Dictionnaire – Là-Lyrique

LÀ / LÀ DEDANS / DE LÀ

Voir aussi : ici.

Le Ventre de Paris (1873)

Devant la famille, elle est morale (…), puis l’abandonne le jour où elle se sent compromise par elle (Là est sans doute le drame à trouver.) (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 53)
Je l’étudierai dans ces trois cas, et je trouverai là l’intrigue et les personnages secondaires.( Ibid., f° 53)
Et c’est quand il est tout à fait bon, qu’elle lui fait commettre quelque grosse infamie. Là est le drame. (Ibid., f° 55)
Je mettrai là tout ce que je sais sur les cancans (Ibid., f° 60)
ce qui la compromet. Là mes cancans. (Ibid., f° 66)
Sa belle-sœur et sa nièce se réjouissent ; là, il faut un dénouement. ( Ibid., f° 75)
Et c’est là que Lebigre le fait pincer ( Ibid., f° 85)
C’est là où je la développe surtout. ( Ibid., f° 88)
Là peut-être la rivalité. ( Ibid., f° 91)
L’intrigue avec la Normande peut être là. ( Ibid., f° 98)

La Conquête de Plassans (1874)

De là, l’envoi du curé Bonnard, un terrible homme (… (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 20)
tout le drame naît de là ((MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche,F°23)
Il peut même y avoir là un joli fait (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°24)
enfin tous ses fils sont tendus là (Ibid. F°30)

Il suffit là de le montrer pauvre, et de faire comprendre quel appétit d’ambition est caché sous cette misère. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F˚ 5)
Là, poser Marthe plus completement, toujours avec des faits. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
Là, on peut mettre le voyage aux Tulettes, on voit Macquart (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIV F° 11)
Là, Faujas est tout-puissant (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXII F˚ 13)

Nana (1880)

[Vulcain] Il ne sait pas où est sa femme [Vénus]. Il la croyait là. (NAF Ms. 10313, Nana. F°4- Plan)
Quelques personne (sic) ça et là. (Ibid. F°6)
Ils croyent l’[Nana] avoir vue ici et là. (Ibid. F°8)
Bordenave qui est là peut leur crier un mot qui résume la situation. (Ibid. F°10)
Pour le théâtre, mettre là : le boulevard, la façade des Variétés, le quartier (…). (Ibid. F°13)
Puis madame Lerat doit aller chercher l’enfant dans un petit village près de Rambouillet ; on doit là 200 fr. (Ibid. F°14)
Les créanciers sont déjà là. (Ibid. F°15)
Arrivé là, je décris l’appartement à mesure que les visites arrivent. (Ibid. F°16)
Elle [Nana] a bien songé à écrire une autre lettre à Daguenet pour lui dire de venir ; mais madame Maloir n’est plus là (…). (Ibid. F°18)
Je pourrais montrer là Satin ; la veille elle aura voulu raccrocher Georges, qui n’aura pas voulu et se trouvera là, lorsque Georges arrivera. (Ibid. F°20)
Là, il faut que j’explique les Muffat, le mari, la femme et la fille, puis le marquis de Chouard, puis madame Hugon et ses deux fils. (Ibid. F°30)
C’est là où le dîner de Nana se recrutera parmi les hommes, d’oreille à oreille. (Ibid. F°30-1)
Il y a déjà là Daguenet et Georges (…). (Ibid. F°37)
C’est là où il faut bien poser que Nana, dépité (sic) de ne pas avoir Muffat, se reporte sur Steiner. (Ibid. F°38)
Il faut là, pendant le repas achever de poser les femmes, surtout Caroline Hequet, Amy Stewart, Blanche de Sivry, Gaga. (Ibid. F°39-40)
Là, on agite la question de savoir qui a payé. (Ibid. F°42)
C’est là où Nana prend définitivement Cartier à Rose Mignon.
D’ailleurs, tout (sic) les personnages sont là (…). (Ibid. F°43)
Je retrouverai ce Russe là.
C’est là que Amy Stewart traite Nana qui débute de dégoûtante.
C’est là que les femmes posent leur hist. (Ibid. F°44)
Monter a cheval comme Cora Pearl, le matin au bois; se lancer par là. (Ibid. F°45)
Je pose là le fils de Judic, dix ans, très gentil. (Ibid. F°46)
Rose est là. La situation, un peu tendue
C’est là que Clarisse envoie Simonne voir si ce n’est pas la Faloise qui lui envoie un billet sans signature. (Ibid. F°48)
Comme transition, amener le monde sur la scène et mettre là l’œil au rideau. (Ibid. F°49)
C’est là qu’il faut placer l’épisode de la Tricon, au lever du rideau (…).
(voir si Clarisse ne doit pas lui rapporter la réponse dans la loge, plus loin, lorsque Muffat est là ?). (Ibid. F°50)
Bordenave finit par dire oui, mais ça embête Satin, tous ces gens si bien, et à la fin elle plantera tout là, pour s’en aller avec un figurant (…). (Ibid. F°52)
C’est là où Satin dira à Nana qu’elle s’en fiche, et qu’elle filera avec son figurant. Chouard planté là comme Muffat. (Ibid. F°52-3)
Au départ, dans le couloir, bien peindre toutes les petites qui filent par là (…). (Ibid. F°53)
Pour le théâtre, mettre là : loge et buvette du concierge (…).
(C’est par là que Muffat emmènera Nana; les figurantes chieront aussi du poivre à leur entreteneur.). (Ibid. F°55)
Il faut absolument que Satin revienne là et prenne une certaine importance. (Ibid. F°56)
En septembre, jusque là Nana, n’a pas pu quitter le théâtre. (Ibid. F°57)
Et c’est là qu’elle trouve Bébé.
L’homme dévot est là aussi Téophile (sic) Venot. (Ibid. F°58)
Là il faut arriver à ceci. (Ibid. F°59)
Un soir comme il est là, toute une bande débarque chez Nana. (Ibid. F°59-60)
Théophile Venaut (sic) ayant l’air de pousser Muffat. Le grandir à partir de là. (Ibid. F°61)
C’est là que j’ai envie de mettre l’épisode de Philippe, le capitaine, venant pour faire une scène, et se laissant empaumer.
C’est là qu’elle finit par coucher avec le bébé. (Ibid. F°63)
Quand Nana est à la campagne, tous les hommes vont là, comme s’il y avait là une chienne en chaleur.
C’est là où il peut voir Estelle et où il se dessine comme roublard. (Ibid. F°64)
C’est là qu’il peut sembler jeter Muffat à Nana. (Ibid. F°66)
Ce soir-là, bien qu’elle [Nana] ne soit pas de la pièce, il [Muffat] sait qu’elle est là.
Rappel de la campagne, Georges est resté là-bas (Ibid. F°67)
Là l’épisode de Daguenet.
Là poser aussi l’article chronique de Fauchery, la Mouche d’or, qui vient d’en bas, qui se pose sur la m. et qui pourrit en haut.
D’abord, je crois sur la chronique de Fauchery, qui est là. (Ibid. F°68)
Voir si une lettre de Georges ne viendrait pas bien là (Ibid. F°69)
Nana nue se regardant, s’adorant, devant un miroir ; là ou plus loin. (Ibid. F°74)
Une vieille garce, dès qu’elle trouve une jolie débutante, la mène là, et toutes les grosses femmes lui font la cour. (Ibid. F°77)
On couche là. (Ibid. F°78)
A partir de là, la lune de miel se gâte.
Un jour Satin la mène chez madame Robert qui n’est pas là (…).
Nouvelle danse quand Nana rentre. Satin est là. (Ibid. F°80)
On trouve là Clarisse et Simonne.
Et là faire entendre qu’il désire le retour du petit, parce qu’il aurait le sac peut-être. (Ibid. F°81)
Madame Maloir serait là. (Ibid. F°82)
Labordette qui rencontre Nana lui donne d’excellents conseils. Prullière et Bosc jouent un rôle là-dedans. (Ibid. F°84)
L’enfant de Nana, là-dedans. Va-t-elle le voir.
Voir si l’on ne peut pas mettre là la rue Monnier. (Ibid. F°85)
Mettre là une marchande à la toilette chez laquelle Nana va vendre quelque chose. (Ibid. F°86)
Là elle est prise par (sic) une cocotte par un vieux beau (complication), qui la suit. (Ibid. F°89)
Puis brusquement le bruit se répand que Nana est là, et les commentaire (sic). (Ibid. F°91)
Rose inquiète de la disparition de Muffat lui apprend que Nana est là.
Là prendre Muffat. (Ibid. F°92)
Là peu à peu, à propos de Rose, Muffat en arrive à demander le rôle. (Ibid. F°93)
Il faut que le drame violent de Muffat reprenne là-dedans pour que le roman ne fléchisse pas au milieu. Chapitre IX. – Une répétition au théâtre. Nouer là un drame, une action.
C’est là pendant la répétition que Muffat vient et lui fait des propositions. (Ibid. F°95)
C’est là que Cartier peut venir offrir à Simonne Cabiroche de la lancer.
Là, mettre la scène le jour, l’aspect de la salle avec les housses. (Ibid. F°96)
XI. – Les Courses. – Tous les personnages, femmes et hommes ne reparaisse (sic) que là. Là elle nettoie Vendoeuvres, Bordenave sa 1ère victime.
Mabille le soir (c’est là qu’il surprend sa femme.). (Ibid. F°97)
Sentiments de Nana là-dedans.
La scène qu’elle lui fait plus loin, quand Georges et son frère seront là : Vous pouviez bien entrer. (Ibid. F°98)
Là l’épisode de Zizi revenant et s’acoquinant. (Ibid. F°99)
Il n’y a là que Muffat, la foi aux prises, crises de fièvre chaude.
Voir s’ils doivent tous être là. (Ibid. F°100)
Très forte, cette pièce-là (…). (Ibid. F°100 verso)
C’est là (ou au chap. suivant) que Nana voit l’ancienne fille devenue chiffonnière, et ivre morte. (Ibid. F°105)
XIII Voir si c’est là qu’il faudra faire accoucher Nana d’un enfant qui ne vit pas.
13 Voir si Muffat doit quitter sa place de chambellan, là ou plus loin. (Ibid. F°106)
C’est là que les g. doivent faire le pivot du chapitre.
Et c’est là qu’elle enlève Satin à Mme Robert. (…). Alors le g. en grand, la haine de l’homme, c’est par là qu’elle finit. (Ibid. F°107)
C’est là qu’il faudra faire escompter des billets de Muffat, par Francis.
Voir si l’épisode Satin doit être mis là. (Ibid. F°108)
Philippe et Georges sont là descendus de voiture ; et c’est avec eux qu’elle pose tout de suite sa situation avec Muffat.
Et là une première course. (Ibid. F°118)
Là la pelouse qui se garnit.
Des filles ça et là, Louise Violaine, Léa de Horn (…). (Ibid. F°119)
Les filles contre la grille ; en garder pour en mettre là : Tatan Néné et Maria Blond. (Ibid. F°121)
Et c’est là que je noue le drame de Vandeuvres. (Ibid. F°122)
C’est là où j’amènerai décidément tous les hommes.
Il faut que ça monte encore Louiset là-dedans que Nana soit reine, sous le regard de la Tricon. (Ibid. F°123)
Le bois avec le public ill.qui a dîné là. (Ibid. F°124)
C’est là qu’on peut poser le mariage de Daguenet. (Ibid. F°125)
J’ai bien envie de montrer là madame Robert, suivie par le Marquis, le raccrochant et l’emmenant dans un fiacre dépenaillé. (Ibid. F°126)
Alors, dès que Nana l’a planté là, Mignon le fait trouver avec sa femme. (Ibid. F°127)
Poser là, une première fois, Philippe et Georges la Faloise Foucarmont et Steiner. (Ibid. F°134)
L’ancien honneur qui est là brûle aux quatre coins. (Ibid. F°135)
C’est là que je pourrai montrer et faire agir le dévot, le personnage qui voudra gagner Muffat à la dévotion. (Ibid. F°136)
Elle a pleuré dans les bras de Philippe qui a volé la grenouille (ne pas le dire là, plus loin). (Ibid. F°140)
Eh bien ! puisqu’il n’est plus là, tu n’es plus jaloux.
Là peinture de Muffat. Son côté paternellement amoureux. (Ibid. F°141)
Voir si c’est là qu’il faut introduite Venot dans la maison. (Ibid. F°141-2)
Monter peu à peu, à partir de là. (Ibid. F°142)
Là, faire encore monter le sexe.
C’est là l’éclat.
Venot pourra venir pour le trouver là, à la suite de quelque chose chez la comtesse, une disparition, ou mieux. (Ibid. F°143)
Et Muffat tombant dans le salon, à genoux. Le calvaire s’achève là.
Mettre là la fin de la comtesse, du ménage Muffat.
Voir s’il faut mettre là ; « et il y trouva les (sic) même satisfaction.
Zoé est là.
Ils sont tous là. (Ibid. F°144)
Là Bordenave, mais un mot seulement. Fontan cité avec Prullière.
Elle s’en va coucher dans une (sic) hôtel, est prise de frisson, rencontre Mignon, se trouve mal, est ramenée par lui ; et de là Rose arrive, se réconcilie, la trouve très mal (…). (Ibid. F°154)
[Mignon] Ça l’ennuie que Rose reste là-haut, lui ne veut pas monter.
Fontan passe : il apprend que Nana est là-haut.
Depuis le matin, il est là. (Ibid. F°155)
Il y a là Rose Gaga, Léa de Horn les femmes et la venette Clarisse et Simonne. (Ibid. F°156)
Enfin, il n’y a plus là que Rose, Gaga et Lucy. (Ibid. F°157)
Voir si là on ne doit pas étaler ces ruines. Oui. (Ibid. F°159)
C’est le Russe du dîner, qui a été prévenu par Labordette, et qui l’a mise là. (Ibid. F°161)
Les uns accompagneront une femme et la laisseront monter, d’autres se trouveront là par hasard. (Ibid. F°162).

[Nana] C’est là que je l’ai laissée.
Je la reprendrai là, sans donner beaucoup de détails. (NAF Ms. 10313, Nana. F°191- Personnages).

Ce serait là, mes trois types principaux, l’ordure du vieux, l’amour profond de l’homme mûr, et le baisage aimable et facile de l’amant de cœur. (NAF Ms. 10313, Nana. F°210- Ebauche)
C’est là que je n’ai pas très clairement le drame. (Ibid. F°212-3)
Il me faut maintenant fourrer les autres filles et voir le rôle qu’elles peuvent jouer là dedans. (Ibid. F°213)
Une représentation et c’est là où je mets le prince derrière la toile, le théâtre avec les loges des actrices etc. (Ibid. F°222)
Voir si la campagne ne serait pas bien là. (Ibid. F°223)
Enfin le mariage fait, Daguenet épousant Estelle pour la retirer de là-dedans, un viveur disant que lui saura se conduire avec sa femme, qu’il n’ira pas ailleurs et qu’elle non plus. (Ibid. F°231)
Elle aura traversé le quartier latin, c’est là que Juillerat l’aura connue. Juillerat sera le cousin d’Hector de la Faloise. (Ibid. F°236)
[Chouard] Il est avec Amy Stewart au commencement ; mais il ne reste pas là. (Ibid. F°237).

C’est le bruit, l’étourdissement, l’impossibilité de tenir en place. Elle n’est bien que là où elle n’est pas. (NAF Ms. 10313, Nana. F°2141/1- Notes)
Demi-jour dans le salon. Réception dans le cabinet de toilette. Elle se tient là. (Ibid. F°256/5)
La figure, moins que le corps. La figure enseigne, si le corps répond à la figure, sa (sic) là. (Ibid. F°256/19)
Elle veut monter à cheval comme Cora Pearl, se lancer par là. (Ibid. F°259/8)
Des vieux s’acoquinant, en dehors du ménage, et donnant là leur (sic) derniers souffles – bestialité. (Ibid. F°265/25)
Voilà une jument qui a gagné. L’angle (sic) se débarbouille (sic) joliment là-dedans. (Ibid. F°293-4)
Débarbouiller, passer du cold-cream avec la main ou avec serviette – Là-dessus du blanc-gras avec une serviette.
Là-dessus poudre de riz, en évitant d’en mettre sur les pommette (sic). (Ibid. F°341).

Au bonheur des dames (1883)

Tout le roman est là, décidément (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fºs 10-11) \\Là apparaît le côté poème du livre (Ibid., f° 4) \\Trouver là des scènes simples et puissantes (Ibid., f° 11) \\(…) que ce mariage [de Denise avec Mouret] soit une conséquence et non un but. C’est là où est l’analyse (Ibid., f° 14) \\Elle [Louise – future Denise] descend chez un oncle petit boutiquier (…) Là, ces premiers temps (Ibid., f° 16) \\Octave la [Louise-Denise] rencontre, la fait rentrer. Et là, il veut coucher avec (…) (Ibid., f° 17) \\Là, projets d’Octave (Ibid., f° 23) \\VI Là, facilité du renvoi [de Denise] (Ibid., f° 26) \\Et là commencer l’histoire de l’expropriation (Ibid., f° 27) \\XIII Finir là le petit commerce écrasé (Ibid., f° 29) \\Incarner là tout le siècle matérialiste et phalanstérien (Ibid., Plan, fº30)

La Terre (1887)

C’est là que j’établirai la part du socialisme dans l’œuvre. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 402/3- Ebauche)
(…) Mais le sujet n’est pas là. Il est dans la Terre, encore un coup. (Ibid., f° 402/3)
(…)D’abord, il [Jean Macquart] la [Louise] traite en gamine ; puis, il plaisante librement, il la mène à la vache ; et comment elle se donne. Leur amour ardent. Leur intérêt n’est que là. (Ibid., f° 432/33) J’ai là toute l’histoire passionnelle nécessaire (MS NAF 10329 La Terre F° 6 – Personnages, Jean Macquart)
Et partir de là pour indiquer sa déchéance lente (Ibid., F° 15 – Personnages, Louis Fouan)
Et Buteau là-dedans sournois et brutal, les poussant l’une contre l’autre pour rire (Ibid., F° 53 – Personnages, Françoise Fouan)
Et les femmes là-dedans, une querelle par elles (Ibid., F° 90 – Personnages, Eugène Macqueron) \\Aucune croyance au fond, tous les péchés avec récidive ; mais les cérémonies suivies, et la querelle vient de là (Ibid., F° 100 – Personnages, L’abbé Godard)

Le Rêve (1888)

Tout cela tombant là dedans avec la jeune fille (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 222/6).
je voudrais bien que la mère de Hubertine fût enterrée par là pour avoir la tombe (Ibid., f° 250/34)
Et là, dans le petit jardin, Hubertine en arrivant à la prudence (Ibid., f° 264/47)
Me servir là des broderies que le jeune homme a commandé [sic] (Ibid., f° 270/53)

C’est là évidemment que je mettrai tout le passé d’Angélique (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, f° 12, premier Plan détaillé du Chapitre I)
Alors les premières années là dedans (Deuxième plan détaillé du chapitre II f° 17)
Et dire là combien Hubertine est la femme pour cette éducation (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 18).
(…) Alors les grandes divisions faites par moi de la légende (…) la légende
des Sept dormants et de Saint Clément. Là j’interromps la légende pour la 1ère communion (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20-21). \\Poser là ou au suivant la légende des Hautecoeur (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 31)
(…) C’est là que je mets la légende dorée intimement liée à l’instruction et à l’éducation d’Angélique (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33)
(…) Bien dire cela et lire absolument mes notes (Leg.dorée 4) (…) là ou plutôt au chapitre suivant (Leg.dorée 5) (Ibid.,, premier plan détaillé du chapitre II, f° 36)
(…) Je crois qu’il faudra mettre là un mot du duc de Hautecoeur et du château (Ibid., Premier plan du chapitre II, f° 36)
(…) Là, je ne voudrais pas avoir encore la description de l’église (Ibid., f° 37)
(…) L’histoire de Beaumont l’église doit être là pour poser le milieu cloîtré (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 38). \\C’est là que je pose d’abord l’atelier, complètement (Ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
(…) C’est là où je veux la prendre comme artiste (Ibid.F° 41)
et là il me faut donc reprendre le diable (Ibid., f° 42)
Et là je la mets gaie, bien portante (Ibid., f° 43)
Une soirée d’été, la fenêtre ouverte, le milieu là (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 47)
De là la petite dispute avec sa femme (…) Elle ne se sent pas pardonnée. Le dire là, il y aura eu une visite (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 48)
je ne sais si je dois pousser cette scène à fond ou plutôt la garder pour le milieu du livre (…) je crois qu’il faudrait la garder, et n’avoir là que l’entente instinctive d’Hubert et d’Angélique (Ibid., premier Plan du chapitre III, f° 49)
J’aimerais bien là mettre toute l’histoire de l’évêque, les Hautecoeur (…) mettre là les Hautecoeur a l’avantage de ne pas trop annoncer Félicien (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 51)
(Ibid., premier plan du chapitre III, f° 51)
Les légendes (…) Je voudrais même ne les avoir que là (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 53)
Puis, de là, retour de
souvenir au château (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° s 57-58)
son émotion, là ou plus haut (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Là le portrait de Félicien matérialisé (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 61)
Les légendes des châtelaines là seulement (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 62)
Là le portrait de Félicien, matérialisé (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
Je reviens là à la Légende dorée. D’abord pour le vitrail (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
C’est là que je reprends la description du château (Ibid., f° 68)
Prendre toute son histoire aux personnages et la résumer là (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
En tout cas garder pour là l’histoire des princes (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
La chapelle donnée où l’on ensevelit . La légende des mortes jeunes dans le bonheur. Leur corps est là ) (…) Mettre là l’hist. des armes (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 71)
Et là il l’aide à retourner les pièces et je veux qu’ils causent (Ibid., Plan détaillé du chapitre V, f° 74)
C’est là où elle s’enlève quelque chose du corps pour le donner. Voir les souliers et ses bas. Ou un foulard. (…) Et là le : je vous aime (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 76)
elle ne dit rien . Non cela à l’autre chapitre . Là rien que la fuite dans une peur véritable, la peur de l’amour (…) je ne puis raconter son histoire que lorsqu’il est connu au IX. Jusque là sa psychologie (la voir aux personnages) n’apparaît que dans son air et dans ses actes (Ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 77)
Les Hubert ne sont pas beaucoup employés là-dedans. Hubertine surtout (NAF MS 10323 premier plan du chapitre VI f° 89)
Lui, là ne se croit pas aimé (premier plan du chapitre VI f° 90)
Là au moins, à la fin, elle doit savoir qu’elle aime (premier plan du chapitre VI f° 91)
L’églantier qu’elle a planté, là ou plus loin (Ibid., premier plan du chapitre VI f° 92)
Je voudrais donc réveiller là la passion (premier plan du chapitre VII f° 102)
C’est là \\seulement que je rappelle la légende des Hautecoeur, tous ceux qui ont fait leurs dévotions à ses saints (deuxième plan détaillé du chapitre VIII f° s 105- 106)
La rentrée de la procession (…) Et là enfin la certitude sur
Félicien (deuxième plan détaillé du chapitre VIII f° s 108-109)
C’est là qu’Angélique aperçoit Félicien à côté de son père (Ibid., premier plan du chapitre VIII f° 111)
Et là Angélique ne reconnaissant pas nettement Félicien (…) Le public lui aussi ne doit apprendre que là qui est Félicien (premier plan du chapitre VIII f° 113.)
C’est Hubertine qui les lui montrera au chapitre suivant. Là elle n’est que joie (premier plan du chapitre VIII f° 114)
Voir s’il faut mettre là l’intérieur de l’église (…) Si je ne réservais pas la grande façade pour la fin, je pourrais la mettre là, à la rentrée de la procession (premier plan du chapitre VIII f° 116)
Il est tout à l’amour, voir son portrait, l’artiste qui est en lui. Son histoire peut arriver là (Ibid., plan du chapitre IX f° 118)
Et là peu à peu Angélique précipitée du rêve (Ibid., plan du chapitre IX f° 123)
C’est là le lien avec le chapitre suivant (Plan du chapitre IX, f° 124)
Là enfin l’histoire complète de Félicien (la prendre aux Personnages) (…) Je voudrais là, au X ou au XI, me resservir du livret (plan du chapitre IX, f° 125)
Angélique ne mettant pas l’orthographe. Son écriture personnelle, son ignorance (là ou plus loin). L’églantier qu’elle a planté, là ou plus loin (Ibid.,, f° 126)
Là, grand morceau développé me donnant tout l’évêque (…) Tout l’évêque (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 128)
Là la description de la chapelle (Eglise 12) romane que je n’ai pas encore eu ( Ibid., f° 131)
Il est pâle et là le flot de sang de la famille qu’elle a déjà remarqué (Ibid., f° 134).
Hubert est pour la grâce (Leg.dorée 5) Là ou au suivant (…) Là le portrait du duc de Hautecoeur revient (aux personnages). Le reprendre (premier plan du chapitre X, f° 139)
Si je dois faire mourir Angélique, laisser entendre que c’est là qu’elle viendra. La description revient là et au suivant (premier plan du chapitre X, f° 140)
Surtout appuyer sur cette idée qu’elle veut courir à Félicien, car c’est là que sera le débat (deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 144)
C’est là que je mettrais volontiers la grande scène entre eux (premier plan du chapitre XI, f° 155)
La légende est là (…) Faire là son portrait de malade en détail en reprenant son portrait de jeune fille (Ibid., deuxième plan du chapitre XII , f° 158)
C’est là aussi qu’il doit expliquer pourquoi elle l’a vu avec Claire (…) pourquoi il a laissé les choses aller jusque là (deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 159)
Donc faire revenir l’éducation avec la pudeur qui s’éveille sans doute, la broderie qui est là, etc. (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)

