 11). (Ibid. F°162)
Pierre s’est fait recevoir hospitalier auxiliaire, brancardier (voir l’Hospitalité de N.–D. du Salut[)]. (…) Toute l’hist. de Pierre et de Marie (éb. 17). Le médecin qui lui a dit son père tel qu’il était, et non tel que sa mère le voyait (éb. 22). (…) On a fait des offres à Pierre, de l’archevêché. Très intelligent, on voudrait se l’attacher (éb. 24). (…) Lourdes, c’est l’effort de Pierre de retourner à la foi absolue (éb. 26) – (Ibid. F°163)
Puis il accepte par tendresse pour la malade, et avec le désir de continuer son enquête et de tenter la foi (ceci tout au fond de lui). Dernier effort de croyance, s’anéantir dans la foi, si la foi vient (suprême et ardent espoir). – (…) Il soupçonne l’abbé Ader d’avoir tout mis en marche, inconsciemment (le dire). (Ibid. F°164)
Tout le miracle de Mlle de Fontenay (Lasserre, 45). Guillaume Froment, son hist. (Le 3 Villes 18). (Ibid. F°164)
Toutes les autres sont descendues et régler ce qu’elles font : (…) Elise Rouquet, enveloppée, et allant à la fontaine (plus tard, ce qu’elle y fera). (Ibid. F°166)
D’abord dans le wagon, (…)
l’homme avec sœur Hyacinthe (mais ne pas oublier que c’est l’homme qui doit me donner les Vigneron, le garder donc pour la fin du morceau) – (…) J’ai aussi Marie (qui n’a pu boire tout son bouillon, Pierre reportera le bol) et son père fumant. (Ibid. F°s168-169)
Mme Volmar (son histoire) comme une somnambule que son mari a mise dans le train et qui ne rêve que d’arriver à Lourdes, où elle doit retrouver son amant. (Ibid. F°170)
Et bien poser l’abbé, cet honnête homme, ce croyant simple (en opposition avec Pierre) – (Ibid. F°171)
(Pourtant, ce n’est pas la souffrance qui va suivre. Sophie Couteau monte, le Magnificat, et l’espoir qui vient. Dès qu’elle arrive avec son miracle tous prêtent l’oreille, se relèvent. Cela doit commencer par Marie, centrale.) (Ibid. F°172)
Les deux pères de l’Assomption sont déjà à Lourdes, et je les montrerai seulement sur le quai d’arrivée (I chap. de la deuxième partie). (Ibid. F°177)
Portrait du petit Gustave (éb. 37). Sur le quai, la cohue du train qui descend. Un peu ce qui se passe à l’arrivée (éb. 1 à 10). (Ibid. F°182)
Pierre prend l’enfant (le faire central). (Ibid. F°183)
On dit à Ruffec (3h) les Vêpres de la Vierge. (Ibid. F°185)
Voici l’ordre des trois personnages à peu près valides qui content chacun son miracle : M. Sabathier, Mme Maze, Mme Vincent (celle-ci, maladie d’enfants[)].(Ibid. F°185)
Et, maintenant, il voudrait bien croire encore pour partager cette foi qu’il voit s’allumer et s’exalter dans les yeux de Marie. (Tout à l’heure il sera emporté.) (Ibid. F°186)
La Vierge aimée, honorée, si pure, étoile du matin, refuge du pécheur, consolation des affligés (toutes
les litanies.[)] (Ibid. F°s186-187)
On est à Coutras sans doute 6h. L’angélus. Avec la Vierge encore. (On ne doit être à Bordeaux qu’à 7h35). (Ibid. F°187)
De même qu’un de mes personnages (incroyant autrefois), abandonné par les médecins, finit par s’adresser avec ferveur à Lourdes, de même l’humanité, à cette fin de siècle, bourrée de science, et toujours souffrante, se croit abandonnée des médecins (des savants) et retourne en arrière, au mysticisme à Lourdes.– (Ibid. F°188)
Et surtout le bien
spirituel qu’on tire d’un pèlerinage (…) (N. sur Lourd. 188) – (Ibid. F°s189-190)
Alors finir avant Bordeaux (7h35) [en interligne : M. de Guersaint], avec Pierre heureux du soulagement de Marie. (Ibid. F°192)
Surtout le miracle, son histoire qu’elle [Sophie Couteau] raconte à Pierre (c’est lui qui l’interroge), et tous les détails. (…)
Et les misérables souffrants (qui souffrent plus que jamais) l’écoutent avec passion, les yeux luisants d’espérance. (Ibid. F°s192-193)
Je brûle Libourne (6.21 – 6.25), et on arrive à Bordeaux pour dîner (7.35. 7.50). (…) (…) Il faut donc qu’après les prières du soir, il este un peu de jour (non, car la nuit arrive vers 7 ¾ [)] (…).(Ibid. F°199)
Clémentine Trouvé (Eb. 29 et suivants). On lisait le mois de Marie de Lasserre dans les églises (en mai, 30 jours). La suite au prochain numéro. Violent intérêt, gros succès du livre, et grotte lancée (éb. 137). (Ibid. F°200)
Mais faire la part de ceux qui viennent demander la conversion de quelqu’un, etc. dans un but moral. Et le bien spirituel qu’on en tire (éb. 188). (Ibid. F°201)
Mais au fond c’est toujours le bonheur qu’on demande. (éb. 188, convers. avec Lasserre). (Ibid. F°201)
Nombre de trains qui roulent (éb. 205). Miracles, tout Dozous et tout Boissarie (médecins, dès la page 3). (Ibid. F°201)
Et, tout de suite, après le dîner, fait avant Bordeaux ou après, on dit les prières du soir (p. 41). (Ibid. F°202)
La maison, le jardin, les pommiers, le ruisseau qui passe
au bout ; et la vie dans la maison [en interligne : (Mon V. 142 et s. 176) – où elle est, tout le village], les parents, les champs, le berceau, les agneaux gardés sur les coteaux verts. (Ibid. F°s204-205)
Les laudes sur Bernadette (Dalavat, Mon V. 91), Capdevielle M. V. 164, Lasserre Mon V. 141, Barbet id. 147. (Ibid. F°206)
Mais bien voir où je devrais indiquer la formation de l’image de la Vierge chez Bernadette. (N.s.L.191) Elle a la patte de crapaud dans l’ail (168) – (…) Les roses d’or : dans quel conte de chevalerie [en interligne : la Vierge décrite par B. (Mon V. 223).] ou ailleurs ? sur quelle image ? Les paroles répétées, elle les avait entendues. Où ? (Salette, etc.). (…) Comparaison avec Jeanne d’Arc (Boissarie 93.) – (Ibid. F°207)
Asthme convulsif. Une dégénérée, une enfantine (charmante, honnête etc.) (Ibid. F°208)
La vie moderne butte contre les Pyrénées, stagnation. Idées immobiles (Mon V 238). (Ibid. F°208)
L’église [en interligne : (196)] décrite [en interligne : Guide Barbet 84], rapprochée de celle de Bartrès. (Ibid. F°209)
On a passé à Riscle (12.41 – 1), et à Vic-du-Bigorre (2-2.1), pendant le silence. – (Ibid. F°210)
On chante, à Adé, (3.30) dix minutes avant l’arrivée « l’Ave Maria stella » (…). (Ibid. F°211)
L’école, le catéchisme commencé, enfin tout ce que je sais par Barbet (et son guide) et par mon excursion à Bartrès. – (…)
Et les dix-huit apparitions (sans les persécutions encore). (Ibid. F°s214-215)
Ce [Ma biffé] cantique par tous ces souffrants que le voyage a brisés (augmenter en effet les souffrances, à mesure que le voyage s’allonge). (Ibid. F°216)
La nuit tombe (il fait nuit à peu près à 8h). (…)
On traverse les plaines rases de Lourdes ; et quand arrivent 9h et que sœur Hyacinthe veut arrêter le lecteur (il n’aura commencé qu’à 8 ½), on la supplie de laisser continuer. (…) Le chapitre est empli par cela ; et le faire finir rapidement par le silence qui tombe de 11.40 (Mont-de-Marsan) à 2.39 (Tarbes) pendant trois heures donc. (Ibid. F°s216-217)
Histoires de sorcières et de loups-garous (éb. 92). [On disait le biffé] Bartrès et le curé Ader (éb. 142). Bernadette à Bartrès, ce que m’a dit Barbet (éb. 147). Les histoires lues, la Bible, les sorciers (149). Deux histoires de sorciers (164) – A Bartrès (176). L’ancien Lourdes, avec Barbet (191). Les pourceaux dans la grotte. L’église (196). Rendre l’effet sur Bernadette. Celle de Bartrès aussi. – Description de la Vierge, d’après B. (éb. 223) – (Ibid. F°219)
La vie moderne butte contre les Pyrénées, stagnation. Idées immobiles (éb. 238). (Ibid. F°220)
Sur Bernadette jeune. Dalavat (éb. 91). Sur Bernadette jeune. Lasserre (éb. 141). Sur Bernadette, Barbet (147). Ce qu’on faisait à Bartrès (éb. 148). Au Panorama, l’ancienne grotte (éb. 159). Sur Bernadette jeune, Capdevielle (éb. 164). Les bruits qui courent sur les sorciers (éb. 167). Elle a l[e biffé]a [pied biffé] patte de crapaud dans l’ail (éb. 168). La formation de l’image de la Vierge chez Bernadette (éb. 191).
Toute la description de l’emplacement ancien de la grotte, avec Barbet (éb. 195). L’église de Lourdes, important (196). Bernadette, par Lasserre ( 1 et suivantes Lasserre). (Ibid. F°s220-221)
Les yeux de Bernadette (Lasserre 92). (…) Lourdes honnête (Lourdes 244). Dozous sur Bernadette (Médecins 1 et suiv.) (Ibid. F°221)
Deux trains sont déjà arrivés, [et biffé] (quelles couleurs), et l’on attend le train blanc, celui des grands malades, le plus douloureux. – Tout cela mis en scène par le chef de la gare (tel que je l’ai aux notes) (…).(Ibid. F°223)
Détails sur les trains (V. 203). (Ibid. F°224)
Puis avec le père et le docteur qui continuent à se promener, je puis avoir les premiers pèlerinages (1875) [en interligne : M.V. 23]. (…) Les premiers pèlerinages tels que le père Picard me les a contés (N. 23) – (…) Le chef de gare attend un train de voyageurs de Montauban (?) qui a du retard, et ce sera ce
train qui arrivera à la fin. (Ibid. F°s224-225)
Ensuite, j’ai les brancardiers. (…) Je les montre sans doute en tas (…), avec des prêtres qui se promènent (…) (Des Hermoises) (…). Puis, je montre le baron Suire qui se démène (…) (tous les chefs sont là pour le train blanc). (Ibid. F°225)
Le père Forcade [sic] doit avoir son idée de la résurrection (plus tard). (Ibid. F°226)
Alors, je fais partir du wagon les valides, (…) donc une voiture (songer à la cantine qui va rester seule) – (…) Mais Madame Vincent surtout, avec Rose sur les bras. Elle ne sait où coucher, elle va descendre droit à la Grotte (malgré l’heure). (Ibid. F°227)
Et Marie que Pierre traîne [en interligne : M. de Guersaint]. (…) Sa bretelle [en interligne : brancardier volontaire] (H. de N.–D. du S. 51). (Ibid. F°231)
(Que sont devenus le père Massias, Bonamy, Berthaud, Gérard, le baron Suire. Les montrer, les faire partir.[)] (Ibid. F°231)
Le père Massias a été au séminaire avec Pierre (voir son personn). (Ibid. F°239)
Arrivée du train (Eb. 1 à 10). Détails sur l’Hospitalité du Salut (Eb. 26[)]. Détails sur les trains à la gare (éb. p. 203). (…) L’entassement, les logeurs disant : Vous [ne biffé] mangerez, mais vous ne coucherez pas ce soir. Tout est plein (éb. 15). (…) Là sans doute, les premiers pèlerinages tels que le P. Picard me les contés (éb. 23). Les insignes (éb. 104[)]. Avec Berthaud, peut-être, le nombre de trains, et surtout les 500 pèlerins de l’année du couronnement. Mouvement politique (éb. 206). (Ibid. F°240)
La gare (Guide Barbet 96). (Ibid. F°241)
Sur les brancardiers (Hospitalité de N.–D. du S. 48) 122, plus les Brancardiers auxiliaires illimités. (Ibid. F°242)
Pierre se fait [fai biffé] brancardier volontaire, sa bretelle (Hosp. de N.–D. du S. 51). (Ibid. F°242)
Deux autres hôpitaux [en interligne : M.V. 76], l’Hôpital municipal (hommes et femmes) et l’Hôpital du Salut (rien que des hommes).– [(]Les escaliers, les salles, [l’église biffé] la chapelle, le réfectoire, les salles, ici ou plus loin.–) (Ibid. F°243)
J’installe tout de suite [en interligne : (M.V. 601)] en bas M. Sabathier (avec sa femme) et le frère Isidore (avec sa sœur) dans la salle des ménages, que je pose. (Ibid. F°244)
Et montrer sœur Hyacinthe, sœur Saint-François, et (…) sœur [Saint biffé] Claire des Anges (nommer seulement). (Ibid. F°244)
Alors, la première malade montée [en interligne : M.V. 85] est Marie (…). C’est Pierre qui la monte (avec qui ?) (…) On met Mme Vêtu près de Marie, que l’on couche un instant, car on n’ira à la Grotte qu’à huit heures, dans trois grandes heures (ordre des Pères qui craignent l’encombrement). – (…) Lorsqu’on monte enfin la
Grivotte, il faut ajouter un lit. Son impatience d’aller à la Grotte, elle s’assoit sur son lit, elle veut partir tout de suite (commencement du miracle). (…) Description de la salle encombrée, avec les bagages, les paniers, les valises (à reprendre pendant la nuit). – (Ibid. F°s245-246)
D’abord on descend la rue de la Grotte, puis la Merlasse, enfin [en interligne : Guide Barbet 9] sur la place du Rosaire [en interligne : (M.V. 197)]. (Ibid. F°246)
Donc, la salle Sainte-Claire par exemple où j’installe les hospitalières d’abord Mme Jonquière (dire tout de suite [de biffé] que sa fille Raymonde reste en bas, au réfectoire) et madame Désagneaux. (Ibid. F°249)
Et après Marie, voici les malades qu’on installe dans la salle (une description sommaire, que je reprendrai au V : des matelas ajoutés par tous). Marie placée au milieu de la salle, madame Vêtu sera près d’elle, la cancéreuse, dans un
lit tout à fait voisin. (Ceci pour la mort par le cancer).– (Ibid. F°s250-251)
Puis, quand il reviendra, il emmènera Marie aux piscines, et c’est là qu’il verra (au III, à la fin) tremper les hommes et même tremper le cadavre. (Ibid. F°254)
Devant la Grotte (Eb. 10-42). L’hôpital de N.D. des Douleurs (16-55). Les hospitalières à l’hôpital (Eb. 26). M. Faure ataxique (Eb. 64). Les autres hôpitaux, Salut – Municipal – (éb. 76). Vie des malades (éb. 85). Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Mais surtout après le miracle. Peut-être là les premiers pèlerinages du Père Picard. Pas organisés. (…) (éb. 23). (…) Ce qu’on mange à l’hôpital (éb. 130). (Ibid. F°255)
L’hôpital (Guide Barbet, 47). Le Calvaire (id. 45). (…) L’Hospitalité à la Grotte (H. de N.–D. du S. 53). Les demoiselles devant la Grotte (57). L’Hospitalité à l’hôpital (H. de N.–D. du S. 71). (Ibid. F°256)
Et tout de suite l’histoire (Pierre [en interligne : il savait ses deuils et lui en parle] devait le savoir à Lourdes [en interligne : depuis combien sont-ils séparés] ?) Comment il est venu à Cauterets, et comment sa femme y est morte. Elle reposait à peine au cimetière de Lourdes, où étaient ses parents, [(]car il est de
Bartrès, je crois), lorsque sa fille tombe malade et meurt à son tour. (Ibid. F°s258-259)
Il (…) a surtout besoin de croire [en interligne : le besoin de justice : sa fille si bonne, si vivante, si jeune, n’ayant pas vécu, doit revivre ailleurs (en conversation) –] qu’il retrouvera ailleurs les êtres chers qu’il a perdus. (Ibid. F°260)
Hospitalité (…) (piscines, H. de N.–D. 59). (Ibid. F°261)
Les abords des piscines décrits [en interligne : (M.V. 35)]. (Ibid. F°261)
Gérard [qui va baigner biffé] non il ne fait qu’amener M. Sabathier (…) et Pierre entre en aidant à porter celui-ci (il a fait sa connaissance en montant Marie à l’hôpital). (…) Puis ceux qu’on va baigner : Gustave Vigneron (…), avec
son père (les deux dames sont restées dehors), Sabathier, et enfin le frère Isidore (celui-ci on le rhabille, quand Pierre entre). (…) Microbes (abbé Maumus M.V. 224). (Ibid. F°s262-263)
Effet sur Pierre. Il s’est attardé, et comme il va pour chercher Marie, Gérard s’amène (mot de reproche de Marie). (Ibid. F°264)
Et Marie sort et il l’emmène. Mais elle reste sombre (elle n’a pas été guérie). (Ibid. F°264)
Les deux épisodes M. Sabathier (Faure) trempé, puis le petit Gustave Vigneron. (Ibid. F°269)
Il a déjeuné en courant, s’est oublié à quelque chose ; et expliquer pourquoi il n’a revu ni sa fille (qu’il aura pu manquer à l’hôpital), ni Pierre, qu’il n’aura pas su trouver. (Ibid. F°271)
Les piscines (éb. 35). Le mort plongé dans la piscine (éb. 157). L’abbé Maumus qu’on m’a envoyé (éb. 229). (Ibid. F°274)
L’histoire religieuse (Lasserre 31).
