VA COMME JE TE POUSSE (LE)
Lourdes (1894)
Tout le va comme je te pousse. Aucune certitude, aucune constatation vraiment définitive. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°48)
VAGUE / VAGUEMENT
Le Ventre de Paris (1873)
On aperçoit vaguement au fond la statue de la Vierge. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°144)
Les pavillons aperçus au loin, à l’intérieur, plus vaguement, dans un fouillis grisâtre – (Ibid., f°297)
Nana (1880)
Muffat a un vague soupçon du rendez-vous donné à un autre. (NAF Ms. 10313, Nana. F°68- Plan)
Surprise de Georges, vaguement inquiet. (Ibid. F°99)
Dans la obscure chambre, où traînait encore une vague odeur d’éther, leurs rires tendres expirèrent. (Ibid. F°144).
Une vague odeur de pensionnaire, de religieuse, de fille cloîtrée. (NAF Ms. 10313, Nana. F°195- Personnages).
Il y a Louise Méret, une vague actrice dont un secrétaire de directeur dans un ministère embrasse les seins décolletés. (NAF Ms. 10313, Nana. F°244- Notes).
La Terre (1887)
Puis, le candidat (vaguement orléaniste lui aussi) ayant eu des velléités d’indépendance et ayant déplu lui aussi, il est lâché par les autorités, par le préfet qui en patronne un autre. (MS NAF 10.328 La Terre F° 476/68 – Ebauche)
Le Rêve (1888)
Ce que je n’ai toujours pas, c’est l’idylle dans le terrain vague. Ce terrain est trop vague (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 290/73)
Lourdes (1894)
Puis, pourquoi il [Pierre] cède, par tendresse pour Marie et par un vague espoir d’être converti lui-même (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°158)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague et un peu mystérieux. (Ibid. F°230)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague et un peu mystérieux. – (Ibid. F°239)
Il [Pierre] est venu à Lourdes pour continuer son enquête sur Bernadette, et vaguement pour tenter de recouvrer la foi. (Ibid. F°372)
Il [Pierre] reste très troublé (…). Toujours l’espoir vague de croire. (Ibid. F°372)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague. (Ibid. F°519)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part mais tout cela vague et un peu mystérieux. (Ibid. F°530)
Mais il faut lui donner une hérédité nerveuse, en faire une neurasthénique. Par son père, je crois. Lui, un peu un déséquilibré, avec un père vaguement fou. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
VAINCRE
Lourdes (1894)
Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
(…) si mon roman se passe de nos jours ? (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s57-58)
VALABRÈGUE (Anthony)
(1844-1900) Ami de Zola.
Nana (1880)
Hector de la Faloise. – Un Valabrègue, plus chic. (NAF Ms. 10313, Nana. F°173- Personnages).
VALEUR
Nana (1880)
[Muffat] Cela donnera plus de valeur à chacune de ses déchéances. (NAF Ms. 10313, Nana. F°188- Personnages).
Le reste, les divers épisodes n’ont que la valeur de faits secondaires destinés à mettre l’œuvre debout. (NAF Ms. 10313, Nana. F°232- Ebauche).
VALOIR
Voir aussi : Bien ; défaut ; mieux ; préférer ; trop. Zola ne se contente pas d’inventer motifs et scénarios, de les distribuer, de les transformer, il évalue en même temps (en « bien », en « mieux », en « trop » en « pas assez » ou en « mauvais ») ces inventions, ces distributions et ces transformations au moment même où il les produit. D’où un vaste discours évaluatif, plus ou moins explicite, qui accompagne la mise en place du roman et les opérations de la mise en texte, et qui témoigne du système de valeurs (esthétique, mais aussi idéologique au sens plus large) de l’écrivain Zola.
Bibliographie : Philippe Hamon : Texte et idéologie (Paris, PUF, 1984)
Vincent Jouve : Poétique des valeurs (Paris, PUF, 2001)
Le Ventre de Paris (1873)
Non, il vaut mieux ne pas parler du tout de ce côté de la famille. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 105)
Claude demeure on ne sait où ; cela vaut mieux. (Ibid., f° 105)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Le dernier mot d’Albine. Il vaudrait mieux qu’elle ne parlât pas. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 24)
On se serait caché au village. Mais cela est trop raide. Il vaut mieux ma première version. (Ibid., La Bible, f° 66)
La Terre (1887)
C’est lui qui a le champ convoité par Bonhomme. Mais quand il meurt, il le donne par testament à Louise, que Bonhomme prend alors chez lui. – Non, tout cela est compliqué et ne vaut rien. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 413/14- Ebauche)
(…) S’il le traverse, on doit payer des indemnités pour l’élargir ; s’il le contourne, on peut demander à le rectifier, à le mettre droit, ce qui entraîne aussi des indemnité [sic] : cela vaudrait mieux peut-être. (Ibid., f° 474/66)
(…) Mais quand il veut épouser la servante, elle refuse ; et il incendie la ferme. Cela vaut beaucoup mieux. (Ibid., f° 490/82) Je l’ai dit fertile, il vaudrait peut-être mieux alors que Buteau n’ait pas pu la prendre (MS NAF 10329 La Terre f° 50 – Personnages, Françoise Fouan)
Le Rêve (1888)
Tout cela est très banal, il faudrait que ce fût exquis pour valoir quelque chose (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 220/4)
(…)Il cause seulement avec les Hubert. Cela a le défaut de le matérialiser, de dire qui il est, et il vaudrait /faudrait surchargé, ou inversement/ mieux le laisser dans l’inconnu (Ibid., f° 259/42)
(…) Ca vaut mieux (Ibid., f° 306/89)
Cela vaudrait mieux (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 100)
(voir si le contraire ne faudrait / sic, pour : vaudrait / pas mieux, la sortie par la grande porte, la rentrée par la petite (pas de fermeture de la parenthèse- premier plan du chapitre VIII, f° 113)
Lourdes (1894)
Peut-être vaudrait-il mieux [n’avoir biffé] avoir un père veuf, dont je ferai un type : heureux de voir les Pyrénées. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°76)
Je crois qu’il y a des cérémonies
religieuses à [Angers biffé] Poitiers. (…) Peut-être pourtant, [faudr biffé] vaudrait-il mieux n’avoir que la gare. (Ibid. F°s175-176)
Si je fais monter Sophie Couteau, seulement au début de ce chapitre, je l’installe tout de suite, et je donne son portrait physique. Cela vaudrait sans doute mieux. (Ibid. F°192)
Cela vaut mieux, chauffe [d’av biffé] davantage la scène, emploie toute la journée. (Ibid. F°269)
Et les [les Dieulafay]
montrer au balcon (…). Cela vaudra mieux que de les mettre en voiture à voir. (Ibid. F°s344-345)
Ne vaudrait-il pas mieux (…) préparer des générations fortes pour demain ? (Ibid. F°555)
Ne [fa biffé] vaudrait-il (…) préparer des générations fortes pour demain. (Ibid. F°583)
Peut-être valait-il mieux que Bernadette fût restée à Saint-Gildard, que de triompher à Lourdes. (Ibid. F°596)
Il rêve de grande charité, mais cela vaudra surtout à la fin, avec l’idée d’une religion de la souffrance humaine. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Je fixerai sa maladie ou peut-être [fa biffé] vaudrait-il mieux la laisser mystérieuse aussi. (Ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Je puis faire que son mari soit à Cauterets. Mais il vaudrait peut-être mieux le laisser complètement à l’écart (…). (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Travail (1901)
Cela faut [sic] mieux qu’un poète (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 364/17) \\Non, il vaudrait peut-être mieux, pour le symbole, que ce fût un petit frère (Ibid., f° 369/22)
Mais il vaudra mieux peut-être ne pas éparpiller trop l’intérêt sur trop de personnages, de types (Ibid., f° 380/33)
VALTESSE DE LA BIGNE
(Lucie Delabigne, dite) (1850-1910) Actrice et courtisane.
Nana (1880)
Valtesse et Sarah. (NAF Ms. 10313, Nana. F°97- Plan)
Nana se donnant aux amis. Le mot de Valtesse. (Ibid. F°147).
Le mot de Valtesse surprise par un amant avec un jeune homme. (NAF Ms. 10313, Nana. F°277- Notes).
VARIER
Le Rêve (1888)
Pour varier, je puis amener Félicien qui ment, qui se donne comme un dessinateur, ou autre chose (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 258/41)
Lourdes (1894)
Le chapitre de fin consacré à Bernadette. Je crois que, pour varier, il faut en faire un récit du docteur Chassaigne à [Bernade biffé] Pierre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°391)
VARIÉTÉ
Le Ventre de Paris (1873)
Création curieuse à faire. Pâle, mince, variété du ventre lymphatique. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 100)
Il cause encore avec les porteurs, le montrer souriant au milieu des porteurs sales, les vieux, les jeunes voyous, enfin toutes les variétés. M. Jules. (Ibid., f° 109)
Lourdes (1894)
Prêtres mondains comme Des Hermoises (c’est à propos de lui que je montrerai défilant dans Lourdes toutes les variétés). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°348)
Enfin toutes les variétés [de prêtres], à chercher et à trouver. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 96 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
VASSARD
Régisseur des Halles.
Le Ventre de Paris (1873)
[…] un régisseur, moyennant un forfait fixé, au maximum, à 190 000 fr. (M.M. Couprie, Héron et Vassard.) (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338,fo 236/20)
VASTE
Lourdes (1894)
Mettre en lui les deux hérédités, son père et sa mère : son vaste cerveau développé, la tour, vient du père (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 6 – Notes sur Pierre Froment) ==== VENIR (ME) (EN) ====
Voir aussi : revenir
Le Ventre de Paris (1873)
Types à trouver quand j’en viendrai à étudier ces personnages de plus près. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 74)
La Conquête de Plassans (1874)
Comme marche générale dans l’œuvre, il est temps de revenir à Plassans, où, de longtemps, je ne pourrai remettre les pieds (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
C’est Mouret qui peut les expliquer d’une façon …., un soir dans son jardin, d’abord en gros, sans l’histoire des personnages qui viendront au fur et à mesure. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Serge doit en venir à ne plus chercher sa consolation dans aucune créature. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Extraits de L’Imitation, f° 37) \\L’allure lente d’Albine au travers de la futée. Posée, déjà grande personne (voilà des coins où je ne suis pas venu), récit d’Albine. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Le Paradou, f° 45)
Nana (1880)
Mais les détails ne doivent venir que peu à peu, à mesure des invitations, pour se compléter à la fin. (NAF Ms. 10313, Nana. F°26- Plan)
Les jeunes gens qui arrivent, que Nana a invités et qu’elle a oubliés. Ils viennent tous d’un ministère, celui de l’intérieur, pas loin. (Ibid. F°41)
En tous cas, Muffat viendrait nuittament (sic), deux ou trois fois, et je finirais d’établir la liaison de Juillerat et de la comtesse. (Ibid. F°64)
Là poser aussi l’article chronique de Fauchery, la Mouche d’or, qui vient d’en bas, qui se pose sur la m. et qui pourrit en haut. (Ibid. F°68)
Voir si une lettre de Georges ne viendrait pas bien là (Ibid. F° 69)
L’idée d’une séparation peut venir à Muffat. (Ibid. F°75)
Je vais (sic) venir Georges, qui débarque à l’instant à Paris : « Tiens ! Zizi ! » (Ibid. F°95)
C’est là que Cartier peut venir offrir à Simonne Cabiroche de la lancer. (Ibid. F°96)
(Il faut que Fauchery vienne très tard ; cet épisode sera le dernier du bal.). (Ibid. F°133)
Venot pourra venir pour le trouver là, à la suite de quelque chose chez la comtesse, une disparition, ou mieux. (Ibid. F°143)
Mais cela vient sur Bismarck, alors Tatan Néné – Et l’empire et le reste – (Ibid. F°157)
Je ne mettrais pas d’homme dans la chambre de Nana. Seulement, j’en ferai venir jusqu’à la porte. (Ibid. F°162).
Je la [Rose Mignon] ferai venir au lit de mort de Nana. (NAF Ms. 10313, Nana. F°185- Personnages).
La mère viendrait et verrait son sang. (NAF Ms. 10313, Nana. F°211- Ebauche).
Lucie se lève, très digne, et avec un geste dramatique qui lui vient du Théâtre de la Tour d’Auvergne où elle a joué crie au chasseur effaré sous ses aiguillettes et ses culottes de peau (NAF Ms. 10313, Nana. F°246-Notes).
Le Rêve (1888)
Mais un scrupule m’est venu, dont l’examen est plus grave (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 302/85)
Mais sans détail. Cela ne viendra qu’au IV. (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
Lourdes (1894)
Et tout ce qui est en nous, l’idée de l’infini, le besoin de justice et d’égalité, d’où cela vient-il ? (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°27)
Quand elle [l’humanité] a touché (…) l’injustice de la nature (d’où nous vient donc l’idée de justice ?), la misère de tout, elle a besoin de faire un appel à un pouvoir mystérieux (…). (Ibid. F°40)
Au temps de foi, de croyance, est-ce qu’on appelait la science à prouver Dieu ? Que vient-elle faire ici ? (Ibid. F°49)
Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille (…) et que, dès lors, venant après Lourdes, l’intérêt ne monte pas (…) \\. (Ibid. F°s61-62)
D’autre part les mots : « Je suis l’Immaculée conception » sont très singuliers dans la bouche de cette enfant. On a pu les lui souffler, car ils sont venus
à l’avant-dernière apparition. (Ibid. F°s62-63)
L’idée m’est venue de me mettre moi-même, sous une incarnation. (Ibid. F°72)
Il rêve de grandes charités (mais cela viendra surtout à la fin, après Lourdes, avec l’idée d’une religion de la souffrance humaine.[)] (Ibid. F°94)
Même l’arrière-pensée de faire un dernier effort de croyance, de s’anéantir lui-même dans la foi, si la foi vient – (Ibid. F°98)
La mère 50 ans, la fille 23 ; et quand la fille viendra annoncer que c’est fait, la mère dira : « J’avais demandé le succès à la Vierge ». (Ibid. F°101)
Pour avoir un drame d’intérêt, il suffirait que le petit ait sur sa tête un héritage, que les parents perdraient, s’il venait à mourir. (Ibid. F°109)
Et c’est tout je crois. Le commandeur ne viendra qu’à la fin. (Ibid. F°233)
Bien peindre ce tohu-bohu dans le jour levant, un beau soleil qui viendra tout à l’heure. – (Ibid. F°250)
Peut-être là les premiers pèlerinages du Père Picard. (…) Cela viendrait, en le posant, comme un maître homme. (Ibid. F°255)
Les couvents aussi doivent venir dans ce chapitre. (Ibid. F°339)
Je viens de la [Bernadette] montrer restée enfant, aimant à courir, à jouer. (Ibid. F°573)
Bernadette ne sait point encore le nom de la Dame. « Elle ne m’a point dit qui elle était. » Important. Le nom viendra plus tard. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 239 – Notes sur H. Lasserre)
Ça commençait par les petits et les humbles, et l’Evêque ne devait venir que plus tard. La comparaison toujours. (Ibid. Fo 248 bis – Notes sur H. Lasserre)
VÉNUS
Au bonheur des dames (1883)
(…) la scène finale, où je la montrerai comme Vénus triomphe (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, f° 13)
VERGEZ
(Docteur Henri) Médecin des eaux de Barèges qui constata, avec le Dr Dozous, les premières guérisons à Lourdes.
Lourdes (1894)
Les médecins qui ont constaté, les témoins. Dozous d’abord, dès la 3e apparition. Vergez (de l’école de Montpellier) et d’autres. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 162 – Notes sur les Miracles)
L’histoire de Lourdes a été écrite en entier par des médecins. Dozous, Vergez, ou St-Maclou, etc. (Ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Enquête sur les guérisons. On les soumettait à deux médecins, Vergez et Dozous. (Ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre)
VÉRITABLE
Le Ventre de Paris (1873)
J’ignore encore si je mettrai la police véritable dans l’œuvre (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 78)
Le Rêve (1888)
Donc un véritable héroïsme (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 163)
Lourdes (1894)
Un véritable wagon d’abomination, toutes les misères. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°142)
Cela donne la description de la première bousculade dans la nuit et la confusion, un véritable escamotage. (Ibid. F°226)
Mon docteur Chassaigne ne représentera pas la véritable [sic]. (Ibid. F°277)
S’est mise dans l’hospitalité par véritable dévouement à la douleur. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 71 – Notes sur Madame de Jonquière)
Le Bureau des Constatations, véritable clinique. (Ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
J’ai vu pourtant pour le train vert une véritable bousculade. (Ibid. Fo 188 – Notes sur le Départ de Paris)
Mais quand elles ont le grand tablier bleu (…) \\, elles sont vraiment éclatantes, la gaieté du train, très propres, éblouissantes et vives, véritablement immaculées. (Ibid. Fos 190-191 – Notes sur le Départ de Paris)
Il ne s’est pas adressé à la source adverse ; c’est là qu’il faudrait frapper, si l’on voulait écrire la véritable histoire. (Ibid. Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)
VÉRITÉ
Nana (1880)
Poser toutes les femmes ; leurs mensonges et la vérité. (NAF Ms. 10313, Nana. F°41- Plan)
Et madame Lerat restait saisie, parce qu’elle avait le respect de l’amour. La vérité était qu’elle devenait plus inquiète chaque jour, en voyant que Nana lui laissait le petit Louis sur les bras (…). (Ibid. F°42-verso).
