Dictionnaire – Machiavélique-Méthodiquement

MACHIAVÉLIQUE

Nana (1880)

En un mot, j’entends rester humain et simple, sans complication machiavélique. (NAF Ms. 10313, Nana. F°149- Plan).

MACQUART (les)

Le Ventre de Paris (1873)

Mes Rougon et mes Macquart sont des appétits.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 48)
J’ai eu dans La Fortune des Rougon toute une naissance d’appétits. Dans La Curée, branche des Rougon, appétit nerveux du million. Dans le Ventre, branche des Macquart, appétit sanguin des beaux légumes et des beaux quartiers de viande rouge.(Ibid., f° 48)
J’aurai ainsi une honnête femme, dans la branche des Macquart. Honnête, il faut s’entendre. Je veux lui donner l’honnêteté de sa classe […] (Ibid., f° 49)
J’explique le type de la charcutière Elisa. C’est une Macquart […] (Ibid., f° 50)

Pot-Bouille (1882)

Il [Octave] ressemble à son père, François Mouret, physiquement et intellectuellement : donc, posé, raisonnable, de sang plus net que les Rougon, avec l’appétit, la ponité qu’il a par sa parenté avec les Macquart (MS NAF 10 321, Pot-Bouille, f°s 381-382) ==== MACQUART ANTOINE ====

Personnage de La Fortune des Rougon, 1871, père de Lisa et Gervaise.

Le Ventre de Paris (1873)

J’explique le type de la charcutière Elisa. C’est une Macquart, une fille d’Antoine […] (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 50)
Elisa est une femme excellente dans son bonheur ; au fond, Macquart reparaît lorsqu’elle sent la pointe d’une aiguille. (Ibid., f° 53)
Lisa, née en 1827 de Macquart et de Fine, a été prise en amitié par une dame de directeur des postes, dès l’âge de dix ans (en 1837). (Ibid., f° 102)

La Conquête de Plassans (1874)

Je voudrais bien employer le personnage de Macquart. Je pourrai en faire un employé de la maison de fous (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 27)

MACQUART GERVAISE

Personnage de La Fortune des Rougon, 1871, sœur de Lisa, future héroïne de L’Assommoir, 1877.

Le Ventre de Paris (1873)

Puis je compte faire passer mais en fond seulement Gervaise sœur cadette d’Elisa, avec ses trois enfants. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 60-61)
Lisa livrant Charles, c’est Lisa vis à vis de la famille. Je la compléterai en la mettant en face de sa sœur Gervaise, et de ses trois enfants. Je ferai de Gervaise une de ces marchandes de quatre saisons […] Ce ne sera qu’une figure entrevue, avec ses trois enfants. Gervaise, affamée, battue, le ventre serré ; Gervaise jalouse et espionnant Lisa. (Ibid., f° 65)
Gervaise est venue à Paris avec un amant qui la lâche, et deux [an] enfants. Non, il vaut mieux ne pas parler du tout de ce côté de la famille. (Ibid., f° 105)
Il me faudra changer absolument Gervaise. (Ibid., f° 243)
Elle est née en 1828, elle a 23 ans en 51 ; elle a eu à 1[3]/4 ans (en 1842) Claude Lantier, et à 18 ans (en 1846) Étienne Lantier, tous deux du même père. (Ibid., f° 243)

MACQUART URSULE

Voir : La Fortune des Rougon (1871).

Le Ventre de Paris (1873)

Agathe Mouret, née en 1824, de Mouret, chapelier et Ursule Macquart a donc en 1840 époque où ses frères viennent chez Pierre Rougon, a* 18 ans. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°241)

Mme HÉdouin

Au bonheur des dames (1883)

Ne pas oublier son [à Octave] côté de fantaisie dans le commerce, son audace qui ont séduit Mme Hédouin (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, IBID) \\Eviter de répéter Mme Hédouin et Florent (Ibid., fº 5) \\Je prendrai les parents de Mme Hédouin (…) et je les montrerai ruinés, conduits à la faillite (…) (IBID) \\Si je garde Mme Hédouin, il faut que je lui fasse tolérer les rapports d’Octave avec la maîtresse du banquier (Ibid., fº 7) \\(…) alors le caractère [de Denise] qui apparaît: posée, sage, pratique (pas répéter Mme Hédouin pourtant) (Ibid., fº s13-14) \\Pour me débarrasser de Mme Hédouin, voir si je ne dois pas la faire tuer dans les constructions au début (…) (Ibid., fº 14)MACHIAVÉLIQUE

Nana (1880)

En un mot, j’entends rester humain et simple, sans complication machiavélique. (NAF Ms. 10313, Nana. F°149- Plan).

MACQUART (les)

Le Ventre de Paris (1873)

Mes Rougon et mes Macquart sont des appétits.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 48)
J’ai eu dans La Fortune des Rougon toute une naissance d’appétits. Dans La Curée, branche des Rougon, appétit nerveux du million. Dans le Ventre, branche des Macquart, appétit sanguin des beaux légumes et des beaux quartiers de viande rouge.(Ibid., f° 48)
J’aurai ainsi une honnête femme, dans la branche des Macquart. Honnête, il faut s’entendre. Je veux lui donner l’honnêteté de sa classe […] (Ibid., f° 49)
J’explique le type de la charcutière Elisa. C’est une Macquart […] (Ibid., f° 50)

Pot-Bouille (1882)

Il [Octave] ressemble à son père, François Mouret, physiquement et intellectuellement : donc, posé, raisonnable, de sang plus net que les Rougon, avec l’appétit, la ponité qu’il a par sa parenté avec les Macquart (MS NAF 10 321, Pot-Bouille, f°s 381-382)

MACQUART ANTOINE

Personnage de La Fortune des Rougon, 1871, père de Lisa et Gervaise.

Le Ventre de Paris (1873)

J’explique le type de la charcutière Elisa. C’est une Macquart, une fille d’Antoine […] (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 50)
Elisa est une femme excellente dans son bonheur ; au fond, Macquart reparaît lorsqu’elle sent la pointe d’une aiguille. (Ibid., f° 53)
Lisa, née en 1827 de Macquart et de Fine, a été prise en amitié par une dame de directeur des postes, dès l’âge de dix ans (en 1837). (Ibid., f° 102)

La Conquête de Plassans (1874)

Je voudrais bien employer le personnage de Macquart. Je pourrai en faire un employé de la maison de fous (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 27)

MACQUART GERVAISE

Personnage de La Fortune des Rougon, 1871, sœur de Lisa, future héroïne de L’Assommoir, 1877.

Le Ventre de Paris (1873)

Puis je compte faire passer mais en fond seulement Gervaise sœur cadette d’Elisa, avec ses trois enfants. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 60-61)
Lisa livrant Charles, c’est Lisa vis à vis de la famille. Je la compléterai en la mettant en face de sa sœur Gervaise, et de ses trois enfants. Je ferai de Gervaise une de ces marchandes de quatre saisons […] Ce ne sera qu’une figure entrevue, avec ses trois enfants. Gervaise, affamée, battue, le ventre serré ; Gervaise jalouse et espionnant Lisa. (Ibid., f° 65)
Gervaise est venue à Paris avec un amant qui la lâche, et deux [an] enfants. Non, il vaut mieux ne pas parler du tout de ce côté de la famille. (Ibid., f° 105)
Il me faudra changer absolument Gervaise. (Ibid., f° 243)
Elle est née en 1828, elle a 23 ans en 51 ; elle a eu à 1[3]/4 ans (en 1842) Claude Lantier, et à 18 ans (en 1846) Étienne Lantier, tous deux du même père. (Ibid., f° 243) ==== MACQUART URSULE ====

Voir : La Fortune des Rougon (1871).

Le Ventre de Paris (1873)

Agathe Mouret, née en 1824, de Mouret, chapelier et Ursule Macquart a donc en 1840 époque où ses frères viennent chez Pierre Rougon, a* 18 ans. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°241)

Mme HÉdouin

Au bonheur des dames (1883)

Ne pas oublier son [à Octave] côté de fantaisie dans le commerce, son audace qui ont séduit Mme Hédouin (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, IBID) \\Eviter de répéter Mme Hédouin et Florent (Ibid., fº 5) \\Je prendrai les parents de Mme Hédouin (…) et je les montrerai ruinés, conduits à la faillite (…) (IBID) \\Si je garde Mme Hédouin, il faut que je lui fasse tolérer les rapports d’Octave avec la maîtresse du banquier (Ibid., fº 7) \\(…) alors le caractère [de Denise] qui apparaît: posée, sage, pratique (pas répéter Mme Hédouin pourtant) (Ibid., fº s13-14) \\Pour me débarrasser de Mme Hédouin, voir si je ne dois pas la faire tuer dans les constructions au début (…) (Ibid., fº 14)

Madeleine FÉrat (Roman d’Émile Zola, Lacroix, 1868)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Elle rappelle un peu ma Madeleine Férat ; mais je l’en éloignerai le plus possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 7)

MAGNIFIQUE

Lourdes (1894)

Des yeux magnifiques, un beau et mâle visage, avec un nez romain et une bouche saignante. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 89 – Notes sur Ferrand)
B. en extase, magnifique, signe de croix, nobles, grands. (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Le 4 avril 64, inaug. et bénéd. de la statue de la V. dans la grotte. (…) Temps magnifique. (Ibid. Fo 227– Notes sur H. Lasserre)
Le
dimanche, temps magnifique. (…) Bernadette se transfigure, l’apparition se produit. (Ibid. Fos 233-234 – Notes sur H. Lasserre)
Le P. Sempé s’est emparé par ruse de cette ferme magnifique où les dons affluaient (…). (Ibid. Fo 283 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

MAIGRE

Lourdes (1894)

Le chapitre m’a l’air un peu maigre, et je puis y développer une sorte d’idylle entre Marie et Pierre, par cette
promenade, cette petite voiture qu’il traîne sous la belle nuit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s361-362)
==== MAINTENANT ====

La Curée (1872)

Maintenant toutes les autres spéculations pourront être jetée[s] entre cela (MS NAF 10 282, La Curée, f°331).

Le Ventre de Paris (1873)

Maintenant comme drame, je lui donnerait (sic) une nièce (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 73)

La Conquête de Plassans (1874)

Les réunions des personnages secondaires ont lieu maintenant à la sous-préfecture. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVII F° 11)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Maintenant, le tout sera de trouver avec ces quelques personnages un drame assez poignant et une mise en scène assez intéressante. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 15)
Je n’ai maintenant qu’à indiquer les promenades, parallèlement avec le développement de l’amour, de l’éducation du couple par la nature. (Ibid., Le Paradou, f° 45)

Nana (1880)

Maintenant les autres personnages. (NAF Ms. 10313, Nana. F°11- Plan)
(…) puis des couples Vendoeuvres qui est maintenant avec Amy Steward, La Faloise avec Gaga et sa fille (…). (Ibid. F°60)
Fontan maintenant, va flâner dans les cafés et ne rentre que tard. (Ibid. F°80)
Muffat, dans sa première liaison, n’a eu que le besoin de la possession de Nana; maintenant il l’aime. (Ibid. F°96)
[Nana] Elle connaît les hommes maintenant. (Ibid. F°105)
Maintenant, si Muffat veut de l’argent il lui faut vendre une propriété que sa femme a apportée de sa mère (…). (Ibid. F°132)
Maintenant, la fêlure grandissait, dans le détraquement d’une vie de femme (…). (Ibid. F°142 verso).

[Daguenet] A mangé les trois cent mille francs en deux ans avec les filles ; maintenant tripote à la Bourse (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°172- Personnages)
[Madame Lerat] Voici, maintenant, la suite de l’histoire. (Ibid. F°183)
[Mignon] Peu à peu, il a toléré les amants ; maintenant c’est réglé. (Ibid. F°186).

Maintenant, comme autres personnages secondaires, (Folio 210) il faudrait un officier supérieur (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°210-1- Ebauche)
Il me faut maintenant fourrer les autres filles et voir le rôle qu’elles peuvent jouer là dedans. (Ibid. F°213)
Maintenant, voilà ce que je puis inventer (…). (Ibid. F°216)
Maintenant c’est de la maigre dont je pourrai faire Judic, avec son mari et deux enfants. (Ibid. F°219)
Maintenant voyons comme je distribuerai le théâtre. (Ibid. F°221)
Maintenant, j’ai souvent exprimé cette pensée que les deux plus grands leviers des passions humaines, c’étaient l’amour et la religion, le « cul et le ciel » (…). (Ibid. F°225-6)
Maintenant, il faut distribuer tout cela et en faire des épisodes saisissants. (Ibid. F°238).

Il s’exaspère. Maintenant ce sont les assiettes et les verres qu’il parle de m’envoyer à la tête. (NAF Ms. 10313, Nana. F°245/3-246- Notes).

La Terre (1887)

Et maîtresse absolue maintenant, conduisant tout depuis la mort de la femme (MS NAF 10329 La Terre f° 74 – Personnages, Jacqueline Cognet)

Lourdes (1894)

Et tout cela, dès maintenant, je voudrais l’incarner dans une dame romaine
à qui je donnerai une grande passion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s5-6)
Maintenant, dix-huit siècles
ont épuisé cette espérance, et il faut autre chose (éb. de « Lourdes » 32). (Ibid. F°s25-26)
Et maintenant religion bruyante, piété très mêlée, bataille âpre et continuelle pour l’argent, prostitution (…). (Ibid. F°35)
Mais maintenant dix-huit siècles ont épuisé cet espoir. (Ibid. F°51)
Le médecin alors était l’incroyant et le jeune séminariste le croyant. Maintenant, la position est retournée – (Ibid. F°75)
Ce qui est gênant un peu pour le roman, c’est que le personnage du prêtre devient maintenant trop central. (Ibid. F°81)
Son père revient, maintenant que sa mère est disparue. Seulement, il est prêtre. (Ibid. F°89)
Marie, maintenant, dans sa gouttière. (Ibid. F°152)
Maintenant, dans
sa gouttière, [Marie] abandonnée par la science, condamnée. (Ibid. F°s157-158)
Donc Marie étendue, les yeux ouverts, maintenant ; abattue, mais heureuse de n’être [pas biffé] plus secouée. (Ibid. F°165)
Et alors ses parents, son père et sa mère, ce qu’ils font, ce qu’elle [Sophie Couteau] fait, maintenant plus rien : elle est miraculée. (Ibid. F°184)
Sœur Hyacinthe, qui n’a pas mangé, déjeune [en interligne : maintenant] en continuant à éponger l’homme. (Ibid. F°185)
Et, maintenant, il voudrait bien croire encore pour partager cette foi qu’il voit s’allumer et s’exalter dans les yeux de Marie. (Ibid. F°186)
Et celui-ci [Pierre], stupéfait de ce changement : lui qui croyait autrefois, et Chassaigne, [qui biffé] jadis incrédule, croyant [aut biffé] maintenant, lorsque lui-même ne croit plus. – (Ibid. F°266)
Le premier appel de la Grotte
et l’attitude du père Fourcade l’a bousculé simplement ; et maintenant le nouveau trouble où le jettent les confidences de Chassaigne. (Ibid. F°s266-267)
Maintenant comment se trompe-t-on à Lourdes. Erreur possible des diagnostics, même de bonne foi. (Ibid. F°277)
Maintenant, Mme Maze peut arriver là, de cette façon. (Ibid. F°324)
Elle [Marie] est tout à l’espoir, certaine maintenant de se faire entendre de la Vierge, de la fléchir, de l’amener à faire un miracle, du moment qu’elle a une nuit entière pour la prier. (Ibid. F°356)
Enfin il [Pierre] arrive à l’Abri, en revenant par les pelouses, maintenant noires. (Ibid. F°368)
Et lui [Chassaigne] croit maintenant. (Ibid. F°384)
Et j’ai maintenant Bernadette [chez biffé] à l’hôpital avec les sœurs, sa jeunesse. (Ibid. F°393)
Il [Beauclair] a prédit le miracle, l’a décrit à l’avance, avec une telle précision, que maintenant le miracle est ruiné dans l’esprit de Pierre. (Ibid. F°441)
Donc, dès maintenant, lui donner le souvenir de ce que le célèbre médecin lui a dit ; et ce qu’il retrouve là (…). (Ibid. F°444)
Maintenant qu’elle [Marie] est sauvée, [son biffé] sa joie et son malaise à la voir redevenir femme. (Ibid. F°456)
Et maintenant le négoce, les hôtels crevant de monde, les couverts, la ville nouvelle bâtie, le [commer biffé] négoce et la débauche. (Ibid. F°506)
Maintenant il [Pierre] l’épouserait [Marie] s’il n’était pas prêtre. (Ibid. F°541)
Paris, elle [Marie] soulagera sa sœur Blanche (parler de Blanche : Elle va vivre à Paris maintenant[)]. (Ibid. F°546)
Paris envisagé comme un paradis, où elle [Marie] va vivre maintenant. (…) Pierre, heureux de sa joie ; mais s’attristant peu à peu, car il songe que, maintenant, la voilà femme, et qu’il l’épouserait, s’il n’était pas prêtre. (Ibid. F°550)
C’est toujours sa raison qui se révolte et qui l’empêche de croire. Il [Pierre] ne peut pas la tuer, s’humilier et s’anéantir. Il comprend cela maintenant. (Ibid. F°584)
Maintenant sur la raison. (…) Et maintenant : non, la raison avant tout, il n’y a de salut que dans la raison. (Ibid. F°585)
Maintenant dix-huit siècles semblent avoir épuisé cet espoir, et il faut autre chose. (Ibid. F°587)
Puis finir par lui (…) \\ : « S’il avait pu tuer la chair en lui, en renonçant au roman de sa jeunesse, (…) il savait maintenant que le sacrifice impossible allait être celui de son intelligence. [»] (Ibid. F°s588-589)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages, et de n’avoir dans ce chapitre que Pierre lisant
la vie et la mort de Bernadette au couvent. (Ibid. Fs595-596)

Maintenant, son histoire. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 5 – Notes sur Pierre Froment)
Maintenant, la malade. (Ibid. Fo 20 – Notes sur Marie de Guersaint)
Maintenant le malade guéri ne jure que par N.D. de Lourdes. (Ibid. Fo 187– Notes sur le Départ de Paris) ==== MAIS ====

Voir aussi : Non.
Cette conjonction importante signale souvent, soit la volonté de souligner quelque chose d’important, soit une objection que Zola se fait à lui-même, la rectification d’un premier essai, ou, très souvent, la volonté de mise en sourdine de quelque motif préalablement esquissé. Mais elle signale souvent aussi, notamment dans les Plans détaillés, l’ouverture d’une première ébauche d’un fragment au style direct ou indirect-libre, le début d’une objection que le personnage fait à l’argumentation d’un autre personnage dans la première idée et esquisse d’un dialogue. Dans les fiches du dossier « Personnages », la conjonction apparaît très souvent(souvent avec « quoique ») pour mettre en place des traits contradictoires dans un portrait physique de personnage, en liaison avec le couple « très » -vs- « un peu », autres notationsfréquentes destinées à « mouvementer » le personnage.

La Curée (1872)

(Relevé non exhaustif) Mais lorsqu’Aristide recouche avec sa femme, le drame éclate (MS NAF 10 282, La Curée, f°301 / Premiers détails). – Mais il faut que Blanche seule disparaisse, elle meurt, elle devient folle (MS NAF 10 282, La Curée, f°302 / Premiers détails). – Mais je donnerai des détails quand j’expliquerai les affaires (MS NAF 10 282, La Curée, f°341).

Le Ventre de Paris (1873)

enfin le ventre, dans l’empire, non pas l’éréthisme fou de Saccard (…) mais le contentement large et solide de la faim, la bête broyant le foin au ratelier (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 47)
Mais je ferai ce dernier appétit sain et calme. (Ibid., f° 48)
Tout cela est fort beau à mettre en scène. Mais peu à peu Charles conspire (Ibid., f° 57)
Mais dans ce rendez-vous obtenu, Jacques devient une brute (Ibid., f° 67)
Mais je préfère que Jacques ne meure pas (Ibid., f° 68)
Très gourmand, très attaché par le ventre, très poltron et très réactionnaire au fond mais aimant l’opposition comme une farce (Ibid., f° 72)
Ce ne sont pas des coquines mais des femmes, avec la méchanceté sournoise de certaines natures (Ibid., f° 73)
Charvet est désespéré d’être renvoyé à Cayenne; mais il joue son personnage jusqu’au bout (Ibid., f° 75)
lui y va, est séduit par la ferme; mais secoue la tête, et revient à sa tâche. (Ibid., f° 80)
Florent est pion et professeur libre. Mais ils ont un oncle maternel (Ibid., f° 81)
Mais Florent ne veut rien, n’a besoin de rien. (Ibid., f° 83)
son premier mouvement est d’aller tout dire; mais il réfléchit et préfère monter une grosse affaire. (Ibid., f° 84)
Mais Florent se compromet, prend les choses au sérieux, il dresse un plan de bataille, distribue les rôles, etc. (Ibid., f° 85)
Mais il est bavard, il conte à sa femme, sur l’oreiller, ce qu’on y dit, celle-ci s’épouvante et juge très sévèrement Florent. (Ibid., f° 86)
Mais elle voit sortir Lebigre du cabinet qui comprend et qui ayant peur de perdre le fruit de ses machinations, l’emmène en lui disant que le préfet l’a fait appeler et qu’il la prévient pour Florent. (Ibid., f° 87)
l’acceptation d’une tendresse muette; mais pas d’adultères. – En un mot pas une coquine, une honnête femme, scrupuleuse même; mais un dissolvant. (Ibid., f° 88)
Mon peintre, sombre déjà, ayant des parentés avec Florent, mais en art. (Ibid., f° 95)
Mais Gavard, d’une part, tient à son idée; tandis que de l’autre, Lisa se sentirait plus tranquille en voyant Florent placé. (Ibid., f° 96)
Mais peu à peu, le premier feu de Lisa se ralentit; elle trouve qu’il mange la part d’un autre. (Ibid., f° 97)
Puis elle consent à épouser Lebigre. Mais Lisa lui fait dire par Melle Saget, si elle veut qu’elle remette à M. Lebigre, certaines cartes de photographe. (Ibid., f° 100)
Elle a eu certainement l’idée de se faire épouser par Gavard, après la mort de sa sœur. Mais Gavard n’a pas mordu à ce fruit si sec. (Ibid., f° 104)
Mais la Normande, ou Louise, plus épaisse. (Ibid., f° 106)
Mais elle vit sur tout le monde. (Ibid., f° 107)
Mais elle galopine, voilà le plus vrai. (Ibid., f° 111)
Mais Marjolin prend de l’âge (Ibid., f° 111)
Il devait aller s’établir dans son pays, où il aurait épousé sa cousine; mais il a été mordu par l’ambition […] (Ibid., f° 113)
Salaisons, gibiers, liquoristes ; mais surtout grands marchands de vin (Ibid., f°143)
Mais elle [Lisa] ne devait pas avoir sa douceur de bête de somme. (Ibid., f˚ 242)

La Conquête de Plassans (1874)

Pierre et Félicité (…) Ils doivent reparaitre , et tenir une large place. Mais plutôt un fond de tableau qu’un premier plan (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
mais sur \\tout ne pas forcer cette note (Ibid.F°s19-20)
Mais il ne va plus loin, lorsqu’il voit les jeux ardents de Bonnard (Ibid.F°24)
mais d’analyse en action pour montrer que rien n’a plus l’air d’un fou qu’un homme possédant tout son bon sens (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°s 24-25)
Mais Marthe (…) souffrante d’ailleurs (…) tombe dans la dévotion (Ibid. F° 31)
son action sur les femmes .(…) Mais ce que j’étudierai surtout, c’est son action sur la jeunesse (Ibid.F°33)

Mais Marthe reste encore très froide (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan III F° 6)
Mais Fénil a déjà travaillé les femmes. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Mais dans la troisième partie, c’est Blanche qui prend la direction de l’action. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 6)
Elle rappelle un peu ma Madeleine Férat ; mais je l’en éloignerai le plus possible. (Ibid., f° 7)
Je prendrai ensuite un couple de dix-huit ans ; il couche dans les blés depuis 14 ans ; mais il ne se marie pas parce qu’il n’a pas d’enfant. (Ibid., f° 12)
Puis, il se remet avec le père ; mais celui-ci, d’une fortune ordinaire (probe, méticuleux, arrivé seulement à l’aisance) ne lui donne pas un sou. (Ibid., Les personnages, f° 16)
D’où aussi un mot d’Octave Mouret, le commis de Marseille, pauvre d’intelligence, mais rêvé à sa façon dans le commerce. (Ibid., f° 17)
Entêté, catholique par étroitesse de cerveau, sale, degoutant [sic], mais d’une conscience absolue, se contenant par une tension naturelle de la volonté. (Ibid., f° 18)
Mais, en somme je veux autant que possible effacer le monde clérical autour de mon personnage. (Ibid., f° 18-19)
Elle renouvelle ses offres de rendez-vous. Mais il retourne la tête, il crache sur elle. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 24)
Serge peu tenté, mais la patience préconisée pour avoir du mérite. (Ibid., Extraits de L’Imitation, f° 36)
On se serait caché au village. Mais cela est trop raide. Il vaut mieux ma première version. (Ibid., La Bible, f° 66)

