Dictionnaire – À outrance-Avoir à

À OUTRANCE

Lourdes (1894)

Des cris de torture, le mal exaspéré et hurlant [en interligne : à outrance], et les cantiques d’allégresse quand même. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°210)
[en interligne : Ses bras vides, depuis si longtemps elle portait sa fille. Ils la gênent, elle [Mme Vincent] ne sait plus qu’en faire. – Tout cela à outrance.] (ibid. F°535)

À PART

Lourdes (1894)

Elle [Bernadette] est donc mise à part par sa situation, parce qu’elle a vu la vierge, que celle-ci l’a choisie pour une mission. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°31)
L’enfant a cinq ans. (…) Une figure complètement à part, qui me donne l’abri, et le dehors. (ibid. F°106)
Frère Isidore et M. Sabathier sont à part – (ibid. F°141)
Première enfance de Pierre dans la petite maison de Neuilly, poser le vieux chimiste son père, sa dévote de mère et son frère à part : aussi loin que ses souvenirs remontent. (ibid. F°156)
Le morceau sur Bernadette (…). Faire un plan à part. (ibid. F°301)
Mais il [Pierre] échoue, il restera prêtre honnête, il fera son métier en honnête homme, avec l’idée de se mettre à part un jour. (ibid. F°554)
Il faudrait sans doute que cette lecture fût coupée, et que [les biffé] Pierre fît les réflexions tout bas, à part lui. (ibid. F°594)

A PARTÉ/ APARTÉ

Nana (1880)

La rivalité des deux femmes [Rose Mignon/Nana] posée en a parte par Bordenave. (NAF Ms. 10313, Nana. F°7- Plan)
Le monde, ne pas laisser tomber les conversations, en garder le ton, et les a parte des hommes (…). (ibid. F°25)
(Plus tard la conversation continuera, coupée par les a parte sur le dîner de Nana.). (ibid. F°26)
l’invitation recommençant en a parte
Cet aparté là doit se passer derrière Estelle, qui ne bronche pas.
Et finir par les aparté de tous les hommes se retirant et se donnant rendez-vous pour le lendemain soir chez Nana (ibid. F°29)
Vendoeuvres blaguant avec Amy Amy une caillette (voir les notes d’Halevy.) et servant à expliquer certaines choses en a parte. (ibid. F°39)
Diane surprend un a parte entre Mars et Vénus. (ibid. F°47)
Labordette ne fait que les commissions de Nana (court a parte sur les billets, où Nana le rassure, en disant qu’elle fera le nécessaire). (ibid. F°120).

Lourdes (1894)

Tumulte, et je puis avec Pierre et Chassaigne en aparté. – (…) Et alors l’aparté de Chassaigne et de Pierre. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s282-283)

À PARTIR DE

La Conquête de Plassans (1874)

C’est à partir de ce moment que doivent commencer les succès de Faujas. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)

Le Rêve (1888)

Elle doit au moins savoir qu’elle aime à partir de la fin de l’autre chapitre (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre VII, f° 102)
C’est à partir de la lutte que je la fais décliner peu à peu, affaiblie de plus en plus par la torture (ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 147)

À PEINE

La Conquête de Plassans (1874)

Fénil, à peine un profil noir. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 9)

La Terre (1887)

L’oncle sera à peine une silhouette. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 440 /41)

Lourdes (1894)

Et plus loin encore, à peine revendiqués, les petits épisodes des pèlerinages, (…)
enfin tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s56-57)
La bonne phtisique, toussant et crachant en venant [en interligne : ne mangeant pas, se traînant à peine]. (ibid. F°107)
Elle est donc sur le quai, lors du départ du train blanc, « Vous partez » – Oh ! non, mon mari m’emmène à [Cauter biffé] Luchon ». Et son visage rayonne. Cela sera très bon. Au dernier plan du reste, un épisode à peine. (ibid. F°112)
On part à peine. C’est l’installation, avant le train-train des prières. (ibid. F°123)
(…) on cause de l’hôpital où elle [Mme Volmar] paraîtra à peine. (ibid. F°176)
Elle [la femme de Chassaigne] reposait à peine au cimetière de Lourdes, où étaient ses parents, (…)
lorsque sa fille tombe malade et meurt à son tour. (…) Grande solitude, à peine quelques promeneurs curieux poussent-ils jusque là. (ibid. F°s258-259)
Ce qu’on mange, lui [Gustave] à peine. Les parents s’empiffrent. (ibid. F°316)
Et déjà si prise qu’elle [Marie] répond à peine à Pierre, à peine d’un murmure. (ibid. F°368)
Cela [comm biffé] quand ils [Pierre et Chassaigne] reviennent vers la ville [en interligne : nouvelle] dont j’ai une description panoramique, tandis qu’on voit à peine les toits de la vieille ville, derrière le rocher du château. (ibid. F°389)
Dans l’idée fixe, sans que rien puisse l’en détourner. C’est à peine si elle [Marie] va voir l’agonie de Mme Vêtu. (ibid. F°401)
Et c’est à peine si elle [Marie] voit l’agonie de Mme Vêtu à côté d’elle. (ibid. F°410)
Beaucoup dorment à peine (Marie), s’entraînent, en arrivent à une sorte d’hallucination croissante, marchant dans un rêve qui s’exaspère peu à peu. (ibid. F°416)
Beaucoup dorment à peine, s’entraînent, en arrivent à une sorte d’hallucination croissante, marchant dans un rêve qui s’exaspère peu à peu. (ibid. F°423)
Alors l’entrée dans la Basilique [en interligne : (M. 122-201, la Crypte et la Basilique)]. Les élus seuls qui peuvent y entrer, à peine deux mille sur les trente mille. (ibid. F°454)
Et
Pierre qui voit Mme Volmar [; ap biffé] : à peine un battement de paupière de celle-ci, très pâle, très indolente, très indifférente (…). (ibid. F°s512-513)

APERCEVOIR

Voir aussi : Voir ; Distinguer ; Regarder.

Le Ventre de Paris (1873)

On aperçoit au-delà des Halles un porche de Saint-Eustache (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°137)
Au fond le boul. Sébastopol, aperçu avec une étroite bande de ciel (ibid., f° 140)
On aperçoit vaguement au fond la statue de la Vierge. (ibid., f° 144)
On aperçoit les petits rideaux blancs.(ibid., f° 146)
On aperçoit des marchandes tout le long de la rue (ibid., f° 175)
On aperçoit des nappes grises de ciel par figures [de] géométriques. (ibid., f°297)
Les pavillons aperçus au loin, à l’intérieur, plus vaguement, dans un fouillis grisâtre – (ibid., f°297)

Lourdes (1894)

Le père Dargelès aussi aperçu. Mais il serait bon que les pères de la Grotte fussent toujours à l’écart [dans la marge : au III]. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°428)

Travail (1901)

Je m’aperçois que je ne peux rien faire de bon si je ne fais pas de Bonnaire un révolutionnaire (F°427)

APLOMB (D’)

Le Rêve (1888)

Mon Angélique est maintenant d’aplomb (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 295/78)

APOSTROPHE

Le Rêve (1888)

La Légende dorée. Citations en vieux langage (…) D’abord on n’a que regardé des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire le texte , s’est accoutumée aux lettres gothiques, aux quelques vieux mots hors d’usage , aux tournures vieillies, abréviations, contraction de certaines consonnes, article joint au substantif sans apostrophe. (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)\\Elle (…) s’est accoutumée (…)
aux quelques vieux mots hors d’usage, aux tournures vieillies, aux abréviations, à la contraction de certaines consonnes redoublées, à l’article joint au mot sans apostrophe (ibid. premier plan détaillé du chapitre II, f°s 33-34)

APÔTRE

Lourdes (1894)

Jeter la soutane, s’en aller ailleurs, se marier, avoir des enfants et bêcher la terre. Il [Pierre] le ferait volontiers, mais là l’éducation reçue au séminaire agit, et il est un peu apôtre – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°74)

APPARAÎTRE (RE-)/ PARAÎTRE (RE-)

Voir aussi : Paraître

Apparaître (voir paraître)

APPAREIL

Lourdes (1894)

Conserver ce type, un qui voudrait balayer tout cet appareil de constatation, de science, si mal qu’elle fonctionne. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°49)

(RÉ-)APPARITION

Nana (1880)

Première apparition de Francis le coiffeur. (NAF Ms. 10313, Nana. F°20- Plan)
Une apparition de Madame Robert. (ibid. F°73)
Une apparition de Zoé peut-être. (ibid. F°82)
Réapparition du vice d’en bas. (ibid. F°159).

Dès le premier chapitre, je montre toute la salle prise et adorant : étudier la femme, étudier les hommes devant cette apparition souveraine du cul. (NAF Ms. 10313, Nana. F°193-Personnages).

Voyons les apparitions de madame Robert. (NAF Ms. 10313, Nana. F°236- Ebauches).

Le ah à l’apparition des chevaux. (NAF Ms. 10313, Nana. F°293- Notes).

APPARTENIR

Lourdes (1894)

Je voudrais aussi finir par Bernadette puisque tout le chapitre lui appartient. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°211)
Puis, les sources mêmes de la maladie : qu’est-ce qui appartient aux nerfs. (ibid. F°272)
Puis les sources mêmes de la maladie : qu’est-ce qui appartient aux nerfs. (ibid. F°284)
Ne pas oublier que c’est là le chapitre tout entier, car les [Vèmes biffé] cinquièmes chapitres de chaque partie appartiennent à Bernadette. (ibid. F°307)

APPELER (S’)

Voir aussi : Nom/ Nommer

Le Ventre de Paris (1873)

Ce frère s’appelle Charles, par exemple. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 56)
Pas de nom, tout le monde l’appelle la mère Lafolie. (ibid., f° 107)
Elle s’appelle Justine Landois et lui Auguste Landois. (ibid., f° 113)
Il s’appelle Léon. (ibid., f° 114)
Les caves s’appellent des resserres. (ibid., f°117)
Les trottoirs tout autour s’appellent le carreau (ibid., f° 120)
On les appelle les forains non abrités (ibid., f° 121)
Le beurre s’appelle la maniotte (ibid., f° 125)
La quatrième chapelle à gauche en entrant par la petite porte s’appelle : la chapelle de Sainte-Agnès (ibid., f° 145)
La cuiller qui sert à prendre le sang s’appelle une cassette (ibid., f° 190)
On appelle cela emballer le boudin (ibid., f° 190)

Nana (1880)

Etudier cela, et ce qu’on appelle amour. (NAF Ms. 10313, Nana. F°96- Plan).

Le Rêve (1888)

C’est l’idylle que je voudrais, dans ce que j’ai appelé le terrain vague (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 290/73).\\Le Hautecoeur d’alors, que j’appellerai Jean IX / Félicien III rayé/ (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 264)\\Alors Sainte Agnès contre ses mouvements sexuels, et toute la partie que j’ai appelé les Vierges (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 35)
Ensuite je mets ce que j’ai appelé les miracles (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)

Lourdes (1894)

Ce que je disais au docteur Boissarie : « Si, moi, j’avais une source, où je guérirais les plaies apparentes, en les y plongeant, je voudrais bouleverser le monde. J’appellerais les peuples et les peuples viendraient. (…) » – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°46)
Comme pères de l’Assomption, je voudrai le père Picard, que j’appellerai autrement, mais que je décrirai identique, un maître homme, un général illuminé qui a organisé le pèlerinage, et qui conduit tout avec autorité et passion. (ibid. F°117)
Ce serait donc là, près de cette mourante qu’ils [Ferrand et Hyacinthe] [soignent biffé] assistent ensemble que je reprendrai ce que j’appelle leur idylle, ou plutôt leur amitié si pure et si profonde. (ibid. F°412)

Ne rien exagérer, mais bien prendre
ce cas de Lourdes comme ce que j’appelle un coup [de biffé] d’un tronçon du serpent qui ne veut pas mourir. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 214-215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Portrait de Mgr Laurence. (…) Saint Thomas, comme l’appelle Lasserre. (ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)

APPORTER

Le Ventre de Paris (1873)

Seulement, elle apporte en outre une vertu plus égale, des qualités supérieures d’ordre et d’intelligence qui ne sont point chez ses parents. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 51)

APPRENDRE

Le Rêve (1888)

Ainsi on apprend que le duc a fait revenir son fils (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre VII, f° 103)

APPUYER

Le Ventre de Paris (1873)

Donc, j’appuie surtout sur la place de l’œuvre dans la série. Elle complète La Curée, elle est la curée des classes moyennes (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 49)
Ne pas trop appuyer. C’est un fond seulement (ibid., f° 76)

La Conquête de Plassans (1874)

Bien appuyer sur ceci, la religion fatalement poussant Marthe jusqu’au bout de la logique et châtiant Faujas. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXIII F˚ 13)

La Faute de l’abée Mouret (1875)

Appuyer sur ce côté physiologique. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 17)

Le Rêve (1888)

Surtout appuyer sur cette idée qu’elle veut courir à Félicien, car c’est là que sera le débat (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 144)

APRÈS

La Conquête de Plassans (1874)

Après avoir parcouru mes anciennes notes prises dans Trélat, je pense qu’il faut modifier le sujet ainsi qu’il suit (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche. F° 29).

Après l’élection, il me reste le drame (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche. F° 33).

La Faute de l’abée Mouret (1875)

Après cela, j’entre résolument dans l’acheminement direct à la faute. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Le Paradou, f° 46)

Le Rêve (1888)

Mais le grand doute, c’est après le refus de l’évêque, au X (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 286/69)\\J’en arrive ainsi à la faire éclater en larmes, le soir de mai, après le chapitre précédent (…) Elle ne voit le monde que par la Légende (cela après le morceau) (ibid., deuxième plan du chapitre IV f° 58)
Description après / pour : d’après ?/ mes notes (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 105)

Travail (1901)

Après avoir créé la famille, je crée donc la cité (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 350/3)\\après la longue consultation de la réalité, un prolongement dans demain, et d’une façon lyrique, mon amour de la force et de la santé, de la fécondité et du travail, mon besoin de vérité et de justice éclatant enfin (ibid., f° 350/3)\\Après trente ou quarante ans de travail (ibid., f° 377/30)\\Après la tentative de meurtre, la nouvelle usine est baptisée par le sang, et tout va y prospérer (ibid., f° 395/48)

À PRÉSENT (D’)

Lourdes (1894)

Et la mystique d’à présent, le néo-catholicisme, même celui de Léon XIII (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°50)

À PROPOS

Le Ventre de Paris (1873)

La rivalité devrait être active entre les deux femmes, et à propos de Florent. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 92)

Le Rêve (1888)

Reparler de la peste, des armes, à propos (…) Son fils, mort de sa femme, à propos de la légende des chatelaines mortes jeunes (MS NAF 10323, premier plan du chapitre IV, f° 68)

Lourdes (1894)

Indiquer le plus tôt possible, je crois, l’organisation et le fonctionnement du pèlerinage (à [cause biffé] propos de Mme Vincent, qui n’est pas hospitalisée ?) (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°137)
Tout le morceau sur la Vierge, à propos des miracles. (ibid. F°199)
Ces dames attendent Mme de Jonquière, et elles vont descendre madame Dieulafay. (…) A ce propos, les cadeaux qu’on a apportés à la Vierge, lampe en argent, bannières, bouquets : on voit passer un bouquet. (ibid. F°228)
Mais surtout sur la bêtise et l’ignorance des médecins, à propos de Pierre qui voudrait des certitudes. (ibid. F°284)
Et les plaies apparentes. Ça m’embête, ce lupus – A propos de celui d’Elise – (ibid. F°285)
Pierre le [Des Hermoises] regarde, et alors à son propos, la page sur la variété des prêtres qui sont à Lourdes. (ibid. F°334)
Prêtres mondains comme Des Hermoises (c’est à propos de lui que je montrerai défilant dans Lourdes toutes les variétés). (ibid. F°348)
Plaintes de Mme Désagneaux à propos de Mme Volmar, qu’on n’a pas revue. (ibid. F°404)
Reprendre ce que j’ai déjà dit à propos de Bernadette. (ibid. F°477)

Sa colère, devant la Grotte, vient à propos du mort qu’on a essayé de ressusciter la veille. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 112 – Notes sur le Commandeur)

AQUARELLE

Le Ventre de Paris (1873)

On dirait que les légumes sont une vaste aquarelle lavée ; très tendres, très délicats de ton. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°173)

À QUOI BON

Lourdes (1894)

Toute la société reposait sur l’espoir en une vie future : à quoi bon se plaindre de l’injustice, pourquoi ne pas tout accepter, le monstrueux édifice social, l’inégale répartition des richesses et du bonheur, puisque le ciel était au bout. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°26)
Le [sorte biffé] garçon de salle des constatations, l’aide de Boissarie, qui grogne quand on discute, et qu’il faut faire taire. Lui seul a raison. A quoi bon cette science, il faut s’incliner ou s’en aller. (ibid. F°119)
Et il [Pierre] a la délicatesse de ne pas la [Marie] désabuser : à quoi bon [flé biffé] blesser cette âme, lui [di biffé] donner l’explication scientifique de sa guérison, lui dire que le célèbre médecin l’avait prédite. (ibid. F°552)

ARBINET

(Modèle de personnage réel)

Le Ventre de Paris (1873)

On ne pince que lui compromis par blague (Arbinet) et que Charles l’illuminé. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 74)

ARCHITECTE /ARCHITECTURE

Le Rêve (1888)

Le vitrail éclairé par derrière. Détails d’architecture du château ( MS NAF 10323 Le Rêve; premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)

Travail (1901)

J’en ferai bien un jeune architecte (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 358/11)
Il est bon que Luc soit un architecte (ibid., f° 359/12)\\L’architecte est le premier des artistes en date (ibid., f° 359/12)
Je ne puis guère donner à Luc d’autre mouvement, c’est un architecte, un constructeur de ville (ibid., f° 374/27-375/28)
Appelé par Jordan comme architecte (mais j’en fais un bâtisseur de ville, s’ignorant encore) (ibid., F°408)
Luc architecte, mais bâtisseur de ville, très préocuppé de l’avenir, organisation du travail etc. (ibid., F°420)

ARDENT/ ARDEMMENT

Lourdes (1894)

Il [Pierre] demande sa conversion
ardemment, et il ne l’obtiendra pas. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°94s-95)
Un grand médecin (Charcot) le pousse à déterminer la malade au voyage, puisqu’elle a des sentiments religieux ardents. (ibid. F°96)
Et j’ai envie de mettre un autre père de l’Assomption (…). Une foi ardente, l’excitation au miracle. (ibid. F°117)
Le sourd ferment de sa mère en lui [Pierre], le désir ardent de la foi. Il priera aux pieds de la Vierge, il tâchera de s’abîmer dans une foi d’enfant [en interligne : dernier effort de croyance, s’anéantir dans la foi, si la foi vient (suprême et ardent espoir). (…)]. Oh ! avoir la foi, s’abîmer dans la croyance. Tout cela sur un vœu ardent de Marie peut-être. (ibid. F°154)
Dernier effort de croyance, s’anéantir dans la foi, si la foi vient (suprême et ardent espoir). – (ibid. F°164)
Le culte autour d’elle [la Vierge], le culte même de la femme, dans une page très ardente, très envolée. (ibid. F°187)
Prendre les litanies et montrer le culte autour d’elle [la Vierge],
le culte même de la femme, dans une page très ardente, très envolée. (ibid. F°s199-200)
Mes enfants, le silence maintenant ! – Mais tous protestent, la curiosité ardente, voulant savoir la suite. (ibid. F°206)
Il faut absolument que sous l’influence du milieu, de la chaleur, de ce wagon plein de souffrance,
de l’ardent besoin d’illusion qui s’en échappe, il [Pierre] s’exalte et espère qu’il croit. (ibid. F°s215-216)
Alors l’histoire de l’homme, et le père Fourcade expliquant qu’on va demander la résurrection. Mais il faut d’ardentes prières, on priera jusqu’à quatre h. (ibid. F°249)
Ne pas oublier que c’est [M. de Guersaint] un croyant, un bon père, et le montrer une fois au moins agenouillé devant la grotte, priant ardemment pour sa fille. (ibid. F°271)
Donc, je ne fais encore que le [Pierre] laisser ici affreusement troublé, mais après une ardente tentative de foi. (ibid. F°377)
Les brancardiers ont l’ordre de ne laisser passer personne. Et le flot des gens qui les supplient ar-\\demment (…) de les laisser passer : en citer, décrire. (ibid. F°s451-452)
Et c’est lui [l’abbé Judaine] qui donnera la bénédiction d’en haut, avec une foi ardente. (ibid. F°461)
Et une émotion, une charité ardente, devant la misère humaine. (ibid. F°600)

ARGUER

Lourdes (1894)

Mais Pierre : on ne doit arguer de cela en faveur du mystère, on doit espérer qu’un jour les faits inexpliqués s’expliqueront. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°275)
Il ne faut pas arguer qu’on ne saura jamais tout en faveur du mystère. (ibid. F°286)

ARRANGER (-EMENT)

La Conquête de Plassans (1874)

Finir par le côté politique (…) Cette fin est à arranger (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F° 27)
Seulement il faut ar
ranger celui-ci de façon à lui donner une belle encolure (ibid. F°s 27-28)
D’abord son action sur le clergé (…) Son action sur la belle société. Il agit sur Rastoil et sur les autres invités du sous-préfet (arranger cela) (ibid.F°32)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

L’idée d’expérience etc., arrange cela. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, La Bible, f° 66)

Nana (1880)

Elle [Nana] en a assez, elle ne veut plus, même avec l’amant de cœur et c’est pourquoi, elle peut filer avec Labordette. Arranger cela. (NAF Ms. 10313, Nana. F°22- Plan)
Il (sic)’emmenera en effet. Voir à arranger cela. (ibid. F°54)
Georges se cachant. Vendoeuvres – arranger cela – (ibid. F°61)
Il faudra arranger cela dramatiquement. (ibid. F°71)
Intérieur de Madame Robert. Nana peut y aller avec Satin. Poser l’intérieur. Arranger ça dramatiquement, avec un doute. (ibid. F°85)
Nana aime Fontan ; il faut arranger cela. (ibid. F°86)
Nana aime Fontan ; il faut arranger cela. (ibid. F°98).

J’ai ma cocodette, j’aurai une femme avec un amant, la mère de mes jeunes gens, la femme du boursier, à arranger tout cela. (NAF Ms. 10313, Nana. F°218-219- Ebauche).

