Dictionnaire – Ébaucher-Extrêmement

ÉBAUCHE(R)

Le Ventre de Paris (1873)

Ebauche. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 46)
Lisa Quenu et Florent sont connus dans l’ébauche. (ibid., f° 103)
Un mot sur son protecteur qui lui a permis d’apprendre, et cela suffit (Voir l’ébauche) (ibid., f° 105)
Marjolin. Je l’ai. Dans l’ébauche. (ibid., f° 107)

La Conquête de Plassans (1874)

Ebauche (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 17)

Nana (1880)

Bien poser Labordette (important.) Voir l’ébauche et les personnages. (NAF Ms. 10313, Nana. F°44- Plan)
Connaissance ébauchée. (ibid. F°142).
[Sabine Muffat] Voir l’ébauche (vers la fin). (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages).
la connaissance s’ébauchant et se faisant de voiture à voiture. (NAF Ms. 10313, Nana. F°254/21- Notes).

Le Rêve (1888)

Ebauche (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 216)

Lourdes (1894)

Maintenant, dix-huit siècles
ont épuisé cette espérance, et il faut autre chose (éb. de « Lourdes » 32). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s25-26)
Un roman « Lourdes[»], ébauche. (ibid. F°30)
Ebauche (ibid. F°67)
Pierre a les insignes [en interligne : Insigne. H de N.-D.-du-S. 16] de brancardier. M. de Guersaint, la croix du pèlerinage [en interligne : Insigne : éb. 104]. (ibid. F°123)
Les insignes de Mme de Jonquière [en interligne : (H. de N.-D.-du-S. 16) éb. 104 – ]. (ibid. F°124)
Et je donne alors une description [en interligne : Organis. des trains, éb. 205] de tout le wagon (…).(ibid. F°125)
Et alors toute l’organisation [en interligne : (éb. 82-205) Lourdes 244. –] du pèlerinage. (ibid. F°126)
Et c’est pendant ce temps que (…) M. de Guersaint se met à causer avec M. Sabathier [en interligne : (ataxique éb. 64)]. (ibid. F°126)
Tous abandonnés de la science (…) et allant à la consolation, à la chimère. Lire ébauche, page 1 à 2. (ibid. F°144)
M. Faure ataxique (éb. 64). Détails sur l’organisation du pèlerinage (éb. 82). Aumônes. Souscriptions. 50 fr. pour un malade, etc. Les insignes (éb. 104). Organisation des trains (éb. 205). (ibid. F°145)
Le coup de foudre [en interligne : éb. 5 et 7. 12.], la raison se réveille (après la maladie) et emporte tout. Une révolte [en interligne : (éb. 5 et 7, 12)] de la raison [en interligne : toujours elle se révolte]. (ibid. F°150)
Pierre, le libre examen, la foi au seul progrès par la science (éb. 5). Pour Pierre toute l’éb. (p. 7.) (ibid. F°162)
Le médecin a prédit le miracle (éb. 11).
Encore Pierre, important, éb. 12. (…) Toute l’hist. de Pierre et de Marie (éb. 17). Le médecin qui lui a dit son père tel qu’il était, et non tel que sa mère le voyait (éb. 22). Les de Guersaint, éb. 24. (ibid. F°s162-163)
Portrait du petit Gustave (éb. 37). Sur le quai, la cohue du train qui descend. Un peu ce qui se passe à l’arrivée (éb. 1 à 10). (ibid. F°182)
Clémentine Trouvé (Eb. 29 et suivants). On lisait le mois de Marie de Lasserre dans les églises (en mai, 30 jours). La suite au prochain numéro. Violent intérêt, gros succès du livre, et grotte lancée (éb. 137). (ibid. F°200)
Et le bien spirituel qu’on en tire (éb. 188). (…) Mais au fond c’est toujours le bonheur qu’on demande. (éb. 188, convers. avec Lasserre). (ibid. F°201)
Nombre de trains qui roulent (éb. 205). (ibid. F°201)
Histoires de sorcières et de loups-garous (éb. 92). [On disait le biffé] Bartrès et le curé Ader (éb. 142). Bernadette à Bartrès, ce que m’a dit Barbet (éb. 147). (…) Description de la Vierge, d’après B. (éb. 223) – (ibid. F°219)
La vie moderne butte contre les Pyrénées, stagnation. Idées immobiles (éb. 238). (ibid. F°220)
Sur Bernadette jeune. Dalavat (éb. 91). Sur Bernadette jeune. Lasserre (éb. 141). Sur Bernadette, Barbet (147). Ce qu’on faisait à Bartrès (éb. 148). Au Panorama, l’ancienne grotte (éb. 159). Sur Bernadette jeune, Capdevielle (éb. 164). Les bruits qui courent sur les sorciers (éb. 167). Elle a l[e biffé]a [pied biffé] patte de crapaud dans l’ail (éb. 168). La formation de l’image de la Vierge chez Bernadette (éb. 191). (ibid. F°220)
Toute la description de l’emplacement ancien de la grotte, avec Barbet (éb. 195). (ibid. F°221)
Arrivée du train (Eb. 1 à 10). Détails sur l’Hospitalité du Salut (Eb. 26[)]. Détails sur les trains à la gare (éb. p. 203). (ibid. F°240)
L’entassement, les logeurs disent : Vous [ne biffé] mangerez, mais vous ne coucherez pas ce soir. Tout est plein (éb. 15). (…) Là sans doute, les premiers pèlerinages tels que le P. Picard me les contés (éb. 23). Les insignes (éb. 104[)]. (ibid. F°240)
Mouvement politique (éb. 206). (ibid. F°240)
Devant la Grotte (Eb. 10-42). (…) Les hospitalières à l’hôpital (Eb. 26). M. Faure ataxique (Eb. 64). Les autres hôpitaux, Salut – Municipal – (éb. 76). Vie des malades (éb. 85). Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Mais surtout après le miracle. Peut-être là les premiers pèlerinages du Père Picard. Pas organisés. [illisible] (éb. 23). (…) Ce qu’on mange à l’hôpital (éb. 130). (ibid. F°255)
Les piscines (éb. 35). Le mort plongé dans la piscine (éb. 157). L’abbé Maumus qu’on m’a envoyé (éb. 229). (ibid. F°274)
Au bureau des constatations (Eb. 29). Le Bureau des constatations (128). De nouveau dans le bureau des constatations (éb. 230). Inutiles pour le croyant, insuffisants pour l’incrédule (232). (ibid. F°294)
L’hôpital de N.-D.-des-Douleurs (Eb. 16-55). L’hôpital la nuit (Eb. 59.) Détails sur Bernadette (228 éb.) (ibid. F°308)
Une dame chez les Sœurs bleues (éb. 131). L’entassement dans les hôtels, couloirs, promiscuité, etc. Les logeuses disant : Vous mangerez, mais vous ne trouverez pas à coucher ce soir (éb. 15). Les Sœurs bleues (éb. 98). Sur les hôtels (162). (ibid. F°328)
Détails sur l’Hospitalité, la popote (Eb. 26) [en interligne : la popote (éb. 28)]. Ma visite aux Pères et à l’Hospitalité (Eb. 23). Lutte de la ville haute et de la ville basse (éb. 97). (ibid. F°348)
Le magasin des cierges et les envois d’eau de Lourdes (éb. 116). Les pères propriétaires de la Grotte. Ville haute et ville basse. Dalavat. (éb. 96). (éb. 238). La ville démoralisée (éb. 98). Les couvents (éb. 131). Les cloches (132). Le nouveau Lourdes, buvettes, enseignes etc. (Eb. 163). Les gains de la nouvelle ville (éb. 24). (ibid. F°349)
La procession aux flambeaux (Eb. 17). Vue du Calvaire (éb. 70). La salle d’abri (éb. 77). (ibid. F°365)
Devant la Grotte (éb. 10-42) – Nouveaux détails. 80 – Lettres jetées (79). Messes au Rosaire (éb. 88.) La pluie devant la Grotte (éb. 103) – Une messe le matin (106). Toute la Grotte examinée à loisir (107). (…) Le Rosaire pendant un orage (éb. 103). 50 autels dans Lourdes. 2 000 messes par jour (nuit et jour). Toutes les cloches qui sonnent (éb. 132). – Il faut que Pierre dise sa messe tous les jours. Une scène à la Grotte, en hiver, par un grand froid, temps de neige (éb. 114). (…) Conversation avec Lasserre (éb. 188). Pierre songe à son frère Guillaume (Les 3 Villes 18). (ibid. F°381)
La lutte de Peyramale et des Pères (éb. 95). (ibid. F°397)
Lasserre ne veut pas que Bernadette ait eu des pensées d’orgueil. On ne l’éloigna pas pour cela (éb. 143). Voir si je ne pourrais pas mettre toute la conversation dans un cadre de paysages. Utiliser mon voyage à Argelès (éb. 209.) (ibid. F°397)
Sur le curé Peyramale, notes données par le frère (éb. 214). (…) Peyramale ne commence son église qu’en [en interligne : sept.] 75 (216). Les travaux jusqu’en février 77. Tout allait à la Basilique (218). (ibid. F°398)
Détails sur Bernadette (éb. 228). (ibid. F°398)
Je crois que j’ai là le commencement de guérison d’Elise Rouquet. Les plaies apparentes. L’hôpital de N.-D.-des-Douleurs (16-55). Salles des ménages (éb. 61). Ce qu’on mange à l’hôpital (éb. 130). L’Hospitalité à l’hôpital (H. de N.D.-du-S. 71). (ibid. F°414)
Devant la Grotte (Eb. 10-42). Excitation au miracle (Eb. 12). Le bureau des Constat. (Eb. 29) (ibid. F°430)
De nouveau dans le bureau des constatations (éb. 230). Sur les constatations, inutiles pour le croyant, insuffisantes pour l’incrédule (232). (ibid. F°431)
La procession de 4 h (Eb. 13-49). Toutes les piscines reviennent (40 éb.) – (…) Conversation avec Lasserre (éb. 66). (ibid. F°448)
La Crypte et la Basilique (éb. 118). (…) La Basilique encore (éb. 122). Le château (132). Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Inscription dans la crypte (éb. 198). Une page là-dessus (201). (ibid. F°467)
Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Description (Guide Barbet 1 à 10). Encore la Basilique (éb. 201). (ibid. F°468)
Tout l’argent va à la Grotte. Âpreté du gain (éb. 101). Les Pères menacent de fermer la Grotte (97). La chambre de Bernadette. Tout est parti de là (éb. 137-175). Mettre en regard de cette misère la Grotte flamboyante (139). L’église du curé Peyramale (152) [en interligne : et 171 éb.]. Le tombeau en bas (171). Un tombeau à Bernadette (éb. 242). (ibid. F°483)
Les Pères menaçant de fermer la Grotte (éb. 97). Tout l’argent va à la Grotte (101). (ibid. F°508)
Le diorama et le panorama (éb. 159). Objets religieux (éb. 160). L’ancien Lourdes avec Barbet, etc., (éb. 191) – (…) Idées immobiles (éb. 238). (…) « Nous fermerons la Grotte.[»] Dalavat. (éb. 97). La ville démoralisée (éb. 98). Revenus de la nouvelle ville (éb. 101). Le nouveau Lourdes, buvettes, mangeaille, etc. (éb. 163[)]. Les gains du nouveau Lourdes (éb. 241[)]. (ibid. F°509)
La joie du départ (Eb. 58). (M. Faure ataxique / éb. 64). Départ du train (éb. 72). Le départ heureux quand même, excitation qui continue. Des faits importants (éb. 59). (ibid. F°532)
Conversation avec Lasserre (éb. 65). (ibid. F°564)
Tenir compte de ceux qui viennent dans le but de demander la conversion de quelqu’un, etc., dans un but moral. Et le bien spirituel qu’on en tire (éb. 188). (ibid. F°565)
D’abord, son enquête est faite [en interligne : Eb. 5-10], son expérience est faite. (ibid. F°580)
Tout ce qui a empêché (réveil de la foi chez Pierre (éb. 16) [)]. (ibid. F°584)
Premiers chrétiens et anarchistes, avec Lasserre, éb. 69. – (ibid. F°587)
Relire tout ce que Lasserre m’a dit de Bernadette (éb. 145). Le frère de Bernadette (éb. 188). Nevers et Bernadette (éb. 226). (ibid. F°596)
Je pose mes deux brancardiers, ma dame hospitalière et sa fille (mariage qui s’ébauche[)]. (ibid. F°602)

ÉBRANLEMENT

Lourdes (1894)

Il perd sa femme à Cauterets (…). Le premier ébranlement. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)

ÉCART (À L’)

Lourdes (1894)

Très intelligent, mais restant à l’[égard biffé]écart, ne voulant pas spéculer sur une religion à laquelle il ne croit plus. Très travailleur, [sa biffé] apprenant beaucoup à l’écart, mais très simple, très pur et [biffé] maître de lui. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°79)
Le prêtre continue donc à être prêtre, et il est vicaire [en interligne : un prêtre libre] à l’église de Neuilly. Très modeste, très à l’écart. (ibid. F°93)
Toutes les autres sont descendues et régler ce qu’elles font : Mme Maze à l’écart, se promenant (…). (ibid. F°166)
Puis le dehors, Mme Vincent promenant sa fille, Mme Maze à l’écart, Mme Vêtu assise et souffrant au soleil, Elise Rouquet buvant, ce qui écarte tout le monde de la fontaine – (ibid. F°169)
Mais il serait bon que les pères de la Grotte fussent toujours à l’écart [dans la marge : au III]. (ibid. F°428)

Je puis faire que son mari soit à Cauterets. Mais il vaudrait peut-être mieux le laisser complètement à l’écart (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)

ÉCARTEMENT

Lourdes (1894)

Et l’effet d’écartement que lui produit Lourdes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°83)

ÉCHAPPÉE

Le Ventre de Paris (1873)

Je me ménage une échappée sur la campagne. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 79)

Nana (1880)

Le monde, ne pas laisser tomber les conversations, en garder le ton, et les a parte des hommes, l’échappée continuelle sur Nana (NAF Ms. 10313, Nana. F°25- Plan).

ÉCHELONNER

Lourdes (1894)

Garder donc les faits les plus affreux pour la fin, les échelonner. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°178)

ÉCHO

Au bonheur des dames (1883)

La lutte des deux magasins doit être le vrai drame, très vibrant (…) le sang de cette femme [Mme Hédouin] dans les fondations; mais il faudrait que cela eût un écho à la fin (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fºs 14-15)

Le Rêve (1888)

Le je t’aime de Félicien peut venir alors (…) Félicien très riche peut donner beaucoup (…) voir si cela ne peut pas avoir un écho plus loin (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 290/73)
Donc toutes les aumônes posées avec les noms. Echo plus loin (ibid., deuxième plan du chapitre V, f° 75)

ÉCLAT / ÉCLATANT / ÉCLATER

Lourdes (1894)

Mais ce que je veux surtout c’est peindre
une passion prête à déborder et qui se contient. (…) Il me faut donc cet éclat au milieu de la trilogie. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s6-7)
Dans la quatrième partie, (…) j’arriverai à l’éclat de la procession de quatre heures, la montée à la basilique et le triomphe
total de la grotte. (ibid. F°s70-71)
C’est là surtout mon vif désir : que la douleur aille en montant jusqu’au IV, de façon à ce que (…) les miracles éclatent comme une immense espérance dans ce wagon surchauffé, charriant de la souffrance. (ibid. F°155)
Et alors à la fin la lamentation de cette jeune ruine, l’opposition intense éclatant avec la Basilique (…). – (ibid. F°475)

Tout l’éclat de la virilité et de la jeunesse. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 89– Notes sur Ferrand)
Je suis guérie. (…)
Visage éclatant, plus pâle. (ibid. Fos 276-277– Notes sur Mlle de Fontenay)

ÉCOULER (S’)

Lourdes (1894)

Le voilà donc prêtre habitué, à l’église de Neuilly. Trois années vont s’écouler. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°151)
Pendant la partie qui [va suivre on ira biffé] s’est écoulée, on est allé de Poitiers à Ruffec, où l’on arrive à 3h00. (ibid. F°185)
C’est Lourdes, la tentative de revenir en arrière, de croire comme une brute, avec tout l’espoir que la foi suffit, avant l’expérience des siècles écoulés (…). (ibid. F°554)

ÉCRIRE / ÉCRITURE

(Voir aussi Bible ; Jésus ; Littérature ; saint).

Le Rêve (1888)

Rien que des sujets de l’Ecriture (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Vitraux, f° 276)

Pas du tout littéraire, n’ayant jamais écrit ni lu (MS NAF 10323, Le Rêve, plan du chapitre IX, f° 119)
Angélique ne mettant pas l’orthographe. Son écriture personnelle (ibid., Plan du chapitre IX)
Angélique ne mettant pas l’orthographe, son ignorance, son écriture personnelle (ibid., premier plan du chapitre XI, f° 157)

Pas du tout littéraire, n’a jamais écrit (ibid., Personnages, f° 203)

Lourdes (1894)

Il restera à écrire les histoires de ma jeune malade et de mon prêtre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°80)
Il [Pierre] se serait procuré tout ce qu’on [aurait biffé] a écrit, les journaux du temps, enfin tout. (ibid. F°97)
Prendre les ex-voto dans mes notes, écrire une ou deux pages avec. (ibid. F°463)

L’histoire de Lourdes a été écrite en entier par des médecins. Dozous, Vergez, ou St-Maclou, etc. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Ne pas écrire l’œuvre dans un sentiment de raillerie, mais de pitié pour l’humanité souffrante. (ibid. Fo 215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Mais remarquer qu’il n’a eu que les documents de l’Evêché. Il ne s’est pas adressé à la source adverse ; c’est là qu’il faudrait frapper, si l’on voulait écrire la véritable histoire. (ibid. Fo 258– Notes sur H. Lasserre)

ÉCUEIL

Le Rêve (1888)

Mais l’écueil de ça est de faire petit, plat et bête (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 227/11)

ÉDIFIANT

Lourdes (1894)

Et les différents pèlerinages, les Bretons les plus dévots [en interligne : plus édifiant], ceux qui viennent de la Chine (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°367)
Le pèlerinage des Bretons plus édifiant, pas la foire de Neuilly du pèlerinage national. (ibid. F°381)

ÉDIFICE

Lourdes (1894)

Toute la société reposait sur l’espoir en une vie future : à quoi bon se plaindre de l’injustice, pourquoi ne pas tout accepter, le monstrueux édifice social, l’inégale répartition des richesses et du bonheur, puisque le ciel était au bout. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°26 ) \

Le Rêve (1888)

(…) J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage . En dehors de ses quelques livres classiques étroits et secs, la légende (…) Il est là depuis sa publication, il a dû servir aux anciens brodeurs pour les images de saints , chasubles. Date de l’édition, description du volume (…) (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)

EFFACER

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Mais, en somme je veux autant que possible effacer le monde clérical autour de mon personnage. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f°s 18-19)

La Terre (1887)

J’ai peur que mon Jean ne soit bien effacé à côté de Bonhomme. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 430/31- Ebauche)

Le Rêve (1888)

Hubert sera très effacé, gardera la maison (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
Hubert effacé pendant ce chapitre (ibid., premier plan du chapitre VIII f° 113.)

Lourdes (1894)

Quant aux Pères de la Grotte, je les effacerai modestement. Ils laissent faire les Pères de l’Assomption. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°117)

EFFECTIF

Le Ventre de Paris (1873)

Un amour avec Cadine, effectif. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 96)
Les amours de Marjolin et de Cadine datent donc du berceau, du tas de choux où ils ont été élevés ; je les ferai effectives. (ibid., f° 111)

EFFET (EN)

Le Ventre de Paris (1873)

Mais la plupart ont des lanternes. Effet d’un coup de lanterne sur un tas de légumes.(Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°169)
Effet du jour levant sur les fleurs.(ibid., f° 171)
Effet curieux du jour se levant vu de dessous la grande rue (ibid., f° 173)

La Conquête de Plassans (1874)

L’effet de cette maison tranquille (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 30)

Nana (1880)

Il (sic)’emmenera en effet. Voir à arranger cela. (NAF Ms. 10313, Nana. F°54- Plan)
Lui, en effet, gardait son sourire aux dents mauvaises. (ibid. F°143- verso).

Muffat ne dira un mot avec Venot que plus tard, vers la fin, lorsque ce mot pourra faire un effet (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°27- Plan)
Muffat et Chouard arrivent, c’est le gros effet (…). (ibid. F°41)
Effet sur Nana. (ibid. F°61)
Bijou non pas tous, garder pour l’effet plus loin (ibid. F°120)
Nana plus entourée encore et triomphant, répétion (sic) de l’effet, mais agrandi. (ibid. F°123).

La Terre (1887)

Donc, quand il tombe chez les paysans, il a vingt-huit ans et Louise 15, treize ans de différence. Ce serait un obstacle, dont il faut tirer un effet. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 430/31 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

L’effet de la pasion chez celui-ci pour cette enfant (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 220/4-)
(…) Le recueil des voyages doit apporter aussi son effet, ces pays lointains qu’elle rêve (ibid., f° 244/28)
(…) Cela préparerait l’effet lorsqu’elle apprendrait qui est Félicien (ibid., f° 256/39)
(…) du reste à la fin, dans la maladie (effet à étudier), je briserai les défauts d’Angélique (ibid., f° 282/65)
Mais l’effet en est qu’au XII (…) il y a chez elle un réveil effrayant de la passion (ibid., f° 287/70)
(…) Et des faits, qui vont en effet jusqu’à l’extrava/ga/ nce (ibid., f° 289/72)

Dès qu’Angélique répond, effet de sa voix sur Félicien (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII f° 96)
Mais je crois qu’il ne doit arriver qu’après la cérémonie, ou du moins que Angélique ne le voit qu’après, qu’au moment nécessaire pour l’effet (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)

Tout l’effet du milieu (ibid., Personnages, f° 199)

Lourdes (1894)

Leurs ancêtres, les premiers chrétiens, ont été les anarchistes pour le [mode biffé] monde païen, qu’ils menaçaient et qu’ils ont en effet détruit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°42)
Le haut clergé, le pape. (…) En effet, il me sera difficile de mettre cela dans Lourdes. (ibid. F°60)
Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille, un cadre où je sois moi, des foules, des grandes masses à remuer, des effets grands (…) \\. (ibid. F°s61-62)
Je voudrais, pour ne pas trop éparpiller l’effet, avoir un personnage central. (ibid. F°72)
Et si Dieu la sauve maintenant, n’est-ce pas une ironie ; mais ce n’est pas Dieu, c’est un effet naturel. (ibid. F°77)
Donc, au départ, tout au fond de lui, cette expérience de savoir si un miracle ne se fera pas pour lui (en dépit [de ce qu’il biffé] de l’effet d’incrédulité où il est.) Et l’effet d’écartement que lui produit Lourdes. (ibid. F°83)
Quand il dit « Ma sœur », c’est en effet à sa sœur qu’il [Ferrand] parle. (ibid. F°114)
Je n’ai qu’à dépouiller les miracles, à les avoir tous, puis à les classer. – Par moments, interrompre sans doute, pour montrer l’effet sur les malades. (ibid. F°194)
Ce [Ma biffé] cantique par tous ces souffrants que le voyage a brisés (augmenter en effet les souffrances, à mesure que le voyage s’allonge). (ibid. F°216)
L’église (196). Rendre l’effet sur Bernadette. (ibid. F°219)
Effet sur Pierre. (ibid. F°264)
Et l’oubli
de soi-même dans l’agonie. Effet sur Marie de ces paroles de sa voisine, madame Vêtu. (ibid. F°s305-306)
M. Vigneron obtient nécessairement là sa première grâce, son espoir d’être nommé chef, car je veux garder tout l’effet de la mort de Mme Chaise pour l’autre scène. (ibid. F°327)
En effet, son frère loin, et lui [Cazaban] est dans l’affaire. (ibid. F°336)
C’est l’effet de la grandeur de la procession et de cette admirable nuit qui lui [à Pierre] font oublier les désastreuses impressions de la journée. (ibid. F°357)
Je voudrais aussi, quand madame Vêtu va mourir, que Elise Rouquet, le lupus, revienne de la grotte, en disant qu’elle est guérie. La suppuration s’est en effet un peu arrêtée. (ibid. F°412)
L’histoire de la dame qui a voulu qu’on constatât son mal, certaine d’être guérie ; et qui revient guérie en effet : désespoir du docteur Bonamy. – (ibid. F°429)
L’effet de la foule sur Pierre, le délire qui croît. (ibid. F°433)
Effet de ce silence instantané, au milieu de la foule immense, saisissant. (…) Garder la [bon biffé] bousculade, mais pousser l’émotion jusqu’au plus violent effet possible. (ibid. F°437)
L’effet de ce phénomène (…) et la force logique de ce que Beauclair a dit. (ibid. F°441)
Mais je réserve l’effet pour ensuite. (ibid. F°446)
Par un effet contraire, achever de tuer la foi chez Pierre. (ibid. F°447)
Effet de ce silence instantané, au milieu [de biffé] d’une foule immense, saisissant. (ibid. F°449)
Tout l’effet de M. de Guersaint : Père léger, distrait, quoique pratiquant ; puis l’abattre, à genoux, devant sa fille guérie, dans une joie divine, un acte de remerciement et de foi ardente. (ibid. F°490)
Ce coup de fortune pour Lourdes, cette popularité doit être un effet qui revient d’un bout à l’autre du chapitre, comme la joie que Marie éprouve à marcher. (ibid. F°491)
Partout la même chose, des exemples. L’effet de la même fièvre, le même besoin, sans cesse renaissant. (ibid. F°496)
On se ramasse pour voir Marie [en interligne : popularité]. Effet final. (ibid. F°502)
Partout ce n’est que l’effet de la même fièvre, du même besoin, sans cesse renaissant. (ibid. F°508)
L’effet, au départ, est qu’on remporte Mme Dieulafay, dans son luxe, sans guérison. (ibid. F°531)
L’entaille que Marie retrouve et qui continue l’effet [contraire biffé] donné déjà par Mme Vincent, mais dans un sens contraire. (ibid. F°536)
Effet dans le wagon, très bref. (ibid. F°569)
Mais aussi le wagon revient, effet produit par la lecture, nommer seulement et le moins possible les personnages. (ibid. F°580)

C’est là le grand effet du personnage : le poser léger,
distrait, quoique pratiquant, artiste ; puis l’abattre, à genoux, devant sa fille guérie (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 29-30 – Notes sur M. de Guersaint)
Décrire l’effet de la scrofule sur son corps. (ibid. Fo 58 – Notes sur Gustave Vigneron)
Quand il [Ferrand] l’appelle « Ma sœur », c’est en effet à une sœur qu’il parle. – (ibid. Fo 88 – Notes sur sœur Hyacinthe)
Mais il me semble qu’un prêtre mondain serait là d’un bon effet. (ibid. Fo 94 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Les traces qui restent. Pourquoi, en effet. Pour le témoignage, dit Boissarie. (ibid. Fo 149 – Notes sur les Miracles)
Là, ni un effet nerveux, ni une erreur d’observation. (ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
Après une neuvaine, elle marche (n’y aurait-il pas là l’effet résultant des cautérisations ?) Sept ans d’infirmité. (ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay)

EFFICACE

Le Rêve (1888)

Je crois qu’il faut donner à l’œuvre une base réelle . Si je la faisais trop dans la fantaisie, dans le songe, elle serait beaucoup moins efficace (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 294/77)

EFFROYABLE

Nana (1880)

Le détraquement d’une famille par la luxure, trouver le dénouement effroyable, comme dans L’Assommoir. (NAF Ms. 10313, Nana. F°107- Plan)
Le détraquement d’une famille par la luxure. Trouver la revanche de l’Assommoir, scène effroyable. (ibid. F°137).

Nana rêvant tout ce qu’il y a de beau, le gaspillage, les folies ruineuses, toilettes, meubles, bijoux, dentelles, voiture et chevaux, cuisines – Coulage effroyable. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche).

Lourdes (1894)

Cela avec les malades : la douleur physique avec eux, dans les cas les plus effroyables (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°39)
Le côté effroyable de cela. Naturellement, le mort reste mort. (ibid. F°263)

La crise effroyable, l’effondrement, que va-t-il devenir ? (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 10 – Notes sur Pierre Froment)

ÉGALEMENT/ÉGAL

Voir aussi : Aussi ; Encore.

Le Ventre de Paris (1873)

Rue Sauval : noire, déserte, intéressante Rue des deux écus, également (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°143)
Sur des assiettes également de petits gateaux (ibid., f° 162)

La Conquête de Plassans (1874)

Poser l’évêque également (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F° 5)

Nana (1880)

Tous les dieux également. (NAF Ms. 10313, Nana. F°5- Plan).

[Arsène Laborette] Age également incertain (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°182- Personnages).