Relire tout Boissarie, pour baser mon docteur Chassaigne (Médecins). Lui a été et est un intellectuel, et où il en est par le doute de la science, sa longue expérience qui lui [fait biffé] a fait voir si souvent des faits inexplicables (raisonnement de Boissarie). (Ibid. F°s274-275)
Sur les Annales de Lourdes (Médecins 29). Sur la suggestion non possible (id. 30). Et toute la discussion continue. – Bureau des constatations (id. 31). Travail au bureau des constatations (id. 32). (Ibid. F°276)
Veut-il montrer un miracle à Pierre, espère-t-il lui en montrer un (Le miracle ne se produit pas au commandement, explique Boissarie[)].(Ibid. F°276)
L’Hospitalité aux piscines (H. de N.–D. du Salut 59). (Ibid. F°277)
Il n’est donc qu’un type, le représentant du savant qui retourne à la croyance par faiblesse humaine, sous l’empire de certains sentiments (lassitude, atavisme, perte d’êtres chers). (Ibid. F°277)
Mais peu de maladies contagieuses à Lourdes : ni le lupus, ni les abcès, ni la scrofule, ni le cancer, ni la phtisie ([dan biffé] par le bain) – (Ibid. F°278)
Puis, [en interligne : M.V. 29, 128, 230], des malades guéris (?) dans la salle d’attente. (Ibid. F°279)
Et j’ai ainsi tout un défilé de malades sans
conséquence (à prendre dans mes notes), qui m’aident à tout poser. – (Ibid. F°s280-281)
Mauvaises installations, organisations défectueuses, aucune certitude scientifique. C’est ce que dit le monsieur, ce que j’ai dit moi-même (notes). – (Ibid. F°281)
Et là, avec le monsieur, que Pierre approuve (ne pas oublier le docteur Chassaigne), les plaies apparentes. – Le monsieur (…) dit : Si, moi, j’avais une source et si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. (Ensemble sur Lourdes, 17 et suivantes) – (Ibid. F°282)
Pas de maladie contagieuse à Lourdes : ni le lupus, ni les abcès, ni la scrofule, ni le cancer, ni même la phtisie (par le bain). (Ibid. F°283)
En somme, il faut que Pierre sorte de là pas convaincu, troublé davantage, se disant que pour des croyants, tout cela est parfaitement inutile (opinion de Raboin) (…) – (Ibid. F°292)
Mais les plaies apparentes de source nerveuse d’après Charcot (la foi qui guérit). (Ibid. F°293)
L’abbé Des Hermoises, [vague biffé] discrètement sceptique. (Voir son personn.) (Ibid. F°294)
Sur la mauvaise organisation du bureau des constatations (Ensemble sur Lourdes 18). Sur Raboin intéressant (20). Au bureau des constatations (Eb. 29). Le Bureau des constatations (128). De nouveau dans le bureau des constatations (éb. 230). Inutiles pour le croyant, insuffisants pour l’incrédule (232). (Ibid. F°294)
Reprendre l’hôpital [en interligne : l’Hôpital la nuit (M.V. 59)] de Notre-Dame-des-Douleurs. Dès [sept biffé] dix heures, Pierre inquiet (…) d’avoir vu Marie si anéantie et désespérée, revient à l’hôpital, après que M. de Guersaint est rentré se coucher (?) (Ibid. F°296)
[en interligne : Ce qu’on mange à l’hôpital (M.V. 130)] (Ibid. F°296)
Les bagages, les paniers, les valises [en interligne : l’Hôpital (M.V. 16-55, la nuit 59)], au pied des lits. Les 15 lits (?) le long des murs, les matelas qu’on a ajoutés entre eux. (Ibid. F°297)
C’est donc la description que je fais à l’aide de Pierre qui s’est assis au chevet de Marie, et doit lui parler de la communion pour minuit (avec l’abbé Judaine, l’aumônier de la salle). (Ibid. F°297)
Alors [en interligne : (l’Hospit. à N.–D.-des-Douleurs 71)], je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables, toujours avec Pierre mêlé et assistant.– (…) Raymonde viendra [en interligne : embrasser] lui dire adieu (son service fini) et montera se coucher dans l’hôpital, où elle a obtenu une petite chambre, avec les sœurs. (Ibid. F°297)
C’est le lendemain matin que Pierre la revoit. Lui est au courant, je crois déjà l’avoir dit (Première journée, chap. III). (Ibid. F°298)
J’ai donc toute la lutte avec le commissaire et le préfet, la persécution des autorités, comment on fonde une religion, jusqu’au jour où sur un ordre de l’empereur (l’impératrice derrière) la grotte devient libre. (…) Donc sur Bernadette (Lasserre, pages 20 à 26.) – (Ibid. F°301)
Et reprendre les dames hospitalières, Mme de Jonquière dévouée, ne fermant pas les yeux (Raymonde couchée, venant seulement embrasser sa mère et disparaissant). (Ibid. F°304)
Et l’aumônier l’abbé Judaine qui donne la communion vers minuit, je crois (voir mes notes) – (Ibid. F°304)
L’hôpital de N.D. des Douleurs (Eb. 16-55). L’hôpital la nuit (Eb. 59.) Détails sur Bernadette (228 éb.) (Ibid. F°308)
Sur Bernadette, tout le récit (Lasserre, page 20 [en interligne : jusqu’à la page 26].) (Ibid. F°309)
L’hospitalité à l’hôpital (H. de N.–D. du S. 71). (Ibid. F°309)
Et par ce matin de beau dimanche d’août, chaud et clair (le ciel est bleu, toutes les cloches sonnent), il entre à [huit sept heu biffé] sept heures dans la chambre de Pierre encore couché. (…) Donc, pendant que Pierre s’habille (pudeur) première conversation sur Marie, que Pierre dit plus heureuse (il ne veut pas inquiéter le père). (Ibid. F°310)
Et de Guersaint se plaint des bruits qui l’ont réveillé (c’est plutôt Pierre qui a entendu). (Ibid. F°311)
Elle [Marie] veut rentrer à l’hôpital à [deux biffé] dix heures, à cause [de d’un petit biffé] de sa fatigue (?).(Ibid. F°313)
Le petit Gustave a eu une crise (…), on a cru qu’il passait, et la terreur (bonhomie) du père et de la mère, si le petit était mort avant Mme Chaise. Celle-ci (…) se plaint d’avoir été bousculée par Gustave [en interligne : il va mieux] (?) – (Ibid. F°314)
Alors, 10h1/2. [en interligne : sur les hôtels (M.V. 162)] (…) Et le facteur [en interligne : Sœurs bleues (M.V. 98-131) Guide B. 10] apportant une lettre pour Mme Maze. (Ibid. F°314)
Et il espère [que biffé] obtenir davantage, tout ce qu’il désire (la mort de Mme Chaise). (Ibid. F°316)
Et sourire triste du petit scrofuleux Gustave (béquilles) qui sait.– (Ibid. F°320)
Et ramener Pierre au déjeuner (après qu’il sera allé conduire Marie à la Grotte). (Ibid. F°321)
On a craint la mort de Gustave. Mais il va mieux, au déjeuner. (…) Ils [les Vigneron] croient que la tante est fâchée. (Voir les personnages.) (Ibid. F°327)
Une dame chez les Sœurs bleues (éb. 131). L’entassement dans les hôtels, couloirs, promiscuité, etc. Les logeuses disant : Vous mangerez, mais vous ne trouverez pas à coucher ce soir (éb. 15). Les Sœurs bleues (éb. 98). Sur les hôtels (162). Le couvent des Sœurs bleues (Guide Barbet 108). (Ibid. F°328)
Il va donc s’y rendre pour savoir les prix (à quatre), et il se fera raser en même temps. (Ibid. F°329)
Ils marchent pour marcher, en flânant, ils descendent l’avenue de la Grotte et se trouvent devant le Rosaire (le plateau de la Merlasse[)]. – (Ibid. F°330)
D’abord à l’endroit [en interligne : (M.V. 110-) G. Barbet 188.] où l’on emballe l’eau, tout le détail. (Ibid. F°331)
Ma visite aux Pères (M.V. 23).
Ah ! c’est qu’ils cèdent aux pères de l’Assomption [en interligne : les pères de la G. G. Barbet (187)], pendant le pèlerinage national. (Ibid. F°s331-332)
Je les fais redescendre (…) par le plateau de la Merlasse [en interligne : nouveau Lourdes, buvettes, enseignes (M.V. 163)]. (…) Tout le plateau de la Merlasse, tel que je l’ai vu : boutiques avec les enseignes (?), buvettes sous les tentes, etc. – (Ibid. F°332)
Enfin Pierre et M. de Guersaint [en interligne : l’ancien Lourdes (G. Barbet 180)] montent à la place du Marcadal. (…) Lui [Cazaban], bien que libre penseur (il s’en flatte) loge et donne à manger. (Ibid. F°334)
Mais Cazaban n’y peut tenir, et peu à peu (trouver les transitions) il déblatère contre la Grotte. (…) Et l’histoire de la Grotte et de la Ville [en interligne : (M.V. 97-96 238)], la Grotte accaparée par les pères. (Garder le mot Nous fermons la Grotte.) [en interligne : Gains de la nouvelle ville. (M.V. 24)] L’attitude des libres penseurs qui ne descendent jamais à la Grotte (mais qui en vivent). Il faudrait détruire toute cette [va biffé] superstition (…) : l’immoralité en un mot [en interligne : (M.V. 98)] qui s’est déclarée de- \\puis que la Grotte est ouverte. (Ibid. F°s335-336)
Garder pour ce V, ce qu’il faudra. (Guide Barbet, voitures 92). (Ibid. F°336)
L’heure de départ (dans la nuit vers trois heures [en interligne : M. de Guersaint se couchera de bonne heure] (faire le calcul), pour être revenu le lundi à 4h.) (Ibid. F°336)
Peut-être [en interligne : (M.V. 131-132[)]] finir par les couvents sonnant les vêpres, lorsque M. de Guersaint sort de chez Cazaban [en interligne : (G. Barbet 180)]. (Ibid. F°336)
Celui-ci veut se faire raser, et cela me donnera l’épisode de Cazaban criant contre la Grotte, disant un mot de l’église Peyramale (mais faire Cazaban en deux fois, hier absolument contre la Grotte, tandis que dans la V e partie, il craindra qu’on ne la ferme). (Ibid. F°337)
Je puis ne faire partir M. de Guersaint que le lundi matin, parce que c’est moins cher, et il espère revenir le lundi soir (voir les distances). (Ibid. F°338)
Mais [auparavant biffé] comme ils passent devant la popote, ils rencontrent madame Désagneaux et Raymonde qui causent avec Gérard (Mme de Jonquière absente, je ne veux pas
la mêler aux affaires de sa fille [)].(Ibid. F°s340-341)
C’est Cazaban qui rase lui-même M. de Guersaint. D’abord méfiant en les voyant avec la médaille du pèlerinage et de l’hospitalité (Pierre s’est mis de l’hospitalité[)]. (Ibid. F°345)
Prêtres mondains comme Des Hermoises (c’est à propos de lui que je montrerai défilant dans Lourdes toutes les variétés). (…) Intrigant cherchant à se tailler une place. (Ceux qui viennent vivre de la Grotte, et les aventuriers (…)). (Ibid. F°348)
Détails sur l’Hospitalité, la popote (Eb. 26) [en interligne : la popote (éb. 28)]. Ma visite aux Pères et à l’Hospitalité (Eb. 23). Lutte de la ville haute et de la ville basse (éb. 97).
Le magasin des cierges et les envois d’eau de Lourdes (éb. 116). Les pères propriétaires de la Grotte. Ville haute et ville basse. Dalavat. (éb. 96). (éb. 238). La ville démoralisée (éb. 98). Les couvents (éb. 131). Les cloches (132). Le nouveau Lourdes, buvettes, enseignes etc. (Eb. 163). ( …) Les gains de la nouvelle ville (éb. 24). [en interligne : Lire le Guide Barbet (p. 44 et suiv.)] (Ibid. F°s348-349)
Ce fut Mgr Langénieux qui organisa les pèlerinages, but politique (Lourdes 244[)].