La Terre (1887)

(arranger le type de Palmyre. La faire écrasée sans doute) (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 408/9)
(…) Mais ce meurtre ne s’arrange pas. (ibid., f° 435/36)
(…) Pour ne pas avoir trop de parallélisme, ne pas faire retourner Jean chez la fermière, ou s’arranger du moins pour que la symétrie ne se sente pas. (ibid., f° 467-59)
(…) Il faut que la ferme me donne toute la grande culture, des histoires de chasse, et que je puisse conclure sur la grande culture et sur la petite. Cette grande culture, j’y ai introduit le ver, en y mettant une paysanne à gros appétit. Pour ne pas avoir trop de parallélisme, ne pas faire retourner Jean chez la fermière, ou s’arranger du moins pour que la symétrie ne se sente pas. (ibid., f° 467/59)

Le Rêve (1888)

Voici l’arrangement. Si Dieu veut, je veux bien, a dit l’évêque. Et je fais toujours le miracle mais pour la conclusion du rêve seulement (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 303/86)
(…) Arranger cela avec Dieu (ibid., f° 306/89)
Cela me paraît arranger tout, je ne perds pas le blason, ni les légendes des mortes, ni rien de l’histoire des Hautecoeur (ibid., premier plan du chapitre III f° 53)
Le sait-on ? A voir. (…) A arranger enfin (ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Le rôle d’Hubertine est à arranger (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 113)
Tricher avec le temps, pour que l’hiver soit passé : un mot, après l’hiver. Ou plutôt une tiède soirée d’hiver, à arranger (ibid., deuxième plan du chapitre XII, f° 158)
arranger la chambre pour la cérémonie (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
A arranger. Mêler la légende à l’extrême-onction, s’il est possible (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)
Le marquis s’y attendait ; l’avait compris (?). Arranger cela (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 193)

Lourdes (1894)

Le père est mort à la peine, la misère est venue, arranger les choses pour que la famille soit [très biffé] dans la gêne : toutes les douleurs. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°75)
Le « Parce Domine » à Beaugency (8.10). Cela serait beaucoup, car il [Sabathier] causerait depuis une heure et demie. A arranger. (ibid. F°127)
Enfin s’arranger pour préparer
la suite. (ibid. F°s176-177)
Et dire qu’on trempe dans la même eau un autre malade, tout de suite, le petit Gustave peut-être. Voir si cela peut s’arranger. (ibid. F°263)
Il [Pierre] vient donc dans la salle avec l’abbé Judaine apporter la communion ; et je m’arrange pour qu’il y reste ensuite. (ibid. F°305)
Tout cela s’arrange assez mal. (ibid. F°319)
Ce qui peut être très intéressant, c’est tout l’hôtel. A arranger. (ibid. F°322)
Alors, faire mourir l’enfant pendant la messe, sous la pluie, ou ailleurs, et dans un autre moment. Choisir l’arrangement le plus poignant. (ibid. F°379)
Pierre ne peut plus voir Marie sans un malaise, malgré sa grande joie pour elle. Arranger cela. Analyser. (ibid. F°466)

La faire dévote (…). Faire que sa plaie ait une source nerveuse. Arranger tout cela. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 48 – Notes sur Elise Rouquet)
Peut-être
pourrait-il accompagner Pierre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. – Mais il est presque comique et je préférerai que ce fût le docteur [Lacassagne biffé] Chassaigne qui fût l’accompagnateur. A moins que je ne les mette tous les deux, pour avoir les deux courants. A voir, à arranger. (ibid. Fos 106-107 – Notes sur Cazaban)
Ça ne s’arrange pas très bien. – Il est difficile que ce malade vienne à Lourdes, sans vouloir être guéri. Je préférerai prendre un homme qui soit déjà à Lourdes. (ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)

Travail (1901)

Ce qu’il faudra arranger, c’est l’histoire de Josine et Ragu (F°407)
seulement cela ne s’arrange guère, car je voudrais un samedi avec la paie (F°409)
Luc, qu’il a connu à Paris chez les Boisgelin (à arranger) (…) Bonnaire (…) a demandé l’augmentation de salaire ( ar
ranger cela) (F°420-421)
la scène où je veux relever le vieux Qurignon. Elle a quelque invraisemblance . Il faudra la préparer et l’arranger (F°437)

ARRÊTER

Le terme a deux sens : celui de terminer tel ou tel développement, ou celui de décider ou de fixer quelque chose

Le Ventre de Paris (1873)

Quand il va être arrêté, drame, que je n’arrête pas encore. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 105)
Macquart avait mis en elle un besoin de bien-être très arrêté. (ibid., f°242)

La Conquête de Plassans (1874)

Le maire, un type, le portrait de R. puis deux ou trois autres que j’arrêterai (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°23)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Il faut en arrêter nettement la création. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 5)

Nana (1880)

Vendoeuvres avec les dames Bien arrêter ce personnage dans son beau alors. (NAF Ms. 10313, Nana. F°25- Plan).

Le Rêve (1888)

A la fin le mariage bénit par l’évêque. Je finis quand les époux ressortent de l’église (…) Là je m’arrête, la fin du rêve (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 232/16)
(…) mais je m’arrête, c’est là je crois qu’est la faiblesse. Ce Félicien reste en l’air (ibid., f° 298/81)\\Il faut, en somme, poser toute la maison, même le jardin, dire comment tout s’y distribue, et ne s ‘arrêter un peu que sur le salon et la chambre des Hubert (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
Arrêter si son Je vous aime s’épanouit naturellement comme une fleur (…) ou si elle sait qu’elle aime et si ce n’est
que sa pudeur vaincue (ibid., premier plan du chapitre VII, f°s 99-100)

ARRIÈRE (en)

Consigne touchant soit à la cohérence, soit à la distribution du matériau romanesque.

La Terre (1887)

Et revenant à sa comédie de bonhomie quand il est vaincu ; et, en arrière, féroce. (MS NAF 10329 La Terre f° 35 – Personnages, Joseph Fouan)

Le Rêve (1888)

Mais il faut que je revienne en arrière (MS NAF 10323 Le Rêve. deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 171)

Lourdes (1894)

Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
comment raconter tout Bernadette (et aussi le Lourdes ancien, Peyramale et les Pères), si mon roman se passe de nos jours ? (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s57-58)
Je les [les Pères de l’Assomption]
montrerai seulement comme une force sourde en arrière, maîtres de l’affaire et en tirant tout le parti possible. (ibid. F°s117-118)
Chapitre II. Entièrement consacré à revenir en arrière et à conter l’histoire complète de Pierre Froment (avec son frère) et des Guersaint. (ibid. F°155)

Je le montrerai seulement comme une force sourde, en arrière, maître de l’affaire et en tirant tout le parti possible. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 99 – Notes sur le père Capdebarthe)

ARRIÈRE-PLAN

Voir aussi : basse ; par derrière ; silhouette ; fond

Consigne touchant à la mise en hiérarchie du matériau romanesque, et visant à distinguer un principal d’un secondaire.

Le Rêve (1888)

Cela me donnerait une figure d’évêque très à l’arrière-plan ce que je préfèrerais (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 239/23-)

Travail (1901)

Puis le curé et le sous-préfet à l’arrière-plan (F°404)

ARRIVER

La Conquête de Plassans (1874)

Enfin le drame arrive (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°24)

Arrivée de Faujas et de sa mère. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F˚ 4)
La maison est vide, je puis bien la brûler ((NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXVI F˚14)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Et arriver à petite fête [sic] où le curé est invité. La décrire brièvement. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, plan du troisième livre, f° 22)
Je reviens à l’autel à la rupture de l’hostie, et j’y demeure pendant la communion (l’hostie prise, les miettes ramassées, le calice pris). Et c’est ici que je fais arriver Désirée avec les lapins. (ibid., Sur la messe et l’église, f° 111)

Nana (1880)

Arrivé là, je décris l’appartement à mesure que les visites arrivent. (NAF Ms. 10313, Nana. F°16- Plan)
Celui-ci [Chouard] connaît Zoé qui dit à Nana : « Vous savez, c’est le vieux dégoûtant. » Il faut en arriver à une invitation à dîner. (ibid. F°19)
Dans le foyer des acteurs sont prêts, en costume : les costumes Prullière, Bosc, Fontan ; les poser, les faire arriver les uns après les autres. (ibid. F°48)
Là il faut arriver à ceci (ibid. F°59)
Il faut que j’arrive en plusieurs fois à ceci : La Faloise, tout à fait gandin, allant de dame en dame (…). (ibid. F°120).

Muffat peut en arriver à emprunter de l’argent à sa femme pour donner à Nana, argent que sa femme tient d’un amant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°228- Ebauche).

Au bonheur des dames (1883)

Louise arrive à Paris (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, f° 25)\\Poser tous les rayons soit par la venue d’Octave, soit par l’arrivée de Louise (ibid., f º 25)\\(…) Et Louise arrivant pour se présenter (ibid.)\\Deloche arrive (ibid.)\\Chapitre I: Un vendredi matin, dans les premiers jours d’octobre, Denise arrive à Paris avec Jean et Pépé (ibid., Plan, fº 33)\\Ils [Denise et les enfants] arrivent en chemin de fer (ibid.)

La Terre (1887)

j’arriverai au reste si je faisais des deux filles les nièces de Bonhomme. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 412-13/13-14 – Ebauche)
(…) C’est là le mouvement du personnage dans tout le livre. Arriver à une déchéance, à un écrasement, une suppression (ibid., f° 439/40)

Le Rêve (1888)

J’en arrive ainsi à l’éducation d’Angélique (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 241/24)
(…) Il faut en arriver /à des échanges de serment-rayé/ (ibid., f° 257/40)
(…) En arriver donc à cette réalité qui fait frissonner Angélique (…) et là dans le jardin Hubertine en arrivant à la prudence(ibid., f° 264/47)
(…) Je voudrais en arriver à ceci : Félicien a tout
dit à son père (ibid., f° 266/49-267/50)
(…) J’en suis donc arrivé à la fin du chapitre (ibid., f° 273/56).

Donc, négligeant pour le moment l’histoire des Hautecoeur, j’arrive au moment où le château fut démantelé, vers la fin de la ligue (fin du XVIème) (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 263)

Et j’en arrive au livret qu’Angélique serre (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 7)\\Poser d’abord Beaumont-l’église (…) mais sans l’histoire des abbés et des Hautecoeur (…) et arriver à l’église, mais sans détail, la montrer seulement faisant ombre sur la maison des Hubert (ibid., deuxième plan du chapitre II, f° 16)
(…) J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)\\Le château et le duc arrive [sic] comme milieu (ibid., premier plan du chapitre II, f° 36)
Et en arriver ainsi à la fenêtre éclairée le soir par une lampe (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 57)
J’en arrive ainsi à la faire éclater en larmes, le soir de mai, après le chapitre précédent (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)
J’arrive au dernier épisode, dans le terrain vague (ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 76)
Et je voudrais arriver à une scène finale (la mitre est finie, le jour où elle la livre, à voir) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 84)
C’est ce qui doit faire l’originalité de ce chapitre (…) tout ce chapitre est un repos pour arriver au chapitre suivant (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 88)
Tout cela pour arriver à son aveu (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Et arriver à son Je vous aime (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Voir s’il faut en arriver jusqu’à un
baiser (ibid., premier plan du chapitre VII, f°s 101-102)
Il est tout à l’amour, voir son portrait, l’artiste qui est en lui. Son histoire peut arriver là (ibid., plan du chapitre IX, f° 118)

Lourdes (1894)

Et j’arrive à mon prêtre battu, n’espérant plus rien. (…) J’aurais voulu une lutte héroïque, terrible, sanglante : tout un choc de deux mondes. Et je ne puis guère arriver à cela que si, à la fin de « Rome » je montre mon prêtre écrasé, reprise [sic] par la machine sacerdotale, acceptant la police de l’église pour ne pas glisser au néant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°14)
Pour arriver à suivre d’abord l’idylle de l’enfance, l’apparition, puis le drame de l’âge mûr, il faudrait trouver un procédé (…). (ibid. F°33)
Là arrive le pèlerinage national, charriant tout avec lui, les malades au premier plan avec leur innocent besoin d’espoir, les [hospitaliers biffé] pèlerins de toutes sortes, les hospitaliers et les hospitalières. (ibid. F°36)
A un moment, si le monde entier s’est jeté dans ce rêve du paradis chrétien, ouvrant l’autre vie, c’est que c’était la jeune espérance arrivant historiquement à son heure. (ibid. F°51)
Il veut un idéal plus humain (…) : de là (…) même les anarchistes voulant arriver violemment à un âge d’or, tous égaux, tous heureux, une justice distributive absolue. (ibid. F°52)
J’arrive à Bernadette. Elle aussi est de la souffrance, c’est la grande idée de mon livre. (…) Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
comment raconter tout Bernadette (et aussi le Lourdes ancien, Peyramale et les Pères), si mon roman se passe de nos jours ? (ibid. F°s57-58)
Dans la quatrième partie, (…) j’arriverai à l’éclat de la procession de quatre heures, la montée à la basilique et le triomphe
total de la grotte. (ibid. F°s70-71)
Comment un homme d’une intelligence élevée et claire, nourrie dans l’analyse, peut arriver à croire aux miracles, sous le
coup d’une grande douleur. (ibid. F°s118-119)
Graduer toutes ces souffrances, pour
arriver à la plus grande intensité possible. (ibid. F°s174-175)
Mais surtout montrer peu à peu l’intérêt que le récit, puis le pied montré, déterminent chez tous les malades. L’intérêt part de là, pour arriver à la passion. (ibid. F°184)
Et j’en arriverai à quelques pages d’entassement de mi-\\racles, je choisirai un ordre. (ibid. F°s193-194)
On traverse les plaines rases de Lourdes ; et quand arrivent 9h et que sœur Hyacinthe veut arrêter le lecteur (il n’aura commencé qu’à 8 ½), on la supplie de laisser continuer. (ibid. F°217)
Et [dire biffé] laisser entendre alors comment il [Chassaigne] a pu en arriver à croire à Lourdes. (ibid. F°259)
Tout cela est pour en arriver à la scène où le cadavre de l’homme est trempé [en interligne : M.V. 157]. (ibid. F°263)
Ce qu’il en arrive. Bien poser l’état d’âme de Pierre : il est arrivé avec le désir de croire, [le besoi biffé] l’idée qu’il va croire. (ibid. F°266)
Dès lors, je n’aurai ici que la confession de Chassaigne, disant à Pierre comment il a pu en arriver à croire. (…) L’état actuel de Chassaigne, comment il y est arrivé et les raisons qu’il peut donner. (ibid. F°276)
Et j’en arrive à la Grivotte toujours disant qu’elle est guérie : elle a mangé comme un ogre, elle a suivi la procession aux flambeaux sans fatigue. (ibid. F°299)
Je veux en arriver à ce que Pierre (…) reprenne le petit livre qui appartient à Marie, et continue la lecture sur Bernadette. (ibid. F°306)
Un orage brusque, comme
il en arrive dans les montagnes [en interligne : M. 103]. (ibid. F°s372-373)
Et en arriver à expliquer comment elle [Bernadette] finit elle-même par préférer s’en aller à Nevers. (ibid. F°386)
Et j’en arrive à la montée, par la rampe gauche. (ibid. F°452)
Puis, j’en arrive à la cérémonie même de la Bénédiction du Saint-Sacrement. (ibid. F°454)
Et j’arrive immédiatement à la rue des Petits-Fossés [en interligne : [(] M.V. 137-139) 175]. (ibid. F°471)
Tout ceci doit se passer de bon matin, car je voudrais en arriver à cet épisode. (ibid. F°487)
Et j’arrive chez Cazaban. (ibid. F°494)
Puis j’en arriverai à mes personnages et je dirai ceux qui y sont et ceux qui n’y sont pas – (ibid. F°533)
L’épisode de la Grivotte n’arrive donc qu’après la prière du soir, quand la nuit est tombée. (ibid. F°539)
Il faudrait en arriver à une somnolence générale, pour laisser Marie et Pierre seuls. (ibid. F°541)
Mais
avant d’en arriver là, leur idylle à Lourdes. (ibid. F°s542-543)
Alors, en arriver à ceci, que Marie lui dit qu’elle sait qu’il [Pierre] n’est pas converti. (ibid. F°547)
J’en arrive avec ce regret possible de la vie à ce qu’elle [Bernadette] devait rêver, sur Lourdes. (ibid. F°573)
Et j’en arrive au morceau sur la raison. (ibid. F°584)

Et, comment, il en arrive à son
héroïsme, à se dire qu’il fera son métier de prêtre en honnête homme. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 10-11 – Notes sur Pierre Froment)
Pierre a retrouvé Marie. Mais la ruine est arrivée (…). (ibid. Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)
J’en arrive à l’histoire. (ibid. Fo 22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Comment un homme d’une intelligence élevée et claire, nourrie dans l’analyse, peut arriver à croire aux miracles, sous le coup d’une grande douleur. – (ibid. Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Il attend donc la troisième attaque qui arrive à soixante ans. (ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
Enfin la persécution arrive. (ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
70 arrive, avec la guerre. (ibid. Fo 271 – Notes sur Mlle de Fontenay)

Travail (1901)

Enfin arriver à constituer la cité par le travail (?) (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 350/3)
et le sauver peu à peu, par le travail, arriver à en faire l’image de la cité future (ibid., f° 351/4)
Puis je pousse la vision plus loin et j’en arrive à la commune anarchiste (ibid., F°403)

ART/ARTISTE/ARTISTIQUE

Le Ventre de Paris (1873)

Cet engraissement, cet entripaillement est le côté philosophique et historique de l’œuvre. Le côté artistique est les Halles modernes, les gigantesques natures mortes des huit pavillons (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 48)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Je ne fais pas une étude sur les prêtres, sur leur vie, sur leur rôle dans la société ; mais une étude sur un tempérament et sur une question particulière, dans une œuvre d’art. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 19)
Jeanbernat, ce qu’il dit (les livres). Philosophie, le rayon de soleil qui passe. L’art est de le faire. Il n’y a rien. Jeanbernat lit. Les livres. (ibid., Plan du troisième livre, f° 24)

Le Rêve (1888)

Tous les arts lui mettent les larmes aux yeux (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 300/83)
n’en pas faire un artiste, un simple amateur (ibid., f° 301/84)\\Belle, pure, en admirable artiste (…) lui artiste aussi (ibid., Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 84)\\Il est tout à l’amour, voir son portrait, l’artiste qui est en lui. Son histoire peut arriver là (…) Très riche et n’ayant que le goût de l’art (ibid., plan du chapitre IX, f° 118)\\Entrainé vers un art, la peinture, puis la peinture sur verre, la musique aussi (ibid., Personnages, f° 201)

Lourdes (1894)

Dans la conversation avec Pierre, tous les doutes du vieux médecin d’expérience. La médecine, pas une science expérimentale, un art. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°272)
Tous ces doutes de médecin d’expérience. La médecine pas une science expérimentale, un art. (ibid. F°284)
M. de Guersaint peut en être et se récrier sur la beauté artistique de cela. (ibid. F°359)
La laideur de tout cela, dite par Pierre et par M. de Guersaint : celui-ci a achevé sa ruine dans la faillite d’une maison d’impression en couleur, imagerie
religieuse : on voulait faire trop artistique, il en gardait la rancune. (ibid. F°s498-499)

Travail (1901)

L’architecte est le premier des artistes en date (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 359/12)
Il pourra mettre un peu d’art dans la construction de la cité (ibid., f° 359/12)
mais je puis avoir encore de la verrerie artistique, ce qui me donnerait des ouvriers d’art (ibid., f° 386/39)
A côté, je le répète, une verrerie artistique, un Gallé (ibid., f° 387/40)\\Et artiste, de fleurs de verre (ibid., 391/44)

ARTICLE

Nana (1880)

Là poser aussi l’article chronique de Fauchery, la Mouche d’or (…). Nana flattée, plutôt qu’irritée. On lui a dit que c’était elle. (Je poserai l’article, et je développerai plus loin, avec Muffat. (NAF Ms. 10313, Nana. F°68- Plan)
La mouche d’or. Un article de Juillerat. (ibid. F°73).

Mon cher confrère,/ Merci mille fois, non pas de votre article (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°249 verso- Notes).

Le Rêve (1888)

La Légende dorée. Citations en vieux langage (…) D’abord on n’a que regardé des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire le texte, s’est accoutumée aux lettres gothiques, aux quelques vieux mots hors d’usage, aux tournures vieillies, abréviations, contraction de certaines consonnes, article joint au substantif sans apostrophe. (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)\\Elle (…) s’est accoutumée (…)
aux quelques vieux mots hors d’usage, aux tournures vieillies, aux abréviations, à la contraction de certaines consonnes redoublées, à l’article joint au mot sans apostrophe (ibid. premier plan détaillé du chapitre II, f°s 33-34)

Lourdes (1894)

N’y a-t-il pas des lupus d’origine nerveuse (voir l’article du Gil Blas). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°540)

La campagne à Paris, par la presse antireligieuse. Prévost-Paradol, un article (334). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)

ARTIFICE

Lourdes (1894)

Puis, par un artifice, je finirai par une visite [guère lisible] à l’église du curé Pyramale, et par une visite à la chambre de Bernadette. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°71)
Dans la 1ère partie, je l’ai [Pierre] tout le temps et très naturellement.– Dans la seconde, je l’aurai aussi par un [artificif biffé] artifice, car c’est lui qui traînera la malade ; il se sera hospitalisé, rendra des services ;
mais pas comme prêtre. (ibid. F°s80-81)
Puis ; par un artifice, revenir à l’ancien Lourdes (…), l’honnête Lourdes, à l’entrée des sept vallées, gardant l’impasse. (ibid. F°208)

ASPECT

Le Ventre de Paris (1873)

Un aspect des Halles, vues de biais, de la rue Montmartre […] (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°296)

Lourdes (1894)

Mais pourtant, je ne fais que poser la Grotte, sans grands détails. L’aspect premier. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°252)
Et un dernier aspect de Lourdes, tout le monde rentrant, par les rues peu claires, des pèlerins qui traînent, qui demandent leur chemin. (ibid. F°357)

Pas belle au premier aspect, et à mesure qu’on la regarde saisissante, troublante, conquérante. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 74 – Notes sur Madame Volmar)
L’aspect d’un [capitaine biffé] officier retraité (…). L’aspect solide encore, quoique frappé à mort ; et il le sait. (ibid. Fo 108 – Notes sur le Commandeur)
Voilà pour l’aspect extérieur du train. (ibid. Fo 181 – Notes sur le Départ de Paris)
Un train de plaisir, mais plus minable, l’aspect gris et pauvre et souffrant de tout ce monde. (ibid. Fo 188 – Notes sur le Départ de Paris)

ASSEOIR

(Voir aussi :poser)

Le Rêve (1888)

Ce chapitre est pour asseoir l’amour chez Angélique, l’y accoutumer (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 260/43)
(…) Donc asseoir le plus possible mes personnages, leur donner surtout un acte civil très solide (ibid., f° 294/77)

ASSERVIR

Lourdes (1894)

Mais ne pas trop m’asservir à la réalité. Du rêve. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°28)

ASSEZ

Le Ventre de Paris (1873)

Mon petit peintre me servira sans doute assez pour cela (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 71)
Cette rivalité me donnera un thème assez important pour étaler la poissonnerie en face de la charcuterie.(ibid., f°s 75-76)
Il faut lui donner un rôle assez important . (ibid., f° 78)
Les voies sont éclairée* assez vivement par les regards. (ibid., f°301)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Maintenant, le tout sera de trouver avec ces quelques personnages un drame assez poignant et une mise en scène assez intéressante. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 15)
Comme Serge est assez pauvre d’esprit, ses supérieurs l’envoie [sic] aux Artauds ; il n’a plus sa mère pour le soutenir et le pousser. (ibid., Les personnages, f° 17)

Nana (1880)

Couloir des premières assez large et haut. (NAF Ms. 10313, Nana. F°3- Plan)
Nana ne paraît qu’à la fin de l’acte. Costume encore assez décent. (ibid. F°4)
Quand tous sont posés assez brièvement j’introduis Fauchery amené par Hector de la Faloise. (ibid. F°26)
ancien avoué, a eu la spéciallité (sic) des procès ecclésiastiques (…). Le tout assez mystérieux. (ibid. F°32)
C’est à une lieue, dans le pli d’un coteau, derrière une rivière qu’il faut remonter pour avoir un pont. En somme assez loin. (ibid. F°57)
J’aimerais assez que le chapitre se passât presque entièrement chez les Muffat, ou du moins fût à cheval sur les deux intérieurs. (ibid. F°71).