La Terre (1887)
L’oncle sera à peine une silhouette. (…) Il le faut moins riche que son frère : il pourra toujours se plaindre que son lot lors de l’héritage a été moins bon. La vérité est qu’il a laissé péricliter la terre. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 440/41- Ebauche)
Lourdes (1894)
Il faut aussi que j’aie les procès verbaux du commissaire Jacomet, enfin tous les dossiers administratifs de l’époque. Ce n’est pas là où je trouverai la vérité. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°64)
Mais moi, si je veux rétablir la vérité, je n’ai qu’à reprendre l’affaire, l’enquête, au point où elle a été abandonnée. – (Ibid. F°65)
Mon docteur Chassaigne ne représentera pas la véritable [sic]. (Ibid. F°277)
Voir comment je la [Mme Vêtu] ferai mourir, résignée ou non. (…) A voir, pour le plus d’intensité et de vérité ! (Ibid. F°410)
De même, que de tableaux intéressants à faire avec les pèlerinages (…). On prétend qu’il se passe là de terribles choses. Il faudrait savoir les dessous, la vraie vérité. De même, la vraie vérité [pour biffé] sur la façon dont l’affaire a été menée, lancée, et dont elle est en \\tretenue. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 211-212 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Le doute qu’on la console [l’humanité] jamais avec la vérité, qu’on arrive à la rendre suffisamment heureuse, pour qu’elle ne soit pas tentée toujours de se rejeter dans l’ignorance (…). (Ibid. Fo 216 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Travail (1901)
mon besoin de vérité et de justice éclatant enfin (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 350/3)
VERRIER
(profession artistique) Voir : Vitrail.
VERS
La Conquête de Plassans (1874)
Plassans (…) où je ne pourrai remettre les pieds. Vers la fin seulement (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Toute la bataille politique (…) elle réussira vers le milieu du volume, ou vers les deux-tiers (Ibid.F°33)
Lourdes (1894)
Et il faudra que je dise, vers la fin du chapitre sans doute, un mot de tous les autres trains du pèlerinage. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°131)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (Ibid. F°398)
La salle Sainte-Honorine, mais le matin, vers neuf heures, après le départ des malades, et par un beau soleil. (Ibid. F°400)
VERSION
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
On se serait caché au village. Mais cela est trop raide. Il vaut mieux ma première version. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, La Bible, f° 66)
Lourdes (1894)
Elle [Bernadette] n’aurait pas été dans l’eau, comme le dit une autre version. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
VÉSINIER
Modèle de personnage réel, connaissance de Zola.
Le Ventre de Paris (1873)
un ouvrier comme Gaillard, un bossu comme Vésinier (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 101)
VEUILLOT (Louis)
Journaliste (rédacteur en chef de l’Univers) et homme de lettres (1813-1883) aux idées ultramontaines.
Lourdes (1894)
Tout ce monde autour de B. Veuillot, Mme l’amirale Bruat. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
VIBRANT
La Terre (1887)
Le braconnier, seul farouche, disant ce qu’il pensait, leur reprochant d’être les plus forts et de se laisser mener comme un troupeau. Très net, très vibrant, et cela suffira. (MS NAF 10.328 La Terre. F° 477/69 – Ebauche) ==== VIDE ====
Lourdes (1894)
Il me faudrait certaines histoires à côté pour emplir certaines parties qui restent un peu vides. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°100)
Je crains que le chapitre ne soit un peu vide. – (Ibid. F°550)
VIE
Nana (1880)
Constance Violet vivant avec sa mère qui ne la quitte pas. (NAF Ms. 10313, Nana. F°266/26- Notes).
L’écroulement de sa vie digne. (NAF Ms. 10313, Nana. F°70- Plan)
La vie de Satin. Nana passe des heures chez elle. (Ibid. F°80)
Alors Nana devint chic et entra dans la haute vie. (Ibid. F°98)
La vie du harem, baillant, inoccupée, lisant le Figaro, jouant aux cartes. (Ibid. F°104)
Le cercle, la haute vie. (Ibid. F°125)
Maintenant, la fêlure grandissait, dans le détraquement d’une vie de femme se gaspillant en caprices d’argent et de cœur (Ibid. F°142- verso)
En un mot, j’entends rester humain et simple, sans complication machiavélique. Ce qui se passerait dans la vie. (Ibid. F°149).
[Daguenet] maintenant tripote à la Bourse, gagne quelque argent et continue sa vie avec les filles. (NAF Ms. 10313, Nana. F°172- Personnages)
[Fauchery] se crée des ressources avec des chroniques sur la haute vie dans un journal très lu. (Ibid. F°174)
[Labordette] Aucun revenu connu et pourtant vie à grandes guides. (Ibid. F°182)
[Madame Maloir] Les histoires de sa vie, qu’elle raconte, se démentent l’une l’autre. (Ibid. F°184)
[Nana] Il faudra raconter sa vie antérieure. (Ibid. F°191)
[Satin] Sa caractéristique est de mener une vie si sale, si désordonnée, qu’elle ne peut sortir du vice d’en bas. (Ibid. F°196).
Ne pas oublier la vie d’en bas et le théâtre. (NAF Ms. 10313, Nana. F°213- Ebauche)
Il [Labordette] mène la grande vie. (Ibid. F°237).
Se plaint des misères luxueuses de son existence, du vide de sa vie (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°241/1- Notes)
Gaspillage d’argent, de vie, etc.
Garçon ayant mangé sa fortune avec elle (sic), gagnant sa vie à la Bourse (…). (Ibid. F°253).
Au bonheur des dames (1883)
Mettre beaucoup plus d’analyse que dans Pot-Bouille tout en gardant le plus de vie dramatisée (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, f° 14)
VIE DES SAINTS
(livre de piété) voir aussi : saint(e) s) ; Légende dorée.
Le Rêve (1888)
Elle aura lu l’histoire sainte, le catéchisme, la vie des saints, quelque voyage . C’est surtout avec la vie des saints que je puis la faire toute (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 241/24) \\(…) Rien au delà de la Vie des saints (Ibid., f° 242/26) \\(…) Il me faut un épisode où, ignorante de tout, enfermé /sic/ dans sa vie des saints, elle
rêve le monde qu’elle ne connaît pas (Ibid., f°s 243/27-244/28)
(…) Angélique questionnée, ou lisant la Vie des Saints
ou les voyages, et disant le roman qu’elle rêve, le prince /bleu raturé/ charmant (Ibid. f° 244/28- 245/29)
(…) Je reprends Angélique ignorante rêvant la vie à travers la vie des saints (Ibid., f° 253/37)
(…) Elle rit, lit la vie des saints (Ibid., f° 270/53)
Une lecture de la vie des saints (?) (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 50. A reclasser sans doute dans le dossier Ebauche)
La Vie des Saints (MS NAF 10323, f° 2, Plan, Plan du chapitre II)
En outre influence du travail des broderies. La Vie des Saints . Le mysticisme, la légende, l’au-delà (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 25)
Ajouter La Vie des Saints qu’elle lit, dire surtout l’artiste qu’elle devient (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 26) \\(…) Le catéchisme, l’histoire sainte, La Vie des Saints (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
La Vie des saints (premier plan du chapitre III, f° 47)
une lecture de la vie des saints (?) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
Elle (…) travaille, s’occupe du ménage, lave (une scène de lavage irait bien dans le terrain), lit la
Vie des Saints (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° s 151-152)
VIERGE
(Marie, mère du Christ ; personnage de femme martyr, personnage de l’Histoire religieuse catholique; toute femme n’ayant jamais eu de rapport sexuel) voir aussi TYPE
Le Ventre de Paris (1873)
la cousine au contraire l’aimerait ; un petit type de vierge égarée parmi des harengères (à trouver). (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 70)
Nana (1880)
Elle veut renvoyer Bébé et tombe en vierge dans les bras de cet enfant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°58- Plan).
[Satin] une figure de vierge raphaélesque (NAF Ms. 10313, Nana. F°196- Personnages).
Le Rêve (1888)
Brodeur pour église, des vierges, des saints sur des vêtements (MS NAF 10323, Ebauche, Le Rêve f° 230/14)
(…) mettre une vierge dans l’église (Ibid., f° 250/34)
Puis (…) en séparant chaque morceau par Angélique souffrante, les statues des vierges à droite et à gauche (…) cela me donne la description (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 5)
(…) Et les vierges alors : Sainte Elisabeth pour l’humilité, Sainte Agnès pour la chasteté (…) et sainte Catherine (…) les autres vierges en un morceau. Excellence de la virginité (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 21) Alors Sainte Agnès contre ses mouvements sexuels, et toute la partie que j’ai appelé les Vierges (Ibid., Premier Plan détaillé du chapitre II, f° 35)
Des voix, les saintes, les vierges qui sont là (Ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 94)
Sainte Agnès et les autres vierges (…) et Sainte Catherine aussi (Ibid., plan du chapitre IX, f° 124)
La légende, une dernière apparition des Vierges, Agnès, Catherine, Barbe, toutes, les reprendre avec leurs attributs (…) L’idée de virginité (Ibid., deuxième plan du chapitre XII, f° 162)
Je voudrais là, ou au chapitre suivant, le rappel des Vierges de la Légende dorée. Elles repasseraient (…)Faire ainsi revenir l’idée de virginité . Elle aussi mourra vierge (…) le livre lui-même peut revenir (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168) ==== VIEUX/VIEILLI ==== (langage)
Le Rêve (1888)
La Légende dorée. Citations en vieux langage (…) D’abord on n’a que regardé des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire le texte , s’est accoutumée aux lettres gothiques, aux quelques vieux mots hors d’usage , aux tournures vieillies, abréviations, contraction de certaines consonnes, article joint au substantif sans apostrophe. (NAF MS 10323.2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)
(…) Citations en vieux langage (Ibid., ;F° 21)
Prendre la légende de Saint Georges dans la Légende dorée , vieux français ( premier plan du chapitre IV f° 70)
VIF, VIVE / VIVEMENT
Lourdes (1894)
Un peu intellectuel ; car, si je lui donnais des passions trop vives, il devrait lutter et ne résisterait peut-être pas. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°79)
C’est là surtout mon vif désir : que la douleur aille en montant jusqu’au IV (…). (Ibid. F°155)
Elle [sœur Hyacinthe] (…) charge sœur Claire des Anges de courir chercher le père Massias, qui porte avec lui les Saintes Huiles. Cela en conversation, très vif. (Ibid. F°165)
Dans le buffet, elle [Mme de Jonquière] se dépêche d’avaler. Sa fille indiquée avec son caractère. Tout cela très vif, même très gai. (Ibid. F°170)
Alors (…), je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables, toujours avec Pierre mêlé et assistant. – (Ibid. F°297)
Rappeler que Berthaud craint surtout la bousculade, pendant cette procession. Tout cela d’abord, vivement. (Ibid. F°432)
VIGOUREUX
La Curée (1872)
Il ne faut pas oublier que mon roman est le tableau vigoureux du déchaînement des appétits (MS NAF 10 282, La Curée, f°297 / Premiers détails).
VILAIN
Nana (1880)
(…) il [Bordenave] la lance, refait des affaires grâce à elle (une vilaine) ; puis il est nettoyé méthodiquement par Caroline Héquet. (NAF Ms. 10313, Nana. F°234-Ebauche).
Lourdes (1894)
Ce serait vilain de mettre [la vér biffé] la conclusion en dehors du bonheur par la science et par la raison. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°277)
VIOLENCE / VIOLENT / VIOLEMMENT
Lourdes (1894)
Mais dans le début du livre opposer violemment les deux frères, trouver quelque chose qui les jette l’un contre l’autre comme des loups. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°17)
Enfin toute la bataille sociale dans sa violence, la lutte pour la vie. (Ibid. F°23)
Les
anarchistes veulent qu’il n’y ait plus de pauvres, et ils tâchent d’y arriver par des moyens violents. (Ibid. F°s41-42)
Il veut un idéal plus humain (…) : de là (…) même les anarchistes voulant arriver violemment à un âge d’or, tous égaux, tous heureux, une justice distributive absolue. (Ibid. F°52)
Et il se serait fait une opinion. Ainsi, au premier mot du médecin, [aurait biffé] refuse-t-il presque violemment. (Ibid. F°97)
On lisait le mois de Marie de Lasserre dans les églises (en mai, 30 jours). (…) Violent intérêt, gros succès du livre, et grotte lancée (éb. 137). (Ibid. F°200)
Garder la [bon biffé] bousculade, mais pousser l’émotion jusqu’au plus violent effet possible. (Ibid. F°437)
Mais surtout l’opposition violente : la Grotte avec son rayonnement de cierges, à cette chambre, obscure, humide. (Ibid. F°472)
N’est-ce pas dangereux et lâche, de laisser vivre la superstition. Ne faudrait-il pas plutôt en opérer violemment l’humanité (…). (Ibid. F°555)
Pierre s’est violemment apitoyé– (Ibid. F°581)
N’est-ce pas dangereux et ladre de laisser vivre la superstition ? Ne faudrait-il pas plutôt en opérer violemment l’humanité (…) \\. (Ibid. F°s582-583)
Violemment l’abbé quitte la Grotte, laissant la malade. (Ibid. F°602) ==== VIOLLET-LE-DUC ==== Architecte français.
Le Rêve (1888)
Notes Viollet-Le-Duc (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes, f° 103)
Viollet-Le-Duc (Ibid., f° 121)
VIRGINIE (ET PAUL)
Personnages du roman de Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, publié en 1788.
Le Rêve (1888)
On a dit que le succès, le livre attendu veux-je dire, serait « Paul et Virginie » refait. Refaisons donc « Paul et Virginie » (…)
Paul et Virginie, pureté parfaite (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 217/1- f° 218/2).
VIS-À-VIS
Le Ventre de Paris (1873)
Lisa vis à vis de Charles, qui l’inquiète. Cet homme a eu faim, il est dangereux. Peut-on avoir faim ! (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 57)
Lisa livrant Charles, c’est Lisa vis à vis de la famille. Je la compléterai en la mettant en face de sa sœur Gervaise (Ibid., f° 65)
Vis à vis de la famille donc, égoïsme parfait. Vis à vis de la société, même tactique. (Ibid., f° 65)
La Conquête de Plassans (1874)
Les enfants vis-à-vis de lui (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F˚ 4)
Nana (1880)
Terminer par la comtesse et Estelle vis-à-vis de Fauchery et de Daguenet. (NAF Ms. 10313, Nana. F°62- Plan)
Le m. de Chouard a affecté de se fâcher avec son genre (sic), à cause de sa conduite vis-à-vis de sa fille Sabine (Ibid. F°146).
Il se conduit vis-à-vis d’elle en mari convenable, paternel. (NAF Ms. 10313, Nana. F°229- Ebauche).
Lourdes (1894)
Enfin l’utiliser [Pierre] vis-à-vis de tous les personnages. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°179)
VISIBLE
Lourdes (1894)
Encore une poitrinaire. (…) Le 25 août 89, elle est simplement allée prier à la Grotte. Seul acte extérieur visible. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 168 – Notes sur les Miracles)
VISION
Travail (1901)
Puis je pousse la vision plus loin et j’en arrive à la commune anarchiste (F°403)
VISITE / VISITER
Lourdes (1894)
Je tiens absolument à ne pas sortir du temps présent, et je ne pourrais sans doute avoir le passé que par des visites (…), de façon à ne pas trop couper l’intérêt du récit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°59)
Puis, par un artifice, je finirai par une visite à l’église du curé Pyramale, et par une visite à la chambre de Bernadette. (Ibid. F°71)
Sur les pères dont on aperçoit l’habitation. – (…) Ma visite aux Pères (M.V. 23). (Ibid. F°331)
Ma visite aux Pères et à l’Hospitalité (Eb. 23). (Ibid. F°348)
Et poser là sans doute la Grotte tout entière, telle que je l’ai visitée, en y faisant entrer Pierre. (Ibid. F°375)
Visite de mon prêtre à la chambre de Bernadette et à l’église en ruine. Comparaison. (Ibid. F°604)
VITE
Nana (1880)
On a commencé, lancé dans l’escalier, avec les artistes passant vite et vu (sic) par la porte laissée ouverte (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°49- Plan)
Comme Rose descend vite pour son entrée, elle trouve Fauchery et Mignon se roulant par terre. (Ibid. F°51)
Nana a donc loué un appartement garni avec Fontan. L’argent va vite. (Ibid. F°83).