Donc l’éduca \\- tion et le milieu interviennent là (Ibid., premier plan du chapitre XII, f°s 167-168).
Félicien, peintre verrier, ouvrier primitif. Voir si l’on peut faire un rappel là. C’est le seul endroit possible (…) Je voudrais là, ou au chapitre suivant, le rappel des Vierges de la Légende dorée. Elles repasseraient (Ibid., f° 168)
La description de la chambre revient, là et au suivant (15 Maison) (…) la lutte du père et du fils , là ou à l’autre (premier plan du chapitre XII, f° 169)
Là je crois que je mettrai l’entrée de Monseigneur (…) là ou plus loin (deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f°171)
Et là je voudrais bien marquer le revirement chez Monseigneur (deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 174)
Et là tout le marquis (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)
Et mettre là, au matin, la fin des Hubert (deuxième plan du chapitre XIV, f° 184)
Et la façade de l’église là (église 6 à 10) (Ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 185)
Ai-je réservé la grande façade (Egl.6 à 10) pour être mise là comme un hosanna, un élancement final ? (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)

Lourdes (1894)

J’aurai là la peinture de tout le néo-catholicisme qu’on tente. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°5)
Et comment elle s’immole pour la religion, l’idée du devoir. (…) Là-dedans, je puis mettre une ironie saignante. (Ibid. F°6)
L’idée de charité n’est pas applicable, l’idée de justice emporte tout ; et ce sera là mon troisième livre, « Paris ». (Ibid. F°10)
Alors que devient l’énorme masse de l’humanité ? Là, il reste du besoin à contenter, immense. (…) La religion basée sur le surnaturel ; et la science démolit le surnaturel : là est la grosse difficulté. (Ibid. F°12)
Le peuple se détourne, il veut un idéal plus humain, une illusion plus immédiate. Toute ma conclusion dans « Rome » et dans « Paris » doit être là.– De là, le socialisme, le partage, c’est bien toujours un rêve. (Ibid. F°26)
Là arrive le pèlerinage national, charriant tout avec lui (…). Ceux qui ont la foi, ceux qui viennent par chic, ceux qui s’amusent, font un voyage aux Pyrénées, ceux même qui se donnent là un rendez-vous (…). (Ibid. F°36)
C’est là enfin ce que je voudrais surtout mettre dans mon œuvre, au premier plan, débordant tout. D’abord (…) le cri de la douleur. (Ibid. F°38)
Quand elle a touché le malheur de vivre, (…) elle a besoin de faire un appel à un pouvoir mystérieux qui peut tout pour [l’im biffé] le bonheur, même l’impossible. De là la croyance, le besoin du miracle. (Ibid. F°40)
Il veut un idéal plus humain, du bonheur sur cette terre, le partage des richesses, il a un besoin immense de justice : de là le socialisme actuel, les collectivistes, etc. (…). (Ibid. F°52)
Je répète que je veux au centre la souffrance humaine (…). C’est là tout le roman, la plus grande partie. (Ibid. F°55)
Ce sera difficile, mais la voie est là, je pense. (Ibid. F°59)
Il faut aussi que j’aie les procès verbaux du commissaire Jacomet, enfin tous les dossiers administratifs de l’époque. Ce n’est pas là où je trouverai la vérité. (Ibid. F°64)
Jeter la soutane (…). Il le ferait volontiers, mais là l’éducation reçue au séminaire agit, et il est un peu apôtre – (Ibid. F°74)
Il faudrait lui donner du [moment biffé] mouvement. Ou bien le garder immobile, mais alors tirer de là une originalité. (Ibid. F°82)
J’ai aussi mon agrégé de l’Université, ou quelque chose de semblable, pour mettre là un intellectuel. (Ibid. F°106)
Et puis on la renvoie devant la grotte, et elle meurt là, les yeux fixés sur la Vierge. (Ibid. F°108)
Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille ; et là je voudrais tout un drame qui peut me donner les deux chapitres qui me manquent. (Ibid. F°108)
L’autre sœur, plus âgée, très brave femme aussi mais tout à fait au second plan. N’est là que comme fond du tableau. (Ibid. F°115)
Quand Marie s’est recouchée, son portrait physique (…). (…) Les détails
nécessaires pour expliquer sa présence là. (Ibid. F°s122-123)
Enfin, l’homme avant de reprendre tout le wagon. Comment il est là, ouvrant parfois les yeux, ayant l’air de somnoler, ne disant pas un mot. (Ibid. F°128)
La note de la souffrance accumulée là, et charriée à travers toute la France, jusqu’à Lourdes. (Ibid. F°131)
Si je ne compte pas M. Sabathier (…) cela fait [q biffé] 4 malades en comptant Marie. De là le chiffre 4. (Ibid. F°140)
Enfin sœur Hyacinthe est là, gaie et prévenante, s’occupant de ses malades avec Mme Jonquière. – (Ibid. F°141)
Le mettre [le wagon], je crois
un peu en queue, au milieu, entre le fourgon et le dernier : il sera là secoué, ce qui aggravera les souffrances. (Ibid. F°s142-143)
Comment ces papiers se trouvaient là, depuis 1862 (?) Le père s’en est occupé. (Ibid. F°151)
Et Marie dès lors dans sa gouttière. C’est là que je voudrais un dernier portrait d’elle, en opposition avec son portrait de belle enfant. (Ibid. F°152)
Donc il [Pierre] refuse, mais de telle sorte, que Marie doit s’apercevoir qu’il ne croit pas. C’est là le fait qui la rend l’unique dépositaire du secret. (Ibid. F°153)
C’est là surtout mon vif désir : que la douleur aille en montant jusqu’au IV (…). (Ibid. F°155)
Son analyse, sa résolution (est-ce que Lourdes est déjà là-dedans ? a-t-il [Pierre] les dossiers et comment ? voir cela aux Personnages) – Enfin, dernier morceau, il a retrouvé Marie absolument ruinée, vivant avec son père dans un misérable logement voisin. Comment M. de Guersaint en est tombé là, l’architecte mâtiné d’inventeur. (Ibid. F°157)
A la fin sans doute, un évanouissement de l’homme. (…) Mais on approche d’Angers, et là on s’arrêtera, on aura du secours, l’interne et les religieuses du train. (Ibid. F°159)
Des dossiers chez lui [M. Froment], dans son cabinet, que Pierre trouve. C’est là qu’il se passionne pour Bernadette. (Ibid. F°160)
Du reste, poser là le départ des personnages. (Ibid. F°166)
Et là je reprends tous mes malades (…), je leur fais faire l’action que j’ai commencée plus loin. (Ibid. F°168)
Puis Pierre arrivant, réclamant Mme de Jonquière, pour la Grivotte. Et là il est en face de Mme Volmar. (Ibid. F°170)
Et c’est je crois tous les personnages que je mettrai là. (Ibid. F°178)
S’il y a un lien entre madame Volmar et lui [Pierre], soit par la confession, soit d’une autre manière, il faudra le dire là : il saurait qu’elle va rejoindre un amant. (Ibid. F°179)
Pour Ferrand et sœur Hyacinthe, voir s’il ne suffirait pas de les poser là, et [d’uti biffé] de renvoyer toute leur idylle, les détails du passé, à l’hôpital. (Ibid. F°179)
Sœur Hyacinthe, court chercher Ferrand, pour l’homme. Et là leur passé. (Ibid. F°180)
Les sœurs en tablier blanc et en manches blanches, la gaieté du train. Quand elles sont toutes là. (Ibid. F°181)
Elle [Sophie Couteau] était là, puis elle est ressortie pour embrasser M. le curé de Sainte-Radegonde qui partait : elle le connaît depuis
son miracle. Et l’interrogatoire de Pierre part de là. (Ibid. F°s183-184)
Mais surtout montrer peu à peu l’intérêt que le récit, puis le pied montré, déterminent chez tous les malades. L’intérêt part de là, pour arriver à la passion. (Ibid. F°184)
A partir de là, je distribue donc les miracles dans une première partie de conversation. (Ibid. F°185)
Donc bien expliquer la force de Lourdes qui est là : (…) c’est le besoin d’illusion, l’espoir de guérison qui les poussent. (Ibid. F°189)
Mais il me faut un bel emballement, une série complète, et sans la peur de faire long, car tout le chapitre est là. (Ibid. F°194)
Tout un surnaturel qui les berce dans leur souffrance, et qui les fait croire à la vie recommencée, possible encore – Bien expliquer que la force de Lourdes est là. (Ibid. F°195)
Mais là déjà je suis dans l’autre chapitre et j’ai commencé [de biffé] la lecture de Pierre sur Bernadette. (Ibid. F°199)
Et tout de suite Bernadette à Bartrès (…). (…) Elevée là, y revenant souvent, payant sa nourriture en gardant les agneaux. (Ibid. F°204)
Le presbytère, le curé. Et là Bernadette à l’école, pas savante, puis son catéchisme commencé. (…) Pour Pierre, le mot est à Bartrès, c’est là que l’on a préparé inconsciemment Bernadette.– (Ibid. F°205)
Mais tout de suite la rue des Petits-Fossés, les parents, leur pauvreté, la maison et la chambre qu’ils habitent. Tout est parti de là. (Ibid. F°206)
Là un portrait complet de Bernadette, telle qu’elle était au moment des apparitions. (Ibid. F°208)
Comment il [Pierre] la [Bernadette] voit humaine ; mais je crois bon de faire là qu’il s’imagine croire. (…) On est à Mont-de-Marsan à 11.34. Et là sœur Hyacinthe, effrayée de s’être laissée ainsi aller, commande le silence. (Ibid. F°209)
Le ciel lavé par l’orage, il a dû éclater là. (Ibid. F°210)
A Tarbes, à 2.39. prières de mâtines. Et là je les réveille, je montre la souffrance qui a grandi par la fatigue. (Ibid. F°210)
C’est là que je [en interligne : voulais] mettr[ai biffé]e l’ancien Lourdes. (Ibid. F°215)
Puis, je montre le baron Suire qui se démène [en interligne : il donne des ordres de service] (tous les chefs sont là pour le train blanc). (Ibid. F°225)
L’abbé Judaine est là et ne s’en va pas. (Ibid. F°228)
Et là le chef de gare revenant [attend biffé] hâtant le déblaiement des malades (…). (…) Le père Forcade [sic], le père Massias [en interligne : Bonamy] doivent revenir là, pour la fin avec le mort. (Ibid. F°229)
Je le [le Commandeur] loge
dans une dépendance de la gare, ayant là un petit emploi de surveillance, aux Messageries. (Ibid. F°s229-230)
Il faut que j’aie là l’abbé Judaine, que j’ai gardé. (Ibid. F°230)
Je crois que j’ai le quai de la gare avant l’arrivée du train. Déjà deux autres sont arrivés, et j’ai là du monde qui attend. Il est quatre heures, avant le petit jour, de façon à ce que le petit jour vienne, quand le train est là, et montre le tohu-bohu. (Ibid. F°232)
Détails aussi sur l’hospitalité, car le baron Suire est là, avec Berthaud, et tous deux causent du service. – (Ibid. F°233)
Et tâcher de garder Pierre et Marie au centre, avec M. de Guersaint, dont je me débarrasserai, si je puis, en lui faisant lier connaissance avec l’abbé Des Hermoises, qui pourrait être là aussi (…). (Ibid. F°236)
Il faut donc que l’abbé Judaine soit resté, après avoir [em biffé] mis les Dieulafay dans un landau qui est là et qu’on a commandé à l’avance. – (…) Pierre là. (Ibid. F°237)
Je le [le Commandeur] fais logeant dans une dépendance
de la gare, et ayant là un petit emploi de surveillance aux Messageries. (Ibid. F°s238-239)
Là sans doute, les premiers pèlerinages tels que le P. Picard me les contés (éb. 23). (Ibid. F°240)
Bien que l’organisation se perfectionne d’année en année, il y a là [des débuts biffé] une application d’administration qui rend l’installation longue et pénible. Des prêtres, des séminaristes installés là depuis la veille, avec leurs registres, et perdant un peu la tête, au moment de la
pratique. (Ibid. F°s243-244)
Puis, je monte [en interligne : au troisième étage] dans la salle Sainte-Honorine [en interligne : mauvaise administr.], dont madame de Jonquière est la directrice. Tout de suite, j’explique que Raymonde n’est pas employée là, qu’elle reste en bas, au réfectoire. Elle est là avec Mme Désagneaux prenant possession de la salle Sainte-Honorine où il y a vingt lits. (…)
La petite Sophie aussi sera là. – (Ibid. F°s244-245)
Donc, la salle Sainte-Claire (…). Déjà Mme Volmar a disparu. L’aumônier est là aussi, l’abbé Judaine. (Ibid. F°249)
Il [Pierre] a poussé Marie aussi près de la Grotte qu’il a pu, et il est là, pris de malaise, lorsque le Père Fourcade monte en chaire (…). (Ibid. F°253)
Simplement, je fais éloigner Pierre, parce que Marie lui dit qu’elle veut rester une heure ou deux là (…). Puis, quand il reviendra, il emmènera Marie aux piscines, et c’est là qu’il verra (au III, à la fin) tremper les hommes et même tremper le cadavre. (…) Bien tenir compte de son état d’âme, là, et dans les chapitres suivants. (Ibid. F°254)
Peut-être là les premiers pèlerinages du Père Picard. (Ibid. F°255)
Pierre s’est écarté, dans un malaise (…). Il ne peut plus rester là, il défaillerait. Et tout de suite, il aperçoit M. de Guersaint, (…) qui est là agenouillé, plongé dans une prière profonde [en interligne : très pratiquant]. (Ibid. F°257)
Description, le parapet de pierre, la belle avenue qu’on a créée là, entre les lacets et le Gave. (…)
Et là l’état d’âme de Pierre (…). Il n’a pu rester, et il est là inquiet, ébranlé, anxieux, plein de malaise (…). (Ibid. F°s257-258)
Là, volontiers, je la [la Grivotte] montrerai désolée, parce qu’on ne veut pas la baigner. (Ibid. F°262)
Le baron Suire et Berthaud sont là ; mais rien qu’un mot. (Ibid. F°263)
Il [Chassaigne] a les tombes de sa femme et de sa fille à Lourdes, près de celle de ses parents. Il s’est fixé là, a renoncé à tout. (Ibid. F°266)
Pierre mène [la biffé] Marie (…) à la piscine des femmes, et comme il ne peut entrer, il la laisse naturellement là. (Ibid. F°268)
Description, toute cette piscine. (…) Toute la famille Vigneron retrouvée là – (Ibid. F°269)
Ce que je disais au docteur Boissarie : Si moi j’avais une source et [q biffé] si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. (…) M’en servir là et au chapitre suivant, dans le bureau des constatations. (Ibid. F°274)
Et je réserve son opinion sur la science et la médecine, je ne fais que l’indiquer là d’un mot, pour la reprendre ensuite au bureau des constatations. – (Ibid. F°276)
Et Pierre le dira, l’expliquera, car lui est la conclusion, le bonheur cherché dans la raison. Il ne peut être que là. (Ibid. F°277)
Et un journaliste influent de Paris, tombé là, auquel Bonamy donne la représentation. (Ibid. F°280)
Et là voir si je dois mettre tout de suite la nouvelle installation, par Bonamy. (Ibid. F°281)
Et là, avec le monsieur, que Pierre approuve (ne pas oublier le docteur Chassaigne), les plaies apparentes. – (Ibid. F°282)
Alors là je finirai sans doute avec Pierre sur le triomphe forcé de la raison. (Ibid. F°288)
Je pose d’abord le bureau, je dis [que biffé] les personnes [du biffé] qui sont là (…). (Ibid. F°289)
Pour que Bonamy fasse du zèle, il faut qu’il y ait là quelqu’un à convaincre, un médecin, un personnage, qu’il sait incrédule (…) \\. (Ibid. F°s290-291)
En somme, il faut que Pierre sorte de là pas convaincu, troublé davantage (…) – Ne pas oublier que Chassaigne est là, et trouver ce qu’il fera, ce qu’il dira. (Ibid. F°292)
Grande salle commune où l’on introduit ensuite les guéris importants ; et là s’ouvre la discussion générale et contradictoire. (Ibid. F°295)
Tous les dossiers sont là. (Ibid. F°295)
Peut-être pourrait-elle [madame Volmar] être là et disparaître devant Pierre, qui l’avait entrevue dans l’escalier de l’hôtel des Apparitions. (Ibid. F°298)
Mme Désagneaux se prodiguant, elle aussi : là, son mot – Mais faites-vous religieuse. – Je ne puis pas, je suis mariée ! – (Ibid. F°304)
Ne pas oublier que c’est là le chapitre tout entier, car les [Vèmes biffé] cinquièmes chapitres de chaque partie appartiennent à Bernadette. (…) La salle et ce qui s’y passe (…) ne sont là que comme cadre. (Ibid. F°307)
A l’Hôtel des Apparitions, rue de la Grotte, tenu par Majesté. [Guer biffé] M. de Guersaint a loué là, au troisième étage, pour Pierre et pour lui, deux petites chambres qui communiquent. (Ibid. F°310)
Le petit bruit de baiser qu’il [Pierre] croit entendre, insaisissable. Finir par là. (Ibid. F°317)
C’est là que M. de Guersaint a loué pour Pierre et pour lui deux chambres qui communiquent. (Ibid. F°318)
Pierre s’est levé, et c’est par le garçon qui leur apporte du lait qu’ils savent [qu’il biffé] que c’est un monsieur et sa sœur qui couchent là. (Ibid. F°319)
Et les Vigneron sont aussi entassés là dans deux chambres (…). (Ibid. F°322)
Alors Mme Volmar est venue en se cachant, se réfugier là, et elle n’en sort plus. (…) Cette vie de passion, enfermé là pendant trois jours. – (Ibid. F°323)
Maintenant, Mme Maze peut arriver là, de cette façon. (Ibid. F°324)
Voir s’il ne faut pas garder ces scènes pour la fin et au contraire lui donner là une inquiétude, de façon à ce qu’il [Vigneron] n’ait ce matin-là que des inquiétudes. (Ibid. F°326)
M. Vigneron obtient nécessairement là sa première grâce, son espoir d’être nommé chef, car je veux garder tout l’effet de la mort de Mme Chaise pour l’autre scène. (Ibid. F°327)
Et c’est là qu’ils [Pierre et M. de Guersaint] rencontrent Raymonde et Mme Désagneaux causant avec Gérard. (Ibid. F°329)
Mais quand M. de Guersaint et Pierre sont là, le premier, très curieux, acceptant d’aller voir « la popote » où l’on mange. (Ibid. F°330)
Poser tout ce qu’il sera nécessaire de l’Hospitalité. (…) Tous ceux qui mangent là, et comment les choses sont organisées. – (…) Le marquis de Salmon-Roquebert entre deux pèlerins, et heureux, avec ses millions, de
déjeuner là, pour ses trente sous. (…) Mais le baron Suire est là aussi, et Pierre (…) songe à lui demander directement la permission pour Marie, qui désire [de biffé] passer à la Grotte. (Ibid. F°s330-331)
Finir par la figure de Mme Dieulafay (…). Le mari et la sœur sont là en toilette. (Ibid. F°333)
Si j’ai de la place, je donnerai là un peu de l’ancien Lourdes. (Ibid. F°334)
Ces dames refusent à Gérard de visiter la popote mais quand Pierre et [Mme biffé] M. de Guersaint, curieux, sont là, elles consentent. Et j’ai alors la popote avec eux. Toute la description. Berthaut [sic] est là. (Ibid. F°341)
C’est même là que je montre l’habitation des Pères. (Ibid. F°342)
Voir si je ne dois pas montrer les Dieulafay là-dedans. (Ibid. F°344)
Là sans doute [Cazaban] demandant la destruction de cette crédulité. (…) Là, pourtant, il faudrait indiquer le mouvement peut-être. (Ibid. F°346)
Et surtout parler tout de suite, dès le début, de la procession aux flambeaux, qui doit être passée par là, car elle est le pivot du chapitre. – (Ibid. F°351)
Et c’est de là qu’ils [Pierre, Marie et M. de Guersaint] assistent au départ de la procession. (Ibid. F°352)
On ne verra rien là, Marie demande à être ramenée, pour voir la procession se dérouler devant la Basilique. (Ibid. F°352)
Dire que tous ceux qui étaient là, sont allés à la procession. On a dîné là, on y mange, on y couche. (Ibid. F°352)
Elle [Mme Vincent] n’a trouvé que l’abri, et elle vit là, dans un coin, sur un banc. (Ibid. F°353)
Il ne faut [pas biffé] songer à y monter Marie. Puis elle préfère
rester là. (Ibid. F°s353-354)
Alors l’idylle entre Marie et Pierre. Les laisser là, ou les faire aller dans l’ombre, par les allées noires
et désertes, le long du Gave, sous la belle nuit. J’aime mieux je crois les laisser là. (Ibid. F°s355-356)
Même,
c’est là qu’elle [Marie] insiste [pour biffé] gentiment pour qu’il [M. de Guersaint] fasse cette très belle partie. (Ibid. F°s359-360)