Lourdes (1894)

Cela me sera égal si ce chapitre est court, 25 pages par exemple. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°591)
Au fond, c’est toujours le besoin du bonheur, du partage équitable, le rêve de l’égalité, de tout le monde également heureux. (ibid. F°41)

Les Annales de Lourdes, depuis trente ans, l’œuvre s’est faite, monotone et toujours égale. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 145 – Notes sur Boissarie)

ÉLANCE (-CEMENT) / ÉLAN

(Voir aussi : envoler)

Le Rêve (1888)

Tout cela dans un élancement blanc (MS NAF 10323, Le Rêve, Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
Tout cela immatériel dans un élancement blanc (ibid., premier plan du chapitre VII f° 100)
L’élancement (à moins que je ne le garde pour la fin) (…) Enfin la rentrée de la procession (Eglise, 11) (ibid., deuxième plan du chapitre VIII,f° 108)
Cela au milieu de la bénédiction, de la pourpre catholique, tout un élancement (ibid., premier plan du chapitre VIII f° 113)
Quelque chose de légendaire et de mystique, de frêle, de primitif, d’élancé dans la passion, de passionnement chaste (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 133)
Quelque chose de mystique et de légendaire, de frêle, de primitif, d’élancé dans la passion, de passionnément chaste (ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
Hosanna, élancement final (…) gothique flamboyant au dessus du roman comme un hosanna (…) C’est la fin du rêve, l’hosanna, le bouquet mystique (ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 185)
Enfin le dénouement, la mort (…) Grand, pur, élancé (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 186)
Ai-je réservé la grande façade (Egl.6 à 10) pour être mise là comme un hosanna, un élancement final ? (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)

Lourdes (1894)

C’est ce sentiment qui nous exalte, ce sentiment du juste, du vrai, du bien qui se traduit par l’élan vers [le biffé] l’au-delà, l’inconnu, le surnaturel, le monde impossible et parfait (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°54)
Et finir, je le répète, par la foi impossible et par cet élan vers la religion de la souffrance humaine (…). (ibid. F°98)
Si elle [Mme Volmar] se sert de la religion, à Paris et ici, c’est pour sa passion. Sauver ça par un bel élan, une fougue [d’ext biffé] de passion et de douleur sincère. (ibid. F°487)

Clergé s’abstient, au milieu de cet élan vers le surnaturel. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Le clergé qui s’abstient, au milieu de cet élan vers le surnaturel. (ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)

ÉLARGIR (S’)

Le Rêve (1888)

Bien poser déjà l’au-delà dans le milieu (…) Mais ne faire que poser, car cela s’élargit et prend son importance au IV (MS NAF 10323,Le Rêve premier,plan détaillé du chapitre II, f° 29)

Lourdes (1894)

Et élargir cela, dire que l’humanité, dans tous les siècles, y est retournée [en interligne : en toutes choses santé, morale, politique] .– (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°590)

ÉLÉMENT(S)

La Curée (1872)

Voici donc les éléments [= élément de l’intrigue] (MS NAF 10 282, La Curée, f°304 / Premiers détails).

Au bonheur des dames (1883)

Mais choisir comme élément de passion centrale une figure d’honnêteté luttant (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 4)

Le Rêve (1888)

Les éléments du problème à résoudre restent d’ailleurs toujours les mêmes : pureté, psychologie, au delà (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 227/11)

Travail (1901)

Voici les divers éléments que je puis employer (F°417)

ÉLEVER / ÉLEVÉ

La Terre (1887)

je veux peindre d’abord, en bas, l’amour du paysan pour la terre, un amour immédiat, la possession du plus de terre possible, la passion d’en avoir beaucoup, parce qu’elle est à ses yeux la forme de la richesse ; puis, en m’élevant, l’amour de la terre nourricière (MS NAF 10.328, La Terre, f° 400/1 – Ebauche)

Lourdes (1894)

Le Bureau des Constatations, véritable clinique. (…) Discussion courtoise, toujours élevée. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 162 – Notes sur les Miracles)

ÉLOIGNER

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Elle rappelle un peu ma Madeleine Férat ; mais je l’en éloignerai le plus possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 7)

EMBALLEMENT

Lourdes (1894)

Et j’en arriverai à quelques pages d’entassement de mi- \\racles, je choisirai un ordre. Mais il me faut un bel emballement, une série complète, et sans la peur de faire long, car tout le chapitre est là. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s193-194)

EMBÊTER

Lourdes (1894)

Des lupus guéris. Comme dit le docteur Astier : « Ça m’embête ». (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°273)
Et les plaies apparentes. Ça m’embête, ce lupus – (ibid. F°285)

Il [un docteur] croit à l’efficacité de Lourdes sur
les maladies nerveuses. Seulement le lupus dont il m’a parlé. « Le lupus, ça m’embête ». (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 186-187 – Notes sur le Départ de Paris)

ÉMOTION

Lourdes (1894)

Tout cela dans la plus grande émotion et dans la plus grande beauté possibles. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°380)
Il [Pierre] est dans une grande émotion. Son adoration pour Marie, qui lui mouille les yeux de larmes. – (ibid. F°436)
Et l’émotion immense qui se déclare. Les paralytiques se sont levés et se sont élancés à la suite de Jésus. (ibid. F°436)
L’émotion produite par ces voix gémissantes était irrésistible. Tout le monde pleurait – (…) Garder la [bon biffé] bousculade, mais pousser l’émotion jusqu’au plus violent effet possible. (ibid. F°437)
Pierre, pendant ce temps. Sa grande émotion, des larmes. (ibid. F°438)
Le froid que cela lui met au cœur, malgré sa joie, sa profonde émotion. – L’écroulement chez Pierre, mais pour plus loin. (ibid. F°439)
L’émotion produite par ces voix gémissantes était irrésistible. Tout le monde pleurait – (ibid. F°449)
Encore des pages sur l’émotion de la foule (40). (ibid. F°450)
Le cri de [de biffé] la souffrance. Et une émotion, une charité ardente, devant la misère humaine. (ibid. F°600)

Récit du malade, imagé, vivant, plein d’émotion toujours, amertume du passé, bonheur du présent. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 163-164 – Notes sur les Miracles)
Emotion populaire, voilà la Sainte, voilà la Sainte. (ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Emotion populaire. [en interligne : Voilà la Sainte ! Voilà la Sainte !] (ibid. Fo 241 – Notes sur H. Lasserre)
Emotion immense, [la biffé]. On buvait. Les croyants étaient libres. (ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre) ==== EMPECHÊR ====

Le Rêve (1888)

Cela n’empêche pas qu’elle doit avoir aussi conscience de ce qui s’écroule (MS NAF 10323, Le Rêve, plan du chapitre IX, f° 123)

Lourdes (1894)

C’est Lourdes même qui l’empêche de retourner à la foi de l’enfant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°95)
Je puis faire que la mère de cette fille soit précisément la directrice de la salle, et j’en fais une femme vraiment méritoire, tout à la charité, se dévouant pleinement, ce qui n’empêche pas qu’elle a une fille et qu’elle poursuit un mariage. (ibid. F°100)
Expliquer tout de suite que les autres années on s’arrêtait un jour et une nuit à Poitiers pour aller à Sainte-Radegonde, mais qu’une raison l’empêche cette année-ci. (ibid. F°144)
S’il [Pierre] ne croit plus, c’est par une révolte de sa [révolte biffé] raison. Toujours, ce sera elle qui se révoltera et qui l’empêchera de croire. (ibid. F°163)
Bien dire que Pierre, s’il pouvait se convertir, en serait empêché par ce qu’il voit. (ibid. F°474)

EMPLACEMENT

Lourdes (1894)

Toute la description de l’emplacement ancien de la grotte, avec Barbet (éb. 195). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°221)

EMPLIR

Nana (1880)

Il faut que les giffles (sic) sonnent et emplissent le chapitre. (NAF Ms. 10313, Nana. F°81-Plan).

La Terre (1887)

Bonhomme forcé de quitter la maison. Haine farouche à emplir cette partie. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 429/30 – Ebauche)
(…) La terre. C’est l’héroïne de mon livre. La terre nourricière, la terre qui donne la vie, et qui la reprend, impassible. Un personnage énorme, toujours présent, emplissant le livre. (ibid., f° 484/76)
(…) La terre, la vraie domine et emplit le volume, toujours présente. (ibid., f° 486/78)

Lourdes (1894)

Mais ce que je veux surtout c’est peindre
une passion prête à déborder et qui se contient. C’est mettre au centre de mon œuvre, c’est emplir mon œuvre d’un soleil de passion qui resplendisse (…) (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s6-7)
Il me faudrait certaines histoires à côté pour emplir certaines parties qui restent un peu vides. (ibid. F°100)
Le chapitre est empli par cela ; et le faire finir rapidement par le silence qui tombe de 11.40 (Mont-de-Marsan) à 2.39 (Tarbes) pendant trois heures donc. (ibid. F°217)
Tout ce qui précède doit être traité brièvement, parce qu’en somme c’est Bernadette qui est centrale et qui doit emplir le chapitre. (ibid. F°300)
Je crois que cela suffira pour emplir le chapitre, en reprenant la salle par un clair soleil.– (ibid. F°412)
Ce sont les deux bons épisodes, mais ils ne suffisent pas pour emplir le cha- \\pitre. (ibid. F°s425-426)
Marie n’étant pas encore là, je n’ai qu’eux, et je distribue les épisodes, de façon à ce qu’ils emplissent bien le chapitre. (ibid. F°427)
Revenir à l’hôpital (…), et emplir le chapitre avec des faits. (ibid. F°604)

EMPLOI / EMPLOYER

Le Ventre de Paris (1873)

Alexandre, fort de la Halle, très brute, à employer (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 108)

La Conquête de Plassans (1874)

Je voudrais bien employer le personnage de Macquart. Je pourrai en faire un employé de la maison de fous (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans Ebauche F° 27)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Ne pas oublier que le village devient un seul personnage, et le montrer à l’horizon de chacune de mes scènes, en évitant d’employer aucun nom. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)

Nana (1880)

Madame Maloir, l’employer. (NAF Ms. 10313, Nana. F°86- Plan).

Voyons le personnel d’hommes que je puis employer. (NAF Ms. 10313, Nana. F°209- Ebauche).

Le Rêve (1888)

Les Hubert ne sont pas beaucoup employés là-dedans. Hubertine surtout (MS NAF 10323, premier plan du chapitre VI, f° 89)
Donc chercher à employer le plus possible les Hubert dans ce chapitre (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 90)

Lourdes (1894)

Je l’emploie comme hôtelier contre les sœurs bleues et comme marchand d’objets de piété. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°119)
C’est donc une heure à employer, et (…)
on va faire une lecture. (ibid. F°s216-217)
Simplement, je fais éloigner Pierre, parce que Marie lui dit qu’elle veut rester une heure ou deux là (…) ; et c’est cette heure qu’il emploiera à causer avec le médecin. (ibid. F°254)
Cela vaut mieux, chauffe [d’av biffé] davantage la scène, emploie toute la journée. (ibid. F°269)
Et dire tout de suite à quoi il [M. de Guersaint] va employer son après-midi. (ibid. F°271)
Reporter cette page au chapitre IV de la cinquième partie, lorsque je l’aurai employé ici. (ibid. F°275)
Mon souci est de savoir comment je les [les pères de la Grotte]
emploierai. (ibid. F°s289-290)
Voici longtemps que je ne l’ai [Chassaigne] employé et c’est ici ou au chapitre suivant qu’il faut que je le fasse reparaître. – (ibid. F°363)
Mais surtout les employer dans l’excitation qui monte. (ibid. F°427)
Le Commandeur pourrait être dans la Crypte, si je ne l’ai pas utilisé au chapitre précédent ; et l’employer alors. (ibid. F°466)
L’abbé Judaine est employé ; [et montrer aus biffé] il part. (ibid. F°527)
Tout cela emploie Mme de Jonquière et [la biffé] sœur Hyacinthe. – (ibid. F°539)
Les sœurs employées. (ibid. F°602)

Voir si je puis l’employer davantage. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 85 – Notes sur le baron Suire)
Je ne sais comment je l’emploierai. (ibid. Fo 94 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Je
l’emploie comme hôtelier contre les sœurs bleues et comme marchand d’objets de piété contre la Grotte. – (ibid. Fos 101-102 – Notes sur Majesté)

Travail (1901)

Voici les divers éléments que je puis employer (F°417)
et si c’était le savant, Jordan, qui avait hérité du haut-fourneau isolé (…) Cela est d’un bon emploi, explique sa fortune, comment il est fixé à Beauclair (F°418)

EMPORTER (L’)

Lourdes (1894)

L’idée de charité n’est pas applicable, l’idée de justice emporte tout ; et ce sera là mon troisième livre, « Paris ». (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Je répète que je veux au centre la souffrance humaine, tout un groupe de malades emportés vers l’éternelle illusion. (ibid. F°55)
Le coup de foudre [en interligne : éb. 5 et 7. 12.], la raison se réveille (après la maladie) et emporte tout. (…) Son père se réveillant en lui. Le portrait repris sans doute dans le début, le père l’emportant. (ibid. F°150)
Et peut-être là, ou plus loin, la psychologie de Pierre, la raison emportant tout en lui, mais honnête. (ibid. F°585)

Le besoin de logique l’emporte le plus souvent, le cerveau domine. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 4 – Notes sur Pierre Froment)
Tout à l’amour, à l’ardeur qui l’emporte. (…) Mais pas de bas calcul, le tout emporté par un souffle de désir, une flamme de passion qui purifie tout. (ibid. Fo 76 – Notes sur Madame Volmar)
1) (ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
La pitié désespérée emportant tout. (ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
2) (ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)

Travail (1901)

Je me demande si tout cela ne doit pas être le premier chapitre de l’utopie ouvrant le rêve . Evidemment oui (F°438)

ÉVITER

(voir aussi : Pas de ; Non ; Sans ; inutile ; supprimer ; suffit) Consigne faisant partie du vaste champ des consignes « négatives » dans lesquelles Zola stipule pour lui-même de « ne pas » faire (et souvent refaire) telle ou telle chose.

Le Ventre de Paris (1873)

Il faut éviter la ressemblance avec Félicité et Pierre Rougon.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 55)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Ne pas oublier que le village devient un seul personnage, et le montrer à l’horizon de chacune de mes scènes, en évitant d’employer aucun nom. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)
L’encanailler comme figure, pour éviter de lui donner une hauteur symbolique. (ibid., Les personnages, f° 18)
La tombe d’Albine ? Je mettrai à côté du cimetière une sorte de précipice, ou plutôt je l’établirai au bord d’un grouffre [sic], qui évitera de le border d’un mur. – Le cimetière va un peu en pente. Puis, derrière l’église, je mettrai le presbytère. (ibid., L’Eglise, Les Artaud – le Presbytère, f° 108)

Nana (1880)

Au départ, dans le couloir, bien peindre toutes les petites qui filent par là, pour éviter les hommes. (NAF Ms. 10313, Nana. F53- Plan).

Il me faut éviter le caractère de mouton sublime de la femme de Hulot. (NAF Ms. 10313, Nana. F°216- Ebauche).

Au bonheur des dames (1883)

Eviter les scènes trop vives (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 4) \\Eviter de répéter Mme Hédouin et Florent (ibid., f° 5) \\(…) grande scène (éviter la ressemblance avec Saccard (…) (ibid., f° 12)

La Terre (1887)

On a dit que le paysan est l’animal farouche, meurtrier, au milieu de la terre bienfaisante et calme. Peindre cela, en évitant de trop pousser au noir (MS NAF 10.328, La Terre, f° 401/2 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Il faut éviter la porte, le petit mur. (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 256/39)
(…) Une chapelle (…) mais je la mettrai sans doute dans la cour du château, je n’en ferai pas un point central, pour éviter la religion (ibid., f°309/92)
pour éviter la petite porte, je les mets tous dans l’église sans dire comment ils sont entrés (ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 185)

ÉVOLUER / ÉVOLUTION

Lourdes (1894)

Il y va donc monté contre ces mômeries, presque avec colère ; et il faudrait, pour qu’il évoluât qu’il fût touché d’abord, puis qu’à la fin, il sentît pourtant le besoin d’autre chose. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°73)
Se débarrasser tout de suite du docteur Chassaigne, qui va partir pour [Lour biffé] Cauterets avec sa femme malade. Cela lui donnera quatre ans, pour son évolution. (ibid. F°150)

Travail (1901)

Mais il faut que toute l’évolution soit posée, que l’incendie ne soit que la catastrophe balayant les derniers détails (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 402/55)

ÉVOQUER / ÉVOCATION

Lourdes (1894)

Je songe même que, dans « Lourdes », je ne ferai pas mal à une ou deux reprises d’évoquer sa figure, pour
qu’il ne tombe pas dans « Paris » comme un aérolithe. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 16-17 – Notes sur Guillaume Froment)
Mettre, dans l’évocation par Pierre, le portrait physique de [Jacques biffé] Guillaume. (ibid. Fo 19 – Notes sur Guillaume Froment)

Travail (1901)

Lui faire évoquer ce qu’il a vu à Paris (F°441)

EXACT

Voir aussi : détail

Le Rêve (1888)

La cérémonie (…) La petite table, les cierges, etc. toute la cérémonie exacte (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre XIII, f° 176)

Lourdes (1894)

L’anarchiste peut ne pas savoir l’état exact de l’esprit de son frère et le croire un catholique pratiquant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°16 )
Un médecin [Chassaigne] plutôt matérialiste, tout moins [au] indifférent, n’acceptant que les faits exacts, basant tout sur l’observation. (ibid. F°259)

EXAGÉRER / EXAGÉRATION

Le Rêve (1888)

Au XIIe et XIIIe, pour être vu à distance, ils accentuaient vivement les mouvements, les gestes des personnages, les ornements mêmes ils les exagéraient (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Vitraux, f° 278)

Lourdes (1894)

Bernadette, sage raison, rare boute de caractère, intelligence ordinaire, pas d’exagération dévote. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)
Ne rien exagérer, mais bien prendre
ce cas de Lourdes comme ce que j’appelle un coup [de biffé] d’un tronçon du serpent qui ne veut pas mourir. (ibid. Fos 214-215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)

EXAMINER (EXAMEN)

Au bonheur des dames (1883)

Il [Octave] fonde le grand magasin (cela est l’intrigue d’argent à examiner) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 16)

La Terre (1887)

Le rôle du paysan donc (…) L’examiner enfin devant toutes les questions qui se présente [sic]. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 402/3 – Ebauche)

Le Rêve (1888)

Mais un scrupule m’est venu, dont l’examen est plus grave (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 302/85)
Sait-elle qu’elle l’aime ? Cela est à examiner (ibid., premier plan du chapitre VI f° 88)

Lourdes (1894)

Il n’y a qu’à s’incliner et à croire ; ou bien, du moment que l’examen commence, il ne doit plus s’arrêter, il va jusqu’au bout et aboutit fatalement [à la biffé] au doute, car la raison ne peut conclure. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°48)
[en interligne : il [Pierre] a toujours réfréné en lui l’esprit d’examen sur le conseil de ses professeurs.] (ibid. F°150)
Toujours des secrets dits, confiés. Enfin, examen de tout. (ibid. F°207)
Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes : auto-suggestion, ébranlement préparé, entraînement, exaltation croissante, et surtout le souffle guérisseur,
la force inconnue et non étudiée, qui se dégage sûrement de la foule. (ibid. F°s273-274)
Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes : auto-suggestion, ébranlement préparé, entraînement, exaltation croissante, et surtout le souffle guérisseur, la force inconnue et non étudiée, qui se dégage sûrement de la foule. – Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : (…) pas d’examen à l’arrivée, [car biffé] ils ne serviraient d’ailleurs à rien. (ibid. F°285)
Toute la Grotte examinée à loisir (107). (ibid. F°381)
C’est Lourdes, la tentative de revenir en arrière (…) : comme si le libre examen ne s’était pas éveillé, avant la Réforme et la Révolution. (ibid. F°554)

Ne rien exagérer, mais bien prendre
ce cas de Lourdes comme ce que j’appelle un coup [de biffé] d’un tronçon du serpent qui ne veut pas mourir. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 214-215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)

EXASPÉRÉ

Lourdes (1894)

L’arrêt à [Angers biffé] Poitiers, pour poser tout le train et surtout continuer la souffrance, en l’augmentant encore, en l’exaspérant. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°173)
Des cris de torture, le mal exaspéré et hurlant [en interligne : à outrance], et les cantiques d’allégresse quand même. (ibid. F°211)
Des cris de torture, le mal exaspéré et hurlant, et le chant d’allégresse quand même. (ibid. F°216

EXCELLENCE/EXCELLENT

Le Ventre de Paris (1873)

Impasse des Bourdonnais, noire, étranglée, excellent pour y loger un pauvre ou un original.( Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338,f° 137)
Rue Courtalon, très étroite, excellente pour y loger un personnage (ibid., f° 138)

Travail (1901)

Avec l’ouvrier, j’ai le salarié par excellence (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 376/29) \\Le fer est excellent (ibid., f° 398/51)

ExceptÉ

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Vie de renoncement et d’austérités. Je ne fais pourtant pas de Serge un lutteur contre ses passions, excepté dans la 3e partie. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Extraits de L’Imitation, f° 36)

Lourdes (1894)

Les deux frères et la sœur. M. Daniel Auschit. Maison Rondel. rue de Langèle. excepté Lumbé (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 304)

EXCEPTION / EXCEPTIONNEL

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Je fais une exception pour Désirée, la sœur de Serge. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 9)

Nana (1880)

Toujours gênée. Dépensant toujours plus qu’elles n’ont. Grande exception, l’économie. (NAF Ms. 10313, Nana. F°19-Plan).

Lourdes (1894)

Ostéomalacie. (…) Guérison exceptionnelle. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 127 – Notes sur la maladie de Madame Dieulafay)

EXCITER

Lourdes (1894)

Pierre se passionne pour Bernadette et interroge Chassaigne qui ne peut répondre. Chassaigne pas trop incroyant. Curiosité excitée chez Pierre. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°151)
La curiosité qu’elle [Bernadette] excite en lui [Pierre], l’intérêt passionné. (ibid. F°203)

EXCLAMATION

Lourdes (1894)

Puis Mme Désagneaux pousse une exclamation. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°333)
Tout de suite, exclamation de M. de Guersaint, le finir avec [deu biffé] Des Hermoises. (ibid. F°500)

EXCUSE

Lourdes (1894)

Enfin, trouver l’excuse pour que Pierre puisse s’éloigner.– (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°253)

EXEMPLE (PAR)

La Curée (1872)

Exemple(s) d’expropriation (MS NAF 10 282, La Curée, f°249 et 250 : titres de rubriques).

Le Ventre de Paris (1873)

Ce frère s’appelle Charles, par exemple.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 56)
La marchande de fruits, par exemple, jolie blonde, charmante fille au milieu de ses fraises, de ses cerises, etc. aura un amant ou des amants qui lui mangeront tout. ( ibid., f° 73-74)
par exemple St-Jacques, au coin de la rue Royer-Collard. ( ibid., f° 103)
A Paris le mari l’abandonne, elle se met avec un ouvrier qui l’épouse dès les premiers mois (par exemple mai 1850). (ibid., f° 243)
[…] on voit par exemple, au fond de l’ombre, au-delà des ouvertures rondes et barrées, les becs de gaz de la resserre de la marée. (ibid., f°301)

Nana (1880)

(…) il donne de Nana à 40 contre un, par exemple Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10 (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan)
Il faudrait que Muffat fût tout puissant pour faire entrer Rose quelque part, à l’Odéon par exemple. (ibid. F°126-7).

Pot-Bouille (1882)

Dès lors Cécile, par exemple, épouserait le patron, et le ferait ensuite cocu avec Octave qui pourrait aller fonder sa grande maison plus loin (MS NAF 10 321, Pot-Bouille, f°383) \\Je voudrais par exemple une demoiselle de magasin, la misère en robe de soie (…) (ibid., fº )

Au bonheur des dames (1883)

Par exemple, il connaît [Octave] la maîtresse d’un grand banquier (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 7) \\Je lui [à Denise] donne une parenté avec la boutique rivale, pour serrer l’action. Cousine, par exemple (…) (ibid., f º12) \\Et à la fin, pour que tout finisse bien, je lui [à Mouret] ferai sauver ses cousins [à Denise] (après une chose très dramatique comme un suicide par exemple) (ibid., f º13) \\Mais surtout un drame commençant dans une petite boutique, par exemple, des merciers (…) (ibid., f º20)

La Terre (1887)

Et l’exemple d’un propriétaire voisin, qui tient à sa terre (MS NAF 10329 La Terre F° 70 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
Il a un vice qui a mangé ses gages, une femme [ivrogne et putain] par exemple (ibid., F° 78 – Personnages, Soulas)

Le Rêve (1888)

La jeune fille chez des paysans, un garde-chasse par exemple (MS NAF 10323 Le Rêve f° 224/8- Ebauche)
(…) Par exemple la femme chez qui elle vit la surprend embrassée et lui dit qu’elle fait mal ( ibid., f°229/13)
(…) Par exemple le premier
épisode : le sauvetage d’un linge (…) puis l’épisode du linge étalé (ibid., f° 292/75-293/76)
(…) je peux imaginer que ce sera un dais par exemple, pour une procession ; et j’aurai la procession (ibid., f° 308/91)
(…) le vitrail est celui d’une salle basse, d’une salle des gardes par exemple, et il représentera un jeune dieu avec une déesse ou encore une scène mythologique (ibid., f° 310/93).
Je ne voudrais pas qu’Hubertine prêchât : des exemples (ibid., .2ème plan détaillé du chapitre II, f° 18)
Elle cite son exemple (plan du chapitre IX f° 122)
Par exemple il faut que Monseigneur comprenne quand Angélique presse les préparatifs (deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 182)

Lourdes (1894)

J’en ferai un anarchiste par exemple, un autre Souvarine, et je voudrais dès lors que la lutte s’établît entre lui et son frère. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Mais (…) c’est ce qui ramène les courants de spiritualisme, la réaction de notre fin de siècle par exemple – (ibid. F°27)
Partout la même chose. Prendre des exemples. Sera-ce de même pour Lourdes. (ibid. F°45)
La malade guérie est ravie, et lui souffre. Toute la force d’[hame biffé] âme qu’il faudrait pour accepter la vie vraie ; [car biffé] n’en est-il pas un exemple. – (ibid. F°78)
Et lui-même [Pierre] une pente à cela [la prêtrise] : élevé très catholiquement depuis qu’il a perdu son père, ce père libre penseur, mort dans un accident, un chimiste par exemple dont un alambic éclate (…) \\. (ibid. F°s84-85)
En province, à Tarbes par exemple, il ne trouve pas ce qu’il veut, il veut une parisienne qui le lance (…). (ibid. F°102)
Avec un crescendo dans la souffrance (…). De Paris à Orléans par exemple (garder ensuite jusqu’à Angers pour le II). (ibid. F°136)
Puis à l’autre bout un pêle-mêle de pèlerins. Dix femmes par exemple serrées les unes contre les autres, plus [vieilles biffé] pauvres et laides les unes que les autres, autant les jeunes que les jeunes [sic]. (ibid. F°142)
Donc, la salle Sainte-Claire par exemple où j’installe les hospitalières d’abord Mme Jonquière (…). (ibid. F°249)
Puis, les remèdes qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple : très dangereux, mais
salutaire peut-être : ça tue ou ça guérie. (…) Il n’y a pas d’exemple qu’une sœur se soit contaminée. (ibid. F°s272-273)
Il n’y a pas d’exemple d’une religieuse contaminée. Alors quoi ? (ibid. F°283)
Puis le remède qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple ; très dangereux, mais qui sait ? (ibid. F°284)
Décider ceux
que j’y mets, les Vigneron par exemple, la Grivotte comme une folle avec son [S biffé] cierge, Sophie Couteau. – (ibid. F°s362-363)
La Vierge apparaît, la voyante est persécutée, l’idée prend, monte, à son apogée, puis décline. Partout la même chose, des exemples. (ibid. F°496)
Partout la même chose. Des exemples. Sera-ce la même chose pour Lourdes – (ibid. F°508)
Donc (…) il [Pierre] voit dans l’homme, Lourdes en est l’exemple, une inextinguible soif
d’illusion, un continuel appel à une puissance supérieure pour que l’égalité et la justice règnent. (ibid. F°s556-557)
Il [Pierre] ne va pas pouvoir conclure, car il voit dans l’homme, Lourdes en est l’exemple, une inextinguible soif d’illusion (…). (ibid. F°586)
De même qu’un de mes personnages (incroyant autrefois), M. Sabathier par exemple, abandonné des médecins, finit par s’adresser à Lourdes avec ferveur, de même
l’humanité (…) retourne en arrière, au mysticisme, à Lourdes. (ibid. F°s589-590)
Cela me sera égal si ce chapitre est court, 25 pages par exemple. (ibid. F°591)

Il pourra être dans le train, avec ses dames, ou accompagnant une malade. Par exemple, madame Dieulafay, qu’il veut faire guérir. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 92 – Notes sur l’abbé Judaine)
Philomène Simonneau. (…)
Les médecins n’y comprennent rien. Pas d’exemple analogique. (ibid. Fos 138-139 – Notes sur les Miracles)

Travail (1901)