Madame Bron. – La concierge du théâtre. 50 ans. Une commère assez forte. (NAF Ms. 10313, Nana. F°168- Personnages)
Marquis de Chouard – 70 ans. Un vieillard, grand, un peu voûté, assez maigre (…). (ibid. F°171)
[Daguenet] Figure assez insignifiante, gentil tout de même. (ibid. F°172)
[Fauchery] Son père a été fermier d’annonces et a fait une grande fortune. Mais il tient son fils assez serré. (ibid. F°174)
[Prullière] Assez mince, l’air coiffeur. (ibid. F°175)
Caroline Héquet.– Née à Bordeaux, d’une famille honorable, a reçu une instruction assez soignée.
Ensemble assez froid, calculé, réfléchi. (ibid. F°178)
Madame Robert. – Agée de 28 ans. Assez grande. (ibid. F°195)
[Venot] Le tout assez mystérieux, s’occupe encore d’affaires qu’on ne sait pas. (ibid. F°203).

Trois jeunes gens. Un né à Paris, voyant Nana par toquade ; un titré venant par chic ; un autre, de Province, très riche assez tenu par sa famille (NAF Ms. 10313, Nana. F°209- Ebauche)
J’aimerai même assez que cela fut au milieu, lors de la déveine de Nana. (ibid. F°213)
J’aimerais assez qu’elle eut encore son appartement ; mais qu’une cause quelconque l’empêchât d’y rentrer. (ibid. F°215)
J’aimerais assez que l’homme mûr à la fin tournât à la religion. (ibid. F°218)
En dehors du mariage Judic, il faudra que j’aie un autre type assez important, Cora Pearl. (ibid. F°220).

L’une reproche à l’autre de coucher avec des gens pas assez riches. (NAF Ms. 10313, Nana. F°251-3- Notes)
La Sancy très gaie, bohème de Paris, phtisique, mourant chaque année. Museau de gamin, épaules hautes, assez grande, mouvement équilibré, gracieux. (ibid. F°266-26)
Couloir du premier assez large et haut. (ibid. F°323).

La Terre (1887)

Pauline pourrait être reprise par lui, dans une de ces secousses de colère ; mais cela n’est pas assez (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 433/34)
(…) Je fais donc du gendre, dans le même village, le type du bon paysan travailleur, assez éclairé, sage, allant assez volontiers aux nouvelles méthodes, mais sans prêche et sans étalage. (ibid., f° 445/46)
(…) Je crois donc qu’il ne faut pas incarner la terre dans un personnage. Aucun ne serait assez grand, aucune femme. (ibid., f° 485-77)

Le Rêve (1888)

Je verrais assez le sujet en trois : l’enfance (…) Puis le jeune homme disparaît (…) Puis le jeune homme revient (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 220/4)\\Ils ne souffrent pas assez de leur amour (ibid., f°s 285/68-286/69)\\L’église est petite, assez grande (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)

Lourdes (1894)

Il y a d’autres raisons qui la font échouer : étudier cela, pourquoi le catholicisme, le christianisme ne peuvent assez se renouveler pour être la religion du nouveau peuple – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°13)
Cela sera assez difficile à mettre, mais il le faudra au second plan. – (ibid. F°56)
Cela serait donc assez original de faire passer le drame psychologique du miracle dans un prêtre. (ibid. F°76)
J’aimerai assez que cela se passât à sa sortie du séminaire, dès qu’il a été ordonné. (ibid. F°88)
Je voudrais un faubourg de Paris, un village des environs. Neuilly me semble assez bon. (ibid. F°91)
J’en fais donc une veuve, de bonne noblesse restée seule avec sa fille, pas belle, mais assez agréable. (ibid. F°100)
Le garçon qui l’épousera est un hobereau de province, le même âge qu’elle, [qu biffé] assez riche, orphelin et assez ambitieux. La mère a conservé d’assez belles relations et elle fera de son gendre aisément un diplomate. (ibid. F°101)
J’aimerai assez une femme jeune encore, flétrie, qui viendrait demander la conversion de son mari. (ibid. F°111)
Il [Pierre] aura encore une grande heure et demie pour réfléchir ce qui est assez. (ibid. F°144)
Il est assez difficile que Marie et Pierre restent au centre. (ibid. F°178)
Il ne fait plus assez jour pour lire, il faudra que Pierre se rapproche de la lampe. (ibid. F°202)
Je fais une description assez complète du paysage. (ibid. F°252)
Et Marie reprenant courage. [N biffé] Si elle n’a pas été guérie, c’est qu’elle a eu un doute en entrant dans l’eau. Pas assez prié. (ibid. F°302)
Tout cela s’arrange assez mal. (ibid. F°319)
Tout cela est assez confus. (ibid. F°321)
Ils [Pierre et Chassaigne] se sont avancés assez loin, le long du Gave (différentes descriptions), et ils se sont même assis. (ibid. F°387)
Car si les pères le voulaient, ils sont assez riches pour achever l’église. (ibid. F°477)
J’en ferai décidément un homme [le Commandeur] d’assez peu d’instruction, un ancien sous-officier [d’assez biffé] décoré pour sa belle conduite, philosophe d’instinct, s’étant instruit lui-même. (ibid. F°523)
Ces bonnes gens [les biffé] ont pensé [en interligne : pas assez riche pour emmener le corps, 300 à 400 fr. Elle n’a jamais eu cela à elle.] que ce n’était pas raisonnable [de re biffé], une ouvrière que son travail attendait, de rester à Lourdes. (ibid. F°534)
Dire pourtant que les simulateurs sont assez rares. (ibid. F°538)
La psychologie de Marie (…). Il n’y a pas assez de bons anges dans le paradis pour lui faire escorte. (ibid. F°545)

Un visage long et pâle, assez maigre, avec un nez droit, et de très beaux yeux noirs. (…) Pas de sensualité prononcée – le nez assez petit (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 3 – Notes sur Pierre Froment)
Son père l’a eu à 50 ans, et il est mort cinq ans plus tard, lorsque Pierre avait 5 ans. – (…) Assez grande fortune. (ibid. Fo 5 – Notes sur Pierre Froment)
Un homme assez trapu, pas très grand, la tête grosse et carrée, très chauve. (ibid. Fo 34 – Notes sur M. Sabathier)
Des paysans de là-bas, assez à leur aise. (ibid. Fo 38– Notes sur Frère Isidore)
Ses parents, établis dans les environs d’Angers, sont des cultivateurs assez à leur aise. (ibid. Fo 49 – Notes sur Sophie Couteau)
Mais la faire maigre et assez chétive, d’une hérédité scrofuleuse, qui a reparu terrible dans son enfant. (ibid. Fo 56– Notes sur Mme Vigneron)
D’assez beaux yeux noirs dans une figure ronde et grasse, à la bouche forte et bonne, au gros nez court. (ibid. Fo 71 – Notes sur Madame de Jonquière)
Petit et assez maigre. (ibid. Fo 81 – Notes sur Gérard de Peyrelongue)
Une blonde assez grande, élancée, fine et élégante, avec presque pas de poitrine, et des membres souples. (ibid. Fo 87 – Notes sur sœur Hyacinthe)
Le prêtre (…) à qui la [f biffée] vertu a été assez facile, au milieu du silence des passions, et [que biffé] l’intelligence ne trouble pas. (ibid. Fo 91 – Notes sur l’abbé Judaine)
Il [le carreau] est trop rare, je prends la péritonite tuberculeuse chronique. Assez commode de cinq à dix ans. (ibid. Fo 122 – Notes sur la maladie de la petite Rose Vincent)
A l’intérieur, les troisièmes ont, entre les compartiments, des cloisons qui montent assez haut, sans empêcher la circulation de l’air. (ibid. Fo 181 – Notes sur le Départ de Paris)
Bien qu’elles [les soeurs] ne nourrissent pas ceux [sic], elles leur donnent des douceurs ; et c’est assez qu’elles donnent à une, pour que toutes les autres veuillent
en avoir. (ibid. Fos 184-185 – Notes sur le Départ de Paris)
Le costume des sœurs de l’Assomption (…). (…) Un crucifix assez fort passé dans la ceinture [en interligne : ceinture de cuir]. – (ibid. Fo 190 – Notes sur le Départ de Paris)
Le costume des pères (…). (…) Un grand chapeau, à poils assez longs (…). (ibid. Fo 191 – Notes sur le Départ de Paris)
Cela est bon pour ma malade ; le premier jour elle ne croit pas assez, et échec. (…) Elle hésitait par scrupule, ne se voyant pas assez sainte, ne demandant qu’une demi guérison (200). (ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)

Travail (1901)

Je mets Luc, avec sa famille, dans un assez gros bourg, éloigné de Paris (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, 351/4)\\il faudra peut-être un vieux professeur qu’il trouvera retiré là, lisant Fourier, avare, assez riche (ibid., f° 356/9)
Elle peut être assez affinée, voir à la créer, et peut-être, la femme d’un jeune contremaître de l’usine (ibid., f° 360/13)\\Ce serait assez original (ibid., f° 363/16)
Ce sera assez de corps d’état (ibid., f° 387/40)
Dès lors tout peut marcher assez bien (…) Les dompteurs du feu, faire cela assez barbare (ibid., F°418)
Un fondeur (Mabire), des puddleurs (Bonnaire et Ragu), un arracheur (Bourron), des lamineurs et des ouvriers du marteau pilon (Coignet et Fauchain) me paraissent donner un ensemble assez complet (ibid., F°423)
Je ferai vivre le père assez tard pour qu’il assiste à l’évolution (ibid., F°425)
Dès lors les choses sont assez en place (ibid., F°431)

ASSISTER

Lourdes (1894)

Il [Ferrand] assiste ainsi qu’elle [sœur Hyacinthe] à l’agonie de la femme au cancer : mêlés à cela. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°115)
Ils sortent tous, ou plutôt il n’emmène que Mme de Jonquière et il est arrêté par l’abbé Judaine (…) et assiste à l’épisode des Dieulafay. (ibid. F°170)
Enfin, je termine par (…) le trempage du cadavre de l’homme dans la piscine. La scène entière à laquelle Pierre assiste. (…) Il faut que le père Fourcade et le père Massias assistent à cela, et aient un mot sur le miracle manqué. (ibid. F°270)
Alors (…), je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables, toujours avec Pierre mêlé et assistant. – (ibid. F°297)
Alors, (…) elle [Marie] assiste à toute la descente par les rampes, au grand tour par le jardin, et à l’arrivée sur la place du Rosaire. (ibid. F°359)

ASSOCIER

Au bonheur des dames (1883)

Comme personnages, il me faudra Octave, et un associé, au moins le banquier (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 9)

Le Rêve (1888)

Associer tout le dehors, toute l’église (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 261/44)\\Y associer tout le dehors (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Associer tout le dehors (ibid., premier plan du chapitre VII f° 100)

ASTIER (Dr)

Lourdes (1894)

Des lupus guéris. Comme dit le docteur Astier : « Ça m’embête ». Est-ce qu’un lupus peut être d’origine nerveuse ? – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°273)

ASSUERUS

personnage de l’Ancien Testament)

Le Rêve (1888)

Angélique (…) C’est Esther aux pieds d’Assuérus (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 132)
Je voudrais quelque chose comme Esther devant Assuérus, dans un autre sens : O mon souverain roi…Quelque chose de mystique et de légendaire (ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)

ATAVISME

Lourdes (1894)

S’il [Chassaigne] est Pyrénéen, l’atavisme qui le prédispose à la foi. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°161)
Il [Chassaigne] n’est qu’un type, [le sa biffé] l’intellectuel, le savant qui retourne à la croyance, par faiblesse humaine, sous l’empire de certaines circonstances : lassitude, atavisme, perte d’êtres chers. (ibid. F°260)
Le docteur Chassaigne Pyrénéen. (…) L’atavisme qui le prédisposait à la foi. (ibid. F°271)
Il [Chassaigne] n’est donc qu’un type, le représentant du savant qui retourne à la croyance par faiblesse humaine, sous l’empire de certains sentiments (lassitude, atavisme, perte d’êtres chers). (ibid. F°277)

L’atavisme qui le prédisposait à la foi, un admirateur de Bernadette qu’il a pu connaître. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 66 – Notes sur le docteur Chassaigne)

ATMOSPHÈRE

Lourdes (1894)

Elles sourient, rien ne les étonne, c’est l’atmosphère du prodige. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 188 – Notes sur le Départ de Paris)

À TRAVERS/ AU TRAVERS

Lourdes (1894)

Pendant ce temps-là, il y a le chapelet à Ste-Maure, la Neuvaine et l’Angélus à Châtellerault. Il [Pierre] entend ce murmure, à travers ses réflexions. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°162)

Le laisser dans le mystère, là-bas, sans même dire au fond de quel faubourg il habite, et ne le remontrer qu’au travers des réflexions de Pierre. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)

ATTEINDRE

Le Rêve (1888)

Il faudrait donc qu’Angélique ne triomphât pas ou mourût. Ne pas triompher atteint tout le livre (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 303/86)

ATTENDANT (EN)

Le Ventre de Paris (1873)

Le mari d’Elisa Macquart, que je nomme en attendant Louis Gontard, a un frère compromis (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 55)
On pourrait imaginer ce drame. Le dieu de la Halle, que je nomme en attendant Jacques Duval, est une brute heureuse (ibid., f° 66)

La Conquête de Plassans (1874)

En attendant, ils restent indifferents (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)\\En attendant, elle court dans la ville pour former un comité de dames patronesses; (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 9)

=== Lourdes

Le Rêve (1894)

Mais en attendant, cette nuit-là, dans le wagon, il [Pierre] ne parle que de Bernadette enfant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième

ébauche, F°214)

ATTENDRE/ EN ATTENTE

La Conquête de Plassans (1874)

Il faut qu’il ait là un coup de scène que le lecteur lui-même n’attende pas ; le lecteur
doit croire que Mouret n’est pas fou. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXV F˚ 13-14)

Lourdes (1894)

J’ai mis le train en attente. Et je fais arriver Pierre le premier, qui a une petite valise et qui va la poser dans le wagon (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°512)

Travail (1901)

Faut-il que j’attende l’incendie pour les faire coucher ensemble (F°405)

ATTENTION

Le Rêve (1888)

Faire attention qu’on oblige les patrons à envoyer les enfants à l’école et à l’église (Voir le livret) (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 38)

ATTENTIVEMENT

Le Rêve (1888)

(relire attentivement ma note Religion) (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 21)

ATTITUDE

Nana (1880)

Les hommes : Muffat- Son attitude. (NAF Ms. 10313, Nana. F°25- Plan)
Poser la tête de Muffat, celle de Georges, l’attitude de la comtesse (où un changement s’opère) et ce qu’on fait d’Estelle. (ibid. F°57)
Attitude d’Estelle et de Daguenet.
un mot sur Vandeuvres qui rappelle son attitude dans le III (ibid. F°134)
L’attitude des hommes. (ibid. F°155).

Mais ce qu’il me faudrait, c’est l’attitude de la femme. (NAF Ms. 10313, Nana. F°215-6- Ebauche).

Lourdes (1894)

Le premier appel de la Grotte
et l’attitude du père Fourcade l’a bousculé simplement ; et maintenant le nouveau trouble où le jettent les confidences de Chassaigne. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s266-267)
L’attitude des libres penseurs qui ne descendent jamais à la Grotte (mais qui en vivent). (ibid. F°335)
Et revenir sur l’attitude de Chassaigne, au retour du cimetière. (ibid. F°383)
Et c’est à peine si elle [Marie] voit l’agonie de Mme Vêtu à côté d’elle. Telle est son attitude durant tout le chapitre. (ibid. F°410)
Et les attitudes, les prières, les chapelets, les extases, les voix confuses et murmurantes, répondant au prêtre. (ibid. F°417)
Et la conversation reprend, je reviens sur la lutte avec le Père
Sempé, sur la mort de Peyramale, la persécution contre sa mémoire, l’attitude de Mgr Jourdan (…) – (ibid. F°s474-475)

Portrait de Mgr Laurence. (…) Pendant quelques mois, dans une attitude d’attente. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)

ATTRIBUER

Travail (1901)

Ce qui me gêne pour distribuer cela, c’est que je ne sais comment attribuer les fonctions aux ouvriers, mes personnages, pour que quittant l’atelier Delaveau ils puissent être utilisés chez Luc (F°417)

ATROCE

Lourdes (1894)

Et, quand j’aurai bien passé cette atroce souffrance charriée, mettre l’espoir (…) \\. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s69-70 )
Elle [Mme Volmar] est si malheureuse que ces trois jours, ce paradis, soit fini ; et cela est si atroce, l’enfer où elle va rentrer. (ibid. F°487)

Douleurs très vives (…). Plus tard, persistantes et atroces. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 123 – Notes sur la maladie de M. Sabathier)
Marguerite Gehier, 59 ans, malade depuis 27 ans, constitution scrofuleuse. (…) Douleur atroce, ankylose. (ibid. Fo 140 – Notes sur les Miracles)

AUCUN/ AUCUNE

Voir aussi : non ; pas ; rien ; éviter ; sans.

Fait partie du vaste champ des consignes « négatives »

La Conquête de Plassans (1874)

Faujas (…) je ne lui donnerai donc aucun désir devant Marthe(…) (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 29)

Le Rêve (1888)

elle en mourra (je ne donne aucune explication médicale) (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre XIV, f° 191)

AU DÉPART

Lourdes (1894)

Donc, au départ, tout au fond de lui [Pierre], cette expérience de savoir si un miracle ne se fera pas pour lui (en dépit [de ce qu’il biffé] de l’effet d’incrédulité où il est.) (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°83)

AU DÉBUT (Plus tard, …)

La Terre (1887)

Au début, le refuge à la ferme, […]. Plus tard, dégoûté, […]. (MS NAF 10329 La Terre f° 10 – Personnages, Jean Macquart)
Et plus tard le mettre dans le socialisme (ibid., F° 11)
Cette courbe indiquée au début et grandissant (ibid., F° 13 – Personnages, Louis Fouan)
Au début, elle pourrait conduire les oies pour la ferme (ibid., F° 23 – Personnages, Olympe)

AU DESSUS

Le Ventre de Paris (1873)

Là est le drame. Le ventre flamboie au-dessus. Le drame doit être dans les Halles (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 55)
Cela serait le triomphe absolu et colossal du Ventre, / au dessus de la maigreur vaincue et condamnée aux galères. (ibid., f° 77)

AU FUR ET À MESURE

La Conquête de Plassans (1874)

C’est Mouret qui peut les expliquer d’une façon …., un soir dans son jardin, d’abord en gros, sans l’histoire des personnages qui viendront au fur et à mesure. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)

AUGMENTER

Le Ventre de Paris (1873)

Je donnerai des enfants à Lisa et à Louis, qui me serviront plus tard et qui augmenteront mes personnages, mes épisodes. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 61)

Lourdes (1894)

Enfin, on n’a plus que dix minutes, la bousculade augmente, et Mme de Jonquière peut s’échapper un instant, pour aller retrouver
sa fille et ses dames. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s169-170)
L’arrêt à [Angers biffé] Poitiers, pour poser tout le train et surtout continuer la souffrance, en l’augmentant encore, en l’exaspérant. (ibid. F°173)
Quelques uns se plaignent et pleurent dans le sommeil. La
fatigue augmente. (ibid. F°s209-210)
Fatigue immense [en interligne : tout de suite après Tarbes, l’homme meurt], augmenter la souffrance à mesure que le voyage avance. (ibid. F°210)
Ce [Ma biffé] cantique par tous ces souffrants que le voyage a brisés (augmenter en effet les souffrances, à mesure que le voyage s’allonge). (ibid. F°216)

AU JUSTE

Lourdes (1894)

Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°272)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (ibid. F°284)

AU LIEU DE

Pot-Bouille (1882)

Si au lieu de faire d’Octave le mari, j’en faisais l’amant (MS NAF, Pot-Bouille, 10 321, f° 383)

AU MOINS

Le Ventre de Paris (1873)

Enfin j’ai besoin d’un cultivateur au moins, amenant tous les jours les provisions à Paris, — d’un fermier qui représentera la production. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 78)

Nana (1880)

Une cour à bouquet de 15 jours au moins. (NAF Ms. 10313, Nana. F°21- Plan)
Une cour à bouquets de 15 jours au moins, si amoureuse qu’elle soit (ibid. F°104).

Mais elle est très-forte, on lui donnerait au moins vingt ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°191- Personnages).

la femme infirme indiquant (bien discrètement) qu’elle aurait préféré que son mari se mit avec la cocodette : au moins, cela serait resté dans son monde. (NAF Ms. 10313, Nana. F°217- Ebauche).

Une cour à bouquet (sic) ; visite de 15 jour (sic) au moins, si amoureuse qu’elle soit. (NAF Ms. 10313, Nana. F°257/6- Notes).