Voitures, intéressant (Guide Barbet 92). Lourdes à Argelès, Pierrefitte, St-Sauveur, Gèdre et Gavarnie (alt. 1350 m) 51 km. 2 chevaux 50 fr. 4 chev. 70 fr. (G. Barbet 124). L’ancien Lourdes (G. Barbet 163). Les cloches (G. Barbet 180). (…) Les pères de la Grotte, histoire (G.B. 187). Expédition de l’eau, etc. (188). (…) Les directeurs de service (id. 38). (Ibid. F°s 349-350)
Ils sont arrêtés,
rejetés au bord du Gave, contre le Parapet. [en interligne : Procession (M.V. 17/G. Barbet 196).] (Ibid. F°s 351-352)
Elle est arrivée sans un sou (?). (Ibid. F°353)
Et je puis créer des épisodes, faire passer des personnages : [sur biffé] la Grivotte (dansant, exaltée, avec son cierge), Elise Rouquet, Sophie Couteau, les Vigneron, Mme Maze, chacun avec son trait caractéristique. – (…) Et finir par M. de Guersaint qui revient, la procession étant interminable (vingt mille personnes). (Ibid. F°354)
La procession achève de défiler et se masse en tournoyant sur la place du Rose [sic]. (Les illuminations, la Vierge couronnée.) (Ibid. F°355)
Le grand calme, la nuit ayant balayé la mangeaille (voir la note) – Et Marie parlant de Blanche (…) Ce qui la ramène au passé à Paris (voir son personnage). Et son ancienne tendresse avec Pierre. Toute sa psychologie (voir la note). Son idée fixe, son absorption, son manque de volonté (voir la note). (Ibid. F°356)
Directement indiquer la débauche qui rôde, les rires qui se perdent (Cazaban). (Ibid. F°357)
Les mauvaises impressions de la [p biffé] journée (chap. I et II) sont corrigées, comme emportées, par cette nuit si belle, cette procession si extraordinaire. (Ibid. F°362)
Enfin la fin de foire de ce beau dimanche, la gaieté, la mangeaille encore éparse dans le noir (ne pas insister, pour le sentiment de grand calme éprouvé par Pierre ; mais il pourra ne l’éprouver qu’à la fin). (Ibid. F°363)
Rappeler Blanche, la sœur de Marie. Comme elle serait heureuse de voir tout cela. (au person. de Marie.[)] (Ibid. F°364)
La procession aux flambeaux (Eb. 17). Vue du Calvaire (éb. 70). La salle d’abri (éb. 77). La procession aux flambeaux, détails indispensables (G. Barbet 196). Hospitalité de nuit, ce que j’ai vu dans l’abri. On aurait pu y recueillir la petite Rose (Hospitalité de N.–D. du S. 34). (Ibid. F°365)
Mme Maze, la poser (la lettre qu’elle a reçue) – (Ibid. F°366)
Il [a biffé] fait visiter la Grotte [en interligne : (M.V. 107)] à Pierre : tout l’intérieur décrit (…).(Ibid. F°367)
Pierre se retrouve dehors [en interligne : voir la dernière page du plan primitif (Guide Barbet. 41)] et va au Rosaire, allumé. Il y a eu une grande messe de minuit, église pleine, cérémonie éclatante [en interligne : [(]Jésus-Hostie – p. 11. Grand’messe de minuit)]. (Ibid. F°369)
[en interligne : On ne demande pas que des guérisons physiques, mais des guérisons morales. Au fond, toujours le bonheur (M.V. 188).] (Ibid. F°372)
La messe avec le parapluie. (M.V. 106) (Ibid. F°373)
Les premiers chrétiens, avec Guillaume Froment. (Voir son personnage.) (Ibid. F°380)
Devant la Grotte (éb. 10-42) – Nouveaux détails. 80 – Lettres jetées (79). Messes au Rosaire (éb. 88.) La pluie devant la Grotte (éb. 103) – Une messe le matin (106). Toute la Grotte examinée à loisir (107). (…) Le Rosaire pendant un orage (éb. 103). 50 autels dans Lourdes. 2 000 messes par jour (nuit et jour). Toutes les cloches qui sonnent (éb. 132). – (…) Une scène à la Grotte, en hiver, par un grand froid, temps de neige (éb. 114). (…) Conversation avec Lasserre (éb. 188). Pierre songe à son frère Guillaume (Les 3 Villes 18). (Ibid. F°381)
L’église du Rosaire (Guide Barbet, 41). (Ibid. F°382)
Je pose le paysage, j’utilise les notes sur le Gave (207), que je fais revenir de temps à autre. (Ibid. F°384)
On lui apprend à lire, elle est toujours malade et va à Cauterets (pas à la source). (…) Elle refuse tout, sa modestie (…), son désintéressement. (faire que Chassaigne l’aime et la vénère). (Ibid. F°385)
Ils se sont avancés assez loin, le long du Gave (différentes descriptions), et ils se sont même assis. (Ibid. F°387)
Arrivée du père Sempé (…), pendant une indisposition de Peyramale (1866). (Ibid. F°387)
Le montrer, lui, curé fervent de Lourdes, aimant sa paroisse, sa ville, et voulant que la Grotte soit une dépendance de la paroisse (on y viendra en procession, etc.). (Ibid. F°388)
Il voit Pierre fatigué, il le reconduit à l’hôtel où [elle biffé] il exige qu’il dorme quelques heures (de 10 h à 2 heures). (Ibid. F°390)
Puis, du monde rencontré, un prêtre qui a connu Bernadette, l’abbé Pommyan [sic] sans doute, ou le curé de Bartrès (non, il est mort). (Ibid. F°392)
La lutte de Peyramale et des Pères (éb. 95). (Ibid. F°397)
Lasserre ne veut pas que Bernadette ait eu des pensées d’orgueil. On ne l’éloigna pas pour cela (éb. 143). (Ibid. F°397)
Utiliser mon voyage à Argelès (éb. 209.) (Ibid. F°397)
Sur le curé Peyramale, notes données par le frère (éb. 214). (…) Peyramale ne commence son église qu’en [en interligne : sept.] 75 (216). (…) Tout allait à la Basilique (218). (Ibid. F°398)
Détails sur Bernadette (éb. 228). (Ibid. F°398)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (Ibid. F°398)
Le curé Peyramale (Guide Barbet 67). Sur le père Sempé, important (id. 79). Route d’Argelès (G. Barbet 116). Les cloches (G. Barbet 180). (Ibid. F°399)
Retour à l’hôpital de Notre-Dame-des-Douleurs [en interligne : (M.V. 16-55)]. (…) Une fenêtre a pu être ouverte (à côté de Marie) sur la cour. (…) Il n’est resté que Marie, rentrée [de biffé] le matin de la Grotte (elle ne dormira pas, vivra comme en extase). (…) Enfin, Sophie Couteau joue dans un coin (à quoi ?) (Ibid. F°400)
On finit par dire à la sœur qu’il est en bas, dans la salle des ménages [en interligne : (M.V. 61)]. (Ibid. F°403)
Le frère Isidore et sa sœur Marthe (voir les personnages.) Ils iront à la Grotte l’après-midi. M. Sabathier est resté là aussi par besoin de repos. Sa femme (voir les personnages[)].(Ibid. F°403)
Ce qu’on mange [en interligne : [(]M.V. 130)] à l’Hôpital, la vie qu’on y mène. (Ibid. F°406)
Puis dire pourquoi Raymonde est montée. Et surtout sur son mariage avec Gérard. (…) Joie de la mère, et ce qu’elle dit (aux Personnages). Raymonde s’en va. (Ibid. F°406)
Enfin, agonie et mort de Mme Vêtu. Toute son histoire revient (voir aux Personn.) (Ibid. F°407)
En tous cas, y mêler Marie qui (…) vit dans une attente extasiée, Pierre ne doit venir la chercher qu’à trois heures (donc pas de Pierre dans ce chapitre, ce que je préfère.) (Ibid. F°410)
C’est hier que Raymonde doit annoncer à sa mère que le mariage est fait. (Voir les Personn.) (Ibid. F°411)
L’hôpital de N.D.-des-Douleurs (16-55). Salles des ménages (éb. 61). Ce qu’on mange à l’hôpital (éb. 130). L’Hospitalité à l’hôpital (H. de N.–D. du Salut 71). (Ibid. F°414)
Ce jour-là, le lundi, l’affluence [de biffé] fut énorme [en interligne : (M.V. 10. 42. 12.)] à la Grotte. (…) Les cordes tenues. (Préparer la procession.) (Ibid. F°415)
Un [pr biffé] prêtre (?) est dans la chaire (la décrire), et les phrases qu’il clame. (…) Beaucoup dorment à peine (Marie), s’entraînent, en arrivent à une sorte d’hallucination croissante, marchant dans un rêve qui s’exaspère peu à peu. (Ibid. F°416)
M. Sabathier ne sera baigné qu’un peu plus loin (dans le III sans doute), ce qui ne réussira pas d’ailleurs. (Ibid. F°418)
Un religieux à inventer. Celui-ci maigre, grand, terrible (à voir). (Ibid. F°418)
Mme Chaise un peu suffoquée s’assoira, et c’est pour elle qu’il appelle Raymonde (Gérard). (Ibid. F°419)
Mais cette fois, je fais monter en chaire le père Massias. Poser son personnage définitivement (le prendre aux personn.). (Ibid. F°419)
Sa sœur s’aperçoit qu’il est mort (comment), et veut lui fermer les yeux. (…) Alors, comme la foule est énorme et qu’on ne peut pas enlever ce mort, Marthe ne dit rien (de grosses larmes) ; [m biffé] les gens
qui sont là, ne disent rien non plus. (Ibid. F°s420-421)
Les litanies continuent encore, avec le père Massias, de plus en plus exalté. (…) Un cri fou. (M.V. 68). (Ibid. F°421)
Extase du frère, les yeux fixés lui aussi sur la statue, et comment il s’éteindra en la regardant (Ferrand l’a dit). (Ibid. F°424 )
Garder le père Massias pour lui faire hurler des litanies (voir son personn.). (Ibid. F°430)
Devant la Grotte (Eb. 10-42). Excitation au miracle (Eb. 12). Le bureau des Constat. (Eb. 29).
De nouveau dans le bureau des constatations (éb. 230). Sur les constatations, inutiles pour le croyant, insuffisantes pour l’incrédule (232). Les cloches (G. Barbet). (…) L’Hospitalité devant la Grotte (l’H. de N.–D. du S. 54). (Ibid. F°s430-431)
Et alors là [en interligne : revoir la maladie de Marie] donner à Pierre le brusque souvenir de son [cou biffé] petit cousin Beauclair (Fin du pl. 5). (…) Alors il se souvient de ce que lui a dit Beauclair, comment elle peut guérir, et cela ruine en lui le miracle qui approche, qui se réalisera comme le jeune médecin (original) l’a prédit. – (Ibid. F°435)
Alors, je prends la procession de 4 h [en interligne : ([éb. biffé] M.V. 13-49)]. (…) Cette année-là,
après chaque acte de foi [en interligne : Jésus-Hostie (16 à 26 – 40)], d’espérance et d’amour, on a laissé chacun parler en secret au Très-Haut, pendant une minute ou deux. (Ibid. F°s436-437)
Elle [Marie] se soulève (prendre des détails chez Lasserre, Mlle de Fontenay [) biffé], pour la marche du miracle). Enfin, elle se soulève : « Je suis guérie (?) [»] – (Ibid. F°438)
Marie ressort du bureau [en interligne : Un mot des piscines (M.V. 48)], et la foule qui l’attend et qui l’acclame. (Ibid. F°440)
Une description de la Grotte, braisillante dans le jour (?)(Ibid. F°443)
La procession de 4 h (Eb. 13-49). Toutes les piscines reviennent (40 éb.) – (Ibid. F°448)
Pourquoi celui-ci sauvé et pourquoi pas celui-là. Conversation avec Lasserre (éb. 66). (Ibid. F°448)
L’hospitalité aux piscines (H. de N.–D. du Salut 59). La dame qui baigne Marie.
La Vierge laisse Jésus guérir (Jésus–Hostie, p. 16.) Procession de 4 h (J.–H. 17). Les miracles qui se produisent (21). L’aveugle qui voit (26). Une procession par la pluie (J.-H. 32). Une guérison aux piscines, important (36). Encore des pages sur l’émotion de la foule (40). (Ibid. F°s449-450)
Le vaste horizon, reprendre la foule [en interligne : (M.V. 197)], les jardins, le Gave, le château (légendes du Moyen Âge) [en interligne : (M.V. 132)], Lourdes tout entier. (Ibid. F°453)
Alors l’entrée dans la Basilique [en interligne : (M. 122-201, la Crypte et la Basilique)]. (Ibid. F°454)
Il souffre tellement de la voir si belle dans l’église, lorsque les chants commencent (je donnerai la bénédiction à la fin), qu’il ne peut pas rester, et qu’il s’échappe par l’escalier de [l’e biffé] la sacristie : G.B. 29. (Ibid. F°455)
Mais des voix le trou- \\blent. Ce sont les Vigneron [en interligne : le Commandeur (?) (M.V. 198-201)] qui lisent les inscriptions des ex-voto. (Ibid. F°s457-457)
La Crypte et la Basilique (éb. 118). (…) La Basilique encore (éb. 122). Le château (132). Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Inscription dans la crypte (éb. 198). Une page là-dessus (201).
Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Description (Guide Barbet 1 à 10). Encore la Basilique (éb. 201). (Ibid. F°s467-468)
La crypte et la basilique (Guide Barbet 29). Les couvents (Guide Barbet) p. 46. (Ibid. F°469)
Seigneur, je ne suis pas digne que vous entriez dans ma maison, mais dites seulement une parole et mon enfant sera guéri (ou : je serai guéri). (Ibid. F°470)
Sur le cri de vie, l’immense désir qu’ils ont tous de vivre, important (M.V. 68). (Ibid. F°470)
Et j’arrive immédiatement à la rue des Petits-Fossés [en interligne : [(] M.V. 137-139) 175]. (Ibid. F°471)
La crainte de se mettre ouvertement contre les Pères, la crainte d’un scandale religieux. C’est ce qui arrête tout le monde, on [préfère biffé] aime mieux faire le silence (Lasserre). – (…) Plus tard peut-être, si la dévotion diminuait, on ferait revenir le corps (en conversation : Ah ! vous les verriez…) (Ibid. F°473)
Le docteur Chassaigne se sera agenouillé, car il a connu (?) Peyramale, on on [sic] lui en a parlé. (Ibid. F°476)
La crainte de se mettre ouvertement contre les Pères, la crainte d’un scandale religieux. C’est ce qui arrête tout le monde. On préfère faire le silence (Lasserre). – (Ibid. F°481)
Et le rêve de ce prêtre, la cathédrale vaste qu’il a rêvée (d’après la photographie). (Ibid. F°482)
Tout l’argent va à la Grotte. Âpreté du gain (éb. 101). Les Pères menacent de fermer la Grotte (97). La chambre de Bernadette. Tout est parti de là (éb. 137-175). Mettre en regard de cette misère la Grotte flamboyante (139). L’église du curé Peyramale (152) [en interligne : et 171 éb.]. Le tombeau en bas (171). Un tombeau à Bernadette (éb. 242). (Ibid. F°483)
L’église Peyramale (Guide Barbet 87). (Ibid. F°484)
Et laisser entendre que Vigneron avait supplié la Vierge que cet héritage ne lui échappât pas. Elle l’a donc exaucé (naïvement monstrueux.) (Ibid. F°485)
Montrer là le très brave homme [qu’ biffé], le bon chrétien [en interligne : l’abattre à genoux] qu’il est, sous son étourderie. (Prendre à la note. Joie divine, acte de remerciement et de foi ardente.[)] (Ibid. F°488)
Mais la conversation, M. de Guersaint racontant son excursion, décrivant le Gave [en interligne : route d’Argelès M.V. (G.B. 116)], les montagnes, etc., Gavarnie surtout. (Ibid. F°489)
Route d’Argelès (G. Barbet 116). (Ibid. F°490)
Ils ont jusqu’à onze heures (retournera-t-elle à l’Hôpital). (…) La boutique est dans l’hôtel, nommer Appoline (poser les deux). (…) Marie, en ce moment, a trop l’envie de marcher. (Une miraculée qui achètera chez eux). (Ibid. F°491)
On pourrait lui faire acheter une paire de bottines, car elle n’en a pas apportées (pour ne pas se porter malheur). On on [sic] lui en a données à l’Hôpital, le matin. Raymonde (Oui). (…) ([Il biffé] M. de Guersaint a 20 fr. ( La question d’argent avec Pierre, où en est-elle ?) (Ibid. F°492)
Un cocher à béret,
croyant, mais débauché (?) Et j’arrive chez Cazaban. (…) Me débarrasser tout de suite du paiement de la voiture (non c’est fait), mais de l’histoire de l’accident et du retard. (Ibid. F°s493-494)
Mais Pierre devant le Panorama évoque l’ancien Lourdes. Tout le morceau du chap. V de la 1ère journée (pl. 14). (Ibid. F°496)
Et dès lors, la promenade [en interligne : (M.V. 163)] dans le nouveau Lourdes ayant un sens. (…) Ils vont au plateau de la Merlasse (les petites boutiques que loue la ville), ils vont à l’avenue de la Grotte. (Ibid. F°497)
Enfin, ils [arrivent biffé] reviennent chez Majesté. (Après Marie, tu iras à l’Hôpital, pendant que nous déjeunerons (?) [)] Je crois que je dois tout de suite, après avoir posé Appoline (surprise en flirt) [en interligne : seule, puis Mme Majesté], faire procéder à un achat. (…) Son père un souvenir pour lui (le cirque de Gavarnie, dans un porte-plume). Pierre une photographie de Bernadette (plus loin). (…) Et cela m’amène à la laideur [en interligne : (Ensemble sur Lourdes 15) (M.V. 160-170-171)] de toute cette quincaillerie [en interligne : G. Barbet 170-171]. (Ibid. F°498)
Pendant ce temps, Marie achève son choix pour Blanche. M. de Guersaint [se biffé] choisit son porte-plume ([en interligne : ses] 20 fr) – Et Pierre, voyant une photographie de Bernadette la regarde (puis, il l’achètera). (Ibid. F°501)
Appoline est une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). (Ibid. F°501)
Elle ressemble à Bernadette, c’est frappant ! peut dire M. de Guersaint, et Des Hermoises aussi (très bon). (Ibid. F°502)
Appoline sera une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). (Ibid. F°504)
Sur la laideur de toute cette quincaillerie religieuse (Ensemble sur Lourdes 15). (Ibid. F°508)
Les Pères menaçant de fermer la Grotte (éb. 97). Tout l’argent va à la Grotte (101). (Ibid. F°508)
Le diorama et le panorama (éb. 159). Objets religieux (éb. 160). L’ancien Lourdes avec Barbet, etc., (éb. 191) – (…) La vie moderne butte contre les Pyrénées. Stagnation. Idées immobiles (éb. 238). (…) Dalavat. (éb. 97). La ville démoralisée (éb. 98). Revenus de la nouvelle ville (éb. 101). Le nouveau Lourdes, buvettes, mangeaille, etc. (éb. 163[)]. Les gains du nouveau Lourdes (éb. 241[)]. L’ancien Lourdes et le nouveau (G. Barbet 165). Objet de piété (id. 170). Religion (171). (Ibid. F°509)
Le départ du train blanc à 3h40 [en interligne : (M.V. 72)]. Dire que des trains sont déjà partis, et que d’autres suivront ([en interligne : le] gris, le bleu était parti auparavant de Paris ; les autres, le vert, le jaune, le rose, l’orange suivaient). (Ibid. F°510)
Et, tout de suite, comme au chapitre de l’arrivée, je pose l’horloge avec l’heure 3h (40 minutes d’attente). (…) Les brancardiers sont là, mais ils sont surtout dans la cour de la gare (en dire un mot), pour prendre les malades à la descente des voitures. (Ibid. F°510)
Un temps très doux, un temps de demoiselle (à la fin, le soleil paraîtra[)]. (…)
D’autre part, je reprends le chef de gare, qui attend le train de Toulouse (…) et qui est inquiet (c’est ce train que madame Maze prendra[)]. (Ibid. F°s511-512)
Expliquer tout de suite pourquoi Marie et son père ne sont pas avec lui : [et biffé] ils se sont rendus une dernière fois à la grotte, où Marie brûlait de remercier encore la Sainte Vierge ; et lui a réglé à l’hôtel (?) puis est venu directement à la gare. (Ibid. F°512)
Mais elle heureuse, à cause de Raymonde, et de Marie (garder ça pour le IV). (Ibid. F°513)
Le coup d’effarement du personnel, la continuelle bousculade dans la gare, ces jours de grand départ. (Je finirai M. Vigneron plus loin.) (Ibid. F°515)
Ensuite Pierre revient vers les dames hospitalières, et l’épisode de madame Dieulafay, [dans le com biffé] qu’on montera (à la fin) dans le compartiment, près de celui de Raymonde. (Ibid. F°515)
Mme Dieulafay fait un signe pour qu’on la monte le plus tard possible (ou son mari), et elle reste sur le quai. (Ibid. F°516)
Et c’est ainsi qu’il aide à apporter et à monter M. Sabathier (que je n’utiliserai que dans le wagon). L’air calme, patient). (Ibid. F°516)
Et elle [Mme Maze] montre son mari qui l’attend (un profil), elle est ravie de ce regain, de cette aubaine d’amour, et elle croit que la Sainte Vierge [l’exau biffé] l’exauce. – (Ibid. F°517)
C’est là-dedans qu’arrivent la Grivotte, [So biffé] Elise Rouquet, Sophie Couteau (en retard). (Ibid. F°517)
Faire que tous soient sous la marquise, lorsqu’un homme d’[épi biffé] équipe (ou le chef de gare) vient dire [au biffé] à l’abbé Judaine, que le Commandeur vient d’avoir sa troisième attaque (…). (Ibid. F°518)
Si leur eau le guérissait et le faisait vivre encore (tandis que le docteur Chassaigne souhaite de [rev biffé] mourir pour revoir les siens). – (…) Elle guérie, lui qui va mourir : « (…) Vous regretterez de n’être pas partie (le regrette-t-elle lorsqu’elle sait que Pierre n’est pas converti ?) – (…) [»] – (Ibid. F°519)
Le père Fourcade, avec le père Massias (qui part) et le docteur Bonamy causant avec Marie (…). (Ibid. F°520)
La Grivotte, Elise Rouquet, Sophie Couteau montant aussi ; et madame Vincent au dernier moment seulement, pâle, arrivant en se traînant (elle vient d’enterrer Rose ; mais je ne le dirai qu’au chapitre suivant). (Ibid. F°521)
Enfin, le départ, et la joie [en interligne : (M.V. 58-59)] [en interligne : le soleil paraît], le soulagement, l’ébranlement qui continue. (Ibid. F°521)
D’ailleurs, ces messieurs font leur service, transportent les malades, les enfournent dans le train (voir toutes mes notes). (Ibid. F°527)
Mme Vincent, qui a perdu sa fille, et qui ne peut sans doute emporter le corps : on a enterré la petite à midi, et la mère part (ne pas oublier que j’ai le voyage, tout un chapitre, et que je montrerai alors son accablement). (Ibid. F°528)
J’ai Mme Maze qui ne part pas, ravie, folle de joie [en interligne : Je ne pars pas.], son [Marie biffé] mari étant venu la chercher pour la conduire à Luchon (elle croit que la Vierge l’a exaucée.[)] Voir le personnage. – (Ibid. F°529)
La joie du départ (Eb. 58). (M. Faure ataxique / éb. 64). Départ du train (éb. 72). Le départ heureux quand même, excitation qui continue. Des faits importants (éb. 59). (Ibid. F°532)
Elise Rouquet aussi, qui a acheté un miroir et qui ne cesse de s’y regarder (la garder pour tout à l’heure après la Grivotte). (Ibid. F°536)
La matinée de tristesse et de révolte, puis l’espérance qui renaît (elle s’affirmera à la fin). (Ibid. F°537)
N’y a-t-il pas des lupus d’origine nerveuse (voir l’article du Gil Blas). (Ibid. F°540)
Mais si après [avoir biffé] avoir cédé à sa raison, il cédait à sa chair, il était perdu (plac. M, 2e cal) – (…)
C’était le renoncement accepté, voulu, dans la grandeur désolée des existences hors nature. (Pierre voulez-vous m’embrasser, et les deux baisers. Il pleure.) (Ibid. F°s544-545)
Et pas femme mais tout le ferment de la femme. (Quand elle va lui jurer de ne jamais se remarier, on peut se demander si elle tiendra son serment.) (Ibid. F°545)
Paris, elle soulagera sa sœur Blanche (parler de Blanche : Elle va vivre à Paris maintenant[)]. Elle fera quelque chose pour que son enfant de père soit heureux (lui rêve à ses ballons[)] : Autrefois un talent naissant de miniaturiste ; elle fera des miniatures. (Ibid. F°546)
Puis la prière du matin n’est qu’à Châtellerault. (Prière du matin, p. 25 (la prendre à la première journée). (Ibid. F°549)
Puis, voilà que par un miracle, (une secousse que la science explique), voilà qu’elle guérit, qu’elle est femme, qu’elle peut être épouse et mère (…). (Ibid. F°551)
Et il n’aura que la fameuse religion de la souffrance humaine, laisser croire les humbles, des dévots (Marie) puisqu’il y a là pour eux une consolation. (Ibid. F°554)
Dans le compartiment de frère Isidore, il n’y a plus que Marthe sa sœur et la Grivotte, je crois ; à moins qu’elle ne soit avec les Sabathier (à voir). (Ibid. F°557)
Mêler Blanche aux projets d’avenir de Marie, pour que la figure ne disparaisse pas (personn. de Marie.) Devant la Grotte, Marie [va biffé] a demandé la foi pour Pierre (son personn.) (Ibid. F°561)
Lourdes ancien et Lourdes nouveau (Ensemble sur Lourdes 14). (Ibid. F°563)
Conversation avec Lasserre (éb. 65). (Ibid. F°564)
Tenir compte de ceux qui viennent dans le but de demander la conversion de quelqu’un, etc., dans un but moral. Et le bien spirituel qu’on en tire (éb. 188). (Ibid. F°565)
Religion de la souffrance humaine (Les 3 Villes, 1). [en interligne : Pierre songe à son frère (Les 3 Villes, 18).] (Ibid. F°566)
Nouveau Lourdes, désordres moraux et intellectuels (Lourdes 241). (Ibid. F°567)
Fureur de Satan et de la Révolution contre la Vierge (Jésus-Hostie 58). (…) Cette exaltation de la femme, en dehors de la nature (l’immaculée conception), lorsque jamais la femme n’est plus grande que lorsqu’elle est épouse et mère. (…) Lourdes est la cité privilégiée de Marie (59). (Ibid. F°567)
La lecture finit avant d’arriver à Etampes (140). Là on lit le 3e chapitre, le mystère glorieux (p. 154). (Ibid. F°580)
Et Pierre, pendant qu’on se rapproche de Paris où l’on sera à 3h10 (une heure et demi encore) tombe dans une profonde rêverie. (Ibid. F°580)
Il a dit quelque part qu’il suffisait [d’aimer biffé] de pleurer et d’aimer. Non, il faut agir (pour tout à l’heure). (…) Mais est-ce possible (pour tout à l’heure) – (Ibid. F°582)
Tout ce qui a empêché (réveil de la foi chez Pierre (éb. 16) [)].(Ibid. F°584)
Et ce que répond
le docteur Il n’y a que l’amour qui est la toute puissance de la vie, l’unique bien à reconquérir, quand on [l’a biffé] l’a perdu (voir si cela ne peut pas servir plus loin, au moment des scrupules). (Ibid. F°s584-585)
Rien que la science ne semble pas devoir suffire, et il semble nécessaire de laisser une porte ouverte sur le mystère (donc une religion nouvelle, plus loin). L’humanité y est toujours revenue. (Dans Rome, [cet biffé] cela l’amènera à chercher un accommodement entre le catholicisme, la science et la démocratie.[)] (…) C’est aussi le besoin inextinguible du bonheur. (L’humanité est une grande malade, abandonnée par [l’a biffé] la science, qui s’adresse au miracle de Dieu. –[)] (…)
La suite dans Vue d’ensemble sur Lourdes (II). (Ibid. F°s586-587)
La consolation, l’espoir que le catholicisme a apporté au monde semble épuisé (Ah ! si vous ameniez les ouvriers. Je vais y revenir.) (…) Le peuple se détourne [en interligne : plus dans les églises, la pacotille de Lourdes], il veut un idéal plus humain, une illusion plus immédiate. (Toute ma conclusion dans Rome et dans Paris sera là. – [)] (Ibid. F°587)