Décrire tout l’abri, les gens qui sont là. (…) Les gens qui ont dîné là, qui y mangent
encore. (Ibid. F°s360-361)
Pierre a roulé la voiture de Marie près de là, et les deux femmes causent. (Ibid. F°361)
Et alors le monde qui se trouve là : pas mal de personnes, dont le nombre diminuera peu à peu. (Ibid. F°366)
Et l’église pourtant reste pleine de monde. Les gens qui couchent là sur
les bancs, on les tolère, on les laisse dormir. (Ibid. F°s369-370)
C’est alors qu’il [Pierre] peut retourner à la Grotte [en interligne : beaucoup moins de monde. Mme Maze toujours là], avec la volonté de demander la foi. (Ibid. F°371)
Et poser là sans doute la Grotte tout entière, telle que je l’ai visitée, en y faisant entrer Pierre. (…) Quelqu’un peut être là, le baron Suire, et lui donner les détails, la Grotte par tous les temps, l’hiver, etc. (Ibid. F°375)
Quant à Marie, elle est dans une pure extase. Toute l’analyse [qu’elle croit biffé] de ses sensations pendant la nuit qu’elle passe là. (Ibid. F°377)
Elle [Marie] a causé avec la Vierge (…). Ce
serait là le rêve dont j’ai parlé, et qu’elle ne saurait avoir que devant la Grotte (…). (Ibid. F°s377-378)
Ou bien une autre voiture emmène Marie, et Pierre reste là. Je voudrais le garder jusqu’au soleil levant, pour l’avoir là (…). (Ibid. F°379)
C’est bien certain, il faut que cette enfant finisse là, car cela termine très bien
son épisode. (Ibid. F°s379-380)
Elle [Bernadette] est avec les sœurs, [son biffé] les dates de son entrée et de sa sortie, combien elle est restée là. (…) Le portrait qu’il [Chassaigne] en fait, sa véracité, sa dignité : là peut-être la discussion [en interligne : revenir à Bartrès] scientifique sur l’enfantine, l’hystérique ir- \\régulière (…). (Ibid. F°s385-386)
Une nature faite pour une visionnaire, revenir là sur Bernadette. (Ibid. F°397)
Mme Vêtu est aussi là, si malade, agonisante, qu’on ne l’a pas menée à la Grotte. (…) Sœur Hyacinthe est aussi là (…). (Ibid. F°400)
M. Sabathier est resté là aussi par besoin de repos. (Ibid. F°403)
Et comme Mme Vêtu paraît s’assoupir, il [Ferrand] reste là pourtant, avec sœur Hyacinthe qui la veille (…). (Ibid. F°404)
J’ai là l’épisode de Raymonde et de sa mère. (Ibid. F°406)
Mme de Jonquière sera là, avec Mme Désagneaux, assistant la mourante. (Ibid. F°409)
Ce serait donc là, près de cette mourante qu’ils [Ferrand et Hyacinthe] [soignent biffé] assistent ensemble que je reprendrai ce que j’appelle leur idylle, ou plutôt leur amitié si pure et si profonde. (Ibid. F°412)
Je crois que j’ai là le commencement de guérison d’Elise Rouquet. (Ibid. F°414)
Voir s’ils [Gérard et Berthaud] ne doivent rien dire du mariage, de Raymonde, qui est là. – C’est la foule qui est mon personnage, enveloppant les épisodes. Et je la fais partir de là. (Ibid. F°416)
Et tous les pèlerins reprenant en chœur, en un bourdonnement confus. – Je pars de là pour l’excitation. (Ibid. F°416)
S’il [M. Sabathier] vient là, c’est pour être devant elle [la Vierge], sous ses yeux, afin qu’elle ne l’oublie pas. (Ibid. F°418)
Et l’abbé Judaine est là aussi, demande le miracle à mains jointes. (Ibid. F°419)
Il [le père Fourcade] s’est traîné là, il surveille l’exaltation croissante de la foule, prévoyant des miracles éclatants – (Ibid. F°419)
Alors, comme la foule est énorme et qu’on ne peut pas enlever ce mort, Marthe ne dit rien (de grosses larmes) ; [m biffé] les gens
qui sont là, ne disent rien non plus. (Ibid. F°s420-421)
Voici la septième année qu’il [M. Sabathier] vient, et de quel air patient il dit son chapelet [en interligne : Mme Sabathier est là], les yeux fixés sur la statue de marbre. – (Ibid. F°424)
Alors, comme la foule est énorme, qu’on ne peut pas enlever ce mort, [on ne biffé] Marthe ne dit rien, ni les gens qui sont là – (Ibid. F°425)
En somme, tout ce chapitre peut-être pour mes malades secondaires devant la Grotte, car je puis ne pas les avoir montrés encore là. Je puis (…)
les étaler là devant la Grotte. Marie n’étant pas encore là, je n’ai qu’eux, et je distribue les épisodes, de façon à ce qu’ils emplissent bien le chapitre. (Ibid. F°s426-427)
Poser là la foule dont je me servirai dans les deux chapitres suivants. (Ibid. F°427)
Et là tout de suite, portrait de Marie, son air divin, son extase qui continue. (Ibid. F°433)
Et alors là (…) donner à Pierre le brusque souvenir de son [cou biffé] petit cousin Beauclair (Fin du pl. 5). (…) Un dernier effort chez lui, pour reconquérir la foi – Le drame est là. (Ibid. F°435)
Au bureau. [en interligne : Chassaigne n’est pas là.] (…) [Et biffé] Raboin, le père Dargelès, les autres personnages qui peuvent être là. (Ibid. F°439)
Un retour là, sur la foule qu’il [Pierre] a analysée. (Ibid. F°440)
Enfin, elle [Marie] arrive devant la Grotte. Et là, son extase, son élancement. (Ibid. F°442)
La divinité est là pour Marie, le miracle, le surnaturel– (Ibid. F°443)
Donc, dès maintenant, lui donner le souvenir de ce que le célèbre médecin lui a dit ; et ce qu’il [Pierre] retrouve là : (…). (Ibid. F°444)
Et là des femmes la [Marie] baignent, je puis décrire cela pour corser le chapitre, s’il en est besoin. (Ibid. F°445)
Non, il [Pierre] ne croit pas, il ne pourra
jamais croire. Finir là-dessus le chapitre. (Ibid. F°s447-448)
Voir si le Commandeur devrait être là, et trouver ce qu’il ferait, ce qu’il dirait. (Ibid. F°448)
Marie est là, ainsi que Pierre et le père Massias. (Ibid. F°453)
Cela me donne d’abord une description [en interligne : (…) l’argent ruisselant là, le fleuve de dons et de cadeaux, le trésor] de l’intérieur de la Basilique, que je n’ai pas encore eue. (Ibid. F°454)
Commencer là l’analyse qui le [Pierre] montre troublé, plein de malaise, devant Marie guérie, malgré la joie profonde qu’il en éprouve. Le poser simple là, ce malaise, et l’analyser plus loin. (Ibid. F°455)
De là sa joie qu’elle [Marie] soit heureuse et sans déchirement à la pensée qu’elle sera heureuse sans lui [Pierre]. (Ibid. F°456)
Pourtant, je ne crois pas que Pierre doivent se livrer là : il préfère encore ne rien dire. (Ibid. F°459)
En bas dans la crypte, (…) Raymonde peut passer, s’en allant, lui disant que sa mère ramènera Marie à l’hôpital, puisque son père n’est pas là. (Ibid. F°466)
Ce qui me gêne, c’est que le père n’est pas là et que Pierre quitte Marie, lorsqu’elle est guérie. (Ibid. F°467)
Inscription dans la crypte (éb. 198). Une page là-dessus (201). (Ibid. F°467)
La Basilique tapissée de cadeaux. Son trésor. L’argent ruisselant là. (Ibid. F°468)
Contre la prière, là ou à l’autre chapitre. (Ibid. F°469)
Le vicaire de la paroisse qui [ar biffé] habite justement là, arrive, et il m’aide. (Ibid. F°471)
Tout est parti de là.
C’est Bethléem ; et l’abandon. (Ibid. F°s471-472)
Ne devrait-il pas exister là un sanctuaire, un coin orné de fleurs au moins. (Ibid. F°473)
Des miracles commençaient à se produire. C’est pourquoi Mgr Jourdan interdit là tout culte religieux, [pr biffé] procession, pèlerinage. (Ibid. F°476)
Description de cette chambre misérable. Tout est parti de là. (…)
Ne devrait-il pas exister là un sanctuaire, un coin orné de fleurs au moins. (Ibid. F°s480-481)
La chambre de Bernadette. Tout est parti de là (éb. 137-175). (Ibid. F°483)
Et là, c’est le contraire, c’est le triomphe : Mme Chaise agonise, ou bien même est morte pendant la nuit. (Ibid. F°485)
Elle [Mme Volmar] pâlit, le [Pierre] suit d’un mouvement brusque dans sa chambre ; et là trouver un cri, un sanglot, une demande de pardon et de pitié. (Ibid. F°487)
Peut-être là dire qu’elle [Mme Volmar] ne croit pas, avec une belle franchise d’audace. (Ibid. F°487)
Montrer là le très brave homme [qu’ biffé], le bon chrétien [en interligne : l’abattre à genoux] qu’il est, sous son étourderie. (Ibid. F°488)
Ce que l’antique petite ville pyrénéenne [en interligne : comment les visions d’une petite fille si pure ont amené la foule, et par là l’argent, l’intérêt, ce qui a tout pourri] est devenue sous la poussée de la superstition. (Ibid. F°502)
Marie choisira quelque chose de pas cher, et cela me permettra de faire la revue de tous les objets qui se trouvent là [dans la marge : ]. (Ibid. F°503)
Et là Cazaban reprenant ses diatribes contre la Grotte, puis tout à coup tournant : ah ! non, il ne faut pas qu’on ferme la Grotte (…) \\. (Ibid. F°s506-507)
D’ailleurs, c’est là aussi un amusement de foire. (Ibid. F°507)
Donc le train blanc, qui est resté tout formé, sur la voie de garage, depuis trois jours, est amené sur le quai d’embarquement, et il reste là à attendre pendant une demi-heure. (Ibid. F°510)
Les brancardiers sont là, mais ils sont surtout dans la cour de la gare (…). (Ibid. F°510)
Ils [Berthaud, Gérard et le baron Suire] s’assurent que le train est bien là, etc. (Ibid. F°511)
Et il y a là le père Fourcade s’appuyant sur [le biffé] l’épaule (…) du père Massias qui va partir avec le train blanc. (Ibid. F°511)
Chassaigne lui a promis de venir, et il [Pierre] est un peu surpris de ne pas le trouver là. (Ibid. F°512)
Pierre étonné que Marie ne soit pas là. (Ibid. F°514)
Et il [le Commandeur] voit Marie guérie, car [la for biffé] l’épisode est là. (Ibid. F°519)
Reprendre les personnages qui sont là : le chef de gare, hâtant tout le monde. (…) Puis, Mme Dieulafay montée dans la poussée (…), M. Vigneron qui a enfin arrangé son affaire venant embrasser sa femme et son petit, restant là pour les voir partir – (Ibid. F°520)
Cela fait qu’il [le Commandeur] est toujours là, et qu’à la fin, je le retrouve. (…)
L’abbé Judaine accourt et comme les Guersaint et Pierre sont là, avec le docteur Chassaigne, tous y vont. (Ibid. F°s523-524)
Enfin, les dames hospitalières. (…) Les finir, les mettre là pour le voyage. (Ibid. F°528)
Frère Isidore n’est plus là. (Ibid. F°532)
Là dire les places, rétablir tout le wagon tel qu’il est – (Ibid. F°533)
Et là j’ai un retour dans le wagon (…). (Ibid. F°535)
Alors ne mettre là qu’un mot de la Grivotte, pour préparer sa rechute prochaine (…). (Ibid. F°536)
[en interligne : Sophie [en interligne : jouant] trouvant la clef, vieille clef luisante, soudure de cuivre. Ça doit être à l’homme qui a perdu une clef. Qui donc. Mais l’homme qui est mort là. (…)] (Ibid. F°540)
Le retour pas semblable à l’aller. Là le sommeil [en en biffé] plus lourd. (Ibid. F°540)
Mais
avant d’en arriver là, leur idylle à Lourdes. (…) Pendant la procession aux flambeaux, (…) ils [Marie et Pierre] touchèrent un instant là le fond de l’amour qui se donne et qui s’immole. (Ibid. F°s542-543)
Et là alors, chez elle [Marie], l’éveil de la vie, de la curiosité, de la femme, que Pierre sent très bien, à sa conversation. (…) Pierre songe qu’il l’épouserait, s’il n’était pas prêtre, et c’est là qu’est le drame, le combat dans lequel il va se vaincre. (Ibid. F°546)
Dois-je mettre là le rappel du Commandeur. (Ibid. F°547)
Pierre doit me servir à toute la conclusion philosophique. Je ne sais si je la mettrai là ou dans le chapitre suivant. (Ibid. F°553)
Et il [Pierre] n’aura que la fameuse religion de la souffrance humaine, laisser croire les humbles, des dévots (Marie) puisqu’il y a là pour eux une consolation. (Ibid. F°554)
Je crois que je dois seulement l’indiquer là seulement, en me réservant de le reprendre
dans Paris, dont le sujet sera là sans doute – (Ibid. F°s555-556)
Sophie Couteau est là jusqu’à Poitiers. (Ibid. F°557)
Je garde le troisième mystère pour la fin ; indiquer là les deux premiers, qu’on répète. (Ibid. F°569)
Est-ce là que je mets la haine de la vie. (Ibid. F°575)
C’est là que je mets ses vœux perpétuels le 22 sept. 78, au beau milieu de ses intolérables souffrances. (Ibid. F°576)
La lecture finit avant d’arriver à Etampes (140). Là on lit le 3e chapitre, le mystère glorieux (p. 154). (Ibid. F°580)
Alors, la religion de la souffrance humaine. (…) Un moment il [Pierre] en est là. Laisser croire les humbles, les dévots, puisqu’il y a là pour eux une consolation. (Ibid. F°581)
Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre, la raison emportant tout en lui, mais honnête. (Ibid. F°585)
L’origine de toutes les religions est là, l’homme faible et nue [sic] ayant besoin de mensonge pour vivre heureux. (Ibid. F°587)
Le peuple (…) veut un idéal plus humain, une illusion plus immédiate. (Toute ma conclusion dans Rome et dans Paris sera là. – [)] De là, le socialisme, le partage. (…) Reprendre ce que le père Fourcade a dit [Pierre biffé] sur l’utilité de créer une
démocratie catholique : le second problème sera là. – (Ibid. F°s587-588)
Interrompre là. On est à Juvisy (…) – (Ibid. F°589)
Je montre en plein là que le fait d’avoir vu la Vierge l’a [Bernadette] rayée des humains, des femmes. (Ibid. F°591)
C’est là qu’elle [Bernadette] est exilée dans la mort comme elle l’a été dans la vie. (Ibid. F°594)
Le meilleur de leurs souvenirs de Lourdes, l’idylle qu’ils [Pierre et Marie] ont vécue là un instant. (Ibid. F°596)
Voir ce qu’il faudra mettre d’elle [Bernadette] là. (…) Pourquoi M. de Guersaint n’est-il pas là. (Ibid. F°602)
Mais surtout scène touchante, entre le père, retour de Gavarnie, et sa fille qu’il trouve guérie, et qui est là. (Ibid. F°605)
Le Commandeur qui refuse à Judaine de se laisser miraculer et qui meurt. Marie mêlée. Là ou au suivant. (Ibid. F°605)
C’est là le grand effet du personnage : le poser léger,
distrait, quoique pratiquant, artiste ; puis l’abattre, à genoux, devant sa fille guérie (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 29-30 – Notes sur M. de Guersaint)
Ce coin-là, les Dieulafay et les Jousseur sont [en interligne : uniquement] pour mettre là un coin de grande richesse et de monde. (Ibid. Fo 44 – Notes sur Mme Jousseur)
C’est donc à qui des deux [Mme Chaise ou Gustave]
mourra le premier. L’affreux drame est là. (…) Terreur secrète et inconsciente de Vigneron, le drame est là. (Ibid. Fos 53-54 – Notes sur M. Vigneron)
Une émotion peut déterminer des modifications. Là est un inconnu que la science épelle à peine (la nutrition, les modifications qui peuvent lui être apportées). – (Ibid. Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
Dans tout cela des tissus, de la chair refaite [en interligne : presque] instantanément : là est le miracle. (Ibid. Fo 149 – Notes sur les Miracles)
Cicatrisation instantanée des plaies, régénération subite des tissus, des chairs : là est le miracle. (Ibid. Fo 159 – Notes sur les Miracles)
Feu de la discussion, opinions qui se croisent, de Saint-Maclou écarte impitoyablement les maladies nerveuses (il sent que là est le faible). (Ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
A l’auscultation, les ravages décrits (305). Là, ni un effet nerveux, ni une erreur d’observation. (Ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Et il y a là, au-dessus de la cloison, des patères où l’on peut accrocher des bagages. (…) De même, sous les banquettes, où il y a un espace libre, on glisse beaucoup de choses. Il y a aussi, là-dessous, des bassins, des urinoirs (porcelaine, caoutchouc). (Ibid. Fo 182 – Notes sur le Départ de Paris)
Il y a là un colossal mouvement d’argent ; et tout cela parce qu’une fillette a vu la vierge dans une crise nerveuse. (Ibid. Fo 210 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Les nombreux couvents qui se sont installés dans les environs de la grotte. (…) Il y aurait là de curieuses choses à étudier sans doute. De même, que de tableaux intéressants à faire avec les pèlerinages (…). On prétend qu’il se passe là de terribles choses. (Ibid. Fo 211 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
En bas, en avant, deux contreforts formant coulisse ; et l’on voit le fond du cirque, (…) une coulure de neige qui a l’air de fondre là. (Ibid. Fo 217 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Là aussi, d’ailleurs, on distingue des éboulis de terre, des roches tombées. (…) Au fond, en haut, sur l’horizon, le cirque est terminé par une ligne presque horizontale ; il y a là, [com biffé] un peu sur la droite, comme un donjon rasé près du sol (…). (Ibid. Fo 218 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Sur la gauche, le cirque est beaucoup plus farouche. Il y a là des cassures (…). (Ibid. Fo 219 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Superstition ? Oui, si l’on entend par là le besoin d’illusion de l’humanité souffrante. (Ibid. Fo 228 – Notes sur H. Lasserre)
Mais, à Bartrès,
elle [Bernadette] était allée à l’église, elle avait vu un autre prêtre ; et c’est là qu’il faut chercher. (Ibid. Fos 235-236 – Notes sur H. Lasserre)
Mais remarquer qu’il n’a eu que les documents de l’Evêché. Il ne s’est pas adressé à la source adverse ; c’est là qu’il faudrait frapper, si l’on voulait écrire la véritable histoire. (Ibid. Fo 258– Notes sur H. Lasserre)
Après une neuvaine, elle marche (n’y aurait-il pas là l’effet résultant des cautérisations ?) Sept ans d’infirmité. (Ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Tout garder. De là colère de la ville. Quelle lutte ! (Ibid. Fo 286 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

Mais quelle est sa psychologie là-dedans ? (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 383/36) \\Et là amener les bourgeois, tout le monde qui est §§§ (Ibid., f° 392/45)
On pourrait retrouver là, dans une maison, la femme de l’ouvrier (Ibid., f° 393/46)
Il faut là qu’il épouse l’ouvrière (Ibid., f° 396/49) \\C’est là aussi que l’anarchiste renonce, en pleurant (Ibid., f° 397/50)
C’est là le fouriérisme, le collectivisme (Ibid., F°403)
Une mère neuve pour lui. Et tout est là (Ibid., F°408)
Puis, s’il n’a que des aspirations, il faut le / Luc/ développer là (Ibid., F°420)
Je veux faire de ces trois-là la famille primitive vivant dans un trou (Ibid., F°424)
Comment il est là, le poser brièvement tout de suite (Ibid., F°431)
Et là retrouver Ragu et Bourron avec Josine et Nanet à la porte. Luc les revoit, il peut leur parler cette fois (Ibid., F°432)
Et là dans la foule le cri de Lange (Ibid., F°433)
C’est là la grandeur de mon livre (Ibid., F°436)
Je vois le réveil du vieux Qurignon devant sa famille assemblée, avant peut-être le suicide de Delaveau. Et Luc serait là aussi (Ibid., F°437)
Puis il condamne l’oisif, Boisgelin qui est là. Et enfin il est avec Paul (Ibid., F°438)

LÂCHER

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Je n’ai maintenant qu’à indiquer les promenades, parallèlement avec le développement de l’amour, de l’éducation du couple par la nature. Je les lâche dans le jardin, et à chaque promenade, je les montre plus charnellement amoureux, s’avançant peu à peu vers la faute. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Le Paradou, f° 45)

Lourdes (1894)

Obsession des chants. Les filer d’un bout à l’autre des chapitres jusqu’au miracle de Marie. Ne plus les lâcher à partir d’ici. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°364)

LA COUSINE BETTE

Roman de Balzac paru en 1848.