Il faudra me borner, prendre des exemples (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 353/6)
Mais, il faudra que par d’autres exemples j’accentue cette paix (ibid., f° 371/24)
Le savant est le grand exemple (ibid., 384/37) \\Il assiste à une fête, celle des vendanges par exemple (ibid., f° 307/50)
Seulement, faut-il que je prenne des Hauts fourneaux ou que je les mette à l’horizon, en ne prenant qu’une usine qui fabriquerait des armes par exemple (ibid., f° 398/51)

EXPANSION

Le Rêve (1888)

Toute la splendeur, la richesse, la joie, faire de l’église une expansion de bonheur (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 185)
Faire de l’église une expansion de bonheur (premier plan du chapitre XIV, f° 189)

EXPÉRIENCE/ EXPÉRIMENTAL

La faute de l’abbé Mouret (1875)

L’idée d’expérience etc., arrange cela. (MS NAF 10294 ; La Faute de l’abbé Mouret, La Bible, f° 66)
Ce serait donc le docteur qui aurait tout fait, tout imaginé pour faire une expérience. On se serait caché en ville. (ibid., f° 66)

Lourdes (1894)

Puis, devant la nature injuste et coupable, devant le péché originel, devant l’inégalité et l’injustice, il a fallu tout baser sur la charité qui corrige. Or, elle devient impuissante, l’expérience en a été faite pendant des siècles (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°12)
Et c’est pourquoi le peuple, après
cette longue expérience, cette longue attente du bonheur, se détourne des églises et demande autre chose. (ibid. F°s51-52)
Donc, au départ, tout au fond de lui, cette expérience de savoir si un miracle ne se fera pas pour lui (en dépit [de ce qu’il biffé] de l’effet d’incrédulité où il est.) (ibid. F°83)
Le danger de l’absurde, la génération qu’on prépare ; et l’expérience si longue faite, d’une humanité, d’un train humain basé sur la charité – (ibid. F°95)
Même l’arrière-pensée de faire un dernier effort de croyance, de s’anéantir lui-même dans la foi, si la foi vient – Et alors l’expérience qui se déroule. (ibid. F°98)
Socialement, l’expérience est faite, et l’humanité pé- \\riclite.– (ibid. F°s98-99)
Et l’expérience se déroule. Là-bas sa tendresse grandira pour Bernadette. (ibid. F°161)
Dans la conversation avec Pierre, tous les doutes du vieux médecin d’expérience. La médecine, pas une science expérimentale, un art. (ibid. F°272)
Lui [Chassaigne] a été et est un intellectuel, et où il en est par le doute de la science, sa longue expérience qui lui [fait biffé] a fait voir si souvent des faits inexplicables (raisonnement de Boissarie). (ibid. F°275)
Tous ces doutes de médecin d’expérience. La médecine pas une science expérimentale, un art. (ibid. F°284)
L’expérience se déroule, et tourne mal. (ibid. F°380)
C’est Lourdes, la tentative de revenir en arrière, de croire comme une brute, avec tout l’espoir que la foi suffit, avant l’expérience des siècles écoulés (…). (ibid. F°554)
D’abord, son enquête est faite [en interligne : Eb. 5-10], son expérience est faite. (ibid. F°580)

Et l’expérience se déroulera. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 15 – Notes sur Pierre Froment)
Et là retrouver, suivre, étudier et peindre ce duel incessant entre la science et le besoin de surnaturel :
(…) la médecine qui reste un art, une magie, bien loin de devenir expérimentale (…). (ibid. Fos 208-209 – Notes sur Un roman sur Lourdes)

EXPLIQUER (-CATION) / EXPLICABLE

Voir aussi : dire ; donc ; c’est pourquoi

La Curée (1872)

Explication du retour d’Aristide auprès de sa femme (MS NAF 10 282, La Curée, f°231). – En expliquant les raisons qui ont rapproché Aristide et sa femme… (MS NAF 10 282, La Curée, f°232). – J’explique toutes ces affaires (MS NAF 10 282, La Curée, f°339). – Il faudra tout expliquer (MS NAF 10 282, La Curée, f°341). – Commencer par achever d’expliquer l’affaire Larsonneau (MS NAF 10 282, La Curée, f°343). – Si je crois devoir expliquer la Curée… (MS NAF 10 282, La Curée, f°368 : brouillon de préface pour le roman). –

Le Ventre de Paris (1873)

J’explique le type de la charcutière Elisa. C’est une Macquart (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 50)
Cela explique le viol, en bas, dans les resserres de la volaille. (ibid., f°95)

La Conquête de Plassans (1874)

Cela suffit pour tout expliquer (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°22)
Pas d’opinions tranchées, ce qui explique le choix qu’on fait de lui comme mari et comme député (ibid.F°28)

Peu à peu, elle s’expliquera tout entière. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F° 5)
C’est Mouret qui peut les expliquer d’une façon (… ?), un soir dans son jardin, d’abord en gros, sans l’histoire des personnages qui viendront au fur et à mesure. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
Faujas ayant quelque puissance (la mission de Faujas, expliquer) (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 9)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Par les faits, j’explique son éducation de séminaire. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 2)
Il explique les dégénérescences chez les Rougon et les Maquart [sic]. (ibid., Plan du troisième livre, f° 22)
La difficulté est d’expliquer comment il est là, malgré Jeanbernat et la Teuse. Il ne faut pas qu’on le sache. (ibid., Le Paradou, f° 61)
Expliquer tout cela dans une première scène. Parler de Jeanbernat, de la Teuse, de Désirée. (ibid., f° 61)
Morceau pour expliquer le néant d’où il sort. La maladie, la fièvre, etc. (ibid., f° 62)

Nana (1880)

Là, il faut que j’explique les Muffat, le mari, la femme et la fille, puis le marquis de Chouard, puis madame Hugon et ses deux fils. (NAF Ms. 10313, Nana. F°30- Plan)
Expliquer d’abord comment Nana peut savoir que Juillerat est avec la comtesse (ibid. F°71)
Bien expliquer la position respective de Muffat et de Vendoeuvres (ibid. F°98)
Estelle et Daguenet l’envoie (sic). Cela explique. (ibid. F°143).

Cela me donnerait un coin d’originalité et expliquerait le dérangement du mari et sa douceur à elle. (NAF Ms. 10313, Nana. F°217- Ebauche).

M’expliquer nettement les paris. (NAF Ms. 10313, Nana. F°299- Notes).

Pot-Bouille (1882)

Il /Octave/ ressemble à son père, François Mouret, physiquement et intellectuellement : donc, posé, raisonnable, de sang plus net que les Rougon, avec l’appétit, la ponité qu’il a par sa parenté avec les Macquart (expliquer ses parents (NAF, MS 10 321, Pot-Bouille, f° 381-382)

Au bonheur des dames (1883)

Là, projets d’Octave. Expliquer passé, présent, avenir (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 23) \\Tout le commerce expliqué par Octave et Paul ? (ibid., f° 25) \\La mécanique intérieure [du magasin] expliquée (ibid., Plan, fº 32)

La Terre (1887)

A expliquer cela. Un soldat mais un soldat de garnison (MS NAF 10329 La Terre F° 5 – Personnages, Jean Macquart)
Elle s’enflamme et se passionne alors : ce qui peut être la dominante de son caractère, et l’expliquer toute entière (ibid., F° 52 – Personnages, Françoise Fouan)

Le Rêve (1888)

Monseigneur qui apparaît (…) Et l’expliquer là tout entier (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°276/59)
(…) Bien expliquer pourquoi il n’est rien (ibid f°301/84) ). \\(…) Mais dire qu’elle tient à la vie (pour expliquer son rêve au III) (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II,F°22)
Donc voilà sa présence dans le champ expliquée (…) Cela explique comment il pourra venir commander la broderie pour la procession (ibid., plan détaillé du chapitre V f° 78)
Espacer et expliquer le travail de l’or nué (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI f° 82)
Tout le travail expliqué (ibid., premier plan du chapitre VI f° 86)
Le présent chapitre doit expliquer cela, son trouble (ibid., premier plan du chapitre VI f° 88)
Un long silence pendant lequel je donne toutes ces explications (ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
Expliquer pourquoi tout ça (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 97)
(Expliquer pourquoi et comment l’on sort le Saint-Sacrement) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 106)
Elle cite son exemple, elle lui explique que jamais le comte ne laissera épouser une brodeuse (ibid., plan du chapitre IX, f° 122)
C’est là aussi qu’il doit expliquer pourquoi elle l’a vu avec Claire (…) pourquoi il a laissé les choses aller jusque là (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 159)
Et bien expliquer tout le mécanisme en elle. Le combat qu’elle soutient contre elle-même (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 160)

Voir si une légende ne pourrait pas expliquer que les Hautecoeur guérissent les maladies (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 178)
elle en mourra (je ne donne aucune explication médicale) (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 191)

Lourdes (1894)

Ce troisième volume pourra être le combat de la justice contre la charité ainsi que je l’expliquerai tout à l’heure. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s3-4)
Son idée est que la science ne peut suffire, ni le travail, qu’il y a dans l’homme un besoin inexpliqué d’au-delà que la notion précise des faits ne satisfait pas. (ibid. F°11)
Cela n’entrave pas le mouvement de la science, mais expliquer comment cela se produit. (ibid. F°41)
Au contraire, les anarchistes qui jouent le rôle que les chrétiens ont joué jadis, qui rêvent une société nouvelle, sont un danger terrible pour la société actuelle ; et cela explique que cette société menacée, ayant à se défendre,
les persécute à leur tour et tâche de les supprimer. (ibid. F°s42-43)
Les détails
nécessaires pour expliquer sa présence là. (…) Et pauvreté, pour expliquer qu’elle [Marie] est hospitalisée : on peut renvoyer ce détail [en interligne : sa carte au cou] à plus tard, au moment de l’explication de l’organisation des pèlerinages – (ibid. F°s122-123)
Je mets au milieu Marie, M. de Guersaint et Pierre. (…) Un mot de leur pauvreté pour expliquer qu’ils sont en troisième. – (ibid. F°132)
Expliquer tout de suite que les autres années on s’arrêtait un jour et une nuit à Poitiers pour aller à Sainte-Radegonde, mais qu’une raison l’empêche cette année-ci. (ibid. F°144)
Comment il [le grand médecin] explique les erreurs, les contradictions des autres
médecins. (ibid. F°s153-154)
Le grand médecin consulté, qui conseille Lourdes, et explique ce qui peut se passer, le miracle prédit, annoncé, catalogué par la science. (ibid. F°158)
Ferrand ne pouvant s’expliquer sur la maladie de l’homme (…) \\. (ibid. F°s173-174)
Mais il [l’abbé Judaine] s’intéresse aux Dieulafay, c’est lui qui les explique. (ibid. F°179)
Et alors avec Pierre, la reprise de l’analyse. La fureur expliquée des pèlerinages, l’explication de l’illusion, pourquoi Lourdes, pourquoi tous ces trains qui roulent. (ibid. F°187)
Donc bien expliquer la force de Lourdes qui est là (…). (ibid. F°189)
Tout ce morceau est de la dernière importance, car il contient toute l’explication de cette fureur de pèlerinage. (ibid. F°194)
Tout un surnaturel qui les berce dans leur souffrance, et qui les fait croire à la vie recommencée, possible encore – Bien expliquer que la force de Lourdes est là. (ibid. F°195)
Lui [Pierre], la [Bernadette] voit d’une façon humaine. [Il est biffé] Comment il l’explique. (ibid. F°213)
Puis, je monte [en interligne : au troisième étage] dans la salle Sainte-Honorine (…). Tout de suite, j’explique que Raymonde n’est pas employée là, qu’elle reste en bas, au réfectoire. (ibid. F°244)
Il [M. de Guersaint] a déjeuné en courant, s’est oublié à quelque chose ; et expliquer pourquoi il n’a revu ni sa fille (qu’il aura pu manquer à l’hôpital), ni Pierre, qu’il n’aura pas su trouver. (ibid. F°271)
Lui [Chassaigne] a été et est un intellectuel, et où il en est par le doute de la science, sa longue expérience qui lui [fait biffé] a fait voir si souvent des faits inexplicables (raisonnement de Boissarie). Mais Pierre : on ne doit arguer de cela en faveur du mystère, on doit espérer qu’un jour les faits inexpliqués s’expliqueront. Très ferme dans cet espoir : l’inconnu n’est que l’inexpliqué, le rôle de la science est [de tou biffé] d’aller à l’explication de tout, l’espoir de l’homme doit être que tout sera expliqué. (ibid. F°275)
Et Pierre le dira, l’expliquera, car lui est la conclusion, le bonheur cherché dans la raison. (ibid. F°277)
Chassaigne expliquant, ses doutes et son amertume depuis qu’il a perdu sa fille Marguerite. (ibid. F°284)
Mais surtout insister (…) sur la réponse de Pierre, lorsque Chassaigne constate l’inexplicable et s’y abandonne, par faiblesse humaine à la suite de son grand chagrin. (…) On doit toujours espérer qu’un jour les faits inexplicables s’expliqueront. Très ferme dans cet espoir : l’inconnu n’est que l’inexpliqué, le rôle de la science est d’aller à l’explication de tout, l’espoir de l’homme doit être que tout sera expliqué. (ibid. F°286)
Et en arriver à expliquer comment elle [Bernadette] finit elle-même par préférer s’en aller à Nevers. (ibid. F°386)
Elle [Marie] aurait dû y aller tout de suite. Mais il y explicable [sic] qu’elle ait suivi l’élan de la procession. (ibid. F°464)
Le
baron Suire peut-être expliquant les ex-voto. – (ibid. F°s466-467)
Ce qui me gêne, c’est que le père n’est pas là et que Pierre quitte Marie, lorsqu’elle est guérie. On ne se presse guère autour d’elle. Expliquer ces choses. (ibid. F°467)
Puis je reprends la conversation de Pierre et de Chassaigne, et j’explique tout. (ibid. F°473)
Expliquer tout de suite pourquoi Marie et son père ne sont pas avec lui [Pierre] (…). (ibid. F°512)
Puis, voilà que par un miracle, (une secousse que la science explique), voilà qu’elle [Marie] guérit (…). (ibid. F°551)
Et il [Pierre] a la délicatesse de ne pas la [Marie] désabuser : à quoi bon [flé biffé] blesser cette âme, lui [di biffé] donner l’explication scientifique de sa guérison, lui dire que le célèbre médecin l’avait prédite. (ibid. F°552)
Expliquer les raisonnements qu’il [Pierre] fera lui-même, pour lui seul. (ibid. F°569)
Quand il [Pierre] ne s’explique pas les choses, il dit : « Il y a une explication naturelle qui m’échappe. – [»] (ibid. F°584)
Le besoin de l’au-delà. Cela le [Pierre] trouble l’anéantit. Je le constate, sans chercher à l’expliquer. (ibid. F°585)

Ou du moins, le prêtre l’a connu incroyant, et il le retrouve converti. Cela est expliqué dans la conversation
qu’ils auront ensemble, près de la grotte. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 64-65 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Le jour de la fontaine : comment expliquer ses mouvements, question très troublante. Et puis pourquoi dix-huit l’apparition [sic], et jamais plus ensuite. – L’inconnu, l’inexpliqué. (ibid. Fo 133 – Notes sur le Dr Dozous)
Mais comme le succès s’explique pourtant. (ibid. Fo 147 – Notes sur Boissarie)
Mais les guérisons de carie, d’ulcères, de lésions matérielles (tubercules), inexplicables. L’imagination ne peut reconstituer les organes – Pourquoi pas ? (…) La raison impuissante à expliquer certaines guérisons. (ibid. Fo 161 – Notes sur les Miracles)
Le cas d’une femme, hémiplégie droite. (..)
Endocardite ancienne, d’origine rhumatismale explique la genèse des accidents cérébraux. (ibid. Fos 162-163 – Notes sur les Miracles)
L’explication symbolique de l’eau bue et de l’herbe mangée (165). (ibid. Fo 244 – Notes sur H. Lasserre)
La fortune du livre, autre miracle, explicable comme le premier, par le besoin de la consolation, du surnaturel. (ibid. Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)

Travail (1901)

Cela expliquerait tout (F°412)
et si c’était le savant, Jordan, qui avait hérité du haut-fourneau isolé (…) Cela est d’un bon emploi, explique sa fortune, comment il est fixé à Beauclair (F°418)
Puis, on ne s’expliquerait pas comment Delaveau se séparerait d’un bon ou
vrier en somme.Donc il faut que Bonnaire soit un révolutionnaire (F°427-428)
C’est Gaume qui expliquera cela (F°430)

EXPLOITER

La Conquête de Plassans (1874)

Une œuvre pieuse à exploiter. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)

EXPOSER / EXPOSITION

La Curée (1872)

1er = Exposition. 2 = Tout le passé (MS NAF 10 282, La Curée, f°211 : présentation du schéma narratif du roman).

Le Rêve (1888)

les légendes exposées, le fils de l’évêque qui est revenu, etc. (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre III, f° 51)

Lourdes (1894)

Chez lui [Ferrand] de l’adoration, comme pour une mère, une sœur. (…) Chez elle [sœur Hyacinthe] de la fraternité. Mais comment exposer et finir cette histoire. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°114)
1ère partie. I. – (…) Tout un chapitre d’exposition. (ibid. F°601)

EXPRESSION

Lourdes (1894)

Une expression de crucifié admirable. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 37 – Notes sur Frère Isidore)
Etat de Bernadette. (…) « Le visage s’élevait tout doucement ; les traits s’épanouissaient ensuite et prenaient l’expression d’une béatitude extraordinaire. (ibid. Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)

EXPRIMER

Nana (1880)

Maintenant, j’ai souvent exprimé cette pensée que les deux plus grands leviers des passions humaines, c’étaient l’amour et la religion, le « cul et le ciel » (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°225-6- Ebauche).

Le Rêve (1888)

Hubertine me donnera la crainte de la fin (…), crainte que j’exprimerai timidement (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 282/65)

EXQUIS

Le Rêve (1888)

Tout cela est très banal, il faudrait que ce fut /sic/ exquis pour valoir quelque chose (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 220/4)

Lourdes (1894)

Elle [Marie] lui a laissé à dix ans (lui [Pierre] en avait seize) un souvenir exquis. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°84)
Il [Pierre] développe tout cela comme un [exp biffé] récit mystique, un de ces exquis contes bleus, comme Bernadette en entendait. – (ibid. F°205)
(…) Pierre, qui a commencé par lire, continue en improvisant, car il connaît très bien l’histoire, il peut la développer comme un exquis conte bleu, en lui donnant tout un charme. (ibid. F°217)

EXTRAORDINAIRE

Nana (1880)

Encore une défaite ! et une ardeur de vœu extraordinaire, presque religieuse, montait pour Lusignan (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°135 verso- Plan).

Madame Maloir.– (…) mais ayant toujours des chapeaux extraordinaires. (NAF Ms. 10313, Nana. F°184- Personnages).

Lourdes (1894)

Je (…) le reprends
ensuite dans Paris, pour le montrer tel que je le dis, une haute et extraordinaire figure. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s15-16 )
Cette histoire, c’est l’épanouissement de Lourdes, tout cet extraordinaire mouvement de foi et de foule, parce qu’une petite fille a eu une hallucination devant un trou de roche. (ibid. F°33)
Un amas extraordinaire de souffrances, tout le poignant que je pourrais inventer, avec le roulement continu du train. (ibid. F°69)
Et il [Pierre] ne sait plus un instant si toutes ces histoires extraordinaires ne sont pas vraies. (ibid. F°191)
Et il [Pierre] ne sait plus si toutes ces histoires extraordinaires ne sont pas vraies. (ibid. F°196)
Il [Pierre] (…) est là, pris de malaise, lorsque le Père Fourcade (…) annonce qu’on va demander à [Di biffé] Marie, à Dieu un miracle extraordinaire, la résurrection. (ibid. F°253)
Pierre s’est écarté, dans un malaise, presque irrité de l’extraordinaire idée du père Fourcade, jugeant cela fou et terrible. (ibid. F°257)
Je prends Pierre, lorsque, plein de malaise, irrité même, par cette extraordinaire idée du père Fourcade de demander la résurrection de l’homme, il s’éloigne de la grotte, où il doit revenir prendre Marie dans une heure. (ibid. F°265)
Enfin, Pierre [en interligne : et M. de Guersaint] ont une table, et [les Vi biffé] description de la salle, telle que je l’ai vue. Promiscuité extraordinaire. (ibid. F°315)
Le coup de vent dans cet hôtel de pèlerins, les cloisons minces, tout ce qu’on entend, les toux et le reste. Une promiscuité extraordinaire. (ibid. F°318)
Les mauvaises impressions de la [p biffé] journée (chap. I et II) sont corrigées, comme emportées, par cette nuit si belle, cette procession si extraordinaire. (ibid. F°362)
Lui-même [Ferrand] perdu et effaré, [pe biffé] dans cet Hôpital extraordinaire. (ibid. F°403)
Il faut que tout cela soit une flambée de foi extraordinaire. (ibid. F°422)
Enfin l’état de cette foule où l’on parle couramment de miracles. Les choses extraordinaires qu’on entend, et si tranquillement dites. (ibid. F°434)
Les choses extraordinaires qu’il [Pierre] entend, et si tranquillement dites. (ibid. F°444)

Etat de Bernadette. [en interligne : elle dévidait son chapelet de la main gauche, cierge allumé dans la droite] « Le visage s’élevait tout doucement ; les traits s’épanouissaient ensuite et prenaient l’expression d’une béatitude extraordinaire. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)
Caroline Esserteau, 32 ans. (…) On la descend dans l’eau. Sensation extraordinaire. (ibid. Fo 136 – Notes sur les Miracles)
Maladie de la moelle. Plonge trois fois comme un petit enfant. Sensation inexprimable de douleur et de joie. (…)
Une force extraordinaire le pénètre. (ibid. Fos 157-158 – Notes sur les Miracles)
En ce moment de mysticité, de révolte contre la science, un admirable sujet : montrer le besoin de surnaturel persistant chez l’homme, avec cette extraordinaire histoire de Bernadette Soubirous (…). (ibid. Fo 208 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
La Vierge lui [le biffé] dit un troisième secret personnel. Confidences intimes qui, d’après Lasserre, devaient sauvegarder Bernadette au milieu des périls
moraux auxquels allaient l’exposer les faveurs extraordinaires dont elle était comblée. (ibid. Fos 240-241 – Notes sur H. Lasserre)

EXTRÊME (-MENT)

La faute de l’abbé Mouret (1875)

Il faut que le dénouement soit extrêmement tragique. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 8)

Nana (1880)

Une expression extrême des Rougon-Macquart. (NAF Ms. 10313, Nana. F°193- Personnages).

Le Rêve (1888)

Sonorité de sa voix qu’elle a d’un charme extrême (MS NAF 10323, Le Rêve, Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
Pousser à une extrême passion, à l’extrême drame. Une envolée (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 158)

Lourdes (1894)

Quand j’aurai ma Bernadette tout entière, je la ferai bien humaine, telle qu’elle était, mais extrêmement touchante, et martyre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°66)
Quand il a aimé la malade, c’est pour son charme et sa souffrance. Il faudrait faire tout cela très délicat [en interligne : extrêmement chaste et envolé] – (ibid. F°79)
Bernadette humaine, mais extrêmement touchante et martyre. (ibid. F°564)

Après plusieurs années, état cachectique, diarrhée, amaigrissement extrême. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 127 – Notes sur la maladie de Madame Dieulafay)
Sœur Dorothée. (…)
Dans le train terrible, ne peut plus manger, abattement extrême. (ibid. Fos 136-137 – Notes sur les Miracles)
Le commissaire de police, M. Jacomet. Jeune, très sagace, intelligent. Finesse extrême. (ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)

