PÉRIPÉTIE
Voir aussi Episode
La Conquête de Plassans (1874)
Les scènes se renouvellent, en trouver d’autres aussi typiques et dramatiser le sujet le plus possible en trouvant des péripéties (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F° 24)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Et là, dans les livres, elle apprend la société, elle voit son crime, elle devient horriblement triste, et cela, après des péripéties, la conduit au suicide. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 7)
Nana (1880)
Les péripéties de la course. (NAF Ms. 10313, Nana. F°123- Plan).
Il faut donc que Muffat apprenne qu’il est cocu, pendant qu’il est chez Nana ; cela me donne une péripétie. (NAF Ms. 10313, Nana. F°230- Ebauche).
PERMETTRE
a)- possibilité pour le narrateur :
Le Ventre de Paris (1873)
De plus, cela me permettra d’animer Lisa, à un moment, de l’étudier en face de la passion (MS NAF 10277, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 63)
La Terre (1887)
Je voudrais un jeune paysan qui incarnerait le paysan quittant la terre, attiré par la ville, s’habillant chez Godchau, d’une élégance canaille. (…) Si les âges me le permettent, ce sera un enfant du gendre. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 481/73 -Ebauche)
Le Rêve (1888)
Les ruines (…) du château (…) Cela me permettrait d’y mettre les légendes (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 255)
Lourdes (1894)
C’est cela qu’il faudra chercher, une division par parties [qui biffé], peut-être, qui permettra des refrains, [qui biffé] quoique ce serait très mauvais d’interrompre
le récit. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s58-59)
Je veux des intellectuels, parce que cela me permettra de leur faire analyser les choses (…). (Ibid. F°76)
C’est l’installation, avant le train-train des prières. Cela me permet de les [sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière] présenter comme je le voudrais. (Ibid. F°123)
Et il n’y a plus ensuite que le Chapelet (à Ste-Maure), la Neuvaine et l’Angélus (à Châtellerault), ce qui me permettra de mettre les réflexions de Pierre, sans trop les encombrer par ce qu’on fera – (Ibid. F°144)
La contagion, le [Pierre] mettre dans un état d’esprit qui permette la lutte en lui pendant les chapitres qui vont suivre. (Ibid. F°191)
Marie restant la dernière dans le wagon (…). (…) Cela me permettra de la laisser la dernière sur le quai et de la mettre en face du Commandeur. (Ibid. F°234)
Donc Marie reste un instant devant la Grotte, le temps sans doute de permettre à Pierre d’analyser [les biffé] la situation. (Ibid. F°445)
Et les larmes de ces bonnes dames qui ne la [Marie] quittent plus, ce qui permet à Pierre de s’en aller. (Ibid. F°466)
Marie choisira quelque chose de pas cher, et cela me permettra de faire la revue de tous les objets qui se trouvent là [dans la marge : ]. (Ibid. F°503)
On chante encore le Magnificat, à pleines voix, et c’est ce qui me permet de poser cet intérieur. (Ibid. F°533)
Très amant de la nature, ce qui me permettra de l’envoyer à Gavarnie. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 23 – Notes sur Marie de Guersaint)
Les Annales permettraient de reconstituer toute l’histoire de Lourdes. (Ibid. Fo 174 – Notes sur les Miracles)
Travail (1901)
Cela dès lors permet un combat (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 355/8)
b)-possibilité pour un personnage :
Le Rêve (1888)
Des charpentes, un treillage permettent d’y monter, avec danger (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur la maison des Hubert, f° 394/1)
Lourdes (1894)
Il a un oncle au conseil municipal, ce qui lui permet d’en connaître les secrets. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 106 – Notes sur Cazaban)
PERDRE
Le Rêve (1888)
Cela ne change rien en somme et enlève le côté un peu louche de l’évêque (…) je n’y perds que la broderie commandée (NAF MS 10323 Le Rêve f° 308/91- Ebauche)
PÉRIODE
Le Rêve (1888)
Le chapitre (…) s’étend sur une longue période d’années (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 28) ==== PERSONNAGE / PERSONNE / PERSONNEL ====
Voir aussi : Figure ; Type ; Caractère ; Héros ; Personnel ; Gens ; Femme. Le terme renvoie à deux réalités : 1)-d’une part le dossier « Personnages » où Zola rédige la fiche synthétique (hérédité, physique, psychologie, âge, etc.) de chaque personnage important de son roman, et auquel il renvoie par des consignes du type : « Prendre son histoire aux personnages » ou simplement : « (Personnages) » ; 2)- d’autre part le personnel figuratif (hommes, femmes) de la fiction en cours.
La Curée (1872)
La soirée où passent les principaux personnages (MS NAF 10 282, La Curée, f°210). – Soirée […] où nous retrouvons tous nos personnages, et où le coup final se prépare. 7 La crise (MS NAF 10 282, La Curée, f°211). – Aucun portrait définitif des personnages (MS NAF 10 282, La Curée, f°212). – Mes personnages ne peuvent avoir des éclats sauf Renée (MS NAF 10 282, La Curée, f°235). – Les 3 personnages, les opposer à un moment. C’est dans mes notes (MS NAF 10 282, La Curée, f°243). – Voici la marche du personnage. (MS NAF 10 282, La Curée, f°294 / Premiers détails). – Pour aller à leur but, les personnages enjambent tous les obstacles, rien ne les arrête (MS NAF 10 282, La Curée, f°298 / Premiers détails). – Les personnages secondaires, etc. (MS NAF 10 282, La Curée, f°324). – Pour mettre tout cela en train, j’ai besoin comme personnages… (MS NAF 10 282, La Curée, f°327). – Comme histoire de ces personnages… (MS NAF 10 282, La Curée, f°328).
Le Ventre de Paris (1873)
Je l’étudierai dans ces trois cas, et je trouverai là l’intrigue et les personnages secondaires.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 53)
L’opposition est suffisamment indiquée. D’ailleurs, les personnages secondaires l’indiqueront encore mieux. (Ibid., f° 59)
C’est une matière très suffisante, et il me reste uniquement à chercher les épisodes, les personnages épisodiques. (Ibid., f° 59-60)
Personnages secondaires et épisodiques. (Ibid., f° 60)
Je donnerai des enfants à Lisa et à Louis, qui me serviront plus tard et qui augmenteront mes personnages, mes épisodes. (Ibid., f° 61)
Il me faudrait dans l’œuvre un personnage épisodique, qui fut le Quasimodo de mes Halles.(Ibid., f° 62)
[f°64, les personnages sont appelés « ces gens-là »
Types à trouver quand j’en viendrai à étudier ces personnages de plus près. (Ibid., f° 74)
Charvet est désespéré d’être envoyé à Cayenne ; mais il joue son personnage jusqu’au bout (Ibid., f° 75) Le parallèle entre ces deux hommes, le personnel obligé des conspirations. (Ibid., f°s 74-75)
Enfin comme personnage secondaire, je puis avoir un liquoriste mouchard sur le comptoir duquel mes hommes iront prendre le vin blanc (Ibid., f° 77)
Les personnages de cette conspiration dont Lebigre, Gavard et Florent. (Ibid., f° 84)
Lebigre sera tout à fait effacé, j’en ferai un personnage louche, dont on ne saura le vrai caractère de mouchard que plus tard. (Ibid., f° 87)
Ainsi donc le personnage de Lisa vis-à-vis de Florent est très net (Ibid., f° 90)
Pour les personnages à côté (Ibid., f° 94)
Charvet est désespéré d’être renvoyé à Cayenne; mais il joue son personnage jusqu’au bout; le ventre a un coin de puni en lui. (Ibid., f° 100)
Comme gras, j’ai le plus grand nombre de mes personnages. (Ibid., f° 101) \\Le personnel de la charcuterie. (Ibid., f° 101)
Donc, le personnel de la Conspiration (Ibid., f° 101)
Les Personnages (Ibid., f° 103)
Je choisirai un autre personnage pour la marchande au petits tas. (Ibid., f° 105)
Le personnel de la charcuterie (Ibid., f° 113)
Logement des personnages (Ibid., f°134)
Rue Courtalon, très étroite, excellente pour y loger un personnage (Ibid., f° 138)
Logement des personnages (Ibid., f° 146)
Dans la nuit, les personnages.(Ibid., f° 169)
La Conquête de Plassans (1874)
cette partie, la plus originale, doit avoir du développement. Il faut la mêler intimement au récit, aux autres personnages (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F° 25)
Je voudrais bien employer le personnage de Macquart. Je pourrai en faire un employé de la maison de fous (Ibid. F° 27)
Une femme compromise par un gros bonnet de l’Empire, qu’on a fait épouser à un de mes personnages (Ibid. F° 28)
C’est Mouret qui peut les expliquer d’une façon (?), un soir dans son jardin, d’abord en gros, sans l’histoire des personnages qui viendront au fur et à mesure. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
La silhouette physique des personnages (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
A cette fin de chapitre tous les personnages doivent être posés. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)
Les personnages secondaires restent alors chez Mouret. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan ΧΙΙ F° 10)
Les réunions des personnages secondaires ont lieu maintenant à la sous-préfecture. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVII F° 11)
Une scène faisant revenir tous les personnages de la sous-préfecture (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXIV F˚ 13)
Les personnages secondaires (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan 2 F˚15)
Tout un chapitre avec conversations des personnages (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan 4 F˚15)
Petit chapitre, incendie avec les personnages secondaires (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan 5 F˚15)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Dans cette première partie, j’y pose également les personnages secondaires. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 2)
Blanche devient le personnage important. (Ibid., f° 5)
Comme personnages secondaires, je vois déjà les suivants. (Ibid., f° 8)
Enfin, j’ai encore comme personnage secondaire le médecin et le bedeau. (Ibid., f° 10)
Ne pas oublier que le village devient un seul personnage, et le montrer à l’horizon de chacune de mes scènes, en évitant d’employer aucun nom. (Ibid., f° 14)
Maintenant, le tout sera de trouver avec ces quelques personnages un drame assez poignant et une mise en scène assez intéressante. (Ibid., f° 15)
Les autres personnages n’ont pas d’histoire. (Ibid., Les personnages, f° 18)
Mais, en somme je veux autant que possible effacer le monde clérical autour de mon personnage. (Ibid., f° 18-19)
Nana (1880)
Les ouvreuses bousculées. Les personnages s’en allant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°10- Plan)
Les personnages qui les connaissent, iront les visiter.
Maintenant les autres personnages.
Léon Juillerat est avec Amy Stewart. C’est lui, très parisien, qui pourra être le lien des personnages dans ce premier chapitre. (Ibid. F°11)
Dans ce chapitre ne donner que des indications rapides, suffisantes pour poser les personnages. (Ibid. F°12)
Zoé à chaque visite pose le personnage [Georges Hugon], en en parlant à Mme Lerat et à madame Maloir, toutes deux veuves. (Ibid. F°16)
Vendoeuvres avec les dames Bien arrêter ce personnage dans son beau alors. (Ibid. F°25)
Puis Estelle énigme. (Voir les personnages.). (Ibid. F°27)
L’histoire des deux personnage (sic). ce qu’ils font à Paris [Georges et Philippe Hugon]. (Ibid. F°28)
Poser Estelle (Voir personnages). (Ibid. F°31)
Le personnage dévot sera un petit homme de 60 ans (…). (Ibid. F°32)
D’ailleurs, tout (sic) les personnages sont là (…). (Ibid. F°43)
Bien poser Labordette (important.) Voir l’ébauche et les personnages. (Ibid. F°44)
Voici le rôle des personnages secondaires. (Ibid. F°62)
XI. – Les Courses. – Tous les personnages, femmes et hommes ne reparaisse (sic) que là. (Ibid. F°97)
C’est alors que tous les personnages hommes reparaissent (…). (Ibid. F°102)
Poser tous mes personnages secondaires. (Ibid. F°119)
Nana devant ces personnages. (Ibid. F°121-2)
C’est là que je pourrai montrer et faire agir le dévot, le personnage qui voudra gagner Muffat à la dévotion. (Ibid. F°136)
Je ne suis pas d’avis pourtant de remontrer tous les personnages, qui paraissent un peu souvent. (Ibid. F°136-7)
C’est le comble, Muffat sanglottant (sic) tombe à genoux et prie Dieu. Le personnage dévot peut le prendre à ce moment. (Ibid. F°145-6)
Tous les personnages abattus aux pieds de Nana. Des personnages que je ne fais que nommer. (Ibid. F°146)
Et tous mes personnages ruinés, Cartier, Vendoeuvres, Juillerat, la Faloise sont dans la salle. (Ibid. F°159)
Finir les personnages : Labordette, le marquis de Chouard, Francis etc. (Ibid. F°160).
PERSONNAGES
(NAF Ms. 10313, Nana. F°164- Personnages)
Personnages, (les âges pris en 1867, après l’Exposition). (Ibid. F°165)
Madame Lerat. – Le personnage de L’Assommoir. (Ibid. F°183)
[Blanche de Sivry] Belle. Personnage lymphatique, à la beauté correcte. (Ibid. F°197).
Maintenant, comme autres personnages secondaires, il faudrait un officier supérieur, puis de très hauts personnages tenant à la cour (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F° 209-10- Ebauche)
Voyons les liens qu’il pourrait y avoir entre ces personnages. (Ibid. F°210)
Il faudrait, bien montrer tous les personnages abattus aux pieds de Nana à la fin. (Ibid. F°211)
Chez l’homme mûr. Une réception. Pour poser les personnages. Un souper chez Nana. Les personnages posés. (Ibid. F°222)
Il y aura une ou deux personnages qui auront intérêt à ce que Muffat appartienne à la religion et qui pourront le jeter à Nana pour le repêcher ensuite et le conquérir aux joies du ciel.
Nana resterait le personnage sympathique, se donnant, mais en bonne enfant, inconsciemment. (Ibid. F°227).
Pot-Bouille (1882)
Il faut que je prenne pour cadre une maison moderne, dans laquelle logeront tous mes personnages (MS NAF 10321, f° 382)
Quelques personnages seulement logeront en dehors (Ibid., f° 383)
Au bonheur des dames (1883)
Comme personnages, il me faudra (MS NAF 10277, Au Bonheur des dames, Ebauche (ou personnages), fº 9) \\Pour personnages, j’aurai donc (…) (Ibid., f° 24) \\Tous les personnages du magasin posés (pas encore les clientes) (Ibid., f° 25)
La Terre (1887)
Et, dès lors, la querelle dans la famille, tout le roman sera l’histoire de ce partage : (…) toutes les querelles, tous les incidents qui me donnent les caractères des différents personnages (MS NAF 10.328, La Terre, f° 404/5 – Ebauche)
(…)Je prends les personnages un à un, pour les chercher un peu. (Ibid., f° 430/31)
(…) Il faudrait que tous les personnages fussent mis en œuvre par mon histoire, le mariage de Louise, sa mort et la mort du vieux père. (Ibid., f° 460/52)
(…) La terre. C’est l’héroïne de mon livre. La terre nourricière, la terre qui donne la vie, et qui la reprend, impassible. Un personnage énorme, toujours présent, emplissant le livre. (Ibid., f° 484/76)
(…) Je crois donc qu’il ne faut pas incarner la terre dans un personnage. Aucun ne serait assez grand, aucune femme. (Ibid., f° 485/77) Un personnage secondaire à nommer (MS NAF 10329 La Terre f° 96 – Personnages, Clou)
Le Rêve (1888)
Je n’ai que cinq personnages et il ne faut pas en admettre un de plus (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 232/16). \\(…) A voir le personnage (Ibid., f° 234/18)
(…) Donc asseoir le plus possible mes personnages, leur donner surtout un acte civil très solide (Ibid., f° 294/77)
On évitait agglomérations de personnages et d’ornements pour laisser du fond et voir chaque personnage à distance. Les contours des personnages dessinés (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Vitraux, f° 274)
(…) Au XV le costume des personnages, le style des parties architectoniques, l’étude de la nature, se rapprochent plus de la réalité (Ibid., f° 277)
(…) Au XIIe et XIIIe, pour être vu à distance, ils accentuaient vivement les mouvements, les gestes des personnages, les ornements mêmes ils les exagéraient (Ibid., f° 278). Portrait d’Angélique jeune fille absolument (Personnage) (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 50, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche).
Portrait d’Angélique enfant (Personnages). Portraits d’Hubert et d’Hubertine (Personnages) (MS NAF 10323, Le Rêve, Premier Plan du chapitre I, f° 13)
Détails sur Sidonie (aux personnages) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 36)
portrait d’Angélique jeune fille, absolument (Personnages) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
la lune éteint le vitrail, elle ne voit plus le personnage (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Le personnage ressemble à Félicien. Trouver le vitrail (…)
la lune éteint le vitrail, elle ne voit plus le personnage (Ibid., premier plan du chapitre IV, f°s 64-65) \\. Un portrait du duc (Voir aux personnages) (…) Prendre toute son histoire aux personnages et la résumer là (Voir aux personnages) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Portrait de Félicien (personnages) (…) je ne puis raconter son histoire que lorsqu’il est connu au IX. Jusque là sa psychologie (la voir aux personnages) n’apparaît que dans son air et dans ses actes (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 77)
Psychologie de Félicien (aux personnages) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre VI, f° 92)
Psychologie de Félicien (aux personnages) rien que dans son air et dans ses actes (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
c’est lui qui donne toute son histoire (la prendre aux Personnages) (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 120)
Le mariage projeté avec Claire
de Voincourt (aux personnages, voir) (Ibid., plan du chapitre IX, f°s 122-123)
Là enfin l’histoire complète de Félicien (la prendre aux Personnages) (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 125) Angélique ne mettant pas l’orthographe. Son écriture personnelle (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 126)
Et les Hubert reparaissent avec leur drame personnel (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Portrait de Claire de Voincourt (Personnages) (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 153)
Angélique ne mettant pas l’orthographe, son ignorance, son écriture personnelle (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 157) \\portrait d’Angélique malade, émaciée. Un Memling. Reprendre son portrait de jeune fille (personnages) et le pâlir (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)
Le marquis y assiste avec un évêque son frère, et d’autres personnages (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 189)
Personnages (Dossier Personnages, f° 196 )
Il faut que la chasteté, la pureté, l’innocence, sortent de toute la personne (F° 199)
J’ai tous les personnages, sauf Félicien, comme psychologie (Ibid.F° 201)
Lourdes (1894)
Ne faire que poser tout cela dans « Lourdes » de façon à reprendre le person- \\nage plus tard. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s19-20)
Tout est laid, au milieu du décor splendide. Ils ont gâté la nature. (Mettre cela dans la bouche d’un personnage, si je ne le prends pas pour mon compte.) (Ibid. F°45)
Il faudrait plutôt des personnages qui raconteraient le passé, une sorte de chœur (…). (Ibid. F°59)
Si je faisais Rome, je garderais un ou plusieurs personnages, l’évêque et d’autres, pour réunir les deux volumes. (Ibid. F°61)
Mettre aussi les hospitalières, une ou deux sœurs de l’Assomption, enfin tous les personnages possibles. (Ibid. F°69)
Je voudrais, pour ne pas trop éparpiller l’effet, avoir un personnage central. (Ibid. F°72)
Le personnage pourrait me servir plus tard, pour Rome, et pour Paris. – (Ibid. F°73)
Je pourrai plus tard reprendre mon [person biffé] prêtre pour « Rome » et pour « Paris », dont il serait aussi le personnage central. (Ibid. F°79)
Ce qui est gênant un peu pour le roman, c’est que le personnage du prêtre devient maintenant trop central. (Ibid. F°81)
Il demande sa conversion
ardemment, et il ne l’obtiendra pas. Cela met du mouvement dans le personnage. (Ibid. F°s94-95)
J’ajouterai comme personnage de fond, la jolie hydrocéphale, une femme qui a un cancer à l’estomac, et qui meurt à l’hôpital, dans la nuit, et une autre qui [est biffé] a la figure mangée par un lupus et qu’on prétend guérie (plaies apparentes). (Ibid. F°107)
C’est en allant se faire raser chez lui qu’un de mes personnages, le père de ma malade, accompagné de mon prêtre, peut le faire causer. (Ibid. F°120 bis)
Et je donne alors une description (…) de tout le wagon, avec ses malades (…), en réservant les malades, mes personnages. (…) Un ensemble enfin, pour tout poser, sans les détails sur mes personnages, les malades, que je vais présenter un à un. (Ibid. F°124)
Et pendant l’Angélus et après, je présente Mme Maze et Mme Vincent, avec sa petite fille. Les prendre aux personnages. (Ibid. F°125)
Je prends donc mon wagon de troisième et j’y distribue mes personnages. (Ibid. F°132)
J’ai envie de mettre dans le même compartiment (…) Mme Maze (…) et en face d’elle Mme Vincent et sa fille Rose (douleur maternelle). Telles que je les ai indiquées aux personnages. (Ibid. F°133)
Son portrait [Pierre] serait bon ici. Le prendre au personnage. (Ibid. F°148)
Le voilà prêtre. Il [Pierre] a 26 ans. [en interligne : les 3 Villes 18. Son frère disparu (au Personn. détails)] (Ibid. F°149)
Finir de poser le père [en interligne : névropathe, architecte mâtiné d’inventeur],
un intéressant profil, à son personnage (…). (Ibid. F°s151-152)
L’histoire de Pierre et des Guersaint. La prendre aux Personnages. (Ibid. F°156)
Son analyse, sa résolution (est-ce que Lourdes est déjà là-dedans ? a-t-il [Pierre] les dossiers et comment ? voir cela aux Personnages) – (Ibid. F°157)
Ne pas oublier que Pierre est très au courant de Lourdes. Voir cela à son personnage, à la fin. (Ibid. F°160)
Voir tous les personnages des Froment et des Guersaint. (Ibid. F°161)
Du reste, poser là le départ des personnages. En réservant pour plus loin ce qu’ils doivent faire.– Et la description de ce quai envahi, par ce millier de personnages qui [l’en biffé] descendent. (Ibid. F°166)
On n’a plus que cinq minutes, [en interligne : le quai] la bousculade encore, et reprendre tous les personnages. (…) Puis tous les personnages de mon wagon, revenant, terminant ce qu’ils ont à faire. (Ibid. F°171)
Dès l’arrêt du train, Pierre court chercher l’interne, qui arrive avec sœur Hyacinthe. Cela doit me donner ces deux personnages, les prendre aux Pers. (Ibid. F°173)
J’ai envie de mettre l’abbé Judaine qui accompagnerait alors les Dieulafay, comme je crois l’avoir mis aux Personn. (Ibid. F°177)
Et c’est je crois tous les personnages que je mettrai là. (Ibid. F°178)
Enfin l’utiliser [Pierre] vis-à-vis de tous les personnages. (Ibid. F°179)
D’ailleurs revoir tous les personnages. (Ibid. F°181)
Et cela de son ton modeste et futé ; mais elle [Sophie Couteau] récite un pers. (Ibid. F°184)
Voici l’ordre des trois personnages à peu près valides qui content chacun son miracle : M. Sabathier, Mme Maze, Mme Vincent (celle-ci, maladie d’enfants[)]. (Ibid. F°185)
De même (…) un de mes personnages (incroyant autrefois), abandonné par les médecins, finit par s’adresser avec ferveur à Lourdes (…).– (Ibid. F°188)
Naturellement, il faudra distribuer tous les personnages du wagon pour leur faire jouer un rôle, dans ce récit des miracles. (Ibid. F°197)
Je reprends tous les personnages, sans les nommer. (Ibid. F°209)
Avec Berthaud, j’ai la politique. Prendre cela au personnage. (Ibid. F°225)
Et c’est dans cette bousculade que je dois [pas biffé] mettre l’épisode du Commandeur. Le prendre aux personn. (Ibid. F°229)
Donc le Commandeur, une sorte de maniaque bien connu de tout Lourdes (…). Le prendre aux Personn. (Ibid. F°237)
Le père Massias a été au séminaire avec Pierre (voir son personn). (Ibid. F°239)
Comment il [Chassaigne] a perdu sa femme à Cauterets et sa fille à Cauterets. Voir le personnage. (Ibid. F°266)
Et je trouve aussi le marquis de Salmon-Roquebert, si dévoué. Le prendre aux Personnages – (Ibid. F°269)
Et un journaliste influent de Paris, tombé là, auquel Bonamy donne la représentation. (…) Très mielleux, très charmant : prendre au personnage, le poser, tout à fait. (Ibid. F°280)
C’est par lui [Pierre] que j’ai la description de la salle et du personnage. (Ibid. F°280)
Tous les autres personnages sont revenus : Bonamy, Dargelès, Raboin, le journaliste de Paris, etc. (Ibid. F°282)
Pour que Bonamy fasse du zèle, il faut qu’il y ait là quelqu’un à convaincre, un médecin, un personnage, qu’il sait incrédule (…) \\. (Ibid. F°s290-291)
L’abbé Des Hermoises, [vague biffé] discrètement sceptique. (Voir son personn.) (Ibid. F°294)
Détails sur la salle sur les personnages (…). (Ibid. F°302)
Tous les personnages historiques, l’abbé Peyramale, l’évêque Mgr Laurence, le baron de Massy, le commissaire Jacomet, etc. – (Ibid. F°309)
Ces personnages me donneraient le déjeuner à l’hôtel des Apparitions, le brouhaha, la [appar biffé] promiscuité. (Ibid. F°320)
Ils [M. et Mme Vigneron] croient que la tante est fâchée. (Voir les personnages.) (Ibid. F°327)
Mme Dieulafay demandant à la Vierge de lui faire avoir un enfant. (…) Voir son personnage. (Ibid. F°347)
Et je puis créer des épisodes, faire passer des personnages (…), chacun avec son trait caractéristique. – (Ibid. F°354)
A chaque chapitre, revoir les personnages et choisir ceux qui peuvent entrer dans le chapitre. (Ibid. F°364)
Rappeler Blanche, la sœur de Marie. Comme elle serait heureuse de voir tout cela. (au person. de Marie.[)] (Ibid. F°364)
Le baron Suire, directeur de l’Hospitalité de N.-D.-du-Salut, est dans la grotte. Son personnage : un simple et un bavard. (Ibid. F°366)
Les anarchistes, les premiers chrétiens. Voir les personnages et mes notes sur les Trois Villes – (Ibid. F°372)
Voir le personnage de Pierre, à la fin. – (Ibid. F°380)
Voir le personnage de Pierre, à la fin. – (…) Le prendre à son personnage – La nuit devant la Grotte. Les premiers chrétiens, avec Guillaume Froment. (Voir son personnage.) (Ibid. F°380)
Le frère Isidore et sa sœur Marthe (voir les personnages.) (…) M. Sabathier est resté là aussi par besoin de repos. Sa femme (voir les personnages[)]. (Ibid. F°403)
Puis dire pourquoi Raymonde est montée. Et surtout sur son mariage avec Gérard. (…) Joie de la mère, et ce qu’elle dit (aux Personnages). (Ibid. F°406)
Enfin, agonie et mort de Mme Vêtu. Toute son histoire revient (voir aux Personn.) (Ibid. F°407)
C’est hier que Raymonde doit annoncer à sa mère que le mariage est fait. (Voir les Personn.) (Ibid. F°411)
C’est la foule qui est mon personnage, enveloppant les épisodes. (Ibid. F°416)
Premier épisode. Celui de M. Sabathier et de madame Sabathier. On a pu l’amener ; et tout son personnage. (Ibid. F°417)
Mais cette fois, je fais monter en chaire le père Massias. Poser son personnage définitivement (le prendre aux personn.). (Ibid. F°419)
La foule, un être, le personnage qui enveloppe les épisodes. (Ibid. F°421)
Et c’est à partir d’ici que je fais partir cette fièvre pour
mes personnages et surtout pour la foule. (Ibid. F°s423-424)
C’est donc la foule qui va être le grand personnage, le personnage enveloppant. (Ibid. F°427)
Les Dieulafay agenouillés, dans leur luxe. Le mari et la sœur priant. Le mari adore sa femme. Voir les Personnages. (Ibid. F°429)
Ne pas trop perdre de vue non plus l’abbé Des Hermoises. Voir son personnage. – (Ibid. F°430)
Garder le père Massias pour lui faire hurler des litanies (voir son personn.) (Ibid. F°430)
Raboin, le père Dargelès, les autres personnages qui peuvent être là. (Ibid. F°439)
Je puis avoir comme personnage marchant la Grivotte toujours exaltée, Sophie Couteau gaminant, Elise Rouquet aussi, avec elle. – (Ibid. F°453)
Dire où est Pierre, le père Massias et les autres personnages. (Ibid. F°454)
Pour corser un peu le chapitre, il faut voir si je ne pourrais pas y introduire quelques uns de mes personnages. (Ibid. F°465)
Je puis avoir la description en y faisant promener mes deux personnages – (Ibid. F°474)
Appoline est une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). (Ibid. F°501)
Appoline sera une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). (Ibid. F°504)
Reprendre les personnages qui sont là : le chef de gare, hâtant tout le monde. (Ibid. F°520)
Tout le personnage [le Commandeur] : « Mourez donc tranquillement, et ne venez pas si loin chercher cette misérable vie. » (Ibid. F°525)
Sur le quai, mettre tous les personnages. (Ibid. F°527)
J’ai Mme Maze qui ne part pas, ravie, folle de joie (…) (elle croit que la Vierge l’a exaucée[)]. Voir le personnage. – (Ibid. F°529)
Puis j’en arriverai à mes personnages et je dirai ceux qui y sont et ceux qui n’y sont pas – (Ibid. F°533)
Mêler Blanche aux projets d’avenir de Marie, pour que la figure ne disparaisse pas (personn. de Marie.) Devant la Grotte, Marie [va biffé] a demandé la foi pour Pierre (son personn.) M. Sabathier, l’intellectuel, qui raisonne son cas, sa foi. Voir absolument son personnage. (Ibid. F°561)
Voir si je dois continuer à nommer les personnages sans leur rien faire faire. (Ibid. F°569)
Mais aussi le wagon revient, effet produit par la lecture, nommer seulement et le moins possible les personnages. (Ibid. F°580)
Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre (…). Prendre cela aux Personnages. – (Ibid. F°585)
Puis finir par lui [Pierre], (…) la \\ phrase sur son hérédité, au personnage (…). (…) Sa dualité, la prendre au personnage. (Ibid. F°s588-589)
De même (…) un de mes personnages (incroyant autrefois), M. Sabathier par exemple, abandonné des médecins, finit par s’adresser à Lourdes avec ferveur(…) \\. (Ibid. F°s589-590)
Si je dis un mot des [ma biffé] personnages dans le wagon, montrer la Grivotte à l’agonie, mais [Marie et biffé] M. Sabathier plein d’une indestructible espérance. Et [finir biffé] voir pour les autres personnages. (Ibid. F°595)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages, et de n’avoir dans ce chapitre que Pierre lisant
la vie et la mort de Bernadette au couvent. (Ibid. F°s595-596)
Des conversations, poser tous les personnages secondaires (…). (Ibid. F°601)
Les histoires, tout ce qui s’est passé et où en sont les personnages. (Ibid. F°601)
Le voyage. Mes personnages terminés. (Ibid. F°605)
Mais la ruine est arrivée (voir cela au personnage de Marie). M. de Guersaint et ses deux filles vivent dans une misère noire. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)
Il demande sa conversion ardemment, il ne l’obtient pas. Cela met du mouvement dans le personnage. (Ibid. Fo 13 – Notes sur Pierre Froment)
Enfin, dans « Paris », il sera le personnage principal. (Ibid. Fo 19 – Notes sur Guillaume Froment)
C’est là le grand effet du personnage : le poser léger,
distrait, quoique pratiquant, artiste ; puis l’abattre, à genoux, devant sa fille guérie (…). (Ibid. Fos 29-30 – Notes sur M. de Guersaint)
Toucher le personnage discrètement ; et, pour sa fille, lui donner le désir de la marier, mais ne venant pourtant
pas exprès (…). (Ibid. Fos 71-72 – Notes sur Madame de Jonquière)
Homme de bon sens et pourquoi il fait le mariage, les bonnes raisons de Gérard (voir à ce Personnage). (Ibid. Fo 80 – Notes sur Berthaud)
Seulement comment avoir ce personnage et comment le mêler aux autres. (Ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
Mgr de Salines, archevêque d’Aude, et un autre personnage vont voir Napoléon III à Biarritz. (Ibid. Fo 251 Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
Livre premier, peinture noire de ce qui est tous les personnages posés, tous les drames partiels mis en marche. (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 374/27)
Je reprends les drames personnels de chaque groupe, de chaque personnage et les dénoue dans la joie (Ibid., f°s 374/27-375/28) \\Je reprends les drames personnels de chaque groupe, de chaque personnage et les dénoue dans la joie (Ibid., f° 374/27-375/28)
Mais il vaudra mieux peut-être ne pas éparpiller trop l’intérêt sur trop de personnages, de types (Ibid., f° 380/33)
Il me faut donc des personnages paysans, avec leur petit drame (Ibid., f° 400/53) \\Les personnages peuvent donc être un fermier (Ibid., f° 400/53)
Je vois à peu près le rôle des principaux personnages (Ibid., F°413)
Ce qui me gêne pour distribuer cela, c’est que je ne sais comment attribuer les fonctions aux ouvriers, mes personnages, pour que quittant l’atelier Delaveau ils puissent être utilisés chez Luc (Ibid., F°417)
Mais j’ai déjà beaucoup de personnages, et je crois qu’il faut me borner le plus possible (Ibid., F°423)
tout le présent avec les autres personnages (Ibid., F°435)
PERSONNE / PERSONNEL
Nana (1880)
Tout le personnel du théâtre. Bordenave, etc. (NAF Ms. 10313, Nana. F°54- Plan)
Personnel d’amants (Laporte 17.)