Le Rêve (1888)
Pour aller moins vite en besogne, peut-être d’abord pas de passion (MS NAF 10323, Le Rêve,Ebauche f° 257/40)
VITRAIL
(verre/verrier) (genre de création artistique à base de plomb et de verres colorés)
Le Rêve (1888)
Le vitrail qu’elle voit de chez elle
(…) C’est un chapitre cela qu’il faut finir par la vue du vitrail tous les soirs et par une scène où elle éclate en larme en le regardant (NAF MS 10323 Ibid., f°s 254/38-255/38 bis) Un ouvrier primitif. Je puis lui faire réparer par amusement un vitrail de l’église ( Ibid., f° 301/84- Ebauche)
(…) le vitrail est celui d’une salle basse, d’une salle des gardes par exemple, et il représentera un jeune dieu avec une déesse ou encore une scène mythologique (…) je trouverai un moyen pour l’éclairer à l’intérieur (Ibid., f° 310/93).
Le vitrail est de l’époque où Jean II a donné les deux cent mille livres (…) on pourrait faire que les vitraux soient de cette époque, un peu plus tard (NAF MS 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 265) \\ (…) Ces armes comme vitrail seraient de 70 à 80 ans plus jeunes comme travail (//Ibid.//, f° 266). \\
Les Vitraux (NAF MS 10324 Le Rêve f° 271- Notes sur les vitraux Ibid., f° 273 et suiv.) \\Les vitraux remplacés par des vitres sous Louis XIII (commencement du XVIIè) (Ibid., f° 396/3-Notes sur la maison des Hubert)
(…) garder les vitraux (Ibid., f° 398/5)
(…) Voir à garder des vitraux (Ibid., f° 399/6)
Cette chapelle dédiée à Saint Georges aurait donc le vitrail du saint (…) Angélique verrait donc continuellement ce vitrail de Saint Georges (NAF MS 10323 Le Rêve f° 52 sans doute à reclasser dans le dossier Ebauche ou Plan).
Le vitrail éclairé par derrière. Détails d’architecture ( MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
Donc la fenêtre de la chapelle Hautecoeur. La décrire. Le vitrail voir la note pour date et composition (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
Il semblera se dégager du vitrail (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 59)
la lune éteint le vitrail, elle ne voit plus le personnage (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Le vitrail éclairé par derrière (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 62)
Puis la venue lente du prince, par tous les sens, et qui semble se dégager, descendre d’un vitrail (Ibid., Premier plan du chapitre IV, f° 63)
Le vitrail qu’elle voit dans le château le soir (…) trouver le vitrail (…) Elle peut éclater en larme un soir en regardant le vitrail (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 64)
la lune éteint le vitrail, elle ne voit plus le personnage (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 65)
La ressemblance avec le vitrail (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
ce que fait le duc (le vitrail éclairé) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 68)
Si Félicien répare le vitrail, il faut un échafaudage. Voir la note sur les vitraux (…) Le vitrail, date, composition (Ibid., f° 71)
L’échafaudage pour la réparation du St Georges (vitraux) (Ibid., f° 73)
Il faudrait que je fisse réparer par Félicien le vitrail de Saint-Georges, ou un autre (…) Il répare le saint-Georges dont des vitraux sont cassés (…) (Voir la note Vitraux) (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Félicien peintre verrier, ouvrier primitif (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 92)
Puis c’est Félicien qui parle le premier. Il lui dit longuement comment il l’aime, depuis quand (la création, le vitrail, le linge, les pauvres) (Ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
La création de l’amant, le vitrail , le linge, les pauvres et la mitre en bas (…) (le peintre verrier) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Tout s’y fond, l’attente, la création de l’amant, le vitrail, la Légende (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98)
Tout l’au-delà des voix, de l’idéal, du vitrail se fondant dans son Je vous aime (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 100)
Elles sont près de la chapelle Hautecoeur, le vitrail restauré, le vitrail au jour tombant (Ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
La ressemblance avec le vitrail (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 109)
la ressemblance avec le vitrail (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 114)
Pour le vitrail de la chapelle, consulter la note sur les Vitraux (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 141)
Les vitraux réparés par Félicien reviennent (…) Finir le vitrail (Notes sur les vitraux) (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 157)
Félicien, peintre verrier, ouvrier primitif (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)
La chapelle des Hautecoeur dédiée à Saint-Georges doit revenir. Les tombeaux, le vitrail, etc. (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)
Lourdes (1894)
D’abord, je voudrais mettre partout Bernadette, la détacher sur tout le roman. Une petite figure de vitrail, mais telle qu’elle a été. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°30)
Faire cela, comme tous les chapitres qui la [Bernadette] concernent, avec une très grande délicatesse, un peu mystique, avec des tons de vitrail. (Ibid. F°595)
VIVANT
La Terre (1887)
Je veux faire le poème vivant de la terre (MS NAF 10.328 La Terre. f° 400/ 1 – Ebauche)
Le Rêve (1888)
Tout cela dans le terrain vague, avec des détails vivants (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 259/42)
Lourdes (1894)
Faire ce chapitre [III de la première partie] en épisode, très vivant, et avec cette idée constante que la souffrance doit monter. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°178)
Les dames hospitalières, tout en scène, et très vivant. – (Ibid. F°601)
Récit du malade, imagé, vivant, plein d’émotion toujours, amertume du passé, bonheur du présent. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 164 – Notes sur les Miracles)
Travail (1901)
Difficulté pour faire, avec cela, un livre vivant et humain (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2) \
VIVEMENT
Le Ventre de Paris (1873)
Alors, voici ce que j’invente : l’inspecteur de la marée est un garçon faible (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 96)
(étudier vivement avec elle le type ancien) (Ibid., f° 106)
VOGUË (de)
Lourdes (1894)
Y a-t-il un compromis possible entre la science et la foi ? C’est ce que paraît espérer de
Voguë. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s49-50)
J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. Ce serait pour mettre (…) dans le second, tout le néo-catholicisme ou plutôt le néo-christianisme de cette fin de siècle. De Voguë et les autres. (Ibid. F°60)
Dans ‘‘Rome’’ il [Pierre] pourra essayer une tentative de concilier la foi avec l’esprit moderne (de Voguë) et il échouera encore. (Ibid. F°94)
VOICI / VOILÀ
La Curée (1872)
Et voici le coup de théâtre qu’il imagine (MS NAF 10 282, La Curée, f°347). – Voici donc les éléments [= élément de l’intrigue] (MS NAF 10 282, La Curée, f°304). – Voici l’histoire des filles [les filles Béraud : Renée et sa sœur] (MS NAF 10 282, La Curée, f°219). – Voici quelle pourrait être en gros l’histoire de ces spéculations (MS NAF 10 282, La Curée, f°330). – Voici l’histoire de Maxime… (MS NAF 10 282, La Curée, f°360). – Voici la marche du personnage. (MS NAF 10 282, La Curée, f°294 / Premiers détails). – Voici la marche générale (MS NAF 10 282, La Curée, f°348). – Voici comment on pourrait mettre tout cela en œuvre (MS NAF 10 282, La Curée, f°325). – Dans ma scène, voici ce qui peut se passer… (MS NAF 10 282, La Curée, f°344). – Voici quelle pourrait être en gros l’histoire de ces spéculations (MS NAF 10 282, La Curée, f°330).
Le Ventre de Paris (1873)
Voilà à peu près le drame. (Ibid., f° 94)
Voici le résultat, pour la conspiration et les conjurés. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 110)
Mais elle galopine, voilà le plus vrai. (Ibid., f° 111)
Voici comment arrivent les marchands (Ibid., f°121)
voici ce qu’on voit avant le jour (Ibid., f° 170)
Voici la fabrication du boudin.(Ibid., f° 189) / Voici les dates.(Ibid., f° 200)
Voici comment les faits se passent. (Ibid., f° 222 / 6)
La faute de l’abbé Mouret (1875)
Voici alors l’histoire qu’on peut imaginer. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 16)
Nous voici au matin de la cérémonie. (Ibid., Le grand séminaire, f° 89)
L’allure lente d’Albine au travers de la futée. Posée, déjà grande personne (voilà des coins où je ne suis pas venu), récit d’Albine. (Ibid., Le Paradou, f° 45)
Voilà le cas : Serge est convalescent, faible encore, mais si lourd qu’on craint pour lui la stupidité. (Ibid., f° 61)
Nana (1880)
Voici ce que la scène doit contenir (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°48- Plan)
Voici les invités (Ibid. F°59)
Voici le rôle des personnages secondaires. (Ibid. F°62)
Voici la coquinerie de Vandoeuvres. (Ibid. F°115)
Or voici le coup de Vandoeuvres. (Ibid. F°116)
Quant au gain de Vandoeuvres, le voici. (Ibid. F°117).
Voici, maintenant, la suite de l’histoire. (NAF Ms. 10313, Nana. F°183- Personnages).
Ainsi voici ses ruinés (NAF Ms. 10313, Nana. F°212- Ebauche)
Voici en gros, et jusqu’à nouvel ordre distribution des faits. (Ibid. F°222)
Voici, alors, quelles seraient les caractères. (Ibid. F°227).
Le Rêve (1888)
Et la voici pubère, indiquer qu’elle est femme (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 21)
Lourdes (1894)
J’ai aussi mon agrégé de l’Université (…). Voici sept ans qu’il vient à Lourdes, après avoir consulté tous les médecins et couru toutes les eaux. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°106)
Voici sept heures qu’on marche. (Ibid. F°165)
Voici l’ordre des trois personnages à peu près valides qui content chacun son miracle : M. Sabathier, Mme Maze, Mme Vincent (celle-ci, maladie d’enfants[)]. (Ibid. F°185)
Mais voici en outre les épisodes, qu’il
faudra ensuite classer logiquement.– (Ibid. F°s233-234)
Et après Marie, voici les malades qu’on installe dans la salle (une description sommaire, que je reprendrai au V : des matelas ajoutés par tous). (Ibid. F°250)
Voici comment il faut régler définitivement le chapitre. (Ibid. F°322)
Voici longtemps que je ne l’ai [Chassaigne] employé et c’est ici ou au chapitre suivant qu’il faut que je le fasse reparaître. – (Ibid. F°363)
Voici la septième année qu’il [M. Sabathier] vient (…). – (Ibid. F°424)
Et voici des dates. [Jusqu’à ce q biffé] Quand Marie a dix ans, prospérité encore : c’est alors que Pierre qui a 16 ans, la voit et a son idylle avec elle. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 23 – Notes sur Marie de Guersaint)
Il a consulté tous les médecins (…) ; et voici sept ans qu’il vient à Lourdes, sans désespérer. (Ibid. Fo 34 – Notes sur M. Sabathier)
Travail (1901)
Voici les divers éléments que je puis employer (F°417)
VOIE
Lourdes (1894)
Ce sera difficile, mais la voie est là, je pense. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°59)
VOILÀ (TOUT)
1)-De Zola :
Le Ventre de Paris (1873)
a matelassé les murs. Puis, voyez comme le moment est bien choisi : la gauche radicale se tait, la session des conseils généraux s’annonce dans la plus grande quiétude, et voilà un monsieur qui crie au loup (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338., f° 213 verso)
Nana (1880)
Il [Mignon] administre la fortune, voilà tout, et veille au succès. (NAF Ms. 10313, Nana. F°186- Personnages).
Je dois avoir un homme désespéré, et cet homme sera le comte Muffat, voilà tout. (NAF Ms. 10313, Nana. F°232- Ebauche).
La Terre (1887)
Je voudrais diviser plutôt. Beaugrand a deux fils Bonhomme et Jacques et une fille mariée à Durand. Il partage mais Bonhomme n’accepte pas sa part ; et voilà tout mon drame du partage. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 412/13)
(…) Voilà donc Bonhomme intéressé, agissant dans l’affaire (Ibid., f° 474/66)
Le Rêve (1888)
je voudrais faire un chapitre de cela : il sera court voilà tout, à moins que je ne trouve à le corser (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 263/46)
Me voilà dans la maison. On traverse le salon. Et je suis dans la salle commune (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 7)
Voilà Angélique seule dans la maison (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 93)
Voilà donc Angélique et Hubertine dans l’église. Elles y attendent, le jour tombe. Donner la sensation du dehors, de la procession qui parcourt la ville et qui va rentrer (Ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
Donc voilà ce que Angélique apprend (Ibid., f° 131)
Et voilà qu’il l’aime toujours (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 160)
Félicien monte (…) mais cette venue ne peut avoir lieu que sur un motif
Et le voilà à ses pieds (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° s 164-165)
Lourdes (1894)
N’en est-il pas moins vrai que la [Bernadette] voilà séparée de sa famille, cloîtrée, ne pouvant plus voir personne. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°31)
La voilà donc [Bernadette] frappée de solitude par la grandeur même, et souffrant. (Ibid. F°32)
Jamais, elle ne sera femme, jamais elle n’épousera un prêtre parjure ; et la voilà femme pourtant, [désireuse de biffé] pouvant se marier. (Ibid. F°99)
Le voilà donc [Pierre] au séminaire. (Ibid. F°148)
Le voilà prêtre. (Ibid. F°149)
Le voilà donc prêtre habitué, à l’église de Neuilly. (Ibid. F°151)
Et le [Pierre] voilà prêtre. (Ibid. F°157)
Donc, voilà Pierre dans la piscine aux hommes (…). (Ibid. F°262)
C’était si bon d’être mort, et voilà qu’on le [l’homme] faisait revivre. Les imprécations de Lazare. (Ibid. F°288)
Donc les [Pierre et M. de Guersaint] voilà dehors, au milieu de la foule endimanchée. (Ibid. F°329)
Et les [Pierre et Marie] voilà seuls. (Ibid. F°355)
Et les voilà tous les deux [Pierre et Marie] dehors. (Ibid. F°358)
Et les [Pierre et Marie] voilà devant la Grotte, aussi près que possible, un peu loin cependant. (Ibid. F°433)
Le [Pierre] voilà descendu dans la Crypte où il n’y a absolument personne, car tout le monde est en haut à la bénédiction. (Ibid. F°455)
Voilà dans quel état on laisse les créateurs de la Grotte. (Ibid. F°472)
Voilà dans quel état on laisse les créateurs de la Grotte. (Ibid. F°479)
Enfin les voilà [Pierre, Marie et M. de Guersaint] [déjà biffé] descendus (…). (Ibid. F°491)
L’ironie de cela : (…)
voilà qu’elle [Marie] guérit, qu’elle est femme, qu’elle peut être épouse et mère ; et lui c’est fini ne pourra jamais être un homme (…). (Ibid. F°s541-542)
[Les voi biffé] Tout est posé, et les [Marie et Pierre] voilà donc côte à côte sur la banquette, dans la nuit, dans le wagon qui roule. (Ibid. F°545)
Pierre, heureux de sa joie ; mais s’attristant peu à peu, car il songe que, maintenant, la [Marie] voilà femme, et qu’il l’épouserait, s’il n’était pas prêtre. (…)
Puis, voilà que par un miracle, (une secousse que la science explique), voilà qu’elle guérit, qu’elle est femme, qu’elle peut être épouse et mère (…). (Ibid. F°s550-551)
Voilà donc son scrupule, sans doute, ce qui le [Pierre] fait souffrir. (Ibid. F°555)
La voilà donc [Bernadette] à Nevers, dans un beau couvent, avec un grand jardin. (Ibid. F°570)
Ne [fa biffé] vaudrait-il pas mieux (…) préparer des générations fortes pour demain. Voilà son scrupule, son doute, ce qui le [cro biffé] rend anxieux. (Ibid. F°583)
Le voilà donc qui lit les papiers, qui lit les livres de la bibliothèque (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 10 – Notes sur Pierre Froment)
Jamais elle ne sera sa femme, bien que guérie ; jamais elle n’épousera un prêtre parjure ; et la voilà femme pourtant, pouvant se marier. – (Ibid. Fo 27 – Notes sur Marie de Guersaint)
On cherche la guérison de la phtisie : la voilà. Mais bien capricieuse. (Ibid. Fo 169 – Notes sur les Miracles)
Voilà pour l’aspect extérieur du train. (Ibid. Fos 180-181 – Notes sur le Départ de Paris)
Travail (1901)
Voilà le grand type, qui doit venir en avant, au premier plan, pour bien montrer la bête monstrueuse du salariat (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f°s 376/29-377/30)
Voilà Bonnaire libre.C’est alors que Luc a l’idée de proposer à Jordan (…) (Ibid., F°421) 2)-Paroles des personnages : Voilà ce qui arrive lorsqu’on sort du respect, de l’obéissance (plan du chapitre IX f° 121) ==== VOIR / ENTREVOIR / REVOIR ====
Voir aussi : Apercevoir ; Distinguer ; Regarder.
La Curée (1872)
Voir si Angèle consulter [sic] sa tante (MS NAF 10 282, La Curée, f°344).