Pierre songe à son frère (les 3 Villes 18). (…) (Comme il était bon, comme il avait l’esprit droit) – La comparaison des anarchistes et des premiers chrétiens (Ensemble sur Lourdes 12). (Ibid. F°588)
La pitié de la souffrance ne suffit pas. Que trouvera-t-on (Et « Rome » posé). (Ibid. F°588)
Interrompre là. On est à Juvisy près de Paris, à 2.40 (Le 2e Deum, p. 108) – (Ibid. F°589)
De même qu’un de mes personnages (incroyant autrefois), M. Sabathier par exemple, abandonné des médecins, finit par s’adresser à Lourdes avec ferveur, de même
l’humanité (…) se croit abandonné des médecins (des savants) et retourne en arrière, au mysticisme, à Lourdes. (Ibid. F°589-590)
Et finir avec Marie et Pierre : celui-ci admettant le besoin de l’au-delà (sujet de Rome). (Ibid. F°595)
Relire tout ce que Lasserre m’a dit de Bernadette (éb. 145). Le frère de Bernadette (éb. 188). Nevers et Bernadette (éb. 226). Bernadette à Nevers (Lasserre 37 et suivantes.) (Ibid. F°596)
Ruffec – 2.57 – 3.3 [(Ave, ave Maria) (…)] (Ibid. F°599)
Riscle – 12.41 – 1 (matin) – Silence. (Ibid. F°599)
Puis, (…) la mère avec sa petite fille sur elle [en interligne : (à l’abri)]. (Ibid. F°601)
Les voitures d’à côté, l’hydrocéphale [en interligne : (particulier)], le petit scrofuleux [en interligne : avec sa famille (hôtel)] et la malade au cancer. (…) La dame très affligée (sœurs bleues.) – l’homme qu’on soigne. (Ibid. F°601)
Tout Bartrès, et les apparitions, (sans les persécutions), et les miracles [en interligne : le monde entier roulant]. (Ibid. F°601)
Je pose mes deux brancardiers, ma dame hospitalière et sa fille (mariage qui s’ébauche[)]. (…) La mère et sa fille ne sachant où aller (abri). (Ibid. F°602)

Pierre Froment (30 ans). [Jacques biffé] Guillaume Froment (40 ans). (…) Marie de Guersaint (23 ans). M. de Guersaint (55 ans) architecte. Blanche (25 ans) [illisible]. Mme Vincent (32 ans) ouvrière. La petite Rose (7 ans). M. Sabathier (48 ans) professeur. Mme Sabathier (40 ans). Frère Isidore (28 ans). Marthe (sa sœur) (30 ans). La Grivotte (34 ans) matelassière. Mme Dieulafay (25 ans). M. Dieulafay (35 ans) banquier. Mme [Vigneron biffé] Jousseur (30 ans). Mme Vêtu (35 ans) [ mot illisible biffé] horlogère. Mlle Elise Rouquet (25 ans) bonne. Sophie Couteau (14 ans) paysanne. L’homme (35 ans). M. Vigneron (50 ans) [illisible]. Mme Vigneron (45 ans). Gustave Vigneron (15 ans). Mme Chaise (60 ans). Mme Maze (39 ans). Chassaigne [Beauclair biffé]. (…) Le docteur Bonamy (45 ans). Raboin (32 ans). Mme de la Jonquière (45 ans). Mlle Raymonde de la J. (23 ans). Mme Volmar (35 ans). Mme Desagneaux (27 ans). Berthaud (40 ans). Gérard de Peyralongue (28 ans). (…) Le Baron Suire (60 ans). Sœur Saint-François (40 ans). Sœur Hyacinthe (25 ans). Ferrand (27 ans). L’abbé Judaine (50 ans). L’abbé Des Hermoises (38 ans). Le père Fourcade (60 ans). Le père Massias (38 ans). Le père Capdebarthe (55 ans). Le père Dargelin (50 ans). Majesté (45 ans). Appoline (24 ans). Cazaban (40 ans). Le Commandeur (60 ans). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche, Fo 2 – Notes sur les Personnages)
Il aura maté la chair [en interligne : la passion] (en renonçant à Marie). (Ibid., Fo 4 – Notes sur Pierre Froment)
Donc sa mère a eu la suprême joie de lui entendre dire sa première messe (à l’église de Neuilly), et elle meurt. (Ibid., Fo 9 – Notes sur Pierre Froment)
Pierre a retrouvé Marie. Mais la ruine est arrivée (voir cela au personnage de Marie). (Ibid., Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)
Et s’il finit par vaincre sa répugnance et y aller, c’est (…) avec le sourd espoir d’être converti (le sourd ferment religieux laissé par sa mère en lui). (Ibid., Fo 15 – Notes sur Pierre Froment)
(Pourquoi, d’autre part, être un homme, puisque Marie n’est pas femme). (Ibid., Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Une jeune femme mariée depuis deux ans à un très riche (…) banquier de Paris (…) (la maison Dieulafay). (Ibid., Fo 41 – Notes sur Mme Dieulafay)
Pourtant, ne pouvoir rien conclure, puisqu’il y a des plaies apparentes de source nerveuse, d’après Charcot. (La foi qui guérit). (Ibid., Fo 48 – Notes sur Elise Rouquet)
Une bonne bourgeoise aussi, dont le mari a été dans le commerce (les soies) (…). (Ibid., Fo 59 – Notes sur Mme Chaise)
Il perd sa femme à Cauterets, au lendemain de l’arrivée (utiliser mes notes du Mont-Dore) (…). – Sa fille lui reste, dévote, pratiquant ; et comment elle meurt à Lourdes (voir le médecin du journal de Lourdes). (…) Il reste près du tombeau de sa fille et de sa femme (il a pu faire revenir le corps de sa femme [)]. (Ibid., Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Homme de bon sens et pourquoi il fait le mariage, les bonnes raisons de Gérard (voir à ce Personnage). (Ibid., Fo 80 – Notes sur Berthaud)
Et sa joie en retrouvant sœur Hycinthe. Tout le récit de leur passé. (chap. III.- (Ibid., Fo 90 – Notes sur Ferrand)
Le père Fourcade l’aime beaucoup, et c’est sur son épaule qu’il s’appuie, à cause de sa goutte (dont la vierge ne le guérit pas[)]. (Ibid., Fo 93 – Notes sur le père Massias)
Pour quelque chose dans la [conversion biffé] guérison de Marie, Pierre l’aura mis en rapport avec lui, au débarquement (Seconde Partie, cha. I). (Ibid., Fo 98 – Notes sur le père Massias)
D’autre part, beaucoup d’autres tournant autour d’elle, la boutique très achalandée (c’est pourquoi Majesté ferme les yeux). (Ibid., Fo 104 – Notes sur Appoline)
On ne le connaît que sous le nom de Commandeur, soit que [je biffé] ce fût son nom (oui) soit qu’il fût
commandeur de quelque chose. (Ibid., Fos 112-113 – Notes sur le Commandeur)
« Buvez, vous guérirez. – Oui, si je buvais, je guérirais (?), mais je ne veux pas boire.[»] (Ibid., Fo 114 – Notes sur le Commandeur)
J’entre alors dans les erreurs de tous les médecins qui la voient (les erreurs et les contradictions). (…) Seul, le grand médecin voit clair (…), son diagnostic : les ligaments se sont réparés (après la chute) (…). (…)
Il l’examine, la palpe seulement et s’aperçoit que ce n’est pas la matrice (je dirai toujours l’organe) qui continue à être malade. (…) Ensuite, il mesure son champ visuel, qui, chez les hystériques, se trouve rétréci (un doigt à gauche et un doigt à droite). (Ibid., Fos 117-118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Presque tous les autres médecins ont
pu croire à une paralysie venant de la moelle (elle ne remue plus, au lit). D’autres ont pensé à une rupture des ligaments larges qui suspendent la matrice (l’organe). (Ibid., Fos 118-119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Tuberculose des entrailles et du péritoine. (Tuberculose des ganglions mésentériques). (…) Paroi abdominale unie aux intestins affaissés, (…) fièvre à redoublement vespéral (le soir) (…). – (Ibid., Fo 122 – Notes sur la maladie de la petite Rose Vincent)
Douleurs très vives, disparaissant avec la rapidité de l’éclair, plusieurs fois par mois (aux variations de température). (Ibid. Fo 123 – Notes sur la maladie de M. Sabathier)
Un ictère (jaunisse) qui persiste. (Ibid. Fo 125 – Notes sur la maladie de Frère Isidore)
D’abord, petite toux sèche (vers la puberté) augmentant le soir (Ibid. Fo 126 – Notes sur la maladie de la Grivotte)
Ostéomalacie. (…) Cause peu connue, très rare chez l’homme ; chez la femme de 30 à 50 ans ; après [les biffé] une grossesse. (l’enfant sera mort.) (Ibid. Fo 127 – Notes sur la maladie de Madame Dieulafay)
Là est un inconnu que la science épelle à peine (la nutrition, les modifications qui peuvent lui être apportées). – (Ibid. Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
Quelquefois dévorant (vorax), le plus souvent lent. – (Ibid. Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
Puis engorgement [lymphatique biffé] des ganglions lymphatiques du col. (écrouelles) (Ibid. Fo 129 – Notes sur la maladie de Gustave Vigneron)
Judaine le supplie de boire de l’eau de Lourdes, et il refuse du geste, de la main droite (la gauche est paralysée). (Ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
Dès que la fontaine a jailli (le 25 février), les pèlerins arrivent par milliers, pour boire et se laver. (Ibid. Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)
Le miracle du cierge (5)) (Ibid. Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous) \\Louis Bouriette, rendu borgne par un accident (œil droit), recouvre la vue. Carrier. Coup de mine (125). (Ibid. Fo 134 – Notes sur les Miracles)
Un enfant de 5 ans, moelle épinière atteinte, paralysie des jambes (logement insalubre). (Ibid. Fo 134 – Notes sur les Miracles)
Une [femme biffé] fille de [30 ans biffé] 14 ans. (…) (180) (Ibid. Fo 135 – Notes sur les Miracles)
Caroline Esserteau, 32 ans. (…) (196) (Ibid. Fo 136 – Notes sur les Miracles)
Philomène Simonneau. (…)
Pour la première fois depuis cinq ans, elle s’agenouille. (233) Retour au village (Chambreteau [)]. (Ibid. Fos 138-139 – Notes sur les Miracles)
Marguerite Bobe, très faible, paralysie. (…) Fait des kilomètres etc. (255). (Ibid. Fo 140 – Notes sur les Miracles)
Rosine Ollivier. (…) Elle reste un
quart d’heure dans l’eau. Et en sort guérie. (Prendre les détails intéressants 27). (Ibid. Fos 141-142 – Notes sur les Miracles)
Mme Ancelin 59 ans (280). (…) Le lendemain revient, ose parler de sa guérison (284). (Ibid. Fo 142 – Notes sur les Miracles)
La baronne de [Bois biffé] Lamberterie. (…) Tympanite. Neuvaine (290). (Ibid. Fo 142 – Notes sur les Miracles)
Aurélie Bruneau, sourde-muette de naissance. [A biffé] Son amie Constance guérie, mais elle non. Neuvaine. Récit de la guérison (300). (Ibid. Fo 143 – Notes sur les Miracles)
L’idée de Dieu est l’idée de l’infini (parole de pasteur). (Ibid. Fo 145 – Notes sur Boissarie)
L’inscription sur la plaque de marbre donnant les dates et tout des apparitions (36). (Ibid. Fo 146 – Notes sur Boissarie)
Sur Dozous, (un serin) 48. (Ibid. Fo 147 – Notes sur Boissarie)
Comparaison avec Jeanne d’Arc (93). (Ibid. Fo 147 – Notes sur Boissarie)
L’enfant s’endort, et au réveil plaie complètement guérie (pour Rose). (Ibid. Fo 148 – Notes sur les Miracles)
Bourriette (dans Dozous), [yeux biffé] œil perdu depuis 20 ans, recouvré. (Ibid. Fo 148 – Notes sur les Miracles)
Et l’enfant voit l’enflure s’affaisser et la peau reprendre (120). (Ibid. Fo 149 – Notes sur les Miracles)
Mme de la Rivière, tubercules dans les poumons, depuis plusieurs années. (…) Trois jours après, plus rien (p. 153.) (Ibid. Fo 152 – Notes sur les Miracles)
Macary. (…) Infirmité perpétuelle (156). (Ibid. Fo 152 – Notes sur les Miracles)
Un officier de turcos sent qu’à Sedan la bonté de N.D. de Lourdes l’a protégé
et sauvé (163). (Ibid. Fos 153-154 – Notes sur les Miracles)
Mlle Charton, affection de la colonne vertébrale. (…) Sa gibbosité a disparu instantanément (tous ceux qui l’ont soignée, Nelaton, Piorys, Bouvier, Corret, béquilles, moxas, cautères, badigeonnages iodurés [)].(Ibid. Fo 154 – Notes sur les Miracles)
Phtisie, dernier degré. (…) Quatre cuillerées de l’eau de Lourdes, et guérie (191). (Ibid. Fo 155 – Notes sur les Miracles)
Le récit de Pierre de Rudder. (…) (196) – (Ibid. Fo 155 – Notes sur les Miracles)
Lucie, érysipèles répétés. (…) Devant la grotte, un verre d’eau versé sur la plaie (204). (Ibid. Fo 156 – Notes sur les Miracles)
Elle jette un cri : – Vous êtes malade, demande une voisine – Non ! (le premier mot depuis 45 ans [)]. (Ibid. Fo 160 – Notes sur les Miracles)
Que de matériaux accumulés dans les Annales de Lourdes (depuis 1868) (…). (Ibid. Fo 160 – Notes sur les Miracles)
Mais les guérisons de carie, d’ulcères, de lésions matérielles (tubercules), inexplicables. (Ibid. Fo 161 – Notes sur les Miracles)
Les médecins qui ont constaté, les témoins. Dozous d’abord, dès la 3e apparition. Vergez (de l’école de Montpellier) et d’autres. Il les nomme tous (255). (Ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
Feu de la discussion, opinions qui se croisent, de Saint-Maclou écarte impitoyablement les maladies nerveuses (il sent que là est le faible). (Ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
La jeune fille ne fut pas guérie, mais quitta Lourdes plus confiante en l’avenir (?) (Ibid. Fo 163 – Notes sur les Miracles)
Si une guérison se produit, on cherche immédiatement le dossier. (Près de mille malades). (Ibid. Fo 164 – Notes sur les Miracles)
Prenez ces esquisses, les premières notes, comme
une première impression. Ensuite, on peut étudier, et des cas ont été étudiés (?) (273). (Ibid. Fos 164-165 – Notes sur les Miracles)
Une commission d’enquête : toutes les hypothèses discutées (283). (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Des malades que leurs certificats disent au 3e degré de la phtisie, et qui accuse à peine les traces d’une congestion légère, (après le miracle). – Diagnostic presque certain. A l’auscultation, les ravages décrits (305). (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Sœur Julienne (…). (…)
Le diagnostic certain (315). Le départ très difficile, un compartiment réservé, de 1ère classe. Mourante (318). (Ibid. Fos 166-167 – Notes sur les Miracles)
Phtisie guérie à Lourdes, toute une liste. Deux verres d’eau, guérie (phtisique au second degré) – (Ibid. Fo 168 – Notes sur les Miracles)
Il [Lasserre] goutte l’eau. Et à peine ses lèvres l’ont-elles touchée que la vue lui est revenue tout d’un coup, comme un coup de fusil. (375) (Ibid. Fo 171 – Notes sur les Miracles)
La guérie malgré elle. (393) (Ibid. Fo 172 – Notes sur les Miracles)