(Ibid. F°104)
Aller à la rigolade. Personnel de riches étrangers. (Ibid. F°148).
Mais surtout je réunirai un personnel d’hommes très nombreux et qui devra représenter toute la société. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
Voyons le personnel d’hommes que je puis employer. (Ibid. F°209).
Personnel d’amants. (NAF Ms. 10313, Nana. F°258/17- Notes).
Lourdes (1894)
Reprendre tout le wagon, les dix femmes du fond, sans nommer personne. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°206)
Je pose d’abord le bureau, je dis [que biffé] les personnes [du biffé] qui sont là (…). (Ibid. F°289)
Mais c’est Cazaban en personne qui rase Guersaint et il se tait d’abord (…). (Ibid. F°335)
Donc,
personne. Pierre aperçoit pourtant Mme Vincent seule, avec Rose sur ses genoux. (Ibid. F°s352-353)
Je crois qu’il faut d’abord poser le wagon sans nommer les [pèlerins biffé] personnes. (Ibid. F°533)
D’ailleurs, la Vierge peut avoir des caprices. Personne ne pénètre ses desseins. (Ibid. F°558)
Les trois secrets confiés à elle [Bernadette] par la Vierge. Personne ne les a-t-il jamais sus ? (Ibid. F°577)
Nulle créature [Bernadette] n’eut plus de vie, plus de grâce même humaine, plus de physionomie personnelle, plus d’individualité caractéristique. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
PERSONNIFIER/ PERSONNIFICATION
La Conquête de Plassans (1874)
Le sous-préfet (homme aimable, réduction Morny, dévot par ordre, la personnification de l’Empire en face de la religion) ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°23)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Donc deux familles de paysan [sic] me suffiraient presque, pour personnifier tout le village. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 12)
La Terre (1887)
La personnification dure de la terre, mais pas nourricière comme elle (MS NAF 10329 La Terre f° 41 – Personnages, Marianne Fouan)
PESER
Nana (1880)
Pour bien mettre cela en vue, il faudra bien peser le caractère de Muffat, de la comtesse et de Nana. (NAF Ms. 10313, Nana. F°229-Ebauche).
PESSIMISME
Doctrine philosophique fin de siècle associée à l’œuvre de Schopenhauer
Lourdes (1894)
Quelle supplication vers le ciel, quel cri de misère, et physique et morale, vers la puissance invisible. Comme cela est du pessimisme le plus noir. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°457)
Tout cela d’un pessimisme affreux, tous les mots qu’elle [Bernadette] dit. (Ibid. F°576)
« Il faut faire le sacrifice de sa vie. Mais, mon père, ce n’est pas là un sacrifice ! » Pas de plus noir [sacrifice biffé] pessimisme. (Ibid. F°578)
Son agonie a duré près de trois semaines encore [Bernadette]. – « Il faut faire le sacrifice de la vie – « Mais mon père ce n’est pas un sacrifice. » Je ne connais pas de plus noir pessimisme. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 268 – Notes sur H. Lasserre)
PETIT / MOINDRE
Le Ventre de Paris (1873)
Cela me donnera un petit type curieux. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 77)
Un jour, la fermière emmène Charles et mon petit peintre à la campagne, dans sa voiture. (Ibid., f° 80)
La Conquête de Plassans (1874)
En un mot, il pourrait être le sujet d’un petit réveil républicain (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 19)
Multiplier les petits faits (Ibid. F°25)
Nana (1880)
Petite soirée. (NAF Ms. 10313, Nana. F°100- Plan)
En description coupée de petites conversations, de mots typiques. (Ibid. F°119).
(…) mais il me faut chercher mon petit drame ailleurs. (NAF Ms. 10313, Nana. F°226-7- Ebauche).
Le Rêve (1888)
Mais l’éceuil de ça est de faire petit, plat et bête (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 227/11)
(…) Toute profession le / Félicien/ rapetisserait, gênerait pour la logique de l’œuvre (Ibid., f° 302/85 )
Lourdes (1894)
D’abord, je voudrais mettre partout Bernadette, la détacher sur tout le roman. Une petite figure de vitrail, mais telle qu’elle a été. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°30)
Un mariage entre hospitaliers,
enfin tous les petits épisodes secondaires. – (Ibid. F°s36-37)
Et plus loin encore, à peine revendiqués, les petits épisodes des pèlerinages, (…)
enfin tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (Ibid. F°s56-57)
Je crée un autre brancardier (…). J’en fais le cousin du petit brancardier, chargé des transports, de la gare, et de l’hôpital à la grotte, puis
service de la grotte. (…) Le petit brancardier, un peu poseur, guêtre, etc. (Ibid. F°s101-102)
Elle [sœur Hyacinthe] a de l’initiative, c’est elle qui conduit ce petit monde. (Ibid. F°142)
Et avant de recevoir le premier ordre majeur qui l’engage, il [Pierre] a des vacances qu’il passe à Neuilly (ou une petite indisposition qui le force à prendre un congé et le retarde). (Ibid. F°148)
D’autre part, (…) la sœur Blanche achevant ses études pour soutenir tout ce petit monde. (Ibid. F°149)
Un petit type [sœur Claire-des-Anges] à créer, petite et absorbée, très fine et très douce, mince, recueillie, mystérieuse et perdue, quoique très active. (Ibid. F°182)
Alors (…), je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables (…). – (Ibid. F°297)
Première petite description, avec de la conversation, pour couper – (Ibid. F°353)
Mêler à cela Marie, Pierre, M. de Guersaint, auquel il faut un petit rôle – (Ibid. F°536)
Poitiers est à 5 heures. Il faut que j’y fasse descendre Sophie Couteau [en interligne : son pied]. (…) Un petit épisode – (Ibid. F°548)
C’est toute la vie en elle ; car elle ne parle pas, elle a seulement, par instant, une petite plainte, un petit gémissement doux (…) si douloureux, qu’il vous déchire. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 33 – Notes sur Rose)
Il s’est fait hospitaliser, a voulu venir là comme un pauvre. Tout en ayant une petite fortune. (Ibid. Fo 35 – Notes sur M. Sabathier)
Elle est la femme d’un petit horloger bijoutier du quartier Mouffetard. (Ibid. Fo 45 – Notes sur Mme Vêtu)
Très aimée, petite femme naissante. (Ibid. Fo 50 – Notes sur Sophie Couteau)
Et Raboin, à la moindre objection des incrédules présents, montre les dents, est tout prêt à mordre. (Ibid. Fo 69 – Notes sur Raboin)
Tout le portrait de sa mère, en plus petit et en plus jaune. (…) Une petite [mot illisible biffé] volonté, avec ses yeux francs, qui se fixent droit sur le monde. (Ibid. Fo 73 – Notes sur Raymonde de Jonquière)
Mais, au fond de ses yeux, la petite lueur d’un homme supérieur à toute cette idolâtrie. (Ibid. Fo 94 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Au fond, étroit et chicanier. Malin pourtant dans les petites choses. (Ibid. Fo 100 – Notes sur le père Dargelès)
Phtisique. – [Pet biffées] D’abord, petite toux sèche (vers la puberté) augmentant le soir. (Ibid. Fo 126 – Notes sur la maladie de la Grivotte)
Il a eu deux petites attaques d’apoplexie, l’une à 55 ans, l’autre à 58 ans ; et il sait que la troisième l’emportera. (Ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
Petites imperfections, qu’elle [Bernadette] se reproche avec sévérité. (Ibid. Fo 259 – Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
Il me faut donc des personnages paysans, avec leur petit drame (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 400/53)
Les personnages peuvent donc être un fermier (…) et deux petits propriétaires, avec leur type (Ibid., f° 400/53)
PEU (UN PEU/ PLUS) / PEU À PEU / À PEU PRÈS
Le Ventre de Paris (1873)
L’idée de laisser compromettre Charles ne lui vient que peu à peu. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 69)
les mauvais sentiments ne naissent ensuite que peu à peu, et toujours sous le couvert de la plus stricte honnêteté. (Ibid., f° 83)
Lisa peu à peu s’effraye donc devant Florent. (Ibid., f° 86)
Pourtant, peu à peu, il trouve quelques leçons, qu’il donne à des enfants des Halles. (Ibid., f° 97)
Les Halles coûteront en tout 60 millions, à peu près (Ibid., f°118)
Une ancienne maison un peu en retrait (Ibid., f° 146)
Peu de monde, bruit sourd.(Ibid., f° 166)
Peu à peu cependant le jour grandit.(Ibid., f° 173)
Un peu en côté, une cheminée à la prussienne (Ibid., f° 186)
Lisa, née la première, en 1827, un an après le mariage, resta peu au logis. C’était une grosse et belle enfant, très saine, toute sanguine qui ressemblait beaucoup à sa mère. (Ibid., f°242)
La Conquête de Plassans (1874)
C’est alors que peu à peu l’idée de chasser le mari germe dans la tête de Bonnard. Le drame. (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche F°22)
Evêque de Plassans, faible, peu à peu effrayé devant Faujas (…) chez les Rougon, puis peu à peu chez le sous-préfet (Ibid.F°30)
Elle a peu à peu un désir de Faujas (…) Marthe se détraque peu à peu (Ibid.F°31)
Mais Marthe, un peu abandonnée par son mari (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°30)
Peu à peu, elle s’expliquera tout entière. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F˚ 5)
Faujas est déjà un peu dans l’intimité de la famille (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan III F° 5-6)
Il faut que Faujas les apprenne peu à peu et avec grand précis (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
Son plan mûrit peu à peu (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
Le prêtre se trouvant peu à peu circonvenu (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 9)
Les deux groupes fusionnent peu à peu dans le jardin de Mouret (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 10)
Mouret passant peu à peu pour fou lui-même (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVI F° 11)
(Ne pas oublier que c’est la religion qui la détraque peu à peu) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XX F˚ 12)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Serge peu tenté, mais la patience préconisée pour avoir du mérite. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Extraits de L’Imitation, f° 36)
Nana (1880)
Nana habite boulevard Haussmann, derrière l’Opéra. Un luxe un peu de camelotte (sic). (NAF Ms. 10313, Nana. F°19- Plan)
Les amants sérieux. Zoé les case un peu partout. (Ibid. F°20)
Quand il vient peu de monde, on n’ouvre pas les autres pièces. (Ibid. F°25)
Mais les détails ne doivent venir que peu à peu, à mesure des invitations, pour se compléter à la fin. (Ibid. F°26)
Mais Sabine restant dans l’ombre un peu.
Le salon revenant. peu de lumière (Ibid. F°27)
Le représentant d’une force occulte. Reçu partout, salué très bas et un peu craint. (Ibid. F°32)
La soirée se pimentant peu à peu, commencée bourgeoise et finissant en partie scandaleuse. (Ibid. F°37)
Il faut que le dîner d’abord très bourgeois se monte un peu de ton vers la fin. (Ibid. F°40)
Rose est là. La situation, un peu tendue. (Ibid. F°48)
La villa bâtie par un anglais. Genre italien renaissance. Un peu de terre. (Ibid. F°57)
[Daguenet] Il est un peu gris. (Ibid. F°68)
Puis ils restent à l’avant-scène. Là peu à peu, à propos de Rose, Muffat en arrive à demander le rôle. (Ibid. F°93)
Le drame est celui-ci : Muffat veut être seul amant, et Nana peu à peu prend qui lui plaît, et plie Muffat à toutes les acceptations. (Ibid. F°102)
Peu de jalousie. Tout s’arrange. Jamais de duel. (Ibid. F°104)
(…) peu importait le genre de mort ; le tout était de bien mourir. (Ibid. F°109 verso)
Le (sic) cotes marquent un peu. (Ibid. F°113)
(…) 2 chevaux en flèches, un au brancard bai bruns (sic) et l’autre alezan allure plus douce un peu plus petit. (Ibid. F°114)
Sur le champ de course (sic) il prend (…) un peu de Nana ouvertement. (Ibid. F°116)
Premier dimanche de juin. Beau temps avec un peu de vent, des nuages qui passent. (Ibid. F°118)
– Fâchée, pourquoi ? dit-elle en riant plus haut, ravie au fond de cette galanterie un peu brutale. (Ibid. F°118 verso)
Elle triomphe, avec ses bouquets et tout le monde qui vient peu à peu à elle.
Tout le morceau est pour poser ces dames, et pour faire peu à peu triompher Nana autour de laquelle on se presse. (Ibid. F°119)
Il est reconquis peu à peu par la religion. (Ibid. F°131)
Sabine lui faisant un peu de morale. (Ibid. F°135)
La comtesse enjouée, heureuse, ne lui faisant qu’un peu de morale en souriant. (Ibid. F°136)
Je ne suis pas d’avis pourtant de remontrer tous les personnages, qui paraissent un peu souvent. (Ibid. F°136-7)
Monter peu à peu, à partir de là. (Ibid. F°142)
peu à peu enhardies, affolées jusqu’à cet éclat de fête. (Ibid. F°142 verso)
Non c’est Maria Blond, puis un peu après Tatan Néné et Louise Violaine. (Ibid. F°156)
Entendez-vous, voyez-vous ; et des femmes partent peu à peu. Suivre une gradation dans la conversation, des choses peu intéressantes aux choses plus intéressantes. (Ibid. F°157)
Mais il y a toujours un peu de mystère. On ne sait trop rien. (Ibid. F°161).
[Chouard] Un vieillard, grand, un peu voûté, assez maigre (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°171- Personnages)
[Francis] Seulement, il a la poignée de main un peu grasse (…). (Ibid. F°176)
[Amélie] Dix-huit ans, jolie, pensionnaire, l’air un peu bête, mais voulant y passer. (Ibid. F°177)
[Caroline Héquet] Beauté régulière, avec un visage un peu allongé, grand nez qui la dépare un peu. (Ibid. F°178)
[Philippe Hugon] Pourtant a un peu la bêtise du régiment. (Ibid. F°181)
[Labordette] Un grand blond, myope, le chic anglais, avec des extrémités un peu fortes. (Ibid. F°182)
[Madame Maloir] Elle a un peu de moustache. (Ibid. F°184)
[Mignon] Peu à peu, il a toléré les amants ; maintenant c’est réglé. (Ibid. F°186)
[Muffat] Un bel homme, un peu gros (…). (Ibid. F°187)
Esprit un peu lourd, mais droit. (Ibid. F°188)
[Sabine] Jolie, avec un peu de chiffonnement dans la figure. (Ibid. F°189)
[Madame Robert] Jolie, mais figure douce et un peu effacée. (Ibid. F°195)
[Steiner] A de l’esprit un peu gros. (Ibid. F°198)
[Venot] Reçu partout, salué très bas et un peu craint. (Ibid. F°203).
Ce monde à côté pourrait me servir à dramatiser un peu l’action. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Plan)
Ainsi Nana, à peine lancée, sera encore un peu dégoûtante et l’autre se montrera très dédaigneuse, la traitera de fille. (Ibid. F°214)
elle bien élevée, noble, un peu fière et froide, pratiquante. (Ibid. F°215)
Elle serait une figure froide, un peu énigmatique (…). (Ibid. F°217)
(…) je le répète une figure énigmatique, très-distinguée, un peu froide, politique au fond, adorant sa fille. (Ibid. F°217)
Toilette un peu sombre ; elle vit dans un appartement meublé. (Ibid. F°221)
Elle me semble rappeler un peu trop la situation principale de la Cousine Bette. (Ibid. F°225)
Cherchons un peu les détails. (Ibid. F°228)
Muffat doit être un honnête homme, un esprit un peu lourd, mais droit. (Ibid. F°229)
J’en ferai une petite brune, un peu maigre (…). (Ibid. F°231)
Dès lors le plaisir que j’ai indiqué plus haut reste à peu près le même. (Ibid. F°232)
Il faut serrer le plan d’un peu plus près. (Ibid. F°233).
Peu à peu, peu à peu, la main descendait, et pendant que le visage prenait une sensuelle expression de douleur, c’était dans le miroir à double biseau, le rondissement de doigts, et la grâce lesbienne d’une Vénus de Médicis obscène. (NAF Ms. 10313, Nana. F°247/4- Notes)
Très peu se marient, vers la fin. (Ibid. F°259/16)
Peu de gougnottes – dans le monde inférieur oui. (Ibid. F°261/10)
Peu de jalousie, tout s’arrange. jamais de duel. (Ibid. F°263/12)
Un peu long de reins, mais bien prêt. (Ibid. F°294)
Entrée du théâtre un peu de biais, trois marches. (Ibid. F°330).