1) …) Et le besoin d’illusion doit l’emporter quand même, tout balayer pour le besoin du surnaturel. (…
2) …) Et le besoin d’illusion devant l’emporter quand même, tout balayer par le besoin de surnaturel, de la croyance à la guérison par une puissance supérieure). (ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
Et la pitié désespérée emportant tout. (ibid. Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
Le triomphe de Lasserre, Dieu disant à la goutte d’eau de marcher (Bernadette) et la goutte d’eau emportant tout. Non c’est la foi qui emporte tout, et la foi n’est que le besoin d’illusion. (ibid. Fo 255 – Notes sur H. Lasserre) ==== ENCANAILLER ==== === La faute de l’abbé Mouret (1875) === L’encanailler comme figure, pour éviter de lui donner une hauteur symbolique. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 18) ==== ENCHAÎNER (S’) / ENCHAÎNEMENT ==== === Lourdes (1894) === Je songe à l’enchaînement des trois romans. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°2 ) === Travail (1901) === Et dès lors tout s’enchaîne (F°411) ==== ENCOLURE ==== === La Conquête de Plassans (1874) === Seulement il faut ar
ranger celui-ci de façon à lui donner une belle encolure ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans Ebauche F°s 27-28) ==== ENCOMBRER ==== === Lourdes (1894) === En province, à Tarbes par exemple, il ne trouve pas ce qu’il veut, il veut une parisienne qui le lance ; et quand il prend la jeune fille en question, c’est après un débat et un choix entre [deux biffé] elle et deux autres, que je ne ferai que nommer pour ne pas encombrer mes chapitres. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°102)
Et il n’y a plus ensuite que le Chapelet (à Ste-Maure), la Neuvaine et l’Angélus (à Châtellerault), ce qui me permettra de mettre les réflexions de Pierre, sans trop les encombrer par ce qu’on fera – (ibid. F°144) ==== ENCORE ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === D’ailleurs, les personnages secondaires l’indiqueront encore mieux. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 59)
J’ai encore tout un groupe de femmes, voisines, marchandes de la Halle, amies d’Elisa. (ibid., f° 60)
Je n’ai encore pour les Halles, comme types, qu’une charcutière, une marchande de poissons (ibid., f° 72)
Il me faudrait encore une marchande de fruits, une marchande de beurre (ibid., f° 72)
J’ignore encore si je mettrai la police véritable dans l’œuvre ; cela demanderait bien de la place (ibid., f° 78)
Il me faudrait encore un type de cliente, vieille fille ( ibid., f° 78)
(Elle ne sait pas encore que Florent veut tuer l’empereur; elle l’ignore jusqu’au dénouement) (ibid., f° 86)
Comme elle lutte encore, cherchant à mettre sa délation sous le couvert de l’honnêteté, elle apprend par Melle Saget que le quartier entier cause de la conspiration (ibid., f° 89)
Sa mère, le type de la vieille poissonnière vit encore. (ibid., f° 98)
Quand il va être arrêté, drame, que je n’arrête pas encore. (ibid., f° 105)
Quand on l’arrête, elles peuvent être prévenues, et aller vider la caisse; ou encore Gavard peut lui-même confier la clé pour que les scellés ne soient pas mis sur sa fortune. (ibid., f° 105)
Il cause encore avec les porteurs, le montrer souriant au milieu des porteurs sales, les vieux, les jeunes voyous, enfin toutes les variétés. (ibid., f° 109)
Logre fait chorus avec Charvet, il est plus emporté encore que lui. (ibid., f° 110)
En tout 14 pavillons, encore 4 à construire (ibid., f°117)
Et encore bien des acheteurs ne passent pas par les Halles (ibid., f° 126)
Tout y dort encore. (ibid., f° 172)
Il y a encore dans les voitures des boîtes comme celles des laitiers (ibid., f° 181)
Elle sert encore pour les côtelettes (ibid., f° 186)
Il y a encore les cornets (ibid., f° 188)
Je raconte encore dans le premier chapitre le séjour à Bicêtre. (ibid., f° 200) === La Conquête de Plassans (1874) === Pas encore de protestation. L’effroi du coup d’état …. (?) encore. (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°19)
Quant à Marthe, il faut l’étudier au point de vue physiologique. C’est encore une femme détraquée. Cela est fâcheux (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°22)
Comme comparses, j’ai d’abord Pierre Rougon et Félicité Rougon qui détestent leur gendre et qui par ordre sont pour le curé Bonnard. J’ai ensuite une bande de curés (…) J’ai encore une bande de fonctionnaires ibid. F°23)
Et les deux sociétés(…) ce qui évite de fusionner trop ouvertement encore (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°24) === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Enfin, j’ai encore comme personnage secondaire le médecin et le bedeau. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 10) === La Terre (1887) === Je pourrai encore imaginer ceci – Bonhomme voudrait arrondir sa terre. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 418/18 – Ebauche)
(…) Donc le père donne tout, et la misère affreuse qui commence pour lui. (…) Le faire encore très ferme, excepté à la fin, et protégeant Louise, dont on le dit le père. (ibid., f° 421/22)
(…)Ou bien confondre Beaugrand avec Bouffard, mais ne pas trop accumuler les crimes sur Bonhomme. Pourtant, il faut qu’à la fin Beaugrand soit piller [sic] par ses enfants, le roi Lear. Dans ce cas on pourrait le faire réfugier chez son enfant bien, où il mourrait dans le silence, après avoir voulu brûler les papiers. Ou bien encore chez sa fille Louise, mais non. (ibid., f° 422/23) Il s’y abandonne, un peu confus au fond, démoralisé encore (MS NAF 10329 La Terre F° 7 – Personnages, Jean Macquart)
Fouan alors menaçant devant cette révolte de son fils, et grand encore, autoritaire (ibid., F° 15-16 – Personnages, Louis Fouan)
Encore toute droite, maigre et dure, gros os (ibid., F° 38 – Personnages, Marianne Fouan)
=== Le Rêve (1888) === je voudrais encore cinq chapitres, ce qui est possible (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 265/48)
Le livret encore sans doute (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 23)
Là, je ne voudrais pas avoir encore la description de l’église (ibid. premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
Non, rien encore. Puis quelque chose (deuxième plan détaillé du chapitre IV f° 59)
Non rien encore. Puis quelque chose (premier plan du chapitre IV f° 66)
Pas de portrait encore de Félicien. Une ombre. Le portrait au chap. suivant (premier plan du chapitre IV f° 69)
C’est la première fois qu’on voit monseigneur. Son portrait. Le faire ressemblant à Félicien mais ne pas le dire encore (…) Quel est-il ? laisser encore un doute (…) Mais rien encore de précis (deuxième plan détaillé du chapitre VIII f° 106)
Nous ne sommes pas encore dans le monde de la réalité, ceci n’est que la réalisation triomphante du rêve d’une jeune fille pauvre (premier plan du chapitre XIV, f° 189) === Lourdes (1894) === Cela peut élargir encore mon dévouement. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°4)
Les différentes écoles, ce que les bourgeois sont prêts à accorder, les solutions proposées, le terrain conquis par les socialistes, ce qu’ils exigent encore. (ibid. F°23)
La grotte avec le quai du Gave, les lacets, tout ce travail qui a déjà coûté cinq ou six millions (la crypte et la Basilique, huit cent mille francs, les rampes et le Rosaire 3 millions deux cent mille, puis l’hôpital du Salut, les terrassements, tout enfin, la Résidence, un million encore). (ibid. F°34)
Il y a encore les dames hospitalières de l’hôpital qui ont dû la panser, voir la plaie, puis voir la chair refaite. (…) Et puis
des femmes, cela serait encore douteux. (ibid. F°s47-48)
Est-ce que la foi ne devrait pas suffire pour croire aux miracles ? alors pourquoi un médecin constatant ? Si mal qu’il constate, c’est encore de [tout biffé] trop. (ibid. F°48)
Encore moins d’intrigues que dans « la Débâcle », rien de forcé pour représenter tous les mondes, aucune rencontre romanesque, aucun dénouement forcé. (ibid. F°55)
Rien que de la souffrance, encore une fois, un cri d’immense souffrance humaine
vers le ciel (…). (ibid. F°s55-56)
Et plus loin encore (…)
tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (ibid. F°s56-57)
Et il faudrait que je puisse interroger le commissaire Jacomet, s’il vit encore, ainsi que le baron de Massy (…) \\. (ibid. F°s65-66)
Je répugne à en faire encore un médecin, à cause du docteur Pascal. (ibid. F°73)
Tant que la mère de la malade avait vécu, comme elle était une femme pratique, les choses avaient encore marché. (ibid. F°92)
Dans « Rome » il pourra essayer une tentative de concilier la foi avec l’esprit moderne ( de Voguë) et il échouera encore. (ibid. F°94)
Et plus tard encore, dans « Paris », il faudra que la raison triomphe. (ibid. F°96)
Lui soupçonne l’abbé Ader d’avoir tout mis en marche même inconsciemment. Lui donner encore toutes mes sensations. – (ibid. F°98)
Enfin, je voudrais bien avoir une très jolie hospitalière, 20 ans, dans tout le charme de la jeunesse. (…) Pas d’enfant encore. (ibid. F°104)
L’enfant marchait encore, mais la fatigue du voyage. L’enfant a cinq ans. On peut la porter encore, car elle est très faible, bien légère. (ibid. F°106)
J’aimerai assez une femme jeune encore, flétrie, qui viendrait demander la conversion de son mari. (ibid. F°111)
Enfin, il représente la ville haute, le progrès de la libre pensée, et mieux
encore l’intérêt personnel. (ibid. F°s120-120 bis)
Mais pourtant ne pas le montrer encore incroyant, mais seulement débordé de charité et de tristesse (…) – (ibid. F°130)
Un homme jeune encore, amaigri, livide, avec un peu de barbe rare, la figure tirée. (ibid. F°138)
Il [Pierre] aura encore une grande heure et demie pour réfléchir ce qui est assez. (ibid. F°144)
Depuis cinq ans malade, déjà [dans sa biffé] promenée partout (pas encore dans sa gouttière.) (ibid. F°148)
Marie, maintenant, dans sa gouttière. On l’a encore promenée partout, ce qui a achevé les ressources de la maison. – (ibid. F°152)
Mais on écarte Lourdes, pour d’autres raisons encore, l’absolu manque d’argent. (ibid. F°153)
Le grand médecin alors amené par Pierre. Un ami de son père encore (?). (ibid. F°154)
Donc pendant un quart encore les dernières réflexions
de Pierre, avec ce moribond, et l’arrivée à Angers.– (ibid. F°s159-160)
Il [Pierre] y va donc par tendresse pour Marie (après des répugnances) et pour continuer ses recherches, avec le sourd espoir encore d’être converti (…). (ibid. F°161)
Au moment de celles-ci [les apparitions], il [Chassaigne] ne croyait pas encore ; et il a étudié Bernadette [en interligne : il l’a toujours aimée]. (ibid. F°161)
Encore Pierre, important, éb. 12. (ibid. F°163)
Elle [sœur Hyacinthe] constate que l’homme a encore un petit souffle, qu’il n’est qu’évanoui (…). (ibid. F°165)
On n’a plus que cinq minutes, [en interligne : le quai] la bousculade encore, et reprendre tous les personnages. (ibid. F°171)
L’arrêt à [Angers biffé] Poitiers, pour poser tout le train et surtout continuer la souffrance, en l’augmentant encore, en l’exaspérant. (ibid. F°173)
Sœur Hyacinthe, court chercher Ferrand, pour l’homme. Et là leur passé. Elle peut ne pas l’avoir encore vu (…). (ibid. F°180)
Et, maintenant, il [Pierre] voudrait bien croire encore pour partager cette foi qu’il voit s’allumer et s’exalter dans les yeux de Marie. (ibid. F°186)
On est à Coutras sans doute 6h. L’angélus. Avec la Vierge encore. (ibid. F°187)
Tout un surnaturel qui les berce dans leur souffrance, et qui les fait croire à la vie recommencée, possible encore. (ibid. F°188)
La douleur morale de Mme Maze. La douleur maternelle de Mme Vincent. D’autres encore. (ibid. F°190)
Et finir par l’homme lui-même [en interligne : (…) Bientôt il va mourir mais il aura espéré encore une fois.] (…) : il va mourir bientôt, mais il [aura espéré biffé] a rêvé sa guérison une dernière fois, il aura eu une illusion, une espérance encore. – (ibid. F°190)
Bientôt, il [l’homme] va mourir, mais il aura espéré encore une fois. (ibid. F°194)
Tout un surnaturel qui les berce dans leur souffrance, et qui les fait croire à la vie recommencée, possible encore – (ibid. F°195)
Ne sait pas encore bien lire, va suivre le catéchisme de l’abbé Pommyan [sic], ne connaît pas le curé Peyramale. (ibid. F°206)
Et les dix-huit apparitions (sans les persécutions encore). Et les premiers miracles. Rien de plus, je crois. – (ibid. F°215)
Je reviens donc encore au wagon, et c’est ici que le petit jour doit naître (…). (ibid. F°229)
La Grivotte, elle, ne marche pas encore. – (ibid. F°251)
Encore une fois tout cela n’est que pour poser l’hôpital et l’installation de la salle Sainte-Claire. (ibid. F°251)
Et la foule, pas encore très grande. Mais l’encombrement des malades. (ibid. F°253)
Difficulté qu’il [Pierre] a à revenir près d’elle [Marie], car la foule a encore augmenté ; mais pas de description. (…) Elle veut encore prier [deux biffé] une heure, pour être bien préparée (…). (ibid. F°261)
Et devant la grotte, une courte scène de Raymonde qui veut offrir encore un bouillon (…). (ibid. F°264)
Et toute cette question d’une salle des plaies apparentes proposée par le journaliste. On n’arriverait encore à rien. – (ibid. F°285)
De l’autre côté est Elise Rouquet qui dort sous la lanterne avec sa face de monstre en l’air, pas guérie encore. (ibid. F°298)
Marie pas encore touchée de cette abnégation de Mme Vêtu – (ibid. F°299)
L’espoir de la guérison encore, avec Mme Vêtu, et Marie qui peu à peu va se remettre. (ibid. F°300)
J’ai encore Elise Rouquet, pas guérie. (ibid. F°307)
Et par ce matin de beau dimanche d’août, chaud et clair (…), il [M. de Guersaint] entre à [huit sept heu biffé] sept heures dans la chambre de Pierre encore couché. Lui s’est couché à onze heures et a bien dormi ; tandis que Pierre (…) dort encore écrasé de fatigue. (ibid. F°310)
M. de Guersaint et Pierre sortent, entendent des voix chez les Vigneron : les poser encore s’il le faut. (ibid. F°313)
Et sur la place du Marcadal, décrite : Cazaban, coiffeur. (…) Poser la maison, il est deux heures passées, et du monde mange encore, dans sa salle à manger. (ibid. F°334)
Finir sans doute avec la salle à manger, où l’on mange encore. (ibid. F°336)
Et l’on mange encore chez le coiffeur. (ibid. F°345)
Il faut attendre ; et Pierre, laissant Marie avec M. de Guersaint, a l’idée d’entrer dans [la biffé] l’Abri qu’il n’a pas encore visité. (ibid. F°352)
Son brusque caprice, il [M. de Guersaint] y va, il laisse Marie sous la garde de Pierre. Il peut encore passer, s’en va en courant. (ibid. F°354)
Je songe que le mieux serait de ne pas entrer encore dans l’abri, de le poser seulement. Les gens qui ont dîné là, qui y mangent
encore. (ibid. F°s360-361)
Enfin la fin de foire de ce beau dimanche, la gaieté, la mangeaille encore éparse dans le noir (…). (ibid. F°363)
Il [Pierre] veut attendre encore plus de silence et plus d’oubli. (ibid. F°368)
Mais il [Pierre] veut (…)
avoir célébré le saint sacrifice. Il le fait toujours avec dignité, bien qu’il ne croie pas. Et cette fois encore il ne sent rien. (ibid. F°s370-371)
Faire que cette mort d’une innocente l’ébranle [Pierre] encore : le choix, pourquoi celle-ci et pas celle-là ? (ibid. F°374)
Ne pas le [Pierre] faire rejeter la foi encore, car je garde cela pour après le miracle (…). (…) Donc, je ne fais encore que le laisser ici affreusement troublé, mais après une ardente tentative de foi. (ibid. F°377)
Ne pas oublier que Pierre est venu à Lourdes (…) avec l’espoir encore de retrouver la foi. (ibid. F°380)
Il est huit heures, le soleil monte dans un ciel limpide. L’orage du matin a encore lavé le ciel. (…) Il [Chassaigne] l’in- \\terroge [Pierre], comprend [ses dou biffé] qu’il doute encore (…). (ibid. F°s383-384)
Il [Chassaigne] n’a pas connu Bernadette ; [mais il biffé] et encore il aurait pu l’entrevoir à un de ses voyages (…). (ibid. F°391)
Pas d’exaltation, lui [M. Sabathier] : possédant encore sa tête et s’intéressant parfois aux choses extérieures. (ibid. F°418)
Les litanies continuent encore, avec le père Massias, de plus en plus exalté. (ibid. F°421)
En somme, tout ce chapitre peut-être pour mes malades secondaires devant la Grotte, car je puis ne pas les avoir montrés encore là. (…)
Marie n’étant pas encore là, je n’ai qu’eux, et je distribue les épisodes, de façon à ce qu’ils emplissent bien le chapitre. (ibid. F°s426-427)
Ne pas l’exciter [la foule] encore de trop, mais la poser prête à s’exciter. (ibid. F°427)
Et la fièvre où elle [la Foule] est, la passion qui a encore grandi et qu’il [Pierre] analysera. (…) Les béquilles en l’air. Encore un miracle. Déjà un miracle. (ibid. F°433)
Enfin une force s’élève de la foule, une force de vie, d’espoir, de guérison, qu’on n’a pas encore étudiée. (ibid. F°434)
Enfin, une force s’élève de la foule, une force de
vie, d’espoir, de guérison, qu’on n’a pas encore étudiée. (ibid. F°s444-445)
Encore des pages sur l’émotion de la foule (40). (ibid. F°450)
Cela me donne d’abord une description (…) de l’intérieur de la Basilique, que je n’ai pas encore eue. (ibid. F°454)
Pourtant, je ne crois pas que Pierre doivent se livrer là : il préfère encore ne rien dire. (ibid. F°459)
L’abbé Judaine élevant une fois encore le Saint-Sacrement qui luit comme un astre au fond du chœur. (ibid. F°459)
Et enfin dans la basilique, une description complète, car je n’y suis pas monté encore. (ibid. F°462)
La Basilique encore (éb. 122). (ibid. F°467)
Encore la Basilique (éb. 201). (ibid. F°468)
On n’a pas laissé achever l’église (…) ; et aujourd’hui encore, on attend que le ciel ait fait son œuvre de destruction. (ibid. F°477)
Chassaigne dira-t-il un mot encore sur la conversion de Pierre. (ibid. F°478)
Je le [Vigneron] montrerai encore sur le quai, au moment du départ, très affairé (…) \\. (ibid. F°s486-487)
Marie qui n’a pas encore vu son père, veut le surprendre. (ibid. F°487)
Marie qui n’a pas encore vu son père, veut le surprendre. (…)
Elle se présente, et comme M. de Guersaint n’est [pas encore rent biffé] pas encore rentré, arrêté par un orage effroyable à Saint-Sauveur, elle ne trouve que Pierre – (ibid. F°s487-488)
Expliquer tout de suite pourquoi Marie et son père ne sont pas avec lui : (…) Marie brûlait de remercier encore la Sainte Vierge (…). (ibid. F°512)
La veille encore, il [l’abbé Judaine] ne voulait pas désespérer : Nous avons encore jusqu’à demain. (ibid. F°516)
L’horloge, il y a encore [un biffé] un quart d’heure. (…) Le Commandeur sur le matelas, avec ses yeux qui vivent encore. (ibid. F°518)
On chante encore le Magnificat, à pleines voix, et c’est ce qui me permet de poser cet intérieur. (ibid. F°533)
Elle [Mme Vincent] n’a pas dit encore un mot, farouche, renfoncée dans son coin. (ibid. F°533)
Alors ne mettre là qu’un mot de la Grivotte, pour préparer sa rechute prochaine : plus exaltée encore mais frissonnante, rauque (…). (ibid. F°536)
N’y a-t-il pas des lupus d’origine nerveuse (voir l’article du Gil Blas). La mer d’incertitudes encore – (ibid. F°540)
Mais une révolte encore tout à l’heure à la gare, un frisson. (…) C’est ce qu’il [Pierre] va encore combattre, ce dont il doit triompher. (ibid. F°544)
C’est la nuit de leurs noces mystiques dans ce wagon de souffrance et d’espoir encore (…). (ibid. F°548)
Ce train qui a charrié de la souffrance, et qui en charrie encore. (ibid. F°559)
Et le voyage continua, le train roula, roula encore. (ibid. F°569)
Mais il [Pierre] ne tarde pas, une fois encore, à [le biffé] lâcher le livre, pour raconter. (ibid. F°569)
Encore le besoin d’illusion chez le public, le fétichisme, l’espoir dans l’au-delà, ce qui ravit et porte bonheur. (ibid. F°570)
Un rappel des foules qui l’ont [Bernadette] assiégée vivante, et qui viennent se repaître d’elle encore, lorsqu’elle est morte. (ibid. F°579)
Et Pierre, pendant qu’on se rapproche de Paris où l’on sera à 3h10 (une heure et demi encore) tombe dans une profonde rêverie. (ibid. F°580)
[en interligne : (…) Elle [Bernadette] (…) ne l’en [Pierre] bouleversait pas moins dans sa fraternité, en lui révélant une religion nouvelle, la seule dont son cœur fût encore plein, la religion de la vie, de la douleur humaine.] (ibid. F°581)
On n’a pas besoin encore d’elle, on ne la [Bernadette] fera revenir que si la Grotte un jour fait moins d’argent. – (ibid. F°593)
Toute la souffrance que charrie encore le train. (ibid. F°605)
Hésite encore entre deux ou trois [f biffé] filles à épouser. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 81 – Notes sur Gérard de Peyrelongue)
Et je les ai [Ferrand et sœur Hyacinthe] encore au retour. – (ibid. Fo 90 – Notes sur Ferrand)
L’aspect solide encore, quoique frappé à mort ; et il le sait. (ibid. Fo 108 – Notes sur le Commandeur)
Sabathier depuis [vingt biffé] quinze ans déjà, [illisible] en cet état-là, mais pas gâteux encore. (ibid. Fo 123 – Notes sur la maladie de M. Sabathier)
Crachats homogènes, [f biffé] forme arrondie, pareille aux fleurs séchées de la camomille ; plus tard encore, teinte grise et sale. (ibid. Fo 126– Notes sur la maladie de la Grivotte)
Louise Gibert. (…) Enfin, elle boit encore, et la toux disparaît. (ibid. Fo 141 – Notes sur les Miracles)
Encore une poitrinaire. (ibid. Fo 168– Notes sur les Miracles)
La compagnie d’Orléans, prendrait aux Pères de l’Assomption, 40 fr. par malade ou pèlerin, aller et retour. C’est là le chiffre qui se dit.
Mais je crois qu’il y a encore des rabais – (ibid. Fos 191-192 – Notes sur le Départ de Paris)
Pour que cela existe, il faut que l’humanité soit encore bien ignorante, bien affamée et bien souffrante. (ibid. Fo 216 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Pas un prêtre n’a encore paru. Enfin le 2 mars, B. va revoir Peyramale. (ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Le jeudi 4 mars, dernier jour de la 15e. (…) La Vierge ne se nomme pas encore. (ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette en arrière, ne trouve rien, n’a [rien biffé] pas encore de bois dans son tablier. (ibid. Fo 232 – Notes sur H. Lasserre)
Elle voyait la lumière d’abord, puis [l’apparition biffé] la Dame ; et [la biffé] quand la Dame s’était retirée, elle voyait encore la lumière. (ibid. Fo 234 – Notes sur H. Lasserre)
La Sainte Vierge ne s’était pas encore nommée. C’est la Sainte Vierge, disait-on. (ibid. Fo 235 – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette ne sait point encore le nom de la Dame. (…) Important. (ibid. Fo 239 – Notes sur H. Lasserre)
Pas un prêtre n’avait encore apparu. (ibid. Fo 242 – Notes sur H. Lasserre)
Le jeudi 4 mars dernier[e biffé] jour de la
quinzaine. (…) L’apparition ne se nomma pas encore ce jour-là. (ibid. Fos 243-244 – Notes sur H. Lasserre)
Encore un miracle, l’enfant de Jean Bouhohorts (167). (ibid. Fo 244 – Notes sur H. Lasserre)
Encore une guérison (252). (ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
Mgr Laurence ne croyait pas encore (Lasserre s’en étonne.) 288 – (ibid. Fo 248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Encore des miracles. (ibid. Fo 251 – Notes sur H. Lasserre)
L’abbé Peyramale, guéri, vit encore (en 1869) – (ibid. Fo 255 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] reste encore un an à l’Hospice de Lourdes. (ibid. Fo 259 – Notes sur H. Lasserre)
C’est encore le besoin d’illusion, l’espoir dans l’au-delà, le fétichisme qui ravit et qui porte bonheur. (ibid. Fo 260 – Notes sur H. Lasserre)
Le vendredi 28 mars 1879, l’avant-veille de la Passion, agonie. (…)
Son agonie a duré près de trois semaines encore. – (ibid. Fos 267-268 – Notes sur H. Lasserre)
Elle avait la foi au miracle, mais pas encore très forte. (ibid. Fo 273 – Notes sur Mlle de Fontenay) === Travail (1901) === Mais tout cela doit être encore confus (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 372/25)
mais je puis avoir encore de la verrerie artistique, ce qui me donnerait des ouvriers d’art (ibid., f° 386/39)
La première organisation, timide encore, du familistère (F° 394/47)
L’organisation première du familistère § encore l’organisation fouriériste (ibid., f° 396/49)
L’agriculture agonisera plus encore que l’industrie (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 400/53)
Il y a encore un point à régler. C’est le lien qui unit Suzanne à Luc (ibid., F°439)
Il reste encore ce fait à régler, l’attitude de Luc vis à vis de Suzanne (ibid., F°441) ==== EN DÉPIT DE ==== === Lourdes (1894) === Donc, au départ, tout au fond de lui, cette expérience de savoir si un miracle ne se fera pas pour lui (en dépit [de ce qu’il biffé] de l’effet d’incrédulité où il est.) (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°83) ==== ENDROIT ==== === Le Rêve (1888) === Félicien, peintre verrier, ouvrier primitif. Voir si l’on peut faire un rappel là. C’est le seul endroit possible (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre XII, f° 168) === Lourdes (1894) === Je les fais de la province, mais ils sont venus dans un faubourg de Paris, ou bien même dans un endroit comme Clichy ou Levallois-Perret (…). – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°76)
Une fois que j’aurai posé ces vingt cas, je les reprendrai aux endroits nécessaires, et ils me serviront toujours. (ibid. F°252)
Puis, les cinq continuent leur promenade. (…) D’abord à l’endroit (…) où l’on emballe l’eau, tout le détail. (ibid. F°331)
Et, tout de suite, l’endroit où ils [Pierre et Chassaigne] se rencontrent. (ibid. F°383 ==== EN FACE ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === De plus, cela me permettra d’animer Lisa, à un moment, de l’étudier en face de la passion (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 63)
Lisa livrant Charles, c’est Lisa vis à vis de la famille. Je la compléterai en la mettant en face de sa sœur Gervaise (ibid., f° 65)
Lisa se trouvera en face du dieu de la halle et de sa mère.( ibid., f° 65)
Cette rivalité me donnera un thème assez important pour étaler la poissonnerie en face de la charcuterie. (ibid., f°s 75-76)
Ma fermière c’est la production, en face des Lisa, des Nanette, de la Halle entière qui est la consommation. (ibid., f° 79) === La Conquête de Plassans (1874) === Bonnard en face des enfants, d’Octave, de Serge, de Desirée (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°22) La mort de Marthe, en face de Serge en soutane, après le sous-diaconat (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXVII F˚14) ==== ENFANCE ==== (Au sens de : mode de présentation , façon de raconter simple et « naïve ») === Le Rêve (1888) === je voudrais de l’enfance, de la gaieté dans les deux épisodes (MS NAF 10323, Le Rêve, Deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 73) ==== ENFANT (BON) ==== === Nana (1880) === Nana resterait le personnage sympathique, se donnant, mais en bonne enfant, inconsciemment. (NAF Ms. 10313, Nana. F°227- Ebauche). ==== EN FAVEUR ==== === Lourdes (1894) === Il ne faut pas arguer qu’on ne saura jamais tout en faveur du mystère. On doit toujours espérer qu’un jour les faits inexplicables s’expliqueront. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°286) ==== ENFER ==== Lieu de relégation et de punition des damnés dans la tradition chrétienne. Voir aussi : Diable. === Lourdes (1894) === L’insomnie. Et l’affreuse chaleur, l’odeur, l’angoisse, l’enfer enfin. Et la force de l’illusion, dans cet enfer où luit quand même l’espérance, à mesure que la lecture a lieu. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°300)
C’est un enfer que cette salle. (…) Il faut faire cela très saisissant, cet enfer où luit quand même l’espérance. (ibid. F°308)
Et il [M. de Guersaint] parle tout de suite de l’hôtel, où il y a eu toute la nuit un bruit d’enfer. (ibid. F°318)
Elle [Mme Volmar] est si malheureuse que ces trois jours, ce paradis, soit fini ; et cela est si atroce, l’enfer où elle va rentrer. (ibid. F°487) ==== ENFERMER ==== === Nana (1880) === L’important est de savoir, si j’enfermerai le roman dans le monde des filles. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche). ==== ENFIN ==== (voir : Fin) ==== ENFONCER ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === Je puis ne la faire que passer, approuvant Lisa (la vue du bonheur de Mme Taboureau l’enfonce dans ses idées.) (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 114) === La Terre (1887) === Bonhomme (…) Dès lors, son bien périclite, et sa rage contre la marâtre, qu’il faut cultiver : est-ce qu’il ne l’aime pas assez, est ce qu’elle ne devrait pas tout lui donner. Il ne faut plus dès lors, le mettre à la ferme, mais l’enfoncer dans la routine. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 445/46 – Ebauche) ==== ENGRENAGE ==== === Lourdes (1894) === Dès qu’il va un peu mieux, il s’est remis à dire sa messe ;
ne pas arrêter l’exercice de la prêtrise. Il est dans l’engrenage, il continuera. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s89-90)
Il sera un prêtre honnête. – (…) Il est dans l’engrenage, il continuera. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 11 – Notes sur Pierre Froment)
==== ENLEVER ==== === Le Rêve (1888) === Cela ne change rien en somme et enlève le côté un peu louche de l’évêque (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 308/91) ==== EN MÊME TEMPS ==== === Lourdes (1894) === Une ville nouvelle enfin, enrichie – Mais en même temps une ville démoralisée. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°34) ==== ENNUI (-YER) (-EUX) ==== === La Terre (1887) === Je suis un peu ennuyé d’un adultère à la ferme. Il faudrait [sic] mieux peut-être y avoir une servante maîtresse , montée du village, tenant le fermier. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 489/81 – Ebauche) === Le Rêve (1888) === Je n’ai pas la fantaisie , le rêve, ce qui m’ennuie (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 221/5)
(…) C’est ennuyeux et pas général d’en faire un artiste (ibid., f° 298/81) ==== ÉNORME ==== === Lourdes (1894) === Cette acceptation de la vie n’est possible que pour une élite, et très peu nombreuse. Alors que devient l’énorme masse de l’humanité ? (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°12)
Puis les hôtels poussant, le commerce énorme des saintetés, la nourriture, la vente des cierges, tout Lourdes n’étant plus qu’une auberge à pèlerins. (ibid. F°34)
Foule énorme. Je ne la décris pas, je ne l’analyse pas, car je la garde pour la quatrième partie. (ibid. F°267)
Un grouillement énorme tout le monde à table – (ibid. F°332)
La quantité énorme de prières, dites pendant le pèlerinage national. (ibid. F°457)
Un morceau surtout sur la quantité énorme de prières dites pendant le pèlerinage national. (ibid. F°468)
La baronne de [Bois biffé] Lamberterie. (…) Volume du ventre énorme. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 142 – Notes sur les Miracles)
En ce moment de mysticité, de révolte contre la science, un admirable sujet : (…) cette extraordinaire histoire de Bernadette Soubirous (…) produisant cet énorme mouvement d’humanité (…). (ibid. Fo 208– Notes sur Un roman sur Lourdes)
Du reste, ne pas oublier le côté affaire, l’énorme spéculation montée. (ibid. Fo 210 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Et au fond les cierges, énormes, gros comme la jambe (…). (ibid. Fo 213 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Les vraies proportions du cirque échappent, l’impression n’est pas aussi énorme qu’elle devrait l’être. (ibid. Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Autres guérisons, une loupe énorme fondue dans la source. (ibid. Fo 244 – Notes sur H. Lasserre) ==== EN OUTRE ==== === Le Rêve (1888) === En outre influence du travail des broderies (MS NAF 10323, Le Rêve, Premier plan détaillé du chapitre II, f° 25) ==== EN PLEIN ==== === Lourdes (1894) === Je montre en plein là que le fait d’avoir vu la Vierge l’a [Bernadette] rayée des humains, des femmes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°591) ==== ENQUÊTE ==== === Lourdes (1894) === Mais, alors, se pose la question : quel est ce médecin ? et il faudrait une enquête sur lui, tout document historique a besoin d’être contrôlé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°47)
Il me paraît évident que l’enquête avait démontré l’hallucination (…). (ibid. F°64)
Mais moi, si je veux rétablir la vérité, je n’ai qu’à reprendre l’affaire, l’enquête, au point où elle a été abandonnée. – (ibid. F°65)
Des doubles des procès verbaux administratifs : rapports de justice, interrogatoires de Bernadette, annotations du médecin, enquêtes de toutes sortes. (ibid. F°97)
Le dossier que Pierre trouve chez son père, le double des procès-verbaux administratifs, des rapports de police [en interligne : enquêtes de toutes sortes], des interro- \\gatoires de Bernadette, des rapports des médecins, et lettres confidentielles. (ibid. F°s150-151)
Pourtant, il [Pierre] avait eu un instant l’idée
d’aller y terminer une enquête. (ibid. F°s152-153)
Et lui [Pierre], peut continuer l’enquête, mais se heurter à des difficultés. (ibid. F°160)
Pour Lourdes, doubles des procès-verbaux administratifs, rapports de police, interrogatoires de Bernadette, consultations des médecins, enquêtes de toutes sortes, lettres confidentielles. (…)
Quand on parle de mener Marie, il [Pierre] refuse. (…) Puis il accepte par tendresse pour la malade, et avec le désir de continuer son enquête ( …). – (ibid. F°s163-164)
Son idée ancienne d’enquête qu’il [Pierre] réalise aujourd’hui. Se faire enfin une opinion. (ibid. F°204)
Analyse de Pierre. Il est venu à Lourdes pour continuer son enquête sur Bernadette, et vaguement pour tenter de recouvrer la foi. (ibid. F°372)
Puis, Pierre l’interroge [Chassaigne] sur Bernadette, en se souvenant qu’il est venu faire une enquête sur elle. (ibid. F°384)
D’abord, son enquête est faite [en interligne : Eb. 5-10], son expérience est faite. (ibid. F°580)
Dans les notes succinctes et primitives, rien que les bases d’une enquête qui doit se poursuivre. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 165 – Notes sur les Miracles) ==== ENSEMBLE ==== === Nana (1880) === [Caroline Héquet] Ensemble assez froid, calculé, réfléchi. (NAF Ms. 10313, Nana. F°178- Personnages). === La Terre (1887) === Il faudrait régler les grands ensembles, mettre les plans. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 422/23- Ebauche) === Lourdes (1894) === Et je donne alors une description [en interligne : Organis. des trains, éb. 205] de tout le wagon (…). Un ensemble enfin, pour tout poser, sans les détails sur mes personnages, les malades, que je vais présenter un à un. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°124)
Comte de Mun amène les cercles catholiques d’ouvriers. 2 500 hommes. 169 bannières, Belleville, Saint-Antoine, Batignolles. Communient tous ensemble à la Grotte (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 159 – Notes sur les Miracles) === Travail (1901) === Un fondeur (Mabire), des puddleurs (Bonnaire et Ragu), un arracheur (Bourron), des lamineurs et des ouvriers du marteau pilon (Coignet et Fauchain) me paraissent donner un ensemble assez complet (F°423) ==== ENSEMBLE SUR LOURDES ==== (VUE D’ENSEMBLE SUR LOURDES) La « Vue d’ensemble sur Lourdes » de septembre 1892 (MS NAF 1455, Fos 29-66) expose la portée générale du projet romanesque de Lourdes. === Lourdes (1894) === Vue d’ensemble sur Lourdes. Quand je ferai « Rome » et « Paris », il faudra que je relise d’abord ces notes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°29)
Ce que je disais au docteur Boissarie : Si moi j’avais une source et [q biffé] si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. Prendre tout cela à l’Ensemble sur Lourdes p. 17 et suivantes. (ibid. F°274)
Le monsieur (…) dit : Si, moi, j’avais une source et si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. (Ensemble sur Lourdes, 17 et suivantes) – (ibid. F°282)
Sur la mauvaise organisation du bureau des constatations (Ensemble sur Lourdes 18). Sur Raboin intéressant (20). (ibid. F°294)
Et cela m’amène à la laideur [en interligne : (Ensemble sur Lourdes 15) (M.V. 160-170-171)] de toute cette quincaillerie [en interligne : G. Barbet 170-171]. (ibid. F°498)
Sur la laideur de toute cette quincaillerie religieuse (Ensemble sur Lourdes 15). (ibid. F°508)
Lourdes ancien et Lourdes nouveau (Ensemble sur Lourdes 14). (ibid. F°563)
Prendre la suite dans l’Ensemble sur Lourdes p. 28. (ibid. F°564)
La suite dans Vue d’ensemble sur Lourdes (II). (ibid. F°587)
[en interligne : Amener les ouvriers à Lourdes 22 Ensemble sur Lourdes.] (ibid. F°588)
La comparaison des anarchistes et des premiers chrétiens (Ensemble sur Lourdes 12). (ibid. F°588) ==== EN SOMME ==== === Nana (1880) === C’est à une lieue, dans le pli d’un coteau, derrière une rivière qu’il faut remonter pour avoir un pont. En somme assez loin. (NAF Ms. 10313, Nana. F°57- Plan)
et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (ibid. F°116). === La Terre (1887) === Palmyre (…) Une virago, type à créer, sympathique en somme. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 441/42- Ebauche) ==== ENSUITE ==== (Voir aussi : D’abord ; Puis ; enfin) ===Le Ventre de Paris (1873) === J’ai ensuite le monde de la Halle, monde grouillant qui entourera Charles. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 60)