Nana (1880)

Elle me semble rappeler un peu trop la situation principale de la Cousine Bette. (NAF Ms. 10313, Nana. F°225- Ebauche).

LA CURÉE

(Roman de la série des Rougon-Macquart publié par Zola en 1872)

Le Ventre de Paris (1873)

J’ai eu dans La Fortune des Rougon toute une naissance d’appétits. Dans La Curée, branche des Rougon, appétit nerveux du million. Dans le Ventre, branche des Macquart, appétit sanguin des beaux légumes et des beaux quartiers de viande rouge.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 48)
Donc, j’appuie surtout sur la place de l’œuvre dans la série. Elle complète La Curée, elle est la curée des classes moyennes (Ibid., f° 49)
De cette façon, le livre sera classé. Il fera pendant à la Curée dans la série. (Ibid., f° 50)

Le Rêve (1888)

Sidonie Rougon (…) Donc, en 1853, lors du commencement de La Curée, 35 ans (…) Il faudrait donc imaginer que le mari / de Sidonie, Mr.Touche, est mort (Ibid., Personnages, f° 213-214)

LAID / LAIDEUR

Lourdes (1894)

Une peinture du Lourdes ancien, perdu et endormi, un trou endormi, pauvre et pieux, et une peinture du Lourdes actuel, [bon biffé] bruyant, criard, laid (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°43)
Ce qui me déplaît surtout, c’est la laideur esthétique de leur religion. (…) Mais quelle affreuse chose que ce Lourdes ! quelle laideur coûteuse, où l’on a englouti des millions. (…)
Tout est laid, au milieu du décor splendide. (Ibid. F°s44-45)
Tout ce qui frappe sur lui, la simonie, la laideur de ce culte, l’exil de Bernadette (il se prend de passion pour elle), la lutte [de l’abbé biffé]
du curé Peyramale [en interligne : les deux Lourdes]. (Ibid. F°s83-84)
La laideur de tout cela, dite par Pierre et par M. de Guersaint. (…) Aussi, à Lourdes, dans ce milieu où l’on veut ressusciter la foi, les objets religieux jurent, sont très laids, pas en rapport avec le mouvement qu’on veut déterminer. (Ibid. F°503)
Sur la laideur de toute cette quincaillerie religieuse (Ensemble sur Lourdes 15). (Ibid. F°508)
Ils vont tous acheter des objets de sainteté [en interligne : photographie]. (…) La laideur de tous ces objets. (Ibid. F°605)

LAISSER

Le Ventre de Paris (1873)

Pour rattacher cet amour à l’épisode de Charles, je laisserai mettre ce crime sur le compte des conspirateurs.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 67)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Je le laisse abattu, vainqueur et vaincu. – Dans sa chambre peut-être. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 23)
Ne rien dire de net, mais laisser comprendre quelle lutte le tient ainsi rigide. (Ibid., f° 26)
Les livres. – Il faut laisser faire la nature. (Ibid., f° 27)

Nana (1880)

Vous laissez naître ce ferment, il remonte et vous désorganise ensuite. (NAF Ms. 10313, Nana. F°1- Plan)
Le monde, ne pas laisser tomber les conversations, en garder le ton, et les a parte des hommes (…). (Ibid. F°25)
(Laisser prévoir son rendez-vous avec Fontan). (Ibid. F°67)
La première fois où il est posé que le ferment, laissé en bas, pourrit les hautes classes ensuite. (Ibid. F°73)
(Ici mettre que le comte ne sait plus si sa femme le trompe avec Fauchery Laisser un doute.). (Ibid. F°93).

[Nana] C’est là que je l’ai laissée. (NAF Ms. 10313, Nana. F°191- Personnages)
Et elle ne laisse que de la cendre. En un mot, la vraie fille. (Ibid. F°193).

On attend dans toutes les pièces – talent de la bonne – ne pas laisser se rencontrer. (NAF Ms. 10313, Nana. F°256/5- Notes).

Au bonheur des dames (1883)

Mais lui [à Octave] laisser surtout son côté femme (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fºs 3-4) \\Certes, laisser le grouillement de femmes nécessaire (Ibid., f°s 4-5) \\Je ne les [les clientes] montrerai qu’au magasin (…) et je ne les montrerai jamais au dehors, je laisserai leur vie ignorée (Ibid., f° 19) \\Laisser deviner des maris ruinés à demi (Ibid., f° 19)

La Terre (1887)

Le paysan, ou le bourgeois propriété [sic] pourrait en avoir racheté des morceau [sic], sans arriver à la reconstituer, et la haine contre cette masse de terre dont le coin entre dans le pays. Mais laisser cela absolument au second plan. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 461/53 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Je laisserai bien entendu de côté tout l’amour physique (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 252/36)
(…) Il cause seulement avec les Hubert. Cela a le défaut de le matérialiser, de dire qui il est, et il vaudrait /faudrait surchargé, ou inversement/ mieux le laisser dans l’inconnu (Ibid., f° 259/42).

Ne pas laisser la porte fenêtre sur la cour (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur la maison des Hubert, f° 404/11)
(…) L’Atelier. Laisser la cheminée (Ibid., f° 406/13)

Un doute pourtant pour laisser de l’intérêt (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème plan détaillé du chapitre III, f° 44)
Ne pas dire que le duc a fait revenir son fils. Laisser le lecteur dans l’ignorance comme Angélique (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Laisser un coin de malice, un peu de rire à être seule dans le secret (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 88)
Lui se tourne sourit. Quel est-il ? laisser encore un doute (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Ne pas dire, laisser entendre pourtant qu’il va voir son père (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 163)
Je voudrais que l’attitude de Monseigneur resta [sic] rigide (…) Mais je voudrais aussi laisser entendre à quel point il est bouleversé (Ibid., deuxième plan du chapitre XIII, f° 172)
J’aimerais à laisser entendre qu’elle s’en ira dans un baiser (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 175)
Pourtant ne pas dire ces choses, ne les laisser que soupçonner (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 182)
Ne pas le dire, le laisser soupçonner : sa mort aura lieu en plein bonheur (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 191)

Lourdes (1894)

Je puis donc finir « Lourdes » sur cette question anxieuse que se pose mon prêtre. Il ne la résoudra
pas, il la laissera à l’état d’inquiétude (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s3-4)
Ensuite, la nécessité qui a fait qu’on l’a escamotée soit qu’elle fût malade et qu’on ne voulût pas la montrer, soit (…) qu’on craignît pour elle les effets d’une adoration trop grande, d’une obsession dangereuse, d’offres d’ar- \\gent même, lui acheter son chapelet mille francs (ce qu’on laisse entendre) (…). (Ibid. Fs30-31)
Je voudrais n’avoir qu’un pèlerinage national pour cadre (…) et la fin laissée à l’espoir peut-être. (Ibid. F°58)
Il [Pierre] y va donc (…) avec le sourd espoir encore d’être converti (le sourd ferment religieux laissé par sa mère en lui[)]. (Ibid. F°161)
Ne pas le [Pierre] révolter tout de suite ; mais un malaise, une sorte de répugnance, laissant du champ au débat. – (Ibid. F°248)
Et [dire biffé] laisser entendre alors comment il [Chassaigne] a pu en arriver à croire à Lourdes. (Ibid. F°259)
Reprendre le récit où je l’ai laissé dans le wagon, après les apparitions et les premiers miracles. (Ibid. F°301)
Reprendre le récit où je l’ai laissé dans le chemin de fer, sans doute après les apparitions et les premiers miracles. (Ibid. F°306)
Alors l’idylle entre Marie et Pierre. Les laisser là, ou les faire aller dans l’ombre, par les allées noires
et désertes, le long du Gave, sous la belle nuit. J’aime mieux je crois les laisser là. (Ibid. F°s355-356)
L’extase de Marie commençant. Et je laisse Marie seule. (Ibid. F°366)
Donc, je ne fais encore que le [Pierre] laisser ici affreusement troublé, mais après une ardente tentative de foi. (Ibid. F°377)
Mais le [Pierre] laisser très ému dans sa tendresse pour Bernadette, au point de vue humain. Lui laisser jusqu’à la fin cette tendresse. (Ibid. F°474)
Pierre est très ému, dans sa tendresse pour Bernadette, au point de vue humain. Lui laisser jusqu’à la fin cette tendresse. (Ibid. F°481)
Et laisser entendre que Vigneron avait supplié la Vierge que cet héritage ne lui échappât pas. (Ibid. F°485)
Mais le plus tôt possible, je mets Appoline en conversation avec Des Hermoises. (…)
Et laisser deviner une intrigue, mais très discrètement. (Ibid. F°s500-501)
Il faudrait en arriver à une somnolence générale, pour laisser Marie et Pierre seuls. (Ibid. F°541)

Le laisser dans le mystère, là-bas, sans même dire au fond de quel faubourg il habite (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)
Je fixerai sa maladie ou peut-être [fa biffé] vaudrait-il mieux la laisser mystérieuse aussi. (Ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Je puis faire que son mari soit à Cauterets. Mais il vaudrait peut-être mieux le laisser complètement à l’écart (…). (Ibid. Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)

LAMBERT-THIBOUST

(Tibout Lambert dit) (1826-1867) Fécond auteur de vaudevilles.

Nana (1880)

L’aventure de Lambert Thiboust chez Anna Deslions. (NAF Ms. 10313, Nana. F°147- Plan).
Aventure de Lambert Thiboust chez Anna Deslions.
Puis Anna vient rechercher Lambert, en peignoir, un bougeoir à la main, le prince étant parti.
Le mot du cocher à Lambert qui attend à la porte du prince Napoléon : « Ah ! monsieur, madame nous fait Bien attendre. » (NAF Ms. 10313, Nana. F°277- Notes)
Mme Judic, à seize ans dans les Grandes demoiselles, épouse par amour Judic, employé de commerce, vit avec lui sur un pied d’amitié.
Judic enceinte de Millaud ; le mari va faire un voyage à Dieppe, et recommande que l’enfant disparaisse avant son retour. Judic a deux maris : Judic et Millaud, et en outre un prince russe, sans compter ceux de passage.
Une journée de Judic : (…). Judic très riche. Le petit hôtel bourgeois. La loge de Judic très curieuse aux Variétés (Ibid. F°280)
Offenbach disant à Judic qui descend costumée (…). (Ibid. F°281)
La loge de Judic. Basse de plafond, carrée.
L’habilleuse très laide, (…) passait à Judic un costume de bain (Niniche). Judic a pris une brosse pour brosser son costume que le blanc en poudre avait blanchi, et elle se brossait (…). (Ibid. F°313)
La régie est au fond d’un couloir, le couloir où se trouve la loge de Judic (comme à part). (Ibid. F°314)
Costumière en face loge Judic – sur la rue Montmartre. (Ibid. F°318)
5 étages. Judic au 1er. (Ibid. F°319)
Le ménage Judic Mignon, Rose Mignon (Ibid. F°340).

LAMENTABLE

Lourdes (1894)

Et il [Pierre] la [Marie] regarde, (mais garder le portrait lamentable pour plus tard). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°147)
Toute cette souffrance dans le train. Un cri de misère, le train lamentable qui va reprendre sa course à toute vapeur sous le soleil de plomb. (Ibid. F°172)
Quand on renfourne toute cette souffrance dans le train, un cri de misère, le train [ab biffé] lamentable qui va reprendre sa route (…). (Ibid. F°178)
L’abominable fatigue qui grandit. (…) Toute cette nature rafraîchie, muette, mystérieuse, sous la seule clarté des étoiles ; et le wagon (…) lamentable et vagissant, au milieu de cette nuit si belle et si douce. – (Ibid. F°210)
Toute cette nature rafraîchie, muette, mystérieuse, sous la seule [g biffé] clarté des étoiles ; et le wagon (…) lamentable et vagissant, au milieu de cette nuit si belle et si douce. – (Ibid. F°218)
Description lamentable sous le jour levant tandis qu’on descend Marie enfin, dont Pierre et son père ont apporté les roues. (Ibid. F°229)
Enfin, on part. (…) Et le lamentable défilé de misère et d’horreur. (Ibid.  F°246)
Beaux prêtres bien mis, prêtres en soutanes lamentables. (Ibid. F°348)
Je pose ainsi le V e chapitre de la quatrième partie, où j’aurai la grande opposition de la Grotte et de la Basilique triomphante, en face de la misérable chambre de Bernadette et de la ruine lamentable de l[a biffé]’église paroissiale. (Ibid. F°396)

LAMPREDO

(personnage de femme héroïque antique des romans de chevalerie)

Le Rêve (1888)

Les preuses (…) neuf femmes guerrières de l’antiquité : Tammaris, Deifemme, Lampredo, Hippolyte, Sémiramis, Tancqua, Déisille et Ménélippe (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur le château de Hautecoeur f° 374)

LANGAGE

Nana (1880)

[Satin] Et avec ça un langage d’une ordure continue. (NAF Ms. 10313, Nana. F°196- Personnages).

S’emballant comme toilette, comme langage, comme tenue, dans les dernières années de l’empire (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°231- Ebauche).

Le Rêve (1888)

La Légende dorée. Citations en vieux langage (…) D’abord on n’a que regardé des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire le texte, s’est accoutumée aux lettres gothiques, aux quelques vieux mots hors d’usage, aux tournures vieillies, abréviations, contraction de certaines consonnes, article joint au substantif sans apostrophe. Et elle lit couramment, elle se passionne. Sa seule lecture (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)
(…) Citations en vieux langage (Ibid., f° 21) \\Les citations en vieux langage (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 35)

LANGÉNIEUX (Mgr)

Évêque de Tarbes de 1873 à 1874, date à laquelle il est nommé evêque de Reims. Il est élevé au cardinalat en 1886 et meurt en 1905.

Lourdes (1894)

Ce fut Mgr Langénieux qui organisa les pèlerinages, but politique (Lourdes 244[)].(MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°349)

LANTIER

Amant de Gervaise et père de Claude et Etienne (voir L’Assommoir).

Nana (1880)

Enfin, Lantier, derrière l ginie, est à l’Assommoir po et le faire manquer à son juré qu’il ne boirait plus (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°342 verso- Notes).

LANTIER (Claude)

Héros du roman L’œuvre, 1886.

Le Ventre de Paris (1873)

Claude Lantier, et à 18 ans (en 1846) Étienne Lantier, tous deux du même père. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 243)

LANTIER (Étienne)

Héros du roman Germinal, 1885. === Le Ventre de Paris (1873) ===. Claude Lantier, et à 18 ans (en 1846) Étienne Lantier, tous deux du même père. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 243)

LA PLUPART

Lourdes (1894)

Toute cette souffrance charriée, ramenée pour la plupart sans un soulagement, et quand même l’espérance, l’espérance à une puissance supérieure. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°560)

LAPORTE

Nana (1880)

La journée chez Nana (Note Laporte, 9.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°21- Plan)
Train de maison établi (Laporte). (Ibid. F°74)
La dépense, la toilette (Laporte 18.). (Ibid. F°98)
Personnel d’amants (Laporte 17.) (…). La dépense, la toilette, etc. (Laporte, 18.). (Ibid. F°104)
Relire avec grand soin les notes de Laporte. (Ibid. F°108)
La dépense, la toilete (sic). Laporte 18. (Ibid. F°150).

Notes de Laporte et de Céard. (NAF Ms. 10313, Nana. F°240- Notes).

LARGE

La Conquête de Plassans (1874)

Pierre et Félicité (…) Ils doivent reparaitre , et tenir une large place. Mais plutôt un fond de tableau qu’un premier plan (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)

LASSERRE

Henri) Guéri en 1862 d’un affaiblissement de la vue après une application d’eau de Lourdes, Henri Lasserre de Monzie (1828-1900) publia plusieurs ouvrages sur Bernadette et les miracles de Lourdes (Notre-Dame de Lourdes en 1869, Bernadette, sœur Marie-Bernard en 1879 et Les Épisodes miraculeux de Lourdes en 1883). Zola, qui le rencontra en août 1892 à Lourdes, en fit son principal informateur et visita avec lui la maison de Bernadette, ainsi que l’église inachevée du curé Peyramale.

Lourdes (1894)

Si les livres de Lasserre ont un si gros succès, c’est (…) par l’espoir et la consolation qu’ils apportent à tous les souffrants. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°40)
Il me faudrait [voir biffé] avoir tous les dossiers administratifs de l’époque, que je demanderai, quand j’aurai lu Lasserre. (Ibid. F°65)
Tout le miracle de Mlle de Fontenay (Lasserre, 45). (Ibid. F°164)
Le mois de Marie [en interligne : N. s. L. p. 37], de Lasserre lu dans les [illisible], trente suites au prochain
numéro. Pas de roman plus passionnant, et qui puisse avoir un plus grand succès. (Ibid. F°s188-189)
On lisait le mois de Marie de Lasserre dans les églises (en mai, 30 jours). (Ibid. F°200)
On ne va demander que les guérisons physiques. Mais au fond c’est toujours le bonheur qu’on demande. (éb. 188, convers. avec Lasserre). (Ibid. F°201)
Les laudes sur Bernadette (Dalavat, Mon V. 91), Capdevielle M. V. 164, Lasserre Mon V. 141, Barbet id. 147. (Ibid. F°206)
Et enfin la première
apparition, prendre le récit dans Lasserre (…). (Ibid. F°s206-207)
Sur Bernadette jeune. Lasserre (éb. 141) (Ibid. F°220)
Bernadette, par Lasserre (1 et suivantes Lasserre). Lire tout son récit, jusqu’à la page 20. (Ibid. F°221)
Les yeux de Bernadette. (Lasserre 92) (Ibid. F°221)
Pourquoi un catholique ne croirait-il pas aux miracles ? L’histoire religieuse (Lasserre 31). (Ibid. F°274)
Donc sur Bernadette (Lasserre, pages 20 à 26.) – (Ibid. F°301)
Sur Bernadette, tout le récit (Lasserre, page 20 jusqu’à la page 26). (Ibid. F°309)
Lasserre avait choisi les missionnaires de Garaison pour monter l’affaire. (Ibid. F°349)
Conversation avec Lasserre (éb. 188). (Ibid. F°381)
Alors, en conversation [en interligne : tout Lasserre pages 25 et suivantes], pendant qu’ils [Pierre et Chassaigne] s’éloignent de la ville, tout le morceau sur Bernadette [en interligne : détails M.V. 228]. (Ibid. F°384)
Lasserre ne veut pas que Bernadette ait eu des pensées d’orgueil. (Ibid. F°397)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (Ibid. F°398)
Elle [Marie] se soulève (prendre des détails chez Lasserre, Mlle de Fontenay [) biffé], pour la marche du miracle). (Ibid. F°438)
Pourquoi celui-ci sauvé et pourquoi pas celui-là. Conversation avec Lasserre (éb. 66). (Ibid. F°448)
La crainte de se mettre ouvertement contre les Pères, la crainte d’un scandale religieux. C’est ce qui arrête tout le monde, on [préfère biffé] aime mieux faire le silence (Lasserre). – (Ibid. F°473)
On préfère faire le silence (Lasserre). – (Ibid. F°481)
Voir ce que j’aurais à reprendre dans Lasserre. – (Ibid. F°483)
Le succès de Lasserre est là. (Ibid. F°563)
Conversation avec Lasserre (éb. 65) [souligné dans la marge par Zola]. (Ibid. F°564)
Premiers chrétiens et anarchistes, avec Lasserre (éb. 69). (…) Conversation avec Lasserre. La force divine est dans l’homme, comment Bernadette a pu faire son œuvre (Lasserre 27.) (Ibid. F°566)
Premiers chrétiens et anarchistes, avec Lasserre, éb. 69. – (Ibid. F°587)
Relire tout ce que Lasserre m’a dit de Bernadette (éb. 145). (Ibid. F°596)
Bernadette à Nevers (Lasserre 37 et suivantes.) (Ibid. F°596)

Prendre tout cela dans le miracle de Lasserre [en interligne : Mlle de Fontenay]. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Maladies des yeux. Lasserre – (Ibid. Fo 170 – Notes sur les Miracles)
H. Lasserre. Notre-Dame de Lourdes par H. Lasserre. (Ibid. Fo 222 – Notes sur H. Lasserre)
Onze ans après 58, en 69, l’église presque achevée. Même dans la crypte souterraine. Et prendre la fin aux notes de Lasserre (27). (Ibid. Fo 227 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre dit qu’elle [Bernadette] ôtait ses bas, lorsque le premier coup de vent a lieu (rien ne bouge). (Ibid. Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
Ce ne fut qu’alors, selon Lasserre, après l’apparition que Bernadette acheva de se déchausser et traversa le [G biffé] canal. – (Ibid. Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
La Vierge lui [le biffé] dit un troisième secret personnel. Confidences intimes qui, d’après Lasserre, devaient sauvegarder Bernadette au milieu des périls
moraux auxquels allaient l’exposer les faveurs extraordinaires dont elle était comblée. (Ibid. Fos 240-241 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de Mgr Laurence. (…) Saint Thomas, comme l’appelle Lasserre. Il refuse même l’enquête (que de phrases dans Lasserre, pour l’en excuser !) (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Mgr Laurence ne croyait pas encore (Lasserre s’en étonne.) 288 – (Ibid. Fo 248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre mêle les miracles à son récit. (Ibid. Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre raconte la guérison de ses yeux (407) 1862. – Autre miracle. (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
Le triomphe de Lasserre, Dieu disant à la goutte d’eau de marcher (Bernadette) et la goutte d’eau emportant tout. (Ibid. Fo 255 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre dit : « Ce livre, elle [Bernadette] ne le lira jamais. » (Ibid. Fo 256 – Notes sur H. Lasserre)
La guérison de Lasserre, vendredi 10 octobre 1862. La Vierge, croit-il, l’aurait guéri, pour qu’il devienne l’historien de Lourdes. (Ibid. Fo 257 – Notes sur H. Lasserre)
Il me semble que j’étais née pour agir, pour me remuer, pour être toujours en mouvement, et le Seigneur me veut immobile. – Paroles très graves que lui prête Lasserre (327) [Bernadette]. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre dit que Dieu a béni son livre, parce que son livre s’est beaucoup vendu [)]. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Un bref de Pie IX au curé Marie-Dominique Peyramale (3 mars 74). Colère de celui-ci devant les honneurs, et rêves de Ber. au récit que lui fait Lasserre. (Ibid. Fo 265 – Notes sur H. Lasserre)

L’ASSOMMOIR

Roman de la série des Rougon-Macquart publié par Zola en 1877.