Nana (1880)

Diane a une intrigue avec Mars mais il a assez d’elle et veut le lâcher (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°4- Plan)
[Cartier] il veut faire jeter un bouquet à Nana ; mais devant l’œil de Mignon, il en fait prendre deux (…). (Ibid. F°9-10)
Mais Gaga, qu’il apercevra dans un (sic) avant-scène lui causera une vive impression. (Ibid. F°11)
Le succès sauvera tout, mais il faut pouvoir attendre (Ibid. F°14)
Mais madame Lerat attend. (Ibid. F°15)
Madame Lerat et madame Maloir continue (sic) leur partie, mais Zoé les installe dans la cuisine, lorsqu’on sonne. (Ibid. F°15-6)
Un mot de Rose Mignon Mais on sonne. Zoé va ouvrir. (Ibid. F°16)
Nana compte bien balancer le grigou et le moricaud ; mais elle veut être sûre. (Ibid. F°17)
Zoé se multiplie, mais elle est débordée (…).
[Nana] Elle a bien songé à écrire une autre lettre à Daguenet pour lui dire de venir ; mais madame Maloir n’est plus là, et elle veut passer une nuit tranquille (Ibid. F°18)
Une débine menaçante. Mais le succès de la veille aux Variétés a tout sauvé. (Ibid. F°19)
Passion d’oiseau de Nana pour le petit. De quel père il est. D’un voyou de sa classe ; mais elle parle d’un monsieur. (Ibid. F°22)
Le dîner de Nana ainsi posé. Mais les détails ne doivent venir que peu à peu, à mesure des invitations, pour se compléter à la fin.
La Faloise brûle d’être invité, mais l’invitation ne viendra que plus tard. (Ibid. F°26)
Donc Muffat absolument connu de Fauchery. Mais Sabine restant dans l’ombre un peu.
Fauchery flairant l’aventure. Mais le monde doute et Sabine encore à l’abri.
La conversation a repris, Fauchery songe, et on lui donne quelques détails ; le plus court mais le plus complet possible. (Ibid. F°27)
Il faudra finir par la comtesse donnant un rendez-vous. Mais Muffat respecté, très digne, etc.
L’homme sérieux avec lequel est Mme Robert est questionné, pour l’amener au dîner. Mais il refuse pour elle ; elle est trop comme il faut. (Ibid. F°31)
On dit que Bordenave ne pourra pas venir (Nana le sait). Il s’est donné une entorse. Mais Bordenave paraît, soutenu par Simonne il a voulu venir. (Ibid. F°37)
Ce sont les invité (sic) qui se mettent au piano. Rose chante. Un autre joue. Mais ça monte, ça se gâte de plus en plus. (Ibid. F°40)
Là, on agite la question de savoir qui a payé. Le monsieur sans doute, mais il est parti, il en avait assez.
Clarisse emmène la Faloise, mais il se lance un regard avec Gaga (Ibid. F°42)
Chouard tournant autour [de la fille de Gaga]. Mais Gaga paraissant bien résolue à ne pas la vendre.
Je pose là le fils de Judic, dix ans, très gentil. Il n’est pas présent, mais on en parle. (Ibid. F°46)
Elle est en chemise déjà mais Bordenave introduit tout de même. (Ibid. F°49)
Simonne accepte, mais Mme Bron vient de lui apporter une lettre et elle a répondu qu’elle ne pouvait pas à son amant, et elle envoie Clarisse (…). (Ibid. F°50)
(…) Bordenave finit par dire oui, mais ça embête Satin, tous ces gens si bien (…).
Il faut l’amener à une déclaration à Nana ; mais c’est le prince qui doit coucher ce soir-là. (Ibid. F°52)
Le passage n’est pas encore fermer (sic); mais on a ouvert le couloir pour le prince. (Ibid. F°53)
Poser les Fondettes, près d’Orléans, une maison comme le Jas de Bouffan ; mais réparée, et plus ombreuse.
Poser comment elle est partie, en écrivant à Steiner qu’il ne vienne que dans deux jours. Mais elle a invité un tas de monde. (Ibid. F°57)
Le jardinier. Zoé. Mais le temps s’est remis. (Ibid. F°58)
Il sait que Steiner est arrivé. Mais Nana lui dit « N’aie pas peur, mon chéri ! Je l’ai mis là haut ; il défait sa malle dans telle chambre.
Puis on annonce Muffat, et Georges s’en va, craignant que Muffat ne parle; mais il monte dans la chambre. (Ibid. F°59)
Daguenet, (qui n’est plus amant de cœur, mais qui la reprend de temps à autre par sa voix)
Muffat n’ose pas mener des invités chez madame Hugon. Mais il se charge de les caser à l’hôtel. (Ibid. F°60)
Justement Philippe le frère arrive. Il va aller chercher son frère. Et il reste, il revient, mais il y retourne. (Ibid. F°61)
et elle couche, mais sans plaisir. (Ibid. F°62)
Nana croit l’avoir rencontrée dans un drôle d’endroit. Mais on se récrie. (Ibid. F°65)
Muffat en passe de faire toutes les folies, et Nana prête à les accepter, mais froide.
Il lui demande si elle a sa soirée libre. Sans doute, malgré le mensonge, elle explique et veut rester avec lui mais elle est gênée. (Ibid. F°67)
Elle lui dirait bien que sa femme le fait cocu mais elle est bonne fille. (Ibid. F°69)
Elle feignait bien de plaisanter ; mais elle se fâchait parfois, lorsque le comte de Vendoeuvres, pour la taquiner, (Ibid. F°69 verso)
Des lumière (sic), une ombre de femme. Mais il [Le chambellan] ne monte pas.
Ses doutes – Idée d’une séparation. Mais scandale.
Il veut se recoucher, se consoler s’absorber en elle. Mais Zoé embarrassée, Nana arrivant ébouriffée, prétextant quelque chose qui la tient debout.
Zoé a foi en Nana. Elle la gronde de ses coups de tête. Mais elle l’attend, elle lui reste fidèle. (Ibid. F°70)
Elle pousse Muffat dehors. Celui-ci sort, va rôder autour de l’endroit, mais ne monte pas. (Ibid. F°71)
Pas de détails sur les femmes qu’ils ont eues. Mais les femmes se donnent des détails entre elles sur les hommes. (Ibid. F°74)
L’idée d’une séparation peut venir à Muffat. Mais les discussions, l’alcôve étalée.
Zoé a toujours foi en Nana. Elle la gronde, mais dit que cette fille ira loin. (Ibid. F°75)
Pendant ce temps, Zoé est restée bravement sur la brèche, défendant les intérêts de sa maîtresse, réglant tout, assurant la retraite. Mais ne venant pas voir sa maîtresse, parce qu’elle sait qu’on la suit.
Bosc et Prullière. Celui-ci faisant des tentatives pour coucher. Mais elle aime Fontan. (Ibid. F°79)
Nana rit, l’autre prend ses restes; mais on dit que c’est Muffat qui l’a lâchée, et elle sefâche, sur le trottoir. (Ibid. F°80)
Projet d’aller à la maison d’Asnières, mais on n’y va pas.
Fontan est alors rentré au théâtre. Mais il se fait nourrir toujours. (Ibid. F°81)
[Muffat] Il a tâté de Rose Mignon et d’Amy Stewart ; mais c’est Nana qu’il veut. (Ibid. F°84)
Si elle reste, c’est pour ne pas payer le dédit, et parce que la pièce est de Fauchery auquel elle garde de l’amitié. (Mais Mignon a des projets)
Mais Mignon arrive avec Muffat. (Ibid. F°91)
Mais lui, voit plus loin que ça. Il a vidé son Muffat.
idée de séparation, mais scandale, alcôve étalée (Ibid. F°92)
Après la première émotion (à trouver), Muffat faisant ses offres ; ce qu’il donnera, hôtel et rente ; mais à la condition qu’il sera seul. (Ibid. F°92-3)
Mais quelqu’un, Fontan, qui a entendu, court prévenir Mignon (…). (Ibid. F°93-4)
Bordenave parle de sacrifice. Mais Mignon se fâche et finit par tirer le dédit. (Ibid. F°94)
Il offre un hôtel, une rente, etc. ; mais il veut être seul; Nana l’écoute en silence, puis accepte (Ibid. F°95)
L’idée d’une séparation chez Muffat. Mais le scandale, l’alcôve étalée. (Ibid. F°96)
Vengeance de Rose, faisant surprendre la comtesse avec Fauchery, pour que Muffat quitte Nana. Mais Nana heureuse. (Ibid. F°97)
Elle connaît les hommes, se vengeant de Fontan et de son insuccès. Mais bonne fille quand même.
[Muffat] Lui n’exige que de la fidélité. Elle la lui jure. Mais elle entend s’occuper de lui. (Ibid. F°98)
Jaloux les uns des autres, mais sans duel.
Ils ne se supportent pas entre eux ; mais ils doivent supporter Satin. (Ibid. F°100)
[Daguenet] Il est devenu l’amant de cœur de Blanche de Sivry. Mais il veut rompre, il devient sérieux. (Ibid. F°102)
Je peux le montrer serrant la main à Juillerat, qui est toujours avec Rose Mignon ; mais qui a toujours des toquades à droite et à gauche.
Et Georges devient sombre. Il n’a encore été jaloux de personne, mais il est jaloux de son frère. (Ibid. F°103)
[L’homme dévôt] Mondain toujours. Mais commençant à terrifier Muffat. (Ibid. F°106)
Tout le monde offre à Nana de l’épouser. Georges surtout (c’est ce qui amène son suicide.) Mais elle bonne fille refuse. (Ibid. F°107)
Pas de détails sur les femmes qu’ils ont eues. Mais les femmes se donnent entre elles des détails sur les hommes. (Ibid. F°108)
[Vandoeuvres] Mais lui a trafiqué avec un bookmacker (sic) (…).
Mais en même temps il fait prendre sur Nana tout ce qu’il trouve, il ramasse tout (…). (Ibid. F°116)
Quant au gain de Vandoeuvres, le voici. Il égalise ses pertes sur Lusignan. Mais il a parié 2000 louis sur Nana à 30 contre un ce qui fait 60000 louis (1200000 fr). (Ibid. F°117)
Une première rupture. Puis raccommodement, mais avec des crises. (Ibid. F°118)
Ne pas oublier les conversation (sic) sur les courses ; à bâtons rompus avec des noms de chevaux, de jockey (sic) ; mais garder pour le grand prix. (Ibid. F°120)
On est ainsi tenu au courant sur Vandeuvres. Mais il vient lui-même, il emmène Nana. (Ibid. F°121)
Elle n’ajouta pas un mot. rien Mais elle ne quittait pas la chambre. (Ibid. F°122 verso)
Nana plus entourée encore et triomphant, répétion (sic) de l’effet, mais agrandi. (Ibid. F°123)
Nana aimable à la fin pour la Faloise Mignon le constate. Mais Labordette revient (…).
[Vandoeuvres] Il a été exécuté aux Courses Domaine de Picardie.et au cercle Cercle impérial; puis il s’est fait flamber avec ses chevaux; mais on dit, qu’il a été lâche qu’il s’est sauvé et qu’il vit quelque part. (Ibid. F°124)
Le docteur Tavernier, jeune, gai, plaisantant, mais ne couchant jamais, se faisant très bien payer. (Ibid. F°131)
Idée de souffleter Fauchery, idée de plaider en séparation. Mais Nana combat ça.
Muffat dit jamais, mais elle le convainct (sic) presque. (Ibid. F°132)
Sabine lui faisant un peu de morale lui plein de remords déjà, repris par la religion, mais courbant la tête, allant à la chair. (Ibid. F°135)
Lui, déjà plein de remords, repris par la religion, souffrant horriblement de sa situation, mais allant quand même à la chair. (Ibid. F°136)
Gaga et sa fille en voiture, Gaga luttant toujours et travaillant pour que sa petite reste sage. Mais l’enfant s’ennuie (…). (Ibid. F°137)
Mais ici, il faut dire à quel moment il [Georges] trouve Nana (…). (Ibid. F°140)
Mais justement Madame Hugon, qui vient pour Philippe, (…) trouve tout ouvert, marche vers les cris et voit Georges par terre.
Nana désolée, mais que faire. Ce qu’elle dit à Muffat. (Ibid. F°141)
(…) ça lui fait beaucoup de peine, mais ce sont eux qui sont après elle. (Ibid. F°144)
Zoé faisant son beurre. Rose Mignon veut l’avoir ; mais Zoé pourrait peut-être se retiré (sic). (Ibid. F°148)
Muffat veut se battre, mais le duel pas possible, ridicule. (Ibid. F°151)
Là Bordenave, mais un mot seulement. (Ibid. F°154)
Fontan passe : il apprend que Nana est là-haut. Il va monter, mais on lui parle de la petite vérole. (…)Labordette est venu, parce qu’il avait une affaire à régler, mais il n’est pas monté (…).
L’attitude des hommes. Mais Blanche arrive. (Ibid. F°155)
Puis, après quelques mots sur Nana (…), elles passent à leurs enfants à elles mêmes. Mais Clarisse et Simonne s’en vont (…).
Labordette arrive avec Steiner, Daguenet lui aussi (…). Mais la porte s’ouvre les voilà. (Ibid. F°156)
Maria Blond, très contente qu’on se batte, très patriote, parle de suivre l’armée – Mais cela vient sur Bismarck (…).
Mais cette conversation qui doit me redonner la chambre est coupée par les cris des boulevards. (Ibid. F°157)
On raconte les faits antérieurs. Mais il y a toujours un peu de mystère. (Ibid. F°161).

[Madame Bron] Type de la portière, mais affectant des airs dignes, et pénétré de son rôle. (NAF Ms. 10313, Nana. F°169- Personnages)
[Daguenet] Il est passé amant de cœur ; mais il donne des cadeaux, ce qui coûte encore cher.
Bien mis. Mais il a pour lui une voix d’une douceur infinie. (Ibid. F°172)
[La Faloise] Il est avec Clarisse Besnus, mais il voit Gaga et se met avec elle (…). (Ibid. F°173)
[Fauchery] Son père a été fermier d’annonces et a fait une grande fortune. Mais il tient son fils assez serré. (Ibid. F°174)
[Gaga] Portrait physique : Devenue grosse, mais sanglée et contenue dans un corset.
[Amélie] Dix-huit ans, jolie, pensionnaire, l’air un peu bête, mais voulant y passer. (Ibid. F°177)
[Madame Maloir] Une vieille femme, à l’air respectable, et proprement mise avec des robes de couleur sombre, mais ayant toujours des chapeaux extraordinaires.
Elle a un peu de moustache. Mais femme digne, ayant des manières (…).
Le somnambulisme, un trésor caché quelque part, avec un vieux plan trouvé dans la couverture d’un livre. Mais il faudrait de l’argent. (Ibid. F°184)
[comte Muffat] (…) son père était mort, mais toute sa famille fidèle aux Bonaparte n’avait rien accepté ni de la restauration ni de Louis-Philippe. (Ibid. F°187)
Esprit un peu lourd, mais droit. (Ibid. F°188)
[Sabine] A coup sûr, elle a eu un amant vers 26 ans, il y a huit ans. Mais elle cache ses désordres avec une habileté rare (…). (Ibid. F°189)
[Nana] (…) elle a dix-sept ans. Mais elle est très-forte, on lui donnerait au moins vingt ans.
Quelques taches de son qui reviennent l’été, mais très rares, cinq ou six sur chaque tempe comme des parcelles d’or. (Ibid. F°191)
Obéissant à sa nature, mais ne faisant jamais le mal pour le mal, et s’apitoyant.
(…) devenant une force de la nature, un ferment de destruction, mais cela sans le vouloir, par son sexe seul et par sa puissante odeur de femme (…). (Ibid. F°192)
Ne pas la faire spirituelle, ce qui serait une faute ; elle n’est que la chair, mais la chair avec toute sa grâce. (Ibid. F°193)
[Madame Robert] Jolie, mais figure douce et un peu effacée. (Ibid. F°195)
[Satin] Très belle-fille, blonde comme Nana, mais d’un blond cendré, une figure de vierge raphaelesque (…). (Ibid. F°196)
[Steiner] A ses bureaux rue Rougemont. Marié. Mais personne ne connaît sa femme. (Ibid. F°198)
[Amy Stewart] Mal faite, la taille trop courte et pas de cuisses. Mais très bohème, phtisique et ne mourant jamais (…). (Ibid. F°199)
[Madame Tiby] On ignore où elle couche, ce qu’elle fait, comment elle vit ; mais on sait qu’elle est avec une invalide qui a une jambe de bois (…). (Ibid. F°200)
[Vendoeuvres] Pourtant soutenant le trône et l’autel, se battant peut-être sa cause, mais parce qu’il faut faire cela (…). (Ibid. F°202).

Je montrerai cinq ou six femmes autour d’elle (…). Mais surtout je réunirai un personnel d’hommes très nombreux (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F° 208- Ebauche)
Mais il faudrait une autre intrigue pour corser ça davantage. (Ibid. F°210-1)
Mais Nana l’[Philippe Hugon] empoigne et le voilà qui tourne mal pour elle. (Ibid. F°211)
[Nana] (…) bonne fille malgré tous les malheurs qu’elle causa, riant au dessus, mais emportée par un besoin de jouissance, de dépense, de gaspillage effréné. (Ibid. F°212)
J’aimerais assez qu’elle eut encore son appartement ; mais qu’une cause quelconque l’empêchât d’y rentrer.
Mon homme mûr aimera, mais il faut qu’il soit poussé à cet amour. (Ibid. F°215)
Mais ce qu’il me faudrait, c’est l’attitude de la femme. (Ibid. F°215-6)
Nana s’en occupe, fait accepter au père ; mais dès que le jeune homme est marié : il coupe court aux demandes et laisse l’homme mûr dans la misère. (Ibid. F°218)
La fille du boulevard sera une amie de Nana, du quartier de la Goutte d’or ; pas de charme ; jolie pourtant ; mais voyou au possible. (Ibid. F°220)
(…) elle a un amant, mais jamais qu’un à la fois, un homme sérieux. (Ibid. F°221)
Pas encore très-riche, mais lancée de la veille. (Ibid. F°222)
Le drame le plus simple, c’était de lui donner une femme, et de faire qu’il y ait lutte entre ses désirs d’amant et ses devoirs d’époux ; mais je repousse cela. (Ibid. F°225)
(…) tout au plus puis-je donner des instincts de dévotion à Muffat, pour ménager un dénouement ; mais il me faut chercher mon petit drame ailleurs. (Ibid. F°226-7)
Nana resterait le personnage sympathique, se donnant, mais en bonne enfant, inconsciemment. (Ibid. F°227)
Muffat doit être un honnête homme, un esprit un peu lourd, mais droit. (Ibid. F°229)
Elle a pu commencer à tromper Muffat depuis six ans, lorsqu’elle avait vingt-six ans ; mais elle le trompait avec une telle habileté, une telle réserve, que non seulement il ne se doutait de rien, mais que le monde hésitait à se prononcer. (Ibid. F°230)
S’emballant comme toilette, comme langage, comme tenue, dans les dernières années de l’empire ; mais comme tout le monde s’emballait (…). (Ibid. F°231-2)
(…) le directeur Bordenave la [Nana] pousse ; puis des amants inconnus derrière, mais rien de sérieux. (Ibid. F°233)
Je le ferai sans doute voyager avec Amy Stewart. Mais il reviendra à Nana plus tard, dans la seconde période (…).
Hector de la Faloise sera avec Clarisse Besnus au commencement. Mais au dîner il verra Gaga et sera séduit (…). (Ibid. F°234)
Léon Juillerat, un garçon qui procède par toquade, très parisien, mais se toquant, mangeant une belle fortune. Il est avec Amy Stewart. Mais lui fait volontiers des pointes dans le vice d’en bas.
[Juillerat] Pas de grande fortune ; mais gagnant pas mal d’argent (…). (Ibid. F°235)
Au dîner, Rose Mignon le fait, et le garde dès lors ; mais il s’échappe souvent (…).
(…) on ne sait jamais s’il [Labordette] couche ou s’il ne couche pas ; mais une fille ne s’installe pas, sans prendre son avis (…). (Ibid. F°236)
[Chouard] Il est avec Amy Stewart au commencement ; mais il ne reste pas là. (Ibid. F°237).

Merci mille fois, non pas de votre article, mais (NAF Ms. 10313, Nana. F°249 verso- Notes)
Les pas jolies, mais spirituelles, le chien. (Ibid. F°252/1)
On s’embrasse, on se prend la taille. En haut mais pas de cochonneries. L’honneur. (Ibid. F°258/7)
Elles sont l’instrument, ni le cul ni le cœur. Mais les hommes y vont carrément des deux. (Ibid. F°263/24)
Sa théorie est qu’il faut, non pas un amant, mais trois au moins. – Arrivant à singer la femme du monde, ayant de l’esprit à force de se frotter, mais lâchant un merde de temps en temps. (Ibid. F°278).

Pot-Bouille (1882)

Je ne puis prendre qu’Octave Mouret. Mais il faut alors qu’il tienne une place, et que je lui donne un caractère (MS NAF 10321, Pot-Bouille, f° 381)
Mais il faudrait donner une grande importance à Octave (Ibid., f° 383) / Jusqu’ici, je n’ai pas la grande ligne philosophique. Il me faudrait peut-être pour l’avoir prendre un ouvrier et le poser en comparaison. Mais non, il suffira de montrer la pourriture d’une maison bourgeoise (Ibid., f° 386)

La Terre (1887)