les mauvais sentiments ne naissent ensuite que peu à peu, et toujours sous le couvert de la plus stricte honnêteté. (ibid., f° 83) === La Conquête de Plassans (1874) === Cela suffit pour tout expliquer ensuite ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°22 )
Comme comparses, j’ai d’abord Pierre Rougon et Félicité Rougon qui détestent leur gendre et qui par ordre sont pour le curé Bonnard. J’ai ensuite une bande de curés (ibid. F°23) === La faute de l’abbé Mouret (1875) === C’est lui qui en garde ensuite l’entrée. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 8)
Je prendrai ensuite un couple de dix-huit ans ; il couche dans les blés depuis 14 ans ; mais il ne se marie pas parce qu’il n’a pas d’enfant. (ibid., f° 12)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (ibid., f° 14) === La Terre (1887) === Le paysan qui ne possédait rien, puis qui a possédé un jour, comment et quand ? Ensuite, le partage de la petite propriété, la division continue par les héritage [sic]. (MS NAF 10.328 La Terre. f° 401/2 – Ebauche) Le mieux serait de diviser la lutte pour la terre en deux. D’abord refus du partage, parce que son lot ne lui plait pas ; et ensuite quand il croit tenir le lot, avec les deux sœurs, nouvelle lutte pour que Louise ne se marie pas, ce qui lui ferait échapper la terre. (ibid., f° 416/17) === Le Rêve (1888) === (reprendre ensuite au chapitre suivant) (MS NAF 10323, premier plan du chapitre III, f° 54)
Un mot de tout ce que j’ai posé plus haut et ensuite tout sur l’église (ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
Ensuite je mets ce que j’ai appelé les miracles (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Et c’est alors qu’elle veut rejoindre Félicien. Puis la grâce revient. Enfin tout le mécanisme de la grâce. Ensuite l’épisode du livret (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 147)
Ensuite tout l’argent donné. La richesse, la corbeille, la robe de mariée décrite surtout (ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 184) === Travail (1901) === qui s’en repent ensuite, et enfin qui est définitivement conquis (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 378/31)
Ensuite toute la période de la seconde partie peut tenir dix années (ibid., F°404)
Ensuite cela me donne une Suzanne bonne, la digne petite fille du vieux Qurignon (ibid., F°441) ==== ENTASSER / ENTASSEMENT ==== === Lourdes (1894) === J’aurai ainsi toute la souffrance réunie. D’abord dans un wagon de troisième où j’entasserais les malades (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°68)
En mettre [des miracles] cinq ou six pages, ne pas craindre de faire long, l’entassement. Le paquet. – (ibid. F°186)
Et j’en arriverai à quelques pages d’entassement de mi- \\racles, je choisirai un ordre. (ibid. F°s193-194) ==== ENTENDRE / ENTENDU ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === J’aurai ainsi une honnête femme, dans la branche des Macquart. Honnête, il faut s’entendre. Je veux lui donner l’honnêteté de sa classe (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 49)
Faire entendre qu’il dénoncera plus tard. Lisa d’abord a l’estime ou désintéressement de Florent (ibid., f° 89) === Nana (1880) === Et là faire entendre qu’il [Fontan] désire le retour du petit, parce qu’il aurait le sac peut-être. (NAF Ms. 10313, Nana. F°81- Plan)
Et donner à entendre que Nana a voulu voir la pièce avant d’accepter le rôle. (ibid. F°90)
En un mot, j’entends rester humain et simple, sans complication machiavélique. (ibid. F°149). D’autre part, il est entendu que l’amant de cœur épousera la fille de l’homme mûr, à la fin. (NAF Ms. 10313, Nana. F°210- Ebauche). === La Terre (1887) === Je veux faire le poème vivant de la terre, mais sans symbole, humainement. J’entends par là que je veux peindre d’abord, en bas, l’amour du paysan pour la terre, un amour immédiat, la possession du plus de terre possible, la passion d’en avoir beaucoup, parce qu’elle est à ses yeux la forme de la richesse ; puis, en m’élevant, l’amour de la terre nourricière (MS NAF 10.328, La Terre, f° 400/1 – Ebauche) === Le Rêve (1888) === Et par passionnée, j’entends entraînée vers l’amour, l’amour libre même (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 384/67)
Tout cela pour donner à entendre que les Hubert s’aiment en bas. Très chaste, très discret (ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 93)
Si je dois faire mourir Angélique, laisser entendre que c’est là qu’elle viendra (ibid., premier plan du chapitre X, f° 140)
Ne pas dire, laisser entendre pourtant qu’il va voir son père (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 163)
Il est entendu qu’elle ne se croit plus aimée (ibid., premier plan du chapitre XII, f° 164)
Je voudrais que l’attitude de Monseigneur resta [sic] rigide (…) Mais je voudrais aussi laisser entendre à quel point il est bouleversé (ibid., deuxième plan du chapitre XIII, f° 172)
J’aimerais à laisser entendre qu’elle s’en ira dans un baiser (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 175)
Il est entendu que je ne sauve plus Angélique (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 180) === Lourdes (1894) === Ensuite, la nécessité qui a fait qu’on l’a escamotée soit qu’elle fût malade et qu’on ne voulût pas la montrer, soit (…) qu’on craignît pour elle les effets d’une adoration trop grande, d’une obsession dangereuse, d’offres d’ar- \\gent même, lui acheter son chapelet mille francs (ce qu’on laisse entendre) (…) . (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s30-31)
Le type du petit
grisonnant qui a grogné derrière moi des choses que je n’ai pas bien entendues. (ibid. F°s48-49)
Et [dire biffé] laisser entendre alors comment il [Chassaigne] a pu en arriver à croire à Lourdes. (ibid. F°259)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (ibid. F°272)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (ibid. F°284)
Et laisser entendre que Vigneron avait supplié la Vierge que cet héritage ne lui échappât pas. (ibid. F°485)
D’autre part il est bien entendu que j’ai, pour l’Hospitalité, le baron Suire, Berthaud
et Gérard – (ibid. F°s511-512)
Faire entendre simplement qu’elle est reprise et qu’elle mourra. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 40 – Notes sur la Grivotte)
Comme il est entendu qu’on ne doit pas nourrir
les malades en voyage, on les pousse à emporter leurs petites provisions. – (ibid. Fos 182-183 – Notes sur le Départ de Paris)
Superstition ? Oui, si l’on entend par là le besoin d’illusion de l’humanité souffrante. (ibid. Fo 228 – Notes sur H. Lasserre) ==== ENTIER (EN) / ENTIÈREMENT ==== Voir aussi : Tout. === La Conquête de Plassans (1874) === Peu à peu, elle s’expliquera tout entière. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan II F˚ 5) === Nana (1880) === Pourtant celui-ci [Muffat] ne s’engage pas entièrement. (NAF Ms. 10313, Nana. F°29- Plan)
J’aimerais assez que le chapitre se passât presque entièrement chez les Muffat, ou du moins fût à cheval sur les deux intérieurs. (ibid. F°71)
Il faudrait que cela me donnât le théâtre en entier, grâce à des intrigues secondaires. (ibid. F°95-96). === Le Rêve (1888) === Relire en entier la note Religion (MS NAF 10323, Le Rêve, Deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 39)
La cérémonie entière (ibid., premier plan du chapitre VIII f° 111) === Lourdes (1894) === Ensuite, la nécessité qui a fait qu’on l’a escamotée soit qu’elle fût malade et qu’on ne voulût pas la montrer (…) \\ ; soit qu’on craignît pour elle l’orgueil, la situation d’une sainte, visitée par Marie, adorée du monde entier (elle était simple, la tête pouvait lui tourner). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s30-31)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « (…)Je prendrais des mesures telles que la terre entière verrait et croirait. » – (ibid. F°46)
A un moment, si le monde entier s’est jeté dans ce rêve du paradis chrétien, ouvrant l’autre vie, c’est que c’était la jeune espérance arrivant historiquement à son heure. (ibid. F°51)
Quand j’aurai ma Bernadette tout entière, je la ferai bien humaine, telle qu’elle était, mais extrêmement touchante, et martyre. (ibid. F°66)
Le monde entier se ruant vers la Grotte. (ibid. F°130)
Chapitre II. Entièrement consacré à revenir en arrière et à conter l’histoire complète de Pierre Froment (avec son frère) et des Guersaint. (ibid. F°155)
(…) si la France et le monde entier, du plus loin de la terre, sont sillonnés par des trains pareils, c’est le besoin d’illusion, l’espoir de guérison qui les poussent. (ibid. F°189)
Si (…) la
France et le monde entier, du plus loin de la terre, sont sillonnés par des trains pareils, c’est le besoin d’illusion, l’espoir de guérison qui les pousse. (ibid. F°s195-196)
Chapitre V. Il est entièrement consacré à l’histoire de Bernadette. (ibid. F°212)
Le wagon roule, le monde entier roule vers la fontaine [de vie biffé] d’espoir et de vie. – (ibid. F°215)
Enfin, je termine par (…) le trempage du cadavre de l’homme dans la piscine. La scène entière à laquelle Pierre assiste. (ibid. F°270)
Mais en somme, c’est l’hôtel qui est le cadre du chapitre et le chapitre doit y tenir tout entier. (ibid. F°321)
Bien finir en se servant des bruits de mangeailles, à côté Lourdes tout entier mangeant. – (ibid. F°335)
La procession aux flambeaux. Il faut s’en servir pour servir de cadre au chapitre entier. (ibid. F°358)
Et poser là sans doute la Grotte tout entière, telle que je l’ai visitée, en y faisant entrer Pierre. (ibid. F°375)
Mais les souvenirs de la journée entière, la simonie, la foire, malgré la procession, reviennent invinciblement (…) \\. (ibid. F°s376-377)
Donc, un chapitre tout entier devant la Grotte, avant que Marie y soit amenée [et que Pierre biffé]. (ibid. F°423)
Le dernier effort qu’il [Pierre] va faire vers la foi ; et, pour corser le chapitre, il faut que je donne tout entier l’écroulement en lui, lorsque Marie poussera son cri : « Je suis guérie ». (ibid. F°443)
Le vaste horizon, reprendre la foule [en interligne : (M.V. 197)], les jardins, le Gave, le château (légendes du Moyen Âge) [en interligne : (M.V. 132)], Lourdes tout entier. (ibid. F°453)
Puis, j’en arrive à la cérémonie même de la Bénédiction du Saint-Sacrement. Tout entière. (ibid. F°454)
Puis tout de suite la ruine, je la décris entièrement ; la lessive qui sèche ; les flaques d’eau qui sont restées du dernier orage, dans le chœur. (ibid. F°474)
Le [le Commandeur] reprendre tout
entier. (ibid. F°s518-519)
Et tout repris, comme au premier voyage : les arrêts, la cantine, la vie du train tout entier. (ibid. F°559)
Tout Bartrès, et les apparitions, (sans les persécutions), et les miracles [en interligne : le monde entier roulant]. (ibid. F°601)
Arrivée du train blanc. Dans la nuit. On débarque les malades. La scène entière. (ibid. F°602)
Tout entière à ses malades, pendant trois jours. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 77 – Notes sur Madame Desagneaux)
Républicain, il est contre la Grotte ; mais (…) il devient inquiet dès qu’on parle de fermer la Grotte, car il vit d’elle, comme Lourdes tout entier. (ibid. Fo 105 – Notes sur Cazaban)
Le récit de Pierre de Rudder. (…) Le récit entier est à prendre. (ibid. Fo 155 – Notes sur les Miracles)
L’histoire de Lourdes a été écrite en entier par des médecins. (ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Autour des miraculés, bonheur, larmes, et finalement croyance. Si vous y mettez le petit doigt, tout entier. (ibid. Fo 178 – Notes sur Dozous 7-12)
Onze ans après 1858, en 64, l’église presque achevée. (…) Les pèlerinages du monde entier. (ibid. Fo 254 – Notes sur H. Lasserre)
La pensée de B. allait à Lourdes, (…) à la cité tout entière. (ibid. Fo 265 – Notes sur H. Lasserre)
=== Travail (1901) === Mais il ne faudrait que les indiquer d’un trait, sans les poser entièrement (F°435) ==== EN TRAIN DE ==== === Lourdes (1894) === D’autre part, l’histoire de sa famille [Marie], sa mère morte [en interligne : aux eaux, fluxion de p.], son père en train de se ruiner (…), la sœur Blanche achevant ses études pour soutenir tout ce petit monde. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°149)
Dire tout de suite [que biffé] qu’on est en train d’installer un autre bureau, sous une arcade des rampes. – (ibid. F°279)
Ce serait Ferrand qui pourrait me [le biffé] donner le frère Isidore qu’il serait en train de ranimer, lorsqu’on l’appelle pour Mme Vêtu. (ibid. F°413)
Le docteur Bonamy était en train d’examiner Elise Rouquet, qui va mieux. (ibid. F°439) ==== ENTRAVER ==== === Lourdes (1894) === Cela n’entrave pas le mouvement de la science, mais expliquer comment cela se produit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°41)
Au temps de foi, de croyance, est-ce qu’on appelait la science à prouver Dieu ? Que vient-elle faire ici ? Elle entrave la foi, et se diminue elle-même. (ibid. F°49) ==== ENTRÉE / ENTRER ==== === La Conquête de Plassans (1874) === Entrée de l’abbé dans le salon vert (triomphal)….. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IX F° 10) === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)
Je fais entrer la civilisation le moins possible. (ibid., f° 14)
Après cela, j’entre résolument dans l’acheminement direct à la faute. (ibid., Le Paradou, f° 46) === Nana (1880) === Zoé entre et pose la situation. (NAF Ms. 10313, Nana. F°14- Plan)
Zoé entrant et aidant à poser le tout. (ibid. F°37)
Alors Nana devint chic et entra dans la haute vie. (ibid. F°98).
Faire entrer une femme. (NAF Ms. 10313, Nana. F°299- Notes).
Entrée de madame Hugon et de Georges, coupant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°28- Plan). === Le Rêve (1888) === Je n’ai pas besoin qu’Hubert jette Angélique dans le mysticisme, j’aime même mieux qu’elle y entre d’elle-même (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 251/35)
(…) Je recule devant
le militaire, l’ingénieur. Le militaire n’entrerait pas dans ma fable, il ne me servirait pas, il y détonnerait (ibid., f° 298/81-299/82) === Lourdes (1894) === Je ne puis guère prêter à mon socialiste que ces idées-là, et ce sera donc un évolutionniste. Mais alors
pourquoi assassin. Il faudrait faire entrer l’idée du fait brutal dans l’évolution. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s21-22)
Je songe que le mieux serait de ne pas entrer encore dans l’abri, de le poser seulement. (ibid. F°360)
A chaque chapitre, revoir les personnages et choisir ceux qui peuvent entrer dans le chapitre. (ibid. F°364)
Ce qui ne pourra entrer dans ce chapitre, devra être conservé pour le chapitre V de la quatrième partie. (ibid. F°398)
J’entre alors dans les erreurs de tous les médecins qui la voient (les erreurs et les contradictions). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 117 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint) ==== ENTRETIEN ==== === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Un entretien de Serge avec Jésus. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Extraits de L’Imitation, f° 39) === Le Rêve (1888) === Il lui dit tout cela dans l’entretien (MS NAF 10323, Le Rêve, plan du chapitre IX, f° 119) === Lourdes (1894) === Mme de Jonquière et sœur Hyacinthe se mêlent à l’entretien, provoquent certaines de ses réponses. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°184) ==== ENTREVOIR ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === On croit entrevoir quelque grande machine, quelque appareil monstrueux et inconnu. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°295) === Lourdes (1894) === Elle a succombé, a [pou biffé] un amant, un monsieur que j’indique très correct et très grave, que je fais [voir à genoux biffé] entrevoir à l’hôtel, et que je montre ensuite une seule fois devant la grotte, à genoux. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°103)
On n’en voit pas un. (…) Je les [les pères de la Grotte] ferai entrevoir plus loin. (ibid. F°238)
Le père Dargelès peut-être entrevu, pour mieux faire sentir l’absence des autres. – (ibid. F°527)
Et elle a succombé, elle a un amant, un monsieur très correct et très grave, que je fais entrevoir une seule fois à l’hôtel et que je montre ensuite une seule fois devant la Grotte (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 75 – Notes sur Madame Volmar) ==== ÉNUMÉRER / ÉNUMÉRATION ==== === Le Rêve (1888) === Rappeler d’un mot les miracles des supplices, et énumérer les autres, ceux que j’ai gardés (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre IV, f° 67) === Lourdes (1894) === C’est Pierre qui traîne Marie. Tout ce qui les suit, une énumération terrible, les vingt cas que je citerai et dont je me servirai ensuite toujours à la Grotte. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°246)
Pierre le [Des Hermoises] regarde, et alors à son propos, la page sur la variété des prêtres qui sont à Lourdes. Pierre fait l’énumération, en voyant passer les originaux. (ibid. F°334) ==== ENVELOPPEMENT / ENVELOPPER / ENVELOPPANT ==== === Le Rêve (1888) === Donc tout un enveloppement avant que le rêve se montre (MS NAF 10323, premier plan du chapitre IV, f° 66) === Lourdes (1894) === C’est la foule qui est mon personnage, enveloppant les épisodes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°416)
La foule, un être, le personnage qui enveloppe les épisodes. (ibid. F°421)
C’est donc la foule qui va être le grand personnage, le personnage enveloppant. (ibid. F°427) ==== ENVIE ==== === La faute de l’abbé Mouret (1875) === J’ai envie de faire du bedeau une vieille femme, qui sonne la cloche, balaie l’église, sert la messe les jours ordinaires, etc. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14-15) === Nana (1880) === C’est là que j’ai envie de mettre l’épisode de Philippe, le capitaine, venant pour faire une scène, et se laissant empaumer. (NAF Ms. 10313, Nana. F°63- Plan)
J’ai bien envie de montrer là madame Robert, suivie par le Marquis, le raccrochant et l’emmenant dans un fiacre dépenaillé. (ibid. F°126). === Lourdes (1894) === J’ai envie d’en faire un architecte, qui se compromet dans des constructions ouvrières, avec églises. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°92 )
J’ai peut-être envie de mettre un très grand seigneur, très chic, qui se dévouerait
absolument ; mais alors, une simple figure de fond. Cela serait très bon. J’ai envie aussi de mettre, parmi les dames de la salle, une auxiliaire. (ibid. F°s102-103)
Enfin j’ai bien envie d’en mettre une autre qui a de la tuberculose aux
entrailles. (ibid. F°s107-108)
Et j’ai envie de mettre un autre père de l’Assomption, plus jeune, entré dans les ordres par vocation, ami de séminaire de mon prêtre (et qui est [l’ biffé] son antithèse) [de mon biffé]. (ibid. F°117)
J’ai envie de mettre dans le même compartiment : aux pieds de Marie, Mme Maze, discrète et effacée (douleur morale) et en face d’elle Mme Vincent et sa fille Rose (douleur maternelle). (ibid. F°133)
J’ai envie de ne mettre que Mme de la Jonquière avec sa fille Raymonde et Mme Volmar. (ibid. F°176)
J’ai envie de mettre l’abbé Judaine qui accompagnerait alors les Dieulafay, comme je crois l’avoir mis aux Personn. (ibid. F°177)
J’ai envie de finir par une messe à la Grotte. (ibid. F°378)
J’ai envie de faire partir Ferrand (…) qui n’est plus utile. (ibid. F°406)
Pour finir par Appoline et le nouveau Lourdes, j’ai envie de rejeter à l’autre chapitre, celui du départ, les adieux à la Grotte et l’épisode du Commandeur. (ibid. F°507)
J’ai envie de faire voiler le soleil [d’un biffé] de fins nuages. (ibid. F°511)
=== Travail (1901) === J’ai plutôt envie d’en faire un vieux médecin qui fait de grands travaux (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 359/12) ENVIRON === Lourdes (1894) === La belle nuit, le Gave ronflant, fraîcheur. Il est environ trois heures avant le jour. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°371)
ENVOLE (-E) (Style) (Voir aussi : élancement) === Le Rêve (1888) === Rapprochement d’Hubert et d’Angélique dans une envolée (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 252/36) Cela en style envolé, pur, chaste, mystique (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
Pousser à une extrême passion, à l’extrême drame. Une envolée (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 158)
Un grand alinéa de pureté, envolé (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 186) === Lourdes (1894) === Quand il a aimé la malade, c’est pour son charme et sa souffrance. Il faudrait faire tout cela très délicat [en interligne : extrêmement chaste et envolé] – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°79)
Le culte autour d’elle [la Vierge], le culte même de la femme, dans une page très ardente, très envolée. (ibid. F°187)
Prendre les litanies et montrer le culte autour d’elle [la Vierge],
le culte même de la femme, dans une page très ardente, très envolée. (ibid. F°s199-200)
Toujours très délicat, très envolé, très mystique. (ibid. F°386)
Et toujours très délicat, très envolé, très mystique, en parlant de Bernadette. (ibid. F°394)
Puis pourquoi chercher à faire long : un chapitre de 28 à 30 pages serait bien suffisant, s’il est d’une belle envolée. (ibid. F°467)
ENVOYER === Lourdes (1894) === Très amant de la nature [M. de Guersaint], ce qui me permettra de l’envoyer à Gavarnie. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 23 – Notes sur Marie de Guersaint) ÉPANOUIR / ÉPANOUISSEMENT === Le Rêve (1888) === Epanouir tout le mysticisme qui est en elle (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 354/38)
alors épanouir tout le mysticisme qui est en elle par ses lectures (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 64) === Lourdes (1894) === Cette histoire, c’est l’épanouissement de Lourdes, tout cet extraordinaire mouvement de foi et de foule, parce qu’une petite fille a eu une hallucination devant un trou de roche. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°33)
Toujours le train roule, l’hôpital roulant. Ne faire qu’indiquer cela [en interligne : le grand mouvement de la souffrance] pour l’épanouir aux chapitres suivants. – (ibid. F°130) ÉPARPILLER === Lourdes (1894) === Je voudrais, pour ne pas trop éparpiller l’effet, avoir un personnage central. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°72)
=== Travail (1901) === Mais il vaudra mieux peut-être ne pas éparpiller trop l’intérêt sur trop de personnages, de types (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 380/33) ÉPELER === Lourdes (1894) === Une émotion peut déterminer des modifications. Là est un inconnu que la science épelle à peine (la nutrition, les modifications qui peuvent lui être apportées). – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
ÉPERDU === Lourdes (1894) === D’abord un cri superbe de l’humanité souffrante, le cri de la douleur. Une étude navrée et éperdue de la douleur. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°38) ÉPISODE/ÉPISODIQUE (voir aussi : Scène) === La Curée (1872) === Je parle aussi des diamants (petit épisode de conversation, s’il est possible) (MS NAF 10 282, La Curée, f°339). ===Le Ventre de Paris (1873) === C’est une matière très suffisante, et il me reste uniquement à chercher les épisodes, les personnages épisodiques. (MS NAF 1038, Le Ventre de Paris, Ebauche, fs° 59-60)
Personnages secondaires et épisodiques. (ibid., f° 60)
Il faudra que je trouve des épisodes pour ce gamin. (ibid., f° 61)
Je donnerai des enfants à Lisa et à Louis, qui me serviront plus tard et qui augmenteront mes personnages, mes épisodes. (ibid., f° 61)
Il me faudrait dans l’œuvre un personnage épisodique, qui fut le Quasimodo de mes Halles.( ibid., f° 62)
Je veux donc qu’elle soit un centre considérable d’où rayonne les diverses intrigues, les différents épisodes.( ibid., f° 64)
La trahison envers Charles n’est qu’un de ces épisodes, et il ne faut pas donner à Charles trop d’ampleur.( ibid., f° 64-65)
Pour rattacher cet amour à l’épisode de Charles, je laisserai mettre ce crime sur le compte des conspirateurs.( ibid., f° 67)
Purement épisodique, d’ailleurs. (ibid., f˚ 94)
J’ai mon peintre, purement épisodique. (ibid., f˚ 95) === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Mêler les personnages épisodiques à tout cet [sic] drame qu’il faudra rendre aussi poignant que possible. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 4)
Mener de front : L’éveil d’un homme a vingt cinq ans / Un amour suivant les phases du printemps / Le parallèle avec la Genèse / Les épisodes amenant la description des jardins. (ibid., Le Paradou, f° 43)
Toujours des épisodes, ils se baignent les pieds, les 4 riv. etc. (ibid.,, f° 45)
Puis des épisodes nombreux, à trouver. (ibid., f° 63) === Nana (1880) === D’autre part bien détacher les épisodes suivants (…).
Faire revenir les autres et les jeunes gens; couper les épisodes par les détails du menu et du service, par des rappels du salon. (NAF Ms. 10313, Nana. F°39- Plan)
Muffat et Chouard arrivent, c’est le gros effet. le monsieur les connaît, épisode. (ibid. F°41)
Cancan de Jupiter, avec une petite blanchisseuse, Simonne. Les épisodes. (ibid. F°47)
Second épisode, toujours dans le foyer. (ibid. F°48)
C’est là qu’il faut placer l’épisode de la Tricon, au lever du rideau (…). (ibid. F°50)
Alors Muffat continuant sa cour. Quelques épisodes rapides. (ibid. F°59)
C’est là que j’ai envie de mettre l’épisode de Philippe, le capitaine, venant pour faire une scène, et se laissant empaumer. (ibid. F°63)
Là l’épisode de Daguenet. (ibid. F°68)
Là l’épisode de Zizi revenant et s’acoquinant. (…) Et l’épisode. Philippe capitaine à 24 ans venant furieux, cavalier, et restant. (ibid. F°99)
Voir si l’épisode Satin doit être mis là. (ibid. F°108)
Il faut que Fauchery vienne très tard ; cet épisode sera le dernier du bal. (ibid. F°133)
Muffat toujours mêlé, pour garder ma gradation, par dessus l’épisode de Mignon. (ibid. F°143).
Le reste, les divers épisodes n’ont que la valeur de faits secondaires destinés à mettre l’œuvre debout. (NAF Ms. 10313, Nana. F°232- Ebauche)
Maintenant, il faut distribuer tout cela et en faire des épisodes saisissants. (ibid. F°238). === Pot-Bouille (1882) === Pour tout de suite l’histoire de mon grand magasin. Il faut que ce premier roman ne soit que le premier épisode du second, un premier échelon pour arriver à une position (MS NAF 10 321, f° 382) === Au bonheur des dames (1883) === Pourtant, je ne voudrais pas d’épisodes trop sensuels (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 4) === La Terre (1887) === Le père Bouffard pourra être chez la fille mariée, ce qui me donnera là un second drame en épisode. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 404/5 – Ebauche) === Le Rêve (1888) === Maintenant je sais que la pureté est surtout dans la façon de traiter les épisodes (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 219/3).
(…) Tout l’amour, avec des épisodes (ibid., F° 224/8).
(…) Trouver les épisodes et l’intérêt (ibid., f° 229/13) \\(…) Les premiers épisodes de l’amour (ibid.F° 235/19)
(…) Il me faut un épisode où, ignorante de tout, enfermé /sic/ dans sa vie des saints, elle
rêve le monde qu’elle ne connaît pas (ibid., f° 243/27-244/28) )
(…) après le chapitre de sa venue lente jusqu’à son apparition, j’aurai bien un chapitre ou [sic] il lui parle, deux ou trois épisodes, et qui ira jusqu’à l’aveu (ibid., f° 259/42)
(…) Mettre là les Hubert, avec l’épisode de la mère qui a pardonné (ibid., f° 279/62)
(…) Et je veux que cette charité me donne des épisodes, au moins dans l’idylle (ibid., f° 289/72)
(…) Mettons que je finisse par l’épisode de la charité, le vêtement donné (ibid., f° 290/73)
(…) terrain vague (…) c’est là que l’épisode de la charité aura lieu (ibid., f° 291/74)
(…) le ruisseau peut me donner un épisode de linge lavé (…) je voudrais un autre épisode. Ou ils causeraient (ibid., f° 292/75)
(…) Par exemple le premier
épisode : le sauvetage d’un linge (…) puis l’épisode du linge étalé (ibid., f°s 292/75-293/76)
(…) Les épisodes aussi ne doivent pas être romantiques mais terre à
terre relevés par la grâce (ibid., f°s 294/77- 295/78)
(…) Quant au quartier, il est complètement à régler de nouveau pour se prêter à tous les épisodes (ibid., f° 310/93)
L’épisode du vêtement donné (MS NAF 10323, Plan, Plan du chapitre V, f° 2) \\Tout le chapitre est en récit, coupé de quelques scènes épisodiques, avec des mots de conversation (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
Les épisodes de l’idylle dans le terrain, tout le linge lavé (…) l’épisode de la charité (…) de la gaieté dans les deux épisodes (ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 73)
Dans le second épisode (à quelques jours de distance) le linge est étendu (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V f° 74)
L’émotion à la fin de l’épisode doit tuer le rire (ibid., deuxième plan du chapitre V, f° 75)
Puis, avant l’épisode de la charité, j’ai un morceau où je le montre rôdant (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 75)
J’arrive au dernier épisode, dans le terrain vague (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 76)
Les épisodes du travail au fur et à mesure qu’il avance (deuxième plan détaillé du chapitre IV f° 83)
C’est que /sic/ je mets les deux épisodes, tout le morceau sur la grâce ( voir les notes Religion) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI f° 146)