Pauvre femme (…) qui recouvre santé, force, jeunesse (412). (Ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Mme Vincent. Sophie Druon (enfant) (Ibid. Fo 175– Notes sur les Miracles)
frère Isidore (Marthe) Sœur Dorothée (Ibid. Fo 175 – Notes sur les Miracles)
Marie (Pierre) (Ibid. Fo 175 – Notes sur les Miracles)
(Louis Bouriette (Dozous, 125) Carrier borgne, retrouve la vue. ( Antoinette Thardivail (Dozous, 123) avec la Veuve Rizan. (Caroline Esserteau (Dozous 196) (…) Sophie Druon (Dozous 220). Rosine Ollivier, détail des piscines intéress. (D. 20) Veuve Rizan (120) [en interligne : Boissarie] très important. Macary, avec Bouriette (B./21 (156)) (…) Joachime Dehaut [sic], pied-bot, ulcère (25) import. L’histoire de l’aiguille. (Boissarie / 283 [en interligne : Boissarie]) Sœur Julienne, phtisique (Boissarie 35-311) Philomène Simonneau (D. 7) [en interligne : pas à Lourdes] jambe scrofuleuse. Philippe de Rudder, jambe cassée par un arbre (19-24). (Ibid. Fo 176 – Notes sur les Miracles)
Enfants ( – Enfant de 2 ans dans la piscine, n’a jamais marché (17). Autre enfant, le cou (17) –(Ibid. Fo 177 – Notes sur les Miracles)
Le retour au village, les cloches sonnent (D. 8) – (Ibid. Fo 178 – Notes sur Dozous 7-12)
La pauvre malade expédiée par la Salpetrière (…) et guérie en 3 jours (B. 42-412). (Ibid. Fo 178 – Notes sur Dozous 7-12)
Il y a aussi, là-dessous, des bassins, des urinoirs (porcelaine, caoutchouc). (Ibid. Fo 182 – Notes sur le Départ de Paris)
Enfin, il y a l’installation des malades eux-mêmes (…) (il y a de petites vitres au-dessus des bancs, comme dans les premières). (Ibid. Fo 183 – Notes sur le Départ de Paris)
Le docteur ne comprend pas ; et j’aurai ainsi mon lupus, une guérison que la science ne comprendra pas (la médecine, non une science, mais un art, à développer). (Ibid. Fo 187 – Notes sur le Départ de Paris)
L’odeur infecte qui règne parfois dans les wagons, avec la chaleur (les cancéreux, les malades de l’estomac, les déjections et les besoins). (Ibid. Fo 189 – Notes sur le Départ de Paris)
Et là retrouver, suivre, étudier et peindre ce duel incessant entre la science et le besoin de surnaturel :
des médecins qui nient les miracles, d’autres qui les affirment ; des guérisons enregistrées de bonne foi (?) par milliers (…). (Ibid. Fos 208-209 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
(Les conditions du miracle à étudier : la vision dans un creux bien petit,
l’endroit [sing biffé] choisi singulièrement.) Et plus tard suivre Bernadette : on l’a fait disparaître, pourquoi ? Elle est morte religieuse, dans un couvent de Nevers. [(] De quoi ?) – (Ibid. Fos 210-211 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Portrait [du P biffé] du curé Peyramale (53). (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de Bernadette en extase ([illisible]) – (…) Le secret à Bernadette (11). (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Louis Bourriette œil blessé guéri (131). (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Le miracle de l’enfant de Jean Bouhohorts (163). Plongé eau glacée. Sourd qui entend. Boiteux qui marchent. [Illisible] guéris (18). (…) Jacomet va enlever les objets de la Gr (p. 233). (Ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
On enclot la G. On défend de prendre
de l’eau. (Impopulaire, un peu odieux. Et le besoin d’illusion doit l’emporter quand même, tout balayer pour le besoin du surnaturel. (…) L’espoir apporté à l’humanité souffrante.) (Ibid. Fos 224-225 – Notes sur H. Lasserre)
Malgré les amendes (des procès faits) les populations franchissaient les barrières. (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Enfin Laurence finit par céder (28 juillet, rend une ordonnance, demande l’enquête, commission instituée [)]. (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Lourdes paroisse. Toutes les cloches sonnaient (445). (…) Et prendre la fin aux notes de Lasserre (27). (Ibid. Fo 227 – Notes sur H. Lasserre)
Même avant le chemin de foi, tous ceux qui allaient aux eaux (Cauterets, Luchon, Barèges) passaient par Lourdes, s’ar- \\rêtaient à l’Hôtel de la Poste. (…) Pas la sous-préfecture (à Argelès) mais le Tribunal de 1ère instance (…). (Ibid. Fos 228-229 – Notes sur H. Lasserre)
Congrégation des Enfants de Marie, pour les jeunes filles, très pure (7). Grande dévotion à la Vierge dans le pays. (Ibid. Fo 229 – Notes sur H. Lasserre)
On l’appelait Grotte de Massabielle (vieux rochers). (Ibid. Fo 231 – Notes sur H. Lasserre)
Le 11 février (1858), le jeudi gras. (Ibid. Fo 231 – Notes sur H. Lasserre)
Ne savait ni lire ni écrire. Rien
que le patois pyrénéen. Pas même le catéchisme (?) (Ibid. Fos 231-232 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] toussait. (…) La mère lui fait prendre aussi son capulet (blanc). (Ibid. Fo 232 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre dit qu’elle [Bernadette] ôtait ses bas, lorsque le premier coup de vent a lieu (rien ne bouge). (Ibid. Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
Toute la description de l’apparition (26). (Ibid. Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette se transfigure, l’apparition se produit. Alors, elle l’asperge d’eau bénite (35). (…) L’apparition ne veut pas écrire : elle parle. (C’est la 3ème apparition.) (Ibid. Fo 234 – Notes sur H. Lasserre)
Caractères scientifiques de la vision (?) – (Ibid. Fo 235 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de l’abbé Peyramale (53). (Ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
Enfin la persécution arrive. L’autorité civile se préoccupant, et va agir. (…) (Le besoin du surnaturel). (Ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
Les yeux fixes et bienheureux [Bernadette]. Le pouls régulier, comme à l’ordinaire (docteur Dozous). (Ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
On emmène Bernadette chez le commissaire de police. Premier interrogatoire (73). (Ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] n’y va pas le matin, mais à midi, une force s’empare d’elle et l’y pousse (22 février) (85). (Ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
Quel secret pouvait-il y avoir entre Bernadette et la Vierge. – L’épreuve terrible qui allait assaillir son humilité, plus tard, les grands inclinés, très important (97). (Ibid. Fo 238 – Notes sur H. Lasserre)
Alors visite de Bernadette à l’abbé Peyramale, pour lui répéter ce que la Vierge lui a dit (100) – (Ibid. Fo 239 – Notes sur H. Lasserre)
M. Estrade, le receveur des contributions (…). Il va assister à l’apparition. Son récit (107). Vers le lever du soleil (en février). Bernadette arrive. A voir le ravissement de Bernadette, il croit, il se convertit (contagion). (Ibid. Fo 239 – Notes sur H. Lasserre)
Elle sourit à la demande de faire fleurir l’églantier, et demande de faire pénitence et de monter au fond de la grotte : sens symbolique (112). (Ibid. Fo 240 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] but et se lava, et mangea de [la biffé] l’herbe (de la Dorine, de la famille des saxifragées.) (Ibid. Fo 241– Notes sur H. Lasserre)
26 février 1858, vendredi de la 1ère semaine de Carême, fête de la Sainte Lance et des Clous de Notre-Seigneur (127). (Ibid. Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
Louis Bourriette guéri de son œil blessé (131). (Ibid. Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
On organise un réservoir à la source (135). (Ibid. Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
Ce jour-là aussi, Bernadette appelée dans la Chambre du Tribunal (138). (Ibid. Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
L’abbé Peyramale au fond convaincu par la source (pourquoi la source et pas l’églantier). (…) Portrait de Mgr Laurence. (…) Saint Thomas, comme l’appelle Lasserre. Il refuse même l’enquête (que de phrases dans Lasserre, pour l’en excuser !) (…) Attendre que les événements lui forçassent la main (150). (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
L’explication symbolique de l’eau bue et de l’herbe mangée (165). (Ibid. Fo 244 – Notes sur H. Lasserre)
Encore un miracle, l’enfant de Jean Bouhohorts (167). La mère va le plonger dans l’eau glacée (en mars). (Ibid. Fo 244 – Notes sur H. Lasserre)
Des guéris. Louis Bourriette, (…) Auguste Bordes (181). Blaisette Soupenne, Benoîte Cazeaux (184). (Ibid. Fo 245 – Notes sur H. Lasserre)
M. Rouland, ministre de l’instruction publique (192). Lutte du Préfet et de l’Evêque. (Ibid. Fo 245 – Notes sur H. Lasserre)
Le miracle du cierge (198). (Ibid. Fo 245 – Notes sur H. Lasserre)
D’autres filles eurent, à la Grotte, la même vision. Contagion (200). (Ibid. Fo 246 – Notes sur H. Lasserre)
Le 4 mai discours du préfet (222). (Ibid. Fo 247 – Notes sur H. Lasserre)
Jacomet va enlever les objets de la grotte. Une fille loue une charrette. [en interligne : (p. 233)] (Ibid. Fo 247 – Notes sur H. Lasserre)
Un cas d’enfant (241). Examen clinique de l’eau (250). (Ibid. Fo 247 – Notes sur H. Lasserre)
Encore une guérison (252). (…) Mais elle demande à la Vierge de ne pas accoucher devant le monde et la Vierge lui donne la force de rentrer chez elle (3 lieues). (Ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
Autre guérison (258). (Ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
On dresse des procès verbaux. (Tout cela impopulaire évidemment, un peu odieux. Et le besoin d’illusion devant l’emporter quand même, tout balayer par le besoin de surnaturel, de la croyance à la guérison par une puissance supérieure). (…)
L’évêque se tient coi. Plus tard, débordé, il laissera faire pour le triomphe de la religion. (280) (Ibid. Fos 248-248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Mgr Laurence ne croyait pas encore (Lasserre s’en étonne.) 288 – (Ibid. Fo 248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Liste de malades guéris (303). (Ibid. Fo 250 – Notes sur H. Lasserre)
Alors Mgr Laurence finit par céder. Le 28 juillet il rendit une ordonnance (307). (Ibid. Fo 250 – Notes sur H. Lasserre)
Les enfants visionnaires (314). (Ibid. Fo 250 – Notes sur H. Lasserre)
Prévost-Paradol, un article (334). (Ibid. Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)
Un enfant qui voit la Sainte Vierge (347). Lasserre mêle les miracles à son récit. Autre (348). Autre (347). (Ibid. Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)
Il [Napoléon III] [se biffé] recevait aussi des pétitions (345). (Ibid. Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)
Le 17 novembre 58, la commission épiscopale se rend à Lourdes, et interroge B. (360). (…) Deux nouveaux miracles (365) – (Ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre)
Un accouchement (379). (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
e rapport de la commission (390). (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
Alors mandement de l’évêque (393). (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre raconte la guérison de ses yeux (407) 1862. – (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
La promenade créée. Et la basilique (441). (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
Lourdes paroisse. Toutes les cloches sonnaient (445). (Ibid. Fo 254 – Notes sur H. Lasserre)
Le cri de souffrance qui est en moi, le mettre (c’est tout le livre 4). Le triomphe de Lasserre, Dieu disant à la goutte d’eau de marcher (Bernadette) et la goutte d’eau emportant tout. (…) Le désir de guérir guérissant, [l’en biffé] la soif du miracle (pour protester contre la vie dure) faisait le miracle. (Ibid. Fo 255 – Notes sur H. Lasserre)
L’abbé Peyramale, guéri, vit encore (en 1869) – (Ibid. Fo 255 – Notes sur H. Lasserre)
Bref du pape Pie IX (255). (Ibid. Fo 258– Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] s’est cloîtrée pour obéir à une vocation (?) et aussi pour fuir les foules. (Ibid. Fo 259 – Notes sur H. Lasserre)
Dupanloup va la voir [Bernadette] et pleure (au couvent de Saint-Gildard). (Ibid. Fo 260 – Notes sur H. Lasserre)
Conversation avec une
enfant (303) [Bernadette]. (…) Petite, d’apparence chétive (28 ans). (…) (Elle aurait dû vivre.) (Ibid. Fos 260-261 – Notes sur H. Lasserre)
Tapis, brode des aubes, elle [Bernadette] [sculptait biffé] gravait sur des œufs de Pâques (312). (Ibid. Fo 262 – Notes sur H. Lasserre)
– Voulez-vous nous suivre ? – Non. Mais comme je le voudrais, si j’étais petit oiseau (323). (…) Pour elle [Bernadette], la souffrance et l’oubli au fond d’un cloître (325). (Ibid. Fo 263 – Notes sur H. Lasserre)
Il me semble que j’étais née pour agir, pour me remuer, pour être toujours en mouvement, et le Seigneur me veut immobile. – Paroles très graves que lui prête Lasserre (327). (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
(Lasserre dit que Dieu a béni son livre, parce que son livre s’est beaucoup vendu [)]. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Un rayon, partant du Saint-Ciboire, allant se rejoindre à cette auréole. – La personne était B. (338). (Ibid. Fo 265 – Notes sur H. Lasserre)
Un bref de Pie IX au curé Marie-Dominique Peyramale (3 mars 74). (Ibid. Fo 265 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] a demandé pardon à tous (360) – (Ibid. Fo 268 – Notes sur H. Lasserre)
Le mercredi de Pâques 16 avril 79. Son agonie (379). (Ibid. Fo 269 – Notes sur H. Lasserre)
B. morte, dans son cercueil, exposée, important (375) – (Ibid. Fo 269 – Notes sur H. Lasserre)
Un miracle (407). (Ibid. Fo 270 – Notes sur H. Lasserre)