Je veux faire le poème vivant de la terre, mais sans symbole, humainement. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 400/1 – Ebauche)
(…) Mais le sujet n’est pas là. Il est dans la Terre, encore un coup. (Ibid., f° 402/3)
(…) Jean-Macquart (…) Mais comment le mêler à l’action d’une façon centrale ? (Ibid., f° 404/5)
(…) Mais des querelles éclatent, un oncle entre en scène, Schurlè qui est le parrain, et qu’on dit être le père de Louise. (Ibid., f° 407/6)
(…) Il reviendra par héritage. Et il répond : Mais Louise. Non ! L’entêtement stupide. (Ibid., f° 414/15)
(…) Le père aurait pu louer la terre à ce frère. Mais non j’aimerai [sic] mieux pas de parentée [sic]. (Ibid., f° 416/17)
(…) Ou bien confondre Beaugrand avec Bouffard, mais ne pas trop accumuler les crimes sur Bonhomme. (Ibid., f° 422/23)
(…) La politique l’ [Jean Macquart] ennuie. Mais je puis le modifier. (Ibid., f° 430/31)
(…) Mais Jean reste toujours effacé, avec un pauvre rôle. (Ibid., f° 431/32)
(…) Il [Jean Macquart] la [Louise] veut pour femme ; mais on le regarde comme trop âgé, et surtout il est ouvrier, pas paysan. (Ibid., f° 432/33)
(…) Le jour où Bonhomme la [Louise] prend ; elle pourrait crier, sa sœur est près de là, mais elle ne dit rien : peut-être aimerais-je mieux que ce fut la seconde fois. (Ibid., f° 433/34)
(…) Dans ce cas, il faut une mort de Louise terrible. Je la voudrais occasionnée par Bonhomme. Pauline pourrait être reprise par lui, dans une de ces secousses de colère ; mais cela n’est pas assez.(Ibid., f° 433/34)
(…) Il faudrait que Bonhomme ait rêvé de la [Louise] supprimer et trouver un moyen où il la tue, par vengeance et pour avoir la terre. Mais crime sourd (Ibid., f° 433/34)
(…) Bonhomme (…) Dès lors, son bien périclite, et sa rage contre la marâtre, qu’il faut cultiver : est-ce qu’il ne l’aime pas assez, est ce qu’elle ne devrait pas tout lui donner. Il ne faut plus dès lors, le mettre à la ferme, mais l’enfoncer dans la routine. (Ibid., f° 445/46)
(…) un jour, la brute tue le vieux mari, sans qu’on puisse le soupçonner, pour avoir la femme et la ferme ; mais elle refuse de l’épouser, elle en prendra un autre, elle a pu reprendre Jean, qui l’aime toujours, et alors il met le feu à la ferme. (Ibid., f° 465/57)
(…) Quant à la question politique, elle pourrait venir d’une élection. Mais cela est bien gros et me demanderait de la place. (Ibid., f° 475/67)
(…) L’épargne, des paysans, comparée à la dépense des ouvrières de la ville sera incarnée dans le vieux et dans tous d’ailleurs ; mais surtout dans le vieux, et dans le gendre (Ibid., f° 482/74)
(…) Je crois donc qu’il ne faut pas incarner la terre dans un personnage. (…) Mais pourtant, je puis mettre de la terre dans Louise, un peu abêtie, très bien portante, lourde et inconsciente, fertile, grasse en odeur. (Ibid., f° 485/77)
(…) Mais quand il veut épouser la servante, elle refuse ; et il incendie la ferme. Cela vaut beaucoup mieux. (Ibid., f° 490/82)
Figure régulière, mais un peu épaisse (MS NAF 10329 La Terre F° 5 – Personnages, Jean Macquart)
Un soldat mais un soldat de garnison (Ibid., F° 5)
Mais je voudrais Jean plus large dans le roman (Ibid., F° 6)
Mais ne pas oublier son caractère, lent, peu intelligent, raisonnable, honnête (Ibid., F° 7)
Mais cette autorité fléchit avec l’âge (Ibid., F° 15 – Personnages, Louis Fouan)
Petite elle aussi, mais grasse, ronde encore (Ibid., F° 17 – Personnages, Rose Maliverne)
Mais au fond, pas mauvais homme, surtout quand il est saoul (Ibid., F° 21 – Personnages, Hyacinthe Fouan)
Ressemble à son père, mais en bien (Ibid., F° 24 – Personnages, Fany Fouan)
Mais il ne faut pas que son intérêt, son droit surtout soit en jeu (Ibid., F° 26-27 – Personnages, Honoré Delhomme)
Assez éclairé, allant volontiers aux méthodes nouvelles, mais sans hâte (Ibid., F° 27)
Des blouses aussi. Mais presque tout de suite des vestons (Ibid., F° 29 – Personnages, Ernest Delhomme)
Tient de son père au physique et au moral. Mais avec des différences sensibles (Ibid., F° 33 – Personnages, Joseph Fouan)
Il ne faut donc pas de la violence, de la brutalité seulement et continuelle ; mais un caractère plus compliqué quoique simple (Ibid., F° 34 – Personnages, Joseph Fouan)
Le paysan tout entier avec ses appétits au fond, l’amour de la terre qui est la caractéristique, l’intérêt, l’avarice, la luxure et l’ivrognerie, mais tout cela pas du premier coup (Ibid., F° 34-35)
Mais par-dessus tout la passion de la terre, qui le grise, qu le fait délirer (Ibid., F° 35)
Mais grandi par sa passion de la terre (Ibid., F° 36)
voulant tout de la terre en la violentant, profonds labours, du fumier, mais sans logique ni science (Ibid., F° 37)
Ridée, couturée, tannée ; mais encore ses dents (Ibid., F° 38 – Personnages, Marianne Fouan)
La personnification dure de la terre, mais pas nourricière comme elle (Ibid., F° 41)
Grande comme sa grand-mère, mais pâle, effacée, tremblante (Ibid., F° 42 – Personnages, Palmyre Pégout)
Puis, des gros travaux, quand il n’y a pas de couture. Mais sans force et s’exténuant (Ibid., F° 42 – Personnages, Palmyre Pégout)
Mais infirme, les deux jambes tordues (Ibid., F° 44 – Personnages, Hilarion Pégout)
gros yeux, grosse bouche, gros nez, mais agréable (Ibid., F° 47 – Personnages, Lise Fouan)
– Bonne ménagère, active et bruyante – Mais gourmande, s’oubliant à des chatteries toute seule, et glissant même un peu à la paresse – (Ibid., F° 47)
Mais cela la laisse encore vague, et je la voudrais très nette, très simple (Ibid., F° 52 – Personnages, Françoise Fouan)
D’abord jeune, sachant tout comme les filles des champs, mais sans perversité (Ibid., F° 52)
Le masque des Fouan, épais et à gros nez, mais le tout très reposé, d’un blanc de cire (Ibid., F° 56 – Personnages, Laure Fouan)
Pas d’enthousiasme trop vif, beaucoup de routine d’abord, et du progrès ensuite, mais combattu par toutes sortes de circonstances, et très lent (Ibid., F° 68 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
Et le faire arriver ainsi au rêve socialiste ; mais cela pas net (Ibid., F° 70)
Très vieux à la ferme, mais pas prêcheur, pas sorcier, pas de planètes ni de recettes (Ibid., F° 78 – Personnages, Soulas)
Mais pas de type banal d’honnêteté, de devoir (Ibid., F° 79)
opinion conservatrice exagérée, en opposition avec les idées de J.-C. ; mais une opinion extraordinaire, à lui (Ibid., F° 83 – Personnages, Evariste Bécu)
Et j’aurai Lengaigne, le bureau de tabac républicain, mais sans oser l’avouer, à cause de sa situation de buraliste (Ibid., F° 88 – Personnages, Eugène Macqueron)

Le Rêve (1888)

Poser d’abord Beaumont-l’église (…) mais sans l’histoire des abbés et des Hautecoeur (…) et arriver à l’église, mais sans détail, la montrer seulement faisant ombre sur la maison des Hubert (MS NAF 10323, Le Rêve, Deuxième Plan détaillé du chapitre II, f° 16) \\Je ne voudrais pas avoir encore la description de l’église. Mais il faut que j’en aie la masse, pour faire ombre sur la maison.(…) Les bourdonnements de l’église. Mais sans détail (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
(…) L’histoire de Beaumont l’église doit être là pour poser le milieu cloîtré. Mais sans détail sur les Hautecoeur et les abbés (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 38) \\Mais surtout insister sur Angélique qui est devenue une artiste de premier ordre en broderie (…) Mais réserver
le travail le plus intéressant pour le moment où elle fait son rêve (Ibid., second plan détaillé du chapitre III, f°s 40-41)
Mais très naïf chez Angélique son rêve d’une jeune fille, pourquoi elle rêve le monde (Ibid., f° 42)
Mais tu es pauvre toi ! (…) Eh mais ! est ce qu’elle n’a pas épousé Jean (Ibid., 2ème Plan détaillé du chapitre III. f° 43)
L’idée de la richesse : mais tu es pauvre ! (…) Mais je mêle les Hubert (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 47)
Un tombeau d’un Hautecoeur dans l’église, des pierres tumulaires, mais surtout les deux mortes heureuses (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 53)
Mais surtout ce qu’on voit de là : l’évéché, si touffu l’été, le Clos-Marie avec ses détails (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 56)
Enfin des faits. Mais surtout le sens que prend alors le dehors (Ibid., Deuxième plan du chapitre IV, f° 57)
Mais surtout le roman en bas et l’élancement du gothique en haut. Un mot des différentes époques de construction. Mais voir à réserver la façade : un mot seulement (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
C’est là où elle s’enlève quelque chose du corps pour le donner. Voir les souliers et ses bas. Ou un foulard. Enfin quelque chose de sa nudité, mais très chaste, doit paraître (Ibid., plan détaillé du chapitre V , f° 76)
Plus
de rire, un grand frisson. Mais de la peur chez Angélique (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f°s 76 – 77)
Donc combat, inquiétude, mais tout cela délicieux (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI f° 79)
Combat, inquiétude mais tout cela délicieux (premier plan du chapitre VI, f° 85)
Mais la chambre s’éclaire. La lune se lève Et Angélique voit la chambre. Reprise de la description, le lit surtout (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 94)
Mais je voudrais que son instinct de Rougon-Macquart, que sa passion et son orgueil se réveillent un instant (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Mais la scène très chaste, tout de suite saisie par cette chambre de jeune fille dont la description revient (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 99 )
C’est la première fois qu’on voit monseigneur. Son portrait . Le faire ressemblant à Félicien mais ne pas le dire encore (…) Mais rien encore de précis (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Mais cette fois Angélique a bien reconnu Félicien (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 113)
Mais Hubertine s’est inquiétée d’Angélique (Ibid., plan du chapitre IX, f° 120)
mais sans être vaincue au fond (Ibid., f° 124)
L’âge, la prière ont dû apaiser ce grand chagrin. Mais non ! (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f°130)
J’ai indiqué qu’Hubertine suivait Angélique et assistait cachée à la scène, puis emmenait la jeune fille . Mais je crois que cela sera inutile. Angélique seule, ce serait sans doute mieux (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)
Mais Hubertine revient justement du cimetière, et son silence (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 149)
Mais le chapitre est surtout pour montrer le ravage chez Angélique (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
J’avais mis un chant de Félicien qui l’appelait au dehors. Mais c’était coco et cela allait contre la jalousie d’Angélique (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 154)
Mais pour que la scène ait toute sa signification et soit complète, il faut bien montrer la lutte entre son hérédité (…) et le milieu et l’éducation (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
Elle peut travailler à la lampe (…) Félicien monte (…) mais cette venue ne peut avoir lieu que sur un motif (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 164)
Grande scène de lune et de passion, mais chaste (…) la faire si immatérielle que la scène reste très pur / sic/ (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 165)
Mais, surtout,
Angélique dans son grand lit (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f°s 170-171)
Mais il faut que je revienne en arrière (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 171)
Je voudrais que l’attitude de Monseigneur resta / sic/ rigide (…) Mais je voudrais aussi laisser entendre à quel point il est bouleversé (…)Mais il reste debout, inébranlable. Jamais ! (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 172)
Beaucoup de simplicité, rien que deux bouquets de fleurs blanches. Mais une grande pureté, une grande blancheur (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
Mais là dire que Félicien a parlé à son père (…) mais je crois qu’il ne doit arriver qu’après la cérémonie (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)
Donner
aussi un doute à Hubertine, mais ni à Hubert ni à Félicien (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° s 182-183)
Mais tout de suite, je veux poser qu’elle va mourir et qu’elle le sait (Ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 186)
Mais à la sortie, au moment où elle va entrer dans la réalité (…) la mort qui la prend (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 193)

Un air de vierge de vitrail, mais vivante, gaie et saine (MS NAF 10323, Le Rêve, Personnages, f° 198)
Félicien (…) un peu l’air d’un Jésus, mais viril quoique blond (Ibid., f° 200)
Hubert (…) traits un peu tourmentés , mais d’une beauté de caractère (Ibid., f° 208)
Claire de Voincourt (…) belle un peu froide et correcte, mais bonne (Ibid., f° 202)

Lourdes (1894)