Nana (1880)

La désorganisation d’en haut par Nana, Sabine et Muffat, comme l’Assommoir est la désorganisation d’en bas.
Nana, c’est la pourriture d’en bas, l’Assommoir (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°1- Plan)
Mme Lerat me donne les détails sur Nana, entre l’Assommoir et Nana. (Ibid. F°19)
l’Assommoir autrement. (Ibid. F°27)
Le détraquement d’une famille par la luxure, trouver le dénouement effroyable, comme dans L’Assommoir. (Ibid. F°107)
Trouver la revanche de l’Assommoir, scène effroyable. (Ibid. F°137)
Nana c’est la pourriture d’en bas, l’Assommoir (…). (Ibid. F°147).

Madame Lerat. – Le personnage de L’Assommoir. (…) Se reporter pour le portrait physique et pour le caractère à L’Assommoir. (NAF Ms. 10313, Nana. F°183- Personnages)
Voir l’Assommoir, pour toute la première période (Ibid. F°191).

LAURENCE (Mgr)

Évêque de Tarbes de 1854 à 1870, donc au moment des apparitions à Lourdes.

Lourdes (1894)

L’évêque Laurence qui ne croit pas, mais qui finit par céder : Mon Dieu ! pourquoi résister au triomphe de la religion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°38)
Et pousser le triomphe jusqu’à l’enquête de Mgr Laurence, à l’acceptation par l’église. Tout le type de l’évêque. (Ibid. F°301)
Et pousser le triomphe jusqu’à l’enquête de Mgr Laurence, à l’acceptation de l’Eglise. Enfin, la victoire de la Grotte. Tout le type de l’évêque. (…) L’évêque cédant et l’empereur acceptant
tout, pour le bonheur des petits. – (Ibid. F°s306-307)
Tous les personnages historiques, l’abbé Peyramale, l’évêque Mgr Laurence, le baron de Massy, le commissaire Jacomet, etc. – (Ibid. F°309)
Et [en interligne : les missionnaires de Garaison choisis pour l’exploitation par Mgr Laurence] les faire sentir derrière ramassant tout. (Ibid. F°332)

Portrait [du P biffé] du curé Peyramale (53). Mgr. Laurence l’approuve. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de Mgr Laurence. Cœur chaud, tête froide. Intelligence pratique. Saint Thomas. (Ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
Enfin Laurence finit par céder (…). (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Portrait de l’abbé Peyramale (53). Réserve, malgré sa nature. Mgr Laurence, évêque de Tarbes, l’approuva. (Ibid. Fo 236 – H. Lasserre)
Portrait de Mgr Laurence. (…) Saint Thomas, comme l’appelle Lasserre. (Ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Mgr Laurence ne croyait pas encore (Lasserre s’en étonne.) 288 – (Ibid. Fo 248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Alors Mgr Laurence finit par céder. Le 28 juillet il rendit une ordonnance (307). (Ibid. Fo 250 – Notes sur H. Lasserre)
Mgr Laurence, au nom de l’Evêché, acheta de la ville, la grotte, le terrain qui l’entoure et toutes les Roches Massabielle. (Ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
Lourdes paroisse. Toutes les cloches sonnaient (445). Procession. Mgr Laurence en était – (Ibid. Fo 254 – Notes sur H. Lasserre)
En 1863 il va à Lourdes remercier la Vierge. Il connaît Peyramale, il cause avec B. Mgr Laurence lui ouvre les archives
de l’Evêché. (Ibid. Fos 257-258 – Notes sur H. Lasserre)
Au travers de son évêque (Mgr Laurence), [le père Sempé] exploite la maladie du curé [Peyramale], obtient la direction de la grotte. (Ibid. Fo 283 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

LAURENT

(nom d’un personnage de Thérèse Raquin, 1868)

Le Ventre de Paris (1873)

Ses luttes, parce que Laurent [sic] est son beau frère. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 88)

LAZARE

Ce personnage du Nouveau Testament hante Zola au moment de la rédaction de Lourdes : en décembre 1893, il compose Lazare, une pièce lyrique où le ressuscité obtient de Jésus qu’il le replonge dans le sommeil éternel.

Lourdes (1894)

Et alors sur l’homme que le père Fourcade a voulu
ressusciter. (…) Il aurait pu crier : Mêle biffé] Mêlez-vous donc de vos affaires. C’était si bon d’être mort, et voilà qu’on le faisait revivre. Les imprécations de Lazare. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s287-288)
Si cela avait réussi, est-ce que le ressuscité n’aurait pas pu lui dire : De quoi vous êtes-vous mêlé. Peut-être ne venait-il pas pour être guéri, cet homme. Et les imprécations de Lazare pour terminer. (Ibid. F°293)
Le Commandeur imprécation de Lazare. (Ibid. F°602)

Les
furieuses parades que Lazare pourrait adresser au Christ (…).(MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 108-109 – Notes sur le Commandeur)
Puis je l’aurai une fois à la Grotte, et là la colère de Lazare ressuscité. (Ibid. Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Et tout ce qu’il dit, à propos de Lazare. (Ibid. Fo 112– Notes sur le Commandeur)

LE

Voir aussi : Un Consigne relevant de « l’elocutio ».L’article défini devant un mot ou un syntagme figé le transforme en substantif .Dénote et souligne, souvent dès l’Ebauche, le choix d’un mot-clé, le travail sur le vocabulaire, souvent dans la toute première esquisse d’un dialogue, d’une « scène »un peu dramatique ou importante pour le destin des personnages.

Le Rêve (1888)

Le je t’aime d’Angélique (…) Tout l’au delà des voix se fondant dans ce mot (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 261/44)
Le : je t’aime de Félicien peut venir alors (…) Et Félicien en arrivant au : Je t’aime murmuré (Ibid., f° 290/73)
Le je t’aime qui la fait s’enfuir (Ibid., f° 294/77)

Et là le : je vous aime de Félicien à l’oreille (NAF MS 10323 Le Rêve chapitre V f° 76)
Angélique effarée par le : je vous aime (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 82)
tranquilliser Angélique effarée par le Je vous aime (…)
après le je vous aime de lui, tout ce chapitre est un repos pour arriver au chapitre suivant au Je vous aime d’elle (…) terrifiée dans son ignorance par le Je vous aime (Ibid., premier plan du chapitre VI, f°s 87-88)
tout cela pour arriver à son aveu, au je vous aime qui répond à celui de Félicien (…) arriver à son je vous aime (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f°s 97- 98)
le je vous aime d’Angélique (Ibid., premier plan du chapitre VII f° 99)
jusqu’au je vous aime (Ibid., f° 102)

LEAR

La Terre (1887)

Pourtant, il faut qu’à la fin Beaugrand soit piller [sic] par ses enfants, le roi Lear. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 422/23 – Ebauche)
(…) La cinquième partie, c’est la débâcle totale, le roi Lear, Louise morte, Bonhomme triomphant ou non (Ibid., f° 424/25)
(…) III.Retour chez Bonhomme, longue agonie du père. Le roi Lear. Le gendre, tous les fils. Finir le braconnier et sa fille. Fin des Charles, Elodie mariée, partant de la maison. Finir les retraités : leur petite fille reprend la maison. Le docteur Finet pour Fouan. (Ibid., f° 503/5 – Plan)

LECTEUR (LECTURE)

Voir aussi : Légende ; Livre ; lire ; texte ; volume ; publication ; édition.

La Curée (1872)

A la fin du chapitre, il faut que les lecteurs comprennent le drame (MS NAF 10 282, La Curée, f°317 / Premiers détails).

Le Ventre de Paris (1873)

Lecture d’un livre où il est dit : Il est permis de tuer le tyran. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 84-85)

La Conquête de Plassans (1874)

Il faut qu’il ait là un coup de scène que le lecteur lui-même n’attende pas ; le lecteur
doit croire que Mouret n’est pas fou. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXV F˚ 13-14)

Le Rêve (1888)

Il faudrait, pour première condition, qu’il /mon livre/ pût être mis entre toutes les mains, même les mains des jeunes filles (…) je voudrais forcer les gens à confesser que je suis un psychologue (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 217/1)
(…)livre entre toutes les mains (Ibid., f° 218/2)
(…) « Le Rêve » serait le titre du volume, et c’est surtout ce qui me plait (…) Et cela serait franc puisque le titre avertirait le lecteur « voilà du rêve, je le dis, prenez-le comme tel ».Et alors sans ironie trop ( Ibid., f°226/10) \\Une lecture de la vie des saints (?) (Ibid., f° 50. A reclasser sans doute dans le dossier Ebauche)

Lecture de la Vie des Saints (MS NAF 10323 , Plan, f° 2, résumé du Plan du chapitre III)
(…) La légende dorée (…)elle lit couramment, elle se passionne. Sa seule lecture –Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)

En dehors de ses livres classiques étroits et secs elle a la Légende dorée, sa seule lecture (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
une lecture de la vie des saints (?) (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
Il faut que Félicien reste inconnu du lecteur lui-même jusqu’à ce qu’on le voie dans la procession (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 63)
alors épanouir tout le mysticisme qui est en elle par ses lectures (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 64)
Ne pas dire que le duc a fait revenir son fils. Laisser le lecteur dans l’ignorance comme Angélique (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Elle ne doit absolument pas soupçonner qui il est ni le lecteur non plus (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 74)

Lourdes (1894)

Et, quand j’aurai bien passé cette atroce souffrance charriée, mettre l’espoir, une lecture [qui biffé]
faite dans le wagon de troisième classe (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s69-70 )
C’est alors que Pierre, qui a toujours aimé Bernadette, peut parler d’elle à tout le wagon, en commençant une lecture. (…) On fait des lectures de piété, n’importe qui, un prêtre, une sœur, un laïque. (Ibid. F°197)
La lecture au milieu de tout cela. (Ibid. F°198)
Mais là déjà je suis dans l’autre chapitre et j’ai commencé [de biffé] la lecture de Pierre sur Bernadette. Il faut donc qu’après les prières du soir, il reste un peu de jour (non, car la nuit arrive vers 7 ¾ [)] ; enfin, il faut que la lecture commence à la lampe après la prière du soir, vers huit heures. (Ibid. F°199)
Dès 8.20, je puis faire commencer la lecture. (…) Tous les exercices sont faits, les cantiques chantés ; et une lecture est possible. (Ibid. F°202)
C’est Marie qui demande à Pierre de lire. [en interligne : On demande une lecture.] Elle a emporté un petit livre sur « Bernadette Soubirous », un de ces livres de colportage, sortis des presses catholiques et répandus à profusion. (Ibid. F°202)
La nuit est tombée et c’est Pierre, sollicité, qui fait une lecture. (…) Pierre s’approche de la lampe, se met même debout, enfin s’arrange pour voir clair, et la lecture commence. – (Ibid. F°212)
C’est donc une heure à employer, et puisque tous les exercices de piété sont faits, tous
les cantiques chantés, on va faire une lecture. Le petit livre de [Bernade biffé] Marie sur Bernadette. Pierre s’offre à lire. (…) On traverse les plaines rases de Lourdes ; et quand arrivent 9h et que sœur Hyacinthe veut arrêter le lecteur (il n’aura commencé qu’à 8 ½), on la supplie de laisser continuer. La discipline fléchit. Je voudrais que la lecture continuât jusque vers onze heures. Pour cela, il faudrait peut-être que Pierre, qui a commencé par lire, continue en improvisant (…). (Ibid. F°s216-217)
Poser tout de suite (…) que Pierre pourra proposer une histoire, une lecture, la continuation de la lecture du petit livre sur Bernadette, qu’il trouve sur la petite valise de Marie. – (Ibid. F°296)
Enfin, pour la [Marie] calmer, [la biffé] sœur Hyacinthe ou madame Jonquière autorise la lecture. (Ibid. F°300)
Je couperai la [re biffé] lecture par les retours à la salle. (…) Et la force de l’illusion, dans cet enfer où luit quand même l’espérance, à mesure que la lecture a lieu. (…) Développer donc la force de l’illusion dans cette salle, avec la lecture. (Ibid. F°300)
Je veux en arriver à ce que Pierre (…) reprenne le petit livre qui appartient à Marie, et continue la lecture sur Bernadette. (Ibid. F°306)
Donc ne développer guère que cette [lettre biffé] lecture, et restreindre les autres épisodes. (Ibid. F°307)
Et finir par Marie calmée, résignée
à la suite de la lecture. (Ibid. F°s307-308)
C’est un enfer que cette salle. La bien poser pour y développer la force de l’illusion, le besoin de mensonge, avec la lecture. (Ibid. F°308)
L’avantage de ces deux témoins, c’est (…) de faire que cette fois, ce n’est pas une lecture sur Bernadette, mais [un biffé] des récits, une conversation. (Ibid. F°392)
Dire qu’une lecture sera faite [p biffé] après les Aulrays [sic], pendant qu’on déjeunera dans le train, et cela jusqu’à Etampes, ce qui donne près de deux heures – (Ibid. F°569)
Elle [Bernadette] est alitée, elle reste des journées dans un fauteuil et alors elle lit son Rosaire,
(…) ou bien elle lit, la lecture la passionne, surtout celle de la Bible. Rappeler la Bible, qu’on lisait tous les soirs à Bartrès, l’épingle piquée, la lecture commencée en haut de la page de droite. (Ibid. F°s571-572)
La lecture finit avant d’arriver à Etampes (140). Là on lit le 3e chapitre, le mystère glorieux (p. 154). Mais aussi le wagon revient, effet produit par la lecture, nommer seulement et le moins possible les personnages. (Ibid. F°580)
Et c’est Pierre qui lira la vie de Bernadette au couvent et sa mort. [Toutes les biffé] Il faudrait sans doute que cette lecture fût coupée, et que [les biffé] Pierre fît les réflexions tout bas, à part lui. (Ibid. F°594)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages, et de n’avoir dans ce chapitre que Pierre lisant
la vie et la mort de Bernadette au couvent. Bien entendu avec toutes les réflexions et les conclusions que cette lecture soulève. (Ibid. F°s595-596)
Puis, la nuit qui tombe, et une lecture faite par l’abbé [en interligne : l’homme meurt]. (Ibid. F°601)

Travail (1901)

Mais gros d’une création à faire, très nourri déjà de lectures, ayant lu tous les ouvrages des précurseurs Saint-Simon, Fourier (surtout), Comte, etc. (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 372/25)

LEFEBURE

Auteur d’un ouvrage sur la broderie, Broderie et dentelles, consulté par Zola pour préparer Le Rêve).

Le Rêve (1888)

Un morceau sur toutes
les belles broderies qui se trouvent dans Lefeuvre (deuxième plan détaillé du chapitre IV f° s 83-84)

LÉGENDE / LÉGENDAIRE

(voir aussi Légende dorée) (genre de texte oral ou imprimé)

Nana (1880)

(Il doit partir le lendemain, il va se marier à Moscou : une légende.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°38- Plan).

Le Rêve (1888)

Faisant l’éducation de la petite, la peuplant de légende (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 230/14). Notes Les Hautecoeur- Le Château- Les armoiries- Histoire et légendes- Beaumont L’Eglise et Beaumont-La-Ville- Histoire- Plan (MS NAF 10324, f° 244)
(…) Légendes des Hautecoeur (…) Elle a marché un instant dit la légende (Ibid., f° 253)
(…)Les ruines (…) du château (…) Cela me permettrait d’y mettre les légendes (Ibid., f° 255)
(…) Je rappellerai ça deux fois dans le livre, et j’aurai tout ainsi, les deux légendes anciennes avec le défilé des noms (Ibid., f° 256)
(…) Au XIIIe, presque tout de suite, je place ma première légende (…) je saute au XIV siècle (…) enfin au XVI (…) je voudrais une légende ou plusieurs avec Irénée, Gudule, Yvonne, Autriberthe, etc. Et Paule à Paris (Ibid., f° 266).

Les légendes exposées, le fils de l’évêque qui est revenu etc./ (…) les légendes des mortes heureuses (…) les légendes des mortes jeunes, heureuses (NAF MS 10323 Le Rêve.F° 51-53, f° s à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou premier Plan du chapitre III)
(…) Un château ruiné dans les environs, et toutes les légendes que je voudrais (Ibid., .F° 52)

Mais ce qu’il me faut surtout c’est une légende sur le château . Une légende de femme
(…) Elle a marché un instant dit la légende (NAF MS 10324 Le Rêve f° 367-368- Notes sur le château de Hautecoeur) Alors les grandes divisions faites par moi de la légende (…) la légende
des Sept dormants et de Saint Clément. Là j’interromps la légende pour la 1ère communion (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20-21) \\En outre influence du travail des broderies. La Vie des Saints . Le mysticisme, la légende, l’au-delà (…) la légende dans
laquelle on vit là (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 25-26)
(…) Poser là ou au suivant la légende des Hautecoeur (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 31)
(…)Les saints. Les diables. Et la bataille entre eux (…) la légende des Sept dormants et celle de Saint Clément. (Ibid., Premier Plan détaillé du chapitre II, f° 34)
(…) Angélique (…) a vu dans les légendes qu’on ne peut /illisible/ sans le secours de Dieu (Ibid., f° 39).

Un mot de la chapelle où sont enterrées les chatelaines (par les légendes) (…) (Ibid., Second plan détaillé du chapitre III, f°41)
C’est ta légende qui t’emporte. Et toutes les objections. Ah ! (Ibid., f°44)
les légendes exposées, le fils de l’évêque qui est revenu, etc.( premier plan du chapitre III f°51)
prendre tous les Hautecoeur, les titres, l’histoire et les légendes (…) tous les Hautecoeur, leurs histoires, les légendes, les mortes jeunes et heureuses (premier plan du chapitre III f°54)
et surtout les légendes des mortes jeunes (deuxième Plan du chapitre IV f° 58)
Les légendes des châtelaines là seulement (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 62)
donner aussi les trois légendes des chatelaines (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
D’autres scènes prises à la légende autour (XIIe siècle) (…) énumérer les autres (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Son fils, mort de sa femme, à propos de la légende des chatelaines mortes jeunes (Ibid., Premier plan du chapitre IV, f° 68)
Prendre la légende de Saint Georges dans la légende dorée (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70) \\. La légende des mortes jeunes dans le bonheur. Leur corps est là (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 71)
C’est là \\seulement que je rappelle la légende des Hautecoeur, tous ceux qui ont fait leurs dévotions à ses saints (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° s 105- 106)
dans une gloire légendaire, le fils des seigneurs (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 110)
C’est une cérémonie légendaire (premier plan du chapitre VIII f° 111)
dans une gloire mystique et légendaires, le fils du seigneur, le descendant de tant de seigneurs, le fils des légendes (Ibid., premier plan du chapitre VIII, f° s 114-115)
Les légendes qu’elle sait et dont elle se souvient en lisant les noms (Ibid., deuxième plan du chapitre X, f° 132)
Quelque chose de légendaire et de mystique, de frêle, de primitif, d’élancé dans la passion, de passionnement chaste (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 133)
Quelque chose de mystique et de légendaire, de frêle, de primitif, d’élancé dans la passion, de passionnément chaste (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
Reprendre les légendes des châtelaines de Hautecoeur (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 140)
c’est aussi le morceau où revient naturellement la légende (deuxième plan détaillé du chapitre XI f° 146)
La légende est là (deuxième plan du chapitre XII, f° 158)
La légende, une dernière apparition des Vierges, Agnès, Catherine, Barbe, toutes, les reprendre avec leurs attributs (…) L’idée de virginité (deuxième plan du chapitre XII, f° 162)

Voir si une légende ne pourrait pas expliquer que les Hautecoeur guérissent les maladies (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f°178)
A arranger. Mêler la légende à l’extrême-onction, s’il est possible (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)
Les légendes des chatelaines de Hautecoeur mortes jeunes dans la joie (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)

Lourdes (1894)

Donc, pour me résumer, l’œuvre de la grotte enrichissant Lourdes et la pervertissant, le cri de la souffrance humaine et l’immense besoin de l’illusion et de l’au-delà, et toute la légende, toute l’histoire vraie aussi de Bernadette par derrière cela. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°43)
Le vaste horizon, reprendre la foule [en interligne : (M.V. 197)], les jardins, le Gave, le château (légendes du Moyen Âge) [en interligne : (M.V. 132)], Lourdes tout entier. (Ibid. F°453)
Se servir du Château, du Moyen-Âge, de la légende, peut-être. – (Ibid. F°462)
Peut-être valait-il mieux que Bernadette fût restée à Saint-Gildard, que de triompher à Lourdes. Plus touchante, plus fine et légendaire. (Ibid. F°596)

L’atavisme qui le prédisposait à la foi, un admirateur de Bernadette qu’il a pu connaître. Le fond légendaire se réveillant en lui. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 66 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Et là retrouver, suivre, étudier et peindre ce duel incessant entre la science et le besoin de surnaturel :
(…) puisque la science ne guérit pas à coup sûr, on s’adresse à l’inconnu, à la légende, au miracle (…). (Ibid. Fos 208-209 – Notes sur Un roman sur Lourdes)

Travail (1901)

C’est dans leurs enfants que je voudrais achever l’évolution, l’humanité sortie du travail pénible et homérique, Morfain le
fondeur devenant légendaire (…) un héros d’Homère (F°425-426) ==== LÉGENDE DORÉE ==== (livre de piété, recueil de vies de saints composé par Jacques de Voragine au milieu du XIIIème siècle)

Le Rêve (1888)

(…) J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage . En dehors de ses quelques livres classiques étroits et secs, la légende (…) Il est là depuis sa publication (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20) \\(…) Indiquer dans quel monde la Légende l’a mise (…) (Relire absolument Leg.Dor.4) (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 22).