Et c’est alors qu’elle veut rejoindre Félicien. Puis la grâce revient. Enfin tout le mécanisme de la grâce. Ensuite l’épisode du livret (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 147)
Enfin je voudrais revenir aux pauvres, aux aumônes (…) enfin un épisode pour revenir à la charité et la finir (…) voir si la Légende dorée peut revenir (ibid., premier plan du chapitre XI, f° 156)
Elle va sur sa tombe ; mais la tombe muette. L’épisode, le pardon à la fin (ibid., Personnages, f° 211) === Lourdes (1894) === Un mariage entre hospitaliers,
enfin tous les petits épisodes secondaires. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s36-37)
Et plus loin encore, à peine revendiqués, les petits épisodes des pèlerinages, (…)
enfin tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (ibid. F°s56-57)
Je voudrais n’avoir qu’un pèlerinage national pour cadre, la formation à Paris, le voyage, le débarquement, les quatre jours passés avec les cent épisodes, le rembarquement, et la fin laissée à l’espoir peut-être. (ibid. F°58)
Si j’en fais un honnête homme, il faut qu’il croie, lorsqu’il prononce ses vœux. Pourtant l’épisode où il revoit la malade, avec ses vœux. (ibid. F°86)
J’ai aussi mon agrégé de l’Université, ou quelque chose de semblable, pour mettre là un intellectuel. (…) Une figure épisodique seulement. (ibid. F°106)
Elle est donc sur le quai, lors du départ du train blanc, « Vous partez » – Oh ! non, mon mari m’emmène à [Cauter biffé] Luchon ». Et son visage rayonne. Cela sera très bon. Au dernier plan du reste, un épisode à peine. (ibid. F°112)
L’hôtelier qui tient l’hôtel [que j’expos biffé] où je fais passer mes épisodes. (ibid. F°119)
L’épisode de Ferrand
et de sœur Hyacinthe m’est quand même donné au III, car s Hyacinthe court le chercher pour l’homme. – (ibid. F°s141-142)
Le bouillon que M. de Guersaint tâche de faire prendre à sa fille, qui ne peut le finir ; et surtout l’épisode de Ferrand et de l’homme, auquel il faut que Pierre et Marie s’intéressent. (ibid. F°167)
Ils sortent tous, ou plutôt il n’emmène que Mme de Jonquière et il est arrêté par l’abbé Judaine (…) et assiste à l’épisode des Dieulafay. (ibid. F°170)
D’abord, tout l’épisode de l’homme. On a pu le croire mort, mais il n’est qu’évanoui. (ibid. F°173)
Faire ce chapitre [III de la première partie] en épisode, très vivant, et avec cette idée constante que la souffrance doit monter. – (ibid. F°178)
Je pourrai pourtant prendre Pierre comme lien naturel entre les divers épisodes. (ibid. F°178)
Et tout de suite l’épisode du mort. (ibid. F°226)
Et j’ai alors l’épisode de Gérard et Berthaud avec ces dames, Raymonde, Mme Désagneaux, et madame Volmar, qui va disparaître. (ibid. F°228)
Et c’est dans cette bousculade que je dois [pas biffé] mettre l’épisode du Commandeur. (ibid. F°229)
Mais voici en outre les épisodes, qu’il
faudra ensuite classer logiquement.– (ibid. F°s233-234)
Et les malades, mes épisodes avec la petite [M biffé] Rose qu’on sort de l’eau (…), très poi- \\gnant. (ibid. F°s261-262)
Toute la fontaine décrite, avec ses épisodes. – (ibid. F°262)
Et madame Vincent avec sa petite fille Rose sur les bras, me donnant un épisode, devant la piscine des femmes, pendant que Pierre attend. (ibid. F°268)
Les deux épisodes M. Sabathier (Faure) trempé, puis le petit Gustave Vigneron. (ibid. F°269)
J’ai ensuite les trois épisodes. – (ibid. F°281)
Episode du Commandeur qui [laisse biffé] se fâche en entendant crier à la Grivotte qu’elle est guérie. (ibid. F°287)
Et je prends les épisodes que j’ai vus : un défilé quelconque de malades, puis la petite Sophie Couteau qui répète son récit tel qu’elle l’a déjà dit dans le wagon. (…)
Enfin l’épisode de la Grivotte, la matelassière, phtisique, et criant : « Je suis guérie, je suis guérie ! » (ibid. F°s290-291)
Finir par [un biffé] l’épisode du Commandeur. (ibid. F°292)
Alors (…), je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables, toujours avec Pierre mêlé et assistant. – (ibid. F°297)
J’ai comme épisode en même temps la [M biffé] Grivotte qui se prétend guérie très excitée, très gaie. (ibid. F°305)
Donc ne développer guère que cette [lettre biffé] lecture, et restreindre les autres épisodes. (ibid. F°307)
Et l’épisode des Vigneron et de Mme Chaise qui [se biffé] viennent s’asseoir à la table voisine (…). (ibid. F°316)
D’autre part, je voudrais avoir tout l’épisode des Vigneron. (ibid. F°319)
Alors tous les deux déjeunent, et j’ai l’épisode des
Vigneron en bas, dans les salles à manger. (ibid. F°s321-322)
Le matin, il faut que je les [les Vigneron] ai déjà posés là-haut dans les chambres, trouver un épisode, un malaise du petit, un évanouissement qui terrifie les parents. (ibid. F°325)
Celui-ci [M. de Guersaint] veut se faire raser, et cela me donnera l’épisode de Cazaban criant contre la Grotte, disant un mot de l’église Peyramale (…). (ibid. F°337)
C’est même ainsi que je finirai l’épisode : Mme Désagneaux reconnaîtra dans deux [calèbre biffé] calèches une belle société de Paris. (ibid. F°344)
Et je puis créer des épisodes, faire passer des personnages : [sur biffé] la Grivotte (dansant, exaltée, avec son cierge), Elise Rouquet, Sophie Couteau, les Vigneron, Mme Maze, chacun avec son trait caractéristique. – (ibid. F°354)
Mais je veux avoir des épisodes, pour corser un peu le chapitre, et particulièrement l’épisode de Mme Vincent et de la petite Rose à l’abri. (ibid. F°360)
En outre, je mêle d’autres épisodes s’il est nécessaire. (ibid. F°362)
C’est bien certain, il faut que cette enfant finisse là, car cela termine très bien
son épisode. (ibid. F°s379-380)
J’ai là l’épisode de Raymonde et de sa mère. (ibid. F°406)
On n’a laissé que Mme Vêtu, la femme au cancer, qui est à l’agonie ; et j’aurai donc l’épisode de la mort cette femme, à côté de Marie, exaltée, certaine qu’elle va guérir. (ibid. F°409)
C’est la foule qui est mon personnage, enveloppant les épisodes. (ibid. F°416)
Premier épisode. Celui de M. Sabathier et de madame Sabathier. (ibid. F°417)
Et les épisodes mêlés des Vigneron et des Dieulafay– (ibid. F°418)
Enfin, l’épisode de frère Isidore. (ibid. F°420)
La foule, un être, le personnage qui enveloppe les épisodes. (ibid. F°421)
Pour remplir le chapitre, j’ai surtout deux épisodes : [celui biffé] ceux de M. Sabathier et du frère Isidore. (ibid. F°424)
Ce sont les deux bons épisodes, mais ils ne suffisent pas pour emplir le cha- \\pitre. (ibid. F°s425-426)
Marie n’étant pas encore là, je n’ai qu’eux, et je distribue les épisodes, de façon à ce qu’ils emplissent bien le chapitre. (ibid. F°427)
Les malades rangés devant la Grotte, grande description ; et de façon à ce que chacun de mes malades ait son épisode, classé. (ibid. F°428)
Le chapitre n’est possible que si j’ai réservé tous les épisodes de mes malades. (ibid. F°429)
Puis, l’épisode de l’entrée, avec madame de Jonquière et madame Désagneaux qui s’exclament en voyant Marie guérie. (ibid. F°454)
Je voudrais après cet épisode des Vigneron, qu’elle [Mme Volmar] se heurte dans Pierre qui rentre chez lui. (ibid. F°487)
Tout ceci doit se passer de bon matin, car je voudrais en arriver à cet épisode. (ibid. F°487)
Et des détails sur les épisodes du voyage, sur l’abbé Des Hermoises. (ibid. F°489)
Comme épisode particulier, il faut que je fasse [aller biffé] retourner M. de Guersaint chez le coiffeur Cazaban (…). (ibid. F°506)
Pour finir par Appoline et le nouveau Lourdes, j’ai envie de rejeter à l’autre chapitre, celui du départ, les adieux à la Grotte et l’épisode du Commandeur. (ibid. F°507)
Premier épisode, auquel Pierre est mêlé. (ibid. F°512)
Mais surtout l’épisode du mariage de Raymonde et de Gérard. (ibid. F°513)
Ensuite Pierre revient vers les dames hospitalières, et l’épisode de madame Dieulafay, [dans le com biffé] qu’on montera (à la fin) dans le compartiment, près de celui de Raymonde. (ibid. F°515)
Et il [le Commandeur] voit Marie guérie, car [la for biffé] l’épisode est là. (ibid. F°519)
D’abord, j’ai l’épisode du Commandeur à régler, qui me gêne. (ibid. F°523)
Je pourrais donc mettre l’épisode du Commandeur à la fin de ce chapitre. (ibid. F°526)
Enfin, j’ai le départ du train, avec tous les épisodes. (ibid. F°526)
L’épisode de Mme de Jonquière et de sa fille Raymonde avec Gérard et [les biffé] Berthaud. (ibid. F°526)
Puis l’épisode de Mme Vincent. (…) Et son épisode doit se poser avec Marie, Pierre et M. de Guersaint. (ibid. F°533)
Et enfin l’épisode de M. Sabathier, avec M. de Guersaint surtout et Pierre. (ibid. F°537)
L’épisode de la Grivotte n’arrive donc qu’après la prière du soir, quand la nuit est tombée. (ibid. F°539)
Poitiers est à 5 heures. Il faut que j’y fasse descendre Sophie Couteau [en interligne : son pied]. (…) Un petit épisode – (ibid. F°548)
Mais surtout l’épisode où Mme Vincent se réveille en sanglotant (…). (ibid. F°549)
L’épisode central est celui que me donnent Marie et Pierre. (ibid. F°550)
Un épisode à Angers : l’interne Ferrand vient le soigner, appelé par Pierre. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 52 – Notes sur l’Homme) === Travail (1901) === Cela me donnerait des épisodes intéressants, un fond de tableaux envieux (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 385/38-386/39
Mes épisodes sont (…) Et l’épisode du vol d’un pain (ibid., F°432)
ÉPITHAPHE (type d’inscription lapidaire) === Le Rêve (1888) === Les tombeaux des jeunes mortes heureuses, les épitaphes (…) Angélique lit l’épitaphe (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan du chapitre X, f° 140) ==== ÉPOUVANTABLE ==== === Lourdes (1894) === Mais surtout mettre ce défilé épouvantable dans l’admirable paysage de Lourdes, à huit heures par le soleil. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°252)
Séjour au lit l’écorchant [Bernadette], endolorie, saignante. Carie des os du genou qu’elle ronge, élancements épouvantables. (ibid. F°576)
Luxation de la hanche droite [en interligne : Joachime Dehaut [sic]]. (…)
Crise épouvantable, cris inarticulés, ses os craquent partout. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 156-157 – Notes sur les Miracles)
La carie des os donnait au genou qu’elle ronge des élancements épouvantables. – (ibid. Fo 266 – Notes sur H. Lasserre)
==== ÉPREUVE ==== === Lourdes (1894) === Mais le médecin attend l’épreuve du temps. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 164 – Notes sur les Miracles)
==== ÉPROUVER ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === La lueur du jour de la sortie, et le sentiment qu’on éprouve quand on sort. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°302) ==== ÉQUILIBRE ==== === Le Rêve (1888) === Le livre lui-même peut revenir. Elle l’a emporté, elle en lit. C’est pour faire équilibre (MS NAF 10323, Le Rêve premier plan du chapitre XII, f° 168) ==== ESPACER (S’) / ESPACE ==== === Le Rêve (1888) === Espacer et expliquer le travail de l’or nué (MS NAF 10323, deuxième plan détaillé du chapitre IV, f° 82)deuxième plan détaillé du chapitre VI f° 82) === Lourdes (1894) === Régler les dates de tout cela, de façon
à ce que les faits s’espacent logiquement. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s91-92)
=== Travail (1901) === Si j’ai cinquante-cinq ans d’espace, je puis les marier à 23 ans et 18 ans (F°405) ==== ESPRIT ==== === Lourdes (1894) === D’ailleurs, je crois que tout mon sujet [de biffé], mon prêtre voulant réconcilier l’église et l’esprit moderne, peut très bien s’organiser autour de cette passion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°7)
Pour accepter la vie avec la science seule, avec le mâle courage du vrai, sans espoir de compensations futures, il faut être un esprit élevé, cultivé, absolument brave. (ibid. F°11)
Il faudrait un homme qui (…) fût contre la superstition, qui la trouvât mauvaise pour l’esprit (…). (ibid. F°72)
Dans « Rome » il pourra essayer une tentative de concilier la foi avec l’esprit moderne ( de Voguë) et il échouera encore. (ibid. F°94)
[en interligne : il [Pierre] a toujours réfréné en lui l’esprit d’examen sur le conseil de ses professeurs.] (ibid. F°150)
La contagion, le [Pierre] mettre dans un état d’esprit qui permette la lutte en lui pendant les chapitres qui vont suivre. (ibid. F°191)
==== ESQUISSE ==== === Lourdes (1894) === Prenez ces esquisses, les premières notes, comme
une première impression. Ensuite, on peut étudier, et des cas ont été étudiés (?) (273). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 164-165 – Notes sur les Miracles) ==== ESSENCE ==== === Travail (1901) === Donc lutte, elle est d’abord, d’essence, avec la verrerie capitaliste (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 388/41) ==== ESTHER ==== (personnage de l’Ancien Testament) === Le Rêve (1888) === Angélique (…) C’est Esther aux pieds d’Assuérus (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 132)
Je voudrais quelque chose comme Esther devant Assuérus, dans un autre sens : O mon souverain roi…Quelque chose de mystique et de légendaire (ibid., premier plan du chapitre X, f° 138) ==== ESTHÉTIQUE ==== === Lourdes (1894) === Ce qui me déplaît surtout, c’est la laideur esthétique de leur religion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°44) ==== ESTRADE (Jean-Baptiste) ==== Témoin oculaire des apparitions de la Vierge à Bernadette Soubirous et auteur d’un récit : Les Apparitions de Lourdes : Souvenirs intimes d’un témoin. === Lourdes (1894) === M. Estrade, le receveur des contributions, qui avait assisté au 1er interrogatoire, chez Jacomet. Il va assister à l’apparition. Son récit (107). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 239 – Notes sur H. Lasserre) ==== ÉTABLIR (S’) ==== === La faute de l’abbé Mouret (1875) === La tombe d’Albine ? Je mettrai à côté du cimetière une sorte de précipice, ou plutôt je l’établirai au bord d’un grouffre [sic], qui évitera de le border d’un mur. – Le cimetière va un peu en pente. Puis, derrière l’église, je mettrai le presbytère. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, L’Eglise, Les Artaud – le Presbytère, f° 108) === Nana (1880) === En tous cas, Muffat viendrait nuittament (sic), deux ou trois fois, et je finirais d’établir la liaison de Juillerat et de la comtesse. (NAF Ms. 10313, Nana. F°64- Plan). === La Terre (1887) === C’est là que j’établirai la part du socialisme dans l’œuvre. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 402/3- Ebauche) === Le Rêve (1888) === Et c’est ici le caractère de la jeune fille à établir (MS NAF 10323 Le Rêve, Ebauche, f° 242/26) Et j’établis en elle la lutte effrayante (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI f° 145) === Lourdes (1894) === J’en ferai un anarchiste par exemple, un autre Souvarine, et je voudrais dès lors que la lutte s’établît entre lui et son frère. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
A quelle époque a été établi le dogme de l’Immaculée conception ? (ibid. F°63)
Alors, montrer Pierre établissant l’analyse. Le grand coup moral qui a assommé Chassaigne. (ibid. F°260)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : les certificats pas mensongers [en interligne : difficulté du diagnostic], mais mal établis, par l’ignorance fatale (…). (ibid. F°285)
La douleur qui l’a [Chassaigne] foudroyé : cela me sert à établir cela de nouveau. – (ibid. F°383)
Et la comparaison (…) qui va s’établir entre eux [Pierre et le père Massias]. (ibid. F°451)
Bien établir tous ces détails de l’Hospitalité – (ibid. F°511) ==== ÉTALER (S’) ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === Cette rivalité me donnera un thème assez important pour étaler la poissonnerie en face de la charcuterie.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f°s 75-76) === Nana (1880) === Et cela en plein triomphe, lorsqu’elle peut tout sur les ruines qu’elle a faites. Voir si là on ne doit pas étaler ces ruines. Oui (NAF Ms. 10313, Nana. F°159- Plan). === Lourdes (1894) === Puis, après avoir bien étalé cela, le besoin immense de consolation, d’espoir, d’illusion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°39)
Je puis surtout les réserver, ne
les avoir que nommés dans les autres parties, et les étaler là devant la Grotte. (ibid. F°s426-427)
L’espoir toutes les maladies qui s’étalent en récit dans ce train roulant, cet hôpital en marche. (ibid. F°601) ==== ÉTAPE ==== === Lourdes (1894) === Devant la Grotte plus tard, il [Pierre] s’humiliera, il tâchera de croire, et il [n’ir biffé] ne réussira pas. A la fin, il n’aura pas réussi. Trois étapes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°158) ==== ÉTAT ==== === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Deuxième morceau, à la fin du chapitre. Conversation avec Dieu, montrer plus intimement les fruits de cet état d’esprit. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Extraits de L’Imitation, f° 34)
Songer à montrer le tout dans des états différents. (en fleurs, en fruits.) (ibid., La Bible, f° 65) === Nana (1880) === Cependant, il la mit dans un tel état qu’elle finit, comme d’habitude, par se déshabiller et se coucher en pleurant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°94- verso)
Donner des détails sur l’état de fortune des Muffat. (ibid. F°97).
[Estelle Muffat] (…) une fille laissée à l’état enfantin. (NAF Ms. 10313, Nana. F°190- Personnages). === Lourdes (1894) === Je puis donc finir « Lourdes » sur cette question anxieuse que se pose mon prêtre. Il ne la résoudra
pas, il la laissera à l’état d’inquiétude (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s3-4)
Et j’arrive à mon prêtre battu, n’espérant plus rien. Etudier son état d’anéantissement. (ibid. F°14)
L’anarchiste peut ne pas savoir l’état exact de l’esprit de son frère et le croire un catholique pratiquant. (ibid. F°16)
Le moment historique fixé, où en sera notre troisième république, et surtout l’état très net de la question sociale. (ibid. F°23)
C’est l’état de la question du catholicisme à notre [état biffé] fin de siècle, ce qu’il tâche d’admettre démocratie, de socialisme et de science. (ibid. F°50)
Etat désespéré, [Marie] condamnée par tous les médecins. (ibid. F°152)
La contagion, le [Pierre] mettre dans un état d’esprit qui permette la lutte en lui pendant les chapitres qui vont suivre. (ibid. F°191)
Une irrégulière de l’hystérie en somme. L’état mental d’une hystérique [Bernadette]. (ibid. F°208)
L’état actuel de Chassaigne, comment il y est arrivé et les raisons qu’il peut donner. (ibid. F°276)
Elle [Marie] ne peut communier dans cet état de révolte. (ibid. F°297)
L’opposition des deux états de Lourdes. (ibid. F°357)
Enfin l’état de cette foule où l’on parle couramment de miracles. (ibid. F°434)
L’entraînement depuis trois jours (…) ; enfin l’état de cette foule où l’on parle couramment de miracles. (ibid. F°444)
Voilà dans quel état on laisse les créateurs de la Grotte. (ibid. F°472)
Voilà dans quel état on laisse les créateurs de la Grotte. (ibid. F°479)
N’est-ce pas dangereux et ladre de laisser vivre la superstition ? Ne faudrait-il pas plutôt en opérer violemment l’humanité, au lieu de la laisser dans cet état
de faiblesse (…). (ibid. F°s582-583)
Ce singulier état, les républicains déblatérant, puis s’inquiétant, vous regardant dans les yeux, dès
que vous faites chorus avec eux. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 105-106 – Notes sur Cazaban)
A la luxation a donc
succédé un état névropathique. Le grand médecin comprend donc que la cause première a dû disparaître, l’état organique s’améliorer, et qu’il n’y a plus qu’un état nerveux, consécutif ; – avec accident de la nutrition.– (ibid. Fos 117-118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Il [le grand médecin] comprend (…) qu’il ne reste qu’un état névropathique. (ibid. Fo 119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Après plusieurs années, état cachectique, diarrhée, amaigrissement extrême. (ibid. Fo 127 – Notes sur la maladie de Madame Dieulafay)
Etat cachectique, pâleur du visage, teinte terreuse de la peau. (ibid. Fo 129 – Notes sur la maladie de Gustave Vigneron)
Etat de Bernadette. (ibid. Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)
Son état depuis les apparitions : va-et-vient perpétuel de santé chancelante et de maladie très aiguë. (ibid. Fo 266 – Notes sur H. Lasserre) ==== ÉTAT CIVIL ==== === Lourdes (1894) === Le personnage pourrait me servir plus tard, pour Rome, et pour Paris. – Mais c’est son état civil qui me gêne. Je répugne à en faire encore un médecin, à cause du docteur Pascal. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°73) ==== ETC. ==== Clôt souvent une esquisse de liste, un début d’ énumération dont la totalité a déjà été dite, ou prévue, ou en attente dans les notes ou dans un document, ou une fiche biographique concernant un personnage. ===Le Ventre de Paris (1873) === Il me faut l’idylle parisienne, très pimentée. La petite marchande est une rouée. Sa mère la bat, etc. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 71)
La marchande de fruits, par exemple, jolie blonde, charmante fille au milieu de ses fraises, de ses cerises, etc. aura un amant ou des amants qui lui mangeront tout.( ibid., f° 73-74)
Mes femmes, ma marchande de beurre, ma marchande de fruits, etc., vont de la belle Lisa à la belle Nanette.( ibid., f° 76)
je préfère garder les sergents de ville, la rue de Jérusalem, etc., pour un autre roman.( ibid., f° 78)
Ma fermière (…) est veuve, elle mène la ferme, etc. Type du travail aux champs. (ibid., f° 79)
Elle habille Florent avec les guenilles des Quenu, qui est plus petit. Etc. Etc. (ibid., f° 98)
les morceaux d’oie, de dinde, etc. (ibid., f° 103)
Claire, blonde, effacée, etc. (ibid., f° 106)
Son potager, etc. ( ibid., f° 107)
Le quartier assaini, etc. (ibid., f°117)
Chaque matin il y vient 6000 voitures, 800 bêtes de somme, puis des charettes à bras, des hottes, etc. (ibid., f° 118)
Primeurs, fleurs, etc. (ibid., f° 122)
On voit des caporaux avec leurs soldats, des religieux, des cuisiniers de collège, des restaurateurs, etc. (ibid., f° 123)
Les cheveux sont étiquetés ; anglaises, chignons, cache-peigne, frisures etc. dans des boîtes, pendus, etc. (ibid., f° 136)
Epiceries, cordonneries, pâtisseries, draperies, chapelleries, etc. (ibid., f° 136)
Aux Fabriques de France ; grande maison de conserves alimentaires, etc. (ibid., f° 137)
Marchd de vieux papiers ; marchd de ficelles, etc. (ibid., f° 138)
tout autour plates bandes avec arbres verts, rhodendrons, etc. (ibid., f° 139)
moules, friture, gras-double, etc. (ibid., f° 142)
D’un côté les bijoux d’argent : les montres […] ; puis sur la glace les tabatières (…) et surtout les dés étagés. De l’autre côté les bijoux d’or : les chaines (…) puis (…) enfin des bijoux, chaines, bracelets, etc. (ibid., f° 163)
Tas de salade, chicorées, scaroles, etc. (ibid., f° 167)
voici ce qu’on voit avant le jour. D’abord sur le trottoir de la triperie le marché au laurier, à l’ail, à l’échalotte, etc.(ibid., f° 170)
En haut, un employé qui écrit, un autre en-dessous. Puis le crieur, etc. (ibid., f° 179)
La viande arrive donc par les camions dans des paniers :veaux entiers, moutons entiers (…), quartiers, etc. (ibid., f° 181)
Au-dessus, les cuillers, les écumoires, etc.(ibid., f° 186)
la charcuterie courante, la charcuterie fraîche, les jambons, les patés de foie, les petits salés, les galantines, etc. (ibid., f° 189)
Au bout étagère, où il y a du lard, des saucissons etc. (ibid., f° 192)
il a passé la journée à courir fou dans Paris, sans fusil, etc. (ibid., f° 200)
Barricades sur les boulevards Bonne Nouvelle, Poissonnière, etc. (ibid., f° 201)
Riz avec des vers, viande fraîche pourrie, haricots immangeable*, etc. (ibid., f° 208)
Indiens tatoués, avec boucles dans le nez, etc. (ibid., f° 210)
C’est la plèbe. Pas de moralité, pas d’honnêteté, toute l’écume de Paris. Un bon tiers de repris de justice, le reste des déclassés, des goujats, etc. (ibid., f°220/4)
La Préfecture de police a des inspecteurs, des commis aux écritures, des commis vendeurs, etc., etc. qui contrôlent de la même façon. (ibid., fo 224/8 – 225/9)
Les bureaux des receveurs, gardiens, etc., sont très sombres par les temps gris. (ibid., f° 299) === La Conquête de Plassans (1874) === Tableau de l’intérieur ; il refuse le luxe à sa femme, etc. (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 19)
Donc une brouille, incompathie d’humeur, etc. (ibid.F°20)
première période, sa soumission et sa tendresse pour son mari. Puis révolte contre son avarice, sa froideur,etc. Et enfin (…) chûte dans la religion (ibid.F°22)
J’ai un ou deux jeunes abbés, l’abbé brave homme, l’abbé légitimiste et politique, etc. (ibid. F°23)
Le sous-préfet, le maire à l’incendie, avec les pompiers, etc. (ibid.F°26)
M. Delangre rêve de la candidature, etc. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
Mouret très honnête homme, etc. (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 34) === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Or, j’ai toute la nature, les végétaux, arbres, herbes, fleurs, etc, les oiseaux, les insectes, l’eau, le ciel, etc. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 3) \\Je puis faire de frère Archangias son ennemi, parce que l’oncle n’a pas voulu l’envoyer à l’école, etc. (ibid., f° 6)
Ainsi de l’oncle de Blanche, je puis faire un athée ridicule, un vieux bonhomme enfoncé dans Voltaire, etc. (ibid., f° 9)
Il n’y va jamais dans le jardin [sic], les fenêtres de Blanche y donnent seules, etc. (ibid., f° 9)