Le Ventre de Paris (1873)
On voit des caporaux avec leurs soldats, des religieux, des cuisiniers de collège, des restaurateurs, etc. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°123)
la rue du Pont-Neuf dont on voit les grandes maisons neuves. (Ibid., f° 147)
voici ce qu’on voit avant le jour (Ibid., f° 170)
Effet curieux du jour se levant vu de dessous la grande rue (Ibid., f° 173)
On voit entre eux, dans les passages, de la foule, des hommes, des femmes (Ibid., f° 174)
J’ai vu un coutelier ambulant (Ibid., f° 180)
J’ai vu des voitures de quartiers de porcs, dès quatre heures.(Ibid., f° 181)
Puis on voit des têtes de veaux nettement coupées, avec leurs poils.(Ibid., f° 181)
[a matelassé les murs. Puis, voyez comme le moment est bien choisi: la gauche radicale se tait, la session des conseils généraux s’annonce dans la plus grande quiétude, et voilà un monsieur qui crie au loup] (Ibid., f° 213 verso)
J’ai vu aussi une femme vendant des petits pains, des cornes, etc. (Ibid., f°294)
(Florent, dans / son rêve, peut voir sortir de là des fumées épaisses de volaille, toute une évaporation épaisse et noire de nourriture.) (Ibid., f°308-309)
La Conquête de Plassans
Quant à Marthe, il faut l’étudier au point de vue physiologique (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°22)
faire voir que la logique devient de la folie pour certains bourgeois de province (Ibid.F° 25)
Voir quel développement il faut donner à cette partie (Ibid.F°25)
Il faudra voir (Ibid.F°25)
Une folle lucide, voir Trélat (Ibid.F°31)
Voir s’il y a lieu de faire passer l’empereur dans la ville? (NAF MS 10288 La Conquête de Plassans, F°1- Plan)
Là, on peut mettre le voyage aux Tulettes, on voit Macquart (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIV F° 11)
Faire voir que la logique absolue peut paraître de la folie aux jeux des certains bourgeois (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVIII F° 12)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Comme personnages secondaires, je vois déjà les suivants. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 8)
A la rigueur, on peut voir la mer, comme une tache bleu [sic], du paradis terrestre. (Ibid., f° 10)
Je les vois divisées : plantes grimpantes, plantes hautes ; plantes à part comme rosiers, pélargonium ; plantes de plates-bandes ; plantes de bordure. (Ibid., Le Paradou, Le parterre, f° 53)
Conifères voir Loise 44 (Ibid., f° 60)
Nana (1880)
Le Polyorama au dessus des Variétés (voir les notes)
Le balcon sur le boulevard (voir les notes). (NAF Ms. 10313, Nana. F°3- Plan)
Bordenave posant Nana (voir le portrait [de] Nana (Ibid. F°12)
(Voir les 3 port. des Muffat et celui de Chouard, le marquis, on doute aussi)
Puis Estelle énigme. (Voir les personnages.)
Invitation à Steiner. Voir s’il s’invite. (Ibid. F°27)
Poser Estelle (Voir personnages). (Ibid. F°31)
Mignon l’ami et l’homme d’affaire (sic) de sa femme. (Voir les notes d’Halevy). (Ibid. F°38)
Vendoeuvres blaguant avec Amy Amy une caillette (voir les notes d’Halevy.). (Ibid. F°39)
Chouard demandant des nouvelles d’Amélie Nana est le diable et attirant Muffat. (voir le dîner de Céard). (Ibid. F°41)
Bien poser Labordette (important.) Voir l’ébauche et les personnages. (Ibid. F°44)
Voir les portraits (Ibid. F° 48)
Simonne monte dans sa loge (voir si Clarisse ne doit pas lui rapporter la réponse dans la loge, plus loin, lorsque Muffat est là ?). (Ibid. F°50)
Il (sic)’emmenera en effet. Voir à arranger cela. (Ibid. F°54)
Voir ce qu’on fera de Cartier (Ibid. F°55)
L’homme dévot est là aussi Téophile (sic) Venot. (voir le portrait). (Ibid. F°58)
voir le portrait de Daguenet. Le poser. (Ibid. F°68)
Voir si une lettre de Georges ne viendrait pas bien là (Ibid. F° 69)
La mouche d’or (voir chap. XIII). (Ibid. F°73)
Voir, dans l’autre chapitre, la note sur Cartier Muffat et Daguenet, qui se trouvent nez à nez, lâchés tous les trois pour Fontan. (Ibid. F°75)
Voir si l’on ne peut pas mettre là la rue Monnier. (Ibid. F°85)
Je vais (sic) venir Georges, qui débarque à l’instant à Paris : « Tiens ! Zizi ! » (Ibid. F°95)
Voir s’ils doivent tous être là. (Ibid. F°100)
Pourtant avant de décider cela, voir si j’ai tiré du théâtre tout ce que je pouvais. (Ibid. F°105)
XIII Voir si c’est là qu’il faudra faire accoucher Nana d’un enfant qui ne vit pas.
Voir du côté du pape. Voir si Muffat doit quitter sa place de chambellan, là ou plus loin. (Ibid. F°106)
Voir à décrire le quartier de l’Europe qui se bâtit. (Ibid. F°107)
Voir si l’épisode Satin doit être mis là (Ibid. F°108)
XII. – Chez les Muffat. Voir à trouver un cadre, peut-être le mariage de Daguenet (Ibid. F°136)
Voir s’il y a lieu de reparler de la séparation. (Ibid. F°137)
Voir si c’est là qu’il faut introduire Venot (…). (Ibid. F°141-2)
Voir s’il faut mettre là ; « et il y trouva les (sic) même satisfaction. (Ibid. F°144)
Voir si cela ne pourrait pas servir de cadre à un des deux chapitres, terminés par le drame des Hugon. (Ibid. F°148)
Voir si là on ne doit pas étaler ces ruines. (Ibid. F°159)
Une vente chez Nana. Voir (?)
Voir à tirer partie (sic) de la marchande à la toilette (Ibid. F°160)
Voir si Muffat ne doit pas paraître, ou envoyer un prêtre. (Ibid. F°162).
Voir l’ébauche (vers la fin). (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages)
Pour lui [Estelle Muffat] donner du caractère, voir si à la fin je ne puis pas faire éclater chez elle une personnalité (Ibid. F°190)
Voir l’Assommoir, pour toute la première période (…).
(voir si elle [Nana] ne s’est pas livré d’abord à un homme de sa classe). (Ibid. F°191).
Il peut faire quelque chose contre l’honneur, voir s’il ne doit pas se donner un coup de couteau à la fin. (NAF Ms. 10313, Nana. F°211- Ebauche)
Sa femme mourrait et il offrirait d’épouser Nana, qui refuserait. A voir.
Il me faut maintenant fourrer les autres filles et voir le rôle qu’elles peuvent jouer là dedans. (Ibid. F°213)
Voir, si j’ai tout le vice ; la haute cocotte ; Nana ; le théâtre devra me donner Nana.
Maintenant voyons comme je distribuerai le théâtre. (Ibid. F°221)
Enfin, voir si on ne pourrait pas finir par changer de théâtre et montrer les coulisses d’une grande féerie. (Ibid. F°222)
Un chapitre de folies. Voir si la campagne ne serait pas bien là. (Ibid. F°223)
Voyons les conditions où le comte Muffat peut se trouver, pour qu’en aimant Nana, il y ait drame. (Ibid. F°225)
Voyons comment je distribuerai les fils des diverses intrigues. (Ibid. F°233)
Et voir si la comtesse ne ruinera pas Juillerat. (Ibid. F°235)
Voir où il faut la placer.
Puis, voir ensuite dans le plan. (Ibid. F°237).
Au bonheur des dames (1883)
Pour me débarrasser de Mme Hédouin, voir si je ne dois pas la faire tuer dans les constructions au début (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 14) \\Voir ce que cela me donnerait si Octave avait un associé (Ibid., fº 18) \\Il ne pourrait y avoir qu’une lutte d’intérêts. A voir. (Ibid., fº 18) \\Le monstre vu du dehors (Ibid., fº 25) \\Renvoyer de comptoir en comptoir, elle [Louise] les voit tous (IBID) \\Une partie où elle [Louise] le [Octave] voit avec une autre (Ibid., fº 26) \\Mme Baudu et Geneviève avec les enfants. On va voir (Ibid., Plan, fº 34) \\Quant à Pépé on verra (Ibid., fº 35)
La Terre (1887)
C’est là que j’établirai la part du socialisme dans l’œuvre. A étudier, à voir – Le rôle du paysan donc. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 402/3- Ebauche)
(…) En religion aussi, le voir. (Ibid., f° 402/3)
(…) Il faudrait disjoindre les deux histoires. Pourtant, voyons, s’il épousait sa nièce. (Ibid., f° 414/15)
(…)Voir si le partage doit précéder ou suivre le mariage. (Ibid., f° 418/19)
(…) La seconde partie serait pour le mariage de Bonhomme lorsque Palmyre et Louise ont perdu leur père. Il revient dans la maison vide, épouse l’une et garde l’autre. Voir là s’il accepte son lot à la fin. (Ibid., f° 423/24)
(…) Comment il [Jean Macquart] couche avec Louise. Elle sachant tout, les bêtes, etc. et voir si ce n’est pas elle qui le forcera. (Ibid., f° 431/32)
(…) Bonhomme. (…) C’est lui le type central : son père, mais gâté par l’exagération du milieu. Voir si le contact avec la ville ou la grande ferme n’a pas dû avoir une influence sur lui. (Ibid., f° 443/44)
(…) Jean serait donc garçon à la ferme, après quelle aventure. (…) Le mieux serait de le faire coucher avec sa patronne, une paysanne épousée par l’homme de la ferme dans le village, dans la famille, une cousine au Beaugrand, à voir. (Ibid., 464/56)
(…) Le curé est à régler. Voir son rôle. (Ibid., f° 469/61)
(…) Le médecin et le vétérinaire sont au chef-lieu. Rivalité à voir. (Ibid., f° 470/62)
(…) Le notaire, prendre Mallet, un vieux [ ?] et gourmand, avec un goût littéraire. A voir. Comme facteur, un piéton. A voir. (Ibid., f° 471/63)
(…) [Un curé nostalgique] Très bien avec les retraités. A voir son rôle avec les autres du village. Une fin de religion dans l’indifférence. (Ibid., f° 480/72)
(…) [Le fils de paysan et son camarade ] Les deux jeunes gens quittant donc le village vers le milieu, puis retour à la fin, épatement des autres (une fille qui a mal tourné qui fait la vie à Paris, à voir). (Ibid., f° 491/83)
(…) Le château ( ?) ancien château démoli, ce qui l’a remplacé. Voir s’il faut en mettre un dans le fond, une grande propriété ou des petites ( ?). Nécessaire pour être complet mais ne pas insister. Mon sujet n’est pas là. (Ibid., f° 495/87) A voir cette question des oies (MS NAF 10329 La Terre F° 23 – Personnages, Olympe)
et elle les déshérite tous à la fin, voir pour qui (Ibid., F° 39 – Personnages, Marianne Fouan)
Voir dans le dossier Rognes (Ibid., F° 67 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
Et voir si cela peut retirer à Lengaigne le bureau de tabac (Ibid., F° 89 – Personnages, Eugène Macqueron)
Voir à l’employer (Ibid., F° 92 – Personnages, Berthe Macqueron)
Et il y perd son bureau de tabac. A voir (Ibid., F° 94 – Personnages, Lengaigne)
Voir à lui donner un rôle (Ibid., F° 98 – Personnages, Godille)
On le sort d’un pays de montagne. Le Mont Dore, à voir (Ibid., F° 102 – Personnages, L’abbé Madeline)
Voir si je n’en ferai pas un historien amateur, ayant achevé une histoire de mon village, à travers les âges, qu’il n’achève jamais (Ibid., F° 105 – Personnages, Maître Baillehache)
Catholique et pourtant se disputant avec l’abbé (à voir) (Ibid., F° 108 – Personnages, Le docteur Finet)
Là-haut des choux (à voir) (Ibid., F° 113 – Personnages, La Frimat)
Le Rêve (1888)
Je verrais assez volontiers le sujet en trois (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 220/4).
(…) Il ne viendra avec un précepteur, à voir (?) que pour son mariage (…) A voir le personnage (Ibid., f° 234/18)
(…) j’aimerais peut-être mieux un Saint-Georges, un beau jeune homme.(à voir) (Ibid., f° 254/38)
(…) voir à régler ça, comment procèdera l’évêque, ce qu’il dira (Ibid., f° 276/59)
(…) voir à marquer l’opposition ou le rapprochement entre cette extrême onction et le salut qu’il apporte, l’amour, le bonheur (Ibid., f° 278/61)
(…) Félicien très riche peut donner beaucoup (…) voir si cela ne peut pas avoir un écho plus loin (Ibid., fº 290/73)
(…) Si je garde le garçon riche, (…)
cela fait qu’Angélique entre dans cette vie oisive de paresse. A voir, mais j’aimerais mieux autre chose (Ibid., f°s 301/84-302/85).
Voir à garder des vitraux (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur la maison des Hubert, f° 399/6).
Voir le contre coup de ces deux pages à l’autre chapitre (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 52, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou Plan)
Leurs devoirs envers l’enfant (voir les notes) (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre I, f° 9)
(…) Finir par la tutelle officieuse (voir les notes de Thyébaut) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 23)
(…) Faire attention qu’on oblige les patrons à envoyer les enfants à l’école et à l’église (Voir le livret) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 38).
Voir le contre-coup de ces deux pages à l’autre chapitre (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 52)
Donc la fenêtre de la chapelle Hautecoeur. La décrire. Le vitrail voir la note pour date et composition (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
Dans la nuit noire d’abord des pas (l’ouie) Voir l’odorat aussi (…) Puis elle voit (la vue) (…) le goût et le toucher pour plus tard (…) l’idée d’être aimée par un ange (…) Voir Leg.dorée 4) (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Toute la religion pour elle. Voir les notes (…) L’église, le terrain , l’évéché, les Voincourt.Voir le plan (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 62)
Voir absolument mes notes (Leg.dorée 4) (premier plan du chapitre IV f° 68)
Un portrait du duc (Voir aux personnages) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Un mot des différentes époques de construction (…) Peut-être pourrai-je garder la façade pour l’élancement de la fin (Voir Eglise 6 à 10) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
Voir ce qu’il y a à reprendre dans l’histoire des Hautecoeur et de Beaumont à propos de l’église (premier plan du chapitre IV f° 70)
Si Félicien répare le vitrail, il faut un échafaudage. Voir la note sur les vitraux (Ibid.F° 71)
je ne puis raconter son histoire que lorsqu’il est connu au IX. Jusque là sa psychologie (la voir aux .personnages) n’apparaît que dans son air et dans ses actes (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 77)
La seule invraisemblance est qu’on doit savoir que le fils de l’évêque s’amuse à cela. Le sait-on ? A voir (…) (Voir la note Vitraux) (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Et je voudrais arriver à une scène finale (la mitre est finie, le jour où elle la livre, à voir) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 84)
Félicien peintre verrier, ouvrier primitif. Voir s’il y a des détails à donner, je crois que non (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 92)
elle s’habille très chastement (à voir) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 94)
Voir s’il faut en arriver jusqu’à un
baiser (premier plan du chapitre VII f° s 101- 102)
Je prendrai le cadre d’une procession telle que j’en ai vu dans le midi (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 111)
(voir si le contraire ne faudrait / sic, pour : vaudrait / pas mieux, la sortie par la grande porte, la rentrée par la petite (pas de fermeture de la parenthèse- premier plan du chapitre VIII f° 113)
Voir où et comment (Ibid.)