Mais j’ai le second volume « Rome » (…) \\. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s4-5)
Mais ce que je veux surtout c’est peindre
une passion prête à déborder et qui se contient. (Ibid. F°s6-7)
Mais ne pas oublier que je ne veux pas l’Italie poncive, la Rome cossue (…). (Ibid. F°8)
Mais je reviens à mon prêtre qui n’a pu croire simplement, et qui n’a pu amener une conciliation entre le catholicisme et les idées modernes. (Ibid. F°13)
Il n’a toujours pas la foi qui ne se commande pas, mais il fait un effort suprême pour vaincre son être (…) \\. (Ibid. F°s14-15)
Mais dans le début du livre opposer violemment les deux frères (…). – (Ibid. F°17)
J’ai dit que mon héros serait un anarchiste ; mais je n’en sais rien, ce sera peut-être un évolutionniste (je préférerais cela). Mais il faut toujours qu’il y ait un crime commis par lui contre les lois, un assassinat politique, ou autre chose, du sang. (Ibid. F°18)
Très étrange, chimiste comme son père, mais original et silencieux, sauvage et doux, voulant vivre à part. (Ibid. F°19)
La Foi seule féconde, mais la foi impossible, au naturel. (…) Mais je ne puis aller contre les idées de toute ma vie, je suis pour l’évolution, je suis pour la satisfaction de tous les besoins, pour la nature, pour les besoins naturels contentés. (Ibid. F°20)
Je ne puis guère prêter à mon socialiste que ces idées-là, et ce sera donc un évolutionniste. Mais alors
pourquoi assassin. (Ibid. F°s21-22)
Et un croyant lui aussi. Mais toujours, dessous, la souffrance humaine. (Ibid. F°22)
Mais le rêve chrétien paraît épuisé, et il faut un autre rêve. (Ibid. F°26)
Mais jusque-là, l’hérédité agit (…) et c’est ce qui ramène les courants de spiritualisme, la réaction de notre fin de siècle par exemple – (Ibid. F°27)
Dans Rome, je pourrais montrer l’écroulement du vieux catholicisme, l’effort du néo-catholicisme pour reprendre la direction du monde : (…) mais échec sans doute. – Dans Paris enfin, le socialisme triomphant, une religion humaine à trouver (…) – Mais ne pas trop m’asservir à la réalité. (Ibid. F°28)
D’abord, je voudrais mettre partout Bernadette, la détacher sur tout le roman. Une petite figure de vitrail, mais telle qu’elle a été. (Ibid. F°30)
Pour arriver à suivre d’abord l’idylle de l’enfance, l’apparition, puis le drame de l’âge mûr, il faudrait trouver un procédé, quelque chose qui reviendra, des chapitres comme des refrains sans doute, enfin je ne sais pas trop, mais cela suivant toujours l’histoire que je conterai. (Ibid. F°33)
Une ville nouvelle enfin, enrichie – Mais en même temps une ville démoralisée. (Ibid. F°34)
L’évêque Laurence qui ne croit pas, mais qui finit par céder : Mon Dieu ! pourquoi résister au triomphe de la religion. (Ibid. F°38)
Cela n’entrave pas le mouvement de la science, mais expliquer comment cela se produit. (Ibid. F°41)
Mais quelle affreuse chose que ce Lourdes ! (Ibid. F°44)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « (…) Refaire des os, refaire de la chair, instantanément, mais c’est le miracle, et si je pouvais le faire, je serais Dieu. (…) » – (Ibid. F°46)
Plus tard
le premier médecin donne bien de nouveau un certificat, disant que l’enfant est guérie. Mais, alors, se pose la question : quel est ce médecin ? (…) D’autre part le dr Boissarie n’avait pas vu la plaie. Il y a bien les dames de la piscine ; mais, malheureusement, Clémentine avait gardé son pansement (…). (Ibid. F°s46-47)
Mais je ne veux pas, je ne puis pas faire cette œuvre.  (…) Mais maintenant dix-huit siècles ont épuisé cet espoir. (Ibid. F°51)
Il veut un idéal plus humain, du bonheur sur cette terre, le partage des richesses (…). C’est bien toujours un rêve, mais un autre rêve. (Ibid. F°52)
Je ne résous pas ici le problème, mais j’étudierai ce sentiment à notre fin de siècle, en mettant en face les pèlerins et mes anarchistes, le passé et l’avenir. (Ibid. F°54)
Cela sera assez difficile à mettre, mais il le faudra au second plan. – Et plus loin encore, (…)
tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (Ibid. F°s56-57)
Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
comment raconter tout Bernadette (et aussi le Lourdes ancien, Peyramale et les Pères), si mon roman se passe de nos jours ? (Ibid. F°s57-58)
Ce sera difficile, mais la voie est là, je pense. (Ibid. F°59)
Mais, alors, il faudrait tout de suite étudier les deux volumes jumeaux. (Ibid. F°61)
Mais moi, si je veux rétablir la vérité, je n’ai qu’à reprendre l’affaire, l’enquête, au point où elle a été abandonnée.– (Ibid. F°65)
Et il faudrait que je puisse interroger (…) le baron de Massy (…) : un [cr biffé] catholique, m’a-t-on dit, mais qui n’a jamais cru à la Vierge de Lourdes (…) \\. Quand j’aurai ma Bernadette tout entière, je la ferai bien humaine, telle qu’elle était, mais extrêmement touchante, et martyre. (Ibid. F°s65-66)
Mais le centre, c’est l’idée de la souffrance humaine ayant besoin d’illusion. – (Ibid. F°68)
Mais c’est son état civil qui me gêne. Je répugne à en faire encore un médecin, à cause du docteur Pascal. Ce qui me tenterait ce serait d’en faire un prêtre, mais combien ce serait difficile. (Ibid. F°73)
Imaginons un jeune prêtre, trente-deux ans, tombé dans l’incroyance, mais ne l’avouant à personne. (…) Il (…) continue à faire son métier de prêtre, très correctement, mais déchiré de doutes. Que faudrait-il faire ? il n’en sait rien, il cherche. Jeter la soutane (…). Il le ferait volontiers, mais là l’éducation reçue au séminaire agit, et il est un peu apôtre – (Ibid. F°74)
Il la voyait en vacances, il l’aimait très chastement, très purement, et
il aurait peut-être réussi à tout, s’il avait pu l’épouser ; mais on ne pouvait épouser cette enfant malade, condamnée (…). (Ibid. F°s74-75)
Deux filles : l’infirme qui ne peut rien faire (corps dévasté, mais tête adorable) et une autre fille (…) \\. (Ibid. F°s75-76)
Je les fais de la province, mais ils sont venus dans un faubourg de Paris, ou bien même dans un endroit comme Clichy ou Levallois-Perret (…). – (Ibid. F°76)
Il [Pierre] s’est donné à Dieu (…) librement, honnêtement, mais poussé peu à peu par le chagrin de ne pouvoir l’épouser. Et si Dieu la sauve maintenant, n’est-ce pas une ironie ; mais ce n’est pas Dieu, c’est un effet naturel. (Ibid. F°77)
Mais il ne dira rien, il reconnaîtra la force de la crédulité, la bonté de cette consolation, tout en sentant la nécessité d’autre chose – Très intelligent, mais restant à l’[égard biffé]écart, ne voulant pas spéculer sur une religion à laquelle il ne croit plus. Très travailleur, [sa biffé] apprenant beaucoup à l’écart, mais très simple, très pur et maître de lui. (Ibid. F°s78-79)
Mais tenir compte que j’aurai besoin de lui dans les scènes principales. Dans la 1ère partie, je l’ai tout le temps et très naturellement. – Dans la seconde, je l’aurai aussi (…) ; il se sera hospitalisé, rendra
des services ; mais pas comme prêtre. (Ibid. F°s80-81)
Il faudrait lui donner du [moment biffé] mouvement. Ou bien le garder immobile, mais alors tirer de là une originalité. (Ibid. F°82)
Il est incroyant, il [attend biffé] ne vient pas précisément pour être converti ; mais il [attend biffé] peut attendre tout de même la grâce, car ses années de séminaire repoussent. (Ibid. F°82)
Mais Lourdes opère sur lui dans le sens contraire. Elle ne le guérit pas comme la malade. (Ibid. F°83)
La mère sera morte ; mais je ferai bien de [plu biffé] lui donner un frère (…). (Ibid. F°85)
Dans « Lourdes », je ne dirai
qu’un mot du frère pour le poser et le réserver. Mais, dès « Rome », je l’utiliserai sans doute. (Ibid. F°s85-86)
Tout ce qu’on lui apprenait le surprenait, mais il en arrivait à faire le sacrifice de sa raison, qu’on lui demandait. – (Ibid. F°88)
Mais ce médecin (…) aide au doute chez le prêtre. (Ibid. F°90)
Mais depuis un an qu’elle [la mère] n’est plus là, la misère noire. (Ibid. F°92)
On le sait très intelligent, on lui a fait des offres à l’archevêché, où l’on voudrait se l’attacher. Mais il a tout refusé. (Ibid. F°93)
Il rêve de grandes charités (mais cela viendra surtout à la fin, après Lourdes, avec l’idée d’une religion de la souffrance humaine.[)] (Ibid. F°94)
A la fin, il faut que je le fasse croire simplement à une religion de la souffrance humaine. Mais ses objections, au nom de la raison, n’est-ce pas mauvais pour la raison, de la supprimer. (Ibid. F°95)
J’en fais donc une veuve, de bonne noblesse restée seule avec sa fille, pas belle, mais assez agréable. (…) C’est la fille qui
fait un peu le mariage ; la mère y [ed biffé] aide aussi, mais tout en soignant admirablement [la biffé] sa salle. (…) Mais un dévouement absolu, un cœur d’or. (Ibid. F°s100-101)
Je poserai le président [qu biffé] de l’Hospitalité du Salut. Mais je ne sais pas si je mettrai d’autres brancardiers ; je les montrerai à l’œuvre. J’ai peut-être envie de mettre un très grand seigneur, très chic, qui se dévouerait
absolument ; mais alors, une simple figure de fond. (Ibid. F°s102-103)
Un peu folle, riant, parlant tout haut. Le type est joli. Mais je ne le vois pas bien fondu
dans le récit. (Ibid. F°s104-105)
La petite fille avec sa mère. Je [l’ai biffé] les fais [extrêmement biffé] pauvres, [et pas biffé] mais ayant réuni l’argent du voyage. (…) La voix qu’elle croit avoir entendue. Alors a tout fait pour venir à Lourdes. Mais pas de protection (…) \\. (Ibid. F°s105-106)
L’enfant marchait encore, mais la fatigue du voyage. (Ibid. F°106)
Il y a ensuite les sœurs de l’Assomption. J’en voudrais deux, une plus âgée, chargée dans le wagon des provisions. (…) Mais j’en voudrais une surtout jeune, très agréable, sinon jolie. (Ibid. F°113)
Chez lui [Ferrand] de l’adoration (…). (…) Chez elle [sœur Hyacinthe] de la fraternité. Mais comment exposer et finir cette histoire. (Ibid. F°114)
L’autre sœur, plus âgée, très brave femme aussi mais tout à fait au second plan. (Ibid. F°115)
L’aumônier de la salle. (…)
Celui-ci intelligent tout de même, mais enfoui dans la foi. (Ibid. F°s115-116)
Comme pères de l’Assomption, je voudrai le père Picard, que j’appellerai autrement, mais que je décrirai identique (…). (Ibid. F°117)
Un homme qui affecte de pratiquer, mais qui vit sourdement contre la Grotte, parce qu’il a lui aussi un magasin d’objets de [pite biffé] piété dans une maison voisine. (Ibid. F°119)
Républicain, celui-ci [n biffé] criant contre la Grotte ; mais inquiet dès qu’on parle de la fermer, car il vit d’elle. (Ibid. F°120)
Admirable matinée ; mais déjà des buées et de petits nuages ronds, à l’horizon, qui annoncent une terrible journée de chaleur – (Ibid. F°122)
Mais, pendant que je donnais ces détails, on a passé à Juvisy (…). (Ibid. F°125)
Mme Maze offre du lait et des fruits à Rose. Mais celle-ci ne peut manger. Très poignant. (Ibid. F°125)
Marie
qui a été hospitalisée (pauvreté, mais aussi d’autres raisons), en face de cette enfant qui aurait mérité de l’être plutôt qu’elle. (Ibid. F°s125-126)
Mais on est à Etampes (6.32, une heure et demie après Paris.) (Ibid. F°126)
Il [M. Sabathier] est assis, mais quand il est fatigué, sa femme
lui allonge les jambes. (Ibid. F°s126-127)
Elle [la Grivotte] le [frère Isidore] croit phtisique : « Il est beaucoup plus avancé que moi ». Mais elle se trompe. (Ibid. F°127)
Mais pourtant ne pas le montrer encore incroyant, mais seulement débordé de charité et de tristesse (…) – (Ibid. F°130)
Mme [Vincent biffé] Maze, très discrète, ne dit pas sa douleur morale, mais faire deviner qu’elle ne va pas à Lourdes pour une blessure du corps (…). (Ibid. F°133)
M. Sabathier est assis ; mais sa femme lui allonge les jambes par moments pour qu’il
ne se fatigue pas trop. (Ibid. F°s134-135)
Pour que Pierre et [G biffé] M. de Guersaint restent avec Marie, on l’a
mise dans le compartiment voisin ; mais elle est avec Mme de Jonquière. (Ibid. F°s140-141)
Mme Désagneaux voudrait bien s’offrir, mais tous les compartiments sont distribués – (Ibid. F°141)
Très belle journée. Mais qui s’annonce très chaude. (Ibid. F°143)
Expliquer tout de suite que les autres années on s’arrêtait un jour et une nuit à Poitiers pour aller à Sainte-Radegonde, mais qu’une raison l’empêche cette année-ci. (Ibid. F°144)
Sa mère [Mme Froment] (35 ans) douce, mais catholique. (Ibid. F°146)
On l’a mis [Pierre] dans une maison dirigée par des prêtres. Mais quand il revient aux vacances ou plutôt non, il est élevé à la maison, par un prêtre et n’ira que plus tard au séminaire. (Ibid. F°147)
Et il [Pierre] la [Marie] regarde, (mais garder le portrait lamentable pour plus tard). (Ibid. F°147)
Le voilà donc au séminaire. Pas de détails. Mais déjà le prêtre qu’il [Pierre] sera. (…) On lui demande l’abandon de survivre, et il s’y efforce. Mais le frémissement. (Ibid. F°148)
[en interligne : (…) Tout ce qui en lui manquait le surprenait mais il [Pierre] arrivait à faire le sacrifice de sa raison qui le demandait.] (Ibid. F°150)
Mais la crise affreuse, il est prêtre, [et biffé] que va-t-il faire. (Ibid. F°150)
On lui a fait des offres de l’archevêché, [mais il biffé] car il [Pierre] est très intelligent, mais il refuse tout, il veut rester dans son humilité et son ombre, car il ne croit pas. Il est bien résolu à mater son intelligence, comme il a maté sa chair ; mais c’est plus difficile. (Ibid. F°151)
Donc il [Pierre] refuse, mais de telle sorte, que Marie doit s’apercevoir qu’il ne croit pas. (…) Mais on écarte Lourdes, pour d’autres raisons encore, l’absolu manque d’argent. (Ibid. F°153)
Mais il [Pierre] se décide surtout par tendresse pour Marie. Si elle pouvait guérir. (Ibid. F°154)
Mais je ne veux pas interrompre le train qui roule et le sentiment de la douleur dans le wagon. (Ibid. F°155)
Reprise de l’idylle, mais douloureuse, avec Marie [en interligne : déjà ruinée], immobilisée déjà : elle ne sera jamais femme, pourquoi serait-il homme ? – (…) La crise, le doute balayant tout. Mais il [Pierre] restera un prêtre honnête. (Ibid. F°157)
Le père paie son voyage, avec billet diminué. Pierre
paie le sien. Mais Marie ne paie rien (…). (Ibid. F°s158-159)
Mais on approche d’Angers, et là on s’arrêtera, on aura du secours, l’interne et les religieuses du train. (…)
Tous les ans, on s’arrêtait 24 heures. On allait à Sainte-Radegonde. Mais cette année, il n’y aura qu’un arrêt ordinaire, pour une cause quelconque. (Ibid. F°s159-160)
Et lui [Pierre], peut continuer l’enquête, mais se heurter à des difficultés. (Ibid. F°160)
Dois-je dire tout de suite que Marie, seule au monde, sait que Pierre ne croit pas, et qu’elle va prier pour lui. Oui. – Mais un fait qui l’a renseignée. (Ibid. F°161)
Dès l’arrêt du train, sœur Hyacinthe se précipite, monte dans le compartiment de l’homme (…). (…) Mais du temps perdu. (Ibid. F°165)
Donc Marie étendue, les yeux ouverts, maintenant ; abattue, mais heureuse de n’être [pas biffé] plus secouée. (Ibid. F°165)
Les autres années, on s’arrêtait (…) à Sainte-Radegonde. Cette année, un obstacle. Mais on croit que le père Massias avait un rendez-vous avec le curé de Sainte-Radegonde. (Ibid. F°168)
D’abord dans le wagon, (…)
l’homme avec sœur Hyacinthe (mais ne pas oublier que c’est l’homme qui doit me donner les Vigneron, le garder donc pour la fin du morceau) – (Ibid. F°s168-169)
Mais surtout Marie que les cahots terrifient ; et Pierre, et M. de Guersaint. (Ibid. F°172)
J’ai envie de mettre l’abbé Judaine (…). Mais je ne voudrais pas un curé de Paris. (Ibid. F°177)
Quand on renfourne toute cette souffrance dans le train, un cri de misère (…) ; et les cantiques, mais les sanglots aussi. (Ibid. F°178)
Mais il [l’abbé Judaine] s’intéresse aux Dieulafay, c’est lui qui les explique. (Ibid. F°179)
Mais, comme le train s’ébranlait, la portière se rouvrit et un employé poussa dans le compartiment (…) une fillette de quatorze ans – (Ibid. F°183)
Et cela de son ton modeste et futé ; mais elle [Sophie Couteau] récite un pers. (…). (Ibid. F°184)
Mais surtout montrer peu à peu l’intérêt que le récit, puis le pied montré, déterminent chez tous les malades. (Ibid. F°184)
Et non seulement le cri des plaies physiques, mais aussi le cri des plaies morales. (…) On vient pour les guérisons physiques, mais aussi pour les guérisons morales. (Ibid. F°189)
Et finir par l’homme lui-même [en interligne : (…) Bientôt il va mourir mais il aura espéré encore une fois.] (…) : il va mourir bientôt, mais il [aura espéré biffé] a rêvé sa guérison une dernière fois, il aura eu une illusion, une espérance encore. – (Ibid. F°190)
Mais il me faut un bel emballement, une série complète, et sans la peur de faire long, car tout le chapitre est là. (Ibid. F°194)
Bientôt, il [l’homme] va mourir, mais il aura espéré encore une fois. (Ibid. F°194)
Et non seulement le cri des plaies physiques, mais aussi le cri des plaies morales. (Ibid. F°196)
Mais là déjà je suis dans l’autre chapitre et j’ai commencé [de biffé] la lecture de Pierre sur Bernadette. (…) Elle doit durer une heure, mais c’est si intéressant, qu’on supplie la sœur de laisser continuer. (Ibid. F°199)
Surtout, on vient pour les guérisons.
Mais faire la part de ceux qui viennent demander la conversion de quelqu’un, etc. dans un but moral. (Ibid. F°s200-201)
On ne va demander que les guérisons physiques. Mais au fond c’est toujours le bonheur qu’on demande. (Ibid. F°201)
Déjà il [Pierre] la [Bernadette] croit une naïve et une véridique, mais il voudrait en être sûr. A-t-elle eu réellement des visions. La raison se révolte. Mais une hallucinée, et
il voudrait savoir comment et dans quelles conditions. (Ibid. F°s203-204)
Mes enfants, le silence maintenant ! – Mais tous protestent, la curiosité ardente, voulant savoir la suite. (Ibid. F°206)
Mais tout de suite la rue des Petits-Fossés, les parents, leur pauvreté, la maison et la chambre qu’ils habitent. (Ibid. F°206)
Mais bien voir où je devrais indiquer la formation de l’image de la Vierge chez Bernadette. (Ibid. F°207)
Toujours des secrets dits, confiés. Enfin, examen de tout. Mais très discrète. (Ibid. F°207)
Comment il [Pierre] la [Bernadette] voit humaine ; mais je crois bon de faire là qu’il s’imagine croire. (Ibid. F°209)
Mais surtout l’homme qui meurt, voir où je puis placer la mort. (Ibid. F°211)
Voit-on la grotte. Non, mais trouver pour que Bernadette revienne et termine. (Ibid. F°211)
Même, il [Pierre] pourra par moments quitter le livre, et parler de lui-même, avec (…) des qualités d’orateur sacré qu’il se connaît depuis le séminaire, mais dont il n’use pas – (Ibid. F°212)
Mais faire surtout qu’il [Pierre] ne se prononce pas alors ; car, s’il connaît beaucoup Bernadette, il y a, au fond de son voyage à Lourdes, le désir curieux d’étudier l’aventure de Bernadette sur place, de la mieux connaître, de se faire enfin une opinion. (Ibid. F°213)
Mais en attendant, cette nuit-là, dans le wagon, il [Pierre] ne parle que de Bernadette enfant. (Ibid. F°214)
C’est là que je [en interligne : voulais] mettr[ai biffé]e l’ancien Lourdes. Mais, décidément, je crois qu’il serait plus logique de le mettre au commencement. (Ibid. F°215)
La nuit tombe (il fait nuit à peu près à 8h). Mais le silence ne sera ordonné qu’à 9h en partant de Lamothe. (Ibid. F°216)
Pourtant un peu de fraîcheur. Mais on n’ose pas ouvrir les fenêtres, à cause des phtisiques. (Ibid. F°218)
Bernadette, par Lasserre (1 et suivantes Lasserre). (…) Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions (…). (Ibid. F°221)
On n’en voit pas un seul à la gare. Mais ils [les pères de la Grotte] sont derrière comme la force cachée et toute puissante. (Ibid. F°224)
[Mais surtout biffé] Et tout cela parmi le flot des voyageurs qui s’écoulent (…). Mais Madame Vincent surtout, avec Rose sur les bras. (Ibid. F°227)
Mais madame de Jonquière arrive enfin pour avoir des brancardiers (…). (Ibid. F°228)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague et un peu mystérieux. (Ibid. F°230)
Déjà un mot du mariage. (…) Mais rien de décidé dans la tête de Gérard, il a en vue d’autres jeunes filles. (Ibid. F°233)
Mais voici en outre les épisodes, qu’il
faudra ensuite classer logiquement.– (Ibid. F°s233-234)
On n’en voit pas un. Mais ils [les pères de la Grotte] sont derrière comme la force cachée et toute puissante. (Ibid. F°238)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague et un peu mystérieux. – (Ibid. F°239)
Mais c’est le 22 août au matin les pèlerins de Paris auxquels s’étaient joints les groupes de Cambrai, d’Arras, de Chartres, de Troyes, de Reims, de Sens, d’Orléans, de Blois et de Poitiers – (Ibid. F°241)
Elise Rouquet, qui marche, a un lit, mais ne se couche pas. (Ibid. F°246)
Il [Pierre] a pu espérer un instant qu’il croyait. Mais son malaise, ses doutes qui reviennent. Très important. Ne pas le révolter tout de suite ; mais un malaise, une sorte de répugnance, laissant du champ au débat. – (Ibid. F°248)
Alors l’histoire de l’homme, et le père Fourcade expliquant qu’on va demander la résurrection. Mais il faut d’ardentes prières, on priera jusqu’à quatre h. (Ibid. F°249)
La Grivotte sur un matelas par terre, ajouté. Elise Rouquet, le lupus, aussi. Mais celle-là peut marcher. (Ibid. F°251)
Mais surtout mettre ce défilé épouvantable dans l’admirable paysage de Lourdes, à huit heures par le soleil. (…) Mais pourtant, je ne fais que poser la Grotte, sans grands détails. (Ibid. F°252)
Et la foule, pas encore très grande. Mais l’encombrement des malades. (Ibid. F°253)
Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Mais surtout après le miracle. (Ibid. F°255)
Difficulté qu’il [Pierre] a à revenir près d’elle [Marie], car la foule a encore augmenté ; mais pas de description. (Ibid. F°261)
Mais, naturellement Pierre n’entre pas à la piscine des femmes. (Ibid. F°262)
Le baron Suire et Berthaud sont là ; mais rien qu’un mot. (Ibid. F°263)
Et Marie sort (…). Mais elle reste sombre (elle n’a pas été guérie). (Ibid. F°264)
Chassaigne lui donne rendez-vous au bureau des constatations [en interligne : pour l’après-midi]. Mais il faut auparavant que Pierre aille chercher Marie devant la Grotte (…). (Ibid. F°267)
On connaît la maladie, on connaît le remède, mais on ne connaît pas la relation du remède au malade. (…) On dit [sur biffé] celui-ci phtisique : oui, mais pourquoi, comment. (Ibid. F°272)
Puis, les remèdes qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple : très dangereux, mais
salutaire peut-être : ça tue ou ça guérie. (Ibid. F°s272-273)
Mais Pierre : on ne doit arguer de cela en faveur du mystère, on doit espérer qu’un jour les faits inexpliqués s’expliqueront. (Ibid. F°275)
Mais peu de maladies contagieuses à Lourdes (…) – (Ibid. F°278)
Mais surtout la composition de la réunion : de jeunes prêtres tenant des registres, d’autres apportant les dossiers. (Ibid. F°280)
Mais surtout il [Pierre] se rend compte comment le bureau fonctionne. (Ibid. F°280)
Ce n’est pas Pierre qui formule les objections. C’est le monsieur de Paris ; mais Pierre l’approuve. (Ibid. F°281)
Les plaies d’origine nerveuse [en interligne : la foi qui guérit. Phénomène de la nutrition.], etc. Mais garder ces choses pour la discussion qui va suivre. – (Ibid. F°282)
Mais pourtant Chassaigne plaisantant, la rage d’antisepsie, la mode du microbe qu’on met partout la [ra biffé] fureur d’antisepsie. (Ibid. F°283)
Mais surtout sur la bêtise et l’ignorance des médecins, à propos de Pierre qui voudrait des certitudes. (Ibid. F°284)
On connaît la maladie, on connaît le remède, mais pas la relation du remède au malade. – (…) On dit celui-ci phtisique : oui mais pourquoi, comment ? (…) Puis le remède qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple ; très dangereux, mais qui sait ? (Ibid. F°284)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : les certificats pas mensongers [en interligne : difficulté du diagnostic], mais mal établis, par l’ignorance fatale ; (…). (…) Pas de supercheries, mais la confusion aidée, l’ignorance utilisée. (Ibid. F°285)
Mais surtout insister (…) sur la réponse de Pierre, lorsque Chassaigne constate l’inexplicable et s’y abandonne, par faiblesse humaine à la suite de son grand chagrin. (Ibid. F°286)
Et Pierre pense au diagnostic de Beauclair. Mais il se tait, il commence à ne plus vou- \\loir combattre Chassaigne. (Ibid. F°s286-287)
J’amène l’abbé Judaine – Puis des Hermoises (…) et M. de Guersaint qui s’est réveillé. – Mais surtout le Commandeur contre tous les gens qui veulent guérir. Et Chassaigne lui disant qu’il ferait mieux de boire à la source, de se guérir lui-même. Mais il se fâche davantage – (Ibid. F°287)
Je ne veux pas les [les pères de la Grotte] montrer (…). Mais je voudrais qu’on les sentît partout, derrière le pèlerinage, [qu biffé] qu’ils laissent le maître. (Ibid. F°290)
Mais ne faire qu’indiquer, car je garde la foule bouleversée, entraînée par les miracles, pour la quatrième partie. (Ibid. F°291)
[M biffé] Les plaies apparentes : Elise Rouquet. Mon idée. Mais les plaies apparentes de source nerveuse d’après Charcot (la foi qui guérit). (Ibid. F°293)
On ne laisse pas séjourner d’habitude les hommes dans une salle de femmes. Mais un prêtre n’est pas un homme. (Ibid. F°296)
Elle [Marie] ne peut communier dans cet état de révolte. Mais elle ne lui répond. (Ibid. F°297)
Mais Pierre est entre Marie et Madame Vêtu. (Ibid. F°298)
Si elle [Marie] n’a pas été guérie, c’est qu’elle a eu un doute en entrant dans l’eau. Pas assez prié. Mais la grâce revient, par Bernadette. (Ibid. F°302)
Mais celui-ci [M. de Guersaint] optimiste, tout ira bien, le miracle. (Ibid. F°310)
M. de Guersaint dit donc ce qu’il a entendu, des voix chuchotantes, trouver quelque chose de révélateur, mais de très discret. – (Ibid. F°311)
Pour cela, il faudrait que M. de Guersaint soit sorti. Mais il est facile de le faire sortir. – (Ibid. F°319)
Et poser le père Vigneron, brave homme, mais désirant la mort de sa belle-sœur, madame Chaise, avant celle de son fils Gustave pour hériter. (Ibid. F°320)
Mais en somme, c’est l’hôtel qui est le cadre du chapitre et le chapitre doit y tenir tout entier. (Ibid. F°321)
Lorsqu’on fait la chambre, le monsieur reste, et l’enferme [Mme Volmar] dans le placard ; ce n’est pas un cabinet de toilette, mais une sorte de grand placard. (Ibid. F°323)
Mais madame Volmar ne reparaîtra qu’à la cinquième partie. (Ibid. F°324)
La lettre tout de même, mais pas encourageante. (Ibid. F°326)
On a craint la mort de Gustave. Mais il va mieux, au déjeuner. (Ibid. F°327)
Mais quand M. de Guersaint et Pierre sont là, le premier, très curieux, acceptant d’aller voir « la popote » » où l’on mange. Et ces dames alors acceptent. (Ibid. F°330)
Mais le baron Suire est là aussi, et Pierre (…) songe à lui demander directement la permission pour Marie, qui désire [de biffé] passer à la Grotte. (Ibid. F°331)
On raconte les grands cadeaux, la malade a fait cadeau à la Vierge de tous ses bijoux de mariée ; mais la Vierge insensible, et revenir à un mot sur la maladie. (Ibid. F°333)
Mais auparavant, dire que le mariage est décidé entre Raymonde et Gérard. (Ibid. F°333)
Mais c’est Cazaban en personne qui rase Guersaint et il se tait d’abord (…). (…) Mais Cazaban n’y peut tenir, et peu à peu (trouver les transitions) il déblatère contre la Grotte. (…) L’attitude des libres penseurs qui ne descendent jamais à la Grotte (mais qui en vivent). (Ibid. F°335)
Celui-ci [M. de Guersaint] veut se faire raser, et cela me donnera l’épisode de Cazaban criant contre la Grotte, disant un mot de l’église Peyramale (mais faire Cazaban en deux fois, hier absolument contre la Grotte, tandis que dans la V e partie, il craindra qu’on ne la ferme). (Ibid. F°337)
Mais il [M. de Guersaint] ne reviendra que le mardi matin, et scène alors seulement avec sa fille guérie. (Ibid. F°338)
Mais [auparavant biffé] comme ils passent devant la popote, ils rencontrent madame Désagneaux et Raymonde qui causent avec Gérard (…) \\. Ces dames refusent à Gérard de visiter la popote mais quand Pierre et [Mme biffé] M. de Guersaint, curieux, sont là, elles consentent. (Ibid. F°s340-341)
Mais on ne les [les Pères de la Grotte] voit pas, dit Pierre. Ah ! non, ils cèdent tout au pèlerinage – Mais on les sent derrière, on sent le coup de râteau qui ramasse toute la monnaie. (Ibid. F°342)
Mais il semble qu’un vent des montagnes ait balayé toute cette matière. (Ibid. F°343)
Et Gérard salue, s’en va, mais décidé à épouser Raymonde. (Ibid. F°344)
Mais on voit mal les petits points lumineux, cachés dans les feuillages. (Ibid. F°352)
La Vierge n’a pas encore guéri Rose ; mais elle [Mme Vincent] ne désespère pas. (Ibid. F°353)
Mais M. de Guersaint a une idée fixe : [«]Je disais à Marie, c’est de là-haut, du Calvaire, qu’on doit bien voir. » (Ibid. F°353)
Mais elle [Marie] est bien heureuse qu’il reste. (Ibid. F°355)
Mais je veux avoir des épisodes, pour corser un peu le chapitre, et particulièrement l’épisode de Mme Vincent et de la petite Rose à l’abri. (…) Jusque-là, l’enfant n’a pas été guérie, mais la mère ne désespère pas ; et elle prie. (Ibid. F°360)
Mais, à cette heure de la procession, l’abri est vide. (Ibid. F°361)
Enfin la fin de foire de ce beau dimanche, la gaieté, la mangeaille encore éparse dans le noir (ne pas insister, pour le sentiment de grand calme éprouvé par Pierre ; mais il pourra ne l’éprouver qu’à la fin). (Ibid. F°363)
Mais Pierre, sans doute gêné par le bavardage, étouffe, veut aller prendre l’air. (Ibid. F°368)
Pourquoi n’a-t-il [Pierre] pas prié [en interligne : l’idée de sa messe] tout à l’heure ? – (…) Mais il va y retourner, il priera. (Ibid. F°368)
Il y a eu une grande messe de minuit, église pleine, cérémonie éclatante (…). Mais c’est fini. (Ibid. F°369)
Mais [Pierre] il veut la dire [la messe], c’est pour cela qu’il est venu, avec l’idée qu’il ne peut rien demander à la Vierge,
sans avoir célébré le saint sacrifice. (Ibid. F°s370-371)
[en interligne : On ne demande pas que des guérisons physiques, mais des guérisons morales. (…)] (Ibid. F°372)
Il [Pierre] reste très troublé, mais il ne doit pas rejeter la foi (…). (Ibid. F°372)
Mais surtout tout cela dans l’analyse de la foi que Pierre tâche de retrouver. (Ibid. F°376)
Mais les souvenirs de la journée entière, la simonie, la foire, malgré la procession, reviennent invinciblement (…) \\. (…) Donc, je ne fais encore que le [Pierre] laisser ici affreusement troublé, mais après une ardente tentative de foi. (Ibid. F°s376-377)
J’ai envie de finir par une messe à la Grotte. Marie y communierait, mais un violent orage. (Ibid. F°378)
On ne demande pas que des guérisons physiques, mais des guérisons morales. (Ibid. F°381)
Tout le panorama de Lourdes se déroulant ; mais garder cela pour le retour. (…) Il [Chassaigne] l’in- \\terroge [Pierre], comprend [ses dou biffé] qu’il doute encore ; et je pourrais le faire travailler, mais discrètement, à tâcher de rendre la foi à son jeune ami. (Ibid. F°s383-384)
Chassaigne disant qu’il avait 30 ans en 58, et que jeune médecin, ennemi du surnaturel, il ne s’est guère préoccupé de la voyante (…). Mais
plus tard, à un voyage, il l’a vue. (Ibid. F°s384-385)
On l’y pousse d’ailleurs, on est heureux de se débarrasser d’elle [Bernadette] ; mais cela avec discrétion, pour son bien. (Ibid. F°386)
Mais Chassaigne (…) dit qu’on ne peut comprendre les choses, si l’on ne connaît pas la lutte du curé Peyramale et du père Sempé (…). (Ibid. F°387)
Il [Chassaigne] était jeune médecin, contre tout surnaturel, à Paris, ne voulant pas se déranger pour aller voir une hallucinée ; mais, en passant, il peut l’avoir tout de même aperçue. (Ibid. F°391)
Puis, du monde rencontré, un prêtre qui a connu Bernadette, l’abbé Pommyan [sic] sans doute, ou le curé de Bartrès (non, il est mort). Mais quelqu’un de Bartrès. (…) L’avantage de ces deux témoins, c’est (…) de faire que cette fois, ce n’est pas une lecture sur Bernadette, mais [un biffé] des récits, une conversation. (Ibid. F°392)
On l’y pousse d’ailleurs, on tâche de se débarrasser d’elle [Bernadette] ; mais cela avec discrétion, dans son bien. (Ibid. F°393)
Je montrerai cela dans la cinquième partie. Mais l’indiquer dès ce chapitre – (Ibid. F°394)
La salle Sainte-Honorine, mais le matin, vers neuf heures, après le départ des malades, et par un beau soleil. (Ibid. F°400)
D’habitude, il y a trop de dames auxiliaires ; mais, ce soir-là, il n’y en a aucune. (Ibid. F°404)
Mais le râle devient plus fort. (Ibid. F°404)
Elles [la Grivotte et Elise Rouquet] ont quitté la Grotte avant les autres, tout le monde va revenir. Mais Ferrand, étonné, les examinant. (…) Elise a continué à se lotionner, et elle sort du bureau des constatations : on lui a dit vous êtes guérie. Guérie, non, mais le mal soulagé. (…) Mais le râle de Mme Vêtu a augmenté, et elle va passer. (Ibid. F°405)
Mais Mme de Jonquière défend madame Volmar ; et elle appelle sa fille Raymonde, en ce moment à l’hôpital. (Ibid. F°411)
Enfin, comme l’agonie commence, l’interne Ferrand est appelé – Il ne peut rien, mais il constate – (Ibid. F°411)
La suppuration s’est en effet un peu arrêtée. Mais la face toujours rouge et affreuse – (Ibid. F°412)
Les litanies reprennent ; mais je change le prêtre. (Ibid. F°418)
Ils [les Dieulafay] donneraient tout, mais ce n’est pas ce qui déciderait la Vierge. (Ibid. F°419)
Les litanies reprennent. Mais cette fois, je fais monter en chaire le père Massias. (Ibid. F°419)
Sa sœur s’aperçoit qu’il [le frère Isidore] est mort (comment), et veut lui fermer les yeux. Mais les yeux se rouvrent, obstinément. (Ibid. F°420)
Sa sœur s’aperçoit qu’il [frère Isidore] est mort, veut lui fermer les yeux. Mais les yeux se rouvrent, obstinément. (Ibid. F°425)
Ce sont les deux bons épisodes, mais ils ne suffisent pas pour emplir le cha- \\pitre. Je n’ai plus comme malade à terminer que les Vigneron et les Dieulafay. Je montre (…) les seconds dans leur luxe, pouvant donner un million, mais ne sachant que donner pour fléchir la Vierge. (Ibid. F°s425-426)
Mais surtout les employer dans l’excitation qui monte. Poser là la foule (…). Ne pas l’exciter encore de trop, mais la poser prête à s’exciter. (Ibid. F°427)
Le père Dargelès aussi aperçu. Mais il serait bon que les pères de la Grotte fussent toujours à l’écart [dans la marge : au III]. (Ibid. F°428)
Mais surtout la foule autour de Pierre, et l’analyse qu’il en fait. (Ibid. F°433)
Rappeler que Pierre [en interligne : devant la Grotte 10-42] a entendu déjà cela au bureau des constatations ; mais ici, décuplé. – (Ibid. F°434)
Il peut l’espérer, mais importuné par le souvenir de Beauclair, à la fin du chapitre, ou même à la fin du IV seulement, la foi sera ruinée (…) \\. (Ibid. F°s435-436)
Garder la [bon biffé] bousculade, mais pousser l’émotion jusqu’au plus violent effet possible. (Ibid. F°437)
Le miracle de Marie. (…) Description, petite robe noire, mais superbe, le visage rayonnant. (Ibid. F°438)
L’écroulement chez Pierre, mais pour plus loin. (Ibid. F°439)
Mais garder cela pour l’autre chapitre : autrement, je ne saurais plus que faire de Pierre. (Ibid. F°440)
L’opinion du petit cousin Beauclair, intelligent, mais bizarre. D’abord, Pierre n’avait pu croire à ce diagnostic étonnant (…). Mais, au moment du miracle, Pierre est frappé, tout ce qu’a dit Beauclair s’éveille, se précise en lui. (Ibid. F°441)
Mais je réserve l’effet pour ensuite. (Ibid. F°446)
Mais la raison froide. Non, il [Pierre] ne croit pas, il ne pourra
jamais croire. (Ibid. F°s447-448)
Et il [Pierre] tombe à genoux, non pour prier, mais pour se recueillir, pour penser. (Ibid. F°455)
Mais il [Pierre] pleure sur lui que rien ne relèvera de [se biffé] son serment, qui ne peut plus être un homme. (…) Mais des voix le trou- \\blent. (Ibid. F°s456-457)
Mais le docteur [Chassaigne] vient du bureau des constatations, où il a appris le miracle, et il doit en parler à Pierre. (Ibid. F°458)
Il [Pierre] s’agenouille, non pour prier, mais parce qu’il défaille. (Ibid. F°463)
Elle [Marie] aurait dû y aller tout de suite. Mais il y explicable [sic] qu’elle ait suivi l’élan de la procession. (Ibid. F°464)
Mais surtout l’opposition intense avec la Grotte. (…) Mais surtout l’opposition violente : la Grotte avec son rayonnement de cierges, à cette chambre, obscure, humide. (Ibid. F°472)
Souscription commencée, mais les religieuses ont refusé de rendre le corps. (Ibid. F°473)
Mais le [Pierre] laisser très ému dans sa tendresse pour Bernadette, au point de vue humain. (Ibid. F°474)
En tous cas, je montre Pierre ne pouvant plus croire, mais ému par toute cette humanité souffrante. (Ibid. F°478)
Effarement, mais joie profonde inconsciente. Enfin, l’héritage est acquis à Gustave. (Ibid. F°485)
Mais justement, M. de Guersaint arrive vers les 5 h, [Et biffé] étant reparti à quatre ou cinq heures du matin. (Ibid. F°488)
Mais la conversation, M. de Guersaint racontant son excursion, décrivant le Gave (…), les montagnes, etc., Gavarnie surtout. (Ibid. F°489)
Mais d’abord elle [Marie] veut aller à la Grotte, reconnaissance. (Ibid. F°492)
Mais ne pas recommencer les descriptions à
la Grotte. (Ibid. F°s492-493)
Mais le père qui ne peut faire longtemps la même chose, se relève, lui parle à l’oreille (…). (Ibid. F°493)
Je pose ici le type du cocher, qui me servira plus loin. Un cocher à béret,
croyant, mais débauché (?) (Ibid. F°s493-494)
Me débarrasser tout de suite du paiement de la voiture (non c’est fait), mais de l’histoire de l’accident et du retard. (Ibid. F°494)
Mais Marie ne veut pas de voiture. (Ibid. F°495)
Mais Pierre devant le Panorama évoque l’ancien Lourdes. (…) Mais surtout, je le répète, tout l’ancien Lourdes pour que je puisse l’opposer au nouveau que je vais décrire. (Ibid. F°496)
Mais M. de Guersaint : Va c’est partout la même chose, retournant chez Majesté. (Ibid. F°497)
Mais je [veu biffé] fais entrer Des Hermoises, et sa familiarité avec Appoline – (…) Mais le plus tôt possible, je mets Appoline en conversation avec Des Hermoises. (…)
Et laisser deviner une intrigue, mais très discrètement. (Ibid. F°s500-501)
Mais il [Pierre] est frappé alors [en interligne : Mme Majesté l’avait dit] de la ressemblance d’Appoline avec Bernadette. (Ibid. F°501)
Mais Bartrès déjà gâté comme Lourdes. (Ibid. F°501)
Appoline contente qu’on la compare. Mais elle ajoute : Oh ! je suis plus jolie. (Ibid. F°502)
Le sentiment de Pierre pendant toute la promenade. [Gai biffé] Heureux du bonheur de Marie, mais attristé de plus en plus (…). (Ibid. F°507)
Les brancardiers sont là, mais ils sont surtout dans la cour de la gare (…). (Ibid. F°510)
Quelques uns sous la marquise. Mais le plus grand nombre sur le quai d’embarquement. (Ibid. F°511)
Toute ma description du chapitre de l’arrivée reprise. – (Ibid. F°511)
Mais ils [M. de Guersaint et Marie] vont arriver, et en attendant il se rendra utile. (Ibid. F°512)
Et
Pierre qui voit Mme Volmar [; ap biffé] : (…) « Oh ! j’ai [une biffé] eu une migraine ! » [mais biffé] à Mme Désagneaux, mais très discret. (…) Mais surtout l’épisode du mariage de Raymonde et de Gérard. (…) Mme de Jonquière heureuse, mais bien lasse, la peinture avec elle de toutes les fatigues [ent biffé] endurées par ces dames. Mais elle heureuse, à cause de Raymonde, et de Marie (garder ça pour le IV). (Ibid. F°s512-513)
Les dames hospitalières peuvent être allées au wagon ; mais ne pas oublier que Raymonde et les deux autres remontent en première. (Ibid. F°514)
Et l’abbé Judaine qui arrive (…). Résigné, mais navré que la Vierge ne l’ait pas écouté. (Ibid. F°516)
Mais madame Sabathier me donne alors l’épisode de Mme Maze, qui lui a fait des confidences. (Ibid. F°516)
Mais le Commandeur refusant de boire, malgré son incroyance. (Ibid. F°518)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague. (Ibid. F°519)
(…) madame Vincent au dernier moment seulement, pâle, arrivant en se traînant (elle vient d’enterrer Rose ; mais je ne le dirai qu’au chapitre suivant). (Ibid. F°521)
Mais le Commandeur ne veut pas, tourne le nez vers le mur, et va mourir. (Ibid. F°525)
On reprend le train, tel qu’on l’a laissé. Les mêmes places. [Et cet biffé] Mais cela pour le voyage. – (Ibid. F°530)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part mais tout cela vague et un peu mystérieux. (Ibid. F°530)
Elle [Mme Vincent], ne voulait pas se séparer du petit corps, mais on le lui a pris, car on ne le lui aurait pas laissé rapporter. Insister, elle peut le [en interligne : faire] demander aux directeurs du pèlerinage ; mais si on emmène, si l’on mène les mourants, on ne ramène pas les morts, on ne veut pas des cadavres. (Ibid. F°534)
Mais son cœur reste à Lourdes, arraché. Et elle [Mme Vincent] n’est pas une résignée. (Ibid. F°535)
Et le sommeil, on n’a pas dormi ; mais pour plus loin – (…) L’entaille que Marie retrouve et qui continue l’effet [contraire biffé] donné déjà par Mme Vincent, mais dans un sens contraire. (…) Alors ne mettre là qu’un mot de la Grivotte, pour préparer sa rechute prochaine : plus exaltée encore mais frissonnante, rauque (…). (Ibid. F°536)
Mais il [M. Sabathier] se demande s’il n’avait péché, et les raisons qu’il trouve. (Ibid. F°537)
Mais Pierre justement a entendu parler de cet homme, qui est un simulateur. (Ibid. F°538)
On l’a forcée à prendre un oreiller et elle [la Grivotte] sommeille déjà, mais d’un sommeil de cauchemar, avec des sauts et des cris. (…) L’énervement, l’entraînement continu, mais avec une déperdition croissante. (Ibid. F°540)
Marie les yeux fermés, mais ne dormant pas. (Ibid. F°541)
J’ai déjà dit cela dans la Crypte ; mais il faut que je le reprenne, que je le résume. (Ibid. F°542)
Mais
avant d’en arriver là, leur idylle à Lourdes. (Ibid. F°s542-543)
Mais une révolte encore tout à l’heure à la gare, un frisson. (…) Mais si après [avoir biffé] avoir cédé à sa raison, il [Pierre] cédait à sa chair (…) – (Ibid. F°544)
La psychologie de Marie (…). (…) Donc, 25 ans, mais pas 15. (…) Et pas femme mais tout le ferment de la femme. (Ibid. F°545)
Et il [Pierre] préfère souffrir seul, sans éclairer cette enfant, mais combien il souffre de la [Marie] perdre. – (…) Mais [sur biffé] surtout, dans
souffle [sic], la confidence qu’elle lui fait : (…) – (Ibid. F°s547-548)
Mais surtout l’épisode où Mme Vincent se réveille en sanglotant (…). (Ibid. F°549)
Pierre, heureux de sa joie ; mais s’attristant peu à peu (…). (Ibid. F°550)
Faire qu’elle [Marie] comprend, et que, dans un souffle, elle lui jure de ne jamais se marier : (…) mais elle fait cela, pour le [Pierre] consoler,
car elle l’a compris. – (Ibid. F°s551-552)
Mais combien
il [Pierre] souffre à l’idée de la [Marie] perdre, de la voir à un autre, dans ses projets de vie heureuse. (Ibid. F°s552-553)
Mais il [Pierre] échoue, il restera prêtre honnête, il fera son métier en honnête homme, avec l’idée de se mettre à part un jour. Mais ni mariage ni soutane aux orties. (Ibid. F°554)
Tous les rêves de guérison qu’ils avaient faits en regardant ces détails ; et ils retrouvent les mêmes choses, mais ils ne sont pas guéris. (Ibid. F°560)
Mon livre sur la souffrance. Mais Bernadette aussi est de la souffrance. (Ibid. F°564)
Bernadette humaine, mais extrêmement touchante et martyre. (Ibid. F°564)
Le malade pour qui M. Sabathier a donné 50 fr., est guéri à la fin. Lui, non – Mais c’est une consolation. (Ibid. F°568)
Mais il [Pierre] ne tarde pas, une fois encore, à [le biffé] lâcher le livre, pour raconter. (Ibid. F°569)
Tout ce monde se ruant (…) : le malheur d’avoir été élue (…) ; mais garder la réflexion pour la fin – (…) Et [Bernadette] forcée de venir au parloir (…). Alors, polie, racontant, mais ennuyée. (Ibid. F°571)
Mais, souvent, elle [Bernadette] ne peut même se livrer à ces travaux. (Ibid. F°571)
Même violente parfois, s’emportant, susceptible, un mauvais caractère [en interligne : un peu âpre et vive], mais revenant promptement, et s’excusant (…). (Ibid. F°572)
Elle [Bernadette] savait ce qui s’y passait en gros. Mais jamais elle ne demanda à y aller. (Ibid. F°573)
Si elle [Bernadette] [el biffé] avait été une dominatrice (…), elle serait devenue là-bas prêtresse, papesse, etc. Mais son effroi d’être divine. (Ibid. F°574)
Un mari, des enfants. Femme, épouse, mère. Mais c’est un rêve, puiqu’elle [Bernadette] est l’élue. (Ibid. F°575)
Fallait-il donc qu’elle [Bernadette] souffrît. Pour la sauver. Mais alors Dieu ne sauve donc pas les autres ? (Ibid. F°576)
Mais aussi le wagon revient, effet produit par la lecture, nommer seulement et le moins possible les personnages. (Ibid. F°580)
S’il [Pierre] avait pu croire ; Bernadette l’y aurait été [sic], car il l’aime ; mais non, son cas au contraire l’a ravagé de tristesse, sans lui rendre la foi. – (Ibid. F°580)
Mais son inquiétude sur cette religion de la souffrance humaine, du rachat par la souffrance. (…) Il faudrait avoir le courage d’opérer l’humanité brutalement. Mais est-ce possible (pour tout à l’heure) – (Ibid. F°582)
Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre, la raison emportant tout en lui, mais honnête. (Ibid. F°585)
Et alors le besoin [b biffé] d’une religion nouvelle. Mais d’abord où en est le catholicisme. (…) C’est bien toujours un rêve. Mais le rêve chrétien paraît épuisé, et il faut un autre rêve. – (Ibid. F°587)
Une démocratie catholique [et biffé], ah ! l’histoire recommencerait. (…) Mais n’y fallait-il pas le souffle d’un autre Messie ? (Ibid. F°588)
Je la [Bernadette] montre ce qu’elle aurait été, pas heureuse certes, mais vivante. (Ibid. F°591)
Elle [Bernadette] serait retournée là-bas, elle aurait fait des miracles, papesse, prêtresse. Mais non, une simple fille, une timide, une résignée et une malade (…) \\. – (…) Mais [qu biffé] quelle terreur elle leur donnerait, si elle bougeait. (…) Il est question un instant de ramener son corps, la ville veut l’avoir. Mais les religieuses s’apprêtent à la garder. (Ibid. F°s592-593)
Mais je crois que le chapitre gagnera à être très simple et à ne contenir absolument que Bernadette (…) \\. (Ibid. F°s594-595)
Si je dis un mot des [ma biffé] personnages dans le wagon, montrer la Grivotte à l’agonie, mais [Marie et biffé] M. Sabathier plein d’une indestructible espérance. (Ibid. F°595)
Mais Clémentine Trouvé guérie est montée, et son miracle. (Ibid. F°601)
Mais d’abord il [Pierre] a rencontré son ancien ami le médecin, qui l’emmène le long du Gave et lui conte sa conversion. (Ibid. F°602)
Mais surtout scène touchante, entre le père, retour de Gavarnie, et sa fille qu’il trouve guérie, et qui est là. (Ibid. F°605)
Le voyage. Mes personnages terminés. Des faits. Mais surtout ce que pense mon prêtre. (Ibid. F°605)