La Terre (1887)

Et je leur donne des enfants, une fille et deux garçons au moins, peut-être trois. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 403-4)

Le Rêve (1888)

je voudrais au moins trois ou quatre chapitres d’amour idyllique (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 256/39)
(…) Et je veux que cette charité me donne des épisodes, au moins dans l’idylle (ibid., f° 289/72)
Là au moins, à la fin, elle doit savoir qu’elle aime (ibid., premier plan du chapitre VI f° 91)
Elle doit au moins savoir qu’elle aime à partir de la fin de l’autre chapitre (ibid., premier plan du chapitre VII f° 102)

Lourdes (1894)

Ceux [les prêtres] qui ont la foi, ceux qui viennent par chic, ceux qui s’amusent, font un voyage aux Pyrénées, ceux même qui se donnent là un rendez-vous, dans la grande [cohue biffé] liberté de la grande cohue (on parle de prêtres se rencontrant avec des dames) ils sont au moins deux à trois cent mille. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°36)
Ne pas oublier que c’est un croyant [M. de Guersaint], un bon père, et le montrer une fois au moins agenouillé devant la grotte, priant ardemment pour sa fille. (ibid. F°271)
On se presse, on étouffe. Vingt mille personnes au moins. – (ibid. F°415)
La consolation, l’espoir que le catholicisme a apporté au monde, semble épuisé (Ah ! si vous ameniez les ouvriers). C’est une illusion qui s’en va, et il faut au moins changer l’illusion. (ibid. F°565)
La consolation, l’espoir que le catholicisme a apporté au monde semble épuisé. (Ah ! si vous ameniez les ouvriers. Je vais y revenir.) C’est une illusion qui s’en va, et il faut au moins changer d’illusion. (ibid. F°587)
Le train roule pourtant, les stations nommées, et l’arrivée à Paris, au moins aux fortifications. (ibid. F°595)

AUPARAVANT

Le Ventre de Paris (1873)

(Il voudra la jeter dans un tas de plumes. Ils lutteront, et ils iront, jusque sur la voie. Ils auront auparavant visité la voie, la porte étant ouverte.) (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338., f°309)

Le Rêve (1888)

Donner peut-être auparavant la façade de l’église en faisant rentrer les deux femmes (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)

Lourdes (1894)

Et alors le train qui roule, tous les autres wagons pareils dans ce train. Et les deux trains qui sont partis auparavant, et tous ceux
qui vont suivre ( …). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s129-130)
Chassaigne lui donne rendez-vous au bureau des constatations [en interligne : pour l’après-midi]. Mais il faut auparavant que Pierre aille chercher Marie (…). (ibid. F°267)
Mais auparavant, dire que le mariage est décidé entre Raymonde et Gérard. (ibid. F°333)
Dire que des trains sont déjà partis, et que d’autres suivront ([en interligne : le] gris, le bleu était parti auparavant de Paris ; les autres, le vert, le jaune, le rose, l’orange suivaient). (ibid. F°510)
La procession aux flambeaux. (…) Le prêtre auparavant va à l’abri et y voit la mère et la petite fille, sans asile – (ibid. F°603)

Il fera ses confidences (…). Auparavant [que biffé] il s’assure que [pi biffé] Pierre n’est pas avec les Pères de la Grotte. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 102 – Notes sur Majesté)
Oui, une intrigue avec Gérard, l’année d’auparavant ; et Gérard ne voulant plus, à cause de son mariage qui se décide. (ibid. Fo 104 – Notes sur Appoline)

Travail (1901)

Mais, auparavant, je voudrais bien créer un couple d’amoureux qui traverseraient toute l’action (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 369/22)
Il faut que la ruine soit venue auparavant (ibid.,, f° 395/48)

AU PLUS

Lourdes (1894)

[en interligne : La Grivotte au plus mal, inquiétant Mme de Jonquière la retenant.] (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°166)
Détails sur les trains à la gare (éb. p. 203). Deux cent mille pèlerins au plus par an. (ibid. F°240)
Je ne veux pas les [les pères de la Grotte] montrer, [les biffé] je les ferai apparaître tout au plus. (ibid. F°290)
Des chapitres de 30 à 35 pages, en moyenne, au plus. (ibid. F°600)

AUSSI

Voir aussi : Également ; Encore.

Le Ventre de Paris (1873)

Incarnation tout aussi nuisible à la vraie cause de la liberté. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 73)
La Normande peut avoir rêvé aussi une vengeance, en livrant Florent, et avoir écrit une lettre anonyme, ou fait autre chose. (ibid., f° 93)
Il y a aussi les marchands de mies et de croutes de pain (ibid., f°128)
La Boucherie est trop à l’étroit ; la Marée aussi (ibid., f° 128)
Il y a aussi des moutons, des bœufs tordus et coupés (ibid., f° 181)
Les marchandises cuites y sont aussi resserrées (ibid., f° 191)
Il y a aussi des saucissons (ibid., f° 194)
J’ai vu aussi une femme vendant des petits pains, des cornes, etc. (ibid., f°294)

La Conquête de Plassans (1874)

Ιl les a blagué eux aussi. ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche F°20)
Donc une brouille, incompathie d’humeur, etc. Aussi, Rougon et Félicité sont-ils tous prêts à jouer un mauvais tour à Mouret ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche F°20)

Marthe aussi. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

On peut la mêler au drame, en la faisant céder à un homme. On peut aussi mettre en face d’elle le frère Archangias, (je veux cependant conserver à celui-là sa raideur catholique ! (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 10)
Ils ont aussi une petite fille Marie. (ibid., f° 13)
D’où aussi un mot d’Octave Mouret, le commis de Marseille, pauvre d’intelligence, mais rêvé à sa façon dans le commerce. (ibid., Les personnages, f° 17)

Nana (1880)

Poser aussi Ar. Labordette qui n’est avec aucune fille et qui [ill.] est avec toutes. (NAF Ms. 10313, Nana. F°12- Plan)
Madame Maloir doit partir aussi, ou bien rester avec Zoé pour quelque chose. (ibid. F°16)
Léon Juillerat viendra aussi. (ibid. F°20)
(Voir les 3 port. des Muffat et celui de Chouard, le marquis, on doute aussi). (ibid. F°27)
[Chouard et Muffat] Eux aussi viennent de chez le ministre. (ibid. F°41)
Poser aussi Chouard dans la salle
Poser aussi Satin (…). (ibid. F°48)
Le prince, Muffat, ils viennent. Chouard aussi. (ibid. F°49)
(C’est par là que Muffat emmènera Nana ; les figurantes chieront aussi du poivre à leur entreteneur.). (ibid. F°55)
L’homme dévot est là aussi. (ibid. F°58)
Là poser aussi l’article de Fauchery, la Mouche d’or (…). (ibid. F°68)
Satin ayant vu madame Tiby avec un invalide, et Nana allant voir aussi par rigolade. (ibid. F°81)
Elle est obligée d’aller avec Satin, qu’on a aussi mise à la porte de son logement de la rue de La Rochefoucauld parce qu’elle ne payait pas.
Zoé y est aussi. (ibid. F°82)
Nana peut rencontrer Cartier qui est aussi très bas. (ibid. F°84)
Nana peut loger à côté de Nana (sic), sur le même palier. Madame Robert aussi. (ibid. F°86)
Aussi veut-il tirer parti de l’aventure (ibid. F°92)
Enfin, Philippe aussi a reparu, très bien traité par Nana. (ibid. F°103)
Steiner quittant Simonne et venant, Foucarmont aussi, Bordenave aussi avec chapeau rouge (ibid. F°120)
On voit aussi Caroline Hequet et sa mère
Le docteur Boutarel et le prince peuvent paraître – Bordenave aussi. (ibid. F°126)
Zoé lui parlant. Satin aussi. (ibid. F°131)
Jouissance aussi abominable (ibid. F°144)
Montrer Muffat écrasé, goûtant d’autres jouissances, aussi abominables, avec la religion. (ibid. F°149)
Labordette arrive avec Steiner, Daguenet lui aussi (ibid. F°156).

Et ce ménage aussi tournant mal. (NAF Ms. 10313, Nana. F°213- Ebauche)
Je veux aussi mettre, face à face, les deux fins des filles.
Les deux figurantes aussi seront des amies de Nana. (ibid. F°220)
Je peux lui donner aussi un étranger, un Russe, qui ne fait que paraître.
Cartier est aussi trompé, comme Muffat, lorsque Nana disparaît avec Fontan. (ibid. F°233)
On lui trouvera plus tard un dénouement : affaires véreuses à la Bourse, il a lui aussi des hauts et des bas, il remonte sur sa bête, puis finit par se faire exécuter. (ibid. F°234)
Plus tard, lui aussi apportera à Nana. (ibid. F°235).

La Terre (1887)

Le rôle du paysan donc (…) En religion aussi, le voir. (MS NAF 10.328 La Terre f° 402/3 – Ebauche)
(…) Il y a eu aussi un règlement de compte, Louise a été considérée comme au service de Bonhomme, réduite à l’état de servante (ibid., f° 409/10)
(…). Dès lors, Bonhomme qui a épousé, forcé, attiré aussi par ses deux morceaux. (ibid., f° 420-21)
(…) J’aurai [sic] voulu commencer par le partage chez le notaire, un chapitre discutant les conditions, et dans lequel il y aurait aussi le partage du champ par le géomètre. (ibid., f° 422-23/23-24)
(…) Je puis faire aussi qu’elle retourne à Bonhomme, ou du moins qu’il la prenne et qu’elle en meurt. (ibid., f° 434/35)
(…). Cela irait aussi avec les méthode nouvelle [sic] qu’il mépriserait (ibid., f° 444/45)
(…)Montrer aussi de ce côté le malaise de la terre. (ibid., f° 461/53)
(…) Le fermier est le maire de la commune : dès lors, il pousse son affaire, s’entend avec un des cabaretiers qui lui aussi a intérêt. (ibid., f° 472 /64)
(…) A la fin, le cabaretier lâchera même le fermier ; et ce dernier écœuré, forcé aussi donnera sa démission (ibid., f° 473/65)
(…) s’il le contourne, on peut demander à le rectifier, à le mettre droit, ce qui entraîne aussi des indemnité [sic] (ibid., f° 474/66)
(…) Puis, le candidat (vaguement orléaniste lui aussi) (ibid., f° 476/68)
(…) Et je voudrais aussi la conclusion sociale, là. (ibid., f° 487/79)

Le Rêve (1888)

Il y aura aussi à nommer la jeune personne fiancée au jeune homme (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 233/17)

Sainte Catherine sera là aussi, elle qui représente la Sagesse (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 35)
Dans la nuit noire d’abord des pas (l’ouie) Voir l’odorat aussi (…) Puis elle voit (la vue) (…) le goût et le toucher pour plus tard (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Donner aussi les trois légendes des chatelaines (premier plan du chapitre IV f° 67)
Description complète de la chambre (…) Décrire aussi la façade sur le jardin (ibid., premier plan du chapitre IV f° 69)
Lettre aussi refusée (?) (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 91)
Le dehors aussi
qui revient, la cathédrale, le clos, etc. (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f°s 94-95)
Elle répond à chaque phrase, dit aussi ce qu’elle a senti (…) Les violettes, un mot aussi (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Reprendre les Hubert (nuit blanche, nuit d’amour aussi) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Le prince attendu (…) aussi l’attend-elle presque, à sa fenêtre (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 100)
Le public lui aussi ne doit apprendre que là qui est Félicien (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 113.)
Cela n’empêche pas qu’elle doit avoir aussi conscience de ce qui s’écroule (ibid., plan du chapitre IX f° 123
Sainte Agnès et les autres vierges (…) et Sainte Catherine aussi (ibid., plan du chapitre IX, f° 124)
c’est aussi le morceau où revient naturellement la légende (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 146)
Décider aussi ce que Félicien fait dans ce chapitre (ibid., premier plan du chapitre XI, f° 154)
Pourquoi ce malentendu, pourquoi ne vient-il
pas ? A trouver. Les Hubert aussi sont à trouver (ibid., premier plan du chapitre XI, f°s 154-155)
C’est là aussi qu’il doit expliquer pourquoi elle l’a vu avec Claire (…) pourquoi il a laissé les choses aller jusque là (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 159
Je voudrais que l’attitude de Monseigneur resta [sic] rigide (…) Mais je voudrais aussi laisser entendre à quel point il est bouleversé (ibid., deuxième plan du chapitre XIII, f° 172)
La maladie, l’approche de la mort, l’extrême-onction aussi peut-être (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
Donner
aussi un doute à Hubertine, mais ni à Hubert ni à Félicien (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° s 182-183)
Les Hubert (…) doivent aussi avoir la sensation qu’un rêve vient de finir (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 187)
Les Hubert (…) doivent aussi avoir la sensation qu’un rêve vient de finir (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 193)

Lourdes (1894)

Or, elle [la charité] devient impuissante, l’expérience en a été faite pendant des siècles (…). Aussi veut-on
aujourd’hui s’adresser à la [ch biffé] justice. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s12-13)
Et un croyant lui aussi. Mais toujours, dessous, la souffrance humaine. (ibid. F°22)
Pour la symétrie je ferai aussi « Paris » composé de cinq [chapitres biffé] parties de cinq chapitres chacune. (ibid. F°24)
Tenir compte aussi du désespoir, quand on ne croira plus revoir les personnes aimées, être un jour rendu à elles.– (ibid. F°27)
Alors (…) la simonie des marchands de sainteté jalousant les Pères qui vendent eux aussi (…). (ibid. F°35)
Cela n’entrave pas le mouvement de la science, mais expliquer comment cela se produit. Le moment politique aussi, Léon XIII, le socialisme religieux, etc. – (ibid. F°41)
Donc, pour me résumer, l’œuvre de la grotte enrichissant Lourdes et la pervertissant, le cri de la souffrance humaine et l’immense besoin de l’illusion et de l’au-delà, et toute la légende, toute l’histoire vraie aussi de Bernadette par derrière cela. (ibid. F°43)
J’arrive à Bernadette. Elle aussi est de la souffrance, c’est la grande idée de mon livre. La victime dans tout cela, la sacrifiée, l’escamotée, la femme malade (…) ;– [la biffé] l’oubliée aujourd’hui, la redoutée aussi. (…) Mais (…)
comment raconter tout Bernadette (et aussi le Lourdes ancien, Peyramale et les Pères), si mon roman se passe de nos jours ? (ibid. F°s57-58)
Il faut aussi que j’aie les procès verbaux du commissaire Jacomet, enfin tous les dossiers administratifs de l’époque. (ibid. F°64)
Mettre aussi les hospitalières, une ou deux sœurs de l’Assomption, enfin tous les personnages possibles. (ibid. F°69)
Je pourrai plus tard reprendre mon [person biffé] prêtre pour « Rome » et pour « Paris », dont il serait aussi le personnage central. (ibid. F°79)
Dans la 1ère partie, je l’ai [Pierre] tout le temps et très naturellement. – Dans la seconde, je l’aurai aussi par un [artificif biffé] artifice, car c’est lui qui traînera la malade (…)\\. (ibid. F°s80-81)
Il [Pierre] peut garder aussi l’espoir d’être foudroyé par la grâce. (ibid. F°82)
Une femme et une fille adorée [Chassaigne]. La femme souffrante emmenée à Cauterets et mourant ; la fille aussi mourant à Lourdes. (ibid. F°90)
Puis, pourquoi il [Pierre] accepte,
par tendresse pour la malade, et aussi avec la volonté de continuer ses études sur les lieux. (ibid. F°s97-98)
C’est la fille qui
fait un peu le mariage ; la mère y [ed biffé] aide aussi, mais tout en soignant admirablement [la biffé] sa salle. (ibid. F°s100-101)
J’ai envie aussi de mettre, parmi les dames de la salle, une auxiliaire. Trente-cinq ans, brûlée de passion. (ibid. F°103)
J’ai aussi mon agrégé de l’Université, ou quelque chose de semblable, pour mettre là un intellectuel. (ibid. F°106)
Clémentine Trouvé, l’enfant guérie, il y a [trois biffé] deux ans, et qu’on ramène chaque année, comme un exemple et une réclame. (…) A la grotte aussi. (ibid. F°107)
Donc elle [Mme Chaise] aussi malade d’une maladie de cœur, et elle vient demander sa guérison. (ibid. F°109)
Je songe que mes bourgeois, à l’enfant scrofuleux, viendraient aussi pour que le père, dans l’administration, où il est sous-chef, devienne chef. (ibid. F°112)
Dans cette famille-là faire aussi que chacun demande une grâce pour lui à la Vierge, une foule de grâces ainsi. (ibid. F°113)
L’autre sœur, plus âgée, très brave femme aussi mais tout à fait au second plan. (ibid. F°115)
Un homme qui affecte de pratiquer, mais qui vit sourdement contre la Grotte, parce qu’il a lui aussi un magasin d’objets de [pite biffé] piété dans une maison voisine. (ibid. F°119)
Enfin, un coiffeur en face de l’hôtel, qui couche et qui donne à manger. (…) Aussi battant monnaie le plus qu’il peut avec les pèlerins. (…)
Il pourrait aussi accompagner mon prêtre à la chambre de Bernadette et à l’église de Peyramale. (ibid. F°s120-120 bis)
Puis, poser aussi Pierre et M. de Guersaint [en interligne : costumes, bagages]. (ibid. F°123)
Je crois qu’il faut dire tout de suite, au début que c’est le train blanc, celui des grands malades. Combien ils sont, et combien il y a aussi de pèlerins. Puis, poser sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière. Un mot de la sœur à Marie, ce qui la fait se lever. Mme de Jonquière aussi. (ibid. F°123)
Marie
qui a été hospitalisée (pauvreté, mais aussi d’autres raisons), en face de cette enfant qui aurait mérité de l’être plutôt qu’elle. (ibid. F°s125-126)
On arrive à Blois (8.40). Et je reprends sœur Hyacinthe, qui fait dire le 2e chapitre, avec un cantique. Je reprends aussi madame Jon-\\quière (…). (ibid.F°s127-128)
Les cahots du wagon, comment il est placé, presque en queue. La poussière qui entre, le soleil aussi. (ibid. F°129)
Derrière Marie, allongés sur la banquette, contre la cloison de bois, je mets Frère Isidore, couché lui aussi ; et sa sœur Marthe. (ibid. F°134)
Détails aussi sur la cantine, sur les compartiments que les sœurs se réservent pour faire du café. (ibid. F°142)
Alors, la rêverie de Pierre. Il remonte aussi loin qu’il peut remonter dans ses souvenirs. (ibid. F°146)
Première enfance de Pierre dans la petite maison de Neuilly, poser le vieux chimiste son père, sa dévote de mère et son frère à part : aussi loin que ses souvenirs remontent. (ibid. F°156)
J’ai aussi Marie (qui n’a pu boire tout son bouillon, Pierre reportera le bol) et son père fumant. (ibid. F°169)
J’ai aussi tous les malades qui sont dans le train, donner le nombre, la sensation de ces malades qu’on déballe pour un instant. (ibid. F°175)
Quand on renfourne toute cette souffrance dans le train, un cri de misère (…) ; et les cantiques, mais les sanglots aussi. (ibid. F°178)
Il [Pierre] peut aussi faire connaissance avec les Vigneron, qu’il retrouvera à l’hôtel et à l’histoire desquels il sera mêlé. (ibid. F°179)
Puis, peu à peu, avec les questions, sa maladie, le médecin qui l’a [Sophie Couteau] soignée, le curée de Vivonne aussi. – (ibid. F°184)
Et non seulement le cri des plaies physiques, mais aussi le cri des plaies morales. (…) On vient pour les guérisons physiques, mais aussi pour les guérisons morales. (ibid. F°189)
S’il [Pierre] a commencé par le malaise et la révolte, il ne sait plus maintenant ; et il voudrait croire, lui aussi, pour avoir cet espoir, ce soulagement, qu’il voit dans les yeux de Marie. – (ibid. F°191)
Il faut aussi que Sophie montre son pied, la cicatrice ; d’abord aux personnes qui sont dans le compartiment de Marie, ensuite, aux autres, en se mettant debout. (ibid. F°193)
Et non seulement le cri des plaies physiques, mais aussi le cri des plaies morales. (ibid. F°196)
Et il [Pierre] voudrait croire, lui aussi, pour
avoir [cette biffé] cet espoir [qui biffé], ce soulagement, qu’il voit dans les yeux de Marie. (ibid. F°s196-197)
Avec les miracles, dans le coup d’espoir des guérisons, il faut mettre aussi l’espoir des guérisons morales. (ibid. F°201)
Dire aussi qu’il [Pierre] l’aime [Bernadette], parce qu’il la croit une naïve, une véridique et une malheureuse. (ibid. F°203)
Et j’irai aussi jusqu’au retour à Lourdes, quelques jours avant les apparitions. (ibid. F°205)
On chante, à Adé, (3.30) dix minutes avant l’arrivée « l’Ave maris stella » et je puis aussi faire chanter l’obsession, l’Ave, Ave, Ave Maria. (ibid. F°211)
Je voudrais aussi finir par Bernadette puisque tout le chapitre lui appartient. (ibid. F°211)
L’église (196). Rendre l’effet sur Bernadette. Celle de Bartrès aussi. – (ibid. F°219)
Ils [le baron Suire, Berthaud et Gérard de Peyrelongue] me donnent aussi toute l’Hospitalité. (ibid. F°225)
Détails aussi sur l’hospitalité, car le baron Suire est là, avec Berthaud, et tous deux causent du service. – Enfin, il y a aussi, sur le quai, madame Désagneaux, qui s’est levée à une heure indue pour recevoir ces dames. (…) Je montre aussi le docteur Bonamy.– (ibid. F°233)
Et tâcher de garder Pierre et Marie au centre, avec M. de Guersaint, dont je me débarrasserai, si je puis, en lui faisant lier connaissance avec l’abbé Des Hermoises, qui pourrait être là aussi, et avec lequel il parlerait tout de suite de Gavarnie. (ibid. F°236)
Les cadeaux que certains trains apportent. Le ciboire des Portugais. Non, c’est une lampe en argent – Des bouquets aussi. – (ibid. F°241)
Enfin, montrer aussi Ferrand, qui reste à l’hôpital avec sa boîte de secours – (…) La petite Sophie aussi sera là. – (ibid. F°245)
Elise Rouquet, qui marche, a un lit, mais ne se couche pas. Sophie, elle aussi, circule. (ibid. F°246)
Donc, la salle Sainte-Claire (…). Déjà Mme Volmar a disparu. L’aumônier est là aussi, l’abbé Judaine. (ibid. F°249)
La Grivotte sur un matelas par terre, ajouté. Elise Rouquet, le lupus, aussi. (ibid. F°251)
Bien [dire biffé] songer aussi qu’Elise Rouquet doit éprouver un soulagement. (ibid. F°262)
D’ailleurs, ce matin du premier
jour, elle n’est point aussi considérable qu’elle le sera les autres jours, l’après-midi. (ibid. F°s267-268)
A la piscine, je retrouve Berthaud, l’hospitalier, chef des Piscines. Et je trouve aussi le marquis de Salmon-Roquebert, si dévoué. (ibid. F°269)
Raboin posé, le père Dargelès aussi, les pères de l’Immaculée Conception derrière lui. (ibid. F°279)
Et je puis faire que l’abbé Judaine s’arrête aussi avec eux [Pierre, Chassaigne et le Commandeur]. (ibid. F°293)
Poser tout de suite [en interligne : parler aussi de la communion qui aura lieu à minuit] que Pierre pourra proposer une histoire (…). – (ibid. F°296)
Ne pas oublier de poser aussi l’abbé Peyramale, qui se développera à la fin de la troisième journée. (ibid. F°301)
Mme Désagneaux se prodiguant, elle aussi (…) – (ibid. F°304)
J’ai aussi les sœurs de l’Assomption que je fais paraître. (ibid. F°304)
La salle et ce qui s’y passe : la communion, la révolte de Marie, [l’abn biffé] la joie de la Grivotte et l’abnégation de Mme Vêtu, aussi bien que les figures des hospitalières, ne sont là que comme cadre. (ibid. F°307)
Il faut aussi que Pierre connaisse la situation de Mme Volmar dans son ménage, pour comprendre, au chapitre suivant. (ibid. F°308)
Poser aussi, du côté de Pierre, les Vigneron : deux chambres, une pour Mme Chaise, l’autre pour le père et la mère Vigneron et le petit Gustave. (…)
Les Vigneron posés eux aussi par la même occasion, montrés peut-être. (ibid. F°s311-312)
Et les Vigneron sont aussi entassés là dans deux chambres (…). (ibid. F°322)
Tandis que le monsieur de Mme Volmar est à côté de M. de Guersaint. Une simple chambre aussi, avec un étroit cabinet de toilette. (ibid. F°322)
Et Pierre, un peu au courant de la situation de Mme Volmar, comprenant lui aussi. (ibid. F°324)
C’est gentil, jeune, plein d’appétit. Grosse joie aussi. – Mais le baron Suire est là aussi, et Pierre (…) songe à lui demander directement la permission pour Marie, qui désire [de biffé] passer à la Grotte. (ibid. F°331)
Un grouillement énorme tout le monde à table – Dans les maisons aussi, dans les restaurants. (…) Et aussi les gamins qui crient le « Journal de la Grotte », [en interligne : âpreté, la simonie, la foire] les filles et les femmes qui vendent des cierges et des bouquets pour la Sainte Vierge. (ibid. F°332)
Les couvents aussi doivent venir dans ce chapitre. (ibid. F°339)
La mangeaille domine, je veux montrer, d’un bout à l’autre, tout ce peuple mangeant. Et s’amusant aussi,
et faisant du commerce, de la simonie. (ibid. F°s339-340)
Ne pas oublier que M. de Guersaint est venu pour la voiture. Cazaban aurait donc aussi un intérêt dans un louage de voitures. (ibid. F°346)
Dire aussi que Marie communiera le matin à la Grotte. (ibid. F°351)
Et il faut que Pierre, lui aussi, soit
amené à faire un effort suprême, pour croire. (ibid. F°s356-357)
Etat d’âme de Pierre, rendu à l’espoir lui aussi, résolu cette nuit-là à faire un grand effort pour croire. (ibid. F°362)
Aussi les [ch biffé] autels [en interligne : M.V. 88] des chapelles prises d’assaut par les prêtres qui veulent dire leur messe (…). (ibid. F°370)
Quelqu’un peut être là, le baron Suire, et lui donner les détails, la Grotte par tous les temps, l’hiver, etc. Et l’adoration telle qu’elle s’y pratique par tous les temps aussi. (ibid. F°375)
Ce
serait là le rêve dont j’ai parlé, et qu’elle [Marie] ne saurait avoir que devant la Grotte, puisqu’elle ne couche pas à l’hôpital. Aussi le lendemain est-elle certaine de sa guérison. (ibid. F°s377-378)
Poser aussi qu’il [Chassaigne] est au courant de la lutte de croyance qui se passe chez Pierre. (ibid. F°383)
Aussi fureur de la ville qui se voit dépossédée, colère du conseil municipal (…). – (ibid. F°389)
Mme Vêtu est aussi là, si malade, agonisante, qu’on ne l’a pas menée à la Grotte. (…) Sœur Hyacinthe est aussi là, avec Mme Désagneaux, près de madame Vêtu, pendant que Mme de Jonquière cause avec Marie. (ibid. F°400)
Il faut qu’elle [Marie] dise aussi qu’elle a donné rendez-[vous] à Pierre, à 3 h et demie. (ibid. F°401)
M. Sabathier est resté là aussi par besoin de repos. Sa femme (voir les personnages[)]. (ibid. F°403)
Mêler aussi la petite Sophie qui s’approche en jouant et qui guette la mort.– (ibid. F°405)
Je voudrais que sœur Hyacinthe aussi s’en aille, pour une drogue. (ibid. F°406)
Et je fais venir aussi sœur Hyacinthe. (ibid. F°411)
Je voudrais aussi, quand madame Vêtu va mourir, que Elise Rouquet, le lupus, revienne de la grotte, en disant qu’elle est guérie. (ibid. F°412)
Régler aussi le défilé dans
la Grotte. (ibid. F°s415-416)
Poser aussi frère Isidore, qui est à côté. (ibid. F°418)
Et l’abbé Judaine est là aussi, demande le miracle à mains jointes. Il peut causer aussi avec M. Vigneron. (ibid. F°419)
Extase du frère, les yeux fixés lui aussi sur la statue, et comment il s’éteindra en la regardant (Ferrand l’a dit). (ibid. F°424)
Le père Dargelès aussi aperçu. (ibid. F°428)
Il faut aussi que je me serve de Pierre. (ibid. F°443)
Et ces poussées ballotant le dais comme un voile sur une mer démontée. Aussi les brancardiers font-ils la chaîne plus étroitement, elle se creuse, défile, tient bon pourtant. (ibid. F°451)
Je puis avoir comme personnage marchant la Grivotte toujours exaltée, Sophie Couteau gaminant, Elise Rouquet aussi, avec elle. – (ibid. F°453)
Et Marie revue aussi, près de son chariot, avec Mme de Jonquière et madame Désagneaux. (ibid. F°460)
Et Marie a l’inspiration de saisir son chariot et de suivre le Saint-Sacrement. Pierre aussi la suit (…). – (ibid. F°461)
Peyramale, lui aussi, un grand oublié. (ibid. F°477)
Ne pas oublier aussi que c’est une opposition intense que je cherche à obtenir. (ibid. F°479)
J’ai aussi à finir madame Volmar. (ibid. F°487)
Il [M. de Guersaint] le [Cazaban] paie aussi, sur ses vingt francs (…). (ibid. F°493)
Et alors bien mon-\\trer que, si la [haute biffé] vieille ville crie, par colère de n’avoir que les miettes, elle est liée, elle [ne biffé] vit quand même elle aussi de la Grotte mal. (ibid. F°s494-495)
Il [Pierre] se rappelle aussi le mot du cocher de tout à l’heure. (ibid. F°496)
Aussi, à Lourdes, dans ce milieu où l’on veut ressusciter la foi, les objets religieux jurent, sont très laids ou trop jolis, pas en rapport avec le mouvement qu’on veut déterminer. (ibid. F°499)
Et la laideur aussi de la Grotte, de la Grande Vierge couronnée, illuminée avec des lampions, de l’église inachevée du Rosaire, de la Basilique décorée si enfantinement, des cérémonies elles-mêmes, sans caractère. (ibid. F°499)
Ils [M. de Guersaint et Des Hermoises] peuvent aussi causer de leur excursion – (ibid. F°500)
Elle ressemble à Bernadette, c’est frappant ! peut dire M. de Guersaint, et Des Hermoises aussi (très bon). (ibid. F°502)
Aussi, à Lourdes, dans ce milieu où l’on veut ressusciter la foi, les objets religieux jurent, sont très laids, pas en rapport avec le mouvement qu’on veut déterminer. (ibid. F°503)
Je puis aussi utiliser le diorama et le panorama, pour faire une comparaison entre l’ancien Lourdes et le nouveau Lourdes. D’ailleurs, c’est là aussi un amusement de foire. (ibid. F°507)
Bien établir tous ces détails de l’Hospitalité – Les voir, aussi, par le grand jour, avec les coteaux en face. (ibid. F°511)
Et celle-ci [Mme Désagneaux] se plaignant de maux de tête aussi. (ibid. F°513)
Donc devant ce compartiment aussi. (ibid. F°514)
Et le docteur
Chassaigne arrivant, lui aussi, en même temps pour faire ses adieux à Pierre. (ibid. F°s517-518)
La Grivotte, Elise Rouquet, Sophie Couteau montant aussi (…). (ibid. F°521)
Le docteur Chassaigne (…) lui aussi laisse percer ce désir de mort, pour aller retrouver [l’id biffé] les deux chères tendresses qu’il a au cimetière. (ibid. F°525)
Montrer aussi l’abbé Des Hermoises qui reste sans doute.– J’ai aussi Ferrand et [les biffé] sœur Hyacinthe,
ainsi que sœur Saint-François, dans le fourgon de la cantine. (ibid. F°s527-528)
J’ai aussi les Vigneron (…) \\. – (ibid. F°s528-529)
Elise Rouquet aussi, qui a acheté un miroir et qui ne cesse de s’y regarder (…). (ibid. F°536)
Elle [Marie] aussi avec [ref biffé] rêve en regardant quelque chose – (ibid. F°537)
La souffrance, de nouveau avec la Grivotte qui râle, qu’on ramène mourante ; avec aussi M. Sabathier et Mme Vincent. (ibid. F°540)
Elle [Marie] le [Pierre] savait sans foi, elle venait aussi prier pour lui, demander le miracle de sa conversion. (ibid. F°543)
Elle-même [Marie] souffre aussi. (ibid. F°547)
Elle [Marie] soulagera sa sœur Blanche, elle fera quelque chose elle aussi pour que son grand enfant de père soit heureux. (ibid. F°550)
Les dames hospitalières aussi, Mme de Jonquière et sa fille Raymonde, Mme Volmar et Mme Désagneaux – (ibid. F°559)
Mon livre est sur la souffrance. Mais Bernadette aussi est de la souffrance. (ibid. F°564)
Ne pas oublier qu’elle [Bernadette] est restée une enfantine toute sa vie. – Aussi elle court aux enfants, qui courent à elle. (ibid. F°572)
Aussi sa réponse [Bernadette]. [«] Voulez-vous nous suivre ? Non, mais comme je le voudrais si j’étais petit oiseau » ! (ibid. F°574)
Mais aussi le wagon revient, effet produit par la lecture, nommer seulement et le moins possible les personnages. (ibid. F°580)
Sur la prière aussi, ce flot de prières incessantes qui monte de Lourdes, [que j biffé] qu’il [Pierre] a entendu, dans lequel il a été baigné. (ibid. F°583)
C’est aussi le besoin inextinguible du bonheur. (ibid. F°586)
Il [Pierre] se rappellerait à la fin le nouveau Lourdes où elle [Bernadette] n’aurait pu pousser. D’autres souvenirs, aussi, lui revenant. (ibid. F°594)
Puis, dans Lourdes. Chez les Pères de la Grotte. (…) Les couvents aussi, sœurs bleues. (ibid. F°603)