Voir s’il faut mettre là l’intérieur de l’église (…) Tout le quartier (…) Voir le plan (premier plan du chapitre VIII f° 116)
Il est tout à l’amour, voir son portrait, l’artiste qui est en lui. Son histoire peut arriver là (Ibid., plan du chapitre IX, f° 118)
Voir si j’en fais un ouvrier primitif (Ibid., plan du chapitre IX, f° 119)
Voir si elle entre, si elle attend, comment elle ramène Angélique (Ibid., plan du chapitre IX, f° 121)
Le mariage projeté avec Claire
de Voincourt (aux personnages, voir) (Ibid., plan du chapitre IX, f°s 122-123)
Voir si je ne dois pas finir par le livret (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 124)
Le portrait (…) le reprendre, voir à faire revenir quelques faits de son histoire que j’aurais contée au IV (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)
Un travail de broderie (…) Il y faut de la force. Sombre, violente (non, à voir, énergique simplement) (Ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 143)
C’est que /sic/ je mets les deux épisodes, tout le morceau sur la grâce ( voir les notes Religion) (…) c’est aussi le morceau où revient naturellement la légende (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 146)
J’avais mis un chant de Félicien qui l’appelait au dehors. Mais c’était coco et cela allait contre la jalousie d’Angélique. A voir (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 154)
Voir si la Légende dorée peut revenir avec tout le train des saints, le milieu (Ibid., f°156)
Félicien, peintre verrier, ouvrier primitif. Voir si l’on peut faire un rappel là. C’est le seul endroit possible (…). Voir absolument Leg.dorée 4 (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)
Là je crois que je mettrai l’entrée de Monseigneur (…) Voir si les détails de l’entrée doivent être donnés là ou plus loin. Non, plus loin je crois (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 171)
Voir si une légende ne pourrait pas expliquer que les Hautecoeur guérissent les maladies (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)
Il revient décidé à l’adoption. Voir le point de droit (Ibid., Personnages, f° 214)
Lourdes (1894)
Dans ce troisième volume, je vois volontiers la lutte des deux frères, mon prêtre et son frère (…). Je vois volontiers le frère de mon prêtre se posant tout de suite en révolté, en violent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Seulement, je ne vois pas la lutte que je voudrais entre lui et son frère. (Ibid. F°14 )
L’évolution n’est pas toujours pondérée et lente : il y a eu des cataclysmes terrestres, des milliards d’existences sacrifiées. Voir cela. Si je recule devant l’assassinat d’un seul, je lui ferai commettre un meurtre collectif. Enfin, c’est à voir. (Ibid. F°22)
Donc la voir [Bernadette] toujours derrière l’[h biffé]œuvre qui grandit, l’opposer toujours, finir par son pauvre tombeau, là-bas – (Ibid. F°33)
Il faudra donc chercher, voir ce que pourrait être Rome. (Ibid. F°62)
Et mon anarchiste sans doute concluant. A voir. (Ibid. F°72)
Je ne sais si je l’utiliserai [le prêtre] comme brancardier, ou comme autre chose. A voir. (Ibid. F°80)
Enfin, dans Paris, voir le socialisme, le vingtième siècle.– (Ibid. F°94)
Voir si elle [Marie] ne lui fait pas le serment de ne jamais se marier, de se faire religieuse comme B. (Ibid. F°99)
Un peu folle, riant, parlant tout haut. Le type est joli. Mais je ne le vois pas bien fondu
dans le récit. (Ibid. F°s104-105)
Mon aumônier, je puis l’avoir pour le train accompagnant la petite hydrocéphale (…). Je verrai la maladie à lui donner. (Ibid. F°116)
Voir le bout d’intrigue de la nièce, avec un prêtre (le prêtre mondain ?) – (Ibid. F°120)
Je les pose tous les trois [Marie, M. de Guersaint et Pierre] : portraits physiques, conversation donnant les détails suffisants pour voir qui ils sont. (Ibid. F°132)
Son analyse, sa résolution (est-ce que Lourdes est déjà là-dedans ? a-t-il [Pierre] les dossiers et comment ? voir cela aux Personnages) – (Ibid. F°157)
Ne pas oublier que Pierre est très au courant de Lourdes. Voir cela à son personnage, à la fin. (Ibid. F°160)
Voir tous les personnages des Froment et des Guersaint. (Ibid. F°161)
Pierre s’est fait recevoir hospitalier auxiliaire, brancardier (voir l’Hospitalité de N.-D.-du-Salut[)]. (Ibid. F°163)
Et alors, pour voir l’homme dont on parle [dans le biffé] parmi les gens du train, j’amène les Vigneron (…). (Ibid. F°169)
Pour Ferrand et sœur Hyacinthe, voir s’il ne suffirait pas de les poser là, et [d’uti biffé] de renvoyer toute leur idylle, les détails du passé, à l’hôpital. (Ibid. F°179)
Voir l’ordre qui présidera à ces récits. (Ibid. F°186)
Mais bien voir où je devrais indiquer la formation de l’image de la Vierge chez Bernadette. (Ibid. F°207)
Mais surtout l’homme qui meurt, voir où je puis placer la mort. (Ibid. F°211)
Voir, si j’ai déjà fait chanter le matin, l’Ave, Ave, Ave, Maria, à le faire chanter peut-être de nouveau, à l’arrivée à Lourdes. (…) Voir où l’homme doit
mourir. (Ibid. F°s218-219)
Elle [Mme Vincent] couchée, le raccrochage, la belle pisteuse [en interligne : se tient à l’écart] que j’ai vue avec des ongles soignés. (Ibid. F°227)
Le père Massias a été au séminaire avec Pierre (voir son personn). (Ibid. F°239)
Une scène au sortir de la gare, le racolage. La belle pisteuse que j’ai vue. (Ibid. F°240)
Ce qu’on voit. Derrière [en interligne : le Calvaire], l’église du Rosaire avec les rampes gigantesques et la Basilique en haut. (Ibid. F°247)
Voir s’il n’y a pas à faire dire un dernier mot [pour biffé] par [le] père Fourcade, sur le miracle raté.– Et dire qu’on trempe dans la même eau un autre malade, tout de suite, le petit Gustave peut-être. Voir si cela peut s’arranger. (Ibid. F°263)
Comment il [Chassaigne] a perdu sa femme à Cauterets et sa fille à Cauterets. Voir le personnage. (Ibid. F°266)
Et là voir si je dois mettre tout de suite la nouvelle installation, par Bonamy. (Ibid. F°281)
Et je prends les épisodes que j’ai vus : un défilé quelconque de malades, puis la petite Sophie Couteau qui répète son récit tel qu’elle l’a déjà dit dans le wagon. (…)
Enfin l’épisode de la Grivotte, la matelassière, phtisique, et criant : « Je suis guérie, je suis guérie ! » Toute la scène telle que je l’ai vue. (Ibid. F°s290-291)
L’abbé Des Hermoises, [vague biffé] discrètement sceptique. (Voir son personn.) (Ibid. F°294)
Et surtout dire que la première journée est finie [en interligne : On a dîné la vie à l’hôpital, voir], et décrire toute la salle à cette heure avancée de la nuit. (Ibid. F°296)
Et l’aumônier l’abbé Judaine qui donne la communion vers minuit, je crois (voir mes notes) – (Ibid. F°304)
On [fait biffé] achève justement la chambre, le placard fermé. [en interligne : Il faut voir sortir la bonne.] (Ibid. F°312)
Enfin, Pierre [en interligne : et M. de Guersaint] ont une table, et [les Vi biffé] description de la salle, telle que je l’ai vue. (Ibid. F°315)
On peut voir les allées et venues du monsieur. Mais madame Volmar ne reparaîtra qu’à la cinquième partie. (Ibid. F°324)
Voir s’il ne faut pas garder ces scènes pour la fin et au contraire lui donner là une inquiétude, de façon à ce qu’il [Vigneron] n’ait ce matin-là que des inquiétudes. (Ibid. F°326)
Ils [M. et Mme Vigneron] croient que la tante est fâchée. (Voir les personnages.) (Ibid. F°327)
Tout le plateau de la Merlasse, tel que je l’ai vu (…) – (Ibid. F°332)
Voir s’il faut tout donner, les deux villes, celle qui se bâtit ; et Lourdes ancien n’existant plus. – (Ibid. F°336)
Je puis ne faire partir M. de Guersaint que le lundi matin, parce que c’est moins cher, et il espère revenir le lundi soir (voir les distances). (Ibid. F°338)
Décidément, je vois le chapitre ainsi. (Ibid. F°339)
Voir si je ne dois pas montrer les Dieulafay là-dedans. (…)
Cela vaudra mieux que de les mettre en voiture à voir. (Ibid. F°s344-345)
Mme Dieulafay demandant à la Vierge de lui faire avoir un enfant. (…) Voir son personnage. (Ibid. F°347)
Voir le chap. 1er, première journée. (Ibid. F°353)
Le grand calme, la nuit ayant balayé la mangeaille (voir la note) – Et Marie parlant de Blanche (…). Ce qui la ramène au passé à Paris (voir son personnage). Et son ancienne tendresse avec Pierre. Toute sa psychologie (voir la note). Son idée fixe, son absorption, son manque de volonté (voir la note). (Ibid. F°356)
Derrière tout cela ; même, se placer par la pensée au Calvaire, et tout voir de haut. (Ibid. F°359)
Hospitalité de nuit, ce que j’ai vu dans l’abri. (Ibid. F°365)
Pierre se retrouve dehors [en interligne : voir la dernière page du plan primitif (Guide Barbet. 41)] et va au Rosaire, allumé. (Ibid. F°369)
Reprise de
la description de la Grotte, vue du dehors. (Ibid. F°s371-372)
Les anarchistes, les premiers chrétiens. Voir les personnages et mes notes sur les Trois Villes – (Ibid. F°372)
Voir où je dois mettre la mort de la petite Rose sur les bras de sa mère. (Ibid. F°373)
Voir si elle [Marie] ne croit pas entendre des voix. (Ibid. F°377)
Je vois que j’ai indiqué la mort de la petite fille devant la Grotte dans ce chapitre. (Ibid. F°379)
Voir le personnage de Pierre, à la fin. – Rappeler la figure de Guillaume Froment, pour qu’il ne soit pas complètement oublié. (…) (Voir son personnage.) (Ibid. F°380)
Cela [comm biffé] quand ils [Pierre et Chassaigne] reviennent vers la ville [en interligne : nouvelle] dont j’ai une description panoramique, tandis qu’on voit à peine les toits de la vieille ville, derrière le rocher du château. (Ibid. F°389)
Un prêtre et un civil ; et les faire causer, les faire déposer devant Pierre, qu’ils troublent sans éclairer. Voir à mettre cela conforme à son analyse. – (Ibid. F°392)
Pour la lutte du curé Peyramale, et pour le départ de Bernadette, qui amènent le chapitre V de la quatrième partie, voir les notes, le dossier de ce chapitre V. (Ibid. F°397)
Voir si je ne pourrais pas mettre toute la conversation dans un cadre de paysages. (Ibid. F°397)
Puis, toute la salle des ménages. Le frère Isidore et sa sœur Marthe (voir les personnages.) (…) M. Sabathier est resté là aussi par besoin de repos. Sa femme (voir les personnages[)]. (Ibid. F°403)
Voir comment on meurt d’un cancer. (Ibid. F°404)
Enfin, agonie et mort de Mme Vêtu. Toute son histoire revient (voir aux Personn.) (Ibid. F°407)
Voir comment je la ferai mourir [Mme Vêtu], résignée ou non. (…) A voir, pour le plus d’intensité et de vérité ! (Ibid. F°410)
C’est hier que Raymonde doit annoncer à sa mère que le mariage est fait. (Voir les Personn.) (Ibid. F°411)
Dans la mort de Mme Vêtu, revient son histoire. Voir aux Personn. (Ibid. F°414)
Voir s’ils [Gérard et Berthaud] ne doivent rien dire du mariage, de Raymonde, qui est là. – (Ibid. F°416)
Un religieux à inventer. Celui-ci maigre, grand, terrible (à voir). (Ibid. F°418)
Voir quel serait le rappel utile et bon de la salle de constatation. (Ibid. F°429)
Les Dieulafay agenouillés, dans leur luxe. (…) Voir les Personnages. (Ibid. F°429)
Ne pas trop perdre de vue non plus l’abbé Des Hermoises. Voir son personnage. – (Ibid. F°430)
Garder le père Massias pour lui faire hurler des litanies (voir son personn.) (Ibid. F°430)
[en interligne : Une enfantine [Marie] toujours occupée de sa maladie. Voir la note –] (Ibid. F°433)
Voir si le Commandeur devrait être là, et trouver ce qu’il ferait, ce qu’il dirait. (Ibid. F°448)
Les dames hospitalières qui la [Marie] baignent. Voir qui – (Ibid. F°448)
Pour corser un peu le chapitre, il faut voir si je ne pourrais pas y introduire quelques uns de mes personnages. (Ibid. F°465)
Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). (Ibid. F°467)
Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Description (Guide Barbet 1 à 10). (Ibid. F°468)
Ah ! si les prêtres pouvaient parler, on verrait que les merveilles opérées en faveur des corps sont laissées bien en arrière par les merveilles des âmes. (Ibid. F°468)
Contre la prière, là ou à l’autre chapitre. Voir la note, à la fin du chap. IV de la 5e partie. (Ibid. F°469)
Voir si un rappel de Bartrès ne ferait pas bien. – (Ibid. F°472)
Ce tombeau de marbre, sous la pluie qui suinte par la voûte. Voir s’il faut parler du frère. (Ibid. F°482)
Voir ce que j’aurais à reprendre dans Lasserre. – (Ibid. F°483)
Appoline est une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). (Ibid. F°501)
Appoline sera une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). (Ibid. F°504)
Bien établir tous ces détails de l’Hospitalité – Les voir, aussi, par le grand jour, avec les coteaux en face. (Ibid. F°511)
Je fais aussi arriver Ferrand, sœur Hyacinthe, sœur Saint-François, sœur Claire des Anges, ensemble. Je les pose près du [wagon biffé] fourgon, et [elles biffé] ils me le donnent tel que je l’ai vu [en interligne : provisions, médicaments] – (Ibid. F°514)
Faire qu’il [le Commandeur] puisse dire quelques mots. Voir la note aux maladies. (Ibid. F°518)
J’en ferai décidément un homme [le Commandeur] d’assez peu d’instruction (…) s’étant instruit lui-même. A voir – (…) Il vit dans la gare de Lourdes, et je lui donnerai volontiers la garde des matelas et des oreillers, [qu biffé] dont j’ai vu le magasin près des messageries. (Ibid. F°523)
D’ailleurs, ces messieurs font leur service, transportent les malades, les enfournent dans le train (voir toutes mes notes). (Ibid. F°527)
J’ai Mme Maze qui ne part pas, ravie, folle de joie (…) (elle croit que la Vierge l’a exaucée[)]. Voir le personnage. – (Ibid. F°529)
N’y a-t-il pas des lupus d’origine nerveuse (voir l’article du Gil Blas). (Ibid. F°540)
Dans le compartiment de frère Isidore, il n’y a plus que Marthe sa sœur et la Grivotte, je crois ; à moins qu’elle ne soit avec les Sabathier (à voir). (Ibid. F°557)
M. Sabathier, l’intellectuel, qui raisonne son cas, sa foi. Voir absolument son personnage. (Ibid. F°561)
Voir si je dois continuer à nommer les personnages sans leur rien faire faire. (Ibid. F°569)
Sous de tels coups, c’est une pitié de voir les plus forts, les plus clairs, redevenir enfants. – (Ibid. F°584)
Et ce que répond
le docteur : Il n’y a que l’amour qui est la toute puissance de la vie (…) (voir si cela ne peut pas servir plus loin, au moment des scrupules). (Ibid. F°s584-585)
Et [finir biffé] voir pour les autres personnages. (Ibid. F°595)
Puis la continuation de la vie de B. Voir ce qu’il faudra mettre d’elle là. (Ibid. F°602)
Voir s’il y a lieu de faire passer le Commandeur qui doit mourir le lendemain.(Ibid. F°604)
Pierre a retrouvé Marie. Mais la ruine est arrivée (voir cela au personnage de Marie). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)
Voir si elle [Marie] doit deviner son in- \\croyance. (Ibid. Fos 12-13 – Notes sur Pierre Froment)
Quand je ferai « Rome » je verrai de quelle façon je le mêlerai à ce roman. (Ibid. Fo 19 – Notes sur Guillaume Froment)
Enfin une figure intéressante, un catholique [en interligne : ardent], mais avec des sauts en dehors. A voir. – (Ibid. Fo 23 – Notes sur Marie de Guersaint)
Sa fille lui reste, dévote, pratiquant ; et comment elle meurt à Lourdes (voir le médecin du journal de Lourdes). (Ibid. Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Voir s’il n’en faut faire qu’un type ou l’utiliser davantage. (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Homme de bon sens et pourquoi il fait le mariage, les bonnes raisons de Gérard (voir à ce Personnage). (Ibid. Fo 80 – Notes sur Berthaud)
Voir si je puis l’employer davantage. (Ibid. Fo 85 – Notes sur le baron Suire)
Le [f biffé] visage ovale, fin, et une peau de neige, de lys, avec un sang frais [qui biffé] qu’on voit couler dessous. – (Ibid. Fo 87 – Notes sur sœur Hyacinthe)
[(…) Et voir si je ne pourrais pas le mêler [d’ava biffé] davantage aux différents drames. biffé] (Ibid. Fo 95 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Voir si je ne dois pas donner un bout d’intrigue à Appoline. (Ibid. Fo 103 – Notes sur Appoline)
A moins que je ne les mette tous les deux [Chassaigne et Cazaban], pour avoir les deux courants. A voir, à arranger. (Ibid. Fo 107 – Notes sur Cazaban)
J’ai vu aussi des brocs en zinc, pour emporter [lettre biffée] de l’eau – (Ibid. Fo 182 – Notes sur le Départ de Paris)
Presque toutes les malades couchées sont habillées. (…) J’en ai vu une dont le lit était maintenu par des courreaux [sic] au plafond. (Ibid. Fo 183 – Notes sur le Départ de Paris)
Je n’ai pas beaucoup vu de malades. (Ibid. Fo 185 – Notes sur le Départ de Paris)
J’ai vu pourtant pour le train vert une véritable bousculade. (Ibid. Fo 188 – Notes sur le Départ de Paris)
En outre, les tableaux des grandes foules, (…) l’enfant que j’ai vu amener, pendant que tout le pèlerinage à genoux, les bras écartés, chante pour implorer la vierge (…) \\. (Ibid. Fos 212 – 213 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Il faudrait revoir tout cela de près, l’étudier à fond, pendant un grand pèlerinage, de façon à pouvoir tracer les tableaux sur
des faits absolument vrais – (Ibid. Fos 213-214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
En bas, en avant, deux contreforts formant coulisse ; et l’on voit le fond du cirque (…). (Ibid. Fo 217 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Tout ceci est vu du sentier qui passe devant l’église de Gavarnie. On a une vue du cirque complètement de face, en se mettant sous le marché couvert du village. – Et ne pas oublier les singuliers [dessins biffé] profils que l’on peut reconstituer avec les [flaques biffé] nappes de neige, de même que l’on voit des profils dans les wagons qui passent. – J’ai vu : une tête de vache nettement dessinée ; un lézard allongé la tête
en bas, [entre biffé] dans un pli vertical des roches ; surtout un immense crucifix de neige (…). (…) Voir le Guide pour les dimensions et les détails. – (Ibid. Fos 220-221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Le grand curé Peyramale, doyen de Lourdes. Lourdes, le plus grand mouvement religieux qu’on ait vu depuis les Croisades. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
Je vois bien des tableaux séduisants du travail (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2)
Je le vois volontiers en inventeur, en poète, apportant l’idée (Ibid., f° 353/6)
Je vois volontiers Luc faisant son tour de France (Ibid., f° 354/7)
Je vois bien la première partie, l’enfer du travail actuel (Ibid., f° 356/9)
Voir surtout, s’il n’y a pas un commencement de bâtisse sur un terrain du vieux professeur (Ibid., f° 357/10)
Elle peut être assez affinée, voir à la créer, et peut-être, la femme d’un jeune contremaître de l’usine (Ibid., f° 360/13)
Puis, à la fin elle l’accable, lui dit qu’il est cocu, voir le drame de cela (Ibid., f° 366/19)
Je vois le drame de l’usinier, du patron qui ne veut pas céder (Ibid., f° 368/21) \\Voir si cela ne pourrait pas être le fils du capitaliste (Ibid., f° 369/22)
Je le vois bien arriver, au début, dans le bourg (Ibid., f° 371/24) \\les soldats à voir (Ibid., f° 376/29)
La question de la religion aussi ; à voir (Ibid., f° 376/29)
Je ne vois pas très bien le rôle du savant (Ibid., 383/36) \\Voir pour la consommation : un épicier [légumier aussi] vendant du vin (Ibid., f° 388/41) \\Voir le cadre (Ibid., f° 396/49)
Seulement il faut voir pour l’âge des enfants (Ibid., F°404)
Voir si le
drame ne serait pas dans le fait qu’elle succombe avant le départ du mari (Ibid., F°405-406)
Je vois à peu près le rôle des principaux personnages (Ibid., F°413)
les deux bourgeois rentiers (…) peuvent avoir une fille que je ferai épouser plus tard au fils Boisgelin. Voir ce que donnera ce croisement (…) Voir aussi leurs enfants Pour les paysans, je ne vois guère que le fermier Fouillat (Ibid., F°415)
Il prend Bonnaire soit pour chef d’un de ces fours,soit pour contre-maître général (à voir, quand j’aurai tous les détails) (Ibid., F°421)
voir si je n’aurai pas besoin d’un forgeron (Ibid., 422)
Voir pourtant s’il faudra un mécanicien, forgeron ou ajusteur (Ibid., F°423)
Voir s’il faut donner un coup d’œil sur le travail soit les puddleurs, soit les arracheurs (Ibid., F°431)
je pose tout le commerce (Voir Yvonnot) ; et toujours par Luc qui passe (Ibid., F°432)
Voir si dans la foule, au moment du vol, je ne ferai pas passer : Jollivet (…) Goureaud (…) l’abbé (Ibid., F°434)
Je vois le réveil du vieux Qurignon devant sa famille assemblée (Ibid., F°437)
VOLET
Lourdes (1894)
« Rome » est le tableau central. « Lourdes » et « Paris » sont les volets de gauche et de droite. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°25)
VOLONTIERS
Nana (1880)
[Hubert de la Faloise] Il fait volontiers des pointes dans le vice d’en bas. (NAF Ms. 10313, Nana. F°174- Personnages).