La Terre (1887)
Cela ressemble un peu trop à Etienne et à Catherine (MS NAF 10.328, La Terre, f° 511/12 – Ebauche)
(…) Je prends les personnages un à un, pour les chercher un peu. (Ibid., f° 430/31) Bien planté, un peu lourd, parole lente (MS NAF 10329 La Terre F° 5 – Personnages, Jean Macquart)
Il s’y abandonne, un peu confus au fond (Ibid., F° 7)
Pas de vice, un peu ivrogne seulement, et vieille France (Ibid., F° 14 – Personnages, Louis Fouan)
Et un peu de rapacité aussi, les marchandages du culte, malgré son rôle de bon prêtre (Ibid., F° 101 – Personnages, L’abbé Godard)
Le Rêve (1888)
Peu de lutte d’ailleurs avant l ‘arrivée d el’amour (NAF MS 10323, Ebauche, Le Rêve, f° 243/27)
C’est ici que je voudrais bien que les Hubert fussent un peu plus mouventé [sic] (Ibid., f° 245/29)
pour matérialiser la lutte, mettre un chant de Félicien au dehors (…) Le chant pourra se rapprocher peu à peu (…)
Le chant de Félicien s’est peu à peu rapproché (Ibid., f°s 272/55-273/56)
Je lui donnerai des traits un peu tourmentés pour ne pas avoir que des figures correctes (Ibid., f° 248/32)
(…) Il faudra que tout cela y soit, mais très discret, en peu de mots (Ibid., f° 277/60)
(…) Cela ne change rien en somme et enlève le côté un peu louche de l’évêque ( Ibid., f° 308/91)
Jean entrera tout de suite chez un ivoirier, à qui on l’a recommandé: ce qui a décidé un peu le voyage de Louise (Plan, Fº 34) Et faire ainsi peu à peu éclore la femme en elle (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 26)
(…)Sainte Agnès (…)Je garderai celle-ci pour un peu plus tard dans le chapitre, lorsque
Angélique deviendra pubère (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f°s 34-35)
(…) Il faut, en somme, poser toute la maison, même le jardin, dire comment tout s’y distribue, et ne s ‘arrêter un peu que sur le salon et la chambre des Hubert (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
L’extérieur de l’église revient un peu (Egl.6) (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 77)
Je l’ai déguisé avec une blouse. Un peu étrange et original (Ibid., Plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Laisser un coin de malice, un peu de rire à être seule dans le secret (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 88)
Un reposoir à l’angle de la rue des Orfèvres et de la Grand’Rue, dont Angélique peut s’occuper un peu (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 105)
Et là peu à peu Angélique précipitée du rêve (Ibid., plan du chapitre IX, f° 123)
C’est à partir de la lutte que je la fais décliner peu à peu, affaiblie de plus en plus par la torture (Ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 147)
La lente agonie, peu à peu pâle (Ibid., f° 148)
Félicien (…) un peu l’air d’un Jésus, mais viril quoique blond (…) le nez un peu fort (MS NAF 10323 Le Rêve, f° 200)
C’est un peu la figure de la jeunesse passionnée que je veux (Ibid.F° 202)
Hubert (…) traits un peu tourmentés (…) le nez un peu en bec d’aigle (…) une bouche un peu tourmenté /sic/ (Ibid., ,F° 208)
Claire de Voincourt (…) belle un peu froide et correcte, mais bonne (Ibid.F° 202)
Mais je ne puis garder le château entier, entièrement conservé . Ce serait peu historique (NAF MS 10324 Le Rêve f° 370- Notes sur le château de Hautecoeur)
(…) Un peu le château de la Belle au Bois dormant (Ibid., f° 372)
À PEU PRES
Mon premier chapitre part donc de 5h30 à peu près (dès qu’on est sorti des fortifications [)]. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°143)
C’est donc à peu près deux heures, pendant lesquelles, il n’y a [en interligne : eu] que des chapelets et des cantiques. (Ibid. F°185)
Voici l’ordre des trois personnages à peu près valides qui content chacun son miracle : M. Sabathier, Mme Maze, Mme Vincent (celle-ci, maladie d’enfants[)]. (Ibid. F°185)
La nuit tombe (il fait nuit à peu près à 8h). (Ibid. F°216)
Lui donner donc une maladie qui puisse l’emporter [le Commandeur] en trois attaques, et en lui conservant à peu près son intelligence à la troisième. (Ibid. F°524)
Il la pique, mais sensible à peu près partout. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Un enfant (…) à peu près complètement aveugle – (Ibid. Fo 171 – Notes sur les Miracles)
PEU À PEU
Ne devrait-on pas combattre bravement l’erreur, pour travailler à
une humanité (…) prenant peu à peu la force de vivre la vie telle qu’elle est (…). Entretenir l’illusion (…), c’est renforcer la longue hérédité de faiblesse et de misère, (…) tandis que si on combattait l’illusion, la superstition, on travaillerait à une humanité pouvant peu à peu regarder la vie en face (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s2-3)
Il [Pierre] s’est donné à Dieu, (…) mais poussé peu à peu par le chagrin de ne pouvoir l’épouser [Marie]. (Ibid. F°77)
Quant à la famille de la malade, il faut qu’elle périclite peu à peu. (Ibid. F°92)
Cela dans les conversations avec mon prêtre. Celui-ci d’abord stupéfait, puis peu à peu, il comprend [et il biffé]. (Ibid. F°119)
Marie et Pierre mêlés peu à peu. (Ibid. F°125)
Puis, peu à peu, avec les questions, sa maladie, le médecin qui l’a [Sophie Couteau] soignée, le curée de Vivonne aussi. – (Ibid. F°184)
Mais surtout montrer peu à peu l’intérêt que le récit, puis le pied montré, déterminent chez tous les malades. (Ibid. F°184)
Elle [Bernadette] a cru voir quelque chose, et le quelque chose se précisant peu à peu sous la multiplicité des questions. (Ibid. F°208)
L’espoir de la guérison encore, avec Mme Vêtu, et Marie qui peu à peu va se remettre. (Ibid. F°300)
Peu à peu, Marie s’est intéressée à l’histoire, que j’ai interrompue deux ou trois fois, pour montrer la force de l’illusion. (Ibid. F°302)
Mais Cazaban n’y peut tenir, et peu à peu (trouver les transitions) il déblatère contre la Grotte. (Ibid. F°335)
Et alors le monde qui se trouve là : pas mal de personnes, dont le nombre diminuera peu à peu. (Ibid. F°366)
Un instant d’espoir, Rose a paru peu à peu se calmer, et elle ne se plaint plus (…). (Ibid. F°373)
Garder tous les bénéfices, les richesses qui [en interligne : peu à peu]
affluaient. (Ibid. F°s388-389)
Le sourd travail des Pères (…) et, peu à peu, l[es biffé]’argent arrivant, les millions (…). – (Ibid. F°395)
Beaucoup dorment à peine (Marie), (…) marchant dans un rêve qui s’exaspère peu à peu. (Ibid. F°416)
Toute la foule autour, gagnée peu à peu, conquise par l’exaltation, jusqu’au parapet du Gave. (Ibid. F°421)
Il [Pierre] n’a pas dormi, il est dans une sorte de fièvre, d’excitation, cette fièvre qui prend peu à peu les pèlerins. Beaucoup dorment à peine, (…) marchant dans un rêve qui s’exaspère peu à peu. (Ibid. F°423)
Et ensuite j’aurai peu à peu cette excitation. (Ibid. F°427)
Pierre, heureux de sa joie ; mais s’attristant peu à peu, car il songe que, maintenant, la [Marie] voilà femme, et qu’il l’épouserait, s’il n’était pas prêtre. (Ibid. F°550)
Et l’histoire de sa maladie, qui l’a envahi peu à peu. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 123 – Notes sur la maladie de M. Sabathier)
UN PEU
Reprendre la tradition du Christ semant la parole révolutionnaire au travers de la Judée (on a un peu cette idée en 48). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°9)
Cette acceptation de la vie n’est possible que pour une élite, et très peu nombreuse. (Ibid. F°12)
Il ne me déplairait d’ailleurs pas d’innover, de trouver
une division originale, une coupe un peu singulière et mystique. (Ibid. F°s59-60)
Il faudra donc chercher, voir ce que pourrait être Rome. Si je ne le fais pas, il faudra ne pas oublier de mettre dans Lourdes un peu du néo-catholicisme et du vent mystique qui paraît souffler. (Ibid. F°62)
Jeter la soutane (…). Il le ferait volontiers, mais là l’éducation reçue au séminaire agit, et il est un peu apôtre – Puis, lui donner un roman, un peu à côté. (Ibid. F°74)
Un peu intellectuel ; car, si je lui donnais des passions trop vives, il devrait lutter et ne résisterait peut-être pas. (Ibid. F°79)
Ce qui est gênant un peu pour le roman, c’est que le personnage du prêtre devient maintenant trop central. (Ibid. F°81)
Dès qu’il va un peu mieux, il s’est remis à dire sa messe ;
ne pas arrêter l’exercice de la prêtrise. (Ibid. F°s89-90)
Il me faudrait certaines histoires à côté pour emplir certaines parties qui restent un peu vides. (Ibid. F°100)
J’en fais donc une veuve (…). Très peu d’argent. La fille a déjà 23 ans, et inquiète de ne pas se marier. C’est la fille qui
fait un peu le mariage (…). (…) Et la fille un peu de même, plus entreprenante. (Ibid. F°s100-101)
Le petit brancardier, un peu poseur, guêtre, etc. (Ibid. F°102)
Un peu folle, riant, parlant tout haut. Le type est joli. (Ibid. F°104)
Et en faire un peu l’histoire. Pas un croyant autrefois, amené à la croyance par la souffrance, et raisonnant cela. (Ibid. F°106)
Mon aumônier, je puis l’avoir pour le train accompagnant la petite hydrocéphale (…). (…) Un peu idiote peut-être, avec paralysie [des membres biffé] des jambes. (Ibid. F°116)
Comme on achève de chanter « l’Ave maris stella », (…) Marie de Guersaint se soulève un peu et aperçoit les fortifications (…). (Ibid. F°122)
Mme de Jonquière, très dévouée, un peu molle (…) \\. (Ibid. F°s123-124)
Je ne lui donnerai pas de nom, l’homme. Un homme jeune encore, amaigri, livide, avec un peu de barbe rare, la figure tirée. (Ibid. F°138)
Le rôle de Mme de Jonquière sera de soigner les malades, de s’occuper d’eux. Très bonne et très empressée, un peu endormie peut-être. (Ibid. F°141)
Le mettre [le wagon], je crois
un peu en queue, au milieu, entre le fourgon et le dernier : il sera là secoué, ce qui aggravera les souffrances. (Ibid. F°s142-143)
Son voyage là-bas, devant lequel il [Pierre] recule, est déterminé un peu par l’envie de savoir. (Ibid. F°160)
Il [Pierre] souhaite Poitiers pour respirer, [et cette heure biffé] pour descendre et marcher un peu. (Ibid. F°162)
La cérémonie dans la bousculade du départ ; on peut même retarder un peu le départ. (Ibid. F°172)
Tous les affreux malades qui se traînent le long du train, pour dégourdir un peu leur douleur. (Ibid. F°175)
Je crois qu’il y a des cérémonies
religieuses à [Angers biffé] Poitiers. Il faudra savoir lesquelles et en tenir compte. Cela animerait un peu le chapitre. (Ibid. F°s175-176)
Sur le quai, la cohue du train qui descend. Un peu ce qui se passe à l’arrivée (éb. 1 à 10). (Ibid. F°182)
Et (…) on voit qu’on lui a fait répéter tant de fois son récit, qu’elle [Sophie Couteau] le sait un peu par cœur. (Ibid. F°184)
Il faut donc qu’après les prières du soir, il reste un peu de jour (non, car la nuit arrive vers 7¾[)] (…). (Ibid. F°199)
Donc il [Pierre] lit les deux premières pages. Puis, il cesse de lire, un peu ennuyé de cette platitude du récit. (Ibid. F°203)
Mais une hallucinée [Bernadette], et
il [Pierre] voudrait savoir comment et dans quelles conditions. Et c’est un peu pourquoi il s’est décidé à aller à Lourdes. (Ibid. F°s203-204)
Toutes les objections qu’il [Pierre] s’était faites, et qui peuvent fléchir un peu à ce moment, pour le
mouvement du chapitre. (Ibid. F°s207-208)
Mais surtout l’homme qui meurt, voir où je puis placer la mort. Un peu avant la fin, pour qu’on ait le corps quelque temps avec les cantiques. (Ibid. F°211)
L’abominable fatigue. Pourtant un peu de fraîcheur. (Ibid. F°218)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague et un peu mystérieux. (Ibid. F°230)
Le Commandeur me gêne toujours un peu. (…)
Content, riche pour lui, ayant de la famille quelque part, mais tout cela vague et un peu mystérieux. – (Ibid. F°s238-239)
Des prêtres, des séminaristes installés là depuis la veille, avec leurs registres, et perdant un peu la tête, au moment de la
pratique. (Ibid. F°s243-244)
Et reprendre, pendant la conversation, un peu le paysage, les lacets derrière, le Gave devant, avec le soleil sur les coteaux en face. (Ibid. F°259)
Encombrement, elle [Marie] attend un peu, pendant que lui [Pierre] regarde et s’occupe. – (Ibid. F°268)
Mais peu de maladies contagieuses à Lourdes (…) – (Ibid. F°278)
Quand il [Pierre] est assis, il se repose un peu, il se remet à voir et à penser [en interligne : malgré la chaleur]. (Ibid. F°280)
Constatations peu sérieuses, garanties insuffisantes, façons de procéder dérisoires, le doute reste quand même. – (Ibid. F°281)
Ce que je veux montrer surtout, ce que Pierre sentira surtout, c’est le peu de sérieux de ces constatations. (Ibid. F°291)
Commission éliminant les sujets peu intéressants. (Ibid. F°295)
Elle [madame Vêtu] horlogère, son mari un peu à son aise. (Ibid. F°299)
Et Pierre, un peu au courant de la situation de Mme Volmar, comprenant lui aussi. (Ibid. F°324)
Si j’ai de la place, je donnerai là un peu de l’ancien Lourdes. (Ibid. F°334)
Et un dernier aspect de Lourdes, tout le monde rentrant, par les rues peu claires, des pèlerins qui traînent, qui demandent leur chemin. (Ibid. F°357)
Mais je veux avoir des épisodes, pour corser un peu le chapitre, et particulièrement l’épisode de Mme Vincent et de la petite Rose à l’abri. (Ibid. F°360)
Le chapitre m’a l’air un peu maigre, et je puis y développer une sorte d’idylle entre Marie et Pierre (…) \\. (Ibid. F°s361-362)
Et finir par la sensation que j’ai eue, tout le
monde rentrant, par les rues peu claires (…). (Ibid. F°s363-364)
Il [Chassaigne] a connu Peyramale, le portrait qu’il en fait, très droit, un peu emporté et dominateur. (Ibid. F°387)
Je voudrais aussi (…) que Elise Rouquet, le lupus, revienne de la grotte, en disant qu’elle est guérie. La suppuration s’est en effet un peu arrêtée. (Ibid. F°412)
Le temps reste superbe, un temps un peu rafraîchi par le dernier orage de la nuit – (Ibid. F°415)
Le pêle-mêle de tout cela, et sous le ciel très bleu, dans l’air doux, au milieu des vastes montagnes. Reprendre un peu tout cela. (Ibid. F°417)
M. Sabathier ne sera baigné qu’un peu plus loin (dans le III sans doute), ce qui ne réussira pas d’ailleurs. (Ibid. F°418)
Le père [M. Vigneron] s’asseyant, pouvant causer avec quelqu’un, ce qui diversifierait un peu. (…)
Mme Chaise un peu suffoquée s’assoiera, et c’est pour elle qu’il appelle Raymonde (Gérard). (Ibid. F°s418-419)
Et les [Pierre et Marie] voilà devant la Grotte, aussi près que possible, un peu loin cependant. (Ibid. F°433)
Pour corser un peu le chapitre, il faut voir si je ne pourrais pas y introduire quelques uns de mes personnages. (Ibid. F°465)
Pendant que Marie priera, il [M. de Guersaint] ira faire ça avec Pierre pour s’en débarrasser, parce que c’est un peu loin et qu’il ne veut pas fatiguer Marie. (Ibid. F°493)
Tout de suite, exclamation de M. de Guersaint, le finir avec [deu biffé] Des Hermoises. Ils étaient avec deux ecclésiastiques peu fortunés. (Ibid. F°500)
Chassaigne lui a promis de venir, et il [Pierre] est un peu surpris de ne pas le trouver là. (Ibid. F°512)
J’en ferai décidément un homme [le Commandeur] d’assez peu d’instruction (…) s’étant instruit lui-même. (Ibid. F°523)
Un peu avant le départ du train, les mouchoirs agités et le Magnificat entonné. (Ibid. F°526)
Content, riche pour lui [le Commandeur], ayant de la famille quelque part mais tout cela vague et un peu mystérieux. (Ibid. F°530)
Je crains que le chapitre ne soit un peu vide. – (Ibid. F°550)
Un portrait physique même (…), la face s’est un peu allongée, et décrire le reste d’après la photographie. – (…) Même violente parfois, s’emportant, susceptible, un mauvais caractère [en interligne : un peu âpre et vive] (…). (Ibid. F°572)
Faire cela, comme tous les chapitres qui la [Bernadette] concernent, avec une très grande délicatesse, un peu mystique, avec des tons de vitrail. (Ibid. F°595)
Je songe même que, dans « Lourdes », je ne ferai pas mal à une ou deux reprises d’évoquer sa figure, pour
qu’il ne tombe pas dans « Paris » comme un aérolithe. Alors, il faudrait le fixer un peu plus nettement. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 16-17 – Notes sur Guillaume Froment)
A, dans un vieux panier d’osier raccommodé avec des ficelles, un peu de linge pour changer sa fille (…). (Ibid. Fo 31 – Notes sur Mme Vincent)
La foi dans ce cerveau ; et en faire un
peu l’histoire. (Ibid. Fos 34-35 – Notes sur M. Sabathier)
Un peu trop grosse, le visage fleuri, éclatante de santé. (Ibid. Fo 36 – Notes sur Mme Sabathier)
Et la Grivotte est tombée malade de la poitrine. (…) Un peu dans tous les hôpitaux. (Ibid. Fo 39– Notes sur la Grivotte)
Raconte son histoire (…). La récite un peu. (Ibid. Fo 49 – Notes sur Sophie Couteau)
Un homme jeune encore, amaigri, livide, avec un peu de barbe déjà grisonnante. (Ibid. Fo 51 – Notes sur l’Homme)
Il faudrait que son fils vive au moins
un peu plus que la tante. (Ibid. Fos 54-55 – Notes sur M. Vigneron)
Un enfant de dix ans, avec une figure pauvre, un peu de travers. (…) La première scène, dans l’hôtel, est parce qu’il a été un peu brusque avec sa tante, dans un moment de souffrance, à table. (Ibid. Fo 57 – Notes sur Gustave Vigneron)
De gros yeux, dans un visage un peu hébété. (Ibid. Fo 59 – Notes sur Mme Chaise)
Les cheveux comme décolorés, la face longue et douloureuse, avec des traits lassés, une bouche molle, un nez un peu de travers. (Ibid. Fo 60 – Notes sur Madame Maze)
Trapu, figure carrée, rasée, l’air un peu d’un bedeau. (…) Une tête un peu obtuse, qui fait son métier en [con biffé] toute conscience. (Ibid. Fo 67 – Notes sur le docteur Bonamy)
Les constatations, c’est surtout
pour faire un peu la police des miracles, pour empêcher qu’il y en ait trop (Ibid. Fos 69-70 – Notes sur Raboin)
Un peu autoritaire seulement, aimant commander. (Ibid. Fo 71 – Notes sur Madame de Jonquière)
Très peu d’argent, quatre [m biffé] à cinq mille francs pour vivre avec sa fille. (Ibid. Fo 72 – Notes sur Madame de Jonquière)
Très brune, avec une figure grasse et agréable à la grande bouche et au nez un peu fort. (Ibid. Fo 73 – Notes sur Raymonde de Jonquière)
Cela pourrait être une de ses pénitentes et il [Pierre] connaîtrait l’histoire par la confession, mais je répugnerais un peu à cela. Ne pas la faire dévote. (Ibid. Fo 76 – Notes sur Madame Volmar)
Un peu folle, riant, parlant tout haut. – (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Fait un peu de chic. (Ibid. Fo 82 – Notes sur Gérard de Peyrelongue)
Le marquis de Salmon-Roquebert, 45 ans, grand et maigre, un peu don Quichotte (…). (Ibid. Fo 83 – Notes sur le marquis de Salmon-Roquebert)
Un gros homme paterne, tout blanc, à la figure un peu épaisse et bonne. (…) Croyant tout, se dévouant, se dépensant avec une bonhomie un peu encombrante. (Ibid. Fo 85– Notes sur le baron Suire)
Un peu forte, brune, avec une figure agréable. Un peu sérieuse, ne riant guère, mais très avenante. (…) Un peu une opposition avec celle-ci [sœur Hyacinthe]. (Ibid. Fo 86 – Notes sur sœur Saint-François)
Bonne figure, avec des boucles blanches, des yeux bruns et très bons, une bouche un peu molle et paterne. (…) Le prêtre peu intelligent qui croit (…). (Ibid. Fo 91 – Notes sur l’abbé Judaine)
Un Pyrénéen, petit et noueux, (…) un menton fuyant un peu. (Ibid. Fo 105 – Notes sur Cazaban)
Dans cette chute s’est produite une luxation de la matrice, qui a été culbutée, renversée de côté. Les ligaments tiraillés, même un peu déchirés. (…) Mais il faut lui donner une hérédité nerveuse, en faire une neurasthénique. Par son père, je crois. Lui, un peu un déséquilibré, avec un père vaguement fou. (Ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Jamais elle n’a [encore biffé] vu ses règles, en retard un peu. – (Ibid. Fo 117 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Langueur, essoufflement, un peu d’amaigrissement. – (Ibid. Fo 126 – Notes sur la maladie de la Grivotte)
Ostéomalacie. (…) Cause peu connue, très rare chez l’homme (…). (Ibid. Fo 127 – Notes sur la maladie de Madame Dieulafay)
Os atteints, caries des pieds et des mains, nécroses peu étendues. (Ibid. Fo 129 – Notes sur la maladie de Gustave Vigneron)
Il est resté un peu paralysé du côté gauche. (…) Il marche un peu raidi, et il jette le pied gauche en dedans. (Ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
Notes qu’ils [les Pères de l’Assomption] envoient à leur journaux religieux. Un peu pressé. Mais le médecin attend l’épreuve du temps. (Ibid. Fo 164 – Notes sur les Miracles)
Mais les bancs peu larges, et la fatigue résultant des cloisons perpendiculaires. (Ibid. Fo 182 – Notes sur le Départ de Paris)
Les malades sont des enfants, que les sœurs dirigent, grondent un peu et gâtent. (Ibid. Fo 185 – Notes sur le Départ de Paris)
Les malades, des enfants. Tout cela, un peu enfantin, dans la grande souffrance. (Ibid. Fo 190 – Notes sur le Départ de Paris)
De même, que de tableaux intéressants à faire avec les pèlerinages, [da biffé] les trains bondés, arrivant de loin, les pèlerins couchant un peu partout dans la ville, mangeant, godaillant. (Ibid. Fo 211 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Puis (…) d’insinueuses foules tout en tenant compte que quelques centaines de mille hommes comptent peu dans les millions de l’humanités. (Ibid. Fo 214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
La neige s’amasse sur les marches elles-mêmes,
et il y en a donc comme trois étages, trois plaques, un peu aussi, d’ailleurs, on distingue des éboulis de terre, des roches tombées. (Ibid. Fo 218 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
La grande cascade est un peu sur la
gauche. (Ibid. Fos 218-219 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
On enclot la G. On défend de prendre
de l’eau. (Impopulaire, un peu odieux. (…)) (Ibid. Fos 224-225 – Notes sur H. Lasserre)
Le 11 février (1858), le jeudi gras. Temps froid, un peu couvert, très calme. (Ibid. Fo 231 – Notes sur H. Lasserre)
Le 3e jour des quinze, il [l’abbé] l’appela [Bernadette] ; et il [f biffé] voit la chétive, peu instruite en religion. (Ibid. Fo 235 – Notes sur H. Lasserre)
Le miracle du cierge (198). [Un biffé] Ça durera un peu plus d’un quart d’heure. (Ibid. Fo 245 – Notes sur H. Lasserre)
On enclôt la grotte. On dresse des procès verbaux. (Tout cela impopulaire évidemment, un peu odieux. (…)). (Ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
Franchise un peu âpre, [en interligne : un mauvais caractère], quelque humeur et quelque vivacité parfois [Bernadette]. (Ibid. Fo 259 – Notes sur H. Lasserre)
Peu sculpté, mouluré, clochers, baies et pinacles. (Ibid. Fo 281 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Travail (1901)
et le sauver peu à peu, par le travail, arriver à en faire l’image de la cité future (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 351/4)
Il me faut une usine, une industrie spéculant sur ses ouvriers, et peu à peu venant à l’organisation du travail (Ibid., f° 352/5)
L’idée du travail, je puis la mettre chez le vieux professeur, dans lequel je me mettrai un peu (Ibid., f° 358/11)
Il pourra mettre un peu d’art dans la construction de la cité (Ibid., f° 359/12)
Pourtant comme l’ouvrier disparaît à la fin du Livre deuxième, et ne reparaît qu’un peu au Livre troisième (…) je n’aurai donc pas d’ouvrier sur lequel je puisse montrer un bon changement (Ibid., f° 381/34)
J’ai donc une petite usine dont Luc s’emparera, fera prospérer, et comment peu à peu il arrivera à déposséder les Hauts Fourneaux (Ibid., f° 401/54)
Alors, un peu ma Catherine de « Germinal », mais reprise et developpée (Ibid., F°406)
Ce qui me gêne toujours un peu, c’est l’arrivée de Luc dans le bourg (Ibid., F°408)
Je vois à peu près le rôle des principaux personnages (Ibid., F°413)
Donc ma famille Morfain représentant les premiers ouvriers, et je les garde dans le silence, dans la dignité un
peu sauvage de leur fonction (Ibid., F°424-425)
PEUPLE
Le Ventre de Paris (1873)
Rue des Bourdonnais, rue de province, calme, déserte, avec un peuple de commis en cheveux (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°137)
PEUR
Lourdes (1894)
Mais il me faut un bel emballement, une série complète, et sans la peur de faire long, car tout le chapitre est là. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°194)
PEUT-ÊTRE
voir aussi : ou ; pouvoir ; possible ; sans doute ; (?)
Le Ventre de Paris (1873)
Je ferai peut-être bien de ne pas inventer une conspiration vraie. Le sujet se dessine mieux ainsi.(Le Ventre de Paris, Ebauche, Ms.Naf 10.338, f° 68)
L’intrigue d’à côté pourrait peut-être alors être celle-ci. (Ibid., f° 72)
Je la montrerai honnête et pire peut-être qu’une coquine. (Ibid., f° 88)
Là peut-être la rivalité. (Ibid., f° 91)
Il y en a pour quelques mois peut-être. (Ibid., f° 97)
Agents de police deux par deux (Mes mouchards peut-être) (Ibid., f° 122)
La Conquête de Plassans (1874)
(On pourrait peut-être faire passer l’Empereur dans la ville) (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 20)
Prendre le cadre d’une journée peut-être (ibid, F° 25)
(Reproduire peut-être une journée de Mouret jugé fou, et ayant alors son bon sens) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXVI F˚14)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Je réfléchis qu’il serait peut-être plus grand et plus simple pour l’œuvre de ne pas spécifier sur les paysans. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 13)
C’est Désirée qui a vu Albine, rodant (par le cimetière peut-être) : l’herbe du cimetière pour les lapins, une scène. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 22)
Je le laisse abattu, vainqueur et vaincu. – Dans sa chambre peut-être. (Ibid., f° 23)
Peut-être là, un redoublement de sollicitation. (Ibid., Le Paradou, f° 46)
Au pied des rochers (peut-être près de l’arbre du bien et du mal) un trou de chaleur faisant serre chaude. Là poussent des plantes surprenantes. (Ibid., f° 60)
Nana (1880)
Le valaque lui dit qu’il ne peut venir le soir (peut-être faudrait-il qu’il dise cela à Nana elle-même.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°17- Plan)
Nana a un besoin d’argent particulier, pour son bébé peut-être. (Ibid. F°22)
Elle lui dirait bien que sa femme le fait cocu, mais (sic) elle est bonne fille. Peut-être qu’il le sait. (Ibid. F°69)
Celle-ci bonne fille, le console, lui dit qu’elle s’est trompée peut-être. (Ibid. F°71-2)
La lettre de Georges Zoé l’apporte, Fontan répondant : « Mon cœur. » Et là faire entendre qu’il désire le retour du petit, parce qu’il aurait le sac peut-être. (Ibid. F°81)
Une apparition de Zoé peut-être. (Ibid. F°82)
XII. – Chez les Muffat. Voir à trouver un cadre, peut-être le mariage de Daguenet. (Ibid. F°136)
Chapitre très important qu’il faudra peut-être dédoubler. (Ibid. F°145)
Zoé faisant son beurre. Rose Mignon veut l’avoir; mais Zoé pourrait peut-être se retiré (sic). (Ibid. F°148).
[Vandeuvres] Pourtant soutenant le trône et l’autel, se battant peut-être sa cause, mais parce qu’il faut faire cela, parce que c’est bien porté (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F° 202- Personnages).