C’est là que je mets la légende dorée intimement liée à l’instruction et à l’éducation d’Angélique (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f°33)
(…) En dehors de ses livres classiques étroits et secs elle a la Légende dorée, sa seule lecture (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f°33).
(…) Alors la Légende dorée en général, le monde qu’elle lui montre (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f°34)
(…)Pour ne pas avoir de paquet, je tacherai de mettre entre chaque masse de La Légende dorée, du récit, même des conversations s’il est possible, d’autres choses enfin (…) la charité quand elle donne (…) vient aussi de la Légendre /sic/ (Ibid., Premier Plan détaillé du chapitre II, f° 35)
(…) Bien dire cela et lire absolument mes notes (Leg.dorée 4) (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, .F°36)
(…) La question d’éducation par le milieu, par la Légende dorée (Ibid., f° 39).
et là il me faut donc reprendre le diable toujours battu (Lég. dorée 4) (Ibid., f° 42)
son amour pour le saint qui délivre la fille du roi .Leg.dorée 6 (Ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
Dire dans quel monde miraculeux la Légende la fait vivre . Elle ne voit le monde que par la Légende (…) Elle ne voit le monde que par la Légende (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)
l’idée d’être aimée par un ange (…) Voir Leg.dorée 4 (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
tout le peuple de la Légende (Ibid. f° 61)
(…) Elle ne voit le monde que par la Légende (Ibid. f° 62)
Je reviens là à la Légende dorée. D’abord pour le vitrail (…) Tout ce peuple de la légende dorée (…) Gaie, malgré la Légende dorée (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Voir absolument mes notes (Leg.dorée 4). Saint Georges n’est pas bien pour Félicien (Leg.dorée 6) (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 68)
Prendre la légende de Saint Georges dans la Légende dorée , vieux français (Ibid., premier plan du chapitre IV, f° 70)
Comparaison avec les saintes de la Légende (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 84)
Tout s’y fond , l’attente, la création de l’amant, le vitrail, la Légende (deuxième plan détaillé du chapitre VII f° 98)
La Légende dorée revient (Plan du chapitre IX. f° 124)
Hubert est pour la grâce (Leg.dorée 5) (premier plan du chapitre X, f° 139)
voir si la Légende dorée peut revenir (premier plan du chapitre XI, f° 156)
(Leg.dorée-4) (deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
Je voudrais là, ou au chapitre suivant, le rappel des Vierges de la Légende dorée. Elles repasseraient (Ibid., Premier plan du chapitre XII, f° 168)
Voir absolument Leg.dorée 4 (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)

LE REVE- NOTES

La Légende dorée (NAF MS 10324 f° 1)

Lourdes (1894)

J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. Ce serait pour mettre dans le premier le réveil naïf du vieux catholicisme, celui de la Légende dorée (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°60)

LÉGÈRETÉ

Le Ventre de Paris (1873)

C’est d’une légèreté et d’un caprice fantastique*. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 296)

LÉON XIII

Pape.

Lourdes (1894)

Cela n’entrave pas le mouvement de la science, mais expliquer comment cela se produit. Le moment politique aussi, Léon XIII, le socialisme religieux, etc. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°41)
Et la mystique d’à présent, le néo-catholicisme, même celui de Léon XIII, qui aurait demandé « Est-ce qu’il y a des guérisons à Lourdes » et qui, sur un réponse affirmative, aurait ajouté : « Eh bien ? qu’on tâche de les constater le plus scientifiquement possible. [»] (Ibid. F°50)

LETESSIER

(Caroline) Courtisane.

Nana (1880)

Les pas jolies, mais spirituelles, le chien. Caroline Letessier Avec un baron, à la pose. (NAF Ms. 10313, Nana. F°252/1- Notes)
Caroline Letessier mettant d’Antigny au Grand Hôtel- La mort entourée d’amies. (Ibid. F°254/3)
Caroline Letessier laide, âgée. esprit, très mordante. (Ibid. F°267/27).

LETTRE (correspondance)

(genre de texte imprimé ou manuscrit)

Nana (1880)

Une lettre écrite par madame Maloir à Daguenet, pour remettre un rendez-vous. (NAF Ms. 10313, Nana. F°15- Plan)
Les lettres (Ibid. F°17)
Elle a bien songé à écrire une autre lettre à Daguenet pour lui dire de venir (…). (Ibid. F°18)
Elles adorent les lettres. (Ibid. F°21)
Le bec de gaz où l’on lit les lettres. (Ibid. F°49)
Madame Bron a paru, apportant des bouquets, des lettres
Simonne accepte, mais Mme Bron vient de lui apporter une lettre (…). (Ibid. F°50)
Toutes les femmes reçoivent des lettres. Elles adorent les lettres emphatiques. (Ibid. F°61)
Elles adorent les lettres « Tu m’écriras » la lettre emphatique très aimée (Ibid. F°64)
Rappel de la campagne, Georges est resté là-bas : des lettres très tendres : elles adorent recevoir des lettres. (Ibid. F°67)
Voir si une lettre de Georges ne viendrait pas bien là (Ibid. F°69)
Le bec de gaz où les amants viennent lire la lettre : « pas possible ce soir, mon chéri, etc., etc. (Ibid. F°74)
Fontan écrivant les lettres à Georges, reçues chez Mme Lerat (Ibid. F°80)
La lettre de Georges Zoé l’apporte, Fontan répondant : « Mon cœur. » (Ibid. F°81)
Les femmes adorant les lettres, emphatiques, d’amour (Ibid. F°86)
Ensuite elle enlève Satin à Madame Robert, qui écrit des lettres anonymes. (Ibid. F°99)
Les lettres anonymes de Mme Robert. (Ibid. F°100)
Une lettre de Georges. Les lettres qu’elle fait répondre. (Ibid. F°108)
J’ai lui avec bien de l’émotion la lettre collective que vos excellents artistes m’ont écrite. (Ibid. F°111- verso)
Rose ayant pris la lettre à Fauchery (…). (Ibid. F°121)
C’est ce qui enrage Rose Mignon et ce qui lui fera envoyer la lettre. (Ibid. F°123-4)
(elle pourra le questionner pour savoir s’il a reçu la lettre.). (Ibid. F°131)
Il a pu savoir que Muffat avait reçu la lettre, et il vient s’entendre avec Nana./Alors Muffat décomposé parlant de la lettre. (Ibid. F°132).

(Il est venu sur une lettre de la mère, qui peut être l’amie du vieux dégoûtant). (NAF Ms. 10313, Nana. F°211- Ebauche).

Le grand bonheur de recevoir des lettres. « Tu m’écriras » La lettre emphatique très aimée. (NAF Ms. 10313, Nana. F°253/22- Notes)
Lorsqu’elle va chanter dans le monde et qu’elle reste : son mari se fait apporter une lettre. (Ibid. F°280)
On y voit des bouquets, des lettres, toutes sortes de chose (sic). (Ibid. F°311).

Le Rêve (1888)

Lettre aussi refusée (?) (MS NAF 10323, Le Rêve, Premier plan du chapitre VI f° 91)

Lourdes (1894)

La lettre que j’ai reçue (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°28)
Et il apprend par la lettre d’un ami l’accident arrivé au chef, une attaque d’apoplexie qui le laisse gaga (…). (Ibid. F°113)
Le dossier que Pierre trouve chez son père, (…)
et lettres confidentielles. (Ibid. F°s150-151)
Pour Lourdes, (…) enquêtes de toutes sortes, lettres confidentielles. (Ibid. F°163)
Elle [madame Vêtu] horlogère, son mari un peu à son aise. Une lettre reçue peut-être, donnant des détails sur le petit commerce. (Ibid. F°299)
Et le facteur (…) apportant une lettre pour Mme Maze. (Ibid. F°314)
Et pourtant finir par une joie : le courrier distribué à toute la salle, la lettre qui apprend à Vigneron que son chef est mort, il va sans doute passer chef de sous-chef. (Ibid. F°316)
Quand Majesté [avec biffé] cause avec Pierre et M. de Guersaint, le facteur arrive, a une lettre au nom de madame Maze, et c’est Pierre qui indique qu’elle est aux Sœurs bleues. Amertume de Majesté, d’autant plus qu’il peut y avoir d’autres erreurs, d’autres lettres pour des dames qui sont aux Sœurs bleues.– (Ibid. F°324)
D’autre part, la lettre peut-être annonçant la maladie du chef, [en interligne : ce] qui permettrait à Vigneron d’être nommé chef. (…) La lettre tout de même, mais pas encourageante. (Ibid. F°326)
Donc la lettre qu’il [Vigneron] reçoit est une première marque de la faveur de la Vierge, qui lui fait espérer davantage. (Ibid. F°327)
Mme Maze, la poser (la lettre qu’elle a reçue) – (Ibid. F°366)
Et poser là sans doute la Grotte tout entière, telle que je l’ai visitée, en y faisant entrer Pierre. Détails complets, les lettres dans un coin. (Ibid. F°375)
Devant la Grotte (éb. 10-42) – Nouveaux détails. 80 – Lettres jetées (79). (Ibid. F°381)
(…) [en interligne : celle-ci [Mme Maze] a reçu une lettre, sait que son mari est à Luchon avec une maîtresse] (…). (Ibid. F°418)
Ce défilé surtout piétinant dans la Grotte, avec des lettres jetées, des cierges donnés pour qu’on les brûle, des bouquets apportés (…). (Ibid. F°422)

LETTRE (écriture)

Le Rêve (1888)

La Légende dorée. Citations en vieux langage (…) D’abord on n’a que regardé des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire le texte , s’est accoutumée aux lettres gothiques, aux quelques vieux mots hors d’usage , aux tournures vieillies, abréviations, contraction de certaines consonnes, article joint au substantif sans apostrophe. Et elle lit couramment, elle se passionne. Sa seule lecture (NAF MS 10323.2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20).

D’abord, enfant, elle n’a fait que regarder des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire du texte, s’est accoutumée aux lettres gothiques (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).

Lourdes (1894)

D’autre part les mots : « Je suis l’Immaculée conception » sont très singuliers dans la bouche de cette enfant. (…)
On leur donne une grande importance, ils sont en lettres plus grosses, sur la longue inscription qui tient toute une grande table de marbre, près de la grotte. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s62-63)

LIER / LIEN / LIAISON

Le Ventre de Paris (1873)

(Lacaille et Alexandre font un peu bande à part, le lien n’a lieu que plus tard; ils mangent à côté de Florent: Lacaille ne peut entrer dans les forts, parce qu’il est trop vieux.) (Ms Naf 10.338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 108)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Faire comprendre que la Teuse a une nouvelle, la maladie d’Albine (c’est le lien général du commencement du chapitre. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 27)

Nana (1880)

[Juillerat] C’est lui, très parisien, qui pourra être le lien des personnages dans ce premier chapitre. (NAF Ms. 10313, Nana. F°11- Plan)
(…) je finirais d’établir la liaison de Juillerat et de la comtesse. (Ibid. F°64).

Il peut avoir un lien avec l’amant de cœur. (NAF Ms. 10313, Nana. F°209- Ebauche)
Voyons les liens qu’il pourrait y avoir entre ces personnages. (Ibid. F°210).

La Terre (1887)

Il faut, d’abord, que j’organise les trois histoires (Bonhomme, Beaugrand et Bouffard) pour la lier l’une à l’autre. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 411/12- Ebauche)
(…) Jean serait donc garçon à la ferme, après quelle aventure. Bonhomme peut y faire ma corvée avec lui, d’où connaissance et lien. Et il ne faudrait qu’un petit lien pour tout avoir. (Ibid., f° 464/56)

Le Rêve (1888)

là que je mets la légende dorée intimement liée à l’instruction et à l’éducation d’Angélique (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 33)
C’est là le lien avec le chapitre suivant (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 124)

LIEN

Lourdes (1894)

Quant au combat contre la superstition, je le mettrai dans mon troisième volume « Paris ». Ce sera le lien qui assurera les trois volumes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°4)
Et le [Ferrand] poser ainsi que la sœur, le lien qu’il y a entre eux, leur histoire. – (Ibid. F°167)
Je pourrai pourtant prendre Pierre comme lien naturel entre les divers épisodes. Il peut
connaître du monde. S’il y a un lien entre madame Volmar et lui, soit par la confession, soit d’une autre manière, il faudra le dire là : il saurait qu’elle va rejoindre un amant. (Ibid. F°s178-179)
Et le sentiment qui le [Pierre] fait s’éloi- \\gner, lié à son analyse. – (Ibid. F°s375-376)
Ce qui me donne le chapitre, c’est Marie, guérie, qui veut aller partout avec son père et Pierre, ayant une soif de montrer combien elle est forte. C’est le lien, la poussée du chapitre. (Ibid. F°503)

Cela est pour mettre un lien entre lui et les Guersaint, de façon qu’au départ, lorsque Marie est guérie et que lui va mourir, il dise la parole de conclusion. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 113 – Notes sur le Commandeur)

Travail (1901)

Il y a encore un point à régler. C’est le lien qui unit Suzanne à Luc (F°439) ==== LIEU (AU) / (AVOIR) ====

La Conquête de Plassans (1874)

Voir s’il y a lieu de faire passer l’empereur dans la ville? (NAF MS 10288 La Conquête de Plassans, F°1- Plan)
La conversation a lieu dans le jardin, pendant que Marthe travaille et que les enfants jouent (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan III F° 5)

Nana (1880)

Voir s’il y a lieu de reparler de la séparation. (NAF Ms. 10313, Nana. F°137- Plan).

– au lieu d’un sénateur pour mon vieux, je chercherai sans doute autre chose. Il devient imbécile. (NAF Ms. 10313, Nana. F°210- Ebauche).

La Terre (1887)

Il reviendra par héritage. Et il répond : Mais Louise. Non ! L’entêtement stupide. Donc, il refuse. Son frère – non tout cela est mauvais, cela augmente la propriété au lieu de la diviser. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 414-5/16-17 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Cela pourrait avoir lieu pendant le travail de broderie (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 244/28)
(…) terrain vague (…) c’est là que l’épisode de la charité aura lieu (Ibid., f° 291/74)
(…) La maison des Hubert doit être collée au cha
teau au lieu d’être collée à l’église (Ibid., f° 309/92-310/93).
Elle peut travailler à la lampe (…) Félicien monte (…) mais cette venue ne peut avoir lieu que sur un motif (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 164)

Lourdes (1894)

Je tiens absolument à ne pas sortir du temps présent, et je ne pourrais sans doute avoir le passé que par des visites (…) ; cela revenant en temps et lieu, de façon à ne pas trop couper l’intérêt du récit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°59)
Puis, pourquoi il accepte,
par tendresse pour la malade, et aussi avec la volonté de continuer ses études sur les lieux. (Ibid. F°s97-98)
Au lieu de crise, elle [Bernadette] a une hystérie de forme spéciale qu’indiquent les accès [d’ats biffé] d’asthme. (Ibid. F°208)
Le mort, donne lieu à des chuchotements. (Ibid. F°235)
De même le miracle de la résurrection proposé par le père Fourcade n’aura lieu qu’à 4 heures. (Ibid. F°254)
Poser tout de suite [en interligne : parler aussi de la communion qui aura lieu à minuit] que Pierre pourra proposer une histoire (…). – (Ibid. F°296)
Et la force de l’illusion, dans cet enfer où luit quand même l’espérance, à mesure que la lecture a lieu. (Ibid. F°300)
Au lieu de lui rendre la foi, le prétendu miracle achèvera de ruiner la foi en lui [Pierre]. (Ibid. F°436)
Au lieu de lui rendre la foi, le prétendu miracle a achevé de ruiner la foi en lui [Pierre]. (Ibid. F°460)
D’abord, en [récit biffé] conversation, très simplement, la description des lieux, et comment la famille et Bernadette y vivaient. (Ibid. F°471)
N’est-ce pas dangereux et ladre de laisser vivre la superstition ? Ne faudrait-il pas plutôt en opérer violemment l’humanité, au lieu de la laisser dans cet état
de faiblesse (…). (Ibid. F°s582-583)
Voir s’il y a lieu de faire passer le Commandeur qui doit mourir le lendemain. (Ibid. F°604)

Lasserre dit qu’elle [Bernadette] ôtait ses bas, lorsque le premier coup de vent a lieu (rien ne bouge). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)

LIGNE (SUR TOUTE LA)

Le Ventre de Paris (1873)

Cancans sur toute la ligne.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 74)

Nana (1880)

Et la ligne du bois au fond avec le public pas payant sous les arbres nains. (NAF Ms. 10313, Nana. F°123- Plan).

Pot-Bouille (1882)

Jusqu’ici, je n’ai pas la grande ligne philosophique. Il me faudrait peut-être pour l’avoir prendre un ouvrier et le poser en comparaison (MS NAF 10321, Pot-Bouille, f° 386)

La Terre (1887)

Rappeler son histoire à Plassans en quelques lignes (MS NAF 10329 La Terre f° 5 – Personnages, Jean Macquart)

Lourdes (1894)

Naturellement, garder Pierre et Marie au centre. C’est eux qui doivent tout mener, je les pose d’abord, dès les premières lignes (…) – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°136)
Faut-il la [Sophie Couteau] faire monter à la fin du chapitre, ou bien la faire monter dès les premières lignes de l’autre. (Ibid. F°178)
Je crois que, pour le balancement des lignes, je dois faire reprendre le petit livre de Marie. (Ibid. F°594)

Travail (1901)

Mais il faudrait tout de suite les grandes lignes du drame entre eux (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 360/13)

LIGNÉE (voir aussi BRANCHE)

Le Ventre de Paris (1873)

Mon héroïne sera dans la famille une exception à la lignée nerveuse. Elle sera un Rubens. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 48)

LIRE / RELIRE

Voir aussi : livre ; livret.

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Jeanbernat, ce qu’il dit (les livres). Philosophie, le rayon de soleil qui passe. L’art est de le faire. Il n’y a rien. Jeanbernat lit. Les livres. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 24)

Nana (1880)

Le bec de gaz où l’on lit les lettres. Mme Bron a dû emporter des réponses qu’on y lit. (NAF Ms. 10313, Nana. F°49- Plan)
Le bec de gaz où les amants viennent lire la lettre : « pas possible ce soir, mon chéri, etc., etc. (Ibid. F°74)
La vie du harem, baillant, inoccupée, lisant le Figaro, jouant aux cartes. (Ibid. F°104).

Relire avec grand soin les notes de Laporte. (NAF Ms. 10313, Nana. F°108- Plan).

Existence très vide, lisant le Figaro. (NAF Ms. 10313, Nana. F°262/11- Notes).