Je voudrais même qu’il n’ait pas de femme ; je le ferais volontiers veuf, en lui donnant seulement une fille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°225- Ebauche)
Il est avec Amy Stewart. Mais lui fait volontiers des pointes dans le vice d’en bas. (Ibid. F°235).
Le Rêve (1888)
voir aussi : désirer ; vouloir Je verrais assez volontiers le sujet en trois (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 220/4) \\C’est là que je mettrais volontiers la grande scène entre eux (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 155)
Lourdes (1894)
Dans ce troisième volume, je vois volontiers la lutte des deux frères, mon prêtre et son frère (…). Je vois volontiers le frère de mon prêtre se posant tout de suite en révolté, en violent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Je le [l’homme] mettrai volontiers dans le compartiment de Sabathier, de façon que Marie l’ait en face d’elle et qu’elle le voie bien. (Ibid. F°138)
Là, volontiers, je la [la Grivotte] montrerai désolée, parce qu’on ne veut pas la baigner. (Ibid. F°262)
Il [le Commandeur] vit dans la gare de Lourdes, et je lui donnerai volontiers la garde des matelas et des oreillers, [qu biffé] dont j’ai vu le magasin près des messageries. (Ibid. F°523)
Riant volontiers, et bonhomme au fond. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 79– Notes sur Berthaud)
Un profil de médaille, et le sachant ; se posant volontiers de profil. (Ibid. Fo 94 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Travail (1901)
Je le vois volontiers en inventeur, en poète, apportant l’idée (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 353/6)
Je vois volontiers Luc faisant son tour de France (Ibid., f° 354/7) \\Je créerai volontiers un couple de petits bourgeois, des rentiers (Ibid., f° 368/21) \\Voir si cela ne pourrait pas être le fils du capitaliste et la fille de l’usinier (Ibid., f° 369/22)
VOLTAIRE
(François Marie Arouet, dit ; 1694-1778 ; écrivain français) Voir aussi : Candide.
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Ainsi de l’oncle de Blanche, je puis faire un athée ridicule, un vieux bonhomme enfoncé dans Voltaire, etc. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 9)
VOLUME
La Curée (1872)
Les deux hommes restent face à face, profitant de sa mort. Ils auront leur compte dans un autre volume (MS NAF 10 282, La Curée, f°302 / Premiers détails).
La Conquête de Plassans (1874)
Toute la bataille politique (…) elle réussira vers le milieu du volume, ou vers les deux-tiers (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°33)
La Terre (1887)
La terre, la vraie domine et emplit le volume, toujours présente. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 486/78 -Ebauche)
Le Rêve (1888)
« Le Rêve » serait le titre du volume, et c’est surtout ce qui me plait . Je voudrais que le volume fut /sic/ la partie de rêve dans la série (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 226/10)
(…) J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage. En dehors de ses quelques livres classiques étroits et secs, la légende (…) Il est là depuis sa publication, il a dû servir aux anciens brodeurs pour les images de saints, chasubles. Date de l’édition, description du volume (…) (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20).
La Légende dorée, sa seule lecture. Description du volume (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
Ignorante de tout, enfermée dans sa vie des saints (c’est ici où je ferai le morceau sur le volume) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 46)
Lourdes (1894)
Quant au combat contre la superstition, je le mettrai dans mon troisième volume « Paris ». Ce sera le lien qui resserrera les trois volumes. Ce troisième volume pourra être le combat de la justice contre la charité ainsi que je l’expliquerai tout à l’heure. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°4)
Mais j’ai le second volume « Rome »,
et j’ai déjà dit que mon prêtre (…) tâche dans « Rome » de réconcilier le catholicisme (…) avec la science moderne, le monde moderne, le progrès. (Ibid. F°s4-5)
Dans ce troisième volume, je vois volontiers la lutte des deux frères, mon prêtre et son frère (…). (Ibid. F°10)
« Chanter l’hymne à l’aurore. » C’est ce que je voudrais que fût le troisième volume de ma série : Paris. – (Ibid. F°28)
Je voudrais n’avoir qu’un pèlerinage national pour cadre (…). Tout cela tiendrait le volume. (Ibid. F°58)
J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. (Ibid. F°60)
Si je faisais Rome, je garderais un ou plusieurs personnages, l’évêque et d’autres, pour réunir les deux volumes. Mais, alors, il faudrait tout de suite étudier les deux volumes jumeaux. (Ibid. F°61)
VOULOIR (VOULU)
Voir aussi : volontiers Ce verbe dynamique est souvent inaugural, à la première ligne de plusieurs Ebauches. Pris en charge par l’écrivain en personne(au présent de l’indicatif ou au conditionnel) et précédé du pronom de la première personne (« je veux / je voudrais »), il constitue, avec les verbes devoir, savoir et falloir, comme le « noyau dur » modal de l’énonciation et du métadiscours créatif.
Bibliographie : Philippe Hamon : « Je veux donc ils doivent » dans : Exigences et perspectives de la Sémiotique, recueil d’hommages pour A.J.Greimas (Ruprecht eds.) (Benjamins, Amsterdam, 2 vol. 1985)
Le Ventre de Paris (1873)
Honnête, il faut s’entendre. Je veux lui donner l’honnêteté de sa classe, et montrer quels dessous de lâcheté, de cruauté il y a sous la chair calme d’une bourgeoise. (Le Ventre de Paris, Ebauche, Ms.Naf 10.338, f° 49)
Je veux donc qu’elle soit un centre considérable d’où rayonne les diverses intrigues, les différents épisodes.( Ibid., f° 64)
A côté des amours platoniques de Lisa et de Jacques, je voudrais une sorte d’idylle dans la Halle et qui ne ressemblât pas trop à celle de Silvère et de Miette. (Ibid., f° 71)
Je voulais mettre des animaux (Ibid., f° 113)
(Il voudra la jeter dans un tas de plumes. Ils lutteront, et ils iront, jusque sur la voie. Ils auront auparavant visité la voie, la porte étant ouverte.) (Ibid., f°309)
La Conquête de Plassans (1874)
Donc, dans ma série, ce roman est la province sous l’Empire, la satisfaction de Pierre et de Félicité que je veux montrer de nouveau (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Je voudrais bien employer le personnage de Macquart. Je pourrai en faire un employé de la maison de fous (Ibid. F° 27)
La faute de l’abbé Mouret (1875)
Je veux détacher les deux figures de Serge et de Blanche sur un fond de réalité absolue. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 9)
On peut la mêler au drame, en la faisant céder à un homme. On peut aussi mettre en face d’elle le frère Archangias, (je veux cependant conserver à celui-là sa raideur catholique ! [ ) ] (Ibid., f° 10)
Mais, en somme, je veux autant que possible effacer le monde clérical autour de mon personnage. (Ibid., Les personnages, f° 18-19)
VOULOIR
Je ne voudrais pas de drame violent ; des larmes, des gifles, mais pas de duel (NAF, MS 10 321, f° 384)
Nana (1880)
XII. Chez les Muffat. Je voudrais ceci : la nuit Nana décidant Muffat à pardonner et à coucher avec sa femme. (NAF Ms. 10313, Nana. F°97- Plan)
Que devient le chambellan ? Je voudrais qu’il fût sur le point de quitter sa place. (Ibid. F°149).
– Je veux aussi mettre, face à face, les deux fins des filles.
Enfin, je voudrais une fille, qui passât pour relativement honnête (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°220- Ebauche)
Je voudrais une autre soirée passée derrière la toile, un jour de représentation ordinaire (…).
– Puis, je voudrais une répé[ti]tion, ce qui achèverait de me donner le théâtre. (Ibid. F°221)
Je voudrais même qu’il n’ait pas de femme ; je le ferais volontiers veuf, en lui donnant seulement une fille. (Ibid. F°225)
Je ne veux pas (Folio 230) qu’elle ait plus de trente-deux ans. (Ibid. F°229-230).
Au bonheur des dames (1883)
Je veux dans Au Bonheur des Dames faire le poème de l’activité moderne (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, f° 2) \\Il y a certainement des gens heureux de vivre dont les jouissances ne ratent pas et qui se gorgent de bonheur et de succès: ce sont ces gens-là que je veux peindre (Ibid., f° s 2-3). \\Pourtant, je ne voudrais pas d’épisodes trop sensuels (Ibid., f° 4) \\Je voudrais par exemple une demoiselle de magasin, la misère en robe de soie (…) (Ibid., f° 5) \\(…) car je veux monter le triomphe de l’activité moderne (Ibid., f° 6) \\En somme, je voudrais bien me contenter d’une intrigue très simple (Ibid., f° 10) \\Je veux celle-ci [Denise] maigrichonne au début (…) (Ibid., f° 13)
La Terre (1887)
Je veux faire le poème vivant de la terre (MS NAF 10.328 La Terre. f° 400/ 1 – Ebauche)
(…) Je voudrais mettre en 1ère ligne la partie passionnelle, les amours de Jean avec Louise. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 411/12- Ebauche)
(…) J’aurai [sic] voulu commencer par le partage chez le notaire, un chapitre discutant les conditions, et dans lequel il y aurait aussi le partage du champ par le géomètre. (Ibid., f° 422/23)
(…) Mais Jean reste toujours effacé, avec un pauvre rôle. Son intérêt serait peut-être d’opposer l’ouvrier au paysan. N’en faire alors qu’un ouvrier ; mais cela tue mon sujet, je ne voudrais avoir que des paysans. (Ibid., f° 431/32)
(…) Dans ce cas, il faut une mort de Louise terrible. Je la voudrais occasionnée par Bonhomme. (Ibid., f° 433/34)
(…) Bonhomme. (…) Je le voudrais enfin à un degré plus avancé que son père dans le siècle. (Ibid., f° 443/44)
(…) Le Braconnier (…) Toute la question sociale du paysan posé [sic]. Gâté par la ville : je veux en faire le comique, avec un autre. (Ibid., f° 448/49)
(…) Je voudrais bien que Jean fût menuisier au moins pendant le début. (Ibid., f° 466/58)
(…)
(…) Je voudrais un jeune paysan qui incarnerait le paysan quittant la terre, attiré par la ville, s’habillant chez Godchau, d’une élégance canaille. Je voudrais même lui donner un rôle important, du moins quelques apparitions typiques. (Ibid., f° 481/73)
(…) Ne pas finir par un enterrement peut-être comme dans « l’Oeuvre ». Et je voudrais aussi la conclusion sociale, là. (Ibid., f° 487/99) Mais je voudrais Jean plus large dans le roman (MS NAF 10329 La Terre f° 6 – Personnages, Jean Macquart)
Je suis toujours mécontent de ma Françoise – j’aurai voulu pour ma Françoise une fille sympathique (Ibid., F° 52 – Personnages, Françoise Fouan)
Mais cela la laisse encore vague, et je la voudrais très nette, très simple (Ibid., F° 52)
Si cela ne me la donne pas sympathique dans le sens romanesque du mot, cela me la donne vivante et je n’en veux pas davantage (Ibid., F° 55)
Mais je voudrais amener un jour l’explosion de ses sentiments avec Jésus-Christ (Ibid., F° 104 – Personnages, Aristide Lequeu)
Le Rêve (1888)
On a dit que le succès, le livre attendu veux-je dire, serait « Paul et Virginie » (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 217/1).