Et aussi, dans cette tendresse, un grand besoin de croire, la soif de la foi. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 4 – Notes sur Pierre Froment)
Lui aussi va se retrancher de l’humanité. (ibid. Fo 8 – Notes sur Pierre Froment)
Sa femme [Mme Chassaigne] souffrante emmenée à Cauterets et mourant ; et sa fille aussi mourant à Lourdes. (ibid. Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)
Une bonne bourgeoise, avec une grosse figure bonne, très douce, très résignée, très souriante aussi, autour de son mari comme une servante dévouée. (ibid. Fo 36 – Notes sur Mme Sabathier)
Je fixerai sa maladie ou peut-être [fa biffé] vaudrait-il mieux la laisser mystérieuse aussi. (ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Une bonne bourgeoise aussi, dont le mari a été dans le commerce (les soies) et qui lui a laissé cinq cent mille francs. (ibid. Fo 59 – Notes sur Mme Chaise)
Lui qui n’est pas croyant, qui ne pratique pas, a accepté d’aller à Lourdes, par curiosité et par dévouement aussi, en remplacement d’un ami, brusquement empêché. (ibid. Fo 90 – Notes sur Ferrand)
Il a un oncle au conseil municipal, ce qui lui permet d’en connaître les secrets. Aussi peut-il raconter toutes les histoires de la Grotte (…). (ibid. Fo 106 – Notes sur Cazaban)
Les dossiers de malades préparés par les P.P. de l’Assomption. […]
Mais [il biffé] les pères entendent aussi les objections, les réserves. (ibid. Fo 164 – Notes sur les Miracles)
L’élan bruyant des prières, mais aussi l’élancement muet des âmes. (ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
La paroi et les cloisons du compartiment sont peints en jaune ; les parois lambrissées aussi. (…)
De même, sous les banquettes, où il y a un espace libre, on glisse beaucoup de choses. Il y a aussi, là-dessous, des bassins, des urinoirs (porcelaine, caoutchouc). (…) J’ai vu aussi des brocs en zinc, pour emporter [lettre biffée] de l’eau – (ibid. Fos 181-182 – Notes sur le Départ de Paris)
Il y a aussi des prêtres qui retiennent un compartiment. (ibid. Fo 184 – Notes sur le Départ de Paris)
Les pères aussi ont des compartiments réservés. (…) Au moment du départ, on enlève les guidons blancs qu’on met dans le fourgon, et on y met aussi tout le matériel des hospitaliers, les brancards, les courroies, etc. (ibid. Fo 185 – Notes sur le Départ de Paris)
C’est ainsi que, dans le train blanc,
il y avait aussi des wagons réservés pour Amiens et Evreux, je crois. (ibid. Fos 188-189 – Notes sur le Départ de Paris)
Enfin, (…) les sœurs, donnant des soins et de l’espérance, mais aussi faisant respecter la discipline. (ibid. Fo 190 – Notes sur le Départ de Paris)
La superstition s’entêtant au seuil du vingtième siècle. (…) Le socialisme qui promet le bonheur lui aussi. (ibid. Fo 215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Là aussi, d’ailleurs, on distingue des éboulis de terre, des roches tombées. (ibid. Fo 218 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Les vraies proportions du cirque échappent, l’impression n’est pas aussi énorme qu’elle devrait l’être. (ibid. Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
B. aussi ce jour-là appelée dans la Chambre du Tribunal. (ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Et quand tout est balayé et qu’on est obligé de céder un terrain. (…) Le pouvoir civil aussi cède. (ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] toussait. Un mouchoir noué sur la tête. La mère lui fait prendre aussi son capulet (blanc). (ibid. Fo 232– Notes sur H. Lasserre)
Soubirous qui défend à sa fille d’aller à la grotte. Les religieuses le lui défendent aussi. (ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
Ce jour-là aussi [26 février 1858], Bernadette appelée dans la Chambre du Tribunal (138). (ibid. Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
Et quand tout est balayé et qu’on est obligé de céder au torrent. (…)
Le pouvoir civil aussi cède. (ibid. Fos 248 bis-249 – Notes sur H. Lasserre)
Mgr de Salines, archevêque d’Aude, et un autre personnage vont voir Napoléon III à Biarritz. Il [se biffé] recevait aussi des pétitions (345). (ibid. Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)
On change Massy, on l’envoie à Grenoble. Jacomet déplacé aussi. (ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre)
L’abbé Peyramale, en proie à une maladie mortelle, râlait sur son lit. Et Bernadette était malade aussi, à l’hôpital. (ibid. Fo 254 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] s’est cloîtrée pour obéir à une vocation (?) et aussi pour fuir les foules. (ibid. Fo 259 – Notes sur H. Lasserre)
Elle n’avait pas la suppression des règles. Mais des douleurs internes. Aussi égarait-elle les médecins. (ibid. Fo 272 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Le jour de la 1ère procession à la Grotte. (…) Peyramale était dans son lit très malade et Bernadette aussi. (ibid. Fo 287 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

Le travail, qui organise et réglemente la vie. Il fait de la vie lui aussi (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 348/1)
Je veux aussi des ouvriers représentant tout le travail (ibid., f° 352/5)
Il peut aussi se trouver sauvé par le travail (ibid., f° 365/18)\\Mais, aussi, maladie morale a toujours souffert de son oisiveté (ibid., f° 365/18)
La lutte des classes doit m’être donnée aussi (ibid., f° 370/23)
La lutte de famille finie aussi par le travail (ibid., f° 370/23-371/24)
Livre deuxième la lutte, le heurt du patron et des ouvriers, des classes entre elles, luttes intestines aussi dans les familles (ibid., f° 374/27)
Pour cela, il me faudra des enfants, ceux de Luc, d’autres aussi (ibid., f° 376/29)
La question de la religion aussi ; à voir (ibid., f° 376/29)\\Aussi l’usine croit-elle qu’elle est ruinée, lorsque l’alcool sera détrôné (ibid., f° 386/39) \\Il y a aussi un ouvrier que je détruis, et qu’il faudrait bien représenter par quelques types (ibid., f° 387/40)
Voir pour la consommation : un épicier [légumier aussi] vendant du vin (ibid., f° 388/41)\\J’ai réfléchi aussi que les passions politiques doivent exister dans mon œuvre (ibid., f° 389/42)
Le contre-maître a un rôle dans cette décision, et la femme de l’ouvrier aussi, elle doit décider tout (F° 393/46)
Et l’usine agissant, le capitaliste aussi (F° 394/47)\\Des bruyères aussi, des terrains de chasse, pour défricher plus tard (ibid., f° 400/53)
Donc, dans mon premier livre poser aussi la campagne, les agriculteurs agonisant (ibid., f° 401/54)
Les fournisseurs (…) Voir aussi leurs enfants (ibid., F°415)
La cause de la grève doit être absolument une augmentation de salaire (la forme du salaire doit être aussi règlée, est-ce le marchandage) (ibid., F°427)
la grève aussi posée sans détail (ibid., F°431)
Je vois le réveil du vieux Qurignon devant sa famille assemblée, avant peut-être le suicide de Delaveau. Et Luc serait là aussi (ibid., F°437)
Dans ce chapitre je finis aussi les autorités, je conclus toutes les alliances étonnantes (ibid., F°438)

AUSSITÔT

Le Rêve (1888)

C’est le fils de monseigneur. Il faudrait que tout d’un coup Angélique le dise elle-même à Hubertine (…) Aussitôt dans la foule je le ferai répéter par une conversation (NAF MS 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 109)

Lourdes (1894)

Mme de la Rivière, tubercules dans les poumons, depuis plusieurs années. (…) On lui donne une petite cuillerée d’eau, sur les lèvres. Aussitôt, elle s’assoit (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 152 – Notes sur les Miracles)

AUTANT…QUE/D’AUTANT…QUE/D’AUTANT PLUS…QUE

Lourdes (1894)

Cela sera d’autant meilleur, que cette partie inventée ne détonnera pas avec la partie historique : Lourdes autrefois et Lourdes aujourd’hui (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°56)
Dix femmes par exemple serrées les unes contre les autres, plus [vieilles biffé] pauvres et laides les unes que les autres, autant les jeunes que les jeunes [sic]. (ibid. F°142)
Amertume de Majesté, d’autant plus qu’il peut y avoir d’autres erreurs, d’autres lettres pour des dames qui sont aux Sœurs bleues.– (ibid. F°324)
M. de Guersaint croit savoir que sur la place du Marcadal, il y a un coiffeur dont le frère est loueur (…). Il va donc aller chez ce coiffeur, d’autant plus qu’il veut se faire raser. (ibid. F°340)
Dire que la femme est d’autant plus grande que lorsqu’elle est vierge, et imaginer pour une qu’elle reste vierge en devenant mère, n’est-ce point un blasphème contre la nature. (ibid. F°575)

AUTOUR

Le Ventre de Paris (1873)

Autour de l’action, les Halles grondent avec leur appétit éternel ; elles jettent à Paris leur nourriture à la pelle (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 59)

Lourdes (1894)

D’ailleurs, je crois que tout mon sujet [de biffé], mon prêtre voulant réconcilier l’église et l’esprit moderne, peut très bien s’organiser autour de cette passion. (…)
Une intrigue autour du pape sans doute pour l’amener à une décision ; et des vues lointaines. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s7-8)
Il faut que l’action ne puisse pas se passer ailleurs qu’à Paris, qu’on sente Paris
autour, la cuve, l’alambic où s’élaborent les idées, le monde futur. (ibid. F°s17-18)
Je reprends donc chacun de mes malades du wagon et je le fais agir selon la logique et selon les besoins du récit. Tout cela autour de l’homme (…). (ibid. F°175)
Nouveau Lourdes, désordres moraux et intellectuels (Lourdes 241). Toute la page et autour. (ibid. F°567)

AUTRE (CHOSE) /AUTREMENT

Le Ventre de Paris (1873)

Non, il faut comprendre la chose autrement. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 87)
La Normande peut avoir rêvé aussi une vengeance, en livrant Florent, et avoir écrit une lettre anonyme, ou fait autre chose. (ibid., f° 93)
Je choisirai un autre personnage pour la marchande aux petits tas. (ibid., Ebauche, f° 105)

La Conquête de Plassans (1874)

Il s’est fait commissionnaire en gros d’une denrée du pays, amandes ou autre chose (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 19)
Le maire, un type, le portrait de R. puis deux ou trois autres que j’arrêterai (ibid.F°23)
Les scènes se renouvellent, en trouver d’autres aussi typiques et dramatiser le sujet le plus possible en trouvant des péripéties (ibid.F° 24)
. Il faut la mêler intimement au récit, aux autres personnages (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F° 25)\\Quelque chose de raide. D’abord les remords de
Marthe . Ces remords sont déterminés par une violence quelconque de Bonnard, un abandon ou autre chose (ibid.F°s 25-26)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Cinéraires : blanc violet ou mauve, le blanc au milieu, ou l’autre couleur au milieu ; tout violet superbe. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Le Paradou, Le parterre, f° 50)

Nana (1880)

Autre

Sabine, l’autre face du vice, protégée par la légalité, bien plus destructive. (NAF Ms. 10313, Nana. F°31- Plan)
Voir, dans l’autre chapitre, la note sur Cartier Muffat et Daguenet, qui se trouvent nez à nez, lâchés tous les trois pour Fontan.
(Mettre ça à l’autre chapitre). (ibid. F°75)
(…) l’amant en titre, Cartier ; le soupirant, Muffat ; et l’amant de cœur Daguenet ; se trouvent nez à nez, et se consolent, lorsque Nana fait son plongeon avec Fontan, ça à la fin de l’autre chapitre. (ibid. F°85)
Toujours des amants de cœur au milieu de ce coup de folie. Autre humiliation encore. (ibid. F°142).

Tout le monde l’appelle Gaga, et elle n’a plus d’autre nom. (NAF Ms. 10313, Nana. F°177- Personnages).

L’important est de savoir, si j’enfermerai le roman dans le monde des filles. Ou si j’aurais un autre monde à côté. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
D’autre part, je pourrai encore avoir un autre coin, qui est à choisir. (ibid. F°209)
Mais il faudrait une autre intrigue pour corser ça davantage. (ibid. F°210-1)
Dans ce cas, il faudra que je prenne une autre fille pour le type de la fille qui redevient ordurière en vieillissant. (ibid. F°219)
En dehors du mariage Judic, il faudra que j’aie un autre type assez important, Cora Pearl. (ibid. F°220)
Je voudrais une autre soirée passée derrière la toile, un jour de représentation ordinaire (…). (ibid. F°221)
Et finir le chapitre en montrant Nana dans une féerie : un autre théâtre, ruissellement de l’apothéose. (ibid. F°224)
(…) il faudra que cet amour amène un choc dans un autre milieux (sic). (Iid. F°225)
La femme de Muffat deviendrait l’autre face du vice, le vice protégé par une situation légale, bien plus destructif (…). (ibid. F°227)
Quand il [Muffat] épouse sa femme, il la glace. Elle, tout autre nature. (ibid. F°229)
Réconciliation, puis l’infamie acceptée, l’argent demandé ; autre scène. (ibid. F°230-1)
Il n’y a que la figure de Mathilde changée (je vais lui donner un autre nom.). (ibid. F°232).