Pas de sensualité prononcée – le nez assez petit ; mais les lèvres [pas fortes biffé] fortes, la bonté et la tendresse. Mais une flamme dans le regard (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 3 – Notes sur Pierre Froment)
Le besoin de logique l’emporte le plus souvent, le cerveau domine. Mais la bouche est là avec sa bonté, son besoin d’amour. (…) Ainsi dualité du cerveau et de la bouche, l’intellectualité et la passion ; mais au-dessus la sévérité de la face tout entière (…) – (Ibid. Fo 4 – Notes sur Pierre Froment)
Mais ce que
sa piété a souffert, à côté de ce mari ni croyant. (Ibid. Fos 5-6 – Notes sur Pierre Froment)
Mais il [Guillaume] vit à part ; et, au partage, il laisse la maison à son frère, et prend l’argent, disparaît avec. Il s’occupe de chimie comme son père ; mais existence très mouvementée. (Ibid. Fo 9 – Notes sur Pierre Froment)
Tout ce qu’on lui enseignait le surprenait, mais il arrivait à faire le sacrifice de sa raison qu’on lui demandait – (Ibid. Fo 9 – Notes sur Pierre Froment)
Jeter la soutane ? mais il a vu des prêtres défroqués, et son dégoût. Il connaît un prêtre marié, son dégoût. (Ibid. Fo 10 – Notes sur Pierre Froment)
Mais la ruine est arrivée (voir cela au personnage de Marie). M. de Guersaint et ses deux filles vivent dans une misère noire. (Ibid. Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)
Je lui donne le même front qu’à Pierre, le front droit, la tour. (…) Mais lui a le bas de la figure carrée, le nez fort, la mâchoire forte, tout le père. (Ibid. Fo 16 – Notes sur Guillaume Froment)
Mais il [Pierre] ne donne pas raison à son frère, il reste contre lui, par
une sorte de répugnance instinctive. (Ibid. Fos 17-18 – Notes sur Guillaume Froment)
Mais tout le corps a diminué, elle semble retourner à la taille d’une enfant. (Ibid. Fo 21 – Notes sur Marie de Guersaint)
Elle n’a jamais été réglée ; et, si je pouvais,
le miracle, ce serait la venue du sang. Mais combien il faudrait que cela fût délicatement dit. (Ibid. Fos 21-22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Enfin une figure intéressante, un catholique [en interligne : ardent], mais avec des sauts en dehors. (Ibid. Fo 23– Notes sur Marie de Guersaint)
On le sait très intelligent, on lui a fait des offres à l’Archevêché. (…) Mais il [Pierre] a tout refusé. (Ibid. Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Il rêve de grande charité, mais cela vaudra surtout à la fin, avec l’idée d’une religion de la souffrance humaine. (Ibid. Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Mais pas de protection, n’a pas réussi à faire hospitaliser sa fille, a payé son billet au rabais, et ne sait pas comment elle vivra à Lourdes. L’enfant, qui a 7 ans, marchait encore, mais elle ne [le biffé] peut plus marcher ; et la fatigue du voyage. – (Ibid. Fo 32 – Notes sur Mme Vincent)
Devenu très pâle, très jaune ; mais la face pas ravagée par la souffrance. (Ibid. Fo 34 – Notes sur M. Sabathier)
Un peu trop grosse, le visage fleuri, éclatante de santé. Un contraste. Mais si bonne, si soumise et si dévouée. (Ibid. Fo 36 – Notes sur Mme Sabathier)
Des paysans de là-bas, assez à leur aise. Mais les aînés, qui travaillent à la terre, ont pris tout le bien (…). (Ibid. Fo 38 – Notes sur Frère Isidore)
Pas belle, mais du caractère ; et a dû être séduisante. (Ibid. Fo 39 – Notes sur la Grivotte)
Grande, brune ressemblant beaucoup à Mme Dieulafay, menu visage et menue allure, mais en plein éclat de santé. – (Ibid. Fo 44 – Notes sur Mme Jousseur)
Une figure de troisième plan, mais qu’il faut faire typique et poignante. (Ibid. Fo 46 – Notes sur Mme Vêtu)
Le type de [la biffé] Clémentine Trouvé. Une petite figure ronde, pas jolie, mais aimable (…). (Ibid. Fo 49 – Notes sur Sophie Couteau)
Ne ment peut-être pas, mais a l’air de réciter une leçon apprise. (…) Mme de la Jonquière aurait dû assister au miracle, mais un fait ne lui a pas permis de le constater. (Ibid. Fo 50 – Notes sur Sophie Couteau)
On le croit phtisique, mais non. (Ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Cela me donne (…) sœur Saint-Francois, qui apporte un bouillon, le croyant épuisé par la faim. Mais il touche à peine le bol des lèvres. (Ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Il pratique, se confesse, communie, mais sans ostentation. (Ibid. Fo 53 – Notes sur M. Vigneron)
La bonne bourgeoise (…). Mais la faire maigre et assez chétive, d’une hérédité scrofuleuse, qui a reparu terrible dans son enfant. (…) La face blême et maigre ; mais bien portante tout de même. (Ibid. Fo 56 – Notes sur Mme Vigneron)
Très pale, les traits un peu amaigris. Mais le visage pétillant d’intelligence. (Ibid. Fo 57 – Notes sur Gustave Vigneron)
Bonne, mais maniaque. (Ibid. Fo 59 – Notes sur Mme Chaise)
Elle a pris la troisième par humilité. Mais elle a un panier bien [gardé biffé] garni, et elle mange à peine, elle offre. – (Ibid. Fo 62 – Notes sur Madame Maze)
Je ne veux pas d’un intrigant, mais plutôt d’un homme moyen, qui croit sans croire. – (Ibid. Fo 67 – Notes sur le docteur Bonamy)
On lui demande de constater, et il constate. – Mais aucun génie de classe- \\ment et d’administration. (Ibid. Fos 67-68 – Notes sur le docteur Bonamy)
Mais le port superbe, un port de reine, comme on dit. (Ibid. Fo 71 – Notes sur Madame de Jonquière)
Toucher le personnage discrètement ; et, pour sa fille, lui donner le désir de la marier, mais ne venant pourtant
pas exprès (…). (Ibid. Fos 71-72 – Notes sur Madame de Jonquière)
Mais, ses cheveux et ses yeux noirs, une peau très fraîche et très éclatante. – (Ibid. Fo 73 – Notes sur Raymonde de Jonquière)
Cela pourrait être une de ses pénitentes et il [Pierre] connaîtrait l’histoire par la confession, mais je répugnerais un peu à cela. (…) Mais pas de bas calcul, le tout emporté par un souffle de désir, une flamme de passion qui purifie tout. (Ibid. Fo 76 – Notes sur Madame Volmar)
Je puis faire que son mari soit à Cauterets. Mais il vaudrait peut-être mieux le laisser complètement à l’écart (…). (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Correct, mais pas poseur. (Ibid. Fo 79 – Notes sur Berthaud)
Ce qui lui fait choisir Raymonde, les [ray biffé] raisons que Berthaud lui donne : pas d’ar- \\gent, mais fille raisonnable (…). (Ibid. Fos 81-82 – Notes sur Gérard de Peyrelongue)
Le marquis de Salmon-Roquebert, 45 ans, grand et maigre, un peu don Quichotte (…). Grisonnant. Mais un très grand air de distinction. (Ibid. Fo 83 – Notes sur le marquis de Salmon-Roquebert)
Religieux sans doute. Mais n’en pas même parler. (Ibid. Fo 84 – Notes sur le marquis de Salmon-Roquebert)
Pas un aigle, d’intelligence courte, mais très dévoué à l’œuvre. (Ibid. Fo 85 – Notes sur le baron Suire)
Un peu sérieuse, ne riant guère, mais très avenante. (Ibid. Fo 86 – Notes sur sœur Saint-François)
Mais surtout, la gaieté, la santé, l’innocence, le dévouement. (Ibid. Fo 87 – Notes sur sœur Hyacinthe)
Je ne sais comment je l’emploierai. Mais il me semble qu’un prêtre mondain serait là d’un bon effet. Il croit et il s’incline certes. Mais, au fond de ses yeux, la petite lueur d’un homme supérieur à toute cette idolâtrie. (Ibid. Fo 94 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
[Une simple figure, mais nécessaire, je crois. (…) biffé] (Ibid. Fo 95 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Goutteux. (…) Mais, par un effort de la volonté, il marche tout de même en s’[ep biffé] appuyant sur l’épaule du père Massias. (Ibid. Fo 97 – Notes sur le père Fourcade)
Celui qui s’occupe du Journal de [Lour biffé] de la Grotte ; mais pas plus d’intelligence qu’un instituteur prétentieux. (Ibid. Fo 100 – Notes sur le père Dargelès)
Il affecte de pratiquer (…). Mais au fond il est contre la Grotte (…). (Ibid. Fo 101 – Notes sur Majesté)
D’autre part, beaucoup d’autres tournant autour d’elle (…). Et l’abbé Des Hermoises lui-même, mais faire cela très discret. (Ibid. Fo 104 – Notes sur Appoline)
Républicain, il est contre la Grotte ; mais il loge des pèlerins (…). (Ibid. Fo 105 – Notes sur Cazaban)
Mais il est presque comique et je préférerai que ce fût le docteur [Lacassagne biffé] Chassaigne qui fût l’accompagnateur. (Ibid. Fo 107 – Notes sur Cazaban)
Il faudrait donc un malade, incroyant, qui cédât à son désir des siens en allant à Lourdes, mais qui fût convaincu que la Vierge ne le guérira pas. (Ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
Il faudrait en faire un homme ayant quelque argent et une famille. Mais mystérieux pourtant. [On dit qu’il a de l’argent, qu’il a des enfants quelque part, mais on ne sait rien de net sur lui. (…) biffé] (Ibid. Fo 112 – Notes sur le Commandeur)
A treize ou quatorze ans, une [j biffé] chute de voiture ou de cheval ; mais de façon à ce qu’elle tombe sur les pieds. (…) Mais il faut lui donner une hérédité nerveuse, en faire une neurasthénique. (Ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Un seul [médecin] parle de la visiter, mais on refuse violemment : pudeur. (Ibid. Fo 117 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Elle se raidit, quand on la palpe. Mais pas d’attaque de nerfs, pas d’hystérie trop évidente. – Il la pique, mais sensible à peu près partout. (Ibid. Fo 118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Il [le grand médecin] comprend qu’en principe il [y biffé] a pu y avoir une luxation de l’utérus, mais que cela s’est guéri et qu’il ne reste qu’un état névropathique. (Ibid. Fo 119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Elle se lèvera et marchera : exaltation, transport de joie ; mais elle ne marchera pourtant qu’avec le manque d’habitude. – (Ibid. Fo 120 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
La réparation des tissus, l’engraissement demandera du temps. Mais l’apparence peut être qu’elle renaît et engraisse. (Ibid. Fo 121 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Sabathier depuis [vingt biffé] quinze ans déjà, [illisible] en cet état-là, mais pas gâteux encore. (…) Ne souffre plus, mais veut guérir quand même. (Ibid. Fo 123 – Notes sur la maladie de M. Sabathier)
Mais s’il reste une fistule qui suppure, la constitution s’épuise et la mort arrive. (Ibid. Fo 125 – Notes sur la maladie de Frère Isidore)
Il attend donc la troisième attaque qui arrive à soixante ans. Mais, quand l’attaque se produit, il ne peut plus parler. (Ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
Elle [Bernadette] devenait pâle, continuait activement ses prières [en interligne : elle remuait ses lèvres, mais nul son]. (Ibid. Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)
Sœur Dorothée. Myélite grave. – (…)
Un bain froid, déconseillé, mais moyen perturbateur très puissant. [On biffé] Il peut faire beaucoup de mal, mais il peut avoir des résultats très surprenants. (Ibid. Fos 136-137 – Notes sur les Miracles)
Aurélie Bruneau, sourde-muette de naissance. [A biffé] Son amie Constance guérie, mais elle non. (Ibid. Fo 143 – Notes sur les Miracles)
La grâce, guérison, surprenante peut-être, mais qu’on réalise dans les hôpitaux. (Ibid. Fo 145 – Notes sur Boissarie)
Un défi jeté à la raison. Mais comme le succès s’explique pourtant. (Ibid. Fo 147– Notes sur Boissarie)
Luxation de la hanche droite [en interligne : Joachime Dehaut [sic]]. (…)
L’ulcère guéri, mais le pied-bot et la luxation : elle se plonge une neuvième fois. (…) Elle tombe évanouie ; mais, quand elle rouvre les yeux, toute douleur a cessé (…). (Ibid. Fos 156-157 – Notes sur les Miracles)
Suggestion possible dans les maladies indépendantes de toute lésion organique. Mais les guérisons de carie, d’ulcères, de lésions matérielles (tubercules), inexplicables. (Ibid. Fo 161 – Notes sur les Miracles)
Plus de mille médecins, témoins ou juges. Mais il constate que les adversaires systématiques du surnaturel et du miracle ne viennent pas à Lourdes, paraissent se désintéresser. (Ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
Une mère qui veut demander [en interligne : 264] si l’on peut plonger sa fille poitrinaire dans la piscine. Il répond, comme médecin : Non. Mais agissez selon votre foi. La jeune fille ne fut pas guérie, mais quitta Lourdes plus confiante en l’avenir (?) (Ibid. Fo 163 – Notes sur les Miracles)
Mais [il biffé] les pères entendent aussi les objections, les réserves. Notes qu’ils envoient à leur journaux religieux. Un peu pressé. Mais le médecin attend l’épreuve du temps. (Ibid. Fo 164 – Notes sur les Miracles)
L’imagination fait les miracles. Mais vous ne pouvez restaurer une [j biffé] substance détruite. – (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
On cherche la guérison de la phtisie : la voilà. Mais bien capricieuse. (Ibid. Fo 169 – Notes sur les Miracles)
Il y a des cécités
nerveuses – Mais les décollements de la rétine, les atrophies de la pupille, les inflammations profondes de la cornée. – (Ibid. Fos 170-171 – Notes sur les Miracles)
Touche ses deux yeux avec l’eau. Comme un coup de couteau. Mais la sœur s’est trompée c’est de l’ammoniaque. (Ibid. Fo 171 – Notes sur les Miracles)
Une, malade d’une métrite incurable, ne demande pas la guérison, mais la résignation, et elle est guérie. (Ibid. Fo 172 – Notes sur les Miracles)
L’élan bruyant des prières, mais aussi l’élancement muet des âmes. (Ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Mais les bancs peu larges, et la fatigue résultant des cloisons perpendiculaires. (…) Et il y a là, au-dessus de la cloison, des patères où l’on peut accrocher des bagages. Beaucoup de choses pendues ainsi, non seulement des vêtements et des chapeaux ; mais encore des sacs, des valises, des paniers. (Ibid. Fo 182 – Notes sur le Départ de Paris)
Le train siffle, il part. Des adieux, mais pas le coup de gaieté et d’émotion de Lourdes. (Ibid. Fo 185 – Notes sur le Départ de Paris)
Elle a une maladie dans le ventre, et en outre un état nerveux très aigu. On lui a monté la tête, m’a dit le docteur. Mais je l’ai trouvé lui-même singulier. (Ibid. Fo 186 – Notes sur le Départ de Paris)
Le docteur ne comprend pas ; et j’aurai ainsi mon lupus, une guérison que la science ne comprendra pas (la médecine, non une science, mais un art, à développer). (Ibid. Fo 187 – Notes sur le Départ de Paris)
Un train de plaisir, mais plus minable, l’aspect gris et pauvre et souffrant de tout ce monde. (Ibid. Fo 188 – Notes sur le Départ de Paris)
Enfin (…) les sœurs, donnant des soins et de l’espérance, mais aussi faisant respecter la discipline. (Ibid. Fo 190 – Notes sur le Départ de Paris)
Mais quand elles [les sœurs de l’Assomption] ont le grand tablier bleu (…) et qu’elles ont leurs manches blanches, (…)
elles sont vraiment éclatantes (…). (Ibid. Fos 190-191 – Notes sur le Départ de Paris)
La compagnie d’Orléans, prendrait aux Pères de l’Assomption, 40 fr. par malade ou pèlerin, aller et retour. C’est là le chiffre qui se dit.
Mais je crois qu’il y a encore des rabais – (Ibid. Fos 191-192 – Notes sur le Départ de Paris)
Comme intrigue du roman, il faudrait (…) mêler à cela la famille, des types de dévots et d’incrédules, un amour sans doute, mais surtout un médecin catholique (…). (Ibid. Fo 214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Ne rien exagérer, mais bien prendre
ce cas de Lourdes comme ce que j’appelle un coup [de biffé] d’un tronçon du serpent qui ne veut pas mourir. (…) Ne pas écrire l’œuvre dans un sentiment de raillerie, mais de pitié pour l’humanité souffrante. (Ibid. Fos 214-215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Dieu avait vaincu. Dieu, hélas ! non, mais la misère humaine, le besoin de mensonge. (Ibid. Fo 226 – Notes sur H. Lasserre)
Pas la sous-préfecture (à Argelès) mais le Tribunal de 1ère instance (…). (Ibid. Fo 229 – Notes sur H. Lasserre)
Le père avait eu à ferme un moulin ; mais mauvaises affaires ; et journalier. (Ibid. Fo 231 – Notes sur H. Lasserre)
Elle retourne à la grotte le jeudi, 18 février (…). Mais le moulin est réparé et il faut passer par le chemin qui va à la forêt de Lourdes, et redescendre par la pente, casse-cou. (Ibid. Fo 234 – Notes sur H. Lasserre)
Mais, à Bartrès,
elle était allée à l’église, elle avait vu un autre prêtre ; et c’est là qu’il faut chercher. (Ibid. Fos 235-236 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] n’y va pas le matin, mais à midi, une force s’empare d’elle et l’y pousse (22 février) (85). Mais ce jour-là l’apparition ne se produit pas. – (Ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
Pendant l’extase, on remarquait les lèvres de l’enfant qui s’agitaient, mais on n’entendait rien. (Ibid. Fo 238 – Notes sur H. Lasserre)
Mais, pour la rabaisser, le 26, la Vierge ne paraît pas. 5 à 6 mille personnes attendaient. S’imaginer leur désappointement. Mais la fontaine était là. (Ibid. Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
La quinzaine finie, Bernadette continue à aller à la Grotte, mais n’entend rien. (Ibid. Fo 245 – Notes sur H. Lasserre)
Une femme dont la main guérit, et qui va accoucher devant la grotte. Mais elle demande à la Vierge de ne pas accoucher devant le monde et la Vierge lui donne la force de rentrer chez elle (3 lieues). (Ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
Mais remarquer qu’il n’a eu que les documents de l’Evêché. (Ibid. Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)
Pourquoi la guérison des autres, et pas la sienne ? Pour la sauver [Bernadette] ? Mais alors, Dieu ne sauve donc pas les autres. – (Ibid. Fo 261 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] aurait [aimé] revenir à Lourdes. (…) Mais elle savait qu’elle ne pouvait y passer inaperçue. (Ibid. Fo 263 – Notes sur H. Lasserre)
Elle croit que le miracle n’est accordé qu’à des âmes très saintes. Mais impression fugitive. (Ibid. Fo 271 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Elle n’avait pas la suppression des règles. Mais des douleurs internes. (Ibid. Fo 272 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Elle avait la foi au miracle, mais pas encore très forte. (…) Sept ans d’infirmité. Doute : « Mais je n’ai pas la preuve que je sois guérie. Je n’ai pas senti le miracle [»] (205). Peyramale les envoie à Paray-le-Monial – Mais elles veulent retourner à Aix – et elle est reprise. (Ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Quelle lutte, mais au nom du triomphe de la religion. (Ibid. Fo 284 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Mais la supérieure s’est fâchée, malgré lui s’est adressée à Rome (…). (Ibid. Fo 285 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Il se remet, mais l’autorité diocésaine a repris le domaine de la Grotte de la cure de Lourdes et en a confié l’administration à Sempé. (Ibid. Fo 287 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