Je voudrais faire un livre qu’on n’attende pas de moi (…) Puisqu’on m’accuse de ne pas faire de psychologie, je voudrais forcer les gens à confesser que je suis un psychologue (…)
Enfin je voudrais mettre dans le livre de l’au-delà (Ibid., Ebauche, f°s 217/ 1-218/2)
(…) Je voudrais que le volume fut /sic/ la partie de rêve dans la série (Ibid., f° 226/10) \\(…) Comme je veux que l’histoire finisse bien (…) (Ibid., f° 227/11)
(…) Ce que je voudrais aussi, ce serait un combat de la jeune fille avec elle-même (Ibid., f° 228/12) \\(…) Je ne fais qu’indiquer là ce que je veux, il faudra raffiner et compliquer (Ibid., f° 229/13) \\(…) Je veux que peu à peu elle /Angélique/ en meurt /sic/ (Ibid., f° 237/21)
(…) C’est ici que je voudrais bien que les Hubert fussent un peu plus mouventé /sic/ (Ibid., f° 245/29)
(…) A ce propos je voudrais bien que la mère de Hubertine fut /sic/ enterrée par là pour avoir la tombe (Ibid., f° 250/34)
(…) je voudrais que toute cette partie de l’amour fut /sic/ développée, notée détail à détail (…) je voudrais au moins trois ou quatre chapitres d’amour idyllique (Ibid., f° 256/39)
(…) je voudrais faire un chapitre de cela : il sera court voilà tout (Ibid., f° 263/46)
(…) Le rêve encore vague que je veux préciser à la fin (Ibid., f°264/47)
(…) Je voudrais encore cinq chapitres, ce qui est possible. Le dernier, le triomphe. L’avant-dernier, la venue de l’évêque avec l’extrême onction. Ce qui me fait trois pour la lutte (Ibid., f° 265/48)
(…) Je voudrais en arriver à ceci : Félicien a tout
dit à son père (Ibid., f°s 266/49-267/50)
(…) J’en voudrais arriver à ce que Angélique elle-même alla /sic/ plaider sa cause près de l’évêque (Ibid., f° 267/50)
(…) Je voudrais une scène grande (Ibid., f° 268/51)
(…) Là je voudrais un chapitre où la vie reprend avec les Hubert (Ibid., f° 269/52)
(…) Je voulais une lutte psychologique, et c’est ici qu’il faudrait la mettre (…) Enfin je voudrais l’amour à la fin du chapitre (F° 271/54)
(…) Je voudrais surtout une lutte chez Angélique (…) je voudrais donc mettre en elle des instincts (Ibid., f° 281/64)
(…) Encore un coup tout cela traité très chastement, car je veux que la pureté soit absolue dans la forme, dans la façon de traiter le roman (Ibid., f°284/67)
(…) Et la lutte en scène alors, avec tout le développement voulu (Ibid., f° 287/70)
(…) Enfin je voudrais bien pour faire Angélique complète la faire charitable (Ibid., f° 289/72)
(…) Et je veux que cette charité me donne des épisodes, au moins dans l’idylle (F° 289/72)
(…) Ce que je n’ai toujours pas, c’est l’idylle dans le terrain vague. Ce terrain est trop vague , je voudrais bien le fixer (…) C’est l’idylle que je voudrais (…) mais auparavant je voudrais quelque
chose (…)je voudrais un autre épisode (Ibid., f° 290/73-291/74-292/75)
(…) Je ne voudrais pas même autour d’elle beaucoup de douleur (Ibid., f° 306/89)
(…) Je crains que tout cela ne rappelle trop l’abbé Mouret et je voudrais autre chose que la religion (…) je voudrais donc remplacer l’église par un château et l’évêque par un seigneur ( Ibid., f°307/90).
Mon Hautecoeur redevient évêque . Mais je voudrais lui conserver le blason et son histoire (…) Un château ruiné dans les environs, et toutes les légendes que je voudrais (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 52, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou Plan)
Mais, à la fin, je veux une brusque effusion de larmes qui montre l’Angélique qu’elle sera plus tard (MS NAF 10323, Le Rêve, chapitre I, deuxième Plan détaillé, f° 8)
(…) Je ne voudrais pas qu’Hubertine prêchât : des exemples (Ibid., .2ème plan détaillé du chapitre II, f° 18). \\Bien poser déjà Hubertine (…) mais poser seulement, car la scène que je veux
entre Hubert et Hubertine résumant leur passé ne se trouvera qu’au chapitre suivant (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f°24-25)
(…) Là, je ne voudrais pas avoir encore la description de l’église (Ibid., f°37).
C’est là où je veux la prendre comme artiste (Ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 41)
Les légendes (…) Je voudrais même ne les avoir que là (Ibid., premier plan du chapitre III f° 53)
je voudrais de l’enfance, de la gaieté dans les deux épisodes (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 73)
Et là il l’aide à retourner les pièces et je veux qu’ils causent (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 74)
Et je voudrais arriver à une scène finale (la mitre est finie, le jour où elle la livre, à voir) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 84)
Enfin je voudrais que son amour à elle, au VII, s’échappât de lui-même (…) naturellement (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 89)
Mais je voudrais que son instinct de Rougon-Macquart, que sa passion et son orgueil se réveillent un instant (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Même je ne voudrais pas de lutte là (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 100)
Je veux garder le baiser sur la bouche pour le dénouement (…) Je voudrais donc réveiller là la passion (Ibid., premier plan du chapitre VII ,f° 102)
Je voudrais que ce chapitre se passât dans la soirée même du jour de la procession (…) Et tout de suite je la voudrais franche (Ibid., plan du chapitre IX, f° 117)
En un mot je voudrais que son orgueil et sa passion cédassent à l’éducation, au milieu (Ibid., plan du chapitre IX, f° 123)
Je voudrais là, au X ou au XI, me resservir du livret (Ibid., plan du chapitre IX, f° 125)
Je ne veux pas qu’il discute
avec elle (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° s 133-134)
Je voudrais quelque chose comme Esther devant Assuérus, dans un autre sens : O mon souverain roi…( Ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
C’est dans ce chapitre ou dans le suivant que je voudrais mettre la scène de l’angoisse qui s’empare d’Angélique quand le milieu, la grâce l’abandonnent (Ibid., f° 141)
Je voudrais une visite d’ Hubertine à la tombe de sa mère (…) (discret) (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Enfin je voudrais revenir aux pauvres, aux aumônes (…) enfin un épisode pour revenir à la charité et la finir (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 156)
Lorsque Félicien arrive, je voudrais qu’il la trouvat / sic/ endormie sur son métier (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 166)
Et la lutte en scène alors, avec tout le développement voulu (ibid f° 167)
Je voudrais là, ou au chapitre suivant, le rappel des Vierges de la Légende dorée. Elles repasseraient (Ibid., f° 168)
Je voudrais que l’attitude de Monseigneur resta / sic/ rigide (…) Mais je voudrais aussi laisser entendre à quel point il est bouleversé (Ibid., deuxième plan du chapitre XIII, f° 172)
Et là je voudrais bien marquer le revirement chez Monseigneur (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 174)
Je veux donc que le marquis vienne (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)
Le miracle. Je voudrais bien que le marquis le fît aussi (Ibid., f° 178)
Mais tout de suite, je veux poser qu’elle va mourir et qu’elle le sait (Ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 186)
C’est un peu la figure de la jeunesse passionnée que je veux (Ibid., Personnages, f° 202)
Je voudrais une légende ou plusieurs avec Irénée, Gudule, Yvonne, Autriberthe, etc. Et Paule à Paris (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 266)
Lourdes (1894)
Et tout cela, dès maintenant, je voudrais l’incarner dans une dame romaine
à qui je donnerai une grande passion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s5-6)
Mais ce que je veux surtout c’est peindre
une passion prête à déborder et qui se contient. (Ibid. F°s6-7)
Mais ne pas oublier que je ne veux pas l’Italie poncive, la Rome cossue : je veux une Rome actuelle, avec son modernisme hurlant au milieu de son antiquité, avec son petit peuple actuel et ses bourgeois modernes. (Ibid. F°8 )
J’en ferai un anarchiste par exemple, un autre Souvarine, et je voudrais dès lors que la lutte s’établît entre lui et son frère. (Ibid. F°10)
Or, elle [la charité] devient impuissante (…). Aussi veut-on
aujourd’hui s’adresser à la [ch biffé] justice. (Ibid. F°s12-13)
Seulement, je ne vois pas la lutte que je voudrais entre lui et son frère. J’aurais voulu une lutte héroïque, terrible, sanglante : tout un choc de deux mondes. (Ibid. F°14)
Je veux que ce roman soit au-dessus de terre, qu’il ouvre le vingtième siècle sur des visions. (Ibid. F°17)
« Chanter l’hymne à l’aurore. » C’est ce que je voudrais que fût le troisième volume de ma série : Paris. – (Ibid. F°28)
D’abord, je voudrais mettre partout Bernadette, la détacher sur tout le roman. (Ibid. F°30)
C’est là enfin ce que je voudrais surtout mettre dans mon œuvre, au premier plan, débordant tout. D’abord un cri superbe de l’humanité souffrante, le cri de la douleur. (Ibid. F°38)
J’ajoute que je veux un socialiste anarchiste qui lui veut l’égalité dans la richesse, comme les pèlerins la veulent dans la santé. (Ibid. F°41)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « Si, moi, j’avais une source, où je guérirais les plaies apparentes, en les y plongeant, je voudrais bouleverser le monde. (…) Surtout, je voudrais organiser les choses de façon à ce qu’aucun doute ne subsistât. (…) » – (Ibid. F°46)
Cela m’amène à ce vœu évident des zélateurs de Lourdes qui voudraient y amener tout le peuple. (…)
Mais je ne veux pas, je ne puis pas faire cette œuvre. (Ibid. F°s50-51)
Je répète que je veux au centre la souffrance humaine, tout un groupe de malades emportés vers l’éternelle illusion. (Ibid. F°55)
Je voudrais n’avoir qu’un pèlerinage national pour cadre (…). (Ibid. F°58)
Mais moi, si je veux rétablir la vérité, je n’ai qu’à reprendre l’affaire, l’enquête, au point où elle a été abandonnée. – (Ibid. F°65)
Je veux avoir toute la vie de Bernadette, les deux Lourdes, et la lutte du curé Peyramale. (Ibid. F°68)
Je voudrais, pour ne pas trop éparpiller l’effet, avoir un personnage central. (Ibid. F°72)
Je veux des intellectuels, parce que cela me permettra de leur faire analyser les choses à côté, je garderai des simples d’esprit. (Ibid. F°76)
Il va être de toutes les scènes, et en spectateur immobile, je veux dire chez lequel il n’y a pas conflit, progression ; par conséquent, il [f biffé] manque d’intérêt. (Ibid. F°82)
Quand sa mère n’est plus là, la crise se déclare donc, et je voudrais qu’elle fût déterminée par un fait. (Ibid. F°88)
Et je voudrais que le médecin qu’il retrouvera à Lourdes fût celui qui a soigné sa mère et qui l’a soigné lui-même. (Ibid. F°90)
Je pourrai fixer tout de suite où tout ce monde s’est connu et a évolué. Je voudrais un faubourg de Paris, un village des environs. (Ibid. F°91)
Enfin, je voudrais bien avoir une très jolie hospitalière, 20 ans, dans tout le charme de la jeunesse. (Ibid. F°104)
Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille ; et là je voudrais tout un drame qui peut me donner les deux chapitres qui me manquent. (Ibid. F°108)
Elle [Mme Maze] descend
chez les sœurs bleues, et je veux, à la fin, que le [mariage biffé] mari (…) l’emmène, par caprice, à Luchon passer [un biffé] quinze jours. (Ibid. F°111-112)
Il y a ensuite les sœurs de l’Assomption. J’en voudrais deux, une plus âgée, chargée dans le wagon des provisions. (…) Mais j’en voudrais une surtout jeune, très agréable, sinon jolie. (…) Et je veux que le ssexe de la femme n’apparais- \\se seulement pas en elle, rien que la douceur, la bonté et le dévouement de la femme. Pour rendre cela sensible, je voudrais que cette sœur ait soigné un jeune homme de trente ans, un pauvre, dans sa chambre où il agonisait à Paris. (Ibid. F°s113-114)
Comme pères de l’Assomption, je voudrai le père Picard, que j’appellerai autrement, mais que je décrirai identique (…). (Ibid. F°117)
Puis, poser sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière. (…) C’est l’installation, avant le train-train des prières. Cela me permet de les présenter comme je le voudrais. (Ibid. F°123)
Enfin, l’homme avant de reprendre tout le wagon. (…)
Je ne veux pas qu’on sache son nom. (Ibid. F°s128-129)
Enfin, je voudrais, dans ce premier chapitre, poser tout le fonctionnement du pèlerinage. (Ibid. F°136)
J’ai dit qu’on craignait des morts, et je voudrais bien mettre là l’homme qui meurt à Tarbes et que le père Fourcade voudra tenter de ressusciter. (Ibid. F°138)
Et Marie dès lors dans sa gouttière. C’est là que je voudrais un dernier portrait d’elle, en opposition avec son portrait de belle enfant. (Ibid. F°152)
Mais je ne veux pas interrompre le train qui roule et le sentiment de la douleur dans le wagon. C’est là surtout mon vif désir (…). (Ibid. F°155)
J’ai envie de mettre l’abbé Judaine (…). Mais je ne voudrais pas un curé de Paris. (Ibid. F°177)
J’ai donc deux heures de chapelet et de cantique, pendant lesquelles Sophie Couteau pourra raconter son miracle. Je veux dire que ce sera le récit de Sophie que je couperai sans doute par le chapelet et des cantiques. (Ibid. F°198)
Les paroles qu’elle [Bernadette] prête à la Vierge, elle a dû les entendre. Le temps voulu. Comment cela a pu se faire. – (Ibid. F°208)
Je voudrais aussi finir par Bernadette puisque tout le chapitre lui appartient. (Ibid. F°211)
C’est là que je [en interligne : voulais] mettr[ai biffé]e l’ancien Lourdes. Mais, décidément, je crois qu’il serait plus logique de le mettre au commencement. (Ibid. F°215)
Je voudrais que la lecture continuât jusque vers onze heures. (Ibid. F°217)
Je ne veux avoir décidément les piscines que l’après-midi ; et Marie ne voudra être trempée que l’après-midi. (Ibid. F°254)
Ce que je disais au docteur Boissarie : Si moi j’avais une source et [q biffé] si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. (Ibid. F°274)
Je ne veux pas les [les Pères de l’Immaculée Conception] montrer, je veux qu’on les sente partout, derrière le pèlerinage, qu’ils laissent
le maître. (Ibid. F°s279-280)
Je ne veux pas les [les pères de la Grotte] montrer, [les biffé] je les ferai apparaître tout au plus. Mais je voudrais qu’on les sentît partout, derrière le pèlerinage, [qu biffé] qu’ils laissent le maître. (Ibid. F°290)
Ce que je veux montrer surtout, ce que Pierre sentira surtout, c’est le peu de sérieux de ces constatations. (Ibid. F°291)
Je veux en arriver à ce que Pierre (…) reprenne le petit livre qui appartient à Marie, et continue la lecture sur Bernadette. (Ibid. F°306)
Et je voudrais tout de suite poser Mme Volmar et son monsieur. (Ibid. F°318)
D’autre part, je voudrais avoir tout l’épisode des Vigneron. (Ibid. F°319)
Je ne veux pas mettre M. de Guersaint dans la confidence : il est trop léger. (Ibid. F°324)
M. Vigneron obtient nécessairement là sa première grâce, son espoir d’être nommé chef, car je veux garder tout l’effet de la mort de Mme Chaise pour l’autre scène. (Ibid. F°327)
Je voudrais avoir [ainsi biffé] toute l’hospitalité par Gérard. (Ibid. F°338)
J’ai donc M. de Guersaint pour le promener comme je voudrais, même l’inviter à la popote. (Ibid. F°339)
Mais [auparavant biffé] comme ils passent devant la popote, ils rencontrent madame Désagneaux et Raymonde qui causent avec Gérard (Mme de Jonquière absente, je ne veux pas
la mêler aux affaires de sa fille [)]. (Ibid. F°s340-341)
Donc, dès neuf heures, Pierre vient chercher Marie. (…) Je voudrais leur faire voir la procession. (Ibid. F°358)
Mais je veux avoir des épisodes, pour corser un peu le chapitre, et particulièrement l’épisode de Mme Vincent et de la petite Rose à l’abri. (Ibid. F°360)
D’autre part le docteur Chassaigne, si je veux, dans la foule. (Ibid. F°363)
Je voudrais qu’il [Pierre] revînt ensuite, et que sa prière ardente fût tentée alors. (Ibid. F°376)
Je voudrais le [Pierre] garder jusqu’au soleil levant, pour l’avoir là (…). (Ibid. F°379)
Je crois que cela serait la place, surtout si je veux que le mardi la mère reparte. (Ibid. F°379)
J’ai indiqué l’église paroissiale, et je veux qu’avant de quitter Pierre, Chassaigne lui donne rendez-vous (…). (Ibid. F°390)
Lasserre ne veut pas que Bernadette ait eu des pensées d’orgueil. On ne l’éloigna pas pour cela (éb. 143). (Ibid. F°397)
Je voudrais que sœur Hyacinthe aussi s’en aille, pour une drogue. (Ibid. F°406)
C’est hier que Raymonde doit annoncer à sa mère que le mariage est fait. (Voir les Personn.) Cela très discrètement, et en trouvant le moment voulu. – (Ibid. F°411)