Pot-Bouille (1882)
Jusqu’ici, je n’ai pas la grande ligne philosophique. Il me faudrait peut-être pour l’avoir prendre un ouvrier et le poser en comparaison (MS NAF 10321, Pot-Bouille, f° 386)
Au bonheur des dames (1883)
On pourrait peut-être mettre un lien (?) entre cette boutique et ma demoiselle de magasin (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 6) \\(…) un type de garçon [“l’intéressé d’Octave”] pratique, très moderne (…) avec un coin de famille à Paris peut-être (Ibid., f° 18)
La Terre (1887)
Et je leur donne des enfants, une fille et deux garçons au moins, peut-être trois (MS NAF 10.328, La Terre, f° 403/4- Ebauche)
(…) et pour finir la mort des parents, un drame peut-être. (Ibid., f° 404/5)
(…) Tout donc dans l’amour de la terre, dans la constitution d’un grand lopin. Cela pourrait aller peut-être. (Ibid., f° 418/19)
(…) Mais Jean reste toujours effacé, avec un pauvre rôle. Son intérêt serait peut-être d’opposer l’ouvrier au paysan. (MS NAF 10.328 La Terre. F° 431/32) \\(…) Le jour où Bonhomme la [Louise] prend ; elle pourrait crier, sa sœur est près de là, mais elle ne dit rien : peut-être aimerais-je mieux que ce fut la seconde fois. (Ibid., f° 433/34)
(…) La fille du braconnier (…) C’est elle qui peut me donner ma bande d’oies. – Je lui donnerai un compagnon, un ivrogne comme lui, qui aura servi aussi, le garde champêtre peut-être. (Ibid., f° 449/50)
(…)Le Maire doit être l’épicier, enrichi dans un commerce spécial, du vin en gros peut-être. (Ibid., f° 450/51)
(…) S’il le traverse, on doit payer des indemnités pour l’élargir ; s’il le contourne, on peut demander à le rectifier, à le mettre droit, ce qui entraîne aussi des indemnité [sic] : cela vaudrait mieux peut-être. (Ibid., f° 474/66)
(…) Ne pas finir par un enterrement peut-être comme dans « l’Oeuvre ». (Ibid., f° 487/99)
(…) Je suis un peu ennuyé d’un adultère à la ferme. Il faudrait [sic] mieux peut-être y avoir une servante maîtresse , montée du village, tenant le fermier. (Ibid., f° 489/81)
(…) Hiver 68 et 69. I. Chez Jean et Louise, comment ça marche. La ferme. Là le mari tué, et regret de Jean peut-être. (Ibid., f° 503/5 – Plan) A la fin peut-être avec toute sa barbe (MS NAF 10329 La Terre f° 13 – Personnages, Louis Fouan)
Il les perdra peut-être à la fin (Ibid., F° 13)
Donc toute la première partie avec autorité, et finir cette première partie avec Fouan, travaillant encore peut-être (Ibid., F° 15)
Je l’ai dit fertile, il vaudrait peut-être mieux alors que Buteau n’ait pas pu la prendre (Ibid., F° 50 – Personnages, Françoise Fouan)
elle s’essuye les doigts ou autre chose, avec un seul mot peut-être : cochon, et elle n’en parle pas. Cela serait peut-être la seconde ou la troisième tentative, celle où il s’est approché le plus près (Ibid., F° 51)
(à partir d’ici, occurrences vérifiées) Calculer les dates : un premier enfant mort peut-être (Ibid., F° 51)
Un rôle peut-être avec Delphin et Nénesse (Ibid., F° 77 – Personnages, Ferdinand Tron)
Le Rêve (1888)
Il faudrait le trouver peut-être dans ce que fait le quadragénaire (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 221/5)
(…) Mais je n’ai pas l’au delà, qui pourrait peut-être m’être donné par le mari (Ibid., f° 230/14-).
(…) Peut-être aurai-je un sujet très chic,
avec cette idée (Ibid., f°s 230/14-231/15) \\(…). Il y aura aussi à nommer la jeune personne fiancée au jeune homme : la faire passer peut-être (Ibid., f°233/17)
jamais un baiser, ou un seul peut-être (Ibid., f° 253/37)
(…) Peut-être même il ne lui a pas parlé (Ibid., f° 257/40)
(…) Pour aller moins vite en besogne, peut-être d’abord pas de passion (Ibid., f° 257/40)
(…) Et là peut-être je pourrais l’amener chez les Hubert (Ibid., f° 259/42)
(…) Peut-être serait-ce distingué ne pas /sic/ leur faire échanger un mot (Ibid., f° 260/43)
(…) Une scène grande. Choisir l’endroit, la sacristie peut-être (Ibid., f° 268/51)
(…) Peut-être pourrais-je me servir là des broderies que le jeune homme a commandé /sic/ (Ibid., f° 270/53)
(…) Et la maladie, l’approche de la mort, l’extrême onction peut-être achèvent la cure (Ibid., f° 288/71)
(…) militaire (…) ingénieur (…)Dans la diplomatie peut-être (Ibid., f° 299/82)
(…) je pourrais peut-être prendre le château de Chateaudun, avec une rivière (…) peut-être serait-il préférable de l’avoir à plat (Ibid., f° 309/92).
Lui ne se croyant plus aimé. Pivot peut-être (MS NAF 10323 , f° 2, Plan, résumé du Plan du chapitre VI) Peut-être ne peut-elle parler, il faut la faire manger d’abord (NAF MS 10323 Le Rêve, f° 7- 2ème Plan détaillé du Chapitre I)
(…) Peut-être un nouveau regard au dehors sur la neige, pour finir (Ibid., f° 9)
(…) Devant Angélique, grande chasteté. Jamais un baiser peut-être (Ibid.,, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 19).
Jamais un baiser peut-être (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 30)
C’est Jean que je veux (à la fin peut-être, comme mot final, à garder) (2ème Plan détaillé du chapitre III, f° 43)
le cimetière rappelé peut-être (Ibid., f° 44)
Hubertine dans le jardin peut-être après le départ (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII f° 98 )
j’aimerais mieux pas de baiser du tout, une étreinte peut-être (Ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Lui donner une attitude, sombre peut-être (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
Voilà donc Angélique et Hubertine dans l’église. Elles y attendent, le jour tombe. Donner la sensation du dehors, de la procession qui parcourt la ville et qui va rentrer. Donner peut-être auparavant la façade de l’église en faisant rentrer les deux femmes (Ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
Peut-être peut-il la mener à son four (Ibid., plan du chapitre IX, f° 120)
Rien que des refus par geste. Peut-être un mot à la fin. Jamais ! (…) Il voit sa nuque peut-être (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 134)
C’est dans la victoire d’Angélique sur elle-même qu’il serait beau peut-être de mettre la théorie de l’illusion créée par Angélique (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)
La maladie, l’approche de la mort, l’extrême-onction aussi peut-être (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
Félicien (…) Peut-être serait-il plus distingué de ne pas le montrer (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f°179)
Indiquer peut-être qu’elle espérait la nuit de noce : elle va au somptueux hôtel (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 192)
Les ruines seulement du château de Hautecoeur, dans la ville peut-être, sur une hauteur (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 255)
Laisser la cheminée (…) Peut-être un saint Clair très abîmé, avec un bout de devise (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur la maison des Hubert, f° 406/13).
Mon Hautecoeur redevient évêque . Mais je voudrais lui conserver le blason et son histoire. Peut-être le pourrai-je en lui donnant une chapelle dans la cathédrale (MS NAF 10324, Le Rêve, f° 52 à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou premier Plan du chapitre III)
Lourdes (1894)
Je mettrai cette dame dans une situation où elle devrait vingt fois succomber : mari laid et brutal, entourage cher et imbécile, pas d’enfants peut-être ou enfants ingrats. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°6)
Ce sera peut-être mon prêtre qui incarnera ces idées (…) \\. (Ibid. F°s9-10)
J’ai dit que mon héros serait un anarchiste ; mais je n’en sais rien, ce sera peut-être un évolutionniste (je préférerais cela). (…) Des femmes sans doute, le frère marié avec des enfants peut-être, et cela corsant mon drame. (Ibid. F°18)
(…) puis le départ (…)
et la mort peut-être de ceux qui sont guéris. – (Ibid. F°s37-38)
Je voudrais n’avoir qu’un pèlerinage national pour cadre (…) et la fin laissée à l’espoir peut-être. (…) C’est cela qu’il faudra chercher, une division par parties [qui biffé], peut-être, qui permettra des refrains, [qui biffé] quoique ce serait très mauvais d’interrompre
le récit. – (Ibid. F°s58-59)
Le mieux serait peut-être de commencer par le train des pèlerins en marche. (Ibid. F°68)
Il la voyait en vacances, il l’aimait très chastement, très purement, et
il aurait peut-être réussi à tout, s’il avait pu l’épouser (…). (Ibid. F°s74-75)
Peut-être vaudrait-il mieux [n’avoir biffé] avoir un père veuf, dont je ferai un type : heureux de voir les Pyrénées. (…)
Une mère me gênerait peut-être (d’ailleurs, je peux la mettre avec le père, si j’en sens le besoin). (Ibid. F°s75-76)
Un peu intellectuel ; car, si je lui donnais des passions trop vives, il devrait lutter et ne résisterait peut-être pas. (Ibid. F°79)
Une petite fortune qui le rend [le prêtre] indépendant : même assez riche. Peut-être [sic] aurai-je besoin qu’il ait de l’argent. (Ibid. F°85)
J’ai peut-être envie de mettre un très grand seigneur, très chic, qui se dévouerait
absolument ; mais alors, une simple figure de fond. (Ibid. F°s102-103)
Je ne la montrerai [une sœur de l’Assomption] guère que à l’aller et au retour, et peut-être au milieu dans l’hôpital. – (Ibid. F°113)
Mon aumônier, je puis l’avoir pour le train accompagnant la petite hydrocéphale ( …). (…) Un peu idiote peut-être, avec paralysie [des membres biffé] des jambes. (Ibid. F°116)
Le rôle de Mme de Jonquière sera de soigner les malades, de s’occuper d’eux. Très bonne et très empressée, un peu endormie peut-être. (Ibid. F°141)
Oh ! avoir la foi, s’abîmer dans la croyance. Tout cela sur un vœu ardent de Marie peut-être. (Ibid. F°154)
Je crois qu’il y a des cérémonies
religieuses à [Angers biffé] Poitiers. (…) Peut-être pourtant, [faudr biffé] vaudrait-il mieux n’avoir que la gare. (Ibid. F°s175-176)
L’abbé Judaine est évidemment avec les Dieulafay, peut-être pas dans le même wagon. (Ibid. F°179)
Il [Ferrand] lui [sœur Hyacinthe] dit que l’homme [ne quitter biffé] n’arrivera peut-être pas à Lourdes. (Ibid. F°180)
Voir l’ordre qui présidera à ces récits. Chacun, peut-être, s’intéressant à son genre de maladie. (Ibid. F°186)
Et c’est donc l’éternelle illusion que je montre, les misérables se reprennent à l’espoir, se soulèvent sur leur couche, ranimés déjà, les yeux luisants aux récits des miracles, de la guérison qui les attend peut-être. (Ibid. F°188)
Et ici c’est l’éternelle illusion que je montre, les misérables (…) ranimés déjà, les yeux luisants, au récit des miracles, de la guérison qui les attend peut-être. (Ibid. F°195)
Peut-être finir par un Magnificat. (Ibid. F°197)
Je voudrais que la lecture continuât jusque vers onze heures. Pour cela, il faudrait peut-être que Pierre, qui a commencé par lire, continue en improvisant (…). (Ibid. F°217)
Marie s’assoupit peut-être, tandis que Pierre lui tient la main. (Ibid. F°218)
Voir, si j’ai déjà fait chanter le matin, l’Ave, Ave, Ave, Maria, à le faire chanter peut-être de nouveau, à l’arrivée à Lourdes. (Ibid. F°218)
Deux cent mille pèlerins au plus par an. L’année du couronnement, cinq cent mille peut-être. (Ibid. F°240)
Avec Berthaud, peut-être, le nombre de trains, et surtout les 500 pèlerins de l’année du couronnement. (Ibid. F°240)
Enfin, il faudra peut-être passer Ferrand, et les deux sœurs. (Ibid. F°251)
Peut-être là les premiers pèlerinages du Père Picard. (Ibid. F°255)
Et dire qu’on trempe dans la même eau un autre malade, tout de suite, le petit Gustave peut-être. (Ibid. F°263)
Puis, les remèdes qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple : très dangereux, mais
salutaire peut-être : ça tue ou ça guérie. (Ibid. F°s272-273)
Mais surtout insister [en interligne : peut-être à la fin, après le Commandeur] insister sur la réponse de Pierre, lorsque Chassaigne constate l’inexplicable et s’y abandonne (…). (Ibid. F°286)
Et alors sur l’homme que le père Fourcade a voulu
ressusciter. (…) Cet homme n’était pas venu peut-être pour guérir. (Ibid. F°s287-288)
Peut-être ne venait-il pas pour être guéri, cet homme. (Ibid. F°293)
C’est madame de Jonquière qui le [Pierre] reçoit ; et comme elle est très inquiète de Marie, (…) elle le laisse entrer, car lui seul pourra peut-être avoir une action. (Ibid. F°296)
Peut-être pourrait-elle [madame Volmar] être là et disparaître devant Pierre, qui l’avait entrevue dans l’escalier de l’hôtel des Apparitions. (Ibid. F°298)
Elle [madame Vêtu] horlogère, son mari un peu à son aise. Une lettre reçue peut-être, donnant des détails sur le petit commerce. (Ibid. F°299)
Enfin, j’ai dans la salle du bas, salle des ménages, [Sa biffé] M. Sabathier et le frère Isidore, dont je serai peut-être forcé de dire un mot. (Ibid. F°307)
Les Vigneron posés eux aussi par la même occasion, montrés peut-être. (Ibid. F°312)
D’autre part, la lettre peut-être annonçant la maladie du chef, [en interligne : ce] qui permettrait à Vigneron d’être nommé chef. (Ibid. F°326)
Peut-être (…) finir par les couvents sonnant les vêpres, lorsque M. de Guersaint sort de chez Cazaban (…). (Ibid. F°336)
Je ne ferai tourner Cazaban qu’à la cinquième partie. Là, pourtant, il faudrait indiquer le mouvement peut-être. (Ibid. F°346)
Peut-être donner des paroles que je ferais alors revenir toujours, en refrain. (Ibid. F°352)
Puis, des mots dans la foule peut-être ; bien que je préfèrerais les [Pierre et Marie] avoir seuls, sous un arbre, dans l’ombre. – (Ibid. F°354)
Au loin peut-être la lumière de Mme Volmar et de son monsieur, à la fenêtre lointaine de son hôtel. (Ibid. F°357)
Je puis faire passer Mme Maze, reconnue peut-être dans la procession. (Ibid. F°362)
Le portrait qu’il [Chassaigne] en fait (…) : là peut-être la discussion [en interligne : revenir à Bartrès] scientifique sur l’enfantine, l’hystérique ir- \\régulière (…). (Ibid. F°s385-386)
Peut-être pourrait-on tenter de la [Mme Vêtu] soulager. (Ibid. F°402)
Donc sœur Hyacinthe amène Ferrand au chevet de Mme Vêtu. Rien à faire : c’est une question d’heures, de minutes peut-être. (Ibid. F°404)
Voir comment je la [Mme Vêtu] ferai mourir, résignée ou non. Une révolte et puis de la résignation peut-être. (Ibid. F°410)
En somme, tout ce chapitre peut-être pour mes malades secondaires devant la Grotte, car je puis ne pas les avoir montrés encore là. (Ibid. F°427)
Remontrer le père Fourcade et le père Massias, en chaire peut-être. (Ibid. F°428)
Rappel peut-être de la procession aux flambeaux. (Ibid. F°461)
Se servir du Château, du Moyen-Âge, de la légende, peut-être. – (Ibid. F°462)
Le
baron Suire peut-être expliquant les ex-voto. – (Ibid. F°s466-467)
Plus tard peut-être, si la dévotion diminuait, on ferait revenir le corps (…). (Ibid. F°473)
Un rappel de Bartrès peut-être. (Ibid. F°481)
Peut-être là dire qu’elle [Mme Volmar] ne croit pas, avec une belle franchise d’audace. (Ibid. F°487)
Rappeler la salle à manger (…). Peut-être un galop des pèlerins qu’il héberge. (Ibid. F°494)
Enfin au départ les mouchoirs agités (…) \\. Raymonde peut-être. (Ibid. F°s521-522)
Le père Dargelès peut-être entrevu, pour mieux faire sentir l’absence des autres. – (Ibid. F°527)
Garder peut-être cela pour servir de transition, tout à l’heure avec M. Sabathier. (Ibid. F°536)
Sur la possession : peut-être n’y avait-il de divin que la possession. (Ibid. F°544)
Peut-être regrettera-t-elle [Marie] de ne pas être partie. (Ibid. F°547)
Mettre cette scène-là, la nuit, au jour levant, peut-être. (Ibid. F°553)
Donc il reste en suspens, sur cette idée que l’humanité a un besoin d’au-delà indéniable, et que ce serait peut-être la tuer que de vouloir lui enlever ce besoin. (Ibid. F°556)
Celui-ci [M. Sabathier], déjà raffermi, très calme, disant qu’il retournera à Lourdes l’année suivante. La Vierge finira peut-être par le distinguer et le guérir. (Ibid. F°558)
Avec M. Sabathier
sans doute, avec Mme Dieulafay peut-être, qui ne sont pas guéris, dire les sensations du retour. (Ibid. F°s559-560)
Ceci plus loin peut-être, lorsque je montrerai la souffrance. (Ibid. F°575)
Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre, la raison emportant tout en lui, mais honnête. (Ibid. F°585)
L[ebiffé]’humanité a un besoin de l’inconnu (…). Ce serait peut-être la tuer que de vouloir le lui enlever brutalement. (Ibid. F°585)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages (…) \\. (Ibid. F°s595-596)
Peut-être valait-il mieux que Bernadette fût restée à Saint-Gildard, que de triompher à Lourdes. (Ibid. F°596)
Un déjeuner peut-être avec des curés. (Ibid. F°603)
Peut-être le récit [de biffé] d’une promenade dans la montagne. (Ibid. F°603)
Revenir à l’hôpital (…). L’agrégé peut-être [en interligne : le frère des Ecoles]. (Ibid. F°604)
Dès lors son besoin de foi, il croira peut-être encore, il trouvera un modus vivandi. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 11 – Notes sur Pierre Froment)
Ne ment peut-être pas, mais a l’air de réciter une leçon apprise. (Ibid. Fo 50 – Notes sur Sophie Couteau)
Je fixerai sa maladie ou peut-être [fa biffé] vaudrait-il mieux la laisser mystérieuse aussi. (Ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Je puis faire que son mari soit à Cauterets. Mais il vaudrait peut-être mieux le laisser complètement à l’écart (…). (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Voir si je ne dois pas donner un bout d’intrigue à Appoline. Peut-être avec le curé mondain Des Hermoises, ou avec un brancardier, Gérard lui-même. (Ibid. Fo 103 – Notes sur Appoline)
Peut-être
pourrait-il accompagner Pierre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. – (Ibid. Fos 106-107 – Notes sur Cazaban)
La grâce, guérison, surprenante peut-être, mais qu’on réalise dans les hôpitaux. (Ibid. Fo 145 – Notes sur Boissarie)
L’eau pouvait peut-être guérir médicalement. (Ibid. Fo 247 – Notes sur H. Lasserre)
Ce livre doit être d’une tristesse immense pour la pauvre humanité et de pitié fraternelle ; – avec Paris à la fin relevant tout peut-être. (Ibid. Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
Le mieux serait peut-être d’avoir une usine fabriquant une matière première (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 353/6)
La misérable fille peut-être déjà mariée, tout en étant très jeune (MS NAF 10334 Travail f° 354)
Mais pour la seconde partie, l’action qui modifiera Luc ne suffira peut-être pas, il faudra peut-être un vieux professeur (Ibid., f° 356/9)
Elle peut être assez affinée, voir à la créer, et peut-être, la femme d’un jeune contremaître de l’usine (Ibid., f° 360/13)
J’ai dit que je prendrai deux frères, ou peut-être plutôt deux cousins (Ibid., f° 364/17)
Non, il vaudrait peut-être mieux, pour le symbole, que ce fût un petit frère (Ibid., f° 369/22)
Mais il vaudra mieux peut-être ne pas éparpiller trop l’intérêt sur trop de personnages, de types (Ibid., f° 380/33)
Des pots de confiture peut-être (Ibid., f° 387/40) \\un potier peut-être (Ibid., f° 387/40) \\Peut-être faut-il mieux en faire un absolu solitaire, sans femme, sans personne, tout à son rêve unique (Ibid., f° 391/44)
Tout au moins un maire, un sous-prefet peut-être (Ibid., F°403)
Deux jumeaux peut-être, un garçon et une fille (Ibid., F°407)
Peut-être pourrais-je donner à Delaveau le haut-fourneau (Ibid., F°417)
Voir pourtant s’il faudra un mécanicien, forgeron ou ajusteur. Des ingénieurs peut-être (Ibid., F°423)
Peut-être puis-je me contenter de cela comme point aigu (Ibid., F°429)
Je vois le réveil du vieux Qurignon devant sa famille assemblée, avant peut-être le suicide de Delaveau (Ibid., F°437)
PEYRAMALE
(l’abbé) Curé de Lourdes au moment des apparitions. Zola interrogea son frère en août 1892.
Lourdes (1894)
Alors la bataille des Pères de la Grotte et du curé Peyramale pour sa nouvelle église, la lutte avec l’évêque (…). (Lourdes, NAF, Ms 1455, Deuxième ébauche F°35)
Cela sera d’autant meilleur, que cette partie inventée ne détonnera pas avec la partie historique : (…) la lutte [de l biffé] du curé Peyramale et des Pères, la Basilique et la nouvelle église en ruines. (Ibid. F°56)
Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
comment raconter tout Bernadette (et aussi le Lourdes ancien, Peyramale et les Pères), si mon roman se passe de nos jours ? (…) Et ce qu’il faudrait mettre partout, ce serait Bernadette, sans compter mes deux Lourdes, Peyramale et les Pères. (Ibid. F°s57-58)
Je tiens absolument à ne pas sortir du temps présent, et je ne pourrais sans doute avoir le passé que par des visites à Bartrès, à la chambre de Bernadette, au couvent, à Nevers (en pensée), à l’église du curé Peyramale (…). (Ibid. F°59)
Il me paraît évident que l’enquête avait démontré l’hallucination, et que si l’empereur, [ainsi que biffé] après l’évêque et le [même le] curé Peyramale, a cédé à la poussée de la foule affamée de mystère et d’illusion, c’est sur les instances de certains personnages. (Ibid. F°64)
Je veux avoir toute la vie de Bernadette, les deux Lourdes, et la lutte du curé Peyramale. (Ibid. F°68)
Alors, reprise du récit : Bernadette partant pour Nevers, les luttes du curé Peyramale. (Ibid. F°70)
Puis, par un artifice, je finirai par une visite à l’église du curé Pyramale, et par une visite à la chambre de Bernadette. (Ibid. F°71)
Et finir par Peyramale, mais surtout par Bernadette. (Ibid. F°71)
Tout ce qui frappe sur lui [Pierre], (…) la lutte [de l’abbé biffé]
du curé Peyramale [en interligne : les deux Lourdes]. (Ibid. F°s83-84)
Il [Cazaban] pourrait aussi accompagner mon prêtre à la chambre de Bernadette et à l’église de Peyramale. (Ibid. F°120 bis)
[Bernadette] Ne sait pas encore bien lire, va suivre le catéchisme de l’abbé Pommyan [sic], ne connaît pas le curé Peyramale. (Ibid. F°206)
Ne pas oublier de poser aussi l’abbé Peyramale, qui se développera à la fin de la troisième journée. Chute de Peyramale et de la Grotte, et départ de Bernadette pour le V de la 3e. (Ibid. F°301)
Tous les personnages historiques, l’abbé Peyramale, l’évêque Mgr Laurence, le baron de Massy, le commissaire Jacomet, etc. – Je crois que je vais jusqu’à Lourdes fondé, en gardant la lutte de Peyramale et de la Grotte et le départ de Bernadette pour le chapitre V de la troisième partie. (Ibid. F°309)
Celui-ci [M. de Guersaint] veut se faire raser, et cela me donnera l’épisode de Cazaban criant contre la Grotte, disant un mot de l’église Peyramale (…). (Ibid. F°337)
Il faudra que l’infortune de Bernadette et du curé Peyramale soit pour quelque chose, dans son échec de croyant. (Ibid. F°384)
Mais Chassaigne [en interligne : contre les pères de la Grotte] dit qu’on ne peut comprendre les choses, si l’on ne connaît pas la lutte du curé Peyramale et du père Sempé [en interligne : M.V. 95 Guide Barbet 67-79]. Il a connu Peyramale, le portrait qu’il en fait, très droit, un peu emporté et dominateur. (Ibid. F°387)
Arrivée du père Sempé [en interligne : Notes sur P. par son frère M.V. 214], pendant une indisposition de Peyramale (1866). Dès lors,
lutte sourde du père pour l’évincer. (…) Et la bataille s’accentue, lorsque Peyramale en 75 veut bâtir une nouvelle église paroissiale, son rêve. (Ibid. F°s387-388)
Aussi (…) le chagrin de Peyramale, sans prudence, qui s’est lancé dans son église, dont les affaires ne marchent pas, et qui en meurt (…). – (Ibid. F°389)
Indiquer qu’elle [Bernadette] serait un obstacle à ce qu’il [Pierre] retrouvât la foi, cette malheureuse enfant, cette martyre qui était à Nevers, ignorante de son [heu biffé] œuvre et y rêvant sans doute, pendant que le curé Peyramale était mort (…). (Ibid. F°390)
Puis, à côté, je pose toute la lutte du curé Peyramale et des Pères de la Grotte. (Ibid. F°394)
Je crois qu’il faut que le docteur Chassaigne soit contre les Pères de la Grotte, avec un doux souvenir dévot pour le curé Peyramale et surtout pour Bernadette. (Ibid. F°396)
La lutte de Peyramale et des Pères (éb. 95). Tous les détails sur l’église du curé Peyramale. Pour la lutte du curé Peyramale, et pour le départ de Bernadette, qui amènent le chapitre V de la quatrième partie, voir les notes, le dossier de ce chapitre V. (Ibid. F°397)
Sur le curé Peyramale, notes données par le frère (éb. 214). Le père Sempé. Les dates. Sempé vient en 66. Peyramale malade, et Sempé s’emparant de tout. La basilique finie en 68. Peyramale ne commence son église qu’en [en interligne : sept.] 75 (216). Les travaux jusqu’en février 77. Tout allait à la Basilique (218). Peyramale mourut le 10 sept., assommé – (Ibid. F°398)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (…) Tout ce qu’on a fait, les
millions dépensés, pendant que Bernadette est rentrée dans l’ombre et que Peyramale agonise. Le curé Peyramale (Guide Barbet 67). (Ibid. F°s398-399)
J’aimerai, il le faut même, avoir Pierre seul, séparé de Marie, pour le faire se rendre tout de suite au rendez-vous que le docteur Chassaigne lui a donné, pour se rendre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. (Ibid. F°465)
Avant de décrire la ruine [en interligne : G.B. 87] telle qu’elle est, je voudrais, par un moyen quelconque, montrer l’église debout, telle que Peyramale la voyait, dans son rêve de prêtre constructeur. (Ibid. F°474)
Et la conversation reprend, je reviens sur la lutte avec le Père
Sempé, sur la mort de Peyramale, la persécution contre sa mémoire, l’attitude de Mgr Jourdan (…) – (Ibid. F°s474-475)
Le docteur Chassaigne se sera agenouillé, car il a connu (?) Peyramale, on on [sic] lui en a parlé. (…) Les détails sur ce qui se passait, le buste de Peyramale, devant lequel les dévotes entretenaient des lampes. Une avait vu [le biffé] l’âme du curé. (Ibid. F°476)
Peyramale, lui aussi, un grand oublié. Son image nulle part, son souvenir banni. (…) Les pères mettant toujours des obstacles, cette haine de prêtre persécutant, écrasant Peyramale jusque dans son tombeau. (Ibid. F°477)
Peur des ombres, du souvenir de Peyramale et de Bernadette. (Ibid. F°478)
Le docteur Chassaigne a donc donné rendez-vous à Pierre pour lui montrer la chambre de Bernadette et l’église du curé Peyramale. Au V de la troisième partie, j’ai posé (…) la lutte du curé Peyramale contre les Pères de la Grotte. (Ibid. F°479)
Après l’exaltation de la Grotte et de la Basilique, (…) j’ai la pauvre chambre où Bernadette a vécu et l’église en ruine où dort Peyramale. (…)
La peur que les Pères ont de l’ombre de Peyramale et du souvenir de Bernadette. (Ibid. F°s479-480)
Puis on descend à la crypte, et le tombeau du curé Peyramale. (…) Le docteur Chassaigne s’agenouille. Il a connu Peyramale, il a pu le voir mourir, il en parle. (…) Cette haine du prêtre persécutant, écrasant Peyramale jusque dans son tombeau. (Ibid. F°482)
L’église du curé Peyramale (152) [en interligne : et 171 éb.]. Le tombeau en bas (171). (Ibid. F°483)
L’église Peyramale (Guide Barbet 87). (Ibid. F°484)
Lutte du curé Peyramale contre les pères. Un récit qu’on peut faire à mon prêtre. (Ibid. F°603)
Il a un oncle au conseil municipal, ce qui lui permet d’en connaître les secrets. Aussi peut-il raconter toutes les histoires (…) de l’église de l’abbé Peyramale (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 106 – Notes sur Cazaban)
Peut-être
pourrait-il accompagner Pierre à la chambre de Bernadette et à l’église du curé Peyramale. – (Ibid. Fos 106-107 – Notes sur Cazaban)
Portrait [du P biffé] du curé Peyramale (53). (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Et visite de B. à Peyramale. On ne m’a point dit qui elle était. P. demande le miracle. – (…) Enfin le 2 mars, B. va revoir Peyramale. (…)
Peyramale promet d’aller voir l’évêque – (…) Maire inquiet va voir Peyramale. (Ibid. Fos 223-224 – Notes sur H. Lasserre)
Travail fait à la grotte [en interligne : grille]. (…) Peyramale dirige tout. (Ibid. Fo 226– Notes sur H. Lasserre)
Portrait de l’abbé Peyramale (53). (Ibid. Fo 236– Notes sur H. Lasserre)
Alors visite de Bernadette à l’abbé Peyramale, pour lui répéter ce que la Vierge lui a dit (100) – (Ibid. Fo 239 – Notes sur H. Lasserre)
L’abbé Peyramale au fond convaincu par la source (pourquoi la source et pas l’églantier). (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Le maire, inquiet, va demander l’avis du curé Peyramale. (Ibid. Fo 247 – Notes sur H. Lasserre)
L’abbé Peyramale dirige tout. Il veut une église superbe, sent les millions qui vont affluer. (Ibid. Fo 254 – Notes sur H. Lasserre)
Première cérémonie religieuse. (…) L’abbé Peyramale, en proie à une maladie mortelle, râlait sur son lit. (Ibid. Fo 254 – Notes sur H. Lasserre)
Il connaît Peyramale, il cause avec B. Mgr Laurence lui ouvre les archives
de l’Evêché. (Ibid. Fos 257-258 – Notes sur H. Lasserre)
Le grand curé Peyramale, doyen de Lourdes. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Le curé Peyramale racontait qu’un dimanche, donnant la communion, il aperçut au-dessus d’une personne agenouillée à la sainte table une auréole éclatante [Bernadette]. (Ibid. Fo 265 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] songeait beaucoup à Peyramale. Un bref de Pie IX au curé Marie-Dominique Peyramale (3 mars 74). (Ibid. Fo 265 – Notes sur H. Lasserre)
Le 8 sept. 1877, dépêche pour dire que le curé P. était mort. Désespoir de B. Elle savait les chagrins de Peyramale – (Ibid. Fo 265 – Notes sur H. Lasserre)
Peyramale les envoie à Paray-le-Monial – Mais elles veulent retourner à Aix – (Ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Le lendemain matin, elle ne peut aller à la Grotte, tant elle est fatiguée. Peyramale vient la visiter.– (Ibid. Fo 275 – Notes sur Mlle de Fontenay)
L’église du curé Peyramale (Ibid. Fo 278 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Dès lors [le père Sempé] conspire contre Peyramale. (…)
Le père Sempé vient à la mort du curé Peyramale (…). (Ibid. Fos 283-284 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Peyramale, conspiration du silence. (Ibid. Fo 286 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Le jour de la 1ère procession à la Grotte. (…) Peyramale était dans son lit très malade et Bernadette aussi. (…) Et le conseil municipal soutenait Peyramale. (Ibid. Fo 287 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Peyramale : Il fallait faire grand, il fallait faire beau. – (…)
Peyramale traite au nom de la fabrique ; puis, plus tard, en ayant pu verser les acomptes, retraite en son nom personnel. (Ibid. Fos 287-288 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Qu’on se préoccupe de payer les dettes que dans un intérêt purement paroissial, Mgr Peyramale a contractées à notre nom et en son nom personnel (Mgr Jourdan). (Ibid. Fo 288 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
On a fait enlever un buste de Peyramale devant lequel brûlaient des lampes, que des dévotes entretenaient. – Mgr Jourdan en avait voulu à Peyramale, à cause de l’histoire du [illisible] et de la mitre. (Ibid. Fo 289 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
M. Peyramale, rue de la Barégie à Lourdes (Ibid. Fo 303 – Documents)
PHASE
Travail (1901)
Il faudra rendre cela sensible en un morceau, en tout un chapitre, où je mettrai les trois phases en présence (F°437)
PHÉNOMÈNE
Lourdes (1894)
Et si tous les ouvriers ne vont pas à Lourdes, c’est qu’ils ne croient plus, qu’ils ne peuvent plus croire à la puissance surnaturelle du christianisme réparant les erreurs, allant contre les [droits biffé] phénomènes de la nature pour distribuer la justice dans ce monde et dans l’autre– (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°53)
Et il [ va biffé] irait à Lourdes alors, (…)
surpris que ce phénomène du besoin de mensonge pût se produire avec tant d’intensité à [l’ biffé] cette fin de siècle. (Ibid. F°s72-73)
Les plaies d’origine nerveuse [en interligne : la foi qui guérit. Phénomène de la nutrition.], etc. (Ibid. F°282)
Puis des phénomènes inconnus incontestables. (Ibid. F°285)
L’effet de ce phénomène, d’abord comme [illisible], puis ensuite il a tout vu, tout entendu, et la force logique de ce que Beauclair a dit. (Ibid. F°441)
Phénomène presque constant chez les malades, abandonnés de la science, que l’eau de Lourdes guérit : douleurs très vives dans les parties privées depuis longtemps de mouvements, ou qui sont le siège de phénomènes anormaux, pathologiques. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 138 – Notes sur les Miracles) ==== PHILOSOPHIE / PHILOSOPHIQUE ====
Le Ventre de Paris (1873)
Cet engraissement, cet entripaillement est le côté philosophique et historique de l’œuvre. Le côté artistique est les Halles modernes, les gigantesques natures mortes des huit pavillons (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 48)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Jeanbernat, ce qu’il dit (les livres). Philosophie, le rayon de soleil qui passe. L’art est de le faire. Il n’y a rien. Jeanbernat lit. Les livres. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 24)
Nana (1880)
Le sujet philosophique est celui-ci : toute une société se ruant sur le cul. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche).