Mais redouter l’idylle, le fleuve de lait (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2) \\Mais je fais un roman, il faut surtout que je passionne les femmes (Ibid., f° 351/4)
Mais surtout, c’est Luc qui m’intéresse (Ibid., f° 353/6)
Mais pour la seconde partie, l’action qui modifiera Luc ne suffira peut-être pas, il faudra peut-être un vieux professeur (Ibid., f° 356/9)
Ce savant pourrait avoir une fille avec lui, qui se mettrait à aimer Luc, mais dont elle ne serait pas aimée (Ibid., f° 356/9-357/10) \\Mais surtout je veux incarner avant tout l’idée de travail dans Luc (Ibid., f° 357/10) \\Mais je veux que Luc soit l’inventeur (Ibid., f° 358/11)
Mais Luc a-t-il déjà lu Fourier, ou le lit-il seulement par hasard chez le vieux professeur ? (Ibid., f° 359/12)
Il est bon que Luc soit un architecte, mais dans le sens de construction (Ibid., f° 359/12) \\Donc une scène où elle se jette dans ses bras, se donne, mais de cœur, quelque chose de chaste, mais de définitif (Ibid., f° 360/13)
Mais il faudrait tout de suite les grandes lignes du drame entre eux (Ibid., f° 360/13)
Pendant la deuxième partie, l’organisation du travail, c’est la lutte, mais quelle lutte ? (Ibid., f° 360/13)
L’ouvrier, pas méchant, mais fou quand il a bu, très paresseux (Ibid., f° 361/14)
Mais je songe surtout à ceci, que la femme qui n’a pas eu d’enfant avec lui, en a trois ou quatre avec Luc (Ibid., f° 362/15)
Mais surtout ils créent la Cité (Ibid., f° 362/15) \\Mais lui ne l’aime pas charnellement, toute sa tendresse et toute sa pitié sont allées à la femme (Ibid., f° 363/16)
Mais, aussi, maladie morale, a toujours souffert de son oisiveté (Ibid., f° 365/18) \\Mais pour ne pas diminuer son mari, il n’en faut pas faire une virago (Ibid., f° 367/20) \\Mais, auparavant, je voudrais bien créer un couple d’amoureux qui traverseraient toute l’action (Ibid., f° 369/22) \\Mais, il faudra que par d’autres exemples j’accentue cette paix (Ibid., f° 371/24)
Mais c’est un Froment (Ibid., f° 371/24) \\Mais gros d’une création à faire, très nourri déjà de lectures, ayant lu tous les ouvrages des précurseurs Saint-Simon, Fourier (surtout), Comte, etc. (Ibid., f° 372/25) \\Mais tout cela doit être encore confus (Ibid., f° 372/25) \\Mais si je veux lui donner du mouvement, il faut que dans la deuxième partie, il lutte, espère, puis désespère, s’imagine même un moment que tout est perdu (Ibid., f° 372/25-373/26) \\mais lié au patron, par l’habitude, abêti déjà et incapable de liberté (Ibid., f° 376/29) \\L’ouvrier intelligent, mais comprimé par le milieu (Ibid., f° 377/30) \\Mais un drame chez lui (…) et il peut avoir à sa charge le père de cette femme (Ibid., f° 378/31) \\Mais il vaudra mieux peut-être ne pas éparpiller trop l’intérêt sur trop de personnages, de types (Ibid., f° 380/33)
Il le faut compagnon de l’ouvrier (…) agissant comme lui, mais capable d’être guéri, sauvé (Ibid., f° 381/34-382/35) \\Mais quelle est sa psychologie là-dedans ? (Ibid., 383/36) \\mais que les ouvriers ne les avaient pas loués, et qu’il avait appelé Luc, son ancien élève, pour voir à en tirer parti (Ibid., f° 383/36) \\Mais toujours égal à lui-même, donnant son travail sans compter, très simple et très bon (Ibid., 384/37) \\Mais mauvais spéculateur, l’essai périclite à la fin du premier livre (Ibid., 384/37) \\mais je puis avoir encore de la verrerie artistique, ce qui me donnerait des ouvriers d’art (Ibid., f° 386/39) \\Mais lorsque l’autre verrerie se fonde, elle cède directement §§§ (Ibid., f° 388/41) \\Mais surtout parmi les ouvriers il me faut représenter toutes les opinions (…) ceux qui sont pour le progrès, mais timides, sans énergie (Ibid., f° 389/42) \\Mais rêveur, paresseux, ne gagne que son pain (Ibid., f° 391/44) \\Mais je veux que tout se passe chez le capitaliste, puisque j’ai eu l’usine au II et que je vais la raviver au V (Ibid., f° 395/48)
Le bourg pourri est rasé, l’ancienne usine en cendres, mais il faut reconstruire (Ibid., f° 396/49)
Il arrive en Messie, en Sauveur, avec des idées déjà connues, mais pas complètement formulées (Ibid., f° 399/52) \\Les premiers succès, mais noyés dans le malaise général (Ibid., f° 402/55) \\Mais il faut que toute l’évolution soit posée, que l’incendie ne soit que la catastrophe balayant les derniers détails (Ibid., f° 402/55)
Mais dans l’utopie, c’est un de leurs enfants que je prendrai pour l’idylle (Ibid., F°405)
Alors, un peu ma Catherine de « Germinal », mais reprise et developpée (Ibid., F°406)
mais cela surtout pour poser la campagne autour (Ibid., F°411)
Luc architecte, mais bâtisseur de ville, très préocuppé de l’avenir, organisation du travail etc. (Ibid., F°420)
Mais j’ai déjà beaucoup de personnages, et je crois qu’il faut me borner le plus possible (Ibid., F°423)
Mais je fais arrêter Lange pour propos séditieux, l’anarchiste (Ibid., F°430)
le passage (…) me donnant tout l’Abîme, mais très bref (Ibid., F°431)
Mais il ne faudrait que les indiquer d’un trait, sans les poser entièrement (Ibid., F°435)
Cela est délicat, mais possible. Et même sans qu’il y ait une explication entre eux (Ibid., F°442)

MAL / PAS MAL

La Conquête de Plassans (1874)

Faujas doit finir mal. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXIII F˚ 13)

La Terre (1887)

Puis mort de Louise, tuée par Bonhomme (?) et le lot enfin lui revenant. Cela n’irait pas mal. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 416/17 – Ebauche)

Lourdes (1894)

Est-ce que la foi ne devrait pas suffire pour croire aux miracles ? alors pourquoi un médecin constatant ? Si mal qu’il constate, c’est encore de [tout biffé] trop. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°48)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : les certificats pas mensongers [en interligne : difficulté du diagnostic], mais mal établis, par l’ignorance fatale (…). (Ibid. F°285)
Tout cela s’arrange assez mal. (Ibid. F°319)
L’expérience se déroule, et tourne mal. (Ibid. F°380)

Je songe même que, dans « Lourdes », je ne ferai pas mal à une ou deux reprises d’évoquer sa figure (…) \\. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 16-17 – Notes sur Guillaume Froment)

MÂLE

Lourdes (1894)

Pour accepter la vie avec la science seule, avec le mâle courage du vrai, sans espoir de compensations futures, il faut être un esprit élevé, cultivé, absolument brave. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°11)

MALENTENDU

Nana (1880)

Malentendu et détraquement. Le ferment d’en bas qui remonte et qui pourrit les hautes classes. (NAF Ms. 10313, Nana. F°69- Plan)
Malentendu, détraquement. (Ibid. F°72).

Malentendu, détraquement social. (NAF Ms. 10313, Nana. F°230- Ebauche).

MALET (baron)

Président de l’Hospitalité de Notre-Dame de Lourdes et modèle du baron Suire dans Lourdes. Sous sa conduite et sous celle de M. de Lacvivier, le 25 août 1892, Zola visita la Grotte, le magasin des cierges, le bureau des envois de l’eau de Lourdes, puis le rosaire, la Crypte et la Basilique.

Lourdes (1894)

400 hospitaliers hommes en 93. Ils disent en commun le Rosaire, rangés autour de leurs chefs, M. de Raymond-Calenzac, et le baron de Malet. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°240)

MALGRÉ

Lourdes (1894)

Marie la [Elise Rouquet] voit, et malgré ses propres souffrances, frémit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°128)
Puis la Grivotte, debout qui se soulève, à chaque instant, malgré son état de faiblesse (…). (Ibid. F°134)
Elle [Marie] pas femme, lui [Pierre] prêtre. Et il faut que ce soit ce qui le décide, car il hésitait, malgré son grand désir de [faire biffé] donner ce grand bonheur à sa mère. – (Ibid. F°149)
Et, avant la prêtrise, les vacances à Neuilly, Marie retrouvée malade, ce qui le [Pierre] décide malgré ses doutes. (Ibid. F°156)
Et Pierre commence (…). Tout le monde entend très bien, malgré le bruit des roues. (Ibid. F°203)
Elle [Mme Vincent] ne sait où coucher, elle va descendre droit à la Grotte (malgré l’heure). (Ibid. F°227)
Quand il [Pierre] est assis, il se repose un peu, il se remet à voir et à penser [en interligne : malgré la chaleur]. (Ibid. F°280)
Ne pas oublier que M. de Guersaint ne songe qu’à sa partie à Gavarnie, malgré son grand amour pour sa fille. (Ibid. F°327)
Marie a obtenu, malgré son état, de passer la nuit entière devant la Grotte. (Ibid. F°358)
La simonie, la godaille reviennent malgré la procession. (Ibid. F°372)
Mais les souvenirs de la journée entière, la simonie, la foire, malgré la procession, reviennent invinciblement (…) \\. (Ibid. F°s376-377)
Ce serait pour cela qu’il [Chassaigne] lui répondrait si complaisamment, malgré sa tristesse. (Ibid. F°384)
Le froid que cela lui met au cœur, malgré sa joie, sa profonde émotion. – (Ibid. F°439)
Je reprends Marie avec son chariot, vaillante malgré sa fatigue, montant quand même avec élan. (Ibid. F°452)
Commencer là l’analyse qui le [Pierre] montre troublé, plein de malaise, devant Marie guérie, malgré la joie profonde qu’il en éprouve. (Ibid. F°455)
Pierre ne peut plus voir Marie sans un malaise, malgré sa grande joie pour elle. (Ibid. F°466)
Marie avant d’aller à l’hôtel des Apparitions, malgré l’heure matinale, s’est fait conduire à la Grotte par sœur Hyacinthe, pour remercier la Vierge. (Ibid. F°508)
Mais le Commandeur refusant de boire, malgré son incroyance. (Ibid. F°518)
Un sentiment de lassitude, [la biffé] malgré le soulagement des choses faites. (Ibid. F°535)
Finir avec Sabathier par l’espérance infinie malgré la rechute de la Grivotte qu’il a devant lui. – (Ibid. F°560) ==== MALHEUREUSEMENT ====

Lourdes (1894)

D’autre part le dr Boissarie n’avait pas vu la plaie. Il y a bien les dames de la piscine ; mais, malheureusement, Clémentine avait gardé son pansement, qui est même tombé dans la piscine, de sorte que ces dames [restant biffé] n’ont pas vu la plaie. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°47)

MALOT (Hector)

Romancier français, 1830-1907.

La Conquête de Plassans (1874)

Je crois inutile cependant de peindre la maison de fous et de montrer comment Mouret devient fou lui-même. Cela a été fait dans le roman de Malot (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche,F°25) /allusion au roman de Malot : Un beau-frère, 1869/

MALTHUS (-SIEN)

Philosophe et économiste anglais, 1766- 1834

Travail (1901)

Un malthusien, avec ses raisons (F°407)

MANGER

Lourdes (1894)

Ne pas manger du prêtre, montrer la force des choses, et comment le départ de Bernadette s’est produit logiquement, comme une chose nécessaire. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°393)

MANIÈRE

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Jésus visite ses fidèles de deux manières, par la tentation et par la consolation (Je retournerai cela.) (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Extraits de L’Imitation, f° 39)

Lourdes (1894)

S’il y a un lien entre madame Volmar et lui [Pierre], soit par la confession, soit d’une autre manière, il faudra le dire là : il saurait qu’elle va rejoindre un amant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°179)

MANIFESTER (SE) / MANIFESTATION

Lourdes (1894)

L’apparition continua à se manifester. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
Où est le but, où est l’intérêt, de toutes ces manifestations individuelles, dans le grand tout ? (Ibid. Fo 261 – Notes sur H. Lasserre)

MANQUER

Lourdes (1894)

Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille ; et là je voudrais tout un drame qui peut me donner les deux chapitres qui me manquent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°108) ==== MARCHE / MARCHER ====

La Curée (1872)

Voici la marche du personnage. (MS NAF 10 282, La Curée, f°294 / Premiers détails). – Voici la marche générale (MS NAF 10 282, La Curée, f°348).

Le Ventre de Paris (1873)

Les deux intrigues doivent marcher parallèlement. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 69)

La Conquête de Plassans (1874)

Comme marche générale dans l’œuvre, il est temps de revenir à Plassans, où, de longtemps, je ne pourrai remettre les pieds (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)

Nana (1880)

Voyons quelle sera la marche de cette intrigue. (NAF Ms. 10313, Nana. F°232- Ebauche).

La Terre (1887)

Dès lors cela peut marcher : les deux affaires sont distinctes, et se réunissent pourtant en une seule. Cela me donne la division par la famille. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 419/20 – Ebauche)

Lourdes (1894)

Le travail, la création définitive à laquelle nous marchons. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°3)
Tant que la mère de la malade avait vécu, comme elle était une femme pratique, les choses avaient encore marché. (Ibid. F°92)
Lui soupçonne l’abbé Ader d’avoir tout mis en marche même inconsciemment. (Ibid. F°98)
Ici donc, je n’ai qu’à suivre la progression, la marche chez lui [Pierre] [du biffé], sans conclure. – (Ibid. F°436)
Elle [Marie] se soulève (prendre des détails chez Lasserre, Mlle de Fontenay [) biffé], pour la marche du miracle). (Ibid. F°438)

Travail (1901)

Dès lors tout peut marcher assez bien (F°418)

MARIE (Mère de Jésus)

Voir aussi Bible, Adam, Eve, dieu, Dieu, Genèse, Jésus, Job, Paradis, Passion, Satan.

La faute de l’abbé Mouret (1875)

(Serge attristé par la Passion, préférant Marie.) La fin du chapitre. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, plan du troisième livre, f° 38)

MARQUER/ MARQUER

Voir aussi : indiquer ; poser.
Voir aussi les soulignements.

La Terre (1887)

Marquer toutes les phases de ce drame intérieur (MS NAF 10329 La Terre F° 10 – Personnages, Jean Macquart)

Le Rêve (1888)

voir à marquer l’opposition ou le rapprochement entre cette extrême onction et le salut qu’il apporte, l’amour, le bonheur (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 278/61)

Bien marquer que c’est de la folie, du rêve (Ibid., 2ème Plan détaillé du chapitre III, f° 43)
Et là je voudrais bien marquer le revirement chez Monseigneur (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 174)
Et le livret comme marque d’humilité dernière. Le livret contre le parchemin de Félicien deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 183)

Bien marquer cet homme moderne dans lequel repousse l’homme d’un autre âge (Ibid., Personnages, f° 207)

Lourdes (1894)

Pourtant très capable d’amour, et marquer lorsque la face se détend (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 3 – Notes sur Pierre Froment)
Puis troubles plus marqués des fonctions digestives. (Ibid. Fo 124 – Notes sur la maladie de Mme Vêtu)

MARTYR

(personnage de l’hagiographie chrétienne)

Le Rêve (1888)

Alors les grandes divisions faites par moi de la légende. Les Saints. Les diables.(…) les supplices des martyrs et les miracles (…) les bêtes et le comique. Spécialement pour l’amuser comme des romans (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20) \\Le supplice des martyrs et les miracles qui en proviennent (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II)

Lourdes (1894)

Et tout cela, dès maintenant, je voudrais l’incarner dans une dame romaine
à qui je donnerai une grande passion. Une âme de feu qui se martyriserait pour résister à son amour. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s5-6)
Quand j’aurai ma Bernadette tout entière, je la ferai bien humaine, telle qu’elle était, mais extrêmement touchante, et martyre. (Ibid. F°66)
Donc il [Pierre] est le martyr du fait, il doit
s’élever plus haut, dans l’abnégation. (Ibid. F°s77-78)
Indiquer qu’elle [Bernadette] serait un obstacle à ce qu’il [Pierre] retrouvât la foi, cette malheureuse enfant, cette martyre qui était à Nevers (…). (Ibid. F°390)
Et ne réserver de l’histoire de Bernadette [qu biffé], pour la fin, V e chapitre de la 5 e partie, que (…) les
réflexions sur sa vie de martyre (…). (Ibid. F°s396-397)
Bernadette humaine, mais extrêmement touchante et martyre. (Ibid. F°564)
Elle [Bernadette] était l’élue, la martyre, et s’il [Pierre] ne pouvait plus croire, elle ne l’en bouleversait pas moins (…). (Ibid. F°581)

J’en fais la martyre, la souffrance morale. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 32– Notes sur Mme Vincent)

MASSE

Voir aussi : Tout ; Foule.

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Le livre doit être compris par quelques grandes belles masses très simples. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 10)
Les paysans, ce serait comme un fond gris, inommé [sic], une masse de brutes travailleuses et courbées, sur laquelle je détacherait [sic] mon drame humain. (Ibid., f° 13)
J’aurais ainsi une sorte de troupeau humain, une tribu dormant, se reproduisant, travaillant, toujours attachée à la terre, se mouvant dans mon œuvre comme une masse unique. (Ibid., f° 13-14)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (Ibid., f° 14)

Le Rêve (1888)

Pour ne pas avoir de paquet, je tacherai de mettre entre chaque masse de La Légende dorée, du récit, même des conversations s’il est possible, d’autres choses enfin (MS NAF 10323, Le Rêve, Premier Plan détaillé du chapitre II, f° 35)

Lourdes (1894)

Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille, un cadre où je sois moi, des foules, des grandes masses à remuer, des effets grands (…) \\. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s61-62)
Et le grand morceau, la masse de miracles, avec Mme de Jonquière et surtout sœur Hyacinthe. (Ibid. F°186)

MASSY (baron de)

Préfet de Tarbes chargé d’enquêter sur Bernadette Soubirous à l’époque des apparitions.