Je voudrais aussi, quand madame Vêtu va mourir, que Elise Rouquet, le lupus, revienne de la grotte, en disant qu’elle est guérie. (Ibid. F°412)
Et je voudrais l’avoir [la salle des ménages], ne fut-ce qu’un instant, pour retrouver tout l’hôpital. (Ibid. F°413)
Je ne voudrais pas avoir Pierre. (Ibid. F°429)
Seulement, je ne suis pas sans crainte ; car j’ai déjà la Grotte, au chapitre précédent, et je ne veux pas en abuser. (Ibid. F°443)
Lui [Pierre] sera perdu. Je veux dire qu’il ne
pourra plus croire. (Ibid. F°s443-444)
Et la comparaison (…) qui va s’établir entre eux [Pierre et le père Massias]. Je voudrais de la conversation le plus possible. (Ibid. F°451)
Avant de décrire la ruine [en interligne : G.B. 87] telle qu’elle est, je voudrais, par un moyen quelconque, montrer l’église debout, telle que Peyramale la voyait, dans son rêve de prêtre constructeur. (Ibid. F°474)
Je voudrais après cet épisode des Vigneron, qu’elle [Mme Volmar] se heurte dans Pierre qui rentre chez lui. (Ibid. F°487)
Tout ceci doit se passer de bon matin, car je voudrais en arriver à cet épisode. (Ibid. F°487)
Si je veux montrer le monsieur de Mme Volmar, je pourrai le faire passer à la fin. (Ibid. F°489)
Je crois que je devrais conserver la boutique et Appoline pour la fin du chapitre, parce qu[’il biffé]e cela finirait bien, serait la conclusion du nouveau Lourdes que je veux peindre [dans la marge : ]. (Ibid. F°504)
Et c’est à la fin d’un de
ces pèlerinages en pensée à Lourdes que je voudrais lui donner un regret de sa libre jeunesse (…) – (Ibid. F°s574-575)
Dans l’hôtel où mon prêtre et le père sont descendus. J’y voudrais une intrigue mondaine. (Ibid. F°603)
Il entre donc au séminaire, poussé par sa mère, et je veux que lorsqu’il prononce ses vœux, il soit de bonne foi, croyant. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 7 – Notes sur Pierre Froment)
Je veux la faire frapper dans son sexe de femme. (Ibid. Fo 21 – Notes sur Marie de Guersaint)
Comme j’ai déjà deux phtisiques, je voudrais avoir une autre maladie, une décomposition du sang. (Ibid. Fo 37 – Notes sur Frère Isidore)
La faire dévote, puisque je veux un commencement de guérison. (Ibid. Fo 48 – Notes sur Elise Rouquet)
Je ne veux pas d’un intrigant, mais plutôt d’un homme moyen, qui croit sans croire. – (Ibid. Fo 67 – Notes sur le docteur Bonamy)
Je le veux en opposition avec mon Pierre. (…) Je voudrais en faire un miraculé, guéri d’une maladie d’yeux, dans laquelle il a failli perdre la vue. (Ibid. Fo 91 – Notes sur l’abbé Judaine)
Enfin, je voudrais l’avoir au départ, mourant sans doute (…). (Ibid. Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Je voudrais que la dernière scène fût son agonie. (Ibid. Fo 113 – Notes sur le Commandeur)
Pas une fois, le médecin n’est là, je veux dire celui qui a constaté la maladie. (Ibid. Fo 167 – Notes sur les Miracles)
Il ne s’est pas adressé à la source adverse ; c’est là qu’il faudrait frapper, si l’on voulait écrire la véritable histoire. (Ibid. Fo 258– Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
« Travail » est l’œuvre que je voudrais faire avec Fourier, l’organisation du travail, le travail père et régulateur du monde (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2)
Je veux aussi des ouvriers représentant tout le travail (Ibid., f° 352/5)
Je le voudrais un héros (Ibid., f° 353/6)
Mais surtout, je veux incarner avant tout l’idée de travail dans Luc (Ibid., f° 357/10) \\Mais je veux que Luc soit l’inventeur (Ibid., f° 358/11)
Je le voudrais déjà apôtre du travail (Ibid., f° 359/12)
Ce que je veux, c’est qu’à la fin, dans le triomphe l’ouvrier reparaît (Ibid., f° 361/14-362/15)
Je ne veux décidément pas en faire un médecin (Ibid., f° 364/17)
Mais, auparavant, je voudrais bien créer un couple d’amoureux qui traverseraient toute l’action (Ibid., f° 369/22)
Mais si je veux lui donner du mouvement, il faut que dans la deuxième partie, il lutte, espère, puis désespère, s’imagine même un moment que tout est perdu (Ibid., f° 372/25-373/26)
Comme j’ai voulu celle-ci orpheline, elle sera donc restée seule avec son frère, plus jeune qu’elle de trois ou quatre ans (à régler) (Ibid., f° 380/33)
Je veux qu’il représente le travail intellectuel (Ibid., f° 383/36)
Mais je veux que tout se passe chez le capitaliste, puisque j’ai eu l’usine au II et que je vais la raviver au V (Ibid., f° 395/48)
Car je veux consacrer tout le troisième livre à l’utopie heureuse (Ibid., F° 403)
seulement cela ne s’arrange guère, car je voudrais un samedi avec la paie (Ibid., F°409)
Mon curé l’abbé Marle, je veux en faire un brave homme (Ibid., F°413)
Jordan, dont je veux faire un type, un Vulcain silencieux (Ibid., F°422)
Je veux faire de ces trois-là la famille primitive vivant dans un trou (Ibid., F°424)
C’est dans leurs enfants que je voudrais achever l’évolution, l’humanité sortie du travail pénible et homérique (Ibid., F°425)
Je voudrais régler tout de suite le premier chapitre, surtout Josine et Nanet (Ibid., F°429)
Je songe que cela pourra très bien se faire avec la scène où je veux relever le vieux Qurignon (Ibid., F°437)
VOUS
deuxième personne du pluriel)
Le Rêve (1888)
Une conversation (…) Le « vous » tout le temps (premier plan du chapitre VII, f° 101)
Elle lui répète : parlons de vous, rien que de vous (…) Moi je ne suis qu’un ouvrier (Ibid., plan du chapitre IX, f° 120)
Vous ouvrier, c’est impossible (Ibid., plan du chapitre IX f° 121)
Lourdes (1894)
C’est toute la vie en elle ; car elle ne parle pas, elle a seulement, par instant, une petite plainte, un petit gémissement doux et [mot illisible biffé] si douloureux, qu’il vous déchire. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 33 – Notes sur Rose)
Ce singulier état, les républicains déblatérant, puis s’inquiétant, vous regardant dans les yeux, dès
que vous faites chorus avec eux. – (Ibid. Fos 105-106 – Notes sur Cazaban)
L’imagination fait les miracles. Mais vous ne pouvez restaurer une [j biffé] substance détruite. – (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Autour des miraculés, bonheur, larmes, et finalement croyance. Si vous y mettez le petit doigt, tout entier. (Ibid. Fo 178 – Notes sur Dozous 7-12)
La cliente du docteur Astier,
élégante celle-ci (…). La douleur de se trouver ainsi, par terre, sur [un biffé] le trottoir d’un quai, au milieu de la foule qui vous regarde. (Ibid. Fos 185-186 – Notes sur le Départ de Paris)
En donnant 40 fr., on a droit à un malade, qui est envoyé à Lourdes, et dont on vous donne le nom. (Ibid. Fo 192 – Notes sur le Départ de Paris)
VOYAGE
(Genre)
Le Rêve (1888)
Elle aura lu l’histoire sainte, le catéchisme, la vie des saints, quelque voyage (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 241/24) \\(…) Le recueil des voyages doit apporter aussi son effet, ces pays lointains qu’elle rêve (Ibid., f° 244/28)
(…) Angélique questionnée, ou lisant la Vie des Saints
ou les voyages, et disant le roman qu’elle rêve, le prince /bleu raturé/ charmant (Ibid., f°s 244/28- 245/29)
Lourdes (1894)
Utiliser mon voyage à Argelès (éb. 209.) Paysages. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°397)
VRAI(-MENT)
La Curée (1872)
Il est vrai qu’au fond d’Aristide, il y a toujours le bourgeois de Plassans (MS NAF 10 282, La Curée, f°298 / Premiers détails).
Le Ventre de Paris (1873)
Je vois dès à présent un homme meilleur qu’Elisa, plus brusque, plus inégal (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 54-55)
J’entrevois d’abord la police. Un sergent de ville, un type à trouver. (Ibid., f° 60)
Je ferai de Gervaise une de ces marchandes de quatre saisons (…) Ce ne sera qu’une figure entrevue, avec ses trois enfants. Gervaise, affamée, battue, le ventre serré ; Gervaise jalouse et espionnant Lisa. (Ibid., f° 65)
Un mot sur son protecteur qui lui a permis d’apprendre, et cela suffit (Voir l’ébauche). ( Ibid., f° 105)
On voit la boulangère trois fois, dans les 1ers cancans, à l’arrivée de Florent. ( Ibid., f° 114)
Nana (1880)
Elle [Nana] prend du genre, très distinguée vraiment. (NAF Ms. 10313, Nana. F°98- Plan)
les questions sur les diamants. Sont-ils vrais ? (Ibid. F°156).
Simonne Cabiroche, de son vrai prénom Justine. (NAF Ms. 10313, Nana. F°170- Personnages)
[Nana] En un mot, la vraie fille. (Ibid. F°193)
Blanche de Sivry, de son vrai nom Françoise Baudu (…). (Ibid. F°197).
La vraie fille sans passion. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche)
Je puis faire de mon vieux dégoûtant, le sénateur, le beau-père de mon homme mûr, respectable et aimant vraiment. (Ibid. F°210).
C’est pas pour dire, mais vraiment, là, j’ai eu un peu de regret, pour les fruits. Pas vrai Léon ? (NAF Ms. 10313, Nana. F°243/2- Notes)
Des hommes d’âge mûr, ayant des situations honorables, devenant vraiment amoureux. (Ibid. F°265/25).
Pot-Bouille (1882)
La vraie maison parisienne, étroite, dorée, bel escalier (MS NAF 10 321, Pot-Bouille, f °386)
Le Ventre de Paris (1883)
Je ferai peut-être bien de ne pas inventer une conspiration vraie. Le sujet se dessine mieux ainsi. (MS NAF 10277, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 68)
Incarnation tout aussi nuisible à la vraie cause de la liberté. (Ibid., f° 73)
Lebigre sera tout à fait effacé, j’en ferai un personnage louche, dont on ne saura le vrai caractère de mouchard que plus tard. (Ibid., f° 87)
Une vraie poissonnière. (Ibid., f° 106)
Mais elle galopine, voilà le plus vrai. (Ibid., f° 111)
La Terre (1887)
il a pris la cadette après l’aîné [sic], il les traite de putains toutes les deux ; et cela est vrai. (arranger le type de Palmyre. La faire écrasée sans doute). (MS NAF 10.328 La Terre. f° 408/9 – Ebauche)
(…) La terre, la vraie domine et emplit le volume, toujours présente. (Ibid., f° 486/78)
Le Rêve (1888)
Et faire vraiment sortir le garçon de l’invisible. Jusqu’à ce que je le montre dans le soleil (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 258/41)
Figures mieux drapées, expression plus vraie (N.D. de Paris dans le transept méridional, la plus belle rose connue (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Vitraux, f° 273)
Le prince sort vraiment de l’invisible. Jusqu’à ce que je le montre dans le soleil (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre IV, f° 66)
Lourdes (1894)
J’aurai là la peinture de tout le néo-catholicisme qu’on tente. Le réveil [du] mysticisme, l’effort spiritualiste étudié sur son vrai terrain. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°5)
Pour accepter la vie avec la science seule, avec le mâle courage du vrai, sans espoir de compensations futures, il faut être un esprit élevé, cultivé, absolument brave. (Ibid. F°11)
N’en est-il pas moins vrai que la voilà [Bernadette] séparée de sa famille, cloîtrée, ne pouvant plus voir personne. (Ibid. F°31)
Donc, pour me résumer, l’œuvre de la grotte enrichissant Lourdes (…) et toute la légende, toute l’histoire vraie aussi de Bernadette par derrière cela. (Ibid. F°43)
Tout le va comme je te pousse. Aucune certitude, aucune constatation vraiment définitive. (Ibid. F°48)
Toute la force d’[hame biffé] âme qu’il faudrait pour accepter la vie vraie ; [car biffé] n’en est-il [Pierre] pas un exemple. – (Ibid. F°78)
Je puis faire que la mère de cette fille soit précisément la directrice de la salle, et j’en fais une femme vraiment méritoire (…). (Ibid. F°100)
Enfin, il [Cazaban] représente la ville haute, le progrès de la libre pensée, et mieux
encore l’intérêt personnel. Car la vraie libre pensée est représentée par mon prêtre. (Ibid. F°s120-120 bis)
Et il [Pierre] ne sait plus un instant si toutes ces histoires extraordinaires ne sont pas vraies. (Ibid. F°191)
Et il [Pierre] ne sait plus si toutes ces histoires extraordinaires ne sont pas vraies. (Ibid. F°196)
Mauvaise installation, organisation défectueuse, aucune certitude vraiment scientifique, contrôle nul, etc. (Ibid. F°292)
La nuit admirable (…). Alors, son vrai désir de croire. (Ibid. F°343)
Ensuite, sur Elise Rouquet qui fait sa toilette du soir devant son miroir. Etait-ce un vrai
lupus. (Ibid. F°s539-540)
Il est vrai qu’on lui a [fa biffé] tout fait mettre en dehors de la vie. (Ibid. F°578)
C’est vrai, un sanglot pitoyable. Pierre s’est violemment apitoyé – (Ibid. F°581)
Il [M. de Guersaint]
est vraiment artiste par certains coins (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 22-23 – Notes sur Marie de Guersaint)
C’est vrai : les paralytiques marchent, les aveugles voient, les morts ressuscitent. – (Ibid. Fo 171 – Notes sur les Miracles)
Il y a des faits de guérison qui échappent à toute interprétation scientifique. Mon Dieu ! cela doit être vrai. (Ibid. Fo 174 – Notes sur les Miracles)
Mais quand elles [les sœurs] ont le grand tablier bleu (…) \\, elles sont vraiment éclatantes (…). (Ibid. Fos 190-191– Notes sur le Départ de Paris)
De même, que de tableaux intéressants à faire avec les pèlerinages (…). On prétend qu’il se passe là de terribles choses. Il faudrait savoir les dessous, la vraie vérité. De même, la vraie vérité [pour biffé] sur la façon dont l’affaire a été menée, lancée, et dont elle est en \\tretenue. (Ibid. Fos 211-212 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Il faudrait revoir tout cela de près, l’étudier à fond, pendant un grand pèlerinage, de façon à pouvoir tracer les tableaux sur
des faits absolument vrais – (Ibid. Fos 213-214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Les vraies proportions du cirque échappent, l’impression n’est pas aussi énorme qu’elle devrait l’être. (Ibid. Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Elle [Bernadette] fuyait devant les visites, même de prêtres. L’horreur d’être en spectacle, l’humilité vraie. (Ibid. Fo 260 – Notes sur H. Lasserre)
Il est vrai qu’elle [Bernadette] ne renonçait à rien, puisqu’on lui avait fait tout mettre en-dehors. (Ibid. Fo 268 – Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
Et Luc fondant alors vraiment la Cité (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 396/49) ==== VRAISEMBLANCE (IN-) / VRAISEMBLABLE / INVRAISEMBLABLE ====
Le Rêve (1888)
La seule invraisemblance est qu’on doit savoir que le fils de l’évêque s’amuse à cela. Le sait-on ? A voir (plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Ne pas insister trop, car le point faible est l’invraisemblance de l’incognito qu’il peut garder : les Hubert devraient savoir qui il est (premier plan du chapitre VI, f° 89)
Lourdes (1894)
Pierre s’est chargé de M. de Guersaint, à l’hôtel, ce que celui-ci a accepté. Tâcher de tout rendre bien vraisemblable. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°159)
Travail (1901)
la scène où je veux relever le vieux Qurignon. Elle a quelque invraisemblance . Il faudra la préparer et l’arranger (F°437)
VUE
Le Ventre de Paris (1872)
Un aspect des Halles, vues de biais, de la rue Montmartre […] (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°296)
Nana (1880)
Nana très impressionnée par la vue de la vieille p. lui cède. (NAF Ms. 10313, Nana. F°62- Plan)
L’escalier jeté en coin, vue de la fenêtre. (Ibid. F°88).
Pour bien mettre cela en vue, il faudra bien peser le caractère de Muffat, de la comtesse et de Nana. (NAF Ms. 10313, Nana. F°229- Ebauche).
Lourdes (1894)
Vue d’ensemble sur Lourdes. Quand je ferai « Rome » et « Paris », il faudra que je relise d’abord ces notes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°29)
Il revoit la jeune fille (…). (…)
Et faire que cette vue le décide. (Ibid. F°s86-87)
Ne pas trop perdre de vue non plus l’abbé Des Hermoises. Voir son personnage. – (Ibid. F°430)
Et une vue nette du nouveau Lourdes, saisissant Pierre. (Ibid. F°505)
Première vue de Lourdes au soleil levant, château, Basilique, rampes, Grotte. (Ibid. F°602)
A moins que je ne fasse passer son (…) image dans « Rome », ce qui ne serait pas mauvais, rien que pour ne pas le perdre de vue et le préparer. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 16 – Notes sur Guillaume Froment)
Elle tombe malade à 13 ans à la formation, et quand Pierre la voit à 18 ans, très malade, et que cette [le biffé] vue le décide à la prêtrise (…). (Ibid. Fo 23 – Notes sur Marie de Guersaint)
VULCAIN
Dieu forgeron dans la mythologie latine ancienne
Travail (1901)
Les dompteurs du feu, un surtout que je créerai comme un Vulcain et qui disparaitra (F°419)
Jordan, dont je veux faire un type, un Vulcain silencieux (F°422)