Pot-Bouille (1882)
Jusqu’ici, je n’ai pas la grande ligne philosophique. Il me faudrait peut-être pour l’avoir prendre un ouvrier et le poser en comparaison (MS NAF 10321, Pot-Bouille, f° 386)
Au bonheur des dames (1883)
Donc, changement complet de philosophie (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 2) \\Et alors je pourrai changer le sujet dans cette idée générale et philosophique (…) (Ibid., f° 8)
Lourdes (1894)
Tout le personnage [le Commandeur] : « Mourez donc tranquillement, et ne venez pas si loin chercher cette misérable vie. » Ce pourrait être la conclusion philosophique. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°525)
Pierre doit me servir à toute la conclusion philosophique. (Ibid. F°553)
Quelle philosophie absurde ! Fallait-il donc qu’elle [Bernadette] souffrît. Pour la sauver. Mais alors Dieu ne sauve donc pas les autres ? (Ibid. F°576)
Elle [Bernadette], l’eau ne la guérissait pas. Quelle singulière philosophie. Pourquoi la guérison des autres, et pas la sienne ? (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 261 – Notes sur H. Lasserre)
PHOTOGRAPHIE
Lourdes (1894)
Et le rêve de ce prêtre, la cathédrale vaste qu’il a rêvée (d’après la photographie). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°482)
Fièvre
dernière du pèlerinage national, achat de photographies et de bibelots, de mangeaille, de bidons. (Ibid. F°s497-498)
Je crois que je dois (…) faire procéder à un achat. (…) Pierre une photographie de Bernadette (plus loin). (Ibid. F°498)
Et Pierre, voyant une photographie de Bernadette la regarde (puis, il l’achètera). (Ibid. F°501)
Les marchands de gravures et de photographies. (…) Le pèlerinage national, sur son départ, emplissant la ville de sa fièvre dernière, de ses achats de photographies et de bibelots (…). (Ibid. F°505)
Un portrait physique même (…), la face s’est un peu allongée, et décrire le reste d’après la photographie. – (Ibid. F°572)
Ils vont tous acheter des objets de sainteté [en interligne : photographie]. (Ibid. F°605)
PHRASE
Le Rêve (1888)
Elle répond à chaque phrase, dit aussi ce qu’elle a senti (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Lourdes (1894)
Ma phrase du discours aux étudiants sur « le travail libérateur et pacificateur ». (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°21)
Un [pr biffé] prêtre (?) est dans la chaire (la décrire), et les phrases qu’il clame. (Ibid. F°416)
Puis finir par (…) la \\ phrase sur son hérédité, au personnage : « S’il avait pu tuer la chair en lui, en renonçant au roman de sa jeunesse, s’il se sentait le maître de sa sensualité, au point de n’être plus un homme, il savait maintenant que le sacrifice impossible allait être celui de son intelligence. [»] (Ibid. F°s588-589)
Portrait de Mgr Laurence. (…) Il refuse même l’enquête (que de phrases dans Lasserre, pour l’en excuser !) (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
J’ai cette phrase : « C’est un enfant qui vient de voler un pain » (F°429)
PHYSIOLOGIE /PHYSIOLOGIQUE / PHYSIOLOGIQUEMENT
La Conquête de Plassans (1874)
Mon drame physiologique sera donc l’étude de la parenté qui rapprochent /sic/ les époux (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Quant à Marthe, il faut l’étudier au point de vue physiologique (Ibid.F°22)
Le drame physiologique: Mouret, un Macquart,- Marthe, une Rougon; parenté qui rapproche, puis qui éloigne ; le vieux levain de haine de la bâtardise. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Eux sont des créations, des études physiologiques ; tandis que je prendrais les autres dans la vie ordinaire, en les haussant le moins possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 9)
(Revenir sur la ressemblance des parents, ils s’aiment tout physiologiquement, etc.) (Ibid., Les personnages, f° 16)
Appuyer sur ce côté physiologique. (Ibid., f° 17)
Sa physiologie par les actes, on ne le connaîtra qu’au IX (MS NAF 10323, Deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 73)
La Terre (1887)
Un passage, où sa physiologie de Macquart sera posée (MS NAF 10329 La Terre f° 5 – Personnages, Jean Macquart)
PHYSIONOMIE
La Terre (1887)
Tout le caractère de la physionomie est là (MS NAF 10329 La Terre f° 33 – Personnages, Joseph Fouan)
Lourdes (1894)
Je mets au milieu Marie, M. de Guersaint et Pierre. (…) Et, bien indiquer leur physionomie, les sentiments qui les rattachent les uns aux autres. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°132)
Nulle créature n’eut plus de vie, de grâce même humaine, de physionomie personnelle. (Ibid. F°572)
Changement sur la physionomie, en même temps que sur les jambes. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 120 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Nulle créature n’eut plus de vie, plus de grâce même humaine, plus de physionomie personnelle, plus d’individualité caractéristique. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
PHYSIQUE (-MENT)
La Conquête de Plassans (1874)
La silhouette physique des personnages (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
Lourdes (1894)
Quand Marie s’est recouchée, son portrait physique (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°122)
Puis, poser aussi Pierre et M. de Guersaint (…). Portraits physiques. (Ibid. F°123)
Puis, poser sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière. (…) Portraits physiques. (Ibid. F°123)
Je mets au milieu Marie, M. de Guersaint et Pierre. (…) Je les pose tous les trois : portraits physiques (…). (Ibid. F°132)
Simplement les histoires nécessaires et les portraits physiques. (Ibid. F°136)
Ferrand et sœur Saint-François posés physiquement, en quelques mots. (Ibid. F°167)
Il [le père Massias] arrive, son portrait physique. (Ibid. F°172)
(…) Mme Volmar, que je mets en somnambule (…) : portrait physique, on cause de l’hôpital où elle paraîtra à peine. (Ibid. F°176)
Une miraculée [Sophie Couteau], une enfant l’air modeste et pur : ça l’intéresse [Pierre]. [Avec biffé] Portrait physique développé. (Ibid. F°183)
Si je fais monter Sophie Couteau, seulement au début de ce chapitre, je l’installe tout de suite, et je donne son portrait physique. (Ibid. F°192)
Appoline est une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). Elle lui ressemble physiquement, elle a presque eu la même enfance. (Ibid. F°501)
Appoline sera une Bernadette qui a mal tourné (voir le personnage). Elle lui ressemble physiquement, elle a eu presque la même enfance ; mais ce n’est pas à elle que la Vierge serait apparue. (Ibid. F°504)
Un portrait physique même (…), la face s’est un peu allongée, et décrire le reste d’après la photographie. – (Ibid. F°572)
PICARD (Père)
Père de l’Assomption et directeur du pèlerinage national, modèle du père Fourcade dans Lourdes. Zola le rencontra en août 1892.
Lourdes (1894)
Comme pères de l’Assomption, je voudrai le père Picard, que j’appellerai autrement, mais que je décrirai identique, un maître homme, un général illuminé qui a organisé le pèlerinage, et qui conduit tout avec autorité et passion. Et j’ai envie de mettre un autre père de l’Assomption (…). (…) Toujours avec les supérieurs, le père Picard qui l’aime beaucoup. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°117)
Les premiers pèlerinages tels que le père Picard me les a contés (V. 23) – (Ibid. F°224)
Là sans doute, les premiers pèlerinages tels que le P. Picard me les contés (éb. 23). (Ibid. F°240)
Peut-être là les premiers pèlerinages du Père Picard. Pas organisés. (Ibid. F°255)
Et finir par le père Picard, demandant la résurrection du mort. (Ibid. F°602)
PIE IX
Pape.
Lourdes (1894)
A quelle époque a été établi le dogme de l’Immaculée conception ? Le pape Pie IX avait eu de grandes peines pour le faire accepter, et il a eu de singulières tendresses pour Lourdes, à qui il a envoyé son portrait, la mosaïque qui orne la basilique, et une de ses croix qui est dans le trésor, et des bulles en somme. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°63)
Le couvent de Nevers s’appelle Saint-Gildard. Bref du pape Pie IX (255). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)
PIÈCE (DE TOUTES PIÈCES)
Lourdes (1894)
Tous, au fond, rêvent et croient à l’au-delà, au miracle corrigeant la nature, (…) les anarchistes en (…)
créant en un mot une humanité de toutes pièces telle qu’elle ne saurait exister. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s53-54)
PIÈCE / PIÈCE A PIÈCE
Voir aussi : détail
Nana (1880)
C’est Labordette qui maguignonne le tout. (les pièces reviendront à la fin.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°98- Plan).
Le Rêve (1888)
Tout ce désir d ‘amour développé détail à détail . Création de l’être attendu qui sort du néant, de l’ombre
de l’inconnu (que j’ai posé), pièce à pièce à l’aide des sens (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan du chapitre IV, f°s 59-60)
Toute cette partie du désir d’amour doit être développée détail à détail (…) pièce à pièce (Ibid., première partie du chapitre IV, f° 65)
PIEDS (REMETTRE LES)
La Conquête de Plassans (1874)
Comme marche générale dans l’œuvre, il est temps de revenir à Plassans, où, de longtemps, je ne pourrai remettre les pieds (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
PIRE
Le Ventre de Paris (1873)
Je ne lui prêterait [sic] aucune mauvaise action : Je la montrerai honnête et pire peut-être qu’une coquine. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 88) ==== PITIÉ / PITOYABLE ====
Lourdes (1894)
Entretenir l’illusion, la laisser vivre par pitié pour les malheureux qu’elle console, c’est renforcer la longue hérédité de faiblesse et de misère (…). (…) Je puis donc finir « Lourdes » sur cette question anxieuse que se pose mon prêtre. Il ne la résoudra
pas, il la laissera à l’état d’inquiétude, car je dois finir sur la pitié (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s3-4)
Enfin, je voudrais bien avoir une très jolie hospitalière, 20 ans, dans tout le charme de la jeunesse. C’est la [première biffé] troisième fois qu’elle vient, et la pitié frissonnante. (Ibid. F°104)
Ces dames attendent Mme de Jonquière, et elles vont descendre madame Dieulafay. Leur pitié. (Ibid. F°228)
Tristesse immense et pitié fraternelle pour l’humanité souffrance [sic]. (Ibid. F°300)
Tristesse immense pour la pauvre humanité et pitié fraternelle. (Ibid. F°309)
Ce qu’il voit tuerait la foi de Pierre, l’enfoncerait dans ses seules croyances humaines. La douleur et la pitié. (Ibid. F°478)
Ce qu’il [Pierre] voit tuerait sa foi, l’enfoncerait dans ses seules croyances humaines. La douleur et la pitié. (Ibid. F°483)
Elle [Mme Volmar] pâlit, le [Pierre] suit d’un mouvement brusque dans sa chambre ; et là trouver un cri, un sanglot, une demande de pardon et de pitié. (Ibid. F°487)
Pitié de Marie et de Pierre. (Ibid. F°535)
C’est vrai, un sanglot pitoyable. Pierre s’est violemment apitoyé – (Ibid. F°581)
Sous de tels coups, c’est une pitié de voir les plus forts, les plus clairs, redevenir enfants. – (Ibid. F°584)
Et Pierre reste donc en suspens sur cette idée (…) qu’il faut une autre religion au pays. La pitié de la souffrance ne suffit pas. (Ibid. F°588)
La pitié de Pierre pour elle [Marie]. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)
C’est la troisième fois qu’elle vient à Lourdes, et sa pitié frissonnante. (Ibid. Fo 77 – Notes sur Madame Desagneaux)
Ne pas écrire l’œuvre dans un sentiment de raillerie, mais de pitié pour l’humanité souffrante. (Ibid. Fo 215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Pitié, et la scène où je fais tomber l’évêque à genoux. Le pouvoir civil aussi cède. (…) Une scène très touchante. La pitié désespérée emportant tout. (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Dieu avait vaincu. Dieu, hélas ! non, mais la misère humaine, le besoin de mensonge. La charité et la pitié – (Ibid. Fo 226 – Notes sur H. Lasserre)
Pitié, la (…) scène où je ferai tomber l’évêque à
genoux. Le pouvoir civil aussi cède. (…) Une scène de ces supplications, très touchante. Et la pitié désespérée emportant tout. (Ibid. Fo 249– Notes sur H. Lasserre)
PITTORESQUE
Le Ventre de Paris (1873)
Le soleil tape obliquement sur les légume*, rougit les carottes, allume le cœur blanc des chicorées. Très pittoresque. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 285)
Lourdes (1894)
(…) les côtés pittoresques, communion à la grotte, procession aux flambeaux, cérémonies à la Basilique, les guérisons, le bureau des constatations, l’achat des saintetés, la nourriture, enfin toute la vie des quatre jours (…) \\. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s37-38)
Auparavant, ils [Pierre et Chassaigne] peuvent voir le moulin sur le Lapaca, en passant. Ce coin pittoresque de Lourdes. (Ibid. F°480)
Travail (1901)
les travaux de la terre surtout pittoresques, vendanges, moisons, etc. (et ma « Terre ») (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 350/3)
PIVOT
Terme important (avec : centre, central, point central, principal, accentuer, poussé, petit, (grande) place, insister, premier plan…) des consignes de focalisation qui visent à hiérarchiser un passage, ou un chapitre, ou toute l’œuvre, en faisant porter la majeure partie des descriptions sur un élément défini (par rapport à des élément annexes, ou accessoires, ou « d’arrière-plan »), ou en soulignant la fonctionnalité narrative d’un élément (par rapport à d’autres qui « agissent » moins).Cette accentuation différentielle peut passer aussi par des moyens typographiques (soulignements d’un trait ou de deux traits).Un objet (le livret d’Angélique), ou un personnage, ou un sentiment, peut ainsi devenir « pivot » d’une partie de l’œuvre. Le terme fait donc partie de la catégorie des consignes paradigmatiques, qui visent à organiser la hiérarchie de l’œuvre, à côté des consignes syntagmatiques, qui visent à organiser le déroulement de l’oeuvre et la succession de ses parties.
Nana (1880)
C’est Nana, la curiosité sur Nana qui est le pivot.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°6- Plan)
C’est là que les g. doivent faire le pivot du chapitre. (Ibid. F°107).
Au bonheur des dames (1883)
C’est Octave qui est le pivot du chapitre [le IIème] comme Louise a été le pivot du premier (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 25)
Le Rêve (1888)
Le livret pivot (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 8) \\Lui ne se croyant plus aimé. Pivot peut-être (Ibid., Plan, Plan du chapitre VI, f° 2,)
La grande pitié pour la souffrance qu’elle a faite : c’est le pivot (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 93)
Lourdes (1894)
Je les fais redescendre [en interligne : Raymonde conquérant Gérard, le pivot] par le plateau de la Merlasse (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°332
Et surtout parler tout de suite, dès le début, de la procession aux flambeaux, qui doit être passée par là, car elle est le pivot du chapitre. – (Ibid. F°351)
C’est cette mort qui peut servir de [p biffé] cadre, de pivot, à tout le
chapitre. (Ibid. F°s409-410)
PLACE(R)/PLACE
Le Ventre de Paris (1873)
Donc, j’appuie surtout sur la place de l’œuvre dans la série. Elle complète La Curée, elle est la curée des classes moyennes (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 49)
Je donnerai surtout une place au jeune homme, dont je ferai un peintre plus tard.(Ibid., f° 61)
J’ignore encore si je mettrai la police véritable dans l’œuvre ; cela demanderait bien de la place (Ibid., f° 78) \\Je la place dans sa charcuterie, au milieu de ses viandes, avec un tablier blanc. Et c’est là que je place avec elle les lâchetés de la chair, les ramollissements de l’esprit (Ibid., f° 51)
Je la placerai dans la rue Rambuteau, au n°110, en face de la poissonnerie. (Ibid., Ms.Naf. 10.338, f°185)
La Conquête de Plassans (1874)
Pierre et Félicité (…) Ils doivent reparaitre , et tenir une large place. Mais plutôt un fond de tableau qu’un premier plan (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Trouver dans la première partie la place de ces choses. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 17)
Nana (1880)
Les places. Le commencement du souper très bourgeois. (NAF Ms. 10313, Nana. F°38- Plan)
C’est là qu’il faut placer l’épisode de la Tricon, au lever du rideau (…). (Ibid. F°50).
Jamais je ne la montrerai dans les réunions de cocottes. Voir où il faut la placer. (NAF Ms. 10313, Nana. F°237- Ebauche).
Place au théâtre (NAF Ms. 10313, Nana. F°270, 271, 273- Notes).
Pot-Bouille (1882)
Je ne puis prendre qu’Octave Mouret. Mais il faut alors qu’il tienne une place, et que je lui donne un caractère (MS NAF 10321, Pot-Bouille, f° 381)
Le Rêve (1888)
Donner une grande place possible à la lutte psychologique (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 295/78). Au XIIIe, presque tout de suite, je place ma première légende (NAF MS 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 266) Et tout ça prendrait place au chapitre IV avant l’arrivée du prince (NAF MS 10323, Le Rêve, f° 51, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou premier Plan du chapitre III)
Il faut seulement que je place et que je décrive l’antique statue de Ste Agnès (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII f° 105)
Lourdes (1894)
Mais ne pas oublier que je ne veux pas l’Italie poncive, la Rome cossue : je veux une Rome actuelle (…). Tout cela devra être étudié sur place. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°8)
Trouver la place de dire les choses nécessaires. (Ibid. F°118)
Mais surtout l’homme qui meurt, voir où je puis placer la mort. (Ibid. F°211)
Si j’ai de la place, je donnerai là un peu de l’ancien Lourdes. (Ibid. F°334)
Derrière tout cela ; même, se placer par la pensée au Calvaire, et tout voir de haut. (Ibid. F°359)
Je crois que cela serait la place, surtout si je veux que le mardi la mère reparte. (Ibid. F°379)
Elle s’efface, ne compte pas, ne tient pas de place. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 60 – Notes sur Madame Maze)
Toutes les luttes avec la ville, le commerce, les sœurs bleues. Trouver la place de dire les choses nécessaires. (Ibid. Fo 99 – Notes sur le père Capdebarthe)
Travail (1901)
L’institution et l’éducation des enfants doit tenir une grande place, car c’est par elle que la nouvelle société se créera. Donc, une place (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 375/28)
Dès lors les choses sont assez en place (Ibid., F°431)
PLAIRE
Voir aussi : préférer ; aimer
La Curée (1872)
Cette fin ne me plaît pas (MS NAF 10 282, La Curée, f°297 / Premiers détails).
Le Rêve (1888)
« Le Rêve » serait le titre du volume, et c’est surtout ce qui me plait (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 226/10) ==== PLAISANTERIE ====
Lourdes (1894)
Il n’y a pas d’exemple qu’une sœur se soit contaminée. Alors, quoi ? Un miracle, ou bien la science de l’antisepsie était-elle une plaisanterie. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°273)
PLAN
Le terme désigne plusieurs choses, soit un plan dessiné à la main par Zola et présent dans le dossier préparatoire (plan de ville, de quartier, de maison),soit un plan dessiné par quelqu’un d’autre, un informateur de Zola (« Plan de Jourdain ») et joint comme document de travail au dossier préparatoire, soit une Section du dossier préparatoire où Zola esquisse, chapitre par chapitre à raison de deux Plans détaillés de précision croissante pour chaque chapitre, les contenus précis de chaque chapitre, soit les grandes lignes générales du schéma global de l’intrigue.
La Conquête de Plassans (1874)
Pierre et Félicité (…) Ils doivent reparaitre , et tenir une large place. Mais plutôt un fond de tableau qu’un premier plan (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Plan du troisième livre. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 21)
Un plan très détaillé à faire. (Ibid., Le Paradou, f° 57)
Nana (1880)
Plan (NAF Ms. 10313, Nana. F°1- Plan)
[Plan la table du repas chez Nana] (Ibid. F°34)
Ce qu’on voit de la loge (Note, plan). (Ibid. F°88)
C’est ici que le plan de l’homme dévot doit avoir son dénouement. (Ibid. F°149)
[Plan de la chambre de Nana au Grand-Hôtel de la main de Céard] (Ibid. F°152).
Il faut serrer le plan d’un peu plus près. (NAF Ms. 10313, Nana. F°233- Ebauche)
Puis, voir ensuite dans le plan. (Ibid. F°237).