Lourdes (1894)

Et il faudrait que je puisse interroger (…) le baron de Massy, je crois, qui était alors à Tarbes préfet, et qui est vivant, m’a-t-on dit : un [cr biffé] catholique, m’a-t-on dit, mais qui n’a jamais cru à la Vierges de Lourdes, parce qu’il avait
sans doute de bonnes raisons pour ça. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s65-66)
Son père, mort en [79 biffé]63 (il y a [ving biffé] trente ans) était au courant des choses de Lourdes, par un ami (de Massy). (Ibid. F°160)
Tous les personnages historiques, l’abbé Peyramale, l’évêque Mgr Laurence, le baron de Massy, le commissaire Jacomet, etc. – (Ibid. F°309)

Il a connu de Massy. Dans le cabinet de son père. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 14 – Notes sur Pierre Froment)
Autorité civile s’émeut et va agir : le procureur impérial, Dutour ; le juge de paix, Duprat ; le commissaire de police Jacomet ; le préfet, M. le baron Massy. (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
[en interligne : Baron] Massy, catholique pratiquant, sincère, ennemi de la superstition – (Ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
Les gens de bon sens, Massy, Jacomet, en lutte avec la superstition et vaincus d’avance – (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Dieu avait vaincu. Dieu, hélas ! non, mais la misère humaine, le besoin de mensonge. (…) Massy et Jacomet déplacés. – (Ibid. Fo 226 – Notes sur H. Lasserre)
Le préfet du département, M. le baron Massy, voyant par les yeux de Jacomet. (Ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de M. le baron [de biffé] Massy – Ennemi de la superstition, catholique sincère. (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
L’histoire de ces gens de
bon sens et de gouvernement, le baron Massy, le commissaire de police Jacomet, en lutte avec la superstition et vaincus à l’avance. (Ibid. Fos 248-248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Massy disait qu’il agissait de concert avec l’évêque, et celui-ci ne démentait pas. (Ibid. Fo 248 bis – Notes sur H. Lasserre)
On change Massy, on l’envoie à Grenoble. Jacomet déplacé aussi. (Ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre)
On a commandé à un membre d’un ordre considérable une histoire pour réhabiliter (…) Massy, ancien préfet (…) \\. (Ibid. Fos 286-287 – Notes sur L’église du curé Peyramale) ==== MATHIEU ====

Chef de service de l’Administration de Paris.

Le Ventre de Paris (1873)

Notes données par M. Mathieu. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 216)
Notes que m’a données M. Mathieu (Ibid., f° 217)

MATIÈRE / MATÉRIALISER / IMMATÉRIEL / MATÉRIALISME / MATÉRIALISTE

Le Ventre de Paris (1873)

C’est une matière très suffisante, et il me reste uniquement à chercher les épisodes, les personnages épisodiques. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 59-60)

Nana (1880)

Avec cela, finissant par considérer l’homme comme une matière à exploiter (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°192-Personnages).

Le Rêve (1888)

Enfin le matérialiser avec des détails qui font revenir les Hubert (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 260/43)
Pour matérialiser la lutte, mettre un chant de Félicien au dehors (Ibid., Ebauche, f° 272/55)
La faire si immatérielle
que la scène reste très pure. Félicien la regardant et pleurant de la voir si immatérielle (Ibid., f° 273/56- 274/57)

Là le portrait de Félicien, matérialisé (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
Tout cela immatériel dans un élancement blanc (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 100)
elle est immatérielle, cela rend la scène très chaste (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 160)
Grande scène de lune et de passion, mais chaste (…) la faire si immatérielle que la scène reste très pur [sic] (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 165)

Lourdes (1894)

Outre
que la matière est importante et déborderait, il [sera biffé] est certain que le haut clergé n’est pas pour Lourdes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s60-61)
Un médecin [Chassaigne] plutôt matérialiste, tout [au] moins indifférent, n’acceptant que les faits exacts, basant tout sur l’observation. (Ibid. F°259)
Autrefois, [Chassaigne] incroyant, médecin matérialiste, ou plutôt indifférent. – (Ibid. F°265)

Donc, quand [elle biffé] il meurt à 55 ans, elle en a 40, et son fils [Jacques biffé] Guillaume en a 15 : c’est déjà un garçon élevé dans les idées matérialistes du père, et qui lui échappe. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 5 – Notes sur Pierre Froment)
L’idée de Dieu est l’idée de l’infini (parole de pasteur). Boissarie dit que cette parole est la réfutation du matérialisme. Pourquoi ? (Ibid. Fo 145 – Notes sur Boissarie)

MATÉRIAUX

Lourdes (1894)

Que de matériaux accumulés dans les Annales de Lourdes (depuis 1868) 32 vol. 250 certif délivrés par des médecins. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 160 – Notes sur les Miracles)

MÂTINÉ

Lourdes (1894)

Un
type le père, un architecte mâtiné d’inventeur, la tête dans les étoiles, et ne voyant pas la misère autour de lui. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°92-93)
Finir de poser le père [en interligne : névropathe, architecte mâtiné d’inventeur], (…) \\. (Ibid. F°s151-152)
Comment M. de Guersaint en est tombé là, l’architecte mâtiné d’inventeur. (Ibid. F°157)

MAUVAIS

Nana (1880)

Je voudrais qu’il fût sur le point de quitter sa place. Non tout cela est mauvais. (NAF Ms. 10313, Nana. F°149- Plan).

La Terre (1887)

Il reviendra par héritage. Et il répond : Mais Louise. Non ! L’entêtement stupide. Donc, il refuse. Son frère – non tout cela est mauvais, cela augmente la propriété au lieu de la diviser. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 414/15 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Ce que j’avais trouvé n’était pas mauvais (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 219/3)

Lourdes (1894)

La mauvaise organisation des constatations. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°46)
C’est cela qu’il faudra chercher, une division par parties [qui biffé], peut-être, qui permettra des refrains, [qui biffé] quoique ce serait très mauvais d’interrompre
le récit. – (Ibid. F°s58-59)
Mais ses objections, au nom de la raison, n’est-ce pas mauvais pour la raison, de la supprimer. (Ibid. F°95)
Un garçon de vingt-cinq ans, frère des écoles chrétiennes, venu avec sa sœur. (…) Une mauvaise hérédité tout de même, à régler. (Ibid. F°108)
La maladie constatée par l’un ; la guérison, par l’autre. Mauvais système. (Ibid. F°280)
Mauvaises installations, organisations défectueuses, aucune certitude scientifique. C’est ce que dit le monsieur, ce que j’ai dit moi-même (notes). – (Ibid. F°281)
Sur la mauvaise organisation du bureau des constatations (Ensemble sur Lourdes 18). (Ibid. F°294)

D’ailleurs, je n’aurai besoin de lui que dans « Paris ». A moins que je ne fasse passer son (…) image dans « Rome », ce qui ne serait pas mauvais, rien que pour ne pas le perdre de vue et le préparer. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 16 – Notes sur Guillaume Froment)

ME

Voir : Moi ; Mon/ma/mes

MÉCANISME / MÉCANIQUE

Le Rêve (1888)

Et c’est alors qu’elle veut rejoindre Félicien. Puis la grâce revient. Enfin tout le mécanisme de la grâce (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 147)
Et bien expliquer tout le mécanisme en elle. Le combat qu’elle soutient contre elle-même (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 160)

Lourdes (1894)

Et je ne puis guère arriver à cela que si, à la fin de « Rome » je montre mon prêtre écrasé, reprise [sic] par la machine sacerdotale (…). Il n’est plus que dans cette mécanique. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°14)
Et il ne croit pas, tout cela mécanique, pour se tenir debout et vivre. (Ibid. F°15)

Donc, seul le grand médecin découvre l’hystéro-neurasthénie. (…) Mécanisme de cela. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)

MEDAN

La Terre (1887)

Le paysan qui rase ; – Pourtant un petit village plus grand que Medan. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 498/90 – Ebauche)

MÉDICAL

Le Rêve (1888)

elle en mourra (je ne donne aucune explication médicale) (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre XIV, f° 191)

MÉFIER (SE)

Nana (1880)

A voir. (Se méfier beaucoup d’Hulot.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°213- Ebauche).

Le Rêve (1888)

Si j’ai à la rigueur la pureté (en me méfiant) et la psychologie (…) je n’ai pas la fantaisie (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 221/5)
(…) Elle a quatorze ans, indiquer dans quel monde la Légende l’a mise (se méfier, à cause du IV). Mais dire qu’elle tient à la vie (pour expliquer son rêve au III) (…) (relire absolument Leg.Dor.4) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 22)
se méfier. Garder les pauvres pour plus loin, car ils sont encore bien près (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 91)

Lourdes (1894)

Description de l’eau [en interligne : glacée] : la saleté, l’eau pas changée, autrefois [en interligne : se méfier du bouillon de microbes]. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°263)
Se méfier à la piscine, sur le bouillon
de microbes. (Ibid. F°s277-278)
Sophie Couteau peut passer, quoiqu’il faille se méfier de la prodiguer trop. – (Ibid. F°307)
Il [Chassaigne] a connu Peyramale, il a pu le voir mourir, il en parle. Pourtant, les dates ne [s’y biffé] sont pas. Se méfier. (Ibid. F°482)

MEILLEUR

Le Ventre de Paris (1873)

Le moins de détails sera le meilleur. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 105)

Lourdes (1894)

Cela sera d’autant meilleur, que cette partie inventée ne détonnera pas avec la partie historique (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°56)

MÉLANGE

Lourdes (1894)

Toucher le personnage discrètement ; et, pour sa fille, lui donner le désir de la marier, mais ne venant pourtant
pas exprès : un mélange très fin de tout cela (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 71-72 – Notes sur Madame de Jonquière)

MÊLER

La Curée (1872)

N’indiquer les 1ères affaires faites par Aristide, et les réserver pour les mêler au chapitre III. (MS NAF 10 282, La Curée, f°219). – Mêler un peu le tout (MS NAF 10 282, La Curée, f°337).

Le Ventre de Paris (1873)

Seulement, il faut mêler tous ces gens-là à l’intrigue.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 64)

La Conquête de Plassans (1874)

Tout ce monde se mêle indirectement à l’intrigue ((MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°23)
cette partie, la plus originale, doit avoir du développement. Il faut la mêler intimement au récit, aux autres personnages (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F° 25)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Mêler les personnages épisodiques à cet [sic] drame qu’il faudra rendre aussi poignant que possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 4)
Enfin je le mêle au drame de la fin, il doit peser sur la mort de Blanche. (Ibid., f° 8)
On peut la mêler au drame, en la faisant céder à un homme. On peut aussi mettre en face d’elle le frère Archangias, (je veux cependant conserver à celui-là sa raideur catholique ! [sic] (Ibid., f° 10)
Les détails des événements mêlés à la cérémonie. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 26)

Nana (1880)

Poser le milieu d’une cocodette, le monde mêlé du salon. (NAF Ms. 10313, Nana. F°30- Plan)
Amour de Muffat mêlé d’une tendresse paternelle. (Ibid. F°44)
Mêler Francis à une des aventures. (Ibid. F°107)
Labordette mêlé à ça. (Ibid. F°139)
Les domestiques mêlés à tout ça. (Ibid. F°140)
Muffat toujours mêlé, pour garder ma gradation, par dessus l’épisode de Mignon (Ibid. F°143).

[Madame Maloir] Surtout pas une entremetteuse, trempant dans tout cela sans s’en mêler directement. (NAF Ms. 10313, Nana. F°184- Personnages).

Toute une fougue sensuel (sic) se déclare en lui, mêlé à une tendresse fraternelle. (NAF Ms. 10313, Nana. F°215- Ebauche).

hommes et femmes mêlés (NAF Ms. 10313, Nana. F°319- Notes).

Au bonheur des dames (1883)

Quant à l’intéressé d’Octave, il est inutile de le mêler à l’intrigue romanesque (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fºs 17-18) \\Vol de Mme de Boves. Comme coup de la fin, Paul mêlé à cela (Ibid., fº 28) \\Le jeune ménage fini. Louise mêlée à tout cela (Ibid., f° 29)

La Terre (1887)

Jean-Macquart (…) Mais comment le mêler à l’action d’une façon centrale ? (MS NAF 10.328 La Terre, f° 404/5- Ebauche)
(…) Ce serait la lutte du paysan contre l’ouvrier des villes, dans laquelle je mêlerai [sic] l’amour de la terre. (Ibid., f° 412/13)
(…)Cela me donnerait la grande culture, et je tacherai de nouer cela au récit par un intérêt, un drame qui se mêlerait à celui que j’ai déjà. (Ibid., f° 461/53)
(…) la haine contre cette masse de terre dont le coin entre dans le pays. Mais laisser cela absolument au second plan. (…) – je voudrais bien que Jean soit mêlé à cela, mêler deux drame [sic]. (Ibid., f° 461/53)
(…) Pour le village, pour mettre en branle toutes les autorités, vers la fin sans doute, à cause des dates, il faudrait avoir un fait ; et le meilleur serait une discussion de chemin, dans laquelle je mêlerais la ferme. (Ibid., f° 472/64)
(…) Mêler toujours à cette histoire, celle du terrain. (Ibid., f° 478/70)

Le Rêve (1888)

L’évêque dans sa gloire épiscopale. Et le fils aussi mêlé (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 236/20)
(…) Mêler l’au delà là dedans (Ibid., f° 237/21)
(…) Mêler cela au triomphe d’Angélique dans l’église ( Ibid., f° 248/32)
(…) Il revient souvent pour sa commande, se trouve mêlé à elle (…) le mêler au travail, à la broderie (Ibid., f° 260/43)
(…) Y mêler le milieu toujours (Ibid., f° 271/54)

L’idylle chez les Hubert, mêlée au travail (…) pauvres mêlés (Ibid., f° 2, Plan, Plan du chapitre VI). Hubertine a un fond de tristesse, de remords. Mêler ça à ses amours (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f°30)
(…) Mêler l’hérédité à cela et l’inquiétude chez les Hubert (Ibid., f° 35)
Le travail mêlé (…) Mais je mêle les Hubert (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 47)
Les Hubert y sont mêlés (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre IV, f° 83)
Hubert et Hubertine mêlés (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
A arranger. Mêler la légende à l’extrême-onction, s’il est possible (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)

Lourdes (1894)

C’est sur ce fond que je puis détacher mon Jacques et l’histoire où il sera mêlé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°24)
Et maintenant religion bruyante, piété très mêlée, bataille âpre et continuelle pour l’argent, prostitution (…). (Ibid. F°35)
Il la voyait en vacances, il l’aimait très chastement (…) \\ ; mais on ne pouvait épouser cette enfant malade, condamnée, (le médecin mêlé à cela, celui qui se sera converti là-bas). (Ibid. F°s74-75)
Il a connu un homme qui a été mêlé aux affaires de Lourdes (…) \\. (Ibid. F°s76-77)
Il a connu un des hauts fonctionnaires mêlés à cette histoire, il sait à quoi s’en tenir. (Ibid. F°97)
La scène serait jolie, ce prêtre [en interligne : incroyant] se refusant, par pudeur pour sa soutane à se mêler à cette aventure de simple suggestion. (Ibid. F°97)
Il faudra que mon prêtre la connaisse, ou qu’il soit mêlé à cela ; et qu’il pardonne. (Ibid. F°103)
Mon prêtre sera mêlé à cela, parce qu’on l’appellera pour [conf biffé] confesser et absoudre la tante mourante. (Ibid. F°110)
Il [Ferrand] assiste ainsi qu’elle [sœur Hyacinthe] à l’agonie de la femme au cancer : mêlés à cela. (Ibid. F°115)
Marie et Pierre mêlés peu à peu. (Ibid. F°125)
Le frère [Isidore] a un abcès du foie. (…) Et sa sœur Marthe. Tout cela par-dessus Marie et Pierre, et les y mêler le plus possible. (Ibid. F°127)
Jolie analyse, ce [mede biffé] prêtre [en interligne : prêtre incroyant refusant, par pudeur pour sa soutane, de se mêler à cette aventure de simple suggestion] qui ne croit pas (…). (Ibid. F°152)
Le grand médecin consulté, qui conseille Lourdes, et explique ce qui peut se passer (…). Pierre ne voudrait pas s’en mêler. (Ibid. F°158)
Scène jolie, ce prêtre incroyant refusant, par pudeur pour sa soutane, de se mêler à cette aventure de simple suggestion. (Ibid. F°164)
Et alors, (…) j’amène les Vigneron, je les mêle à Pierre, à qui ils peuvent s’adresser pour avoir des nouvelles. (Ibid. F°169)
Il [Pierre] peut aussi faire connaissance avec les Vigneron, qu’il retrouvera à l’hôtel et à l’histoire desquels il sera mêlé. (Ibid. F°179)
Mme de Jonquière et sœur Hyacinthe se mêlent à l’entretien, provoquent certaines de ses réponses.– (Ibid. F°184)
Marie et M. de Guersaint mêlés à cette interruption. (Ibid. F°206)
Mais ne prendre absolument que Bernadette et les apparitions, sans les persécutions que je garde pour le chapitre V de la seconde partie, où je reviendrai sur ses premières pages pour reprendre les persécutions mêlées aux apparitions (…). (Ibid. F°221)
Et tout de suite l’épisode du mort. (…) Ni Berthaud, ni Gérard mêlé ! – (Ibid. F°226)
Donc mêler Pierre aux autres incidents, serrer [de biffé] tout cela, et finir par le Commandeur qui arrive, au petit jour. (Ibid. F°237)
Marie mêlée, il [Pierre] veut prier pour elle, s’agenouille, demande le miracle, lorsque le père Fourcade monte dans la chaire. (Ibid. F°248)
Et des maux plus cachés, compliqués, où tous les maux se mêlent. (Ibid. F°272)
Et les maux cachés, compliqués où tous les maux se mêlent ? (Ibid. F°284)
Le [Des Hermoises] mêler à la causerie, à la fin, avec le Commandeur. – (Ibid. F°294)
Alors (…), je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables, toujours avec Pierre mêlé et assistant.– (Ibid. F°297)
Les parents [Vigneron] courent, Pierre y est mêlé. (Ibid. F°326)
Mais [auparavant biffé] comme ils passent devant la popote, ils rencontrent madame Désagneaux et Raymonde qui causent avec Gérard (Mme de Jonquière absente, je ne veux pas
la mêler aux affaires de sa fille [)]. (Ibid. F°s340-341)
En outre, je mêle d’autres épisodes s’il est nécessaire. (Ibid. F°362)
Mêler aussi la petite Sophie qui s’approche en jouant et qui guette la mort.– (Ibid. F°405)
En tous cas, y mêler Marie qui raconte qu’elle a entendu [des biffé] une voix lui promettant la guérison (…). (Ibid. F°410)
Et les épisodes mêlés des Vigneron et des Dieulafay – (Ibid. F°418)
Mêler le bureau des constatations. (Ibid. F°429)
Le père Massias, le père Fourcade, mêlés. On ne les entend plus, c’est la foule qui hurle. (Ibid. F°437)
Pour que Pierre soit mêlé, le mieux est de faire qu’on l’appelle, quand on trouve Mme Chaise agonisante ou morte, pour [l’ex biffé] la confession, etc. – (Ibid. F°486)
Premier épisode, auquel Pierre est mêlé. (Ibid. F°512)
Mêler à cela Berthaud et le marquis de Salmon-Roquebert, ainsi que le baron Suire. (Ibid. F°527)
Mêler à cela Marie, Pierre, M. de Guersaint, auquel il faut un petit rôle – (Ibid. F°536)
Mêler Blanche aux projets d’avenir de Marie, pour que la figure ne disparaisse pas (personn. de Marie.) (Ibid. F°561)
Mêler Bernadette, dans sa touchante réalité humaine (…). (Ibid. F°590)
La procession aux flambeaux. Y mêler ma malade, qui a obtenu de passer la nuit devant la Grotte. (Ibid. F°603)
Et ma malade mêlée. (Ibid. F°604)
Le Commandeur qui refuse à Judaine de se laisser miraculer et qui meurt. Marie mêlée. (Ibid. F°605)
Quand je ferai « Rome » je verrai de quelle façon je le mêlerai à ce roman. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 19 – Notes sur Guillaume Froment)
Une aventure. Il faudra que Pierre la connaisse ou qu’il soit mêlé à cela, et qu’il pardonne, en disant les raisons, les excuses. (Ibid. Fo 76 – Notes sur Madame Volmar)
Mêler à cela, leur idylle là sans doute. – (Ibid. Fo 90 – Notes sur Ferrand)
[Une simple figure, mais nécessaire, je crois. Et voir si je ne pourrais pas le mêler [d’ava biffé] davantage aux différents drames. (…) biffé] (Ibid. Fo 95– Notes sur l’abbé des Hermoises)
Seulement comment avoir ce personnage et comment le mêler aux autres. (Ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
Comme intrigue du roman, il faudrait mêler à l’histoire rétrospective de Bernadette, une histoire de jeune fille [lettre biffée] névrosée, soit de la bourgeoisie, soit du peuple, mêler à cela la famille (…). (Ibid. Fo 214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Lasserre mêle les miracles à son récit. (Ibid. Fo 251– Notes sur H. Lasserre)

MÊME / DE MÊME / TOUT DE MÊME

Le Ventre de Paris (1873)

L’héroïne, belle bouchère a la chair fraîche, au sourire honnête est la contrepartie de Saccard, le museau de fouine fouillant dans l’or. Au fond, même avachissement, même décomposition morale et sociale. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 50)
Cependant Louis fait accepter une place à Charles à la Halle, dans le ventre même. (Ibid., f° 57)
Je pourrai finir par une réconciliation (…) amenée par le dénouement même.(Ibid., f° 77)
Lisa devant la famille, même point. (Ibid., f° 88)
– En un mot pas une coquine, une honnête femme, scrupuleuse même; mais un dissolvant. (Ibid., f° 88)

La Conquête de Plassans (1874)

Et ce sont même ceux-ci qui le conduisent chez Mouret (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°21) \\Il peut même y avoir là un joli fait (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°24) \\il y est même précédé par une réputation fâcheuse (?) (ιbid.F°30) \\capables de voler même Faujas(Ibid.F°30)

Le lendemain, la journée, la semaine même. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan III F° 5)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Opposer même le désir qui trouble et fait souffrir à la plénitude du contentement. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Le Paradou, f° 46)

Nana (1880)

Elle est en chemise déjà mais Bordenave introduit tout de même. (NAF Ms. 10313, Nana. F°49- Plan)
Elle vient au théâtre quand même depuis quelques jours. (Ibid. F°67)
[Zoé] Elle lui [Nana] restera fidèle quand même (…). (Ibid. F°75)
Lui ne comprenant pas, car l’affaire est bonne. Puisque Muffat partait quand même. (Ibid. F°94)
Mais bonne fille quand même. (Ibid. F°98)
Lui, déjà plein de remords, repris par la religion, souffrant horriblement de sa situation, mais allant quand même à la chair. (Ibid. F°136).

[Daguenet] Figure assez insignifiante, gentil tout de même. (NAF Ms. 10313, Nana. F°172- Personnages)
[Amy Stewart] (…) crachant le sang, ressuscitant quand même. (Ibid. F°198).

Elle veut quand même faire bander l’ami, l’invité, quel qu’il soit, pauvre ou laid. (NAF Ms. 10313, Nana. F°263/12- Notes)
La loge de Judic. (…) Tendue en une étoffe havane claire. Deux ou trois fauteuils de même étoffe. (Ibid. F°313).