Autre monde, le souper sur le lit après avoir baiser. (NAF Ms. 10313, Nana. F°253/22- Notes)
Delphine de Lizy. (…) Sautant d’un sujet à un autre, continuellement. (ibid. F°278)
Porte d’une autre petite pièce cachée derrière le rideau. (ibid. F°279)
L’autre cheval Solferino donné comme devant gagné (sic). (ibid. F°300[1])
le favori de la cote 2/1 et met un autre cheval à 3/1 (ibid. F°307 verso)
A l’autre bout du couloir est l’escalier qui monte aux loges. (ibid. F°312)
Autre salle, plus grande, carrée, tout en glaces, trois lustres à trois becs (ibid. F°324 verso)
La fille économe Caroline Héquet 25 ans Autre fille
Une autre figurante 24 ans (ibid. F°340).

AUTRE CHOSE

Il [Fauchery] interrompt la conversation sur l’exposition, ou sur autre chose, l’empereur, l’impératrice. (NAF Ms. 10313, Nana. F°26- Plan)
Quand Muffat perd sa place, l’impératrice par un revirement, travaillée, peut s’intéresser à lui et lui procurer autre chose. (ibid. F°144)
Réapparition du vice d’en bas. Satin, madame Robert. Une rafle dans un hôtel ou autre chose. (ibid. F°159)
Il [Bordenave] a fait faillite aux Variétés, ou autre chose. (ibid. F°160).

Le m. de Chouard pourra vouloir l’[Zoé] embrasser : « Monsieur, vous vous trompez, madame est là » (autre chose). (NAF Ms. 10313, Nana. F°204- Personnages).

Jusqu’à un dénouement, la mort ou autre chose. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche)
au lieu d’un sénateur pour mon vieux, je chercherai sans doute autre chose. (ibid. F°210)
Il me faudrait donc trouver autre chose. (ibid. F°225)
Autre chose. Muffat peut en arriver à emprunter de l’argent à sa femme pour donner à Nana, argent que sa femme tient d’un amant. (ibid. F°228).

La Terre (1887)

On l’appelle d’un surnom tiré du service caporal ou autre (MS NAF 10329 La Terre f° 5 – Personnages, Jean Macquart)
Son père sans doute, du grand bourg voisin, était un petit bourgeois, vivant d’une petite fortune gagnée par son père dans la gabelle ou autre emploi des fermes, le mettant en rapport avec les paysans (ibid., F° 66 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
Un marchand de vin qui tient un bal (ou autre chose) (MS NAF 10329 La Terre F° 30-31 – Personnages, Ernest Delhomme)
Tron fait se tuer Hourdequin, en laissant la trappe de la cave ouverte, ou autre chose (ibid., F° 75 – Personnages, Jacqueline Cognet)
n’a pas servi, est berger ou autre chose (ibid., F° 77 – Personnages, Ferdinand Tron)
Il a connu un fils de Louis Philippe, ou un autre personnages (ibid., F° 83 – Personnages, Evariste Bécu) Sauf un qui a pu coucher avec, puis qui a disparu, soit à l’armée, soit autrement (MS NAF 10329 La Terre f° 43 – Personnages, Palmyre Pégout)

Le Rêve (1888)

De la psychologie donc, ou ce qu’on appelle
ainsi (!), c’est à dire une lutte d’âme, la lutte éternelle de la passion et du devoir, ou une autre lutte : amour maternel et passion, amour filial et autre sentiment (NAF MS 10323 Le Rêve, Ebauche, f° 218/2)
Elle le revoit le soir qui la regarde, ou qui chante, ou autre chose (ibid., f° 257/40)
Pour varier, je puis amener Félicien qui ment, qui se donne comme un dessinateur, ou autre chose (ibid., Ebauche, f° 258/41)
me servir là des broderies (…) il vient prendre livraison, ou autre chose (ibid., Ebauche, f ° 270/53)
Si je garde le garçon riche, (…)
cela fait qu’Angélique entre dans cette vie oisive de paresse. A voir, mais j’aimerais mieux autre chose (ibid., f° 301/84-302/85)
Je crains que tout cela ne rappelle trop l’abbé Mouret et je voudrais autre chose que la religion (ibid., f° 307/90)
Il faudra trouver autre chose pour cette broderie (ibid., f° 308/91).

Pour ne pas avoir de paquet, je tacherai de mettre entre chaque masse de La Légende dorée, du récit, même des conversations s’il est possible, d’autres choses enfin (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 35).\\Et je dis ce que c’est que ce travail. Hubert tendra un métier. Hubertine fera autre chose (ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
D’autres scènes prises à la légende autour (XIIe siècle) (…) énumérer les autres (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Il faudrait que je fisse réparer par Félicien le vitrail de Saint-Georges, ou un autre (ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Un dais serait une pièce trop forte, il faudra sans doute choisir autre chose (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 86)
C’est dans l’autre chapitre qu’Angélique et que le public va savoir qui est Félicien (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 103)
Sainte Agnès et les autres vierges (…) et Sainte Catherine aussi (ibid., plan du chapitre IX, f° 124)
Rappel des vierges de la Légende dorée (…) Ste. Agnès (…) Ste Cécile (…) et les autres (ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)
Je crois que tout cela va d’ailleurs à l’autre chapitre (ibid., f° 180)

Lourdes (1894)

Autre

Je vois volontiers le frère de mon prêtre se posant tout de suite en révolté, en violent. J’en ferai un anarchiste par exemple, un autre Souvarine (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Il y a d’autres raisons qui la font échouer [la tentative de Pierre] (…) – (ibid. F°13)
De Voguë et les autres. (ibid. F°60)
Dans la quatrième partie, je mettrai [l’éclat biffé] d’autres détails : la nuit passée au Rosaire, les messes enfin des détails (…) \\. (ibid. F°s70-71)
Deux filles : l’infirme (…) et une autre fille, institutrice, laide, l’aînée, qui se tue
pour faire vivre son père et sa sœur. (ibid. F°s75-76)
Je ne vois guère d’autre moyen que de ne pas finir le chapitre avec la procession (…). (ibid. F°81)
Comme je vais avoir ce prêtre, assez particulier, il faut que j’en ai un autre, dans la moyenne commune, croyant et bonhomme. (ibid. F°99)
Je crée un autre brancardier (…). (ibid. F°101)
(…) et quand il prend la jeune fille en question, c’est après un débat et un choix entre [deux biffé] elle et deux autres, que je ne ferai que nommer pour ne pas encombrer mes chapitres. Je poserai le président [qu biffé] de l’Hospitalité du Salut. Mais je ne sais pas si je mettrai d’autres brancardiers ; je les montrerai à l’œuvre. (ibid. F°102)
J’ajouterai comme personnage de fond, la jolie hydrocéphale (…) et une autre qui [est biffé] a la figure mangée par un lupus et qu’on prétend guérie (plaies apparentes). Enfin j’ai bien envie d’en mettre une autre qui a de la tuberculose aux
entrailles. (ibid. F°s107-108)
Pas d’autres enfants ; car si le petit mourait, la tante pourrait laisser aux autres. – (ibid. F°110)
Et j’ai envie de mettre un autre père de l’Assomption (…). (…) Je le montrerai au milieu de capucins et d’autres prêtres poussant au miracle, en toute bonne foi. (ibid. F°117)
Pour le médecin des constatations, je prendrai un Boissarie quelconque. Il n’aura d’ailleurs pas d’autre rôle qu’à la salle des constatations. (ibid. F°118)
Marie
qui a été hospitalisée (pauvreté, mais aussi d’autres raisons), en face de cette enfant qui aurait mérité de l’être plutôt qu’elle. (ibid. F°s125-126)
Mais on écarte Lourdes, pour d’autres raisons encore, l’absolu manque d’argent. (ibid. F°153)
Faut-il la [Sophie Couteau] faire monter à la fin du chapitre, ou bien la faire monter dès les premières lignes de l’autre. (ibid. F°178)
S’il y a un lien entre madame Volmar et lui [Pierre], soit par la confession, soit d’une autre manière, il faudra le dire là : il saurait qu’elle va rejoindre un amant. (ibid. F°179)
Je créerai une autre sœur, celle qui sera au bout du wagon
et qui va chercher frère Massias, sœur Claire-des-Anges. (ibid. F°s181-182)
La douleur morale de Mme Maze. La douleur maternelle de Mme Vincent. D’autres encore. (ibid. F°190)
Dire un mot des autres sœurs qui sont dans le wagon, et des autres dames hospitalières. (ibid. F°198)
Mais là déjà je suis dans l’autre chapitre et j’ai commencé [de biffé] la lecture de Pierre sur Bernadette. (ibid. F°199)
Dans la tradition, cette vierge est bien simpliste et ordinaire. Les roses d’or. Dans quel conte de chevalerie ou autre ? (ibid. F°221)
Gérard n’est pas décidé et parle d’une autre jeune fille qui vient d’arriver dans le deuxième train. (ibid. F°225)
Mais rien de décidé dans la tête de Gérard, il a en vue d’autres jeunes filles. (ibid. F°233)
Donc mêler Pierre aux autres incidents, serrer [de biffé] tout cela, et finir par le Commandeur qui arrive, au petit jour. (ibid. F°237)
Si l’on ne porte pas tout de suite les malades à la Grotte, ou à la Basilique où il y a une cérémonie, dont il faut tenir compte, dans l’autre chapitre, c’est qu’il est 3.40 du matin. (ibid. F°239)
Deux autres hôpitaux [en interligne : M.V. 76], l’Hôpital municipal (hommes et femmes) et l’Hôpital du Salut (rien que des hommes). – (ibid. F°243)
Les autres hôpitaux, Salut – Municipal – (éb. 76). (ibid. F°255)
Et dire qu’on trempe dans la même eau un autre malade, tout de suite, le petit Gustave peut-être. (ibid. F°263)
Et je rejette à l’autre chapitre toute la discussion médicale et scientifique. (ibid. F°276)
Dire tout de suite [que biffé] qu’on est en train d’installer un autre bureau, sous une arcade des rampes. – (ibid. F°279)
Mais surtout la composition de la réunion : de jeunes prêtres tenant des registres, d’autres apportant les dossiers. (ibid. F°280)
Tous les autres personnages sont revenus : Bonamy, Dargelès, Raboin, le journaliste de Paris, etc. (ibid. F°282)
Finir tous les autres, les jeunes prêtres secrétaires, le [mem biffé] chef de l’Hospitalité. Et Pierre, étourdi de chaleur sort. (ibid. F°287)
La psychologie de Marie à un autre chapitre, [lorsqu biffé] sans doute lorsqu’elle va passer une nuit devant la Grotte. (ibid. F°303)
Donc ne développer guère que cette [lettre biffé] lecture, et restreindre les autres épisodes. (ibid. F°307)
J’aurai une autre scène au 1er chapitre de la 5ème. Mme Volmar pleure, etc. – (ibid. F°319)
Amertume de Majesté, d’autant plus qu’il peut y avoir d’autres erreurs, d’autres lettres pour des dames qui sont aux Sœurs bleues.– (ibid. F°324)
M. Vigneron obtient nécessairement là sa première grâce, son espoir d’être nommé chef, car je veux garder tout l’effet de la mort de Mme Chaise pour l’autre scène. (ibid. F°327)
Pour-\\[tant] aux deux autres chapitres, dans la nuit, il fera un très gros effort pour croire – (ibid. F°s342-343)
Organiser cela avec l’abbé Des Hermoises
et deux autres prêtres que je ne nommerai même pas. (ibid. F°s346-347)
Enfin, la place du Rosaire pleine des pèlerins avec les cierges. La nappe de feu. Les chants toujours, un autre chant [d’ho biffé] d’hosanna, je crois. (ibid. F°357)
Pendant qu’elles causent, Pierre peut entrer dans l’abri, et le visiter, le poser, si c’est nécessaire. Il le retrouvera à l’autre chapitre. (ibid. F°361)
En outre, je mêle d’autres épisodes s’il est nécessaire. (ibid. F°362)
Ou bien une autre voiture emmène Marie, et Pierre reste là. Je voudrais le garder jusqu’au soleil levant, pour l’avoir là, et pour que le médecin converti ou un autre me donne le cinquième chapitre, en continuant l’histoire de Bernadette. (ibid. F°379)
Alors, faire mourir l’enfant pendant la messe, sous la pluie, ou ailleurs, et dans un autre moment. (ibid. F°379)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (ibid. F°398)
Je garde M. Sabathier et le frère Isidore pour l’autre chapitre. (ibid. F°413)
Mme Chaise un peu suffoquée s’assoiera, et c’est pour elle qu’il appelle Raymonde (Gérard). Cela préparerait très bien la crise pour l’autre journée. – (ibid. F°419)
Je puis surtout les [les malades secondaires] réserver, ne
les avoir que nommés dans les autres parties, et les étaler là devant la Grotte. (ibid. F°s426-427)
Au bureau. (…) [Et biffé] Raboin, le père Dargelès, les autres personnages qui peuvent être là. (ibid. F°439)
Pierre a senti la force, la foi qui guérit. (…) La foi ruinée en lui. Mais garder cela pour l’autre chapitre : autrement, je ne saurais plus que faire de Pierre. (ibid. F°440)
Et là des femmes la baignent, je puis décrire cela pour corser le chapitre, s’il en est besoin. Des hospitaliers, Mme Désagneaux ou d’autres. (ibid. F°445)
Le clergé, les délégations, les bannières qui se rangent, toute la procession. Puis Marie et les autres. – (…) Dire où est Pierre, le père Massias et les autres personnages. (ibid. F°454)
Je fais, là-haut que Pierre soit séparé de Marie. Il l’a vue entre les mains de Mme de Jonquière, ou d’autres. (ibid. F°463)
Contre la prière, là ou à l’autre chapitre. (ibid. F°469)
Comme épisode particulier, il faut que je fasse [aller biffé] retourner M. de Guersaint chez le coiffeur Cazaban, soit qu’il ait oublié quelque chose dans la voiture, soit pour toute autre cause. (ibid. F°506)
Pour finir par Appoline et le nouveau Lourdes, j’ai envie de rejeter à l’autre chapitre, celui du départ, les adieux à la Grotte et l’épisode du Commandeur. (ibid. F°507)
Dire que des trains sont déjà partis, et que d’autres suivront (…). (ibid. F°510)
Mais le rêve chrétien paraît épuisé, et il faut un autre rêve. – Ne dire dans « Lourdes » que ce qui est nécessaire, pour ne pas déflorer trop les deux autres livres. (ibid. F°566)
Mais le rêve chrétien paraît épuisé, et il faut un autre rêve. – (…)
Création d’un nouveau peuple. (…) Mais n’y fallait-il pas le souffle d’un autre Messie ? (ibid. F°s587-588)
Et Pierre reste donc en suspens sur cette idée qu’il a besoin d’une religion nouvelle, puisque la foi, Lourdes, se meurt, et qu’il faut une autre religion au pays. (ibid. F°588)
D’autres souvenirs, aussi, lui [Pierre] revenant. (ibid. F°594)
Le train roule pourtant, les stations nommées, et l’arrivée à Paris, au moins aux fortifications. (…) Et [finir biffé] voir pour les autres personnages. (ibid. F°595)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages (…) \\. (ibid. F°s595-596)

Poser tout cela dans une première scène à l’hôtel, et [pl biffé] puis dénouer par le drame dans une autre scène, lorsque Mme Chaise meurt. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 55 – Notes sur M. Vigneron)

AUTREMENT

Ensuite, la nécessité qui a fait qu’on l’a escamotée [Bernadette] soit qu’elle fût malade et qu’on ne voulût pas la montrer, soit qu’on craignît qu’elle parlât trop ; soit simplement qu’on voulût la soustraire à l’exploitation de sa famille, (pour l’exploiter autrement) (…) \\. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°30-31)
Le père et la mère, en bons bourgeois pratiquants, pas autrement méchants que cela. (ibid. F°110)
Comme pères de l’Assomption, je voudrai le père Picard, que j’appellerai autrement, mais que je décrirai identique (…). (ibid. F°117)
Mais garder cela pour l’autre chapitre : autrement, je ne saurais plus que faire de Pierre. (ibid. F°440)
Ainsi Mme de Jonquière et sœur Hyacinthe peuvent être placées autrement. (ibid. F°532)

Les constatations, c’est surtout
pour faire un peu la police des miracles, pour empêcher qu’il y en ait trop. (…) Autrement, dès que le miracle peut passer, il est admis. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 69-70 – Notes sur Raboin)
Autrement, le [illisible]. Son mal s’envole, à jamais. (ibid. Fo 121 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Cancer de l’estomac. – (…) Autrement, pesanteur, gène pendant la digestion. (ibid. Fo 124 – Notes sur la maladie de Mme Vêtu)

AUTRE CHOSE

Mais il faut toujours qu’il y ait un crime commis par lui contre les lois, un assassinat politique, ou autre chose, du sang. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°18)
Maintenant, dix-huit siècles
ont épuisé cette espérance, et il faut autre chose (éb. de « Lourdes » 32). (ibid. F°s25-26)
Dans le premier Lourdes je pourrais montrer le besoin d’illusions et de croyance que l’humanité a. Le besoin de bonheur, et ici-bas ; [le biffé] l’amour de la vie, car Lourdes n’est pas autre chose (…).– (ibid. F°28)
Et c’est pourquoi le peuple, après
cette longue expérience, cette longue attente du bonheur, se détourne des églises et demande autre chose. (ibid. F°s51-52)
Il faudrait un homme (…) qui jugeât (…) que le christianisme croule et qu’il faut autre chose – mais il ne sait pas quoi. Et il [ va biffé] irait à Lourdes alors, pour voir (…) \\. Il y va donc monté contre ces mômeries, presque avec colère ; et il faudrait, pour qu’il évoluât qu’il fût touché d’abord, puis qu’à la fin, il sentît pourtant le besoin d’autre chose. (ibid. F°s72-73)
Mais il ne dira rien, il reconnaîtra la force de la crédulité, la bonté de cette consolation, tout en sentant la nécessité d’autre chose – (ibid. F°79)
Je ne sais si je l’utiliserai comme brancardier, ou comme autre chose. A voir. (ibid. F°80)
Je ne vois guère d’autre moyen que de ne pas finir le chapitre avec la procession (…). Et trouver autre chose pour finir. (ibid. F°81)
Et il n’y a rien eu entre eux, elle l’a soigné intimement, sans qu’ils soient autre chose que frère et sœur. (ibid. F°114)
La jeune mariée [Mme Dieulafay] a donné tous ses bijoux ; ou autre chose – (ibid. F°347)
Si l’on s’est jeté dans le paradis chrétien, c’est qu’il était la jeune espérance. Maintenant, dix-huit siècles ont épuisé cet espoir, et il faut autre chose (éb. 22). (ibid. F°565)
Si, jadis, on s’est jeté dans le paradis chrétien, c’était qu’il était la jeune espérance. Maintenant dix-huit siècles semblent avoir épuisé cet espoir, et il faut autre chose. (ibid. F°587)

Travail (1901)

Mais, il faudra que par d’autres exemples j’accentue cette paix (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 371/24)
Je ne puis guère donner à Luc d’autre mouvement, c’est un architecte, un constructeur de ville (ibid., f° 374/27-375/28)
J’y pose les autres conséquences du travail (F° 392/45)\\Autre groupe d’ouvriers (F° 392/45)

AVANCE (D’) (À L’)

Lourdes (1894)

En un mot, il faut que [la biffé] Pierre prévenu prévoie le miracle (…) ; et le miracle est ainsi ruiné d’avance en lui. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 13 – Notes sur Pierre Froment)
L’histoire de ces gens de
bon sens et de gouvernement, le baron Massy, le commissaire de police Jacomet, en lutte avec la superstition et vaincus à l’avance. (ibid. Fos 248-248 bis – Notes sur H. Lasserre)

AVANT (EN)

Le Rêve (1888)

Donc tout un enveloppement avant que le rêve se montre (…) Puis quelque chose (MS NAF 10323, premier plan du chapitre IV, f° 66)
Puis, avant l’épisode de la charité, j’ai un morceau où je le montre rôdant (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 75)

Lourdes (1894)

Il faut poser les Pères, les sœurs et les hospitalières. En conversation et en récit. Pierre en avant, [avec biffé] causant – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°126)

AVANTAGE

Le Rêve (1888)

Mettre là les Hautecoeur a l’avantage de ne pas trop annoncer Félicien (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 51)

Lourdes (1894)

L’avantage de ces deux témoins, c’est de corser le chapitre, de le mouvementer, de faire que cette fois, ce n’est pas une lecture sur Bernadette, mais [un biffé] des récits, une conversation. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°392)

Travail (1901)

Cela a plusieurs avantages. Donner un passé à Luc, le
montrer mêlé à toutes les misères (F°440-441)

AVANT TOUT

Travail (1901)

Mais surtout je veux incarner avant tout l’idée de travail dans Luc (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 357/10)

AVEC

(Voir aussi : À l’aide de)

La Conquête de Plassans (1874)

(…) qu’elle le protège avec un soin de louve (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche,F°32)

Il faut que Faujas les apprenne peu à peu et avec grand précis (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
Là, poser Marthe plus completement, toujours avec des faits. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)

La Terre (1887)

Et, avec cela, craignant son père, le servant en domestique (MS NAF 10329 La Terre f° 23 – Personnages, Olympe)

Le Rêve (1888)

Et c’est avec Hubertine et Hubert que je puis
avoir l’incertitude (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f°s 106-107)
Elles sont près de la chapelle Hautecoeur, le vitrail restauré, le vitrail au jour tombant. Description de l’église dans l’attente. Je la reprendrai avec les cierges (ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)

Lourdes (1894)