Plan, rue x (NAF Ms. 10313, Nana. F°270- Notes)
[Plan du théâtre des Variétés] (Ibid. F°310)
[Plan du théâtre des Variétés de la main de Zola] (Ibid. F°328 verso)
[plan du quartier] (Ibid. F°329)
[plan de la Grenouillère] (Ibid. F°335).
La Terre (1887)
Il faudrait régler les grands ensembles, mettre les plans. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 422/23 – Ebauche)
(…) Cela serait donc taillé sur le plan de « Germinal », en cinq partie [sic], avec de courts chapitres. (Ibid., f° 424/25)
(…) L’aîné. Un type de second plan. (Ibid., f° 446/47)
(…) Le paysan, ou le bourgeois propriété [sic] pourrait en avoir racheté des morceau [sic], sans arriver à la reconstituer, et la haine contre cette masse de terre dont le coin entre dans le pays. Mais laisser cela absolument au second plan. (Ibid., f° 461/53)
(…) Jean serait donc garçon à la ferme, après quelle aventure. Bonhomme peut y faire ma corvée avec lui, d’où connaissance et lien. Et il ne faudrait qu’un petit lien pour tout avoir. Très au fond, comme plan. (Ibid., f° 464/56) Traits secs et creusés, par plans très nets (MS NAF 10329 La Terre F° 13 – Personnages, Louis Fouan)
Le Rêve (1888)
Voici donc le premier jet du plan (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 235/19) \\Tout le quartier dans le plan. Rue des Orfèvres, etc. (Ibid., Plan, f° 15, Premier plan du chapitre I) \\La rue soleil, la rue des Orfèvres, tout le quartier autour (Plan) où elle ne va guère (Ibid., 2ème Plan détaillé du chapitre II, f° 17)/C’est là que je pose d’abord l’atelier, complètement. Plan de Jourdain (Ibid. second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
Tout le quartier (…) Voir le plan (premier plan du chapitre VIII f° 116)
Plan (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, f° 1)
L’église, le terrain , l’évéché, les Voincourt. Voir le plan (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 62)
Les Hautecoeur- Le Château- Les armoiries- Histoire et légendes- Beaumont L’Eglise et Beaumont-La-Ville- Histoire- Plan (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes, f° 244)
Lourdes (1894)
Là arrive le pèlerinage national, charriant tout avec lui, les malades au premier plan avec leur innocent besoin d’espoir (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°36)
C’est là enfin ce que je voudrais surtout mettre dans mon œuvre, au premier plan, débordant tout. D’abord un cri superbe de l’humanité souffrante, le cri de la douleur. (Ibid. F°38)
Cela sera assez difficile à mettre, mais il le faudra au second plan. – (Ibid. F°56)
Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
(…) si mon roman se passe de nos jours ? (Ibid. F°s57-58)
C’est pourquoi, en faisant le plan de Lourdes, il faudra que je décide si je ferai ensuite Rome, pour préparer ce dernier. (Ibid. F°61)
Elle [Mme Maze] est donc sur le quai, lors du départ du train blanc (…). (…) Au dernier plan du reste, un épisode à peine. (Ibid. F°112)
L’autre sœur, plus âgée, très brave femme aussi mais tout à fait au second plan. N’est là que comme fond du tableau. (Ibid. F°115)
Plan (Ibid. F°121)
Le morceau sur Bernadette (…). Faire un plan à part. (Ibid. F°301)
Pierre se retrouve dehors [en interligne : voir la dernière page du plan primitif (Guide Barbet. 41)] et va au Rosaire, allumé. (Ibid. F°369)
Lire le plan, pour le préparer. (Ibid. F°397)
Et alors là (…) donner à Pierre le brusque souvenir de son [cou biffé] petit cousin Beauclair (Fin du pl. 5). (Ibid. F°435)
Mais Pierre devant le Panorama évoque l’ancien Lourdes. Tout le morceau du chap. V de la 1ère journée (pl. 14). (Ibid. F°496)
Plan définitif (Ibid. F°600)
Une figure de troisième plan, mais qu’il faut faire typique et poignante. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 46 – Notes sur Mme Vêtu)
Travail (1901)
Voilà le grand type, qui doit venir en avant, au premier plan, pour bien montrer la bête monstrueuse du salariat (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f°s 376/29-377/30)
PLAT (-EMENT) / PLATITUDE
Le Rêve (1888)
Mais l’écueil de ça est de faire petit, plat et bête (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 227/11)
(…) Elle meurt (…) Cela me paraît beaucoup plus grand et beaucoup plus touchant. Le triomphe complet était plus platement bourgeois (Ibid., f°305/88)
Lourdes (1894)
Donc il [Pierre] lit les deux premières pages. Puis, il cesse de lire, un peu ennuyé de cette platitude du récit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°203)
Aux âges de foi, du XII e au XIV e s., le charme naïf des objets religieux, l’accent, le caractère. Et aujourd’hui, la banalité, la platitude. (Ibid. F°499)
Aux âges de foi, du XII e au XIV e, le charme naïf des objets religieux, l’accent, le caractère. Et aujourd’hui la banalité, la platitude. (Ibid. F°503)
PLÈBE
Le Ventre de Paris (1873)
C’est la plèbe. Pas de moralité, pas d’honnêteté, toute l’écume de Paris. Un bon tiers de repris de justice, le reste des déclassés, des goujats, etc. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°220/4)
PLEIN (EN) / PLEIN DE / PLEINEMENT
Lourdes (1894)
Je puis faire que la mère de cette fille soit (…) une femme vraiment méritoire, tout à la charité, se dévouant pleinement (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°100)
Il faut absolument que sous l’influence du milieu, de la chaleur, de ce wagon plein de souffrance,
de l’ardent besoin d’illusion qui s’en échappe, il [Pierre] s’exalte et espère qu’il croit. (Ibid. F°s215-216)
Il [Pierre] n’a pu rester, et il est là inquiet, ébranlé, anxieux, plein de malaise, se demandant ce qu’il va faire (…). (Ibid. F°258)
Je prends Pierre, lorsque, plein de malaise, (…) il s’éloigne de la grotte, où il doit revenir prendre Marie dans une heure. (Ibid. F°265)
Je crains que ce chapitre ne soit trop plein si j’y mets des discussions médicales. (Ibid. F°276)
Et un journaliste influent de Paris, tombé là, auquel Bonamy donne la représentation. Plein de zèle, ayant un incrédule à convertir, une influence et une publicité à utiliser. (Ibid. F°280)
Des rires, des jeux, des bons enfants (…). C’est gentil, jeune, plein d’appétit. (Ibid. F°331)
Le baron Suire, enfin toute l’hospitalité revient, et gentil, et jeune, plein d’appétit. (Ibid. F°341)
Commencer là l’analyse qui le [Pierre] montre troublé, plein de malaise, devant Marie guérie, malgré la joie profonde qu’il en éprouve. (Ibid. F°455)
Si je dis un mot des [ma biffé] personnages dans le wagon, montrer la Grivotte à l’agonie, mais [Marie et biffé] M. Sabathier plein d’une indestructible espérance. (Ibid. F°595)
Comment, sur la parole d’un enfant, sur la vision d’une ignorante, en plein XIX e siècle, (…) tout ce mouvement immense ? (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 228 – Notes sur H. Lasserre)
PLUS /DE PLUS EN PLUS
Voir : possible / Le plus possible / en outre
Le Ventre de Paris (1873)
Seulement, elle apporte en outre une vertu plus égale (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 51)
Je vois dès à présent un homme meilleur qu’Elisa, plus brusque, plus inégal (Ibid., f° 54)
De plus, cela me permettra d’animer Lisa, à un moment, de l’étudier en face de la passion (Ibid., f° 63)
Les marchandes en noir sont plus propres. (Ibid., f°171)
Les tas du fond sont naturellement enlevés plus vite.(Ibid., f° 175)
Sur le comptoir, à droite de la charcutière, jambon ordinaire et le jambon fumé (plus rouge) (Ibid., f° 196)
Couteaux plus larges pour prendre dans les terrines.(Ibid., f° 197)
Les pavillons aperçus au loin, à l’intérieur, plus vaguement, dans un fouillis grisâtre – (Ibid., f°297)
Les légumes mouillés sont plus vibrants de couleurs. (Ibid., f°297)
Les fiacres passent plus rapides et plus sonores. (Ibid., f°297)
Les odeurs sont beaucoup plus pénétrantes – Des groupes plus nombreux stationnent dans les avenues. (Ibid., f°297)
La Conquête de Plassans (1874)
mais sur \\tout ne pas forcer cette note .Indiquer au plus (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°s19-20)
Les scènes se renouvellent, en trouver d’autres aussi typiques et dramatiser le sujet le plus possible en trouvant des péripéties (Ibid.F° 24)
cette partie, la plus originale, doit avoir du développement (Ibid.F° 25)
Faujas (…)Un ambitieux, rien de plus. (…) aucun désir (…) il n’est que vicaire (ibid, F° 29)
Le père de C…, plus intelligent, bon sens, anticlérical, avare, réveil républicain dans les campagnes, abonné au Siècle (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan I F˚ 4)
Là, poser Marthe plus completement, toujours avec des faits. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
La faute de l’abbé Mouret (1875)
Je réfléchis qu’il serait peut-être plus grand et plus simple pour l’œuvre de ne pas spécifier sur les paysans. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 13)
Cela serait plus étonnant. (Ibid., f° 15)
Deuxième morceau, à la fin du chapitre. Conversation avec Dieu, montrer plus intimement les fruits de cet état d’esprit. (Ibid., Extraits de L’Imitation, f° 34)
Le Rêve (1888)
C’est à partir de la lutte que je la fais décliner peu à peu, affaiblie de plus en plus par la torture (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan du chapitre XI, f° 147)
Lourdes (1894)
Puis, l’idée que la jeune malade pourrait être guérie le bouleverse : (…) la faire frapper dans son sexe, mais avec la plus grande discrétion, pour que tout le monde puisse lire mon livre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°77)
Garder la [bon biffé] bousculade, mais pousser l’émotion jusqu’au plus violent effet possible. (Ibid. F°437)
Je ne puis l’avoir [la Grotte] de nouveau qu’en la rendant plus intense. – (Ibid. F°443)
Et la comparaison (…) qui va s’établir entre eux [Pierre et le père Massias]. Je voudrais de la conversation le plus possible. (Ibid. F°451)
Comme cela est du pessimisme le plus noir. (Ibid. F°457)
Comme cela est du pessimisme le plus noir ! (Ibid. F°468)
Mais le plus tôt possible, je mets Appoline en conversation avec Des Hermoises. (Ibid. F°500)
« Il faut faire le sacrifice de sa vie. Mais, mon père, ce n’est pas là un sacrifice ! » Pas de plus noir [sacrifice biffé] pessimisme. (…) « Ma passion ne finira qu’à ma mort et durera pour moi jusqu’à l’entrée [de l’ biffé] dans l’éternité ». Rien n’était plus juste. (Ibid. F°578)
Sous de tels coups, c’est une pitié de voir les plus forts, les plus clairs, redevenir enfants. – (Ibid. F°584)
Ramener le plus possible Bernadette, l’identifier à l’humanité. (Ibid. F°589)
Peut-être valait-il mieux que Bernadette fût restée à Saint-Gildard, que de triompher à Lourdes. Plus touchante, plus fine et légendaire. (Ibid. F°596)
Travail (1901)
L’agriculture agonisera plus encore que l’industrie (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 400/53) ==== PLUS ====
Voir aussi : pas
Le Ventre de Paris (1873)
On ne me reprochera plus mes femmes hystériques (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 49)
Le Rêve (1888)
Plus
de rire, un grand frisson. Mais de la peur chez Angélique (MS NAF 10323, Deuxième plan détaillé du chapitre V, f°s 76 – 77)
PLUS HAUT
Lourdes (1894)
Puis continuer à dire les stations, comme je l’ai indiqué plus haut. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°569)
PLUS TARD
Travail (1901)
Plus tard, il l’épousera, dans le triomphe (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 354/7) \\Luc ayant plus tard la femme, et des enfants d’elle, dans la création de la cité (Ibid., f° 355/8)
et plus tard, par leurs enfants, avoir au contraire tous les bienfaits du travail organisé (Ibid., f° 356/9) \\avec laquelle plus tard, il redeviendra très heureux, qu’il appréciera lorsqu’il travaillera (Ibid., f° 368/21) \\plus tard le mariage qui commencerait l’union (Ibid., f° 369/22)
Et plus tard celui-ci (…) tous vont bien (Ibid., f° 382/35)
Un grand parc improductif, très beau, dont on fera un jardin public plus tard (Ibid., f° 400/53) \\Des bruyères aussi, des terrains de chasse, pour défricher plus tard (Ibid., f° 400/53)
PLUTÔT
Le Ventre de Paris (1873)
Non, il ne faut pas la faire si agissante dans le mal. Elle subit plutôt.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 69)
qui auront intérêt à le supprimer, ou plutôt qui goûteront une certaine joie à le voir mal finir.( Ibid., f° 73)
elle s’était mis [sic] sous une porte de la rue Montmartre, ou ailleurs, dans la Halle plutôt (Ibid., f° 111)
La Conquête de Plassans (1874)
Pierre et Félicité (…) Ils doivent reparaitre , et tenir une large place. Mais plutôt un fond de tableau qu’un premier plan (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Ou plutôt, la basse-cour le soir avec Albine et Désirée. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 22)
La tombe d’Albine ? Je mettrai à côté du cimetière une sorte de précipice, ou plutôt je l’établirai au bord d’un grouffre [sic], qui évitera de le border d’un mur. (Ibid., L’Eglise, Les Artaud – le Presbytère, f° 108)
Nana (1880)
Elle finira par s’en aller faire un tour, soit avec Daguenet, soit plutôt avec Labordette, qui ne demande rien. (NAF Ms. 10313, Nana. F°20- Plan)
Nana flattée, plutôt qu’irritée. (Ibid. F°68)
Puis Vendoeuvres. Il a quitté Lucy, ou plutôt il a été lâché (à arranger.). (Ibid. F°98).
Au bonheur des dames (1883)
(…) une fille dont je peindrai les souffrances et que je ferai heureuse ou malheureuse, plutôt à la fin (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 5) \\Trouver une figure grande d’homme ou plutôt de femme (Ibid., f° 6)
Le Rêve (1888)
Il faudrait lui donner un métier d’art, ou plutôt brodeur pour église (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 230/14)
Bien dire cela et lire absolument mes notes (Leg.dorée 4) (…) là ou plutôt au chapitre suivant (Leg.dorée 5) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 36)
je ne sais si je dois pousser cette scène à fond ou plutôt la garder pour le milieu du livre (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 49)
Tout le travail expliqué (…) (c’est pour l’église du château, un cadeau à l’abbé Glorian, ou plutôt à son père) (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 86)
Félicien pouvait être sous les arbres à lire, à dessiner plutôt le moulin (Ibid., Plan du chapitre V, f°s 73-74)
Tricher avec le temps, pour que l’hiver soit passé : un mot, après l’hiver. Ou plutôt une tiède soirée d’hiver, à arranger (Ibid., deuxième plan du chapitre XII, f° 158)
Lourdes (1894)
Il faudrait plutôt des personnages qui raconteraient le passé, une sorte de chœur (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°59)
J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. Ce serait pour mettre (…) dans le second, tout le néo-catholicisme ou plutôt le néo-christianisme de cette fin de siècle. (Ibid. F°60)
On l’a mis dans une maison dirigée par des prêtres. Mais quand il revient aux vacances ou plutôt non, il est élevé à la maison, par un prêtre et n’ira que plus tard au séminaire. (Ibid. F°147)
Ils sortent tous, ou plutôt il n’emmène que Mme de Jonquière et il est arrêté par l’abbé Judaine (…) et assiste à l’épisode des Dieulafay. (Ibid. F°170)
Elle [Mme de Jonquière] me donne Raymonde, Mme Désagneaux et Mme Volmar, en descendant ; ou c’est plutôt sa fille qui vient la voir. (Ibid. F°180)
La curiosité éveillée, les têtes qui se tournent, on va écouter passionnément. C’est la suite des miracles, l’origine des miracles plutôt. (Ibid. F°202)
Je le [le Commandeur] loge
dans une dépendance de la gare, ayant là un petit emploi de surveillance, aux Messageries. Plutôt une occupation. (Ibid. F°s229-230)
Je le [le Commandeur] fais logeant dans une dépendance
de la gare, et ayant là un petit emploi de surveillance aux Messageries. Plutôt une occupation. (Ibid. F°s238-239)
Un médecin [Chassaigne] plutôt matérialiste, tout [au] moins indifférent, n’acceptant que les faits exacts, basant tout sur l’observation. (Ibid. F°259)
Autrefois, [Chassaigne] incroyant, médecin matérialiste, ou plutôt indifférent. – (Ibid. F°265)
Et de Guersaint se plaint des bruits qui l’ont réveillé (c’est plutôt Pierre qui a entendu). (Ibid. F°311)
Ce sont les dates qui doivent conduire le tout. Plutôt en récit qu’en conversation. (Ibid. F°387)
Ce serait donc là, près de cette mourante qu’ils [Ferrand et Hyacinthe] [soignent biffé] assistent ensemble que je reprendrai ce que j’appelle leur idylle, ou plutôt leur amitié si pure et si profonde. (Ibid. F°412)
Pour corser un peu le chapitre, il faut voir si je ne pourrais pas y introduire quelques uns de mes personnages. Le père Fourcade, ou plutôt le père Massias, derrière le dais, criant – (Ibid. F°465)
N’est-ce pas dangereux et lâche, de laisser vivre la superstition. Ne faudrait-il pas plutôt en opérer violemment l’humanité (…). (Ibid. F°555)
Le
parallèle entre ce messie enfant et Jésus, la religion nouvelle ou plutôt renouvelée à Lourdes. (Ibid. F°s576-577)
N’est-ce pas dangereux et ladre de laisser vivre la superstition ? Ne faudrait-il pas plutôt en opérer violemment l’humanité, au lieu de la laisser dans cet état
de faiblesse (…). (Ibid. F°s582-583)
Et elle mourra au retour dans le train, ou plutôt sera ramenée mourante à Paris, pour que je n’aie pas trop de morts. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 40 – Notes sur la Grivotte)
Un bon bourgeois, aux sentiments plutôt tendres. (Ibid. Fo 53 – Notes sur M. Vigneron)
Je ne veux pas d’un intrigant, mais plutôt d’un homme moyen, qui croit sans croire. – (Ibid. Fo 67 – Notes sur le docteur Bonamy)
Je puis faire que son mari soit à Cauterets. Mais il vaudrait peut-être mieux le laisser complètement à l’écart, à Paris, ou sur quelque plage plutôt, où elle va aller le rejoindre, à Trouville. (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Il marche un peu raidi, et il jette le pied gauche en dedans. Il le traîne plutôt, son pied frotte. (Ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
A certains compartiments, en dehors, se trouvent accrochée une pancarte, réservant le compartiment ; elle porte [un biffé] en un gros chiffre,
le nombre de malades, 9 rarement, 8, et plutôt 5 ou 4. (Ibid. Fos 180-181 – Notes sur le Départ de Paris)
On laisse les malades se grouper comme ils l’entendent, ou plutôt les
dames hospitalières [en interligne : ou les sœurs ] s’organisent pour retenir un ou plusieurs compartiments. (Ibid. Fos 183-184 – Notes sur le Départ de Paris)
Travail (1901)
J’ai plutôt envie d’en faire un vieux médecin, qui fait de grands travaux (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 359/12)
Elle peut être assez affinée, voir à la créer, et peut-être, la femme d’un jeune contremaître de l’usine. Non, plutôt d’un ouvrier (Ibid., f° 360/13)
J’ai dit que je prendrai deux frères, ou peut-être plutôt deux cousins (Ibid., f° 364/17) \\Le faire marié à une brave femme, ou plutôt non, marié à une femme terrible qui le bouscule de son côté (Ibid., f° 365/18)
POÉSIE / POÈTE (POÈME)
(genre ou type de texte oral ou imprimé)
Le Ventre de Paris (1873)
Un type de liquoriste mouchard sera suffisant dans le poème du Ventre.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 78)
Poète, illuminé, il vient à la barricade sans arme, au nom du droit (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°200)
Nana (1880)
Nana, l’idole centrale, une chienne qui n’est pas en folie et qui se moque. – Le poème des désirs du mâle. (NAF Ms. 10313, Nana. F°1- Plan)
Cela sera grand. Le poème du c. qui a servi au plaisir, et qui redevient générateur. (Ibid. F°162).
Il faut que le livre soit le poème du cul, et la moralité sera le cul faisant tout tourner. (NAF Ms. 10313, Nana. F°193- Personnages).
Le poème des désirs du mâle, le grand levier qui remue le monde. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche).
Au bonheur des dames (1883)
Je veux dans Au Bonheur des Dames faire le poème de l’activité moderne (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 2) \\Là apparaît le côté poème du livre (Ibid., fº 4) \\Le poème de l’activité moderne (Ibid., Plan, f° 30)
La Terre (1887)
Je veux faire le poème vivant de la terre (MS NAF 10.328 La Terre. f° 400/ 1 – Ebauche) Tout cela tel qu’il peut le dire peu poétique, en quelques mots (MS NAF 10329 La Terre F° 11 – Personnages, Jean Macquart)
Le Rêve (1888)
La poésie de cette fiancée sous le coup de la mort ; et elle le sait (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 304/87) \\La poésie de cette fiancée sous le coup de la mort (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 192)
Travail (1901)
Son rêve de poète conquis, et dès lors un flot de larmes le baignant, montrer le fond de poésie noire qu’il y a au fond de l’anarchie (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 391/44) \\Un poète exaspéré par l’injuste travail (Ibid., f° 391/44)
POIGNANT
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Mêler les personnages épisodiques à cet [sic] drame qu’il faudra rendre aussi poignant que possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 4)
Maintenant, le tout sera de trouver avec ces quelques personnages un drame assez poignant et une mise en scène assez intéressante. (Ibid., f° 15)
Le Rêve (1888)
Sa lutte est contre son cœur (…) la faire très poignante (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 272/55) \\Quelque chose de poignant et de grand, au bout de quoi est la mort (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 149)
Très poignant (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 154)
Lourdes (1894)
Un amas extraordinaire de souffrances, tout le poignant que je pourrais inventer, avec le roulement continu du train. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°69)
Mme Maze offre du lait et des fruits à Rose. Mais celle-ci ne peut manger. Très poignant. (Ibid. F°125)
Et les malades, mes épisodes avec la petite [M biffé] Rose qu’on sort de l’eau (…), très poi- \\gnant. (Ibid. F°s261-262)
Désespoir de la mère, qui la [Rose] berce. Trouver le poignant de cela. (Ibid. F°369)
Et, comme [elle biffé] le jour naît, elle [Mme Vincent] échoue à la Grotte, elle s’agenouille, elle tend son enfant à [M biffé] la Vierge, dans une exaltation de la guérir. Faire cela en paroles, très poignant. (Ibid. F°373)
Alors, faire mourir l’enfant pendant la messe, sous la pluie, ou ailleurs, et dans un autre moment. Choisir l’arrangement le plus poignant. (Ibid. F°379)
Il restera prêtre, la poignante tristesse de cela. (Ibid. F°547)
Donc, c’est fini, il [Pierre] restera prêtre : la poignante tristesse de cela – (Ibid. F°551)
L’image de la souffrance dans l’enfant. En faire quelque chose d’inoubliable et de très [lettres biffées] poignant. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 33 – Notes sur M. de Guersaint)
Une figure de troisième plan, mais qu’il faut faire typique et poignante. (Ibid. Fo 46 – Notes sur Mme Vêtu)
Faire tout cela très bonhomme et d’une cruauté tranquille et poignante. (Ibid. Fo 58 – Notes sur Gustave Vigneron)
POINT/ POINT DE VUE /POINT DE DÉPART
Le Ventre de Paris (1873)
Lisa devant la famille, même point. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 88)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Il faut les étudier de ce point de vue. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 17)
Nana (1880)
Muffat reprend Nana, voilà le point central. (NAF Ms. 10313, Nana. F°95- Plan).
Voilà le point de départ. (NAF Ms. 10313, Nana. F°192- Personnages).
Le point sur lequel j’insisterai, c’est que dès que son mari se met avec Nana, elle [Sabine] s’émancipe davantage (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°232- Ebauche).
La Terre (1887)
– Un combat simple, instinctif au village, jusqu’à ce point que Lise apprenant la mort de Françoise dit : Tant mieux ! (MS NAF 10329 La Terre F° 53 – Personnages, Françoise Fouan)
Le Rêve (1888)
Une chapelle (…) mais je la mettrai sans doute dans la cour du château , je n’en ferai pas un point central, pour éviter la religion (MS NAF 10323 Le Rêve, Ebauche, f° 309/92).
La puberté qui arrive avec ses seize ans (femme très femme, toucher ce point délicatement) (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 56)
enfant de seize ans, pubère (toucher délicatement le point physiologique) (Ibid., Premier plan du chapitre IV, f° 63)
Ne pas insister trop, car le point faible est l’invraisemblance de l’incognito qu’il peut garder : les Hubert devraient savoir qui il est (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 89)
Il revient décidé à l’adoption. Voir le point de droit (Ibid., Personnages, f° 214)
Lourdes (1894)
Dire pourquoi, régler le bilan du siècle au point de vue de la foi et de l’idée religieuse. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°62)
Mais moi, si je veux rétablir la vérité, je n’ai qu’à reprendre l’affaire, l’enquête, au point où elle a été abandonnée. – (Ibid. F°65)
Derrière tout cela ; même, se placer par la pensée au Calvaire, et tout voir de haut. Enfin, à tous les points de vue. (Ibid. F°359)
La nuit que Marie passe devant la Grotte. C’est le cadre, le point central. (Ibid. F°375)
Et (…) Pierre se rappelle le prosnostic de Beauclair (…) qui se réalise de point en point. (Ibid. F°439)
Mais le [Pierre] laisser très ému dans sa tendresse pour Bernadette, au point de vue humain. (Ibid. F°474)
Pierre est très ému, dans sa tendresse pour Bernadette, au point de vue humain. (Ibid. F°481)
Travail (1901)
Et cette femme qu’il veut sauver, c’est le point de départ de tout son apostolat (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 360/13)
Je peux très bien faire que la grossesse de Josine soit le point déterminant de la querelle (Ibid., F°407)
Le point aigu de la bataille, où l’on en est (Ibid., F°410)
Peut-être puis-je me contenter de cela comme point aigu (Ibid., F°429)
La crise affreuse, le point où l’on en est de la lutte entre le salariat et le capital (Ibid., F°432)
Il y a encore un point à régler. C’est le lien qui unit Suzanne à Luc (Ibid., F°439)
POINTE
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Je la ferai blonde, pas trop grande, l’air d’une bohémienne endimanchée dans la 1ère partie, sauvage, avec une pointe de mystérieux. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 7)
Nana (1880)
[Fauchery] C’est l’homme aux toquades. Il fait volontiers des pointes dans le vice d’en bas. (NAF Ms. 10313, Nana. F°174- Personnages).
Mais lui fait volontiers des pointes dans le vice d’en bas. (NAF Ms. 10313, Nana. F°235- Ebauche).