La Terre (1887)

Bonhomme (…) Je pourrai [sic] même n’en pas faire un paresseux, mais un entêté aux vieilles méthodes, compliqué d’un têtu dans son amour (MS NAF 10.328, La Terre, f° 444/45 – Ebauche) – Bonne ménagère, active et bruyante – Mais gourmande, s’oubliant à des chatteries toute seule, et glissant même un peu à la paresse – (MS NAF 10329 La Terre f° 47 – Personnages, Lise Fouan)

Le Rêve (1888)

Pour ne pas avoir de paquet, je tacherai de mettre entre chaque masse de La Légende dorée, du récit, même des conversations s’il est possible, d’autres choses enfin (MS NAF 10323, Le Rêve, Premier Plan détaillé du chapitre II, f° 35)
(…) Il faut, en somme, poser toute la maison, même le jardin, dire comment tout s’y distribue (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
même finir par cela (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre III, f° 44)
Même si je fais mourir Angélique, je pourrais indiquer qu’elle ira rejoindre les mortes dans la chapelle (…) Les légendes (…) Je voudrais même ne les avoir que là (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 53)
Même je ne voudrais pas de lutte là (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 100)

Lourdes (1894)

Très attendri par la souffrance, ne voulant pas fermer cette grotte où tant de pauvres gens viennent se consoler et même se guérir. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°2)
Le socialisme chrétien, même l’anarchisme : détruire la société actuelle pour lui substituer une société primitive et évangélique. Une révolution même sanglante, conduite par le Christ. (Ibid. F°9)
Or, elle [la charité] devient impuissante (…) et les [peuples biffé] pauvres sont las d’être toujours secourus et de n’avoir pas même de pain à manger. (Ibid. F°12)
Il s’est heurté au rejet du surnaturel par la science et au besoin de justice qui grandit chez les peuples : c’est même cela qu’il faudra reporter dans « Rome » (…). (Ibid. F°13)
Le prêtre réprouve la violence et ne croit pas plus à une refonte violente de l’humanité, ou même évolutive, qu’il ne croit à sa religion. (Ibid. F°16 )
Il s’en est allé, vit à l’écart, au fond d’un faubourg, avec une femme qu’il n’a pas même épousée (…). (Ibid. F°19)
Ensuite, la nécessité qui a fait qu’on l’a [Bernadette] escamotée soit qu’elle fût malade (…), soit (…) qu’on craignît pour elle les effets d’une adoration trop grande, d’une obsession dangereuse, d’offres d’ar- \\gent même (…). (Ibid. F°s30-31)
La voilà donc frappée de solitude par la grandeur même, et souffrant. (Ibid. F°32)
Même morte, on l’exile de son œuvre, on paraît la craindre, on redoute
le culte qui pourrait s’élever autour d’elle. – (Ibid. F°s32-33)
Ceux [les prêtres] qui ont la foi, ceux qui viennent par chic, ceux qui s’amusent, font un voyage aux Pyrénées, ceux même qui se donnent là un rendez-vous, dans la grande [cohue biffé] liberté de la grande cohue (…). (Ibid. F°36)
Et je ne parle pas des malades, (…) puis le départ, l’enfermement dans le train, le même compartiment qu’on reconnaît. – (Ibid. F°s37-38)
Partout la même chose. Prendre des exemples. Sera-ce de même pour Lourdes. (Ibid. F°45)
Il y a bien les dames de la piscine ; mais, malheureusement, Clémentine avait gardé son pansement, qui est même tombé dans la piscine, de sorte que ces dames [restant biffé] n’ont pas vu la plaie. (Ibid. F°47)
Et la mystique d’à présent, le néo-catholicisme, même celui de Léon XIII (…). (Ibid. F°50)
Il veut un idéal plus humain (…) : de là le socialisme actuel, les collectivistes, etc., poursuivant la société capitaliste, même les anarchistes voulant arriver violemment à un âge d’or (…). (Ibid. F°51)
Et je ne crois pas que j’aurais besogne [sic] de roman, d’intrigues diverses : (…) pas de mariages à la fin, pas d’amour même, en tout cas pas d’amour central. (…) Rien que de la souffrance, encore une fois, un cri d’immense souffrance humaine
vers le ciel, et en même temps l’espérance, le besoin de mensonge, d’illusion dans l’au-delà, dans l’inconnu. (Ibid. F°s55-56)
(…) Lourdes autrefois et Lourdes aujourd’hui, la démoralisation par le fait même des apparitions et de la spéculation (…). (Ibid. F°56)
Il faudrait plutôt des personnages qui raconteraient le passé, (…) de même qu’à la fin [du biffé] de chaque jour du mois de Marie il y a une oraison. (Ibid. F°59)
Ma crainte est (…) que, dès lors, venant après Lourdes, l’intérêt ne monte pas et que le second
n’ait même pas la puissance du premier. (Ibid. F°s61-62)
Je les fais de la province, mais ils sont venus dans un faubourg de Paris, ou bien même dans un endroit comme Clichy ou Levallois-Perret (…). – (Ibid. F°76)
Il est incroyant, il [attend biffé] ne vient pas précisément pour être converti ; mais il [attend biffé] peut attendre tout de même la grâce, car ses années de séminaire repoussent. Et même je peux faire que la malade l’a deviné (…) \\. (Ibid. F°s82-83)
Le prêtre combattu par ces deux hérédités. Une petite fortune qui le rend indépendant : même assez riche. (Ibid. F°85)
Ce pourrait même être sur une de ces offres, qu’il regrette de ne pas croire, pour accepter et se rendre utile : dès lors, l’effort pour croire à Lourdes. (Ibid. F°93)
C’est Lourdes même qui l’empêche de retourner à la foi de l’enfant. Comment Lourdes agit sur lui. Si même il pouvait penser, sur la partie humaine et fragile, l’impossibilité de croire. – (Ibid. F°95)
Un instant même cela l’a passionné, et dans la défaillance de sa foi, Lourdes, ainsi étudié a été pour quelque chose. (Ibid. F°97)
Puis, pourquoi il accepte (…) \\. Même l’arrière-pensée de faire un dernier effort de croyance, de s’anéantir lui-même dans la foi, si la foi vient – (Ibid. F°s97-98)
Lui soupçonne l’abbé Ader d’avoir tout mis en marche même inconsciemment. (Ibid. F°98)
Et la fille un peu de même, plus entreprenante. Le garçon qui l’épousera est un hobereau de province, le même âge qu’elle, [qu biffé] assez riche, orphelin et assez ambitieux. (Ibid. F°101)
Mais comment exposer et finir cette histoire. Je crois que je devrais mettre un interne des hôpitaux du même âge. (Ibid. F°114)
Pour le médecin des constatations, je prendrai un Boissarie quelconque. (…) Et mon médecin foudroyé et croyant l’aura même en médiocre estime. (Ibid. F°118)
J’ai envie de mettre dans le même compartiment : aux pieds de Marie, Mme Maze, discrète et effacée (douleur morale) et en face d’elle Mme Vincent et sa fille Rose (douleur maternelle). (Ibid. F°133)
Il [l’homme] a pris un billet, s’est traîné jusqu’au train, et il agonise depuis Paris. On ne sait pas même sa maladie. (Ibid. F°139)
L’épisode de Ferrand
et de sœur Hyacinthe m’est quand même donné au III (…). – (Ibid. F°s141-142)
Il [Pierre] regardera Marie, en outre, il regardera même
les autres malades, de façon à ce que la souffrance ne soit pas oubliée. (Ibid. F°s155-156)
Dans le buffet, elle [Mme de Jonquière] se dépêche d’avaler. Sa fille indiquée avec son caractère. Tout cela très vif, même très gai. (Ibid. F°170)
La cérémonie dans la bousculade du départ ; on peut même retarder un peu le départ. (Ibid. F°172)
Tous peuvent s’approcher pour voir l’homme, même l’infirme, le petit Gustave (…). (Ibid. F°174)
Le culte autour d’elle [la Vierge], le culte même de la femme, dans une page très ardente, très envolée. (Ibid. F°187)
De même qu’un de mes personnages (incroyant autrefois), abandonné par les médecins, finit par s’adresser avec ferveur à Lourdes, de même l’humanité, à cette fin de siècle, bourrée de science, et toujours souffrante, se croit abandonnée des médecins (des savants) et retourne en arrière, au mysticisme à Lourdes. – (Ibid. F°188)
Je n’ai qu’à dépouiller les miracles, à les avoir tous, puis à les classer. – (…) Il faut même que l’homme en soit remué (…). (Ibid. F°194)
Un instant même où il [Pierre] peut espérer qu’il va croire. (Ibid. F°197)
Toutes les apparitions antérieures, toutes procèdent de la même façon (…). (Ibid. F°207)
Pierre s’approche de la lampe, se met même debout, enfin s’arrange pour voir clair, et la lecture commence. – Même, il pourra par moments quitter le livre, et parler de lui-même, avec une facilité charmante, un charme pénétrant (…). (Ibid. F°212)
Puis, quand il [Pierre] reviendra, il emmènera Marie aux piscines, et c’est là qu’il verra (au III, à la fin) tremper les hommes et même tremper le cadavre. (Ibid. F°254)
De même le miracle de la résurrection proposé par le père Fourcade n’aura lieu qu’à 4 heures. (Ibid. F°254)
Je prends Pierre, lorsque, plein de malaise, irrité même, par cette extraordinaire idée du père Fourcade de demander la résurrection de l’homme, il s’éloigne de la grotte, où il doit revenir prendre Marie dans une heure. (Ibid. F°265)
Erreur possible des diagnostics, même de bonne foi. Ignorance de forces inconnues agissant, guérisons surprenantes même ailleurs, continuel étonnement des médecins devant le travail de la nature – (Ibid. F°277)
Pas de maladie contagieuse à Lourdes : ni le lupus, ni les abcès, ni la scrofule, ni le cancer, ni même la phtisie (par le bain). (Ibid. F°283)
Puis les sources mêmes de la maladie : qu’est-ce qui appartient aux nerfs. Même les plaies apparentes aujourd’hui, les lupus qui guérissent. (Ibid. F°284)
Bernadette laissée dans le même milieu, hantée par la même histoire, s’entête à croire, ne veut pas en démordre. (Ibid. F°302)
J’ai comme épisode en même temps la [M biffé] Grivotte qui se prétend guérie très excitée, très gaie. (Ibid. F°305)
Les Vigneron posés eux aussi par la même occasion, montrés peut-être. (Ibid. F°312)
Il [M. de Guersaint] va donc s’y rendre pour savoir les prix (à quatre), et il se fera raser en même temps. (Ibid. F°329)
Mais Cazaban (…) déblatère contre la Grotte. Le même fait [qu biffé] qu’avec Majesté quoique différent. (Ibid. F°335)
Même chez Cazaban par qui je finirai, on mange. – (Ibid. F°338)
Je voudrais avoir [ainsi biffé] toute l’hospitalité par Gérard. De façon même à ce qu’il invite Pierre et M. de Guersaint à la popote. (Ibid. F°338)
J’ai donc M. de Guersaint pour le promener comme je voudrais, même l’inviter à la popote. (Ibid. F°339)
C’est même là que je montre l’habitation des Pères. (Ibid. F°342)
Et ce soir même, quand il [Pierre] fera [sic] passer la procession aux flambeaux, le souvenir lui reviendra de la kermesse répugnante de l’après-midi. (Ibid. F°343)
C’est même ainsi que je finirai l’épisode : Mme Désagneaux reconnaîtra dans deux [calèbre biffé] calèches une belle société de Paris. (Ibid. F°344)
La spéculation de la ville haute. Toute la ville louée. Même les libres penseurs qui battent monnaie. (Ibid. F°345)
Et un accident là-bas qui ferait qu’on ne rentrerait que très tard, ou même le lundi matin. (…) Organiser cela avec l’abbé Des Hermoises
et deux autres prêtres que je ne nommerai même pas. (Ibid. F°s346-347)
Les chants grandissent, toujours les mêmes, avec leur obsession. (Ibid. F°354)
Derrière tout cela ; même, se placer par la pensée au Calvaire, et tout voir de haut. (Ibid. F°359)
Même,
c’est là qu’elle [Marie] insiste [pour biffé] gentiment pour qu’il [M. de Guersaint] fasse cette très belle partie. (Ibid. F°s359-360)
Le portrait qu’il en fait, sa véracité, sa dignité : là peut-être la discussion [en interligne : revenir à Bartrès] scientifique sur l’enfantine, l’hystérique ir- \\régulière, qui n’a pas la volonté [en interligne : même milieu] de sortir de son hallucination. Elle refait toujours le même rêve (…).– (Ibid. F°s385-386)
Ils [Pierre et Chassaigne] se sont avancés assez loin, le long du Gave (différentes descriptions), et ils se sont même assis. (Ibid. F°387)
Il [Ferrand] me donnerait en même temps M. Sabathier, et toute la salle du bas, en une page. – De même que Raymonde peut me donner le réfectoire, en bas, où mangent les malades qui peuvent marcher. (Ibid. F°413)
Les litanies reprennent. Le même prêtre, petit et gros. (Ibid. F°417)
Elle [Marie] a dit à Pierre de ne venir la chercher qu’à trois heures ; et pendant une heure et demie, j’ai Pierre seul, qui est allé se jeter sur son lit ; ou même non, qui s’est assoupi sur un banc. (Ibid. F°423)
Il [Pierre] peut l’espérer, mais importuné par le souvenir de Beauclair, à la fin du chapitre, ou même à la fin du IV seulement, la foi sera ruinée (…) \\. (Ibid. F°s435-436)
J’aimerai, il le faut même, avoir Pierre seul, séparé de Marie (…). (Ibid. F°465)
Et là, c’est le contraire, c’est le triomphe : Mme Chaise agonise, ou bien même est morte pendant la nuit. (Ibid. F°485)
Partout la même chose, des exemples. L’effet de la même fièvre, le même besoin, sans cesse renaissant. En sera-t-il de même pour Lourdes ? (Ibid. F°496)
Appoline est une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). Elle lui ressemble physiquement, elle a presque eu la même enfance. (Ibid. F°501)
Appoline sera une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). Elle lui ressemble physiquement, elle a eu presque la même enfance (…). (Ibid. F°504)
Partout la même chose. Des exemples. Sera-ce la même chose pour Lourdes – Partout ce n’est que l’effet de la même fièvre, du même besoin, sans cesse renaissant. (Ibid. F°508)
Cela me sert à [pos biffé] reprendre le wagon, à dire qu’il est bien le même. (Ibid. F°512)
Et le docteur
Chassaigne arrivant, lui aussi, en même temps pour faire ses adieux à Pierre. (Ibid. F°s517-518)
J’ai M. Sabathier, toujours le même ; et je le garde pour le voyage, disant qu’il ne désespère pas. (Ibid. F°529)
On reprend le train, tel qu’on l’a laissé. Les mêmes places. (…) La gaieté, la joie, l’espoir, même chez ceux qui ne sont pas guéris. (Ibid. F°530)
L’heure du convoi, et comment ces gens l’ont [Mme Vincent] ramenée à la gare, car elle ne savait pas même où c’était, elle serait restée à pleurer en route. (Ibid. F°534)
Et en même temps reprendre tout le wagon au moment où l’on va faire le silence. (Ibid. F°540)
Elle [Marie] peut le [Pierre] questionner discrètement, il répond de même. (Ibid. F°552)
Tous les rêves de guérison qu’ils avaient faits en regardant ces détails ; et ils retrouvent les mêmes choses, mais ils ne sont pas guéris. (Ibid. F°560)
Elle [Bernadette] plaisante ceux qui la canonisent, elle fuit les visites, même celles des prêtres qui l’ennuyaient – (Ibid. F°571)
Mais, souvent, elle [Bernadette] ne peut même se livrer à ces travaux. (Ibid. F°571)
Un portrait physique même (…), la face s’est un peu allongée, et décrire le reste d’après la photographie. – (…) Aimant la vie autrefois, gaie, la répartie prompte. Même violente parfois, s’emportant, susceptible, un mauvais caractère (…). Nulle créature n’eut plus de vie, de grâce même humaine, de physionomie personnelle. (Ibid. F°572)
Elle [Bernadette] faisait son pèlerinage en pensée. [Que de fois biffé] Elle n’y est pas même allée pour la mort de son père et de sa mère, elle aimait pourtant sa famille (…). (Ibid. F°574)
C’est toujours sa raison qui se révolte et qui l’empêche [Pierre] de croire. (…) Même au milieu des obscurités et des avortements de la science. (Ibid. F°584)
De même qu’un de mes personnages (incroyant autrefois), M. Sabathier par exemple, abandonné des médecins, finit par s’adresser à Lourdes avec ferveur, de même
l’humanité, à cette fin de siècle, bourrée de science, et toujours souffrante, se croit abandonné des médecins (des savants) et retourne en arrière, au mysticisme, à Lourdes. (Ibid. F°s589-590)
D’où venaient les roses, le parfum même de leur tendresse, dans ce beau cadre. (Ibid. F°596)
Installation de ma malade et de l’ouvrière d’Issy et de la bonne phtisique dans la même salle de l’hôpital. (Ibid. F°602)
Je songe même que, dans « Lourdes », je ne ferai pas mal à une ou deux reprises d’évoquer sa figure (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 16-17 – Notes sur Guillaume Froment)
Le laisser dans le mystère, là-bas, sans même dire au fond de quel faubourg il habite (…). (Ibid. Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)
Une blonde avec des cheveux admirables, qui restent abondants et superbes, même dans la maladie. (Ibid. Fo 20 – Notes sur Marie de Guersaint)
Ce pourrait même être, à la suite d’une de ces offres, qu’il regrette de ne pas croire, pour accepter et se rendre utile (…). (Ibid. Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Et on ne sait même pas son nom, car il n’est pas hospitalisé. (Ibid. Fo 51 – Notes sur l’Homme)
La face blême et maigre ; mais bien portante tout de même. (…) Ne manquant même pas de distinction. – (Ibid. Fo 56 – Notes sur Mme Vigneron)
Religieux sans doute. Mais n’en pas même parler. (Ibid. Fo 84 – Notes sur le marquis de Salmon-Roquebert)
C’est elle que je montre, dans le train, et même à l’hôpital, donnant des ordres, surveillant tout. (Ibid. Fo 86 – Notes sur sœur Saint-François)
La vénération qu’il a pour elle [sœur Hyacinthe], (…) leur liaison très
pure et au-dessus de la vie même. (Ibid. Fos 89-90 – Notes sur Ferrand)
Goutteux. (…) Mais, par un effort de la volonté, il marche tout de même en s’[ep biffé] appuyant sur l’épaule du père Massias. (Ibid. Fo 97 – Notes sur le père Fourcade)
Les ligaments tiraillés, même un peu déchirés. (Ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
De même le poids des jambes [se dir biffé] se fond en une légèreté instantanée. (Ibid. Fo 121 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
De même, sous les banquettes, où il y a un espace libre, on glisse beaucoup de choses. (Ibid. Fo 182 – Notes sur le Départ de Paris)
Presque toutes [les sœurs de l’Assomption] petites et rendues agréables, même les laides, par ces blancheurs. (Ibid. Fo 191 – Notes sur le Départ de Paris)
Chaque malade hospitalisé a sa carte pendue au cou, attachée par un ruban de la couleur de son train. Comme cela, [on ne m biffé] on sait tout de suite de quel train est un malade, même s’il l’a oublié – (Ibid. Fo 192 – Notes sur le Départ de Paris)
De même, que de tableaux intéressants à faire avec les pèlerinages (…). (…) De même, la vraie vérité [pour biffé] sur la façon dont l’affaire a été menée, lancée, et dont elle est en \\tretenue. (Ibid. Fos 211-212 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Et ne pas oublier les singuliers [dessins biffé] profils que l’on peut reconstituer avec les [flaques biffé] nappes de neige, de même que l’on voit des profils dans les wagons qui passent. – (Ibid. Fo 220 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Toujours même mouvement. Trois secrets, trois armures. Toujours les mêmes miracles repoussent, vierges qui parlent, fontaines qui coulent. (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Onze ans après 58, en 69, l’église presque achevée. Même dans la crypte souterraine. (Ibid. Fo 227 – Notes sur H. Lasserre)
Même avant le chemin de foi, tous ceux qui allaient aux eaux (Cauterets, Luchon, Barèges) passaient par Lourdes, s’ar \\rêtaient à l’Hôtel de la Poste. (Ibid. Fos 228-229 – Notes sur H. Lasserre)
Ne savait ni lire ni écrire [Bernadette]. Rien
que le patois pyrénéen. Pas même le catéchisme (?) (Ibid. Fos 231-232 – Notes sur H. Lasserre)
Un Messie dans l’humanité, toujours le même mouvement. – (Ibid. Fo 240 – Notes sur H. Lasserre)
Toujours les mêmes faits, dans le besoin d’illusion. (Ibid. Fo 241 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de Mgr Laurence. (…) Il refuse même l’enquête (que de phrases dans Lasserre, pour l’en excuser !) (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Des contes de fées merveilleux, où le dénouement est toujours exquis. C’est la même passion qui fait lire les réclames des remèdes nouveaux. (Ibid. Fo 244 – Notes sur H. Lasserre)
Elle fuyait devant les visites, même de prêtres. (Ibid. Fo 260 – Notes sur H. Lasserre)
Nulle créature [Bernadette] n’eut plus de vie, plus de grâce même humaine (…). (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Même pour le triomphe de la Grotte, quelle perversion que ce renversement d’argent. (…) On vend près de la grotte même le dimanche. – (Ibid. Fo 286 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

Cela me fait penser que le premier livre devrait être court, de même que le dernier, de même longueur tous les deux et symétriques (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 373/26)
Suzanne peut même être une petite parente lointaine à lui (Ibid., F°412)
Donc il faut que Bonnaire soit un révolutionnaire, et même qu’il soit plus avancé que Luc (Ibid., F°428)
Cela est délicat, mais possible (Ibid., F°442)

MEMLING (Hans)

(peintre flamand 1425-1495)

Le Rêve (1888)

portrait d’Angélique malade, émaciée. Un Memling. Reprendre son portrait de jeune fille (personnages) et le pâlir (MS NAF 10323, Le Rêve premier, plan du chapitre XII, f° 169)

MÉNAGER (SE)

Le Ventre de Paris (1873)

Je me ménage une échappée sur la campagne. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 79)

Nana (1880)

Je crois donc cela impossible ; tout au plus puis-je donner des instincts de dévotion à Muffat, pour ménager un dénouement (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°226-Ebauche).

Travail (1901)

Ménager le saut dans l’utopie (F°441)

MÉNÉLIPPE

Personnage de femme héroïque antique des romans de chevalerie.

Le Rêve (1888)

Les preuses (…) neuf femmes guerrières de l’antiquité : Tammaris, Deifemme, Lampredo, Hippolyte, Sémiramis, Tancqua, Déisille et Ménélippe (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur le château de Hautecoeur, f° 374)

MENER

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Conversation très difficile. La mener habilement, de façon à ce que Pascal ne soit pas odieux. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 22)
Mener de front : L’éveil d’un homme a vingt cinq ans / Un amour suivant les phases du printemps / Le parallèle avec la Genèse / Les épisodes amenant la description des jardins. (Ibid., Le Paradou, f° 43)

Le Rêve (1888)

La mener à la puberté (MS NAF 10323, Le Rêve, Premier plan détaillé du chapitre II, f° 26)
Mais je voudrais que son instinct de Rougon-Macquart, que sa passion et son orgueil se réveillent un instant, afin de la mener jusqu’à la crainte de la chûte (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )

Lourdes (1894)

Naturellement, garder Pierre et Marie au centre. C’est eux qui doivent tout mener (…) – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°136)
Faire promener les trois dames [Mme de la Jonquière, sa fille Raymonde et Mme Volmar] parmi les groupes et les mener au buffet où elles mangent d’un vif appétit. (Ibid. F°177)
Enfin, il faut que je fasse manger Pierre et M. de Guersaint de bonne heure pour les mener ensuite à la popote. (Ibid. F°325)

MERRI (SAINT)

Le Ventre de Paris (1873)

la confrérie de St Merri (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 105)

MERVEILLEUX

Mode et genre littéraire.

Le Rêve (1888)

Le mépris de la chair moins ressenti par elle que le merveilleux (…) Garder pour le IV le monde merveilleux dans lequel elle vit (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 22) La soif de la mort (…) moins ressentis par elle que le mer \\veilleux (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 35-36)
Elle est plus touchée par le merveilleux que par l’abstinence et la soif de la mort (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre III, f° 43)
Elle n’en a pris que le merveilleux, pas la haine de la chair et la soif de la mort (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Tout le travail expliqué , quelque chose merveilleux (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 86)

Lourdes (1894)

Et bien montrer, alors, ce besoin de merveilleux renaissant quand même à la fin de notre siècle de science. S’il renaît, [qu biffé] c’est que l’humanité en a
soif, de ce merveilleux, de ces contes de fées, de cet appel à une puissance supérieure. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s39-40)
Si les livres de Lasserre ont un si gros succès, c’est par leur merveilleux (…). (Ibid. F°40)
Ces histoires merveilleuses, ces contes de fées qu’on leur raconte et qui les grisent. (Ibid. F°188)
Ces histoires merveilleuses, ces contes de fées qu’on leur raconte, qui les grisent. (Ibid. F°195)
Ce besoin de merveilleux renaissant quand même, à travers les siècles, à la fin de notre siècle de science. S’il renaît, c’est que l’humanité en a soif, de ce merveilleux, de ces contes de fées, de cet appel à une puissance supérieure. (Ibid. F°586)

MES-BOTTES

Ouvrier et ami de Coupeau dans L’Assommoir.

Nana (1880)

Mes-Bottes (NAF Ms. 10313, Nana. F°250 verso- Notes)

MESSIE

L’envoyé de Dieu, le Christ dans la religion chrétienne.

Lourdes (1894)

Alors toute la souffrance de Bernadette. La Passion de ce messie enfant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°575)
Le
parallèle entre ce messie enfant et Jésus, la religion nouvelle ou plutôt renouvelée à Lourdes. (Ibid. F°s576-577)
Une démocratie catholique [et biffé], ah ! l’histoire recommencerait. (…) Mais n’y fallait-il pas le souffle d’un autre Messie ? (Ibid. F°588)
Mêler Bernadette, dans sa touchante réalité humaine, victime élue par sa vision même, nouveau messie enfant de la souffrance humaine (…). (Ibid. F°590)

MÉTAPHYSIQUE

Branche de la philosophie.

Lourdes (1894)

Il n’entre pas dans la discussion métaphysique, il constate simplement. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°11)

MÉTHODIQUEMENT

Lourdes (1894)

Tous les malades doivent être là une heure à l’avance, et le chargement du train se fait très méthodiquement, sans fièvre. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 188 – Notes sur le Départ de Paris)

Madeleine FÉrat (Roman d’Émile Zola, Lacroix, 1868)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Elle rappelle un peu ma Madeleine Férat ; mais je l’en éloignerai le plus possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 7)