J’ai envie de faire du bedeau une vieille femme, qui sonne la cloche, balaie l’église, sert la messe les jours ordinaires, etc. (ibid., f° 14-15)
Il ne peut veiller sur son enfant, qu’on lui prend, etc. (ibid., Les personnages, f° 16)
(Revenir sur la ressemblance des parents, ils s’aiment tout physiologiquement, etc.) (ibid., f° 16)
Pascal parlera de son père à Serge, etc. (ibid., f° 17)
Elle a été élevée à la campagne, idiote, etc. (ibid., f° 17)
C’est une paysanne carrée, vieille, avec de la barbe, boiteuse, normande jusqu’aux ongles, égarée dans ce peuple patoisant, etc. (ibid., f° 18)
Ne pas oublier les dîners chez le doyen, etc. (ibid., f° 19)
Premier morceau. Serge livré à l’humilité, la simplicité, la pureté, le mépris du monde, la défiance de la nature, la patience, etc. Chrétien et catholique parfait. (ibid., Extraits de L’Imitation, f° 34)
Troisième morceau. A la troisième partie. Lutte, etc. (ibid., f° 34)
Serge ne lutte que lorsqu’il est éprouvé ; la grâce a fui, l’amour de la créature, de la nature, etc. 3e partie. (ibid., f° 39)
Toujours des épisodes, ils se baignent les pieds, les 4 riv. etc. (ibid., Le Paradou, f° 45)
Et elle plaide toutes les joies du défendu. Ce n’est pas vrai, d’ailleurs, c’est permis. Tout pousse à cela, etc. (ibid., f° 46)
Albine est là seule, ne rien faisant [sic] (Elle est devenue plus grave, son autre portrait indiqué, Serge ne la reconnaîtra pas, il aura un sourire, dira : Oui oui, c’est vous. (Mais après la venue de l’oncle. L’oncle Pascal arrive. Conversation qui dit tout. Quand il sera plus fort, nous discuterons. Serge retombe en enfance (Jeanbernat, la Teuse, etc. ) (ibid., f° 61)
Réveil de Serge, sa première conversation avec Albine (c’est vous, etc.) (ibid., f° 61)
Morceau pour expliquer le néant d’où il sort. La maladie, la fièvre, etc. (ibid., f° 62)
Il est chassé de l’Eden, il mourra, souffrira, enfantera dans la douleur, etc. (ibid., f° 64)
L’idée d’expérience etc., arranger cela. (ibid., La Bible, f° 66) === Nana (1880) === Neptune. Pluton. Appollon. Minerve. etc. (NAF Ms. 10313, Nana. F°4- Plan)
Le boulevard servant de fond. Le contrôle, etc.
Le monde des 1ères représentations. La critique les journaux, les habitués, etc. (ibid. F°7)
« Comment appelles-tu ce monsieur qui a changé de place etc. » La salle.
La Faloise s’est plantée (sic) à l’entrée du couloir, l’encombrement etc. (ibid. F°9)
Tapissiers, marchands de chevaux, etc. (ibid. F°21)
Courte conversation. Qui est-ce qui paie le dîner ? etc. (ibid. F°27)
Mais Muffat respecté, très digne, etc. (ibid. F°31)
Embarrassés, etc. (ibid. F°41)
Tout le personnel du théâtre. Bordenave, etc. (ibid. F°55)
Cueille les légumes, sèment, plantent, etc. (ibid. F°64)
Eh bien et moi; des bouderies, etc. (ibid. F°70)
« pas possible ce soir, mon chéri, etc., etc. (ibid. F°74)
Le soir Fontan à qui Nana parle de la pièce, la blague, etc. la décourage. Rôle trop fort. Etc. (ibid. F°82)
Il offre un hôtel, une rente, etc. (ibid. F°95)
Une scène dans une loge donnant sur les vitrages du passage: l’horizon, description; la tranquillité, le soleil, etc. (ibid. F°96)
Les désirs fous, le lit etc. (ibid. F°97)
C’était avenue de Villiers etc. (ibid. F°98)
La plaie. Clarisse. Simonne. Lucy etc. (ibid. F°100)
La dépense, la toilette, etc. (Laporte, 18.). (ibid. F°104)
Les jockey (sic), les chevaux, etc. – (ibid. F°122)
les sergent (sic) de ville, etc. (ibid. F°122)
L’orchestre, les valses etc.
Dis donc, peut-on coucher, etc. (ibid. F°133)
Des notes de charbonnier, de bottier, etc. la tourmente. (ibid. F°139-140)
Finir les personnages: Labordette, le marquis de Chouard, Francis etc. (ibid. F°160).
Elle roule dans tous les lieux de plaisirs commodes (…), va canoter à Asnières, se traîne dans les bals des boulevards extérieurs, dans les hôtels garnis, fait le boulevard le soir (…), etc. (NAF Ms. 10313, Nana. F°193- Personnages)
Il est d’un grand cercle, etc. (ibid. F°202).
Une représentation et c’est là où je mets le prince derrière la toile, le théâtre avec les loges des actrices etc. (NAF Ms. 10313, Nana. F°222- Ebauche)
Nana le console, etc. (ibid. F°230)
« Mon petit, tu sais, ça m’embête » et elle retournera à ses brasseries, etc. (ibid. F°235)
il achète aux filles leurs chevaux ; etc. (ibid. F°236).
Le monde des bonnes, etc. au dessous de la grande cocotte. (NAF Ms. 10313, Nana. F°252/1- Notes)
Gaspillage d’argent, de vie, etc.
Garçon ayant mangé sa fortune avec elle (sic), gagnant sa vie à la Bourse, les baisant, leur rendant des service (sic), spectacle (sic), etc. -(ibid. F°253)
Elle se tient là. Marbre, cuvette d’argent, etc. (ibid. F°256/5)
On prend rendez-vous pour dîner, etc. (ibid. F°257/6)
chapeaux, lingerie, etc. (ibid. F°257/6)
Au théâtre ou dîner, etc. (ibid. F°260/9)
On le prend pour monter la maison les chevaux. Il est brave, etc. (ibid. F°261/10)
Jeune, très dégoûtantes, ne pensant pas à l’avenir, etc. (ibid. F°262/11)
Je viens d’acheter une campagne à ma mère à Asnières. Oh ! ma bonne mère, etc. » (ibid. F°278)
Schneider prétentieuse, jouant son rôle de grande duchesse : Votre Altesse, etc. (ibid. F°279)
Les cavaliers sur la pelouse 3 1er la pelouse piéton, voitures et cavaliers, piste herbe, et enceinte du pesage comprenant tribune, etc. (ibid. F°286-287)
L’habilleuse familière, riant, etc. (ibid. F°314)
Un grand comptoir de tailleur, des vêtements dans des cases; le côté curieux de toute cette défroque, etc.
La scène, les rampes, les acteurs attendant derrière une coulisse, etc. (ibid. F°315)
Échelles, etc. (ibid. F°324)
Éventail en l’air, avec gaz. Montre. Enseigne Dîner du commerce, etc. (ibid. F°328). === Au bonheur des dames (1883) === On pourra deviner leur vie [des clientes], faire des conjectures etc (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 19) \\Tout le petit commerce. Repas etc (ibid., f º 25) === La Terre (1887) === Comment il [Jean Macquart] couche avec Louise. Elle sachant tout, les bêtes, etc. et voir si ce n’est pas elle qui le forcera. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 431/32- Ebauche) (ibid., f° 431/32)Louise, la fille du mère [sic] et la fille du braconnier sont les trois jeunes filles amies, filles de la vierge, etc. Les faire traverser l’action et les finir. Comment il [Jean Macquart] couche avec Louise. Elle sachant tout, les bêtes, etc. et voir si ce n’est pas elle qui le forcera. (ibid., f° 431/32) === Le Rêve (1888) === Il lui faut une éducation rudimentaire,
l’histoire sainte, le catéchisme, etc. (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 226/10)
la femme n’est que la bonté passive, le devoir, etc.(ibid., f° 230/14)
Mettre tout [sic] l’histoire de l’évêque, les Hautecoeur.Les légendes exposées, le fils de l’évêque qui est revenu etc.( ibid., f° 51, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou Plan)
Tout le quartier dans le plan. Rue des Orfèvres, etc. (ibid., Plan, f° 15, Premier plan du chapitre I) \\Enfin faire que les Hubert aient le livret, qui leur explique tout : nom, date de dépôt, numéro matricule (…), etc. (ibid., Chapitre I, deuxième Plan détaillé f° 7)
(…) Les fleuristes, elle y a été assez heureuse, sauf que, etc. (ibid., f° 8)
(…) l’orfèvre en face et la librairie pieuse, à côté le cirier (…) etc. (ibid., f° 17) \\En outre influence du travail des broderies (…) mais surtout l’influence du milieu, travail, régularité, claustration, etc.(ibid., Premier plan détaillé du chapitre II, f° 25)
les légendes exposées, le fils de l’évêque qui est revenu, etc.( premier plan du chapitre III, f°51)
Voir la note sur les vitraux pour les couleurs etc., l’époque, etc. (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 71)
Cette aventure qu’elle rêvait, etc. (ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 73)
Qui elle est, son travail de brodeuse, les Hubert, la maison etc. (…)on vient beaucoup dessiner là le château, le moulin, etc.
Le dehors aussi
qui revient, la cathédrale, le clos, etc. (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII f°s 94-95)
rappeler la procession du miracle, les seigneurs d’Hautecoeur, etc. Beaumont- L’Eglise (reprendre) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
S’il faut que Félicien désobéisse à son père etc (ibid., plan du chapitre IX, f° 123)
Donc faire revenir l’éducation avec la pudeur qui s’éveille sans doute, la broderie qui est là, etc. (…) Un morceau, l’anneau d’Agnès, la tour de Barbe, les couronnes de roses de Cécile, le lait qui coule des blessures, etc. (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
Elle s’éveille, son cri, etc. (ibid., premier plan du chapitre XII, f° 166)
Montrer surtout une dernière fois le milieu, les voix, etc. (ibid., premier plan du chapitre XII, f°s 167-168)
La chambre (…) la table, etc. Mais, surtout,
Angélique dans son grand lit (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f°s 170-171)
La cérémonie (…) La petite table, les cierges, etc. toute la cérémonie exacte (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 176)
La chapelle des Hautecoeur dédiée à Saint-Georges doit revenir. Les tombeaux, le vitrail, etc. (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)
Et toutes les qualités nobles de la jeunesse, croyant, loyal, délicat, etc. (ibid., f° 202)
Peintre verrier, ouvrier primitif, s’intéressant au métier, au four, etc. (ibid., f° 203)
Je voudrais une légende ou plusieurs avec Irénée, Gudule, Yvonne, Autriberthe, etc. Et Paule à Paris (ibid., f° 266- Notes Hautecoeur ) === Lourdes (1894) === Cela n’entrave pas le mouvement de la science, mais expliquer comment cela se produit. Le moment politique aussi, Léon XIII, le socialisme religieux, etc. – (NAF MS 1455 Lourdes, Deuxième ébauche, F° 41)
Il veut un idéal plus humain, du bonheur sur cette terre, le partage des richesses, il a un besoin immense de justice : de là le socialisme actuel, les collectivistes, etc. (…). (ibid. F° 52)
Le petit brancardier, un peu poseur, guêtre, etc. Il vient depuis trois ans à Lourdes avec la pensée de s’y choisir une femme. (ibid. F° 102)
Ce [f biffé] wagon où l’on fait tout, manger, dormir, etc. (ibid. F° 139)
Aumônes. Souscriptions. 50 fr. pour un malade, etc. (…) Relire le départ du train blanc, de Paris. Toutes les heures et tous les détails y sont, cantiques, prières, etc. Organisation (ibid. F° 145)
Et l’interrogatoire. De quel village est-elle [Sophie Couteau], près [d’Angers biffé] de Poitiers, quel est son père, sa mère. Plus tard, le médecin, etc., le curé. (ibid. F° 192)
Surtout, on vient pour les guérisons.
Mais faire la part de ceux qui viennent demander la conversion de quelqu’un, etc. dans un but moral. (ibid. F°s 200-201)
Et tout de suite Bernadette à Bartrès (…), comment elle s’y trouvait chez une nourrice à l’aise. Pauvreté de ses parents, etc. (ibid. F° 204)
Les paroles répétées, elle [Bernadette] les avait entendues. Où ? (Salette, etc.). (ibid. F° 207)
[Bernadette] Une dégénérée, une enfantine (charmante, honnête etc.) (ibid. F° 208)
Et une description de la gare d’après mes notes. Buvette, brancardiers, bancs, horloge éclairée, salles d’attente, etc. (ibid. F° 223)
Tout le wagon vidé, [emmene biffé] les malades emmenés par les hospitaliers, empilés [par biffé] dans des voitures, etc. (ibid. F° 234)
Tous les détails, la façon dont on procède pour les malades : les pancartes, les lits, les numéros d’ordre, etc. – (ibid. F° 244)
Description de la salle, peinte en blanc, mur, fenêtres, etc. Les 20 lits. (ibid. F° 244)
Jeunes filles du meilleur monde, en tablier blanc, avec la médaille etc., servaient les malades. (ibid. F° 255)
Les plaies d’origine nerveuse [en interligne : la foi qui guérit. Phénomène de la nutrition.], etc. (ibid. F° 282)
Tous les autres personnages sont revenus : Bonamy, Dargelès, Raboin, le journaliste de Paris, etc. (ibid. F° 282)
Mauvaise installation, organisation défectueuse, aucune certitude vraiment scientifique, contrôle nul, etc. (ibid. F° 292)
Toute la salle Sainte-Claire, la nuit. (…) Les odeurs, les malades satisfaisant leurs besoins. Les uns dormant, les autres se plaignant, mangeant, etc. (ibid. F° 304)
Tous les personnages historiques, l’abbé Peyramale, l’évêque Mgr Laurence, le baron de Musy, le commissaire Jaconnet, etc. – (ibid. F° 309)
J’aurai une autre scène au 1er chapitre de la 5ème. Mme Volmar pleure, etc. – (ibid. F° 319)
L’entassement dans les hôtels, couloirs, promiscuité, etc. (ibid. F° 328)
Des saucissons, des jambons, etc., des pains. La soupe, le café. Un grouillement énorme tout le monde à table – (…) Tout le plateau de la Merlasse, tel que je l’ai vu : boutiques avec les enseignes (?), buvettes sous les tentes, etc. – (ibid. F° 332)
Si j’ai de la place, je donnerai là un peu de l’ancien Lourdes. Le moulin de Bernadette, le Lapaca, etc. (ibid. F° 334)
Ce sera très bien, cette promenade à cinq, avec ces deux dames, en toilette claire, avec leurs ombrelles. Quelque chose de mondain, de très joli, pour faire opposition à l’hôpital, etc. – (ibid. F° 343)
Le nouveau Lourdes, buvettes, enseignes etc. (Eb. 163). Les anciens usages, (…) les dons etc. (ibid. F° 349)
Les pères de la Grotte, histoire (G.B. 187). Expédition de l’eau, etc. (188). (ibid. F° 350)
Il [le baron Suire] [a biffé] fait visiter la Grotte [en interligne : (M.V. 107)] à Pierre : tout l’intérieur décrit, les cierges, les ustensiles, la roche que l’on baise, les lettres qu’on jette [en interligne : M.V. 79], l’argent, etc. (ibid. F° 367)
Quelqu’un peut être là, le baron Suire, et lui donner les détails, la Grotte par tous les temps, l’hiver, etc. (ibid. F° 375)
Et le morceau de ce que seraient devenues
les choses, si elle [Bernadette] avait eu le tempérament d’en prendre la direction. Qu’on s’imagine. etc. – (ibid. F°s 386-387)
Dès le premier moment, la pensée de faire de la Grotte une puissance (…). Les constructions, etc. (…) Le montrer, lui [Peyramale], curé fervent de Lourdes, aimant sa paroisse, sa ville, et voulant que la Grotte soit une dépendance de la paroisse (on y viendra en procession, etc.). (ibid. F°388)
Et finir par tous les travaux faits, à la Grotte, les pèlerins, la crypte, la Basilique, le Rosaire, les rampes, l’Abri, les jardins, les quais, le pont. etc. (ibid. F° 389)
Je pose la Grotte tout d’abord, avec ses cierges qui brasillent, ses bouquets, etc. (ibid. F° 415)
Et le cortège [en interligne : sacré] dans l’immense encens du domaine de la Vierge. Le château, les collines, la basilique, les rampes, etc.. (ibid. F° 449)
La Crypte et la Basilique (éb. 118). Avec le Rosaire et les rampes 4 millions. Avec le pont, le quai, l’hôpital du Salut, etc., 6 millions. – (ibid. F° 467)
La Basilique tout à l’heure si éclatante de lumière, si débordante de foule, emplie d’encens et de cantiques. Et ici la ruine, les pierres mangées, etc. (ibid. F° 475)
Pour que Pierre soit mêlé, le mieux est de faire qu’on l’appelle, quand on trouve Mme Chaise agonisante ou morte, pour [l’ex biffé] la confession, etc. – (ibid. F° 486)
Mais la conversation, M. de Guersaint racontant son excursion, décrivant le Gave (…), les montagnes, etc. Gavarnie surtout. (ibid. F° 489)
En sera-t-il de même pour Lourdes ? Ce qui fait penser que cela durera : la bonne foi, la grâce, etc., etc. (ibid. F° 496)
L’ancien Lourdes avec Barbet, etc., (éb. 191) – (ibid. F° 509)
Le nouveau Lourdes, buvettes, mangeaille, etc. (éb. 163[)]. (ibid. F° 509)
Les brancardiers sont là (…). Des brancards, de petites voitures, des coussins, etc. (ibid. F° 510)
Ils [Berthaud, Gérard et le baron Suire] s’assurent que le train est bien là, etc. (ibid. F° 511)
L’idée que cette vie est une dure épreuve, la fait prendre en haine ; et la paralysie de la volonté, le dégoût de l’action, l’abandon à la tyrannie, etc. (ibid. F° 526)
La description reprise, les malades et les pèlerins, les deux sœurs, madame de Jonquière [et s biffé] etc. (ibid. F° 533)
[en interligne : Ce sont des détails du wagon qu’elle revoit et lui donnent la crise. Je l’avais encore, elle s’appuyait là, etc.] (ibid. F°534)
Et elle [la Grivotte] s’évanouit, elle râle. La face redevient livide. La faiblesse, la toux, etc. (ibid. F° 539)
On tâche de consoler Mme Vincent, et ce qu’elle répond. Oui, son mari est mort, sa fille est morte. Elle va se remettre au travail. Etc. (ibid. F° 557)
Mais Bernadette aussi est de la souffrance. C’est elle la victime, la sacrifiée, l’escamotée, la femme malade etc. (ibid. F° 564)
Tenir compte de ceux qui viennent dans le but de demander la conversion de quelqu’un, etc., dans un but moral. (ibid. F° 565)
Si elle [Bernadette] [el biffé] avait été une dominatrice (…), elle serait devenue là-bas prêtresse, papesse, etc. (…) Ne pas oublier sa réponse à un prêtre qui avait assisté au Couronnement de la Vierge, en 76, vers la fin, et qui revint lui rendre compte de la splendeur des cérémonies, 35 évêques, etc. (ibid. F° 574)
Ce qu’il [Pierre] a dit dans le bureau des constatations, le relire. « Non, non ! si l’on ne sait pas tout, ce n’est pas un argument, etc. » Son credo. – (ibid. F° 584)
Je la [Bernadette] montre ce qu’elle aurait été, pas heureuse certes, mais vivante. Retour à Bartrès, mariée avec des enfants, etc. (ibid. F° 591)
Marguerite Bobe, très faible, paralysie. Crise d’étouffement. Dans la piscine, en sort pleine de force et de santé. Fait des kilomètres etc. (255). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 140 – Notes sur les Miracles)
L’histoire de Lourdes a été écrite en entier par des médecins. Dozous, Vergez, ou St-Maclou, etc. (ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Moelle, paralysie, etc. (ibid. Fo 177 – Notes sur les Miracles)
Elles [les sœurs] ont des lampes à esprit de vin, elles y font du café, etc. qu’elles distribuent ensuite aux malades. (ibid. Fo 184 – Notes sur le Départ de Paris)
Au moment du départ, on enlève les guidons blancs qu’on met dans le fourgon, et on y met aussi tout le matériel des hospitaliers, les brancards, les courroies, etc. (ibid. Fo 185 – Notes sur le Départ de Paris)
Dieu a fait son œuvre, non, etc. – (ibid. Fo 227 – Notes sur H. Lasserre)
Toujours les mêmes faits, dans le besoin d’illusion. Les fontaines qui coulent, les vierges qui parlent, etc. (ibid. Fo 241 – Notes sur H. Lasserre)
De cent côtés, on adressait à l’Evêché les procès verbaux authentiques de guérisons. [Illisible], etc. (ibid. Fo 250 – Notes sur H. Lasserre) === Travail (1901) === les travaux de la terre surtout pittoresques, vendanges, moisons, etc. (et ma « Terre ») (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 350/3)
Il peut être un savant, un électricien faisant des découvertes qu’on appliquera, le mouvement, la chaleur, etc. (ibid., f° 364/17)
Mais gros d’une création à faire, très nourri déjà de lectures, ayant lu tous les ouvrages des précurseurs Saint-Simon, Fourier (surtout), Comte, etc. (ibid., f° 372/25)
Tous les fléaux l’assassinat, le vol, le mensonge, etc. (ibid., f° 380/33)
Il faut donc que je crée à côté de l’ouvrier (celui qui assassine Luc) un autre ouvrier paresseux, ivrogne, etc. et que je convertis, sur lequel je fais l’expérience (ibid., f° 381/34)
c’est après une grande conversation avec le savant, sur le travail, le souverain bien, etc. (ibid., 384/37)
Elle sera la féminité, bonne, chargée des questions de maternité, d’élevage, d’écoles enfantines, etc. (ibid., f° 385/38)
D’abord, il peut s’occuper d’une usine qui a poussé au flanc du colosse, une usine d’instrument aratoire en plus simple, charme, biche, etc. (ibid., 399/52)
Mon premier livre est l’état actuel, la misère et la douleur, avec toutes les tentatives d’amélioration pourtant, les coopératives de production et de consommation, les syndicats, etc. (ibid., f° 402/55) ==== ÉTENDRE (S’) / ÉTENDU ==== === Le Rêve (1888) === Le chapitre (…) s’étend sur une longue période d’années (MS NAF 10323 Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
Le réveil a eu lieu, et c’est le dernier combat, analysé, étendu, entre son hérédité et le milieu et l’éducation (…) la dernière
crise, elle le sent (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° s 161-162) ==== ÉTHÉRÉ ==== === Le Rêve (1888) === J’aimerais mieux qu’elle mourut [sic] dans son triomphe . Cela est plus grand, plus pur, plus éthéré (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 303/86) ==== ÉTIENNE (Lantier) ==== === La Terre (1887) === Ne pas le faire ressembler à Etienne, ne pas sans doute lui faire quitter son métier et en faire mon paysan. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 405/6 – Ebauche)
(…) Jean Macquart (…) et, à la fin, se réengage. Cela ressemble un peu trop à Etienne et à Catherine (ibid., f° 511/12) ==== ÉTONNANT ==== === La Curée (1872) === Une rapidité de transformation étonnante. (MS NAF 10 282, La Curée, f°294 / Premiers détails). – Le fils est d’une liberté étonnante avec le père (MS NAF 10 282, La Curée, f°299 / Premiers détails). === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Cela serait plus étonnant. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 15) === Nana (1880) === [Bordenave] Insolent, garde-chiourme ; et, avec cela, des idées de réclame étonnantes, un cerveau toujours en combinaisons pour battre monnaie. (NAF Ms. 10313, Nana. F°167- Personnages).
Il a reçu des nouvelles étonnant (sic). (NAF Ms. 10313, Nana. F°295- Notes). ==== ÉTRANGE ==== Genre et mode littéraire. === Le Rêve (1888) === Je l’ai déguisé avec une blouse. Un peu étrange et original (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan détaillé du chapitre V, f° 78) === Lourdes (1894) === Cas étrange d’une Bernadette si pure dont la vision extatique a gâté tout ce coin de terre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°502)
Ce cas étrange d’une Bernadette si pure dont la [v biffé] vision extatique a gâté tout ce coin de terre. (ibid. F°508) \ ==== ÊTRE/ JE SUIS/J’EN SUIS ==== === La Conquête de Plassans (1874) === Puis ce serait un type terrible (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 27)
Il faut dès lors qu’elle soit très nécessaire à son plan général ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°29) === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Serge se courbe davantage, demande grâce, finit dans le sens catholique ; ce sera l’opposition, Serge catholique jusqu’à la fin, tandis que Blanche est le naturalisme, et va dans le sens libre de l’instinct et de la passion. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 4)
Je réfléchis qu’il serait peut-être plus grand et plus simple pour l’œuvre de ne pas spécifier sur les paysans. (ibid., f° 13)
Les paysans, ce serait comme un fond gris, inommé [sic], une masse de brutes travailleuses et courbées, sur laquelle je détacherait [sic] mon drame humain. (ibid., f° 13)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (ibid., f° 14)
Cela serait plus étonnant (ibid., f° 15)
Maintenant, le tout sera de trouver avec ces quelques personnages un drame assez poignant et une mise en scène assez intéressante. (ibid., f° 15)
Ce sera Albine qui un matin, voulant se satisfaire, trouve la clairière. (ibid., Le Paradou, f° 46)
Ce serait donc le docteur qui aurait tout fait, tout imaginé pour faire une expérience. On se serait caché en ville. (ibid., La Bible, f° 66) === Nana (1880) === Nana, c’est la pourriture d’en bas (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°1- Plan)
Ce ne sera pas commode. (F°28)
C’est la faute à Vénus. (ibid. F°4)
C’est alors que Vulcain leur jette son filet. (ibid. F°5)
Poser que c’est une 1ère représentation importante.
C’est Nana, la curiosité sur Nana qui est le pivot. (ibid. F°6)
c’est l’ouvreuse de l’avant-scène d’Amy, qui jettera les bouquets (ibid. F°10)
Léon Juillerat est avec Amy Stewart. C’est lui, très parisien, qui pourra être le lien des personnages dans ce premier chapitre. (ibid. F°11)
Daguenet ne peut rien donner, les autres donnent au plus chacun cinq cents francs c’est la misère. (ibid. F°14)
Ce n’est pas le négociant, c’est le Valaque.
Cependant trois heures arrivent. C’est l’heure où Nana doit aller chez la Tricon. (ibid. F°15)
C’est alors que Nana rentre par l’escalier de service. (ibid. F°16)
C’est un vieux dégoûtant (ibid. F°17)
les coups de son nettes continuent, c’est la suite du rut de la veille, les chiens ont suivi l’odeur de la chienne et sont venus. (ibid. F°17-8)
Ici je pose Zoé (C’est plus tard que Rose Mignon lui prendra Zoé.). (ibid. F°19)
C’est la Faloise qui peut nommer Théophile Venot à Fauchery. (ibid. F°26-7)
C’est encore très discret, une flamme sous la cendre. (ibid. F°29)
C’est là où le dîner de Nana se recrutera parmi les hommes, d’oreille à oreille. Cela sera original. (ibid. F°30-1)
Rappeler que Muffat est chambellan de l’impératrice. C’est lui qui introduit les personnes, quand il est de semaine, et c’est lui qui accompagne dans les soirées et se tient à la disposition dans les dîners de gala. (ibid. F°32)
Tout vient de chez Brébant, la vaisselle, les cristaux, les fleurs, le menu et le personnel ; c’est le restaurant à domicile.
C’est là où il faut bien poser que Nana, dépité (sic) de ne pas avoir Muffat, se reporte sur Steiner. (ibid. F°38)
C’est pendant le dîner qu’on cause comme chez la comtesse
C’est en prenant le café que le chemin parcouru par les diverses intrigues se constate. (ibid. F°40)
Muffat et Chouard arrivent, c’est le gros effet
Il faut que Vendoeuvres et Fauchery le jugent : c’est sa jeunesse qui remonte Faire des groupes. Ça c’est complètement gâté. (ibid. F°41)
Le jour qui se lève Nana veut aller au bois de Boulogne pour boire du lait : C’est Steiner qui l’emmène (ibid. F°42)