POISSON
Ouvrier ébéniste puis sergent de ville et mari de Virginie dans L’Assommoir.
Nana (1880)
Poisson (NAF Ms. 10313, Nana. F°250 verso- Notes)
POISSON (Virginie)
Mariée à un sergent de ville et maîtresse de Lantier (L’Assommoir).
Nana (1880)
Virginie (NAF Ms. 10313, Nana. F°250 verso- Notes)
POISSONNIÈRE
(voir aussi TYPE)
Le Ventre de Paris (1873)
La Normande a 24 ans. Sa mère, le type de la vieille poissonnière vit encore. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ébauche., f° 98)
POLÉMIQUE
Lourdes (1894)
Le rôle de Napoléon III. Impassible, muet, il suivait la polémique, regardait osciller la bataille, attendant que la conscience publique en dictât sa décision. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)
POMIAN (abbé)
Abbé qui a préparé Bernadette Soubirous à la première communion.
Lourdes (1894)
Ne sait pas encore bien lire, va suivre le catéchisme de l’abbé Pommyan [sic], ne connaît pas le curé Peyramale. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°206)
Puis, du monde rencontré, un prêtre qui a connu Bernadette, l’abbé Pommyan [sic] sans doute, ou le curé de Bartrès (non, il est mort). (Ibid. F°392)
L’abbé Pomian [en interligne : Pommyan] faisait le catéchisme. Le 3e jour des quinze, il l’appela ; et il [f biffé] voit la chétive, peu instruite en religion. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 235 – Notes sur H. Lasserre)
PONCIF
Lourdes (1894)
Mais ne pas oublier que je ne veux pas l’Italie poncive, la Rome cossue : je veux une Rome actuelle, avec son modernisme hurlant au milieu de son antiquité, avec son petit peuple actuel et ses bourgeois modernes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°8)
POPULAIRE / IMPOPULAIRE
Lourdes (1894)
Emotion populaire, voilà la Sainte, voilà la Sainte. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
On enclot la G. On défend de prendre
de l’eau. (Impopulaire, un peu odieux. (…)) (Ibid. Fos 224-225 – Notes sur H. Lasserre)
Emotion populaire. [en interligne : Voilà la Sainte ! Voilà la Sainte !] (Ibid. Fo 241 – Notes sur H. Lasserre)
On enclôt la grotte. On dresse des procès verbaux. (Tout cela impopulaire évidemment, un peu odieux. (…) (Ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
PORTER
Travail (1901)
Une mère neuve pour lui. Et tout est là . Faire porter toute la femme, tout l’amour sur la maternité (F°408)
PORTRAIT
Elément incontournable de toute mise en fiction d’un personnage, le portrait désigne à la fois une « forme fixe de la prose » (G.Lanson), donc quelque chose à faire rapidement pour « poser » à un moment du récit (début du roman, première apparition) un personnage, une tranche descriptive souvent à déléguer aux regards d’un autre personnage, et un renvoi au dossier « Personnages » du dossier préparatoire où sont déjà préparés et en attente des éléments descriptifs du physique et du moral du personnage.
Bibliographie : Gustave Lanson : L’art de la prose (1905-1907 Paris, Nizet,1908)
La Curée (1872)
Aucun portrait définitif des personnages (MS NAF 10 282, La Curée, f°212). – Le portrait définitif de Renée (MS NAF 10 282, La Curée, f°216). – Dans ce chap. portrait définitif d’Arstide et de Renée (MS NAF 10 282, La Curée, f°217). – Portrait définitif de Maxime (MS NAF 10 282, La Curée, f°223).
Le Ventre de Paris (1873)
Et c’est ce beau projet qui l’a fait leur ami. Quand Florent le plaisante sur Cadine : « Moi! ah! non, il [m’en] ne me faut pas de femme. » Il est timide. Le poser pour le type futur, selon le portrait de C… (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 112)
La Conquête de Plassans (1874)
Le maire, un type, le portrait de R. puis deux ou trois autres que j’arrêterai (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°23)
Portrait de Marthe. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 10)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
3e portrait d’Albine. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 22) / : Albine est là seule, ne rien faisant [sic] (Elle est devenue plus grave, son autre portrait indiqué, Serge ne la reconnaîtra pas, il aura un sourire, dira : Oui oui, c’est vous. (Ibid., Le Paradou, f° 61)
Ici un portrait de Serge et d’Albine, tels qu’ils doivent habiter le jardin. (Ibid., f° 62)
Nana (1880)
Bordenave posant Nana (voir le portrait [de] Nana (NAF Ms. 10313, Nana. F°12- Plan)
Pasquier court portrait (Ibid. F°14)
Théophile Venot, à l’autre coin de la cheminée, frileux, son portrait, de grands égards. (Ibid. F°25)
Voir les portraits (Ibid. F°48)
Venot. (voir le portrait). (Ibid. F°58)
voir le portrait de Daguenet. Le poser. (Ibid. F°68)
Un jour Satin la mène chez madame Robert qui n’est pas là; un portrait d’elle (…). (Ibid. F°80)
Salon politique. Gaga redevenue dégoûtante. Lucy avec Plom. Chasse à courre. Portrait (Ibid. F°142).
[Gaga] Portrait physique (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°177- Personnages)
[Caroline Héquet] Son portrait physique. (Ibid. F°178)
[Madame Hugon] Son portrait. (Ibid. F°179)
[Madame Lerat] Se reporter pour le portrait physique et pour le caractère à L’Assommoir. (Ibid. F°183).
Au bonheur des dames (1883)
(Voir le portrait [de Baudu]) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, Plan, f° 33) Poser tout ce monde en recourant aux portraits (Ibid., fº 34)
Le Rêve (1888)
Son portrait à elle, bras nus (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 293/76)
Portrait d’Angélique jeune fille absolument (Personnage) (MS NAF 10323, Le Rêve f° 50. f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche)
(…) Relire les portraits des deux Hubert (Ibid., f° 51)
L’enfant serrée contre le pilastre de Saint /sic/ Agnès. Le jour naît, portrait de l’enfant (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 4)
(…) Première apparition d’Hubertine ouvrant sa fenêtre (…) son portrait, superbe, statue, en déshabillé, brune à peau blanche (Ibid., f° 5)
(…) Je reviendrai sur les modifications de la baie du rez-de-chaussée en y faisant paraître Hubert (…) Portrait d’Hubert (Ibid.,, f° 6)
(…) second portrait / d’Angélique/, méchant (Ibid., f° 8)
Son portrait enfant (…) Pourquoi les Hubert la ramassent. Les poser physiquement, leur portrait physique et moral (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, premier Plan détaillé du Chapitre I, f° 11) ; Portrait d’Angélique enfant (Personnages). Portraits d’Hubert et d’Hubertine (Personnages) (Ibid., f° 13) )
(…) Cela me donne l’histoire des Hubert . Au portrait d’Hubertine (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 18).
(…) Un portrait d’elle à 14 ans (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 22).
Un portrait à la fin d’Angélique (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
(…) L’Histoire des Hubert (au portrait d’Hubertine) (Ibid., f° 36)
portrait d’Angélique jeune fille, absolument (Personnages) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
Relire les portraits des deux Hubert (Ibid., premier plan du chapitre III f° 51)
Là le portrait de Félicien matérialisé (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 61)
Là le portrait de Félicien, matérialisé (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
Pas de portrait encore de Félicien. Une ombre. Le portrait au chap.suivant . Un portrait du duc (Voir aux personnages) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Son portrait à elle bras nus. Son portrait à lui (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 74)
Portrait de Félicien (personnages) (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 77)
C’est la première fois qu’on voit monseigneur. Son portrait (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Il est tout à l’amour, voir son portrait, l’artiste qui est en lui. Son histoire peut arriver là (Ibid., plan du chapitre IX, f° 118)
Enfin Monseigneur arrive. Son portrait revient (Ibid., deuxième plan du chapitre X, f° 132)
Là le portrait du duc de Hautecoeur revient (aux personnages). Le reprendre (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)
Portrait de Claire de Voincourt (Personnages) (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 153)
Faire là son portrait de malade en détail en reprenant son portrait de jeune fille (Ibid., deuxième plan du chapitre XII , f° 158)
portrait d’Angélique malade, émaciée. Un Memling. Reprendre son portrait de jeune fille (personnages) et le pâlir (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)
Angélique et Félicien, portraits (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 187)
Lourdes (1894)
Quand Marie s’est recouchée, son portrait physique (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°122)
Puis, poser aussi Pierre et M. de Guersaint [en interligne : costumes, bagages]. Portraits physiques. (Ibid. F°123)
Puis, poser sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière. (…) Portraits physiques. (Ibid. F°123)
Je mets au milieu Marie, M. de Guersaint et Pierre. (…) Je les pose tous les trois : portraits physiques (…). (Ibid. F°132)
Simplement les histoires nécessaires et les portraits physiques. (Ibid. F°136)
Et dès lors l’idylle heureuse. Lui a seize ans. Marie en a 10. Son beau portrait à elle. (…) Et il la regarde, (mais garder le portrait lamentable pour plus tard). (Ibid. F°147)
Son portrait serait bon ici [Pierre]. Le prendre au personnage. (Ibid. F°148)
Son père se réveillant en lui. Le portrait repris sans doute dans le début, le père l’emportant. (Ibid. F°150)
La souffrance reviendra avec tout le wagon, quand il [Pierre] reverra Marie, dernier portrait. (Ibid. F°151)
Et Marie dès lors dans sa gouttière. C’est là que je voudrais un dernier portrait d’elle, en opposition avec son portrait de belle enfant. (Ibid. F°152)
Il [le père Massias] arrive, son portrait physique. (Ibid. F°172)
(…) Mme Volmar, que je mets en somnambule (…) : portrait physique (…). (Ibid. F°176)
Portrait du petit Gustave (éb. 37). (Ibid. F°182)
Une miraculée [Sophie Couteau], une enfant l’air modeste et pur : ça l’intéresse [Pierre]. [Avec biffé] Portrait physique développé. (Ibid. F°183)
Si je fais monter Sophie Couteau, seulement au début de ce chapitre, je l’installe tout de suite, et je donne son portrait physique. (Ibid. F°192)
Là un portrait complet de Bernadette, telle qu’elle était au moment des apparitions. (Ibid. F°208)
Puis, je montre le baron Suire qui se démène (…). Berthaud et Gérard de Peyrelongue (…). Les portraits à tous les trois. (Ibid. F°225)
Je reprends le portrait de Chassaigne. (Ibid. F°258)
Sur Bernadette et Appoline deux filles du pays, portraits comparaison. (…) Portrait d’Appoline qui sourit complaisamment. (Ibid. F°315)
Et le portrait qu’il [Chassaigne] fait d’elle [Bernadette], ce qu’il en pensait alors. (…) Le portrait qu’il en fait, sa véracité, sa dignité (…) \\. (Ibid. F°s385-386)
Il [Chassaigne] a connu Peyramale, le portrait qu’il en fait, très droit, un peu emporté et dominateur. (Ibid. F°387)
Pourtant, garder, je crois son portrait, pour le moment où elle [Marie] est arrivée devant la Grotte. (Ibid. F°432)
Et là tout de suite, portrait de Marie, son air divin, son extase qui continue. (Ibid. F°433)
Mme Maze rayonnante,
rajeunie, reprendre son portrait en beau. (Ibid. F°s516-517)
Un portrait physique même (…) la face s’est un peu allongée, et décrire le reste d’après la photographie. – (…)
Ses beaux yeux de visionnaire, garder cela pour le portrait. (Ibid. F°s572-573)
Mettre, dans l’évocation par Pierre, le portrait physique de [Jacques biffé] Guillaume. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 19 – Notes sur Guillaume Froment)
Grand et svelte, le portrait de sa fille (…). (Ibid. Fo 28 – Notes sur M. de Guersaint)
Tout le portrait de sa mère, en plus petit et en plus jaune. (Ibid. Fo 73 – Notes sur Raymonde de Jonquière)
Portrait [du P biffé] du curé Peyramale (53). (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de Bernadette en extase (…) – (Ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de Mgr Laurence. (Ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de l’abbé Peyramale (53). (Ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de Mgr Laurence. (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de M. le baron [de biffé] Massy – (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
POSER / POSEUR
Voir aussi : décrire
Le Ventre de Paris (1873)
Le poser pour le type futur, selon le portrait de C… (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 112)
La Conquête de Plassans (1874)
Poser la mère qui se met tout de suite à son ouvrage de servante, quand il s’agit de faire le lit (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F° 5)
Poser l’évêque également (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F° 5)
Poser les femmes (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)
A cette fin de chapitre tous les personnages doivent être posés. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)
Là, poser Marthe plus completement, toujours avec des faits. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Dans cette première partie, j’y pose également les personnages secondaires. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 2)
Je le pose dans la première partie. (Ibid., f° 8)
Nana (1880)
Poser que c’est une 1ère représentation importante.
Poser que Juillerat est avec Amy (amant de cœur)
Il faut avant tout poser Nana (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°6- Plan)
Cartier, Juillerat, la Faloise font un groupe, et posent Nana. (Ibid. F°8)
Poser brièvement le comte et la comtesse, puis le Marquis.
Troisième Acte. Bien poser Nana comme nudité (Ibid. F°9)
Poser aussi Ar. Labordette qui n’est avec aucune fille et qui [ill.] est avec toutes. Poser Caroline Hequet et sa mère.
Georges Hugon est dans la salle. Le poser en chérubin.
Dans ce chapitre ne donner que des indications rapides, suffisantes pour poser les personnages.
Bien poser Nana comme nudité. Un grand rut dans la salle. Bordenave posant Nana (voir le portrait [de] Nana (Ibid. F°12)
Poser Muffat comme Chambellan de l’impératrice. (Ibid. F°13)
La chambre de Nana, vers dix heures. Zoé entre et pose la situation. (Ibid. F°14)
Je pose le passé, et l’enfant.
L’histoire de Zoé. la poser Mme Maloir. La poser. (Ibid. F°15)
Zoé à chaque visite pose le personnage, en en parlant à Mme Lerat et à madame Maloir, toutes deux veuves. (Ibid. F°16)
Nana consent à voir Fauchery. Poser qu’il couchera avec elle. (Ibid. F°17)
Ici je pose Zoé (C’est plus tard que Rose Mignon lui prendra Zoé.). (Ibid. F°19)
Je pose la maison de passe. (Ibid. F°22)
Poser le salon.
Poser ce monde.
L’amant de Sabine, le poser (Ibid. F°25)
Alors Fauchery me sert pour poser les Muffat.
il faut qu’il pose tout de suite Muffat, élevé par sa mère, dévot, digne (…). (Ibid. F°26)
poser Philippe, son autre fils.
Cependant Fauchery pose qu’il a promis à Nana d’inviter le comte. (Ibid. F°28)
Ce chapitre doit servir à poser le milieu Muffat
La cocotte et la cocodette. Poser le parallèle. Bien poser le milieu. Poser Estelle (Voir personnages)
Poser le milieu d’une cocodette, le monde mêlé du salon. (Ibid. F°30)
Zoé entrant et aidant à poser le tout
poser que Muffat ne viendra pas [et] contrariété de Nana, qui va se rejeter sur Steiner. (Ibid. F°37)
Poser Mignon ; bien montrer le côté popotte du ménage (…).
C’est là où il faut bien poser que Nana, dépité (sic) de ne pas avoir Muffat, se reporte sur Steiner. (Ibid. F°38)
Il faut là, pendant le repas achever de poser les femmes, surtout Caroline Hequet, Amy Stewart, Blanche de Sivry, Gaga. (Ibid. F°39-40)
Poser toutes les femmes (…). (Ibid. F°41)
Bien poser Labordette (important.)
C’est là que les femmes posent leur hist. (Ibid. F°44)
Je pose là le fils de Judic, dix ans, très gentil. (Ibid. F°46)
Prullière, Bosc, Fontan ; les poser, les faire arriver les uns après les autres.
Poser aussi Chouard dans la salle. – Clarisse et Simonne les costumes doivent servir à poser tout cela. – Poser aussi Satin que Nana a ramassé (sic) sur le trottoir.
Poser la fête de Fontan.
Poser Mignon et Fauchery (Ibid. F°48)
Poser les gens qu’on attend, les amis que Georges a invités pour se retrouver tous avec Nana.
Poser les Fondettes, près d’Orléans, une maison comme le Jas de Bouffan (…).
Poser la tête de Muffat, celle de Georges, l’attitude de la comtesse (où un changement s’opère) et ce qu’on fait d’Estelle.
Poser comment elle [Nana] est partie (…). (Ibid. F°57)
Poser tout ça avant et pendant l’excursion (Ibid. F°62)
Poser que la comtesse Sabine est partie. (Ibid. F°67)
voir le portrait de Daguenet. Le poser.
Là poser aussi l’article chronique de Fauchery, la Mouche d’or (…). Nana flattée, plutôt qu’irritée. On lui a dit que c’était elle. (Je poserai l’article, et je développerai plus loin, avec Muffat. (Ibid. F°68)
Nana doit poser tout cela dans une conversation osée avec Muffat, lorsqu’elle le console après lui avoir appris que sa femme le faisait cocu. (Ibid. F°73)
Alors, en fondant ces explication (sic), poser l’intérieur marital de Nana et de Fontan. (Ibid. F°79)
Intérieur de Madame Robert. Nana peut y aller avec Satin. Poser l’intérieur. (Ibid. F°85)
Poser tout de suite une scène de la pièce, entre des acteurs, avec les observations, les appels, le caractère de chacun. (Ibid. F°90)
Poser que Rose a reçu des propositions superbes des Folies. (Ibid. F°91)
Poser d’abord les lieux. (…). Poser largement les tribunes qui sont presque vides (…).
Philippe et Georges sont là descendus de voiture ; et c’est avec eux qu’elle pose tout de suite sa situation avec Muffat.
D’abord sur Vandeuvre, posant la course, les chevaux qui courent : Nana et l’autre. (Ibid. F°118)
Tout le morceau est pour poser Nana comme la reine.
Poser tous mes personnages secondaires.
Tout le morceau est pour poser ces dames, et pour faire peu à peu triompher Nana autour de laquelle on se presse. (Ibid. F°119)
C’est là qu’on peut poser le mariage de Daguenet. (Ibid. F°125)
Poser Sabine et Muffat recevant, tous les deux souriants. Et conversation de Steiner avec la Faloise, posant les faits. (Ibid. F°133)
Poser là, une première fois, Philippe et Georges la Faloise Foucarmont et Steiner. (Ibid. F°134).
Bien la poser, comme nudité, dans la première représentation (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°212- Ebauche)
Dans le premier chapitre, représentation, je poserai mes hommes avec mes femmes. (Ibid. F°220)
Chez l’homme mûr. Une réception. Pour poser les personnages. (Ibid. F°222)
Poser déjà le futur mariage de la fille. (Ibid. F°224)
J’ai dit qu’au début la rivalité se posait entre Nana et Rose Mignon. (Ibid. F°233)
Pour le type, poser l’intérieur. (Ibid. F°237).
Pot-Bouille (1882)
Jusqu’ici, je n’ai pas la grande ligne philosophique. Il me faudrait peut-être pour l’avoir prendre un ouvrier et le poser en comparaison (MS NAF 10321, Pot-Bouille, f° 386)
Au bonheur des dames (1883)
La lutte posée entre les deux commerces en conversation (MS NAF 10277, Au bonheur de dames, Ebauche, fº 25) \\Histoire d’Octave posée (Ibid., f° 25) \\Louise conduite chez les jeunes commerçants, où je pose le chef de rayon et le fabricant (Ibid., f° 25) \\Tous les personnages du magasin posés (pas encore les clientes) (Ibid., f° 25)/Poser tous les rayons soit par la venue d’Octave, soit par l’arrivée de Louise (Ibid., f° 25) \\Poser ses [à Octave] relations avec une maîtresse (IBID) \\Poser les Lhomme, les rayons femmes par Louise (IBID) \\Le rayon posé (IBID) \\La base du commerce posée (IBID) \\La tentation sur la femme, base posée, une scène dramatisée (IBID) \\Tout le petit commerce posé (Ibid., Plan, fº 32) \\Histoire d’Octave posée (IBID) \\Promenade d’Octave et d’Hervieu posant tous les rayons (IBID) \\Ne faire que poser les silhouettes (Plan, fº 33) \\Puis poser Baudu sur la porte de son magasin (IBID) \\En quelques mots, histoire [de Baudu] posée (Ibid., Plan, fº 33) \\Donner tous ces détails en posant la boutique (Ibid., Plan, fº 34) \\Poser tout ce monde en recourant aux portraits (IBID)
La Terre (1887)
Tout de suite, le paysan se pose rapace (MS NAF 10.328, La Terre, f° 400/1 – Ebauche)
Il a gardé quelque [sic] rentes, ce qu’il faut poser dès le début, trois ou quatre cents francs de rente et c’est ce qui le fera tuer plus tard (…) (Ibid., f° 439/40)
(…) Le braconnier (…)Toute la question sociale du paysan posé [sic]. (Ibid., f° 448/49)
(…) Hiver décembre 59.(…) III. Le mesurage par le géomètre. Chez la Grande, Fouan, son cadet. Description de tout le pays. Poser là toute l’histoire du chemin à faire. Chez les retraités, dans le jardin, la maison. Patoir et le chat des Charles. Un jour de Noël Tout le village le poser (Ibid., f° 499/1)
(…) 2 ans s’écoulent. Printemps 61 mai. I. – Si j’ai une histoire à la ferme, je puis la poser là avec Jean. La fermière prendrait la brute. Description de la grande culture. (Ibid., f° 500/2) Un passage, où sa physiologie de Macquart sera posée (MS NAF 10329 La Terre f° 5 – Personnages, Jean Macquart)
C’est une façon de les poser tous les deux (Ibid., F° 45 – Personnages, Hilarion Pégout)
Le Rêve (1888)
Pour que le rêve se réalise, il faut que
le rêve soit posé (…) Chez les Morin. Le milieu posé. Les Morin posés (…) Le rêve posé (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 234/18-235/19)
(…) Donc, pour justifier le titre très important : le Rêve posé au début, tel qu’il se réalisera à la fin, après le combat du milieu (Ibid., f° 244/28)
(…) Enfin poser son rêve de jeune fille pauvre (Ibid., f° 245/29)
(…) Voici la distribution de cet orgueil et de cette passion . Les poser dans le chapitre I. Au II et au III, l’éducation et le milieu corrigeant Angélique. Puis la passion qui croît pendant le IV, le V, et le VI (Ibid., f° s 284/67-285/68).
Et tout le milieu posé. Le quartier (MS NAF 10323, Plan, résumé du Plan du chapitre I, f° 2) ; Tout le rêve posé (Ibid., Plan, résumé du Plan du chapitre III, f° 2).
Cela doit me donner le quartier. Le poser simplement (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, premier Plan détaillé du Chapitre I, f° 10). \\Pourquoi les Hubert la ramassent. Les poser physiquement, leur portrait physique et moral (Ibid., f° 11) ; La ville posée (Ibid., f° 12) \\Poser Hautecoeur-le-château et Hautecoeur-la-ville, brièvement (Ibid., f° 13).
Poser d’abord Beaumont –l’église, nombre d’habitants (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 16). \\Tout de suite, poser les mauvais instincts chez Angélique (…) Bien poser déjà Hubertine (…) mais poser seulement, car la scène que je veux
entre Hubert et Hubertine résumant leur passé ne se trouvera qu’au chapitre suivant (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 24-25) \\(…) Bien poser déjà l’au-delà dans le milieu (…) Mais ne faire que poser, car cela s’élargit et prend son importance au IV (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 29) \\(…) Poser là ou au suivant la légende des Hautecoeur (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 31)
(…) Il faut, en somme, poser toute la maison, même le jardin, dire comment tout s’y distribue (Ibid., f° 37)
(…) L’histoire de Beaumont l’église doit être là pour poser le milieu cloîtré (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 38).