Un autre (408). (Ibid. Fo 270 – Notes sur H. Lasserre)
Il fallait que Bernadette restât ce « jardin fermé » ((…) IV. 12.[)] qui plaît tant aux regards de l’Epoux. (Ibid. Fo 270 – Notes sur H. Lasserre)
A 18 ans, bien portante (en 1865). (Ibid. Fo 271 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Elle hésitait par scrupule, ne se voyant pas assez sainte, ne demandant qu’une demi guérison (200). Après une neuvaine, elle marche (n’y aurait-il pas là l’effet résultant des cautérisations ?) (…) (205). (…) Une violente bronchite se déclare à Montpellier (la piscine sans doute). (…)
La messe chez elle, qu’elle voit par un jeu de glaces (219). (Ibid. Fos 273-274 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Elle assiste dans la crypte à une messe d’action de grâce, dite par l’abbé de Musy, miraculé (8h. et demie). (Ibid. Fo 275 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Les fourmillements s’arrêtent (254). – (Ibid. Fo 276 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Il [son père] vient s’agenouiller près d’elle (…) (275). (Ibid. Fo 277 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Roman (plein cintre[)] – (Ibid. Fo 282 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Le P. Sempé s’est emparé par ruse de cette ferme magnifique où les dons affluaient (Pauvre et triste résidence de Garaison). Au travers de son évêque (Mgr Laurence), exploite la maladie du curé, obtient la direction de la grotte. (…) Influence sur l’évêque Jourdan, qui après son discours (quelques mois plus tard) (…) envoie une lettre qui mettait l’église en interdit – (…) on avait arrêté les dons (…) au moyen de circulaire secrète (le budget de recette était de 800 000 fr. à la Grotte), Sempé disant : Nous sommes criblés de dettes. (…)
Il [Peyramale] attaque la Basilique : mal placée, mal conçue (a coûté 4 millions). (…) Il estime à 400 000 fr. l’argent détourné (c’est beaucoup). (Ibid. Fos 283-284 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
C’est Sempé qui avait changé la date du 3 avril [en interligne : miracle du cierge] (lundi de Pâques) pour celle du 7 avril, mercredi. (Ibid. Fo 285 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Contre (…) Bernadette et Peyramale, conspiration du silence. (Leur image nulle part à Rome[)]. (Ibid. Fo 286 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Le jour de la 1ère procession à la Grotte. 4 avril 64, partie de l’église paroissiale (60 mille personnes). (…) Et le conseil municipal soutenait Peyramale. Cent mille fr. volés, [illisible] l’époque du paiement (gros d’ennuis). (Ibid. Fo 287 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Mort du curé, de chagrin (9 sept. 77). (…) Qu’on se préoccupe de payer les dettes que dans un intérêt purement paroissial, Mgr Peyramale a contractées à notre nom et en son nom personnel (Mgr Jourdan). (Ibid. Fo 288 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

La vérité, qui est le but de la science et qui prépare la justice. Fonde la patrie (?) La justice, qui réunit l’humanité, la rassemble, la ramène à la famille unique (?) (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 348/1)
(Les quatre sujets d’ailleurs se pénètrent, la fécondité ne va pas sans le travail, qui ne va pas sans la science, qui entraîne la justice) (Ibid., 348/1)
les travaux de la terre surtout pittoresques, vendanges, moissons, etc. (et ma « Terre »). Enfin arriver à constituer la cité par le travail (?) (Ibid., f° 350/3)
J’en ferai bien un jeune architecte (constructeur, organisateur) (Ibid., f° 358/11) \\Tout au travail, une découverte après une découverte (craindre mon docteur Pascal) (Ibid., f° 359/12)
Ce que je veux, c’est qu’à la fin, dans le triomphe l’ouvrier reparaît (il est le symbole de l’ouvrier du salariat, ni bon ni mauvais, gâté par le salariat, c’est pour cela qu’il ne peut pas s’entendre dans le phalanstère trop gâté déjà pour s’améliorer) (Ibid., f° 361/14-362/15) \\le travail (opposé au capital) guérisseur (Ibid., f° 368/21) \\La cité modèle, où il n’y aura plus de lutte entre patron et ouvriers (salariat disparu), entre les classes (le travail niveleur) ni même dans la famille §§§ (Ibid., f° 370/23) \\Le capitaliste peut se trouver rapproché des ouvriers (bonne entente, lutte des classes finie) (Ibid., f° 370/23)
Mais gros d’une création à faire, très nourri déjà de lectures, ayant lu tous les ouvrages des précurseurs Saint-Simon, Fourier (surtout), Comte, etc. (Ibid., f° 372/25)
L’ouvrier violent (…) qu’il faudra conquérir et apaiser (?) (Ibid., f° 377/30)
Comme j’ai voulu celle-ci orpheline, elle sera donc restée seule avec son frère, plus jeune qu’elle de trois ou quatre ans (à régler) (Ibid., f° 380/33)
Il faut donc que je crée à côté de l’ouvrier (celui qui assassine Luc) un autre ouvrier paresseux, ivrogne, etc. et que je convertis, sur lequel je fais l’expérience (Ibid., f° 381/34)
Le succès s’indique, on croit l’ouvrier mort, Luc épousera l’ouvrière (?) (Ibid., f° 395/48)
Cliché du contre-maître § les vignes (ce qui s’y passe) (MS NAF 10334 Travail, Ebauche, f° 396/49) \\Les idées de Jordan pour l’application de l’électricité aux Hauts Fourneaux (?) (Ibid., 399/52)
Alors, Luc qui prospère peut racheter (?) les Hauts Fourneaux (Ibid., f° 401/54)
J’aurai la révolution violente (?) un moment (Ibid., F°403)
Appelé par Jordan comme architecte (mais j’en fais un bâtisseur de ville, s’ignorant encore) (Ibid., F°408)
des canons (acier fin) et des projectiles, ou pour des machines agricoles etc. (Ibid., F°417)
Il aurait ainsi des fondeurs (haut fourneau) (Ibid., F°418)
Luc, qu’il a connu à Paris chez les Boisgelin (à arranger) (Ibid., F°420)
Bonnaire (…) a demandé l’augmentation de salaire ( ar \\ranger cela) (Ibid., F°420-421)
La construction (non plus des canons mais des machines agricoles) ne viendra que plus tard (…) Luc crée des fours à puddler perfectionnés (?) (Ibid., F°421)
Il prend Bonnaire soit pour chef d’un de ces fours,soit pour contre-maître général (à voir, quand j’aurai tous les détails) (Ibid., F°421)
Mabire (que j’ai mis comme le mauvais contre-maitre chez Delaveau) peut devenir le chef fondeur (Ibid., F°422)
Un fondeur (Mabire), des puddleurs (Bonnaire et Ragu), un arracheur (Bourron), des lamineurs et des ouvriers du marteau pilon (Coignet et Fauchain) me paraissent donner un ensemble assez complet (Ibid., F°423)
un pas immense (passage de l’âge de pierre à l’âge du fer). Il a pu dompter les bêtes etc. (Ibid., F°424)
Ils n’auront qu’à tourner des boutons (?) (Ibid., F°426)
La cause de la grève doit être absolument une augmentation de salaire (la forme du salaire doit être aussi règlée, est-ce le marchandage) (Ibid., F°427)
la femme qui a volé la veille cent sous et qui passera en geignant (cela dans un chapitre suivant) (Ibid., F°430)
Les Jordan posés brièvement (à reprendre) (Ibid., F°431)
je pose tout le commerce (Voir Yvonnot) ; et toujours par Luc qui passe (Ibid., F°432)
L’enfant saisi ramené à la boulangerie (que j’aurais posée plus haut, ainsi que la boucherie de Dacheux) (…)Luc (…)(dans ce premier chapitre, ne pas le poser définitivement ) (Ibid., F°433)
gagnant sa vie (les fils de Pierre et Marie Froment ayant tous un métier, gagnant tous leur vie) (Ibid., F°440)
ayant entendu parler de Fourier et des précurseurs (il ne les lira qu’à la Crêcherie) (Ibid., F°441)

1) un innocent) étroit de cervelle, employé à la Halle (Lacaille) ; un bossu, employé chez un facteur, (Logre), créature de Lebigre ; un monsieur en redingote, qui a fait de tout, qui a un salon, homme sans profession connue. Méline Un professeur libre, l’ami de Florent, pâle, blond, lèvres minces, râpé, couchant dans une mansarde du quartier latin (Charvet) (Ibid., f° 101)
Lisa, née en 1827 de Macquart et de Fine, a été prise en amitié par une dame de directeur des postes, dès l’âge de dix ans (en 1837). A douze ans (1839), le mari, le directeur des postes meurt, (Ibid., f° 102)
La Lecœur, grande femme sèche de 46 (ma concierge) (Ibid., f° 104)
Quand il va être arrêté, drame, que je n’arrête pas encore. (Gavard a fait des cadeaux à sa nièce et à sa belle-sœur, ce qui les a irrités davantage) (Ibid., f° 105)
Je choisirai un autre personnage pour la marchande aux petits tas. (la mère de Cadine, un type). – Claude demeure on ne sait où; cela vaut mieux. Un mot sur son protecteur qui lui a permis d’apprendre, et cela suffit (Voir l’ébauche) (Ibid., f° 105)
La mère Méhudin est veuve. Une vraie poison – la confrérie de St Merri (étudier vivement avec elle le type ancien) (Ibid., f° 106)
Logre, maigre, bossu, impasse des Bourdonnais (mouchard). Grimaçant. [Lacaille, maigre, ancien ouvrier, porteur, rue Greneta (dans une soupente). L’ouvrier à peine dégrossi, doctrinaire, illuminé, etc.] Alexandre, fort de la Halle, très brute, à employer (Lacaille et Alexandre font un peu bande à part, le lien n’a lieu que plus tard ; ils mangent à côté de Florent: Lacaille ne peut entrer dans les forts, parce qu’il est trop vieux.) (Ibid., f° 108)
Méline (un faux maigre, dit Claude) disparaît (Ibid., f° 110)
(Au dénouement Florent peut le rencontrer dans sa promenade : Pourquoi ne viens-tu plus chez Lebigre. – Puisque nous ne nous entendons pas » – Montrer Charvet terrible, parlant de tout saccager, traitant en mépris Florent qui est pourtant allé à Cayenne. Parlant de ses souffrances à lui) (Ibid., f° 110)
Et Cadine a essayé de vendre des fleurs, elle venait le matin à la Halle (les fleurs) acheter des paquets (Ibid., f° 111)
Claude a rêvé un tableau superbe, Marjolin « Est-il beau, cet animal-là » et et Cadine « Elle est drôle, la petite, » au milieu d’une nature morte colosse (Claude voit surtout la nature morte) (Ibid., f° 112)
(les Quenu Gradelle ont un appartement au 1er) les deux aides et Justine couchaient dans les mansardes (Justine, pas un cancan.) (Ibid., f° 114)
Je puis ne la faire que passer, approuvant Lisa (la vue du bonheur de Mme Taboureau l’enfonce dans ses idées.) On voit la boulangère trois fois, dans les 1ers cancans, à l’arrivée de Florent.) Dans les courses de Melle Saget (gourmande) Dans le marché de Lisa) (Ibid., f° 114)
D’abord drapiers, marchands de toutes sortes autour desquels viennent se grouper les marchands de comestibles. Cossonnerie (volaille.) (Ibid., f°117)
Le 25 septembre 51 on pose la première pierre de ce gros batiment (le fort de la Halle) qu’on a dû démolir (Ibid., f° 117)
Les pavillons sont numérotés : n° 3 (la Boucherie) ; n°9 (la Marée) ; n°11 (La Vallée) (Ibid., f° 120)
Agents de police deux par deux (Mes mouchards peut-être) (Ibid., f° 122)
On fait du faux rocou (trop cher) avec des carottes (Ibid., f° 124)
Les légumes (pavillon n°8) (Ibid., f° 127)
Pavillon 12, fruitières, boulangers, marchands de viandes cuites (rogatons ou arlequins). (Ibid., f° 127)
Les Halles sont bien grandes et pourtant les marchandises débrdent comme autrefois dans les rues voisines (Le rêve de Florent, les Halles grandissant toujours) (Ibid., f° 128)
Les anciens cris : Au gros cayeux (les moules) ; à la barque (les huîtres) ;à la coque (les œufs) ;à la violette (les éperlans). (Ibid., f° 130)
Ils donnent 1 fr. pour la charrette et 1 franc pour l’intérêt de l’argent (Mon Lebigre.) (Ibid., f° 130)
Rue de la Petite Truanderie. Dépôts d’escargots, tripier, petits épiciers, échantillon dans cette rue et les deux suivantes du commerce du vieux Paris (Parallèle) (Ibid., f° 140) \\mds de vin (un avec une grille tourmentée et poussiéreuse) (Ibid., f° 141)
Rue Coquillère. Comestibles (odeur violente de truffes) (Ibid., f° 143)
Rue Pirouette (les Mehudin, la Saget) (Ibid., f° 146)
Rue Cossonnerie (Gavard) (Ibid., f° 146)
Rue au Lard (la mère Chantemesse, Cadine) (Ibid., f° 146)
Cheveux dans des boîtes en bas (chignons, nattes, anglaises) pendant en haut (queue, nattes, cache-peigne, frisons) (Ibid., f° 148)
En bas tête d’homme et de femme en cire coupée, avec des cravates de velours rouge (sanglant) (Ibid., f° 148)
Congre (ang. de mer) (Ibid., f° 153)
Ricardeaux (coquilles) (Ibid., f° 153)
Vives – sept. (merlan rond avec des rayures marron sur gris) (Ibid., f° 154)
Le carré que forme chaque pavillon, avec les gaz intérieurs (rangés pour certains, poudroyant pour les autres) (Ibid., f° 166)
Des tas de choux-fleurs superbes, bien rangés, grosses roses blanches (sur le trottoir de la rue Rambuteau) (Ibid., f° 170)
Plus tard, marché au cresson (10 sous les dix bottes) (Ibid., f° 170)
des bouts d’enseignes violettes (Montorgueil), balcon avec raisons sociales (Montmartre) (Ibid., f° 174)
Fonds de commerce (or sur vert)- Pharmacie, droguerie (noir sur bleu) (Ibid., f° 174)
les raisons sociales (Aux Fabriques de France, biscuits Guillout) (Ibid., f° 174)
Farines et légumes secs (noir sur la maison) (Ibid., f° 174)
Les petites voitures carrées des tripiers (à bras) (Ibid., f° 181)
Au-dessus du fourneau, se trouvent accrochés quelques instruments le peleu, (couteau à gratter le porc) le saigneux (couteau à saigner) (Ibid., f° 188)
Pour faire la saucisse, on emploie des menus de mouton (petit boyau). Pour le saucisson des gros de bœuf. (Ibid., f° 189)
L’étuve est en melchior (le cuivre, le zinc et les poteries vernissées sont absolument défendus).(Ibid., f° 192)
En bas contre la vitrine, pots de rillettes (jaune clair) puis dans des assiettes (Ibid., f° 193)
Le tout entremêlé de terrine, de foies gras, de bocaux d’aschards (noirs et blancs) (Ibid., f° 193)
Je terminerai par un aquarium (trois poissons rouges), entre des pots d’arbres verts (Ibid., f° 194)