Très important. C’est là où Nana prend définitivement Cartier à Rose Mignon. (ibid. F°43)
C’est un Russe qui aura payé le dîner, un Russe que Nana avait pour amant et qui part. (ibid. F°43-4)
C’est là que Amy Stewart traite Nana qui débute de dégoûtante.
C’est là que les femmes posent leur hist (ibid. F°44)
le prince est dans la salle, il vient d’arriver pendant l’entracte ; (…) c’est la troisième fois qu’il vient voir la Blonde Vénus (…)
C’est là que Clarisse envoie Simonne voir si ce n’est pas la Faloise qui lui envoie un billet sans signature. (ibid. F°48)
C’est à la fin de l’acte que Clarisse envoie Simonne.
C’est le deuxième acte vu du foyer, avec le cri (…).
C’est en partant et en revenant que les artistes donnent des nouvelles de la salle. (ibid. F°49)
C’est là qu’il faut placer l’épisode de la Tricon, au lever du rideau (ibid. F°50)
Il faut l’amener à une déclaration à Nana ; mais c’est le prince qui doit coucher ce soir-là.
Nana parlant de la campagne c’est Georges Bébé qui a indiqué la propriété. Muffat suit. C’est là où Satin dira à Nana qu’elle s’en fiche (…). (ibid. F°52)
(C’est par là que Muffat emmènera Nana ; les figurantes chieront aussi du poivre à leur entreteneur.). (ibid. F°55)
C’est à une lieue, dans le pli d’un coteau, derrière une rivière qu’il faut remonter pour avoir un pont.
Nana doit arriver le soir. C’est un bruit. (ibid. F°57)
Et c’est là qu’elle trouve Bébé qui a franchi une haie, trempée (sic). (ibid. F°58)
Nana le caresse ; c’est par l’enfant qu’elle a chassé Steiner
Tout cela, c’est pour ne pas tromper Georges, une idylle quand elle montre (sic) le retrouver. (ibid. F°59)
On croit pourtant l’avoir vue : c’est Nana qui croit ça. (ibid. F°61)
Les filles à la campagne. C’est dans le voisinage des Fondettes. Nana cueillant des légumes, redevenant enfant. C’est Caroline Hequet et sa mère qui rachèteront la campagne (…).
C’est là que j’ai envie de mettre l’épisode de Philippe, le capitaine, venant pour faire une scène, et se laissant empaumer. (…) C’est là qu’elle finit par coucher avec le bébé. (ibid. F°63)
C’est là où il peut voir Estelle et où il se dessine comme roublard. (ibid. F°64)
Elle a quitté son chef de bureau elle n’a jamais qu’un amant à la fois ; c’est bien permis (ibid. F°65-6)
C’est là qu’il [L’homme dévot] peut sembler jeter Muffat à Nana. (ibid. F°66)
C’est le jour de Muffat (ibid. F°67)
Pendant la conversation un bruit qui annonce quelqu’un. C’est Fontan (ibid. F°69)
C’est elle [Zoé] qui peut se trouver à la fin du chapitre avec Cartier Muffat et Daguenet (…).
Le détraquement d’une famille par la luxure. C’est le cas de Coupeau cuvant son ivresse. (ibid. F°75)
C’est une vengeance de celle-ci. (ibid. F°80)
C’est sur le boulevard que Labortette (sic) rencontre Nana un soir et ses conseils et ses nouvelles. (ibid. F°81-2)
Il a tâté de Rose Mignon et d’Amy Stewart ; mais c’est Nana qu’il veut. (ibid. F°84)
Madame Maloir serait là. (ibid. F°82)
Mettre là une marchande à la toilette chez laquelle Nana va vendre quelque chose. C’est Satin qui la lui indique. (ibid. F°85)
La cocotte engueulant le mari (c’est la seule scène). (ibid. F°87 sic)
C’est Mignon qui doit l’amener. (ibid. F°91)
Et dès que c’est conclu, Labordette monte prévenir Nana. (ibid. F°93)
C’est là pendant la répétition que Muffat vient et lui fait des propositions. (ibid. F°95)
C’est là que Cartier peut venir offrir à Simonne Cabiroche de la lancer. (ibid. F°96)
Mabille le soir (c’est là qu’il surprend sa femme.)
C’est sa façon de les retenir. (ibid. F°97)
C’est Labordette qui maguignonne le tout. (ibid. F°98)
C’est la grande scène, très amère, très violente
On lui prête cinquante mille francs. qu’il devra rendre, et c’est alors qu’il se mettra avec sa femme (ibid. F°100)
C’est alors que tous les personnages hommes reparaissent (…).
(c’est lui [Labordette] qui a installé Nana et qui l’aide à dépenser l’argent du comte.). (ibid. F°102)
C’est là (ou au chap. suivant) que Nana voit l’ancienne fille devenue chiffonnière, et ivre morte. (ibid. F°105)
XIII Voir si c’est là qu’il faudra faire accoucher Nana d’un enfant qui ne vit pas. (ibid. F°106)
Georges surtout (c’est ce qui amène son suicide.)
C’est là que les g. doivent faire le pivot du chapitre.
. Et c’est là qu’elle enlève Satin à Mme Robert.
Alors le g. en grand, la haine de l’homme, c’est par là qu’elle finit. (ibid. F°107)
C’est là qu’il faudra faire escompter des billets de Muffat, par Francis.
. C’est sa façon de les retenir. (ibid. F°108)
Philippe et Georges sont là descendus de voiture ; et c’est avec eux qu’elle pose tout de suite sa situation avec Muffat.
C’est Nana qui l’a fait, malgré la comtesse. (ibid. F°118)
Puis Rose Mignon, avec Mignon et ses deux enfants: c’est elle qui règne après Nana. (ibid. F°119)
Bientôt c’est sa voiture qui est au centre. (ibid. F°119-120)
Et ce fut tout son remerciement. (ibid. F°119 verso)
Et c’est là que je noue le drame de Vandeuvres. (ibid. F°122)
C’est là où j’amènerai décidément tous les hommes. (ibid. F°123)
C’est ce qui enrage Rose Mignon et ce qui lui fera envoyer la lettre. (ibid. F°123-4)
Un homme fini par Nana. C’est la première victime. (ibid. F°124)
C’est pour étudier à fond le comte X. de Vendoeuvres.
Un homme fini par Nana ; c’est la première victime.
C’est là qu’on peut poser le mariage de Daguenet. (ibid. F°125)
Elle pourrait dire ça à une autre personne que son mari, pour que ce fut moins raide. (ibid. F°127)
C’est ce que Nana explique. (ibid. F°132)
C’est tout mon sujet insister.
Je finirai par une reprise des danses ; avec cette idée c’est que le luxe des Muffat, c’est la misère des Coupeau (…). (ibid. F°133)
C’est l’éclat d’un incendie qui emporte tout.
C’est une débâcle de dignité, d’honneur, de vertu, une famille succombant sous la luxure
C’est un traité signé. (ibid. F°135)
C’est là que je pourrai montrer et faire agir le dévot, le personnage qui voudra gagner Muffat à la dévotion. Un mariage serait bon pour cela. Je ne suis pas d’avis pourtant de remontrer tous les personnages, qui paraissent un peu souvent. (ibid. F°136-7)
Voilà l’originalité de Gaga et sa fille, c’est que c’est la fille qui veut y passer pour faire comme maman. (ibid. F°137)
Avec Muffat, donc, le premier amant accepté. C’est le calvaire qui commence. (ibid. F°139)
C’est alors qu’elle se décide à aller chez la Tricon que Georges arrive. (ibid. F°140)
Et le petit tragique, s’expliquant. C’est lui qui veut l’épouser. (ibid. F°141)
Voir si c’est là qu’il faut introduire Venot dans la maison. (ibid. F°141-2)
Puis elle a failli s’asphyxier pour un amant de cœur et c’est lui qui la soigne. (ibid. F°142)
Chez les ivrognes du faubourg, c’est la misère noire (…). (ibid. F°142 verso)
C’est Mignon qui me donnera ça.
C’est là l’éclat.
Le difficile est d’amener Venot. C’est un matin. (ibid. F°143)
C’est un incendie général.
. C’est le comble, Muffat sanglottant (sic) tombe à genoux et prie Dieu. (ibid. F°145)
Nana c’est la pourriture d’en bas (…).
C’est la haute morale du livre.
C’est quand Muffat lui fait des reproches, qu’elle peut répondre. (ibid. F°147)
C’est ici que le plan de l’homme dévot doit avoir son dénouement.
En un mot, j’entends rester humain et simple, sans complication machiavélique. Ce qui se passerait dans la vie. (ibid. F°149)
Georges, c’est ce qui amène son suicide.
Nana flanquant les hommes dehors. C’est sa manière de les garder. (ibid. F°151)
Mais la porte s’ouvre les voilà. Non c’est Maria Blond (…). (ibid. F°156)
C’est le dernier éblouissement jeté par elle. (ibid. F°159)
C’est Bordenave qui a le théâtre de féerie. (ibid. F°160)
C’est le Russe du dîner, qui a été prévenu par Labordette, et qui l’a mise là. (ibid. F°161).
[Fauchery] C’est l’homme aux toquades. (NAF Ms. 10313, Nana. F°174- Personnages)
C’est elle [Madame Hugon] qui a pu amener son fils pour qu’il fasse son droit (ibid. F°179)
[Mignon] C’est un homme très grand et très fort (…).
Peu à peu, il a toléré les amants ; maintenant c’est réglé. (ibid. F°186)
(…) c’est son fils qui a hérité de la faveur de l’empereur. (ibid. F°187)
Cela serait original. A prendre. (ibid. F°190)
C’est là que je l’ai laissée. (ibid. F°191)
Comme caractère moral : Bonne fille, c’est ce qui domine tout. (ibid. F°192)
Ne pas la [Nana] faire spirituelle, ce qui serait une faute (…). (ibid. F°193)
C’est cette femme [Madame Robert] que je ferai rencontré (sic) dans les endroits les plus inavouables. (ibid. F°195)
C’est tout ce qu’on sait sur elle [Madame Tiby]. (ibid. F°200).
Je crois que ce bout d’intrigue est nécessaire. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
Ce serait là, mes trois types principaux, l’ordure du vieux, l’amour profond de l’homme mûr, et le baisage aimable et facile de l’amant de cœur. (ibid. F°210)
C’est là que je n’ai pas très clairement le drame. (ibid. F°212-3)
J’aimerai même assez que cela fut au milieu, lors de la déveine de Nana.
La différence avec Hulot, c’est que mon homme n’aime qu’une femme. (ibid. F°213)
Ce n’est que par les hommes que je puis fourrer les femmes.
C’est une vengeance que cette fille exercera parce que Nana, dès le début du livre lui aura pris l’homme de bourse. C’est cette lutte entre deux femmes qui peut seule me faire introduire plusieurs femmes. (ibid. F°214)
C’est toujours cette partie, ce drame qui me gêne. (ibid. F°215)
Mais ce qu’il me faudrait, c’est l’attitude de la femme. (ibid. F°215-6)
(…) et c’est alors qu’elle réclame la séparation. (ibid. F°216)
Elle refuserait simplement l’argent (ce serait elle qui aurait apporté la plus grande partie de la fortune.). (ibid. F°217)
C’est alors que l’amant de cœur de Nana, l’ancien, fait le projet d’épouser la fille (…). (ibid. F°218)
Maintenant c’est de la maigre dont je pourrai faire Judic, avec son mari et deux enfants. (ibid. F°219)
Une représentation et c’est là où je mets le prince derrière la toile (…). (ibid. F°222)
Voir si la campagne ne serait pas bien là. (ibid. F°223)
Nana, c’est la perdition, c’est le diable ; pourquoi n’attirera-t-elle pas un catholique, tout frémissant de la crainte de Dieu ?
Le seul côté fâcheux que je trouve à cela, c’est que cela n’est pas général et que cela n’est pas très empire. Cela n’a pas une belle simplicité. (ibid. F°226)
C’est la seule façon de rester général et empire. Voici, alors, quelles (sic) seraient les caractères. (ibid. F°227)
Le point sur lequel j’insisterai, c’est que dès que son mari se met avec Nana, elle s’émancipe davantage (…). C’est Nana qui domine et écrase tout. (ibid. F°232)
Elle l’achève, car il est déjà très entamé ; c’est lui qui donne la campagne. C’est quand il n’a plus le sou et que Muffat va le remplacer comme amant en titre qu’elle disparaît avec Fontan.
(…) et c’est alors qu’il regardera avec Muffat et qu’il se fera nettoyer comme lui. (ibid. F°234)
Elle aura traversé le quartier latin, c’est là que Juillerat l’aura connue. (ibid. F°235)
C’est le complaisant. Je ne le montrerai pas dans le vice d’en bas. (ibid. F°236)
C’est tel négociant, c’est tel employé grave, c’est tel rentier.
(…) d’abord on doutera que c’est elle, puis elle se livrera à Juillerat.
Enfin Chouard va avec Nana, et il est surpris par Muffat : c’est le comble de l’infamie, le dernier coup pour lui. (ibid. F°237). === Le Rêve (1888) === Me voilà dans la maison. On traverse le salon. Et je suis dans la salle commune (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 7)
(…) J’en suis à la première communion et pas de résultats encore très sensibles (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 19)
Associer tout le dehors , et ne pas oublier que je suis dans le rêve (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 100) === Lourdes (1894) === Mais je ne puis aller contre les idées de toute ma vie, je suis pour l’évolution, je suis pour la satisfaction de tous les besoins, pour la nature, pour les besoins naturels contentés. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°20)
Mais là déjà je suis dans l’autre chapitre et j’ai commencé [de biffé] la lecture de Pierre sur Bernadette. (ibid. F°199)
Puis, je suis à mon wagon [en interligne : trop tôt pour aller à la grotte], où l’on est venu chercher le mort. (ibid. F°226)
Seulement, je ne suis pas sans crainte ; car j’ai déjà la Grotte, au chapitre précédent, et je ne veux pas en abuser. (ibid. F°443)
Les histoires, tout ce qui s’est passé et où en sont les personnages. (ibid. F°601) ==== ÊTRE ==== === Lourdes (1894) === La foule, un être, le personnage qui enveloppe les épisodes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°421)
[en interligne : La foule, un être. Tous ces souffles en un seul. La volonté de guérir.] (ibid. F°434) ==== ÉTROIT ==== === Le Rêve (1888) === J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage . En dehors de ses quelques livres classiques étroits et secs, la légende (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)
En dehors de ses livres classiques étroits et secs elle a la Légende dorée (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33). ==== ÉTUDE/ÉTUDIER ==== ===Le Ventre de Paris (1873) === Je l’étudierai dans ces trois cas, et je trouverai là l’intrigue et les personnages secondaires.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 53)
De plus, cela me permettra d’animer Lisa, à un moment, de l’étudier en face de la passion (ibid., f° 63)
Types à trouver quand j’en viendrai à étudier ces personnages de plus près. (ibid., f° 74)
J’étudie de cette façon Lisa devant une amie. (ibid., f° 93)
(étudier vivement avec elle le type ancien) (ibid., f° 106)
J’étudierai les marchandes de soupe et de café. (ibid., F˚ 294) === La Conquête de Plassans (1874) === Mon drame physiologique sera donc l’étude de la parenté qui rapprochent /sic/ les époux (…) Puis le vieux levain de haine de la batardise. A étudier (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Quant à Marthe, il faut l’étudier au point de vue physiologique (ibid.F°22)
son action sur les femmes .(…) Mais ce que j’étudierai surtout, c’est son action sur la jeunesse (ibid.F°32)
Étude de la folie et de la logique (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan F°1)
Etude d’une femme devenant dévote (ibid. F° 1) === Nana (1880) === C’est pour étudier à fond le comte X. de Vendoeuvres. (NAF Ms. 10313, Nana. F°125- Plan). Faire l’étude du coiffeur des filles. (NAF Ms. 10313, Nana. F°176- Personnages).
Milieu curieux à étudier, surtout lorsqu’elle s’y révélera cocodette. (ibid. F°189)
Dès le premier chapitre, je montre toute la salle prise et adorant : étudier la femme, étudier les hommes devant cette apparition souveraine du cul. (ibid. F°193).
Le ménage Judic étudié. (NAF Ms. 10313, Nana. F°222- Ebauche). === Au bonheur des dames (1883) === Le côté financier de Mouret doit être aussi très étudié (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 7) \\(…) je pourrai étudier dans cette nature honnête, les révoltes et la jalousie (ibid., f° 8) \\(…) et peu à peu, l’histoire de la passion de celui-ci [Octave] qui doit être très étudiée (ibid., f°s 11-12) \\(…) lui [à Denise] donner un défaut, l’étudier dans sa chair (ibid., f°s 14) \\Son [à Denise] oncle pourrait avoir des fonds à elle (…) et le contrecoup financier la frapperait: il faudra étudier cela (ibid., f° 15) === La Terre (1887) === C’est là que j’établirai la part du socialisme dans l’œuvre. A étudier, à voir – Le rôle du paysan donc. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 402/3- Ebauche)
(…) Etudier cela (ibid.)
(…) A étudier le nombre des frères pour tout avoir. (ibid., f° 430/31)
(…) Louise . Etude de la paysanne jeune, encore jolie, tout de suite fanée après le mariage, fille de la vierge. (ibid., f° 442/43)
(…) [Le braconnonier] Je pourrais lui joindre un ami, un peintre en bâtiment, un ouvrier qui a passé dans le pays, brave et mendiant, cherchant de l’ouvrage, de ces ouvriers vagabonds, rencontrés sur un chemin (les étudier, savoir d’où ils viennent). (ibid., f° 483/75)
(…) L’amour entêté chez le vieux, l’amour absorbé, pondéré et continu chez le gendre, l’amour désordonné chez Bonhomme. C’est chez lui surtout que j’étudie la passion de la terre. (ibid., f° 484/76)
(…) A étudier les tous jeunes enfants. Le gendre en a un de 8 ans. (ibid., f° 492/84)
Etudier la perturbation que le service a mise en lui (MS NAF 10329 La Terre F° 4 – Personnages, Jean Macquart) === Le Rêve (1888) === Tout cela à étudier psychologiquement (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 222/6) ).
(…) Je pourrais étudier en elle le rêve de la vie, ce qu’elle rêve de la vie (ibid., f° 224/8)
(…) Le saut en arrière, étudier ça psychologiquement, son bonheur et sa terreur (ibid., f° 259/42)
(…) du reste à la fin , dans la maladie (effet à étudier), je briserai les défauts d’Angélique (ibid., f° 282/65)
Toute une étude à faire pour ma série (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 32)
La maladie la brisant, achevant la cure. Elle en sort humble et chaste. Etude à faire (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 181) === Lourdes (1894) === J’aurai là la peinture de tout le néo-catholicisme qu’on tente. Le réveil [du] mysticisme, l’effort spiritualiste étudié sur son vrai terrain. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°5)
Toute une étude de leur fameuse psychologie, puisque pour eux la psychologie consiste uniquement dans le combat du devoir contre la passion. (ibid. F°6)
Tout cela devra être étudié sur place. (ibid. F°8 )
Il y a d’autres raisons qui la font échouer : étudier cela, pourquoi le catholicisme, le christianisme ne peuvent assez se renouveler pour être la religion du nouveau peuple – (ibid. F°13)
Et j’arrive à mon prêtre battu, n’espérant plus rien. Etudier son état d’anéantissement. (ibid. F°14)
Un attentat anarchiste sans doute (étudier tout ce monde-là). (ibid. F°16)
Une étude navrée et éperdue de la douleur. (ibid. F°38)
Je ne résous pas ici le problème, mais j’étudierai ce sentiment à notre fin de siècle, en mettant en face les pèlerins et mes anarchistes, le passé et l’avenir. (ibid. F°54)
Mais, alors, il faudrait tout de suite étudier les deux volumes jumeaux. (ibid. F°61)
Pour Bernadette, ce qui est très intéressant à étudier, c’est les roses qu’elle a vues sur les pieds de la Vierge  (…).– (ibid. F°62)
Il faut que j’étudie toute cette question, car elle a sa gravité. – Enfin, il faut que je me procure le procès verbal des médecins (Balensi) qui ont étudié Bernadette et qui
ont conclu à l’hallucination – (ibid. F°s63-64)
Il a connu un des hauts fonctionnaires mêlés à cette histoire, il sait à quoi s’en tenir. Un instant même cela l’a passionné, et dans la défaillance de sa foi, Lourdes, ainsi étudié a été pour quelque chose. (ibid. F°97)
Puis, pourquoi il accepte,
par tendresse pour la malade, et aussi avec la volonté de continuer ses études sur les lieux. (ibid. F°s97-98)
Chassaigne est d’un village près de Lourdes. C’est donc lui qui a pu mettre le père de Pierre [sur biffé] dans l’étude des apparitions. Au moment de celles-ci, il ne croyait pas encore ; et il a étudié Bernadette [en interligne : il l’a toujours aimée]. (ibid. F°161)
Dire alors qu’il [Pierre] la [Bernadette] connaît beaucoup, qu’il l’a étudiée. (ibid. F°203)
Donc, il [Pierre] dit ce qu’il sait sur Bernadette car il l’a beaucoup étudiée, il l’aime, parce que c’était une [malheu- \\reuse biffé] naïve, une véridique et une malheureuse. (…) Mais faire surtout qu’il ne se prononce pas alors ; car, s’il connaît beaucoup Bernadette, il y a, au fond de son voyage à Lourdes, le désir curieux d’étudier l’aventure de Bernadette sur place (…) (ibid. F°s212-213)
Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes : auto-suggestion (…) et surtout le souffle guérisseur,
la force inconnue et non étudiée, qui se dégage sûrement de la foule. (ibid. F°s273-274)
Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes : auto-suggestion (…) et surtout le souffle guérisseur, la force inconnue et non étudiée, qui se dégage sûrement de la foule. – (ibid. F°285)
De 8 h à 11 h, et de 1 h à 6 h les médecins se rencontrent, travaillent, examinent discutent, étudient. (ibid. F°294)
Enfin une force s’élève de la foule, une force de vie, d’espoir, de guérison, qu’on n’a pas encore étudiée. (ibid. F°434)
Enfin, une force s’élève de la foule, une force de
vie, d’espoir, de guérison, qu’on n’a pas encore étudiée. (ibid. F°s444-445)
Venu à Lourdes pour étudier le cas de Bernadette, avec l’espoir qu’il [Pierre] y retrouverait la foi. (ibid. F°580)
Prenez ces esquisses, les premières notes, comme
une première impression. Ensuite, on peut étudier, et des cas ont été étudiés (?) (273). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 164-165 – Notes sur les Miracles)
Berulière : [«] Les faits de Lourdes appartiennent à la science, qui les accepte, les classe, les étudie. L’interprétation seule reste en critique – (…) » (ibid. Fo 165 – Notes sur les Miracles)
Le docteur ne comprend pas ; et j’aurai ainsi mon lupus, une guérison que la science ne comprendra pas (la médecine, non une science, mais un art, à développer). Etudier cela. – (ibid. Fo 187 – Notes sur le Départ de Paris)
Et là retrouver, suivre, étudier et peindre ce duel incessant entre la science et le besoin de surnaturel (…) \\. (ibid. Fos 208-209 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
(Les conditions du miracle à étudier : la vision dans un creux bien petit,
l’endroit [sing biffé] choisi singulièrement.) (ibid. Fos 210-211 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Les nombreux couvents qui se sont installés dans les environs de la grotte. (…) Il y aurait là de curieuses choses à étudier sans doute. (ibid. Fo 211 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Il faudrait revoir tout cela de près, l’étudier à fond, pendant un grand pèlerinage, de façon à pouvoir tracer les tableaux sur
des faits absolument vrais – (ibid. Fos 213-214 – Notes sur Un roman sur Lourdes) === Travail (1901) === La justice toute l’humanité, les peuples se fédérant, revenant à la famille unique, la question des races étudiée et résolue, la paix universelle à la fin. (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 348/1)
Chez Luc étude de l’individualité, de l’action individuelle nécessaire (ibid., f° 399/52) ==== EUGÉNIE (IMPÉRATRICE ==== (épouse de Napoléon III) Eugénia de Montijo (1826-1920), Impératrice des Français de 1853 à 1870, était une fervente catholique. === Lourdes (1894) === J’ai donc toute la lutte avec le commissaire et le préfet, la persécution des autorités, comment on fonde une religion, jusqu’au jour où sur un ordre de l’empereur (l’impératrice derrière) la grotte devient libre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°301) ==== ÉVANGILE (L’) ==== === Lourdes (1894) === Une peinture du Lourdes ancien, perdu et endormi, un trou endormi, pauvre et pieux, et une peinture du Lourdes actuel (…). Où est Bethléem ? L’évangile. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°43)
Elle [Bernadette] lit beaucoup l’Evangile. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 259 – Notes sur H. Lasserre)
==== ÈVE ==== Personnage de la Genèse, premier livre de la Bible. Voir aussi : Bible, Adam, dieu, Dieu, Genèse, Jésus, Job, Marie, Paradis, Passion, Satan. === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Eve et Adam s’éveillant au printemps dans le paradis terrestre. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 3)
Une inconscience absolue, Eve sans aucun sens social, sans morale apprise, la bête humaine amoureuse. (ibid., f° 6-7)
La tentation d’Eve par Adam. (ibid., Le Paradou, f° 46) ==== ÉVÉNEMENT ==== === La faute de l’abbé Mouret (1875) === Les détails des événements mêlés à la cérémonie. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 26) === Nana (1880) === Un événement d’avril 67. (NAF Ms. 10313, Nana. F°26- Plan). Un chapitre pour la course du grand prix ; cadre où l’ont (sic) mettra des événements. (NAF Ms. 10313, Nana. F°223- Ebauche). === Lourdes (1894) === Portrait de Mgr Laurence. (…) Attendre que les événements lui forçassent la main (150). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 243 – Notes sur H. Lasserre) ==== ÉVIDEMMENT / ÉVIDENT ==== === La Terre (1887) === Mais comment le mêler à l’action d’une façon centrale ? Par l’amour évidemment . (MS NAF 10.328, La Terre, f° 404/5- Ebauche) === Le Rêve (1888) === C’est là évidemment que je mettrai tout le passé d’Angélique (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, f° 12, premier Plan détaillé du Chapitre I) === Lourdes (1894) === Cela m’amène à ce vœu évident des zélateurs de Lourdes qui voudraient y amener tout le peuple. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°50)
Il me paraît évident que l’enquête avait démontré l’hallucination (…). (ibid. F°64)
L’abbé Judaine est évidemment avec les Dieulafay, peut-être pas dans le même wagon. (ibid. F°179)
On [fait biffé] achève justement la chambre, le placard fermé. [en interligne : Il faut voir sortir la bonne.] Il n’y a donc évidemment personne. (ibid. F°312)
Evidemment une passionnée que brûle l’éternel désir. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 74 – Notes sur Madame Volmar)
Mais pas d’attaque de nerfs, pas d’hystérie trop évidente. – (ibid. Fo 118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
La foi évidente, touchante, extatique, chez certains malades. (ibid. Fo 210 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
On enclôt la grotte. On dresse des procès verbaux. (Tout cela impopulaire évidemment, un peu odieux. (…