Le Rêve (1888)

Elle travaille, elle s’occupe du ménage, elle rit, lit la vie des Saints (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 270/53) \\Relire les portraits des deux Hubert (Ibid., f° 51, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou Plan)
Notes Thyébaut (…) Relire les notes Thyébaut sur les enfants assistés (Ibid., Plan, f° 14, Premier Plan du chapitre I)
La Légende dorée. Citations en vieux langage (…) D’abord on n’a que regardé des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire le texte , s’est accoutumée aux lettres gothiques, aux quelques vieux mots hors d’usage, aux tournures vieillies, abréviations, contraction de certaines consonnes, article joint au substantif sans apostrophe. Et elle lit couramment, elle se passionne. Sa seule lecture (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)
(…) (relire attentivement ma note Religion) (Ibid., f° 21) \\(…) (Relire absolument Leg.Dor.4) (Ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 22) \\Ajouter La Vie des Saints qu’elle lit, dire surtout l’artiste qu’elle devient (Ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 26)
(…) D’abord, enfant, elle n’a fait que regarder des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire du texte (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
(…) Elle lit couramment, elle se passionne, elle ne voit le monde que par ce livre (Ibid., f° 34)

(…) Bien dire cela et lire absolument mes notes (Ibid., premier plan détaillé du chapitre II, .F° 36)
(…) Relire toutes les notes de Thyébaut pour la tutelle officieuse (Ibid., f° 38)
(…) Relire en entier la note Religion (Ibid., f° 39)
Relire les portraits des deux Hubert (premier plan du chapitre III f° 51)
Un mot de la grâce pour Hubert ( relire la note sur la Regilion) / sic, pour Religion/ (Ibid., premier plan du chapitre III, f° 55)
Un mot de la grâce (relire la note religion) (premier plan du chapitre IV f° 70)
Félicien pouvait être sous les arbres à lire, à dessiner plutôt le moulin (Ibid., Plan du chapitre V, f°s 73- 74)
Les légendes qu’elle sait et dont elle se souvient en lisant les noms (deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 132)
Les tombeaux des jeunes mortes heureuses, les épitaphes (…) Angélique lit l’épitaphe (Ibid., premier plan du chapitre X, f° 140)
Relire avec soin la note Religion car il est très important de traiter le côté hérédité dans le sens que j’ai indiqué (Ibid., f° 141)
La légende. Elle la lit comme dans son enfance, mais ne comprend plus (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 146)
Ensuite l’épisode du livret. Elle le prend, le lit (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 147)
Elle (…) travaille, s’occupe du ménage, lave (une scène de lavage irait bien dans le terrain), lit la
Vie des Saints (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° s 151-152)
Le livre lui-même peut revenir. Elle l’a emporté, elle en lit. C’est pour faire équilibre (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 168)
relire la note Religion (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)

Lourdes (1894)

Vue d’ensemble sur Lourdes. Quand je ferai « Rome » et « Paris », il faudra que je relise d’abord ces notes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°29)
Il me faudrait [voir biffé] avoir tous les dossiers administratifs de l’époque, que je demanderai, quand j’aurai lu Lasserre. (Ibid. F°65)
Puis, l’idée que la jeune malade pourrait être guérie le bouleverse : (…) la faire frapper dans son sexe, mais avec la plus grande discrétion, pour que tout le monde puisse lire mon livre. (Ibid. F°77)
Et je donne alors une description (…) de tout le wagon, avec ses malades [en interligne : (relire tout le départ du train blanc.)], en réservant les malades, mes personnages. (Ibid. F°124)
Les pères de l’Assomption [en interligne : lire la 11ème page de l’Hospitalité] ayant créé le mouvement. (Ibid. F°126)
Au départ on lit le 3e chap. p. 151. Cant. p. 231. – (…) Tous abandonnés de la science (…), et allant à la consolation, à la chimère. Lire ébauche, page 1 à 2. (Ibid. F°144)
Relire le départ du train blanc, de Paris. (Ibid. F°145)
Le mois de Marie [en interligne : N. s. L. p. 37], de Lasserre lu dans les [illisible], trente suites au prochain
numéro. (Ibid. F°s188-189)
On lisait le mois de Marie de Lasserre dans les églises (en mai, 30 jours). (Ibid. F°200)
Il ne fait plus assez jour pour lire, il faudra que Pierre se rapproche de la lampe. (Ibid. F°202)
C’est Marie qui demande à Pierre de lire. [en interligne : On demande une lecture.] (Ibid. F°202)
Donc il [Pierre] lit les deux premières pages. Puis, il cesse de lire, un peu ennuyé de cette platitude du récit. (Ibid. F°203)
Et alors Bernadette (…). (…) Ne sait pas encore bien lire, va suivre le catéchisme de l’abbé Pommyan [sic], ne connaît pas le curé Peyramale. (Ibid. F°206)
Puis Bartrès surtout : toute la vie de Bernadette, gardant les agneaux, à l’église où l’on lit (…). (Ibid. F°214)
Le petit livre de [Bernade biffé] Marie sur Bernadette. Pierre s’offre à lire. (…) Je voudrais que la lecture continuât jusque vers onze heures. Pour cela, il faudrait peut-être que Pierre, qui a commencé par lire, continue en improvisant (…). (Ibid. F°217)
Les histoires lues, la Bible, les sorciers (149). (Ibid. F°219)
Bernadette, par Lasserre ( 1 et suivantes Lasserre). Lire tout son récit, jusqu’à la page 20. (Ibid. F°221)
Lire la brochure sur l’Hospitalité de N.-D.-du-S. (Ibid. F°241)
Relire tout Boissarie, pour baser mon docteur Chassaigne (Médecins). (…) Reporter cette page au chapitre IV de la cinquième partie, lorsque je l’aurai employé ici. Et relire alors Boissarie. (Ibid. F°275)
Donc Pierre reprend le petit livre bleu et lit. (Ibid. F°300)
Poser tout ce qu’il sera nécessaire de l’Hospitalité. (…) [en interligne : Lire la brochure. (M.V. 26-28.)] (Ibid. F°330)
Les gains de la nouvelle ville (éb. 24). [en interligne : Lire le Guide Barbet (p. 44 et suiv.)] (Ibid. F°349)
Relire toutes les notes sur l’hospitalité. La Chemise. (Ibid. F°349)
Lire la brochure sur l’Hospitalité de N.-D.-du-S.– (Ibid. F°350)
Lire le plan, pour le préparer. (Ibid. F°397)
Relire pour le miracle toute la consultation des 3 docteurs, à la fin du II de la première journée. (Ibid. F°441)
En bas dans la crypte, il [Pierre] peut voir Mme Maze, ou les Vigneron lisant les ex-voto (…). (…) Raymonde pourrait lire les inscriptions avec Gérard et Berthaud, bien que cela me semble inutile. (Ibid. F°466)
Relire le morceau dans le V de la première journée, relatif à la chambre de Bernadette. (Ibid. F°471)
Il [Chassaigne] parle ensuite de lui, [des biffé] lit les inscriptions des tombes. (Ibid. F°476)
Ce que Pierre lit au fond de ses yeux inquiets : Si ce prêtre avait du pouvoir, s’il répétait, si ce que lui Cazaban a dit faisait du tort à la Grotte ! (Ibid. F°494)
N’a rien lu, ne sait rien du monde, clouée dans sa caisse
avec un père enfant, une sœur occupée – (Ibid. F°s545-546)
Et tout repris, comme au premier voyage : les arrêts, la cantine, la vie du train tout entier. Relire les premiers chapitres. (Ibid. F°559)
Donc les Aulrays [sic], puis le déjeuner et Pierre (…) se met à lire de sa belle voix pénétrante. (Ibid. F°569)
Elle [Bernadette] est alitée, elle reste des journées dans un fauteuil et alors elle lit son Rosaire,
(…) ou bien elle lit, la lecture la passionne, surtout celle de la Bible. Rappeler la Bible, qu’on lisait tous les soirs à Bartrès, l’épingle piquée, la lecture commencée en haut de la page de droite. Elle savait déjà des pages par cœur. [La biffé] Elle les relit toujours. (Ibid. F°s571-572)
La lecture finit avant d’arriver à Etampes (140). Là on lit le 3e chapitre, le mystère glorieux (p. 154). (Ibid. F°580)
Ce qu’il [Pierre] a dit dans le bureau des constatations, le relire. (Ibid. F°584)
Très important, tout le drame psychologique est lu. – (Ibid. F°589)
Et c’est Pierre qui lira la vie de Bernadette au couvent et sa mort. (Ibid. F°594)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages, et de n’avoir dans ce chapitre que Pierre lisant
la vie et la mort de Bernadette au couvent. (Ibid. F°s595-596)
Relire tout ce que Lasserre m’a dit de Bernadette (éb. 145). (Ibid. F°596)

Des yeux opaques, où l’on ne lit rien. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 99 – Notes sur le père Capdebarthe)

Travail (1901)

Mais gros d’une création à faire, très nourri déjà de lectures, ayant lu tous les ouvrages des précurseurs Saint-Simon, Fourier (surtout), Comte, etc. (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 372/25)
ayant entendu parler de Fourier et des précurseurs (il ne les lira qu’à la Crêcherie) (Ibid., F°441)

LISA (UNE / DES)

Le Ventre de Paris (1873)

Elle grassouillette, un peu [rougeaude], une Lisa pas mûre. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 112)
Ma fermière c’est la production, en face des Lisa, des Nanette, de la Halle entière qui est la consommation. (Ibid., f˚ 79)

LISTE

Le Rêve (1888)

J’ai gardé pour ce chapitre la liste des titres du père de l’évêque (NAF MS 10323 Le Rêve, premier plan du chapitre X, f° 140)

Lourdes (1894)

Phtisie guérie à Lourdes, toute une liste. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 168 – Notes sur les Miracles)
Liste de malades guéris (303). (Ibid. Fo 250 – Notes sur H. Lasserre) ==== LITTÉRATURE / LITTÉRAIRE ====

Voir aussi : livre ; lecture ; lire.

Nana (1880)

[Bordenave] Pas la moindre velléité littéraire. (NAF Ms. 10313, Nana. F° 167- Personnages)
[La Tricon] Très active, causant littérature. (Ibid. F°201).

Le Rêve (1888)

Moi, le travail, la littérature qui a mangé ma vie (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 221/5).
(…) / Félicien/ pas du tout
littéraire, n’a jamais eu l’idée d’écrire (Ibid., f° 300/83- 301/84)

Pas du tout littéraire, n’ayant jamais écrit ni lu ((MS NAF 10323, Le Rêve, plan du chapitre IX f° 119)

Pas du tout littéraire, n’a jamais écrit (Ibid., Personnages, f° 203)
La reconstruction d’une partie du château (…) Tout cela pour protester contre la monarchie, bourgeoisie, et répondant au mouvement littéraire de l’époque (Ibid., f° 206)

LIVRE

Voir aussi : Lecture / Lecteur ; Littérature ; Livret ; Relire ; Chapitre ; Partie.

Le Ventre de Paris (1873)

De cette façon, le livre sera classé. Il fera pendant à la Curée dans la série. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 50)
Ce sera le rire et la fantaisie du livre. (Ibid., f° 61)
Lecture d’un livre où il est dit : Il est permis de tuer le tyran. (Ibid., f° 84-85)
En 1850, au commencement, (changer les dates du livre) elle se sauve avec son amant et ses deux enfants. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 243)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Le livre doit être compris par quelques grandes belles masses très simples. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 10)
Plan du troisième livre. (Ibid., Plan du troisième livre, f° 21)
Jeanbernat, ce qu’il dit (les livres). Philosophie, le rayon de soleil qui passe. L’art est de le faire. Il n’y a rien. Jeanbernat lit. Les livres. (Ibid., f° 24)
Les livres. – Il faut laisser faire la nature. (Ibid., f° 27)

Nana (1880)

C’est la haute morale du livre. (NAF Ms. 313, Nana. F°147- Plan).

Il faut que le livre soit le poème du cul, (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°193- Personnages).

C’est une vengeance que cette fille exercera parce que Nana, dès le début du livre lui aura pris l’homme de bourse. (NAF Ms. 10313, Nana. F°214- Ebauche).

La Terre (1887)

Lui faire perdre sa femme au milieu du livre à l’endroit où cette mort sera un premier coup pour lui. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 440/41 – Ebauche)
(…) elle a pu reprendre Jean, qui l’aime toujours, et alors il met le feu à la ferme. C’est la flambée qui éclaire la fin du livre. (Ibid., f° 465/57)
(…) La terre. C’est l’héroïne de mon livre. (…) Un personnage énorme, toujours présent, emplissant le livre. (Ibid., f° 484/76)

Le Rêve (1888)

Je voudrais faire un livre qu’on n’attende pas de moi (…) On a dit que le succès, le livre attendu veux-je dire, serait « Paul et Virginie » refait. Refaisons donc Paul et Virginie
(…) Enfin je voudrais mettre dans le livre de l’au-delà (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 217/ 1- 218/2-)
(…) Livre entre toutes les mains (Ibid., f° 219/3).
(…) Je finis en la montrant heureuse (…) et je ferme le livre sur ce « rêve » accompli (Ibid., f° 228/12).
(…) Il faudrait donc qu’Angélique ne triomphât pas ou mourût .Ne pas triompher atteint tout le livre (Ibid., f° 303/86).

Je rappellerai ça deux fois dans le livre, et j’aurai tout ainsi, les deux légendes anciennes avec le défilé des noms (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 256)

Livre à mettre entre toutes les mains (MS NAF 10323 f° 1 Plan)
(…) J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage . En dehors de ses quelques livres classiques étroits et secs, la légende (…) Il est là depuis sa publication (NAF MS 10323.2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)

En dehors de ses livres classiques étroits et secs elle a la Légende dorée (Ibid. premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
(…) Elle ne voit le monde que par ce livre (Ibid., f° 34)
je ne sais si je dois pousser cette scène à fond ou plutôt la garder pour le milieu du livre (premier Plan du chapitre III, f° 49)
le livre lui-même peut revenir. Elle l’a emporté, elle en lit. C’est pour faire équilibre (premier plan du chapitre XII, f° 168)

Lourdes (1894)

L’idée de charité n’est pas applicable, l’idée de justice emporte tout ; et ce sera là mon troisième livre, « Paris ». (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Toute la lutte va être entre la charité impuissante et la justice qui paraît inapplicable. Mon livre sera dans cette lutte – (Ibid. F°13)
Mais dans le début du livre opposer violemment les deux frères (…). – (Ibid. F°17)
J’arrive à Bernadette. Elle aussi est de la souffrance, c’est la grande idée de mon livre. (…) Et je mettrai comme je l’ai dit, sa figure dominant tout le livre. – (Ibid. F°57)
Si les livres de Lasserre ont un si gros succès, c’est par leur merveilleux (…). (Ibid. F°40)
Ce qui me donnera de la peine c’est l’organisation du livre. (Ibid. F°68 )
Puis, l’idée que la jeune malade pourrait être guérie le bouleverse : (…) la faire frapper dans son sexe, mais avec la plus grande discrétion, pour que tout le monde puisse lire mon livre. (Ibid. F°77)
(…)
dans le cabinet du père, qu’il [Pierre] a fait rouvrir. (…) Papiers et livres intacts. (Ibid. F°s149-150)
On lisait le mois de Marie de Lasserre dans les églises (en mai, 30 jours). La suite au prochain numéro. Violent intérêt, gros succès du livre, et grotte lancée (éb. 137). (Ibid. F°200)
C’est Marie qui demande à Pierre de lire. [en interligne : On demande une lecture.] Elle a emporté un petit livre sur « Bernadette Soubirous », un de ces livres de colportage, sortis des presses catholiques et répandus à profusion. (Ibid. F°202)
Marie a emporté une histoire de Bernadette, un des livres qui ont été répandus à profusion sur la Voyante. (…) Même, il [Pierre] pourra par moments quitter le livre, et parler de lui-même (…). (Ibid. F°212)
Le petit livre de [Bernade biffé] Marie sur Bernadette. Pierre s’offre à lire. (Ibid. F°217)
Et, tout de suite, la description du bureau. (…) Une sorte de casier, avec des livres et des papiers en désordre. – (Ibid. F° 279)
Poser tout de suite (…) que Pierre pourra proposer une histoire, une lecture, la continuation de la lecture du petit livre sur Bernadette, qu’il trouve sur la petite valise de Marie. – (Ibid. F°296)
Enfin, pour la [Marie] calmer, [la biffé] sœur Hyacinthe ou madame Jonquière autorise la lecture. (…) Donc Pierre reprend le petit livre bleu et lit. (Ibid. F°300)
Je veux en arriver à ce que Pierre (…) reprenne le petit livre qui appartient à Marie, et continue la lecture sur Bernadette. (Ibid. F°306)
Mon livre est sur la souffrance. (Ibid. F°564)
Donc les Aulrays [sic], puis le déjeuner et Pierre reprend le petit livre à couverture bleue, ornée d’une image naïve de la Sainte Vierge, et il se met à lire de sa belle voix pénétrante. Mais il ne tarde pas, une fois encore, à [le biffé] lâcher le livre, pour raconter. (Ibid. F°569)
On défilait, on la [Bernadette] touchait avec des chapelets, des médailles, des images, des livres de messe. (Ibid. F°579)
Je crois que, pour le balancement des lignes, je dois faire reprendre le petit livre de Marie. (Ibid. F°594)

Tout mon livre est là, dans ce besoin de croyance au merveilleux, à une puissance division [sic] qui guérit les hommes, leur donne le bonheur, en dehors de la science impuissante. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 228 – Notes sur H. Lasserre)
Ce livre doit être d’une tristesse immense pour la pauvre humanité et de pitié fraternelle ; – avec Paris à la fin relevant tout peut-être. (Ibid. Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
C’est le récit de ces miracles qui a fait la fortune du livre, en montant les imaginations. (Ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre)
Le cri de souffrance qui est en moi, le mettre (c’est tout le livre 4). (Ibid. Fo 255 – Notes sur H. Lasserre)
La fortune du livre, autre miracle, explicable comme le premier, par le besoin de la consolation, du surnaturel. (Ibid. Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)
(Lasserre dit que Dieu a béni son livre, parce que son livre s’est beaucoup vendu [)]. (Ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Toute l’oraison funèbre [de Bernadette] [en interligne :421 ] est ce livre. (Ibid. Fo 270 – Notes sur H. Lasserre)

Travail (1901)

Difficulté pour faire, avec cela, un livre vivant et humain (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2)
Il faut au premier livre montrer le désordre partout (Ibid., f° 371/24)
et tout ce qu’il voit dans le premier livre (Ibid., f° 372/25)
et tout ce qu’il voit dans le premier livre (Ibid., f° 372/25)
Cela me fait penser que le premier livre devrait être court, de même que le dernier, de même longueur tous les deux et symétriques (Ibid., f° 373/26)
tandis que le livre deuxième, celui du milieu, devrait être beaucoup plus long (Ibid., f° 374/27)
Livre premier, peinture noire de ce qui est,§§§ tous les personnages posés, tous les drames partiels mis en marche. Livre deuxième la lutte, le heurt du patron et des ouvriers, des classes entre elles, luttes intestines aussi dans les familles (Ibid., f° 374/27)
Puis le livre troisième, la partie utopique, la contre partie du livre premier (Ibid., f° 374/27) \\Le livre troisième (Ibid., f° 380/33)
Pourtant comme l’ouvrier disparaît à la fin du Livre deuxième , et ne reparaît qu’un peu au Livre troisième (…) je n’aurai donc pas d’ouvrier sur lequel je puisse montrer un bon changement (Ibid., f° 381/34)
Mais mauvais spéculateur, l’essai périclite à la fin du premier livre (Ibid., 384/37)
Ce sera là le cabaret, dont j’ai besoin pour le livre premier (Ibid., f° 388/41) \\L’attentat qu’il annonce au Livre premier, il le prépare au second (…) Puis, au Livre trois, l’attentat est devenu inutile (Ibid., 390/43-391/44) \\Livre premier (Ibid., f° 392/45)
Livre deuxième (F° 394/47) \\Donc, dans mon premier livre poser aussi la campagne, les agriculteurs agonisant (Ibid., f° 401/54)
Mon premier livre est l’état actuel, la misère et la douleur, avec toutes les tentatives d’amélioration pourtant, les coopératives de production et de consommation, les syndicats, etc. (Ibid., f° 402/55)
Mon second livre, la lutte (Ibid., f° 402/55)
Car je veux consacrer tout le troisième livre à l’utopie heureuse (Ibid., F° 403)
Ainsi, au premier livre il me faut le crime (Ibid., F°404)
Il les attend et se promène.Cela me donne
tout mon premier livre (Ibid., F°408-409)
C’est là la grandeur de mon livre (Ibid., F°436)

LIVRET

(genre de texte imprimé)

Le Rêve (1888)

Ensuite l’épisode du livret. Elle le prend, le lit (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 147)
Rappel du livret (…) un journal pour Angélique (Ibid., f° 157)
Les souvenirs du livret. Le livret revient (Ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 181)
Et le livret comme marque d’humilité dernière. Le livret contre le parchemin de Félicien deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 183)

LIZY

(Delphine de) Courtisane.

Nana (1880)

Type de femme. Delphine de Lizy. (NAF Ms. 10313, Nana. F°278- Notes).

LOGEMENT / LOGER / LOGIS

Le Ventre de Paris (1873)

Logement des personnages (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°134)
Rue Courtalon, très étroite, excellente pour y loger un personnage (Ibid., f° 138)
Logement des personnages (Ibid., f° 146)
Lisa, née la première, en 1827, un an après le mariage, resta peu au logis. C’était une grosse et belle enfant, très saine, toute sanguine qui ressemblait beaucoup à sa mère. (Ibid., f°242)

Lourdes (1894)

Je le [le Commandeur] loge
dans une dépendance de la gare, ayant là un petit emploi de surveillance, aux Messageries. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s229-230)

LOGIQUE (-MENT)

La Curée (1872)

Quel est le dénouement logique ? (MS NAF 10 282, La Curée, f°298 / Premiers détails). – Il serait plus logique de montrer Aristide, même après la crise qu’il vient de conjurer… (MS NAF 10 282, La Curée, f°360).

Le Rêve (1888)

Les Hubert (…) les finir selon la logique (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 279/62)
(…) Toute profession le / Félicien/ rapetisserait, gênerait pour la logique de l’œuvre (Ibid., f° 302/85)
(…) C’est la fin logique du rêve (Ibid., f° 306/89)
Et c’est la fin logique du rêve (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 187)
Et c’est la fin logique du rêve (…) pour finir, si elle meurt (Ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)

Lourdes (1894)

Il se décide à prononcer ses vœux, sans trop s’interroger sur son esprit précis et logique, voulant aussi faire ce grand plaisir à sa mère (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°87)
Régler les dates de tout cela, de façon
à ce que les faits s’espacent logiquement. (Ibid. F°s91-92)
Je reprends donc chacun de mes malades du wagon et je le fais agir selon la logique et selon les besoins du récit. (Ibid. F°175)
C’est là que je [en interligne : voulais] mettr[ai biffé]e l’ancien Lourdes. Mais, décidément, je crois qu’il serait plus logique de le mettre au commencement. (Ibid. F°215)
Mais voici en outre les épisodes, qu’il
faudra ensuite classer logiquement.– (Ibid. F°s233-234)
Montrer la force des choses (…), et pourquoi le départ de Bernadette s’est produit logiquement, ainsi qu’une chose nécessaire (…). – (Ibid. F°386)
Ne pas manger du prêtre, montrer la force des choses, et comment le départ de Bernadette s’est produit logiquement, comme une chose nécessaire. (Ibid. F°393)
L’effet de ce phénomène (…) et la force logique de ce que Beauclair a dit. (Ibid. F°441)

Le besoin de logique l’emporte le plus souvent, le cerveau domine. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 4 – Notes sur Pierre Froment)
Il se décide à prononcer ses vœux, sans trop s’interroger sur son esprit précis et logique (…). (Ibid. Fo 8 – Notes sur Pierre Froment)
Un catholique exaspéré qui, seul, est logique. (Ibid. Fo 70 – Notes sur Raboin)

LOIN (plus)

Voir aussi : Tard (Plus).
Consigne touchant à la distribution du matériau romanesque.

Nana (1880)

Mais lui, voit plus loin que ça. Il a vidé son Muffat. (NAF Ms. 10313, Nana. F°92- Plan)
Bijou non pas tous, garder pour l’effet plus loin. (Ibid. F°120).