C’est là que je pose d’abord l’atelier, complètement (Ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
La scène du travail et le rêve de Angélique posé (Ibid., Premier Plan du chapitre III, f° 46)
j’ai posé Beaumont-L’Eglise au II. Reprendre donc et complèter (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Une description, pour poser simplement (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 56)
Un mot de tout ce que j’ai posé plus haut et ensuite tout sur l’église (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
Création de l’être attendu qui sort du néant, de l’ombre
de l’inconnu (que j’ai posé), pièce à pièce à l’aide des sens (Ibid., plan détaillé du chapitre IV, f° s 59-60)
Donc toutes les aumônes posées avec les noms (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 75)
Le travail posé (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 80)
Poser la question seulement pour la résoudre plus loin à l’arrivée de Félicien (non, les saintes ne sont pas fâchées) (Ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 94)
L’église est posée pour le mariage (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 113)
Tout le quartier, posé au II, revient avec la procession. Voir le plan (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 116)
Poser l’églantier (Ibid., plan du chapitre IX, f° 121)
Tout cela c’est pour bien poser la situation de mon évêque, que je mets en scène dans la seconde partie du chapitre (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 130)
Et l’évêque que j’ai posé plus haut, avec ses luttes (Ibid., f° 133)
La description, car elle n’a été que posée à l’extérieur. (…) La description de l’atelier revient là et au suivant (Ibid., premier plan du chapitre x, f° 140)
Mais tout de suite, je veux poser qu’elle va mourir et qu’elle le sait (Ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 186)
Lourdes (1894)
Je vois volontiers le frère de mon prêtre se posant tout de suite en révolté, en violent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Dans « Lourdes », je n’aurais qu’à poser le frère (…). (Ibid. F°19)
Ne faire que poser tout cela dans « Lourdes » de façon à reprendre le person- \\nage plus tard. (Ibid. F°s19-20 )
Plus tard
le premier médecin donne bien de nouveau un certificat, disant que l’enfant est guérie. Mais, alors, se pose la question : quel est ce médecin ? (Ibid. F°s46-47)
Et (…) mettre l’espoir, une lecture (…)
posant toute l’enfance de Bernadette, les apparitions et les miracles. (Ibid. F°s69-70 )
Je poserai le président [qu biffé] de l’Hospitalité du Salut. (Ibid. F°102)
Puis, poser aussi Pierre et M. de Guersaint [en interligne : costumes, bagages]. (Ibid. F°123)
Puis, poser sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière. (Ibid. F°123)
Et je donne alors une description [en interligne : Organis. des trains, éb. 205] de tout le wagon (…). (…) Un ensemble enfin, pour tout poser, sans les détails sur mes personnages, les malades, que je vais présenter un à un. (Ibid. F°124)
Il faut poser les Pères, les sœurs et les hospitalières. En conversation et en récit. (Ibid. F°126)
Et c’est pendant ce temps que, par-dessus la Grivotte assoupie, très malade (je la poserai complètement tout à l’heure) M. de Guersaint se met à causer avec M. Sabathier [en interligne : (ataxique éb. 64)]. (…)
Il a donné 50 fr. Son malade qui sera guéri. C’est une consolation. Il le pose. (Ibid. F°s126-127)
Elle [la Grivotte] se pose elle-même, et elle pose frère Isidore, qui est de l’autre côté, derrière Marie. (Ibid. F°127)
Je mets au milieu Marie, M. de Guersaint et Pierre. (…) Je les pose tous les trois : portraits physiques, conversation donnant les détails suffisants pour voir qui ils sont. (Ibid. F°132)
Poser en conversation l’histoire de la Grivotte. (Ibid. F°134)
Poser seulement M. Sabathier, garder sa foi et son analyse pour une scène dans l’hôpital, une fois à Lourdes. (Ibid. F°135)
Naturellement, garder Pierre et Marie au centre. C’est eux qui doivent tout mener, je les pose d’abord (…) – (Ibid. F°136)
Enfin, je voudrais, dans ce premier chapitre, poser tout le fonctionnement du pèlerinage. (Ibid. F°136)
Finir de poser le père [en interligne : névropathe, architecte mâtiné d’inventeur],
un intéressant profil, à son personnage (…). (Ibid. F°s151-152)
Première enfance de Pierre dans la petite maison de Neuilly, poser le vieux chimiste son père, sa dévote de mère et son frère à part : aussi loin que ses souvenirs remontent. (…) Ensuite le séminaire pour lui, poser [tout biffé] en germe tout le prêtre qu’il sera. (Ibid. F°156)
Du reste, poser là le départ des personnages. (Ibid. F°166)
Ferrand et sœur Saint-François posés physiquement, en quelques mots. (…) Et le poser ainsi que la sœur, le lien qu’il y a entre eux, leur histoire. – (Ibid. F°167)
C’est alors que Raymonde [en interligne : la poser] vient chercher sa mère qui lui avait donné rendez-vous au buffet (…). (Ibid. F°168)
Cela me donne le père, la mère, Mme Chaise, et le triste Gustave, si chétif. Les poser, indiquer leur histoire. (Ibid. F°169)
Et bien poser l’abbé [Judaine], cet honnête homme, ce croyant simple, (en opposition avec Pierre) – (Ibid. F°171)
L’arrêt à [Angers biffé] Poitiers, pour poser tout le train et surtout continuer la souffrance, en l’augmentant encore, en l’exaspérant. (Ibid. F°173)
La sœur Saint-François peut arriver avec un bouillon, ce qui la pose. (Ibid. F°173)
Je puis poser les Vigneron et madame Chaise, qui occupent un compartiment de seconde classe, à côté de mon wagon de troisième. (…) Occasion de poser tout ce groupe. (Ibid. F°174)
J’ai envie de ne mettre que Mme de la Jonquière avec sa fille Raymonde et Mme Volmar. Je les pose toutes les trois. (Ibid. F°176)
Pour Ferrand et sœur Hyacinthe, voir s’il ne suffirait pas de les poser là, et [d’uti biffé] de renvoyer toute leur idylle, les détails du passé, à l’hôpital. (Ibid. F°179)
On la [Sophie Couteau] connaît d’ailleurs, [en interligne : la poser, la petite guérie un miracle] madame de Jonquière et sœur Hyacinthe. Ne faire que poser cela (…). (Ibid. F°183)
Je les [les malades] pose à nouveau, et je tâche que Marie soit bien centrale. – (Ibid. F°185)
Tout le wagon posé, sans nommer personne. (Ibid. F°202)
Ensuite, j’ai les brancardiers. [en interligne : Insign. M.V. 104. Poser Des Hermoises, prêtres libres si nombreux qui viennent à L. comme pour une partie de plaisir] (Ibid. F°225)
Gérard et Raymonde, les poser en face l’un de l’autre. (Ibid. F°228)
On cherche M. de Guersaint, il est avec l’abbé Des Hermoises que j’ai posé, et le jour grandissant, tous deux admirent les montagnes. (Ibid. F°231)
Puis, [at biffé] se promenant de long en large, le père Fourcade et le père Massias, que je pose. (…) En outre j’ai les deux hospitaliers, [et biffé] Berthaud,
Gérard de Peyrelongue, que je pose. (…) Enfin, il y a aussi, sur le quai, madame Désagneaux, qui s’est levée à une heure indue pour recevoir ces dames. (…) Je la pose. (Ibid. F°s232-233)
D’abord poser l’Hôpital de N.-D.-des-Douleurs (…). (Ibid. F°243)
J’installe tout de suite (…) en bas M. Sabathier (avec sa femme) et le frère Isidore (avec sa sœur) dans la salle des ménages, que je pose. (Ibid. F°244)
Je ne fais que poser la Grotte, sans détail (…). (Ibid. F°247)
Je crois que le mieux est de commencer le chapitre par poser l’hôpital de Notre-Dame-des-Douleurs. (Ibid. F°249)
Puis je répète qu’avec Marie, en haut, au premier, dans la salle Sainte-Claire, je pose toute la salle (…). (Ibid. F°250)
Encore une fois tout cela n’est que pour poser l’hôpital et l’installation de la salle Sainte-Claire. (Ibid. F°251)
Une fois que j’aurai posé ces vingt cas, je les reprendrai aux endroits nécessaires, et ils me serviront toujours. (Ibid. F°252)
Je fais une description assez complète du paysage. Mais pourtant, je ne fais que poser la Grotte, sans grands détails. (Ibid. F°252)
Peut-être là les premiers pèlerinages du Père Picard. (…) Cela viendrait, en le posant, comme un maître homme. (Ibid. F°255)
Et enfin la lassitude, le doute sur la science, que je ne fais que poser pour les reprendre au chapitre suivant. (Ibid. F°260)
Elle [Marie] veut encore prier [deux biffé] une heure, pour être bien préparée [en interligne : poser Raymonde qui distribue du bouillon]. (Ibid. F°261)
Bien poser l’état d’âme de Pierre : il est arrivé avec le désir de croire, [le besoi biffé] l’idée qu’il va croire. (Ibid. F°266)
C’est cela que Pierre appelle le triomphe de la raison. Je l’ai posé pour la raison, il n’a que la soif de la contenter. (Ibid. F°275)
(…) tout de suite après avoir posé Chassaigne, j’ai ainsi les piscines. (Ibid. F°276)
Et, dans la salle de réunion poser tout de suite le personnel. (…) Raboin posé, le père Dargelès aussi, les pères de l’Immaculée Conception derrière lui. (Ibid. F°279)
Et un journaliste influent de Paris, tombé là, auquel Bonamy donne la représentation. (…) Très mielleux, très charmant : prendre au personnage, le poser, tout à fait. (Ibid. F°280)
Et j’ai ainsi tout un défilé de malades sans
conséquence (à prendre dans mes notes), qui m’aident à tout poser. – (Ibid. F°s280-281)
Je pose d’abord le bureau, je dis [que biffé] les personnes [du biffé] qui sont là, (…) surtout le père Dargelès, rédacteur [en interligne : en chef] du [«]Journal de la Grotte ». Je le pose, et je profite de l’occasion pour poser le père de la Grotte. (Ibid. F°289)
Poser tout de suite (…) que Pierre pourra proposer une histoire, une lecture, la continuation de la lecture du petit livre sur Bernadette, qu’il trouve sur la petite valise de Marie. – (Ibid. F°296)
Ne pas oublier de poser aussi l’abbé Peyramale, qui se développera à la fin de la troisième journée. (Ibid. F°301)
C’est un enfer que cette salle. La bien poser pour y développer la force de l’illusion, le besoin de mensonge, avec la lecture. (Ibid. F°308)
Il faut poser que Mme Volmar a disparu, devant Pierre. (Ibid. F°308)
Poser aussi, du côté de Pierre, les Vigneron : deux chambres, une pour Mme Chaise, l’autre pour le père et la mère Vigneron et le petit Gustave. (…)
Les Vigneron posés eux aussi par la même occasion, montrés peut-être. (Ibid. F°s311-312)
M. de Guersaint et Pierre sortent, entendent des voix chez les Vigneron : les poser encore s’il le faut. (Ibid. F°313)
Et je voudrais tout de suite poser Mme Volmar et son monsieur. (Ibid. F°318)
Et poser le père Vigneron, brave homme, mais désirant la mort de sa belle-sœur, madame Chaise, avant celle de son fils Gustave pour hériter. (…) Je poserai Majesté le maître de l’hôtel qui se plaint de la Grotte (…). (Ibid. F°320)
Le matin, il faut que je les [les Vigneron] ai déjà posés là-haut dans les chambres (…). (Ibid. F°325)
Et tout de suite poser que M. de Guersaint, par la servante de l’hôtel a su qu’il y avait un [loeu biffé] loueur moins cher que les autres, le frère du coiffeur Cazaban, place du Marcadal, dans la [pl biffé] ville haute. (Ibid. F°329)
Je ne fais que poser cet air de fête, sans détails. (Ibid. F°329)
Tout de suite poser que Raymonde va faire la conquête de Gérard. – (Ibid. F°330)
Poser tout ce qu’il sera nécessaire de l’Hospitalité. (Ibid. F°330)
Et sur la place du Marcadal, décrite : Cazaban, coiffeur. (…) Poser la maison, il est deux heures passées, et du monde mange encore, dans sa salle à manger. (Ibid. F°334)
Avant d’aller chez Cazaban, Pierre ou M. de Guersaint qui a une bouteille d’eau de Lourdes à envoyer, va chez les Pères, et [to biffé] les Pères posés, cette force cachée, [derri biffé] qu’on sent derrière. (Ibid. F°337)
[en interligne : Poser la belle nuit sans lune.] (Ibid. F°351)
Je songe que le mieux serait de ne pas entrer encore dans l’abri, de le poser seulement. (Ibid. F°360)
Pendant qu’elles [Marie et Mme Vincent] causent, Pierre peut entrer dans l’abri, et le visiter, le poser, si c’est nécessaire. (Ibid. F°361)
Poser je crois tout de suite la Grotte de l’extérieur, braisillant dans la nuit ; et dire que, d’un bout de l’année à l’autre, en toutes saisons, des cierges y brûlent. Puis poser le Gave qu’on entend, la fraîcheur qui en vient, la grande nuit que la [fr biffé] lumière des cierges rend plus noire. (…) Mme Maze, la poser (la lettre qu’elle a reçue) – (Ibid. F°366)
Poser qu’elle [Mme Vincent] ira à la Grotte. (Ibid. F°369)
Et poser là sans doute la Grotte tout entière, telle que je l’ai visitée, en y faisant entrer Pierre. (Ibid. F°375)
Ne poser que la route qu’ils [Pierre et Chassaigne] suivent. (…) Poser aussi qu’il est au courant de la lutte de croyance qui se passe chez Pierre. (Ibid. F°383)
Je pose le paysage, j’utilise les notes sur le Gave (207), que je fais revenir de temps à autre. (Ibid. F°384)
Puis, à côté, je pose toute la lutte du curé Peyramale et des Pères de la Grotte. (Ibid. F°394)
Je pose ainsi le V e chapitre de la quatrième partie, où j’aurai la grande opposition de la Grotte et de la Basilique triomphante, en face de la misérable chambre de Bernadette et de la ruine lamentable de l[a biffé]’église paroissiale. (Ibid. F°396)
Et je pose d’abord Marie, assise dans son lit dans l’attente, extasiée (…). (Ibid. F°401)
Alors, le commencement des litanies. Je ne fais d’abord que les poser. (…) Je pose la foule emballée par le voyage, par les cantiques, par les continuelles conversations sur les miracles. (Ibid. F°416)
Poser aussi frère Isidore, qui est à côté. On a pu l’amener. – (Ibid. F°418)
Mais cette fois, je fais monter en chaire le père Massias. Poser son personnage définitivement (le prendre aux personn.). (Ibid. F°419)
Je l’ai [frère Isidore] posé près des Sabathier, j’y reviens. (Ibid. F°420)
Poser là la foule dont je me servirai dans les deux chapitres suivants. Ne pas l’exciter encore de trop, mais la poser prête à s’exciter. (…)
L’allumage de tout ce monde, le prêtre dans la chaire, les litanies : ne faire que poser et développer au chapitre [pr biffé] suivant. (Ibid. F°s427-428)
Poser la procession, dès le début du chapitre. (Ibid. F°432)
Le poser simple là, ce malaise, et l’analyser plus loin. (Ibid. F°455)
Enfin, il [le vicaire de la paroisse] s’en va, après que j’ai tout [passer biffé] posé. (Ibid. F°471)
Au V de la troisième partie, j’ai posé [to biffé] le départ de Bernadette et la lutte du curé Peyramale contre les Pères de la Grotte. (Ibid. F°479)
Ensuite à l’église en ruine, et alors l’opposition se pose avec la Basilique, tout à l’heure si étincelante de lumière,
si débordante de foule, emplie d’encens et de cantiques. (Ibid. F°s481-482)
La boutique est dans l’hôtel, nommer Appoline (poser les deux). (Ibid. F°491)
Je pose ici le type du cocher, qui me servira plus loin. (Ibid. F°493)
Je crois que je dois tout de suite, après avoir posé Appoline (…), faire procéder à un achat. (Ibid. F°498)
Résumer ça, à la fin dans Appoline, que j’ai posée au début du chapitre (…) – (Ibid. F°506)
Je poserai la gare d’abord, l’heure du départ du train, et en récit je reviendrai brièvement sur la Grotte. (Ibid. F°507)
Et, tout de suite, comme au chapitre de l’arrivée, je pose l’horloge avec l’heure 3h (40 minutes d’attente). (Ibid. F°510)
Je fais aussi arriver Ferrand, sœur Hyacinthe, sœur Saint-François, sœur Claire des Anges, ensemble. Je les pose près du [wagon biffé] fourgon (…) – (Ibid. F°514)
Dans le wagon, poser tout l’intérieur. On chante encore le Magnificat, à pleines voix, et c’est ce qui me permet de poser cet intérieur. (…) Je crois qu’il faut d’abord poser le wagon sans nommer les [pèlerins biffé] personnes. (Ibid. F°533)
Puis l’épisode de Mme Vincent. (…) Et son épisode doit se poser avec Marie, Pierre et M. de Guersaint. (Ibid. F°533)
Et là j’ai un retour dans le wagon pour commencer à poser que le retour n’est pas comme l’aller (…). (Ibid. F°535)
Tout est posé, et les [Marie et Pierre] voilà donc côte à côte sur la banquette, dans la nuit, dans le wagon qui roule. (Ibid. F°545)
Je le [Pierre] pose donc comme ayant échoué à croire, à retrouver la foi des simples (…) \\. (Ibid. F°s553-554)
Poser la fin, il fallait que Bernadette restât « le jardin fermé qui plaît tant aux regards de l’Epoux » . – (Ibid. F°579)
Que trouvera-t-on (Et « Rome » posé). (Ibid. F°588)
Des conversations, poser tous les personnages secondaires [en interligne : on cause de tous les trains qui roulent]. (Ibid. F°601)
Je pose mes deux brancardiers, ma dame hospitalière et sa fille (mariage qui s’ébauche[)]. (Ibid. F°602)
Poser la Grotte seulement. (Ibid. F°602)
Poser Boissarie, pères de la Grotte, personnel. (Ibid. F°602)
Des gens venus de Cauterets [en interligne : poser l’hôtelier et sa nièce]. – Poser ma famille bourgeoise, le père, la mère, le petit scrofuleux, et la tante – (Ibid. F°603)
Tous les pèlerins qui mangent et dehors [en interligne : poser le coiffeur]. (Ibid. F°603)
Puis la salle déjà posée. (Ibid. F°604)
Poser tout, et commencer l’exaltation. (Ibid. F°604)
C’est là le grand effet du personnage : le poser léger,
distrait, quoique pratiquant, artiste (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 29-30 – Notes sur M. de Guersaint)
Poser tout cela dans une première scène à l’hôtel, et [pl biffé] puis dénouer par le drame dans une autre scène, lorsque Mme Chaise meurt. (Ibid. Fo 55 – Notes sur M. Vigneron)
Correct, mais pas poseur. (Ibid. Fo 79 – Notes sur Berthaud)
Il est à la gare pour descendre les malades, avec d’autres camarades que je poserai. (Ibid. Fo 82 – Notes sur Gérard de Peyrelongue)
Travail (1901)
Toute une première partie pour poser le bourg tel qu’il est (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 353/6)
Livre premier, peinture noire de ce qui est,§§§ tous les personnages posés, tous les drames partiels mis en marche (Ibid., f° 374/27) \\J’y pose les autres conséquences du travail (Ibid., f° 392/45)
Dans le premier et le second chapitre il faut que tous les ouvriers soient posés (Ibid., f° 392/45)
Non, à la campagne, et poser la terre et les paysans (Ibid., f° 392/45) \\§§pour poser les deux ménages du capitaliste et de l’usinier, avec leurs drames respectifs, leur histoire (Ibid., f° 392/45)
Donc, dans mon premier livre poser aussi la campagne, les agriculteurs agonisant (Ibid., f° 401/54)
Mais il faut que toute l’évolution soit posée, que l’incendie ne soit que la catastrophe balayant les derniers détails (Ibid., f° 402/55)
mais cela surtout pour poser la campagne autour (Ibid., F°411)
Ce n’est que pour poser les rouages de la société actuelle et dire comme ces rouages se briseront (Ibid., F°415)
Comment il est là, le poser brièvement tout de suite (…) Les Jordan posés brièvement (…) la grève aussi posée (…) le haut-fourneau de la Crêcherie posé (Ibid., F°431)
je pose tout le commerce (Voir Yvonnot) ; et toujours par Luc qui passe (Ibid., F°432)
L’enfant saisi ramené à la boulangerie (que j’aurais posée plus haut, ainsi que la boucherie de Dacheux) (…) Tout Lange posé (…) Luc (…) ne pas le poser définitivement (Ibid., F°433)
Toute la crise ainsi posée (Ibid., F°434)
Mais il ne faudrait que les indiquer d’un trait, sans les poser entièrement (Ibid., F°435)
POSITION
Lourdes (1894)
Le médecin alors était l’incroyant et le jeune séminariste le croyant. Maintenant, la position est retournée – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°75)
Position de Lourdes, à l’entrée d’une impasse. La vie moderne butte contre les Pyrénées. (Ibid. F°509)
POSITIVISME
Lourdes (1894)
Après le [pos biffé] positivisme, la réaction fatale. L’homme ayant [sou biffé] le besoin de l’au-delà. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°41)
POSSIBLE
Voir aussi : Impossible ; Pouvoir ; tâcher de
Les expressions du genre « si possible » ou : « Le plus possible » sont intéressantes car elles marquent une difficulté de Zola soit à réfréner certaines de ses habitudes d’écriture (les longues descriptions notamment) soit à mettre en texte un certain nombre de « formes » ou de « thèmes » : les dialogues, les conversations en particulier.
La Conquête de Plassans (1874)
Les scènes se renouvellent, en trouver d’autres aussi typiques et dramatiser le sujet le plus possible en trouvant des péripéties (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 24)
La faute de l’abbé Mouret (1875)
Mêler les personnages épisodiques à cet [sic] drame qu’il faudra rendre aussi poignant que possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 4) / : Elle rappelle un peu ma Madeleine Férat ; mais je l’en éloignerai le plus possible. (Ibid., f° 7)
Eux sont des créations, des études physiologiques ; tandis que je prendrais les autres dans la vie ordinaire, en les haussant le moins possible. (Ibid., f° 9)
Je fais entrer la civilisation le moins possible. (Ibid., f° 14)
Mais, en somme je veux autant que possible effacer le monde clérical autour de mon personnage. (Ibid., Les personnages, f° 18-19)
Nana (1880)
« Elle retient madame Lerat, elle lui donnera l’argent, mais l’après-midi – « Il faut que je sorte, quelle corvée ! » répéter cela le plus possible. (NAF Ms. 10313, Nana. F°15- Paln)
La conversation a repris, Fauchery songe, et on lui donne quelques détails ; le plus court mais le plus complet possible. (Ibid. F°27)
Muffat veut se battre, mais le duel pas possible, ridicule. (Ibid. F°151).
La fille du boulevard sera une amie de Nana (…) ; jolie pourtant ; mais voyou au possible. (NAF Ms. 10313, Nana. F°220- Ebauche).
Alice Regnault, elle est dans la peine, c’est 5oo fr. Ou ce n’est pas possible, si elle est bien entretenue. (NAF Ms. 10313, Nana. F°254/3- Notes)
Le coup tiré avec l’amant sérieux une horreur. Elle l’évite le plus possible. (Ibid. F°263/12).
Au bonheur des dames (1883)
(…) car Pot-Bouille et les autres suffisent pour montrer les médiocrités et les avortements de l’existence (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, f° 3) \\Mettre beaucoup plus d’analyse que dans Pot-Bouille (Ibid., fº 14)
La Terre (1887)
(…) J’aurai [sic] voulu commencer par le partage chez le notaire, un chapitre discutant les conditions, et dans lequel il y aurait aussi le partage du champ par le géomètre. Cela est possible. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 423/24)
Le Rêve (1888)
Je voudrais encore cinq chapitres, ce qui est possible. Le dernier, le triomphe. L’avant-dernier, la venue de l’évêque avec l’extrême onction. Ce qui me fait trois pour la lutte (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 265/48)
(…) Donc asseoir le plus possible mes personnages, leur donner surtout un acte civil très solide (Ibid., f° 294/77)
(…) donner une grande place possible à la lutte psychologique (Ibid., f° 295/78) Pour ne pas avoir de paquet, je tacherai de mettre entre chaque masse de La Légende dorée, du récit, même des conversations s’il est possible, d’autres choses enfin (Ibid., Premier Plan détaillé du chapitre II, f° 35)
En conversation, le plus possible (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V f° 72)
Donc chercher à employer le plus possible les Hubert dans ce chapitre (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 90)
Le mensonge, la tromperie possible (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 124)
Une émotion pourtant, un frémissement faisant prévoir le dénouement possible (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
Félicien, peintre verrier, ouvrier primitif. Voir si l’on peut faire un rappel là. C’est le seul endroit possible (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)
Angélique a désiré recevoir l’extrême-onction par l’abbé Glorian. Rendre cela possible. (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
A arranger. Mêler la légende à l’extrême-onction, s’il est possible (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)
Lourdes (1894)
Cette acceptation de la vie n’est possible que pour une élite, et très peu nombreuse. Alors que devient l’énorme masse de l’humanité ? (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°12)
Enfants précédents, famille, entourage, influence possible, son histoire, son caractère, sa figure (…). (Ibid. F°30)
L’œuvre de Bernadette s’accomplit, et une Bernadette ne serait pas possible dans Lourdes. (Ibid. F°36)
C’est tout le débat de cette [Cela m’amène biffé] fin de siècle. Y a-t-il un compromis possible entre la science et la foi ? (Ibid. F°49)
Quel serait donc [cette croyance biffé] cette nécessité de l’illusion, ce besoin de l’au-delà qui jette [en biffé] toujours l’humanité en dehors du possible, de la nature fatale des choses. (Ibid. F°53)
Mettre aussi les hospitalières, une ou deux sœurs de l’Assomption, enfin tous les personnages possibles. (Ibid. F°69)
Dès lors, il a un intérêt, la conversion possible, la grâce qui reviendrait. Il n’est plus un témoin indifférent. (Ibid. F°83)
Toutes les combinaisons sont possibles, surtout si je marie ce frère, ou si je lui donne une maîtresse (…). (Ibid. F°85)
Le frère [Isidore] a un abcès du foie. Missionnaire. Son histoire. Sa maladie. Et sa sœur Marthe. Tout cela par-dessus Marie et Pierre, et les y mêler le plus possible. (Ibid. F°127)
Indiquer le plus tôt possible, je crois, l’organisation et le fonctionnement du pèlerinage (…). (Ibid. F°137)
Dès lors, le désir de la rançon, et comment elle élève Pierre [en interligne : le prêtre possible] pieusement. (…) [Illisible] prêtre possible. (Ibid. F°147)
Graduer toutes ces souffrances, pour
arriver à la plus grande intensité possible. (Ibid. F°s174-175)
Tous les exercices sont faits, les cantiques chantés ; et une lecture est possible. (Ibid. F°202)
A la fin, celui-ci [le Commandeur] incrédule, aura pourtant peur d’un miracle possible, par Judaine. (Ibid. F°230)
Enfin, faire agir tout le monde le plus possible. (Ibid. F°236)
Pourtant à la fin, il [le Commandeur] se méfie du miracle possible. (Ibid. F°239)
Sur les Annales de Lourdes (Médecins 29). Sur la suggestion non possible (id. 30). (Ibid. F°276)
Maintenant comment se trompe-t-on à Lourdes. Erreur possible des diagnostics, même de bonne foi. (Ibid. F°277)
Tout cela dans la plus grande émotion et dans la plus grande beauté possibles. (Ibid. F°380)
Toujours très délicat, très envolé, très mystique. En conversation le plus possible ? (Ibid. F°386)
Le chapitre n’est possible que si j’ai réservé tous les épisodes de mes malades. (Ibid. F°429)
Garder la [bon biffé] bousculade, mais pousser l’émotion jusqu’au plus violent effet possible. (Ibid. F°437)
Et la comparaison (…) qui va s’établir entre eux [Pierre et le père Massias]. Je voudrais de la conversation le plus possible. (Ibid. F°451)
Mais le plus tôt possible, je mets Appoline en conversation avec Des Hermoises. (Ibid. F°500)
Bernadette n’est plus possible, elle qui a tout fait. (Ibid. F°502)
Mme Dieulafay fait un signe pour qu’on la monte le plus tard possible (ou son mari), et elle reste sur le quai. (Ibid. F°516)
Ce qu’il souhaite, c’est le grand repos de la mort. Pourtant, il se méfie du miracle possible. (Ibid. F°s518-519)
Que sait-on ? Tout n’est-il pas possible, et le tranquille Bonamy – (Ibid. F°539)
Mais aussi le wagon revient, effet produit par la lecture, nommer seulement et le moins possible les personnages. (Ibid. F°580)
Le retour à la foi du douzième n’est pas possible. (Ibid. F°580)
Il faudrait avoir le courage d’opérer l’humanité brutalement. Mais est-ce possible (pour tout à l’heure) – (Ibid. F°582)
Ramener le plus possible Bernadette, l’identifier à l’humanité. (Ibid. F°589)
La science [en lui biffé] est restée si obscure, si pleine de surprise, que le miracle pour lui reste toujours possible. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 67 – Notes sur le docteur Bonamy)
Un bureau de visa pour les miracles possibles. (Ibid. Fo 70 – Notes sur Raboin)
Je le montrerai seulement comme une force sourde, en arrière, maître de l’affaire et en tirant tout le parti possible. – (Ibid. Fo 99– Notes sur le père Capdebarthe)
Cancer de l’estomac. – (…) Pas de guérison possible. – (Ibid. Fo 124 – Notes sur la maladie de Mme Vêtu)
Cautérisation [par biffé] à l’aide de la pâte de Dupuytrens, l’excision si elle est possible. (Ibid. Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
Suggestion possible dans les maladies indépendantes de toute lésion organique. (Ibid. Fo 161– Notes sur les Miracles)
Des guérisons sont possibles, selon moi, dans certaines névroses. – (Ibid. Fo 210 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Travail (1901)
Tout cela est possible (F°407)
Mais j’ai déjà beaucoup de personnages, et je crois qu’il faut me borner le plus possible (F°423)
Cela est délicat, mais possible (F°442)
Tout cela est possible (F°444)