Cela infiniment triste, et avec ce frisson du devoir qu’on devrait avoir de combattre la superstition (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°4)
Cela avec les malades : la douleur physique avec eux, dans les cas les plus effroyables et la douleur morale, avec les parents (…). (ibid. F°39)
Et je ne crois pas que j’aurais besogne [sic] de roman, d’intrigues diverses : simplement des malades avec l’histoire de leurs maladies, de leur espoir (…). (ibid. F°55)
Je voudrais n’avoir qu’un pèlerinage national pour cadre (…) avec les cent épisodes, le rembarquement, et la fin laissée à l’espoir peut-être. (ibid. F°58)
Un amas extraordinaire de souffrances, tout le poignant que je pourrais inventer, avec le roulement continu [-s final biffé] du train. (ibid. F°69)
Enfin, dans la cinquième partie finir les malades, mettre des détails, et reprendre le train, le remontrer roulant, remuant les malades, avec toutes les conclusions. (ibid. F°71)
(…) la faire frapper dans son sexe, mais avec la plus grande discrétion, pour que tout le monde puisse lire mon livre. (ibid. F°77)
Je ne vois guère d’autre moyen que de ne pas finir le chapitre avec la procession (…). (ibid. F°81)
Il [Pierre] rêve de grandes charités (mais cela viendra surtout à la fin, après Lourdes, avec l’idée d’une religion de la souffrance humaine.[)] « Lourdes », avec ce prêtre, doit donc devenir une tentative de croire aveuglément (…). (ibid. F°94)
Et finir, je le répète, par la foi impossible et par cet élan vers la religion de la souffrance humaine, avec la réserve du danger que court la raison dans la crédulité. (ibid. F°98)
Je lui donne vingt-cinq ans, je la fais blonde, avec des yeux bleus admirables, et une fraîcheur de lait. Avec cela très vaillante, très gaie, très simple. (ibid. F°113)
Des silhouettes [les pères de la Grotte] indiquées seulement et toutes les luttes avec la ville, le commerce, les sœurs bleues. (ibid. F°118)
Un mot de l’hospitalité du Salut. Cela tout à l’heure avec M. de Guersaint et M. Sabathier. (ibid. F°126)
Avec un crescendo dans la souffrance, et le sentiment que tout cela roule, est emporté. (ibid. F°136)
Je crois que je dois aller, avec le premier chapitre jusqu’à Saint-Pierre-des-Corps. (ibid. F°144)
Sa mère veut qu’il soit prêtre, avec l’idée de rachat du père. (ibid. F°148)
La souffrance reviendra avec tout le wagon, quand il reverra Marie, dernier portrait. (ibid. F°151)
Puis la consolation avec Pierre ensuite (…). (ibid. F°153)
Tout cela autour de l’homme, et avec les deux groupes de malades extérieurs, les Vigneron et les Dieulafay. (ibid. F°175)
Faire ce chapitre en épisode, très vivant, et avec cette idée constante que la souffrance doit monter. – (ibid. F°178)
Et avec Marie, revenir à Pierre. (ibid. F°186)
Et le grand morceau, la masse de miracles, avec Mme de Jonquière et surtout sœur Hyacinthe. (ibid. F°186)
Et alors avec Pierre, la reprise de l’analyse. (ibid. F°187)
Alors finir avant Bordeaux (7h35) [en interligne : M. de Guersaint], avec Pierre heureux du soulagement de Marie. (ibid. F°191)
Avec les miracles, dans le coup d’espoir des guérisons, il faut mettre aussi l’espoir des guérisons morales. (…) (éb. 188, convers. avec Lasserre). (ibid. F°201)
Je reprends tout le wagon, avec le mouvement d’espoir et d’illusion de la fin du précédent chapitre. (ibid. F°209)
Avec les miracles, je rattache le récit à mes malades du wagon. (ibid. F°215)
L’ancien Lourdes, avec Barbet (191). (ibid. F°219)
Toute la description de l’emplacement ancien de la grotte, avec Barbet (éb. 195). (ibid. F°221)
Puis avec le père et le docteur qui continuent à se promener, je puis avoir les premiers pèlerinages (1875) [en interligne : M.V. 23]. (ibid. F°224)
Avec Berthaud, j’ai la politique. (…) Et avec Gérard indiquer le mariage avec Raymonde. (ibid. F°225)
La politique avec Berthaud. (ibid. F°239)
Avec Berthaud, peut-être, le nombre de trains, et surtout les 500 pèlerins de l’année du couronnement. (ibid. F°240)
Puis je répète qu’avec Marie, en haut, au premier, dans la salle Sainte-Claire, je pose toute la salle (…). (ibid. F°250)
Et les malades, mes épisodes avec la petite [M biffé] Rose qu’on sort de l’eau [en interligne : les gens en cercle, à genoux], très poi-\\gnant. (…) Toute la fontaine décrite, avec ses épisodes. – (ibid. F°s 261-262)
Je crois qu’il faut finir avec Pierre et Marie, et non avec Gérard et Raymonde. (ibid. F°264)
Alors là je finirai sans doute avec Pierre sur le triomphe forcé de la raison. (ibid. F°288)
Alors [en interligne : (l’Hospit. à N.-D.-des-Douleurs 71)], je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables, toujours avec Pierre mêlé et assistant. – (ibid. F°297)
Développer donc la force de l’illusion dans cette salle, avec la lecture. L’espoir de la guérison encore, avec Mme Vêtu, et Marie qui peu à peu va se remettre. (ibid. F°300)
C’est un enfer que cette salle. La bien poser pour y développer la force de l’illusion, le besoin de mensonge, avec la lecture. (ibid. F°308)
Finir sans doute avec la salle à manger, où l’on mange encore. (ibid. F°336)
Et j’ai alors la popote avec eux. (ibid. F°341)
la politique avec Berthaud. (ibid. F°347)
Première petite description, avec de la conversation, pour couper – (ibid. F°353)
Et je puis créer des épisodes, faire passer des personnages : (…) chacun avec son trait caractéristique. – (ibid. F°354)
Et en finir avec la question de savoir si Pierre dit sa messe chaque jour. (ibid. F°370)
Les premiers chrétiens, avec Guillaume Froment. (Voir son personnage.) (ibid. F°380)
Tout cela avec Pierre, qui regarde, qui analyse, qui échappe à la griserie, et qui finira par se détacher. (ibid. F°445)
Donc, je reprends avec la procession de quatre. (ibid. F°446)

Et enfin dans la basilique, une description complète, car je n’y suis pas monté encore. Je la donne toute ici, avec une [re biffé] cérémonie religieuse (…) \\. (ibid. F°s462-463)
Et alors, je donne avec lui [Pierre] toute la crypte, [les biffé] l’autel souterrain, puis les ex-voto, ces cris montant du marbre. (…) Prendre les ex-voto dans mes notes, écrire une ou deux pages avec. (ibid. F°463)
Peut-être là dire qu’elle [Mme Volmar] ne croit pas, avec une belle franchise d’audace. (ibid. F°487)
Dès que je suis débarrassé de cela (…), je termine avec Appoline et Bernadette – (ibid. F°500)
Et je termine avec Pierre qui résume le chapitre en ramassant tout le nouveau Lourdes (…). (ibid. F°502)
L’ancien Lourdes avec Barbet, etc., (éb. 191) – (ibid. F°509)
Enfin, j’ai le départ du train, avec tous les épisodes. (ibid. F°526)

La politique avec Berthaud. (ibid. F°531)
Puis l’épisode de Mme Vincent. (…) Et son épisode doit se poser avec Marie, Pierre et M. de Guersaint. (ibid. F°534)
Et enfin l’épisode de M. Sabathier, avec M. de Guersaint surtout et Pierre. (…) Avec lui, reprendre les détails du wagon : ce qu’il a remarqué à l’aller. (ibid. F°537)
La souffrance, de nouveau avec la Grivotte qui râle, qu’on ramène mourante ; avec aussi M. Sabathier et Mme Vincent. (ibid. F°540)
Avec M. Sabathier
sans doute, avec Mme Dieulafay peut-être, qui ne sont pas guéris, dire les sensations du retour. (ibid. F°s559-560)
Finir avec Sabathier par l’espérance infinie malgré la rechute de la Grivotte qu’il a devant lui. – (ibid. F°560)
Premiers chrétiens et anarchistes, avec Lasserre (éb. 69). (ibid. F°566)
J’en arrive avec ce regret possible de la vie à ce qu’elle [Bernadette] devait rêver, sur Lourdes. (ibid. F°573)
Premiers chrétiens et anarchistes, avec Lasserre, éb. 69. – (ibid. F°587)
Et finir avec Marie et Pierre : celui-ci admettant le besoin de l’au-delà (sujet de Rome). (ibid. F°595)
Bien entendu avec toutes les réflexions et les conclusions que cette lecture soulève. (ibid. F°596)

Travail (1901)

« Travail » est l’œuvre que je voudrais faire avec Fourier, l’organisation du travail, le travail père et régulateur du monde (MS NAF 10334 Travail, Ebauche, f° 349/2)
Avec Luc, fils de Pierre et de Marie, je crée la cité, une ville de l’avenir, une sorte de phalanstère (ibid., f° 349/2)
Difficulté pour faire, avec cela, un livre vivant et humain (ibid., f° 349/2)
Toute une première partie pour poser le bourg tel qu’il est, avec ses misères et ses hontes (ibid., f° 353/6)\\Avec l’ouvrier, j’ai le salarié par excellence (ibid., f° 376/29)
et le premier chapitre pour la peinture du bourg, avec toutes les déchéances du travail (ibid., f° 392/45)
)\\§§pour poser les deux ménages du capitaliste et de l’usinier, avec leurs drames respectifs, leur histoire (ibid., f° 392/45)
Le cabaretier épicier fini, avec le verre remplaçant l’alcool (…) Les vieux se pliant à l’organisation nouvelle, avec quelques luttes encore (ibid., f° 396/49)
Il me faut donc des personnages paysans, avec leur petit drame (ibid., f° 400/53)
Les personnages peuvent donc être un fermier (…) et deux petits propriétaires, avec leur type (ibid., f° 400/53)
Mon premier livre est l’état actuel, la misère et la douleur, avec toutes les tentatives d’amélioration pourtant, les coopératives de production et de consommation, les syndicats, etc. (ibid., f° 402/55)
Toute l’évolution douloureuse, avec ses pas en avant et ses reculs (ibid., f° 402/55)
Je songe que cela pourra très bien se faire avec la scène où je veux relever le vieux Qurignon (ibid., F°437)

AVENTURE

Le Ventre de Paris (1873)

Il ne veut pas entraîner Louis dans cette aventure périlleuse. Seulement il en dit assez à celui-ci pour qu’il comprenne (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 58)

Nana (1880)

Mêler Francis à une des aventures. Il peut escompter des billets de Muffat, se trouver dans une des aventures de Nana. (NAF Ms. 10313, Nana. F°107- Plan)
L’aventure de Lambert Thiboust chez Anna Deslions. (ibid. F°147).

Francis. (…) Faire l’étude du coiffeur des filles. Ne couche jamais avec elles ; (…) se trouve dans une de leurs aventures, lance l’une d’elles par sa coiffure, croit à son art. (NAF Ms. 10313, Nana. F°176- Personnages)

Aventure de Lambert Thiboust chez Anna Deslions. (NAF Ms. 10313, Nana. F°277- Notes).

La Terre (1887)

Jean serait donc garçon à la ferme, après quelle aventure. Bonhomme peut y faire ma corvée avec lui, d’où connaissance et lien. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 464/56)
(…) Le braconnier, seul farouche, disant ce qu’il pensait, leur reprochant d’être les plus forts et de se laisser mener comme un troupeau. Très net, très vibrant, et cela suffira. C’est dans cette aventure que le fermier perd la mairie (ibid., f° 477/69)

Le Rêve (1888)

Cette aventure qu’elle rêvait, etc. (MS NAF 10323, deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 73)

Ignorant lui aussi, se jetant à l’aventure, avec la seule envie d’aimer (ibid., Personnages, f° 202)

Lourdes (1894)

La scène serait jolie, ce prêtre [en interligne : incroyant] se refusant, par pudeur pour sa soutane à se mêler à cette aventure de simple suggestion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°97)
Et les nuits qu’elle passe avec son amant, dans quels transports. (…) Une aventure. (ibid. F°103)
Jolie analyse, ce [mede biffé] prêtre [en interligne : prêtre incroyant refusant, par pudeur pour sa soutane, de se mêler à cette aventure de simple suggestion] qui ne croit pas et qui a la pudeur de ne pas vouloir aller compromettre sa soutane là-bas. (ibid. F°152)
Scène jolie, ce prêtre incroyant refusant, par pudeur pour sa soutane, de se mêler à cette aventure de simple suggestion. (ibid. F°164)
Mais faire surtout qu’il ne se prononce pas alors ; car, s’il connaît beaucoup Bernadette, il y a, au fond de son voyage à Lourdes, le désir curieux d’étudier l’aventure de Bernadette sur place, de la mieux connaître, de se faire enfin une opinion. (ibid. F°213)

Une aventure. Il faudra que Pierre la connaisse (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 76 – Notes sur Madame Volmar)

AVIS

(Voir aussi : Aimer)===

La Faute de l’abbé Mouret (1875) ===

Mon avis est de commencer directement par la messe. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Sur la messe et l’église, f° 115)

Nana (1880)

Je ne suis pas d’avis pourtant de remontrer tous les personnages, qui paraissent un peu souvent. (NAF Ms. 10313, Nana. F°136-7- Plan).

Le Rêve (1888)

A mon avis, il faut qu’elle sache bien qu’elle n’est pas sauvée (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre XIII, f° 180)

AVOIR

(Voir aussi : poser)

Le Ventre de Paris (1873)

J’ai eu dans La Fortune des Rougon toute une naissance d’appétits. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 48)
J’aurai ainsi une honnête femme, dans la branche des Macquart.(ibid., f° 49)
Donc, j’ai Cayenne, j’ai l’histoire d’un complot, j’ai une trahison. (ibid., f° 59)
J’ai encore tout un groupe de femmes, voisines, marchandes de la Halle, amies d’Elisa. (ibid., f° 60)
J’ai ensuite le monde de la Halle, monde grouillant qui entourera Charles. (ibid., f° 60)
J’aurai, de la part de ce garçon, une belle passion charnue.(ibid., f° 63)
Cependant, il y a lutte, j’ai une intrigue amoureuse. A un moment, Jacques a pris une bague (ibid., f° 66)
Je n’ai encore pour les Halles, comme types, qu’une charcutière, une marchande de poissons (ibid., f° 72)
Enfin comme personnage secondaire, je puis avoir un liquoriste mouchard sur le comptoir duquel mes hommes iront prendre le vin blanc (ibid., f° 77)
Enfin j’ai besoin d’un cultivateur au moins, amenant tous les jours les provisions à Paris, — d’un fermier qui représentera la production. (ibid., f° 78)
J’ai mon peintre, purement épisodique. ( ibid., f° 95)
Comme gras, j’ai le plus grand nombre de mes personnages. Comme maigres, j’ai d’abord Florent, puis Claude, puis quelques types de chez Lebigre, un professeur au cachet, un ouvrier comme Gaillard, un bossu comme Vésinier ancien typographe. (ibid., f° 101)
J’ai ainsi un fort, un [porteur], et j’aurai des détails sur les facteurs par Logre qui sera employé d’un facteur à la marée (ibid., f° 108)
C’est dans la resserre aux volailles, sous l’escalier, que le facteur au cresson a une resserre particulière. (ibid., f°309)

La Conquête de Plassans (1874)

Il peut avoir une scène avec chacun d’eux (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche,F°22)
Comme comparses, j’ai d’abord Pierre Rougon et Félicité Rougon qui détestent leur gendre et qui par ordre sont pour le curé Bonnard. J’ai ensuite une bande de curés (…) J’ai encore une bande de fonctionnaires (…) J’ai un ou deux jeunes abbés ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche F°23)
Il peut même y avoir là un joli fait (ibid. F°24)
cette partie, la plus originale, doit avoir du développement.(ibid.F° 25)
Le tout est de savoir la fonction qu’il aura dans la maison d’aliénés (ibid. F°28

Nana (1880)

L’important est de savoir, si j’enfermerai le roman dans le monde des filles. Ou si j’aurais un autre monde à côté.
Je pourrai avoir la famille d’un homme honorable que Nana ruine et conduit à la misère ou à la honte (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
D’autre part, je pourrai encore avoir un autre coin, qui est à choisir.
Il peut avoir un lien avec l’amant de cœur. (ibid. F°209)
Voyons les liens qu’il pourrait y avoir entre ces personnages. (ibid. F°210)
C’est là que je n’ai pas très clairement le drame. (ibid. F°212-213)
au début, j’aurai mon homme mûr absolument fidèle à sa femme.
Je pourrai avoir le coup de foudre. (ibid. F°214)
J’aurai donc, deux milieux chez Nana, et chez ma paralytique. (…) J’ai ma cocodette, j’aurai une femme avec un amant, la mère de mes jeunes gens, la femme du boursier, à arranger tout cela. J’ai dit que j’aurais surtout deux rivales : Nana (une grasse, Blanche d’Antigny) et une autre (la maigre, Cora Pearl.). (ibid. F°218-219)
Dès que j’aurai deux femmes, je puis en grouper plusieurs autres. (ibid. F°219)
En dehors du mariage Judic, il faudra que j’aie un autre type assez important, Cora Pearl. (ibid. F°220)
Voir, si j’ai tout le vice ; la haute cocotte ; Nana ; le théâtre devra me donner Nana.
J’ai la 1ère représentation qui me donnera, la salle, le soir. (ibid. F°221)
Je pourrais revenir, à plusieurs fois, dans de courts passages, pour bien avoir le théâtre bordel, la cour, le foyer, les loges d’actrices. (ibid. F°221-222)
J’aurais la lutte entre les deux principes, et je pourrais montrer à la fin lequel l’emporterait. (ibid. F°226)
(…) et j’aurais ainsi deux figures la cocotte et la cocodette. (ibid. F°227)
La comtesse devra avoir une origine particulière. (ibid. F°231)
Je dois avoir un homme désespéré, et cet homme sera le comte Muffat, voilà tout. (ibid. F°232).

La Terre (1887)

tâcher d’avoir, au fond, de la grandeur, chez ce paysan, cet homme qui est resté le plus près de la terre. Ne pas l’anoblir, trouver et montrer la grandeur. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 401/2)
(…) Mais Jean reste toujours effacé, avec un pauvre rôle. Son intérêt serait peut-être d’opposer l’ouvrier au paysan. N’en faire alors qu’un ouvrier ; mais cela tue mon sujet, je ne voudrais avoir que des paysans. (ibid., f° 431/32)
(…) Comme jeune [sic] gens, le fils de l’aîné qui tourne à la ville, au Godchau, et un fils des deux cabaretiers. Je pourrai avoir pour maire le fermier qui a une grande ferme, la grande culture, sur la commune, soit louée, soit à lui. (ibid., f° 460/52)

Pour mettre cela en action, j’aurai besoin à quelques reprises de lui faire voir le paysage (MS NAF 10329 La Terre F° 9 – Personnages, Jean Macquart)
Avoir avec lui le mépris des paysans pour les infirmes (ibid., F° 44 – Personnages, Hilarion Pégout)

Au bonheur des dames (1883)

pour avoir l’autre face de la vérité (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 3)\\Cela aurait le bon côté de n’avoir qu’un homme à la tête (…) (ibid., fº 8)\\Donc l’intrigue tout entière est d’avoir Octave, veuf ou marié, à la tête du magasin (ibid., fº 16)\\Le chef de rayon devrait avoir un lien avec la maîtresse d’Octave. Elle pourrait l’avoir comme amant de cœur (ibid., fº 17)\\Pour avoir des clientes, j’aurai d’abord des femmes rencontrées-montrées chez la maîtresse d’Octave (ibid., fº 18)\\Pour personnages, j’aurai donc (…) (ibid., fº 24)

Le Rêve (1888)

Or, j’ai toute la nature, les végétaux, arbres, herbes, fleurs, etc, les oiseaux, les insectes, l’eau, le ciel, etc. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 3)
Enfin, j’ai encore comme personnage secondaire le médecin et le bedeau. (ibid., f° 10)
J’aurais ainsi une sorte de troupeau humain, une tribu dormant, se reproduisant, travaillant, toujours attachée à la terre, se mouvant dans mon œuvre comme une masse unique. (ibid., f° 13-14)
Je n’ai plus que Serge, Blanche, Archangias, l’oncle de Blanche, Désirée, le Bedeau. (ibid., f° 14)
J’ai déjà l’histoire de Jeanbernat et d’Albine. (ibid., Les personnages, f° 17)
Je n’ai maintenant qu’à indiquer les promenades, parallèlement avec le développement de l’amour, de l’éducation du couple par la nature. Je les lâche dans le jardin, et à chaque promenade, je les montre plus charnellement amoureux, s’avançant peu à peu vers la faute. (ibid., Le Paradou, f° 45)
Après les promenades, j’ai donc pour mon compte la possession du jardin entier (ils sont là pour le cultiver et le garder. Genèse.) (ibid., f° 45)
J’ai la préparation de l’autel ; la scène complète dans la sacristie (la Teuse bavardant, Serge s’habillant) ; l’entrée dans l’église. (ibid., Sur la messe et l’église, f° 111)

Je n’ai pas la fantaisie, le rêve, ce qui m’ennuie (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 221/5)\\(…) Mais je n’ai pas l’au delà, qui pourrait peut-être m’être donné par le mari (ibid., f° 230/14).
(…) Je n’ai que cinq personnages et il ne faut pas en admettre un de plus (ibid., f° 232/16).
Il y aura aussi à nommer la jeune personne fiancée au jeune homme (ibid., f° 233/17)
J’ai Hubertine suffisamment, mais je n’ai pas Hubert (…) Je lui donnerai des traits un peu tourmentés pour ne pas avoir que des figures correctes (ibid., f° 248/32)
(…) A ce propos je voudrais bien que la mère de Hubertine fut [sic] enterrée par là pour avoir la tombe (ibid., f° 250/34)
après le chapitre de sa venue lente jusqu’à son apparition, j’aurai bien un chapitre ou [sic] il lui parle, deux ou trois épisodes, et qui ira jusqu’à l’aveu (ibid., f° 259/42)
Après j’ai tout de suite la scène dans l’église, ou ailleurs, dans laquelle Félicien apparaît à côté de son père (ibid., f° 262/45)
(…) Ce que je n’ai toujours pas, c’est l’idylle dans le terrain vague. (…) j’ai la lente venue du prince charmant (ibid., f° 290/73)
(…) le rôle reste le même : j’ai toujours la femme adorée morte en couches (ibid., f° 307/90)
(…) je peux imaginer que ce sera un dais par exemple, pour une procession ; et j’aurai la procession (ibid., f° 308/91)
(…) je pourrais peut-être prendre le château de Chateaudun, avec une rivière (…) peut-être serait-il préférable de l’avoir à plat (ibid., f° 309/92).