Le Rêve (1888)

Félicien très riche peut donner beaucoup (…) voir si cela ne peut pas avoir un écho plus loin (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 290/73)
(je garde la description de la chapelle pour plus loin) (…) (garder les échafaudages pour plus loin) (Ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)
Donc toutes les aumônes posées avec les noms. Echo plus loin (Ibid., deuxième plan du chapitre V, f° 75)
se méfier. Garder les pauvres pour plus loin, car ils sont encore bien près (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 91)
L’églantier qu’elle a planté, là ou plus loin (Ibid., premier plan du chapitre VI, f° 92)
Poser la question seulement pour la résoudre plus loin à l’arrivée de Félicien (non, les saintes ne sont pas fâchées) (Ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 94)
Angélique ne mettant pas l’orthographe. Son écriture personnelle, son ignorance (là ou plus loin). L’églantier qu’elle a planté, là ou plus loin (Ibid., Plan du chapitre IX, f° 126)
Voir si les détails de l’entrée doivent être donnés là ou plus loin. Non, plus loin je crois (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 171)

Lourdes (1894)

Et plus loin encore, à peine revendiqués, les petits épisodes des pèlerinages,
(…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s56-57)
Je ne donnerai que plus loin les détails de ce qu’il [l’homme] a dans sa poche (…). (…) Sœur Hyacinthe est debout et indique les soins qu’il faut lui donner de loin. Elle ne montera près de lui que plus loin, (…) pas avant Poitiers je crois. (Ibid. F°s128-129)
Alors, la rêverie de Pierre. Il remonte aussi loin qu’il peut remonter dans ses souvenirs. (Ibid. F°146)
Première enfance de Pierre dans la petite maison de Neuilly, poser le vieux chimiste son père, sa dévote de mère et son frère à part : aussi loin que ses souvenirs remontent. (Ibid. F°156)
Du reste, poser là le départ des personnages. En réservant pour plus loin ce qu’ils doivent faire. – (…) Tous les malades du train, un mot seulement, et plus loin j’en décrirai quelques uns pour faire sentir tout le train. (Ibid. F°166)
Et là je reprends tous mes malades (…), je leur fais faire l’action que j’ai commencée plus loin. (Ibid. F°168)
(…) si la France et le monde entier, du plus loin de la terre, sont sillonnés par des trains pareils, c’est le besoin d’illusion, l’espoir de guérison qui les poussent. (Ibid. F°189)
Ainsi Marie va demander la conversion de Pierre ; revenir à cela plus loin. (Ibid. F°190)
Si (…) la
France et le monde entier, du plus loin de la terre, sont sillonnés par des trains pareils, c’est le besoin d’illusion, l’espoir de guérison qui les pousse. (Ibid. F°s195-196)
L’homme meurt, plus loin. (Ibid. F°218)
On n’en voit pas un. (…) Je les [les pères de la Grotte] ferai entrevoir plus loin. (Ibid. F°238)
[(]Les escaliers, les salles, [l’église biffé] la chapelle, le réfectoire, les salles, ici ou plus loin. –) (Ibid. F°243)
Ne pas oublier que c’est [M. de Guersaint] un croyant, un bon père, et le montrer une fois au moins agenouillé devant la grotte, priant ardemment pour sa fille. Ici, ou plus loin. (Ibid. F°271)
Ils [les pères de la Grotte] sont derrière comme une force cachée, organisant tout et ramassant tout. Je puis dire cela ici et le répéter, le faire sentir à plusieurs reprises, plus loin. (Ibid. F°290)
La source qui coule derrière la grille, qu’on entend : l’idée de l’empoisonner. Le bruit qu’elle fait peut revenir plus loin. (Ibid. F°367)
La petite [Sophie] saute et gambade ; plus loin, il faudra la faire tenir tranquille. (Ibid. F°402)
Le prêtre cède à l’inspiration, dit ce qui lui passe par la tête. Pour plus loin. (Ibid. F°417)
M. Sabathier ne sera baigné qu’un peu plus loin (dans le III sans doute), ce qui ne réussira pas d’ailleurs. (Ibid. F°418)
L’écroulement chez Pierre, mais pour plus loin. (Ibid. F°439)
Le poser simple là, ce malaise, et l’analyser plus loin. (Ibid. F°455)
Je pose ici le type du cocher, qui me servira plus loin. (Ibid. F°493)
Je crois que je dois (…) faire procéder à un achat. (…) Pierre une photographie de Bernadette (plus loin). (Ibid. F°498)
(Je finirai M. Vigneron plus loin.) (Ibid. F°515)
Ne pas nommer l’homme je crois. Ce sera pour plus loin, en un coup. – (Ibid. F°533)
Et le sommeil, on n’a pas dormi ; mais pour plus loin – (…) Enfin Sophie Couteau, dans le compartiment de l’homme. (…) Et la finir plus loin, avant le sommeil – (Ibid. F°536)
Ceci plus loin peut-être, lorsque je montrerai la souffrance. (Ibid. F°575)
Et ce que répond
le docteur : Il n’y a que l’amour qui est la toute puissance de la vie (…) (voir si cela ne peut pas servir plus loin, au moment des scrupules). Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre, la raison emportant tout en lui, mais honnête. (Ibid. F°s584-585)
Rien que la science ne semble pas devoir suffire, et il semble nécessaire de laisser une porte ouverte sur le mystère (donc une religion nouvelle, plus loin). (Ibid. F°586)

Travail (1901)

Puis je pousse la vision plus loin et j’en arrive à la commune anarchiste (F°403)
Je puis pousser cela plus loin, Suzanne peut avertir Luc (F°443)

LONG / LONGUEMENT/ LONGUEUR

Le Rêve (1888)

Puis c’est Félicien qui parle le premier. Il lui dit longuement comment il l’aime, depuis quand (la création, le vitrail, le linge, les pauvres) (MS NAF 10323, Le Rêve, Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)

Lourdes (1894)

Diviser donc ce long récit par des rappels de la souffrance, des malades entassés dans le wagon ; et donner la sensation du chemin, en nommant les villes qu’on traverse. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°159)
En mettre [des miracles] cinq ou six pages, ne pas craindre de faire long, l’entassement. Le paquet. – (Ibid. F°186)
Mais il me faut un bel emballement, une série complète, et sans la peur de faire long, car tout le chapitre est là. (Ibid. F°194)
Puis pourquoi chercher à faire long : un chapitre de 28 à 30 pages serait bien suffisant, s’il est d’une belle envolée. (Ibid. F°467)

Travail (1901)

Cela me fait penser que le premier livre devrait être court, de même que le dernier, de même longueur tous les deux et symétriques (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 373/26)
tandis que le livre deuxième, celui du milieu, devrait être beaucoup plus long (Ibid., f° 374/27)

LONGTEMPS

La Conquête de Plassans (1874)

Comme marche générale dans l’œuvre, il est temps de revenir à Plassans, où, de longtemps, je ne pourrai remettre les pieds (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)

Lourdes (1894)

Voici longtemps que je ne l’ai [Chassaigne] employé et c’est ici ou au chapitre suivant qu’il faut que je le fasse reparaître. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°363)

LORILLEUX

Beau-frère de Coupeau dans L’Assommoir.

Nana (1880)

Elle seule demeure de la famille Coupeau avec les Lorilleux. (NAF Ms. 10313, Nana. F°183- Personnages)

Lorilleux (…) Mme Lorilleux (NAF Ms. 10313, Nana. F°250 verso- Notes)

LORS / DES LORS

Voir : Alors

LOUCHE

Nana (1880)

(…) il [Muffat] revient du vice, quelque chose de louche (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°28- Plan).

Puis les autres fois dans des occasions très louches (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°237- Ebauche).

Le Rêve (1888)

Cela ne change rien en somme et enlève le côté un peu louche de l’évêque (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 308/91)

LOUIS-PHILIPPE (1873-1850)

« Roi des Français » de 1830 à 1848.

Nana (1880)

(…) [Muffat] son père était mort, mais toute sa famille fidèle aux Bonaparte n’avait rien accepté ni de la restauration ni de Louis-Philippe. (NAF Ms. 10313, Nana. F°187- Personnages). ==== LOURDES ====

Roman de Zola publié en 1894, premier volet des Trois Villes : Lourdes, Rome, Paris.
Lourdes Les trois [romans biffé] Villes. Lourdes. Rome. Paris. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°1)
J’ai déjà dit que dans « Lourdes », j’aurai la foi du premier âge (…). (Ibid. F°2)
Je puis donc finir « Lourdes » sur cette question anxieuse que se pose mon prêtre. (Ibid. F°3)
Mais j’ai le second volume « Rome »,
et j’ai déjà dit que mon prêtre, après avoir essayé vainement de revenir à la foi des premiers âges dans « Lourdes », tâche dans « Rome » de réconcilier le catholicisme ou tout au moins le christianisme avec la science moderne, le monde moderne, le progrès. (Ibid. F°s4-5)
C’est mettre au centre de mon œuvre, c’est emplir mon œuvre d’un soleil de passion qui resplendisse ; car il n’y a pas de passion d’amour dans « Lourdes » et il n’y en aura pas sans doute dans [« Lou biffé] « Paris ». (Ibid. F°s6-7)
Dans ce troisième volume, je vois volontiers la lutte des deux frères, mon prêtre et son frère ; et il faut que je règle cela pour en mettre les racines dans « Lourdes ». (Ibid. F°10)
Il n’a pu croire comme un simple (Lourdes) et il n’a pu réconcilier le catholicisme, en faire [une biffé] la religion attendue (Rome). (Ibid. F°11)
Dans « Lourdes », je n’aurais qu’à poser le frère, et tout de suite je dois dire je crois qu’à la mort du père, il a eu sa part de la fortune en argent comptant et qu’il a disparu. (…) Ne faire que poser tout cela dans « Lourdes » de façon à reprendre le person- \\nage plus tard. (Ibid. F°s19-20 )
Il faut en revenir au grand cri douloureux que je jetterai dans « Lourdes ». (Ibid. F°22)
Il faut que dans « Paris », j’aie, comme dans « Germinal » un très grand fonds de souffrance ; et cela surtout,
pour faire pendant aux souffrances physiques que j’aurai dans « Lourdes ». Pour les revendications du socialisme, mettre donc toutes les souffrances des misérables [en interligne : mêmes souffrances que dans « Lourdes », souffrances sociales], un coin de faubourg abominable, [un biffé] l’enfer de Paris, ceux qui souffrent de ne rien avoir, les déshérités de ce monde, en un mot. (Ibid. F°s23-24)
« Rome » est le tableau central. « Lourdes » et « Paris » sont les volets de gauche et de droite. (…) Après « Lourdes », dans « Rome » se sera au nom de la raison qu’il [Pierre] voudra tenter un compromis entre l’Eglise et le siècle. (Ibid. F°25)
Maintenant, dix-huit siècles
ont épuisé cette espérance, et il faut autre chose (éb. de « Lourdes » 32). (Ibid. F°s25-26)
Dans le premier Lourdes je pourrais montrer le besoin d’illusions et de croyance que l’humanité a. Le besoin de bonheur, et ici-bas ; [le biffé] l’amour de la vie, car Lourdes n’est pas autre chose (…).– (Ibid. F°28)
Vue d’ensemble sur Lourdes. Quand je ferai « Rome » et « Paris », il faudra que je relise d’abord ces notes. (Ibid. F°29)
Un roman « Lourdes[»], ébauche. (Ibid. F°30)
J’ai eu une brusque idée : faire deux volumes, l’un qui s’appellerait Lourdes, l’autre Rome. (…) Le haut clergé, le pape. Rome enfin, et Rome [se p biffé] tâchant de se plier aux idées modernes. En effet, il me sera difficile de mettre cela dans Lourdes. (Ibid. F°60)
C’est pourquoi, en faisant le plan de Lourdes, il faudra que je décide si je ferai ensuite Rome, pour préparer ce dernier. (Ibid. F°61)
Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille (…) et que, dès lors, venant après Lourdes, l’intérêt ne monte pas et que le second
n’ait même pas la puissance du premier. Il faudra donc chercher, voir ce que pourrait être Rome. Si je ne le fais pas, il faudra ne pas oublier de mettre dans Lourdes un peu du néo-catholicisme (…). (Ibid. F°s61-62)
Dans « Lourdes », je ne
dirai qu’un mot du frère pour le poser et le réserver. (Ibid. F°s85-86)
Il rêve de grandes charités (mais cela viendra surtout à la fin, après Lourdes, avec l’idée d’une religion de la souffrance humaine.[)] « Lourdes », avec ce prêtre, doit donc devenir une tentative de croire aveuglément, de se reporter à la foi crédule du XII e siècle, et mon prêtre y échouera. (…) « Lourdes » serait donc l’effort de mon prêtre pour retourner à la foi [du biffé] absolue. (Ibid. F°94)

Je songe même que, dans « Lourdes », je ne ferai pas mal à une ou deux reprises d’évoquer sa figure, pour
qu’il ne tombe pas dans « Paris » comme un aérolithe. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 16-17 – Notes sur Guillaume Froment)
« Lourdes » devient donc pour lui [Pierre] une tentative de croire
aveuglément, de [croire biffé] se reporter à la foi aveugle du XII e siècle. (Ibid. Fos 26-27 – Notes sur Marie de Guersaint)

LUTTE / LUTTER

Voir aussi : Débat.
Procédé de « mouvementement » du personnage, destiné à lui donner une épaisseur psychologique. Pour Zola, la « psychologie » est essentiellement conçue comme une « lutte » entre deux forces ou influences antagonistes, comme un conflit intérieur.

Le Ventre de Paris (1873)

Cependant, il y a lutte, j’ai une intrigue amoureuse. A un moment, Jacques a pris une bague (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 66)
Ses luttes, parce que Laurent [sic] est son beau frère. (Ibid., f° 88)
Ainsi donc le personnage de Lisa vis-à-vis de Florent est très net : estime d’abord, antipathie, puis frayeur, et lutte pour le dénoncer (Ibid., f° 88)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

C’est la lutte de la nature contre le catholicisme avec le grand Paradou. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 22)
Troisième morceau. A la troisième partie. Lutte, etc. (Ibid., Extraits de L’Imitation, f° 34)

Nana (1880)

Etudier Muffat, qui est central ; sa griserie commence. Ses luttes, la jeunesse qui remonte. (NAF Ms. 10313, Nana. F°50- Plan).

C’est cette lutte entre deux femmes qui peut seule me faire introduire plusieurs femmes. (NAF Ms. 10313, Nana. F°214- Ebauche)
Le drame le plus simple, c’était de lui donner une femme, et de faire qu’il y ait lutte entre ses désirs d’amant et ses devoirs d’époux (…). (Ibid. F°225)
J’aurais la lutte entre les deux principes, et je pourrais montrer à la fin lequel l’emporterait. (Ibid. F°226).

Le Rêve (1888)

De la psychologie donc, ou ce qu’on appelle
ainsi ( !) , c’est à dire une lutte d’âme, la lutte éternelle de la passion et du devoir, ou une autre lutte : amour maternel et passion, amour filial et autre sentiment (…) De la psychologie, lutte d’âme (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 218/2)
Là toute la lutte, toute la psychologie de Marguerite (Ibid.F° 237/21)
Peu de lutte d’ailleurs avant l ‘arrivée de l’amour (Ibid., f° 243/27)
je voudrais encore cinq chapitres, ce qui est possible (…) trois pour la lutte (Ibid., f° 265/48)
Je voulais une lutte psychologique, et c’est ici qu’il faudrait la mettre : la jeunesse, la santé, l’amour d’un côté, et de l’autre le devoir, le respect. (Ibid., f° 271/54)
Sa lutte est contre son cœur (…) C’est contre le besoin de le revoir que la lutte se fait (…) pour matérialiser la lutte, mettre un chant de Félicien (Ibid., f° 272/55)

Et j’établis en elle la lutte effrayante (…) Lutte de l’éducation, du milieu, contre l’hérédité (Ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 145)
C’est à partir de la lutte que je la fais décliner peu à peu, affaiblie de plus en plus par la torture (Ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 147)
Sa lutte est contre son cœur (…) cela répond à toute sa lutte du chapitre (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 150)
La lutte d’Angélique jusqu’au moment où la maladie la cloue dans sa chambre (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Lutte psychologique : la jeunesse, la santé, l’orgueil, la passion d’un côté, le devoir, le respect, l’obéissance, le renoncement, l’humilité de l’autre (Ibid., premier plan du chapitre XI, f° 152)
sa lutte contre son cœur, sa jeunesse (…) c’est contre le besoin de le revoir que la lutte se fait (Ibid., f° 154)
Mais pour que la scène ait toute sa signification et soit complète, il faut bien montrer la lutte entre son hérédité (…) et le milieu et l’éducation (Ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
Ajouter ceci, le combat psychologique, l’hérédité des Rougon-Macquart en lutte avec l’éducation et le milieu (Ibid., premier plan du chapitre XII, f° 166)
Et la lutte en scène alors, avec tout le développement voulu (Ibid., f° 167)

La lutte du respect et du devoir (…)Tout le mouvement de la figure est là, ne pas l’oublier (Ibid., Personnages, f° 199)

Lourdes (1894)

Dans ce troisième volume, je vois volontiers la lutte des deux frères, mon prêtre et son frère (…). (…) J’en ferai un anarchiste par exemple, un autre Souvarine, et je voudrais dès lors que la lutte s’établît entre lui et son frère. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Toute la lutte va être entre la charité impuissante et la justice qui paraît inapplicable. Mon livre sera dans cette lutte – (Ibid. F°13)
Seulement, je ne vois pas la lutte que je voudrais entre lui et son frère. J’aurais voulu une lutte héroïque, terrible, sanglante : tout un choc de deux mondes. (Ibid. F°14)
Dans cette lutte de la justice contre la charité, il faut que le frère soit la justice et le prêtre la charité. (Ibid. F°20)
Enfin toute la bataille sociale dans sa violence, la lutte pour la vie. (Ibid. F°23)
Alors la bataille des Pères de la Grotte et du curé Peyramale pour sa nouvelle église, la lutte avec l’évêque, l’âpreté des petites sœurs bleues, en lutte avec les hôteliers (…). (Ibid. F°35)
(…) Lourdes autrefois et Lourdes aujourd’hui, la démoralisation par le fait même des apparitions et de la spéculation, la lutte [de l biffé] du curé Peyramale et des Pères, la Basilique et la nouvelle église en ruines. (Ibid. F°56)
Je veux avoir toute la vie de Bernadette, les deux Lourdes, et la lutte du curé Peyramale. (Ibid. F°68)
Imaginons un jeune prêtre, trente-deux ans, tombé dans l’incroyance, mais ne l’avouant à personne. Ses luttes pour croire, et il ne croit pas. (Ibid. F°74 )
Un peu intellectuel ; car, si je lui donnais des passions trop vives, il devrait lutter et ne résisterait peut-être pas. (Ibid. F°79)
Et l’effet d’écartement que lui produit Lourdes. Tout ce qui frappe sur lui, la simonie, la laideur de ce culte, l’exil de Bernadette (il se prend de passion pour elle), la lutte [de l’abbé biffé]
du curé Peyramale [en interligne : les deux Lourdes]. (Ibid. F°s83-84)
Dans « Paris », surtout, si je fais de ce frère un anarchiste militant, je puis le heurter [ à biffé] au prêtre et avoir ainsi une lutte entre deux frères. (Ibid. F°85)
Elle aime beaucoup son mari qui lui en fait voir de toutes les couleurs ; et flétrie avant l’âge, ne pouvant lutter. (Ibid. F°111)
L’aumônier de la salle. (…)
D’une foi solide à toute épreuve, sans lutte. Il me le faut, pour l’opposer à mon prêtre, chez lequel je mets une lutte. (Ibid. F°s115-116)
Des silhouettes indiquées seulement et toutes les luttes avec la ville, le commerce, les sœurs bleues. (Ibid. F°118)
La contagion, le [Pierre] mettre dans un état d’esprit qui permette la lutte en lui pendant les chapitres qui vont suivre. (Ibid. F°191)
J’ai donc toute la lutte avec le commissaire et le préfet, la persécution des autorités, comment on fonde une religion (…). (Ibid. F°301)
J’ai donc toute la lutte avec le préfet et le commissaire, la persécutions des autorités, comment on fonde une religion (…). (Ibid. F°306)
Je crois que je vais jusqu’à Lourdes fondé, en gardant la lutte de Peyramale et de la Grotte et le départ de Bernadette pour le chapitre V de la troisième partie. (Ibid. F°309)
Lutte de la ville haute et de la ville basse (éb. 97). (Ibid. F°348)
Poser aussi qu’il [Chassaigne] est au courant de la lutte de croyance qui se passe chez Pierre. (Ibid. F°383)
Mais Chassaigne (…) dit qu’on ne peut comprendre les choses, si l’on ne connaît pas la lutte du curé Peyramale et du père Sempé (…). (…) Et alors toute l’histoire de sa lutte avec le père Sempé, finissant par sa mort et par le triomphe de la Grotte. (Ibid. F°387)
Arrivée du père Sempé (…), pendant une indisposition de Peyramale (1866). Dès lors,
lutte sourde du père pour l’évincer. (Ibid. F°s387-388)
Et tous les détails de la lutte, le tronc pour l’église paroissiale à la Basilique, et tout l’argent gardé. (Ibid. F°389)
Puis, à côté, je pose toute la lutte du curé Peyramale et des Pères de la Grotte. (Ibid. F°394)
La lutte de Peyramale et des Pères (éb. 95). (Ibid. F°397)
Pour la lutte du curé Peyramale, et pour le départ de Bernadette, qui amènent le chapitre V de la quatrième partie, voir les notes, le dossier de ce chapitre V. (Ibid. F°397)
Il faut reprendre dans Bernadette de Lasserre (vers la page 25. et autres) les faits utiles pour la lutte de Peyramale et de Sempé, et le départ de Bernadette. (Ibid. F°398)
La lutte de la ville haute et de la ville basse. (Ibid. F°508)
Lutte du curé Peyramale contre les pères. (Ibid. F°603)

Une grande loyauté, il croit fermement, simplement, et tout le reste en découle. Sans lutte, ce qui l’oppose à Pierre. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 91 – Notes sur l’abbé Judaine)
Toutes les luttes avec la ville, le commerce, les sœurs bleues. (Ibid. Fo 99 – Notes sur le père Capdebarthe)
Lutte du préfet et de l’évêque. – (Ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
Les gens de bon sens, Massy, Jacomet, en lutte avec la superstition et vaincus d’avance – (Ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Lutte du Préfet et de l’Evêque. (Ibid. Fo 245 – Notes sur H. Lasserre)
L’histoire de ces gens de
bon sens et de gouvernement, le baron Massy, le commissaire de police Jacomet, en lutte avec la superstition et vaincus à l’avance. (Ibid. Fos 248-248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Enfin, il n’y avait plus que lui [le père Sempé], et la nouvelle église était bien morte. (…) Quelle lutte, mais au nom du triomphe de la religion. (Ibid. Fo 284 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Tout garder. De là colère de la ville. Quelle lutte ! Le prêtre du culte du veau d’or. – (Ibid. Fo 286 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

LYRIQUE

Travail (1901)

après la longue consultation de la réalité, un prolongement dans demain, et d’une façon lyrique, mon amour de la force et de la santé, de la fécondité et du travail, mon besoin de vérité et de justice éclatant enfin (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 350/3)