puis une rangée de médailles en demi-cercle collée sur le verre. Des médailles jaunes (or) des médailles blanches (argent) (Ibid., f° 195)
Saucissons de foies gras (andouille impériale) (Ibid., f° 195)
Sur le comptoir, à droite de la charcutière, jambon ordinaire et le jambon fumé (plus rouge) (Ibid., f° 196)
Quand on le prend avec quatre ou cinq individus (Logre en est mais s’échappe, mouchard) on les accule contre Saint-Eustache et on les fusille. (Ibid., f° 200)
Un sergent le sauve et le fait conduire au poste (de poste en poste) (Ibid., f° 200)
Le Carnaval, la fin (le carnaval avait donc continué) (Ibid., f° 200)
mort de Dussoubs (Denis), frère du représentant (Ibid., f° 201)
Ils retournent à terre et se sauvent par la Guyane Hollandaise, à travers des forêts et des marais (Hercule Hardy) (Ibid., f° 206)
Il y a deux ventes, dans les Halles, qu’il faut distinguer : la vente en gros (la criée, ou la vente à l’amiable,) et la vente au détail (les marchés proprement dit*). (Ibid., f° 217/1)
Pour ces 2 bancs, il a un caissier (chargé d’encaisser l’argent, de recevoir et de payer les produits des marchandises 😉 deux crieurs, un par banc ; deux commis aux écritures, un également par banc (ces commis sont parfois des femmes, aux fruits, etc. Pour les facteurs à la marée, il* n’ont qu’un caissier, et que 2 tablettières*, (elles remplacent les commis aux écritures, elles sont chargées d’inscrire les adjudications sur les tablettes de vente). (Ibid., f˚ 217/1 – 218/2)
Dans chaque marché de gros, il y a aussi un inspecteur de police du marché, qui a sous ses ordres un sous-inspecteurs* et des contrôleurs (ces contrôleurs, le soir, son musiciens, employés dans les théâtres). (Ibid., fo 218/2 – 219/3)
Les propriétaires autorisés à vendre à l’amiable dans les marchés de la volaille, du gibier, du poisson d’eau douce, des beurre, œufs et fromages, des grains, des bestiaux, des fruits (sur le carreau) […]. (Ibid., fo 224/8)
[…] (Marché des Prouvaires). […](la Vallée) (Ibid., fo 230/14)
Pavillon 8, gros légumes, Abris* des Innocents 18 oct. 58. – 174 places de 4 mèt., 0,75 cent. (abri des Innocents). (Ibid., fo 230/14)
Cresson : rue Pierre Lescot, trottoir du pavillon no 11, 18 oct. 58 = 50 places, de 2 mètres, à 0,20 cent. (la perception a lieu au mois). (Ibid., fo 232/16)
[…] un régisseur, moyennant un forfait fixé, au maximum, à 190 000 fr. (M.M. Couprie, Héron et Vassard.) (Ibid., fo 236/20)
Il y a donc les jardiniers-maraîchers, (places fixes), et les marchands forains, places qui ne sont pas fixe* (à savoir quelle est la différences*. (Ibid., fo 236/20)
En 1850, au commencement, (changer les dates du livre) elle se sauve avec son amant et ses deux enfants. (Ibid., f° 243)
A Paris le mari l’abandonne, elle se met avec un ouvrier qui l’épouse dès les premiers mois (par exemple mai 1850). (Ibid., f° 243)
Je ferai tomber Florent après le pont, au bord d’un trottoir, à la hauteur de la rue de Longchamp (larges trottoirs, grands arbres, maisons basses) (Ibid., f°245)
(l’idée de monter, d’aller au bout de cette ligne de feu -(Ibid., f°245)
Les Graindorge, (famille d’horticulteurs Répandue tout autour de Paris, et très riche. (Ibid., f°281)
Les horticulteurs apportent aussi de la petite fougère mâle pour entourer des bouquets (la grande fouchères* sert aux étalage* des fruits, etc.). (Ibid., f°281)
Les forts avec leur grand chapeau et leur dos matelassé (une sorte de dossier recouvert d’une tapisserie.) (Ibid., f°294)
(Florent, dans / son rêve, peut voir sortir de là des fumées épaisses de volaille, toute une évaporation épaisse et noire de nourriture.) (Ibid., f°308-309)
(Il voudra la jeter dans un tas de plumes. Ils lutteront, et ils iront, jusque sur la voie. Ils auront auparavant visité la voie, la porte étant ouverte.) (Ibid., f°309)
(Mme Lecoeur, avec ses mains sèches dans le beurre.) (Ibid., f°310)
La resserre pour les légumes (pavillon no 8) est absolument semblable aux autres. (Ibid., f°311)
Sous le pavillon 6 (vide), se trouve la resserre publique qui ressemble aux autres. (Ibid., f°311)
On fait glisser les paniers de têtes de mouton, (qui ont des roulettes,) sur une sorte de chemin de fer (Ibid., f°312) === La Conquête de Plassans (1874) === (On pourrait peut-être faire passer l’Empereur dans la ville) (…) (Mme Rigaud)( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche F° 20)
(Une brute
cette mère, une figure muette et carrée ) (Ibid, F° 21-22)
Le sous-préfet (homme aimable, réduction Morny, dévot par ordre, la personnification de l’Empire en face de la religion) (Ibid. F°23)
(Une conversation où il s’explique avec un sourire ; ce que la chasteté est pour lui) (Ibid.F°31)
Son action sur la belle société. Il agit sur Rastoil et sur les autres invités du sous-préfet (arranger cela) (Ibid.F°32)
Une ville legitimiste conquise par un prêtre bonapartiste, action sur le clergé, sur la belle société, sur les femmes, sur la jeunesse (le peuple n’existe pas.) (NAF MS 10.280 Plan F° 1)
Entrée de l’abbé dans le salon vert (triomphal)…. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 9)
Une grosse fortune, raisonnable, gagnée dans le commerce des amandes (Les Rougon jaloux) ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche F° 34)Marthe se satisfaisant dans la religion [VII]. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan ΧΙΙΙ F° 10) \\(Les hommes chastes sont les seuls forts) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIV F° 11)
(Vengeance de la Paloque, elle a été le chien) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIV F° 11) \\(Prendre le cadre d’une journée pour le réputer) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVIII F˚ 12)
(Ne pas oublier que c’est la religion qui la détraque peu à peu) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XX F˚ 12) \\(Elle a peur de Faujas toute seule) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXV F˚ 13)
Quand elle rentre mourante (Macquart la ramène) les Trouche ne la reçoivent pas chez elle (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXV F˚ 14)
(Reproduire peut-être une journée de Mouret jugé fou, et ayant alors son bon sens) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXVI F˚14) === La faute de l’Abbé Mouret (1875) === Blanche est la fille d’un intendant, qui a la garde d’un grand parc (histoire à trouver.) (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 2)
Le médecin conseille de le transporter (à sa convalescence) dans une chambre d’un pavillon donnant sur le parc (Ibid., f° 2-3) (Un nom pour le parc.) (Ibid., f° 9)
On peut la mêler au drame, en la faisant céder à un homme. On peut aussi mettre en face d’elle le frère Archangias, (je veux cependant conserver à celui-là sa raideur catholique ! (Ibid., f° 10)
Serge Mouret est né en 1841, à Plassans, de François Mouret (frère de Silvère) et de Marthe Rougon (sœur de Pascal). (Ibid., dossier personages, f° 16)
La mère tourne à la dévotion, des curés chez elle (Marseille avec la lutte catholique très vive.) (Ibid., f° 16)
Le père, toujours dans son comptoir (j’en ferai un commissionnaire.) (Ibid., f° 16)
Puis, il se remet avec le père ; mais celui-ci, d’une fortune ordinaire (probe, méticuleux, arrivé seulement à l’aisance) ne lui donne pas un sou. (Ibid., f° 16)
(Revenir sur la ressemblance des parents, ils s’aiment tout physiologiquement, etc.) (Ibid., f° 16-17)
C’est Désirée qui a vu Albine, rodant (par le cimetière peut-être) : l’herbe du cimetière pour les lapins, une scène (Ibid., Plan du troisième livre, f° 22)
La chambre, l’Im. Conception. Les 2 vierges, revenir en tenant compte de la scène de l’église (les 2 autels.) (Ibid., f° 23)
L’enterrement dans le petit cimetière (glisser sur la messe). (Ibid., f° 24)
Un petit que porte Catherine (avec Vincent) dans l’Eglise. (Ibid., f° 25)
Sa jalousie pourtant contre les gens du Paradou, contre Albine (il vaut [mieux ?] conserver son caractère.) (Ibid., f° 26)
Faire comprendre que la Teuse a une nouvelle, la maladie d’Albine (c’est le lien général du commencement du chapitre. (Ibid., f° 27)
Se recueillir le matin et le soir (Serge se recueille le soir à la fin du 1er chap.) (Ibid., Extraits de L’Imitation, f° 37)
Affranchir des nécessités du corps (Serge montant dans l’infini, sans rien. L’éternelle et d’entière pureté.) [sic] (Ibid., f° 37)
(Serge attristé par la Passion, il craint Marie. La fin du chapitre) (Ibid., f° 38)
Jésus visite ses fidèles de deux manières, par la tentation et par la consolation (Je retournerai cela.) (Ibid., f° 39)
L’allure lente d’Albine au travers de la futée. Posée, déjà grande personne (voilà des coins où je ne suis pas venu), récit d’Albine. (Ibid., Le Paradou, f° 45)
La flamme éclate (toujours ignorants.) (Ibid., f° 45)
Après les promenades, j’ai donc pour mon compte la possession du jardin entier (ils sont là pour le cultiver et le garder. Genèse.) (Ibid., f° 45)
Enfin la faute. Ils se voient nus. La Faute doit être sereine, sans lutte, (et ils y glissent par une pente naturelle.) (Ibid., f° 46)
(Il faut qu’ils mangent partout.) (Ibid., f° 56)
Au pied des rochers (peut-être près de l’arbre du bien et du mal) un trou de chaleur faisant serre chaude. Là poussent des plantes surprenantes. (Ibid., f° 60)
Albine, blanche, dévouée, (…) son portrait plus tard.) (Ibid., f° 61) (Plus tard, la fenêtre ouverte, le premier coup d’œil dehors me donnera un tableau.) (Ibid., f° 61)
Albine est là seule, ne rien faisant [sic] (Elle est devenue plus grave, son autre portrait indiqué, Serge ne la reconnaîtra pas, il aura un sourire, dira : Oui oui, c’est vous. (Mais après la venue de l’oncle. L’oncle Pascal arrive. Conversation qui dit tout. Quand il sera plus fort, nous discuterons. Serge retombe en enfance (Jeanbernat, la Teuse, etc.) (Ibid., f° 61)
Réveil de Serge, sa première conversation avec Albine (C’est vous, etc.) (Ibid., f° 62)
(Description du jardin) (Ibid., f° 62)
Il s’éveille peu à peu, (Prendre l’enfant). (Ibid., f° 62)
(La Faute est au bout, et le déchirement complet du voile). (Ibid., f° 62)
Le rut de toute la création. Pendant des jours. (Il faut qu’il y ait une gradation pour arriver à cet état (la nature complice.) (Ibid., f° 63)
Malédiction contre le serpent (la nature.) Punition du couple (qui s’était habillé de feuilles de figuier.) (Ibid., La Bible, f° 64)
(En un mot, lui peut ignorer. L’oncle Pascal a pu exiger le secret de la Teuse, tout comme devant la maladie de Serge. (Ibid., f° 66)
Sur les chasubles : Deux cœurs saignants – Un cygne (ou autre oiseau) aux ailes d’argent. (Ibid., Objets de culte, f° 78)
A cinq heures, lever (Le coup de bâton, etc.) (Ibid., le Séminaire, f° 81)
Le Christ de l’autel (à trouver, c’est lui qui me servira dans la grande scène d’Albine). (Ibid., L’Eglise, les Artaud – le Presbytère, f° 106)
J’ai la préparation de l’autel ; la scène complète dans la sacristie (la Teuse bavardant, Serge s’habillant) ; l’entrée dans l’église. Je commencerai la messe et ce n’est que lorsque le prêtre sera monté à l’ que je jetterai un coup d’œil dans l’église. (La description de l’église, sous le soleil, sans bruit du dehors.) Je reviens à l’autel à la rupture de l’hostie, et j’y demeure pendant la communion (l’hostie prise, les miettes ramassées, le calice pris). Et c’est ici que je fais arriver Désirée avec les lapins. (Ibid., Sur la messe et l’église, f° 111)
Lettre d’une religieuse (mon roman du prêtre). (Résumé de Trélat et de Moreau, f° 140) === Nana (1880) === (avril 1867)
(avril)
(avril)
(mai 1867)
(septembre)
(décembre 1867)
(janvier-octobre 68)
(janvier 1869)
(mai 1869)
(novembre 1869)
(vers février 70)
(février-juillet 1870)
(juillet 70, déclaration de la guerre)
(NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Le Polyorama au dessus des Variétés (voir les notes)
Le balcon sur le boulevard (voir les notes)
(le bord et les séparations velours rouge) (Deux colonnes soutiennent les av.-scène)
(on voit la salle). (Ibid. F°3)
(caricature des rois)
(Nana ne paraît qu’à la fin de l’acte.
(Le finale)
(la chanson à boire)
(Ibid. F°4)
Poser que Juillerat est avec Amy (amant de cœur). (Ibid. F°6)
(ou bien cela peut avoir lieu dans la loge des Muffat.). (Ibid. F°9)
(voir le portrait [de] Nana (Ibid. F°12)
(peut-être faudrait-il qu’il dise cela à Nana elle-même.). (Ibid. F°17)
(à chaque instant dérangée par le timbre.). (Ibid. F°18)
(C’est plus tard que Rose Mignon lui prendra Zoé.). (Ibid. F°19)
La journée chez Nana (Note Laporte, 9.). (Ibid. F°21)
Du Joncquoy (sœur d’un diplomate)
Chantereau (maître de forges)
Léonide de Chezelles. (Conseiller d’Etat). (Ibid. F°23)
Trois ou quatre dames. (Prendre les noms: du Joncquoy, Chantereau, Léonide de Chezelles). (Ibid. F°25)
(Plus tard la conversation continuera, coupée par les a parte sur le dîner de Nana.)
(Il doit inviter Muffat, une toquade de Nana, avec laquelle il a couché.). (Ibid. F°26)
(Voir les 3 port. des Muffat et celui de Chouard, le marquis, on doute aussi)
(Voir les personnages.)
(Muffat domine sévère, Sabine viendra plus tard (Ibid. F°27)
(donner la conversation très collet monté)
(Georges : Oh ! maman !). (Ibid. F°28)
(Est-ce ici que je ferai intervenir Venot qui a entendu, et qui peut décider Muffat.)
(Le détraquement futur de la famille. (Ibid. F°30)
Poser Estelle (Voir personnages)
un petit jeune homme (ne pas le nommer). (Ibid. F°31)
Gaga (velours bleu)
Caroline Hequet (faille noire)
Maria Blond (15 ans)
Léa de Horn. (fagottée (sic