Je rappellerai ça deux fois dans le livre, et j’aurai tout ainsi, les deux légendes anciennes avec le défilé des noms (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 256)\\Mettre une allège en maçonnerie et supprimer les deux côtés de la baie en ogive de façon à avoir des pieds droits (ibid., Notes sur la maison des Hubert, f° 404/11)\\J’aurais donc la mère et la fille au quinzième siècle (ibid., Notes sur le château de Hautecoeur, f° 367)

J’ai d’abord eu la statue avec l’enfant appuyée contre. J’aurai ensuite le lintau [sic] et le tympan en un morceau. Puis (…) les statues des vierges (…) enfin les voussures (…) cela me donne la description (NAF MS 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 5) \\Pour ne pas avoir de paquet, je tacherai de mettre entre chaque masse de La Légende dorée, du récit, même des conversations s’il est possible, d’autres choses enfin (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 35)
(…) Là, je ne voudrais pas avoir encore la description de l’église. Mais il faut que j’en aie la masse , pour faire ombre sur la maison (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
je ne sais si je dois pousser cette scène à fond ou plutôt la garder pour le milieu du livre , afin d’avoir les Hubert de nouveau, avoir leur drame. Je crois qu’il faudrait la garder, et n’avoir là que l’entente instinctive d’Hubert et d’Angélique (ibid., premier plan du chapitre III, f° 49)
De sorte que, au chapitre suivant, je n’aurais qu’à parler des ruines qu’on voit par dessus l’évéché (ibid., premier plan du chapitre III, f° 51)
Et c’est avec Hubertine et Hubert que je puis

avoir l’incertitude (NAF MS 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f°s 106-107)
Je pourrai avoir d’abord la peinture du quartier qui attend ; puis la sortie de la procession (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
J’ai ici la description intérieure du château (ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)
il faut que le chapitre finisse par sa croyance qu’elle n’est pas aimée, de façon à avoir un réveil terrible (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 150)
Et j’ai la description de l’église qui m’est donnée par la cérémonie (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 185)
Avoir l’opposition Balbine et Laurette, les mortes aimées (deuxième plan du chapitre XIV, f° 186)
J’ai en tous cas tout l’extérieur de l’église, flamboyant, rayonnant, glorieux : roman en bas, ogival en haut (egl.11) (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)

J’ai tous les personnages, sauf Félicien, comme psychologie (ibid., Personnages, f° 201)

Lourdes (1894)

J’ai déjà dit que dans « Lourdes », j’aurai la foi du premier âge, l’appel d[u]e [premier biffé] la souffrance humaine inguérissable vers une toute-puissance divine. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°2)
Mais j’ai le second volume « Rome »,
et j’ai déjà dit que mon prêtre, après avoir essayé vainement de revenir à la foi des premiers âges dans « Lourdes », tâche dans « Rome » de réconcilier le catholicisme ou tout au moins le christianisme avec la science moderne, le monde moderne, le progrès. Il y échouera. J’aurai là la peinture de tout le néo-catholicisme qu’on tente. (ibid. F°s4-5)
Reprendre la tradition du Christ semant la parole révolutionnaire au travers de la Judée (on a un peu cette idée en 48). (ibid. F°9)
Tout le Paris grouillant, le monde politique surtout,
si j’ai un assassinat politique. (ibid. F°s18-19)
Il faut que dans « Paris », j’aie, comme dans « Germinal » un très grand fonds de souffrance ; et cela surtout,
pour faire pendant aux souffrances physiques que j’aurai dans « Lourdes ». (ibid. F°s23-24)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « Si, moi, j’avais une source, où je guérirais les plaies apparentes, en les y plongeant, je voudrais bouleverser le monde. (…) » – (ibid. F°46)
Il y a encore les dames hospitalières de l’hôpital qui ont dû la panser, voir la plaie, puis voir la chair refaite. ( …) pourquoi n’avons-nous pas leur témoignage ? (ibid. F°47)
Je voudrais n’avoir qu’un pèlerinage national pour cadre (…). (ibid. F°58)
Je tiens absolument à ne pas sortir du temps présent, et je ne pourrais sans doute avoir le passé que par des visites (…). (ibid. F°59)
Il faut aussi que j’aie les procès verbaux du commissaire Jacomet, enfin tous les dossiers administratifs de l’époque. (ibid. F°64)
Il me faudrait [voir biffé] avoir tous les dossiers administratifs de l’époque, que je demanderai, quand j’aurai lu Lasserre. (ibid. F°65)
Quand j’aurai ma Bernadette tout entière, je la ferai bien humaine, telle qu’elle était, mais extrêmement touchante, et martyre. (ibid. F°66)
Je veux avoir toute la vie de Bernadette, les deux Lourdes, et la lutte du curé Peyramale. (ibid. F°68)
Le mieux serait peut-être de commencer par le train des pèlerins en marche. J’aurai ainsi toute la souffrance réunie. (ibid. F°68)
Je voudrais, pour ne pas trop éparpiller l’effet, avoir un personnage central. (ibid. F°72)
Peut-être vaudrait-il mieux [n’avoir biffé] avoir un père veuf, dont je ferai un type : heureux de voir les Pyrénées. (ibid. F°75)
Dans la 1ère partie, je l’ai tout le temps et très naturellement. – Dans la seconde, je l’aurai aussi par un [artificif biffé] artifice, car c’est lui qui traînera la malade ; il se sera hospitalisé, rendra
des services ; mais pas comme prêtre. (ibid. F°s80-81)
Dans « Paris », surtout, si je fais de ce frère un anarchiste militant, je puis le heurter [ à biffé] au prêtre et avoir ainsi une lutte entre deux frères. (ibid. F°85)
J’ai dit que j’aurai un mariage entre une fille hospitalière et un brancardier. (ibid. F°100)
Enfin, je voudrais bien avoir une très jolie hospitalière, 20 ans, dans tout le charme de la jeunesse. (ibid. F°104)
Comme malade, j’ai, en dehors de mon héroïne centrale : La petite fille avec sa mère. (ibid. F°105)
J’ai aussi mon agrégé de l’Université, ou quelque chose de semblable, pour mettre là un intellectuel. (ibid. F°106)
Pour avoir un drame d’intérêt, il suffirait que le petit ait sur sa tête un héritage, que les parents perdraient, s’il venait à mourir. (ibid. F°109)
J’ai enfin la dame qui vient demander une grâce morale, et qui descend chez les sœurs bleues. (ibid. F°111)
Mon aumônier, je puis l’avoir pour le train accompagnant la petite hydrocéphale, qu’il veut faire guérir et qu’il ne réussit pas à faire guérir. (…) Je l’ai donc dans le train, puis dans la salle, puis à la grotte et aux processions, et enfin au retour (…). (ibid. F°116)
Avoir et régler les heures. (ibid. F°136)
Les réflexions de Pierre, son histoire et celle des Guersaint commencent donc après Saint-Pierre-des-Corps, lorsqu’on a le 3e chap. p. 134 et le cantique p. 231. – Il peut être 11 h, et comme on n’arrive à Poitiers qu’à midi et demi, il a donc une heure et demie pour réfléchir. (ibid. F°162)
J’ai aussi Marie (qui n’a pu boire tout son bouillon, Pierre reportera le bol) et son père fumant. (ibid. F°169)
Et là il [Pierre] est en face de Mme Volmar. (…) C’est donc par lui que j’aurai cette histoire. (ibid. F°170)
D’autre part, j’ai mes autres malades du train. (ibid. F°174)
J’ai en outre tout mon wagon qui agit. (…) J’ai aussi tous les malades qui sont dans le train, donner le nombre, la sensation de ces malades qu’on déballe pour un instant. Je crois qu’il y a des cérémonies
religieuses à [Angers biffé] Poitiers. (…) Peut-être pourtant, [faudr biffé] vaudrait-il mieux n’avoir que la gare. (ibid. F°s175-176)
Je n’ai qu’à dépouiller les miracles, à les avoir tous, puis à les classer. – (ibid. F°194)
J’ai madame de Jonquière soignant la Grivotte et Mme Vêtu. Et j’ai sœur Hyacinthe épongeant l’homme. (ibid. F°198)
J’ai donc deux heures de chapelet et de cantique, pendant lesquelles Sophie Couteau pourra raconter son miracle. (…)
J’ai pour le miracle jusqu’à l’Angélus, à Coutras, vers six heures. (ibid. F°s198-199)
Mais surtout l’homme qui meurt, voir où je puis placer la mort. Un peu avant la fin, pour qu’on ait le corps quelque temps avec les cantiques. (ibid. F°211)
Tout cela mis en scène par le chef de la gare (tel que je l’ai aux notes) (…). (ibid. F°223)
Puis avec le père et le docteur qui continuent à se promener, je puis avoir les premiers pèlerinages (1875) (…). (ibid. F°224)
Ensuite, j’ai les brancardiers. (…) Avec Berthaud, j’ai la politique. (ibid. F°225)
Et j’ai alors l’épisode de Gérard et Berthaud avec ces dames, Raymonde, Mme Désagneaux, et madame Volmar, qui va disparaître. (ibid. F°228)
Il faut que j’aie là l’abbé Judaine, que j’ai gardé. (ibid. F°230)
Je crois que j’ai le quai de la gare avant l’arrivée du train. Déjà deux autres sont arrivés, et j’ai là du monde qui attend. (ibid. F°232)
Le chef de gare, tel que je l’ai aux notes. (…) En outre j’ai les deux hospitaliers, [et biffé] Berthaud,
Gérard de Peyrelongue, que je pose. (ibid. F°s232-233)
Donc, le train est signalé, il arrive. Tous les détails que j’ai en notes. – (ibid. F°233)
Orienter tout cela pour avoir les ombres. – (ibid. F°247)
Je ne veux avoir décidément les piscines que l’après-midi ; et Marie ne voudra être trempée que l’après-midi. (ibid. F°254)
Dès lors, je n’aurai ici que la confession de Chassaigne, disant à Pierre comment il a pu en arriver à croire. (…) (…) tout de suite après avoir posé Chassaigne, j’ai ainsi les piscines. (ibid. F°276)
C’est par lui [Pierre] que j’ai la description de la salle et du personnage. (ibid. F°280)
J’ai ensuite les trois épisodes. – (ibid. F°281)
Ensuite, les malades. J’ai Marie farouche anéantie. (ibid. F°298)
J’ai donc toute la lutte avec le commissaire et le préfet, la persécution des autorités, comment on fonde une religion, jusqu’au jour où sur un ordre de l’empereur (l’impératrice derrière) la grotte devient libre. (ibid. F°301)
J’ai aussi les sœurs de l’Assomption que je fais paraître. (ibid. F°304)
J’ai comme épisode en même temps la [M biffé] Grivotte qui se prétend guérie très excitée, très gaie. (ibid. F°305)
J’ai donc toute la lutte avec le préfet et le commissaire, la persécutions des autorités, comment on fonde une religion, jusqu’au jour où, sur l’ordre de l’empereur, la grotte devient libre. (ibid. F°306)
J’ai encore Elise Rouquet, pas guérie. (…) Enfin, j’ai dans la salle du bas, salle des ménages, [Sa biffé] M. Sabathier et le frère Isidore, dont je serai peut-être forcé de dire un mot. (ibid. F°307)
J’aurai une autre scène au 1er chapitre de la 5ème. Mme Volmar pleure, etc. – (ibid. F°319)
D’autre part, je voudrais avoir tout l’épisode des Vigneron. (ibid. F°319)
Alors tous les deux déjeunent, et j’ai l’épisode des
Vigneron en bas, dans les salles à manger. (ibid. F°s321-322)
Cela ne me donne pas madame Maze, il faut que je l’aie ailleurs, [pen biffé] devant la Grotte, pendant la nuit. (ibid. F°325)
Si j’ai de la place, je donnerai là un peu de l’ancien Lourdes. (ibid. F°334)
Je voudrais avoir [ainsi biffé] toute l’hospitalité par Gérard. (ibid. F°338)
J’ai donc M. de Guersaint pour le promener comme je voudrais, même l’inviter à la popotte. (ibid. F°339)
Tout le chapitre a donc pour cadre un dimanche à Lourdes, pendant le pèlerinage national, par un très beau temps. (ibid. F°339)
Et j’ai alors la popote avec eux. (ibid. F°341)
Mais je veux avoir des épisodes, pour corser un peu le chapitre (…). (ibid. F°360)
Enfin, je puis avoir des conversations dans la folle [sic], des gens qui ont fait des excursions et qui les racontent. (…)
Et finir par la sensation que j’ai eue, tout le
monde rentrant, par les rues peu claires, des pèlerins qui traînent, qui demandent leur chemin. (ibid. F°s363-364)
J’ai donc la grotte braisillante toute la nuit. (ibid. F°375)
Je voudrais le [Pierre] garder jusqu’au soleil levant, pour l’avoir là (…). (ibid. F°379)
Cela [comm biffé] quand ils [Pierre et Chassaigne] reviennent vers la ville [en interligne : nouvelle] dont j’ai une description panoramique (…). (ibid. F°389)
Et j’ai maintenant Bernadette [chez biffé] à l’hôpital avec les sœurs, sa jeunesse. (ibid. F°393)
Je pose ainsi le V e chapitre de la quatrième partie, où j’aurai la grande opposition de la Grotte et de la Basilique triomphante, en face de la misérable chambre de Bernadette et de la ruine lamentable de l[a biffé]’église paroissiale. (ibid. F°396)
Je n’aurai dans cette partie que cette lutte et tout ce qui a décidé à départ [sic].– (ibid. F°398)
Je retourne à l’hôpital, et j’ai une dernière fois la salle, dans la matinée du lundi. (…) Et j’ai donc, cette salle à moitié vide, puisque tous les malades sont à la Grotte. On n’a laissé que Mme Vêtu, la femme au cancer, qui est à l’agonie ; et j’aurai donc l’épisode de la mort cette femme, à côté de Marie, exaltée, certaine qu’elle va guérir. (ibid. F°409)
Car je n’ai pas eu de nouveau la salle des ménages en bas. Et je voudrais l’avoir, ne fut-ce qu’un instant, pour retrouver tout l’hôpital. (ibid. F°413)
Je crois que j’ai là le commencement de guérison d’Elise Rouquet. (ibid. F°414)
Elle [Marie] a dit à Pierre de ne venir la chercher qu’à trois heures ; et pendant une heure et demie, j’ai Pierre seul, qui est allé se jeter sur son lit ; ou même non, qui s’est assoupi sur un banc. (ibid. F°423)
Pour remplir le chapitre, j’ai surtout deux épisodes : [celui biffé] ceux de M. Sabathier et du frère Isidore. (ibid. F°424)
Je n’ai plus comme malade à terminer que les Vigneron et les Dieulafay. (ibid. F°426)
Marie n’étant pas encore là, je n’ai qu’eux, et je distribue les épisodes, de façon à ce qu’ils emplissent bien le chapitre. (ibid. F°427)
Et ensuite j’aurai peu à peu cette excitation. (ibid. F°427)
Les malades rangés devant la Grotte, grande description ; et de façon à ce que chacun de mes malades ait son épisode, classé. (ibid. F°428)
Je ne voudrais pas avoir Pierre. (ibid. F°429)
Le miracle. Marie guérie. Et je n’ai absolument qu’elle dans ce [réci biffé] chapitre. (ibid. F°442)
Seulement, je ne suis pas sans crainte ; car j’ai déjà la Grotte, au chapitre précédent, et je ne veux pas en abuser. Je ne puis l’avoir de nouveau qu’en la rendant plus intense. – (ibid. F°443)
J’ai eu les piscines pour les hommes dans la 2e partie. J’ai ici les piscines pour femmes. (ibid. F°448)
Je puis avoir comme personnage marchant la Grivotte toujours exaltée, Sophie Couteau gaminant, Elise Rouquet aussi, avec elle. – (ibid. F°453)
Cela me donne d’abord une description (…) de l’intérieur de la Basilique, que je n’ai pas encore eue. (ibid. F°454)
Bien distri-\\buer les parties pour qu’on ait l’intense sensation de cette montée dans la foi. – (ibid. F°s461-462)
Après l’exaltation de la Grotte et de la Basilique, grâce au miracle de Marie, et à la montée par les rampes, jusqu’à la Basilique, jusqu’au ciel, j’ai la pauvre chambre. (ibid. F°472)
Je puis avoir la description en y faisant promener mes deux personnages – (ibid. F°474)
Je n’ai donc plus [là biffé] ici que les résultats, dramatisés, le rappel de ce que j’ai dit, et ce qu’il en est advenu dans les faits. (ibid. F°479)
Après l’exaltation de la Grotte et de la Basilique, (…) j’ai la pauvre chambre où Bernadette a vécu et l’église en ruine où dort Peyramale. (ibid. F°479)
Enfin, j’ai pour finir le chapitre, le déjeuner très gai qu’ils [Pierre, Marie et M. de Guersaint] peuvent faire à trois. (ibid. F°488)
D’autre part il est bien entendu que j’ai, pour l’Hospitalité, le baron Suire, Berthaud
et Gérard – (ibid. F°s511-512)
Enfin j’ai Ferrand et sœur Hyacinthe qui vont être séparés. (ibid. F°514)
Je crois que je dois me débarrasser d’avoir les Vigneron. (ibid. F°514)
D’abord, j’ai l’épisode du Commandeur à régler, qui me gêne. (ibid. F°523)
Enfin, j’ai le départ du train, avec tous les épisodes. (ibid. F°526)
J’ai aussi Ferrand et [les biffé] sœur Hyacinthe,
ainsi que sœur Saint-François, dans le fourgon de la cantine. (ibid. F°s527-528)
Puis, mes malades. Mme Vincent, qui a perdu sa fille, et qui ne peut sans doute emporter le corps : on a enterré la petite à midi, et la mère part (ne pas oublier que j’ai le voyage, tout un chapitre, et que je montrerai alors son accablement). J’ai aussi les Vigneron (…) \\. – J’ai les Dieulafay (…). (…) J’ai Mme Maze qui ne part pas (…) – J’ai M. Sabathier, toujours le même ; et je le garde pour le voyage, disant qu’il ne désespère pas. J’ai Sophie Couteau, sautillante – (ibid. F°s528-529)
Et là j’ai un retour dans le wagon (…). (ibid. F°535)
J’ai Bernadette au couvent, et sa mort. (ibid. F°591)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages, et de n’avoir dans ce chapitre que Pierre lisant
la vie et la mort de Bernadette au couvent. (ibid. F°s595-596)

Comme j’ai déjà deux phtisiques, je voudrais avoir une autre maladie, une décomposition du sang. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 37 – Notes sur Frère Isidore)
Et elle mourra au retour dans le train, ou plutôt sera ramenée mourante à Paris, pour que je n’aie pas trop de morts. (ibid. Fo 40 – Notes sur la Grivotte)
Je l’ai surtout, pour avoir une agonie dans la salle de l’hôpital. (ibid. Fo 46 – Notes sur Mme Vêtu)
Les montrer [Ferrand et soeur Hyacinthe] ainsi à l’aller et au retour, et avoir une scène à Lourdes, au bord du Gave ou ailleurs, où je développerai cette idylle. (ibid. Fo 88 – Notes sur sœur Hyacinthe)
Tout le récit de leur passé. (chap. III.- Je les remets ensemble à l’hôpital, où il y a une petite pharmacie. (…) Et je les ai encore au retour. – (ibid. Fo 90 – Notes sur Ferrand)
Je l’aurai dans le train, puis dans la salle, puis à la Grotte et aux processions, et enfin au retour. (ibid. Fo 92 – Notes sur l’abbé Judaine)
Puis, je l’aurai au moins à la procession et à la fin. (ibid. Fo 93 – Notes sur le père Massias)
A moins que je ne les mette tous les deux [Cazaban et Chassaigne], pour avoir les deux courants. (ibid. Fo 107 – Notes sur Cazaban)
Seulement comment avoir ce personnage et comment le mêler aux autres. (ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
Je l’ai donc pour finir le chapitre I de la deuxième partie, lors du débarquement (…). Puis je l’aurai une fois à la Grotte, et là la colère de Lazare ressuscité. Enfin, je voudrais l’avoir au départ, mourant sans doute (…). (ibid. Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Le docteur ne comprend pas ; et j’aurai ainsi mon lupus, une guérison que la science ne comprendra pas (…). (ibid. Fo 187 – Notes sur le Départ de Paris)

Travail (1901)

J’ai tout le siècle prochain, jusqu’à l’utopie (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 348/1)
Pour avoir un drame, le mieux est de partir des misères et des hontes de la société actuelle (ibid., f° 351/4)\\Donc, j’ai tout de suite des groupes, des drames individuels (ibid., f° 352/5)
Le mieux serait peut-être d’avoir une usine fabriquant une matière première, puis tout autour l’emploi de cette matière première (ibid., f° 353/6)
C’est qu’il y a de bon, c’est que dès le premier chapitre, j’ai de l’amour (ibid., f° 355/8)
Il faudra, par la famille de la femme et par celle de l’ouvrier son mari, avoir tous les cas des déchéances du travail actuel (ibid., f° 356/9)\\et plus tard, par leurs enfants, avoir au contraire tous les bienfaits du travail organisé (ibid., f° 356/9)\\J’ai le savant, il est à régler (ibid., f° 364/17)\\et pendant toute la troisième [partie], j’ai leur amour qui aboutit à l’union (ibid., f° 370/23)\\J’ai le drame du patron et des ouvriers (ibid., f° 370/23)
Avec l’ouvrier, j’ai le salarié par excellence (ibid., f° 376/29)\\J’ai ce coin de famille. Et j’ai l’ouvrier intelligent (ibid., f° 379/32)
Pourtant comme l’ouvrier disparaît à la fin du Livre deuxième , et ne reparaît qu’un peu au Livre troisième (…) je n’aurai donc pas d’ouvrier sur lequel je puisse montrer un bon changement (ibid., f° 381/34)\\J’aurai non seulement une fabrique de grosse verrerie, des bouteilles (ibid., f° 386/39)
mais je puis avoir encore de la verrerie artistique, ce qui me donnerait des ouvriers d’art (ibid., f° 386/39)
J’ai les paysans (ibid., f° 394/47)
Mais je veux que tout se passe chez le capitaliste, puisque j’ai eu l’usine au II et que je vais la raviver au V (ibid., f° 395/48)\\J’ai donc une petite usine dont Luc s’emparera, fera prospérer, et comment peu à peu il arrivera à déposséder les Hauts Fourneaux (ibid., f° 401/54)
J’aurai la révolution violente (?) un moment (ibid., F°403)
Pour les âges.C’est important.Luc peut n’avoir que 25 ans à la première partie (ibid., F°404)
Et si je le pousse jusqu’à quatrevingt dix ans, j’ai donc cinquante ans pour l’hypothèse de mon utopie (ibid., F°404)
Si j’ai cinquante-cinq ans d’espace, je puis les marier à 23 ans et 18 ans (…) En somme les âges iront . Mais il faut que je règle surtout un tableau des enfants pour avoir deux ou trois générations (ibid., F°405)
L’intérêt sera d’avoir les enfants de tous ces gens et de les faire agir, plus tard, dans mon hypothèse (ibid., F°415)
Il prend Bonnaire soit pour chef d’un de ces fours,soit pour contre-maître général (à voir, quand j’aurai tous les détails) (ibid., F°421)
J’ai donc Bonnaire, chef puddleur (ibid., F°422)
Mais j’ai déjà beaucoup de personnages, et je crois qu’il faut me borner le plus possible (ibid., F°423)
J’ai cette phrase : « C’est un enfant qui vient de voler un pain » (ibid., F°429)
J’ai par lui toute l’histoire du travail depuis le dernier siècle (ibid., F°435)

AVOIR À (FAIRE QUELQUE CHOSE)

Lourdes (1894)

J’ai aussi à finir madame Volmar. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°487)