DÉTONNER
Le Rêve (1888)
Je recule devant
le militaire, l’ingénieur. Le militaire n’entrerait pas dans ma fable, il ne me servirait pas, il y détonnerait (MS NAF 10323, Le Rêve, f°s 298/81-299/82)
Lourdes (1894)
Cela sera d’autant meilleur, que cette partie inventée ne détonnera pas avec la partie historique : Lourdes autrefois et Lourdes aujourd’hui (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°56)
DÉTOURNER
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)
DÉTRUIRE
Nana (1880)
Pourtant Fauchery sentant dans ce milieu digne un détraquement prochain : la luxure détruisant une famille, l’Assommoir autrement. (NAF Ms. 10313, Nana. F°27- Plan)
Madame Robert (…) elle détruit par force inconsciente, par son sexe, par son odeur de femme. Il n’y a que sur le fumier que poussent ces créatures. (ibid. F°73).
[Nana] Avec cela, finissant par considérer l’homme comme une matière à exploiter, devenant une force de la nature, un ferment de destruction, mais cela sans le vouloir, par son sexe seul et par sa puissante odeur de femme, détruisant tout ce qu’elle approche (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°192- Personnages).
Travail (1901)
Il y a aussi un ouvrier que je détruis, et qu’il faudrait bien représenter par quelques types (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 387/40)
DEUX/DEUXIÈME
La Conquête de Plassans (1874)
Toute la bataille politique (…) elle réussira vers le milieu du volume, ou vers les deux-tiers (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°33)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Cette deuxième partie n’est qu’une longue étude du réveil de l’humanité. (MS NAF 10294 La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 6)
Dans la 2e partie, il la faut adorable, svelte, blanche comme du lait, avec une fraîcheur de printemps, le visage un peu long, une de ces vierges de la renaissance. (ibid., f° 7)
Deuxième morceau, à la fin du chapitre. Conversation avec Dieu, montrer plus intimement les fruits de cet état d’esprit. (ibid., Extraits de L’Imitation, f° 34)
La Terre (1887)
Il faudrait disjoindre les deux histoires. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 414/15)
(…) Le mieux serait de diviser la lutte pour la terre en deux. (ibid., f° 416/17)
(…) la haine contre cette masse de terre dont le coin entre dans le pays. Mais laisser cela absolument au second plan. (…) – je voudrais bien que Jean soit mêlé à cela, mêler deux drame [sic]. (ibid., f° 461/53)
(…) Le notaire sera mêlé à cela, il sera pour la ferme, et il pourra en dire un mot, dans le chap.II. (ibid., f° 475/67)
(…) Les vieux. 2ème étape. Par la rente de l’eau, des broussailles [?] (ibid., f° 501/3 – Plan)
Lourdes (1894)
Mme Désagneaux est déjà à Lourdes, où elle s’est rendue en sleeping-car : elle viendra chercher ces dames au I de la deuxième partie. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°177)
Les deux pères de l’Assomption sont déjà à Lourdes, et je les montrerai seulement sur le quai d’arrivée (I chap. de la deuxième partie). (ibid. F°177)
Deuxième partie [dans la marge : samedi 20 août] (ibid. F°232)
J’ai eu les piscines pour les hommes dans la 2e partie. (ibid. F°448)
Deuxième partie (ibid. F°602)
Je l’ai donc pour finir le chapitre I de la deuxième partie, lors du débarquement : ce sera à Pierre, à Marie, à un ou deux autres qu’il s’adressera. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Ostéomalacie. (…) La 2e période, les os se raréfient, se ramollissent, s’affaissent, changent de forme, diminuent de volume, se fracturent. (ibid. Fo 127 – Notes sur la maladie de Madame Dieulafay)
Travail (1901)
Pendant la deuxième partie, l’organisation du travail, c’est la lutte, mais quelle lutte ? (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 360/13)
Puis, dans l’incendie de l’usine, le garçon sauve la fille, à la fin de la deuxième partie (ibid., f° 370/23)
Mais si je veux lui donner du mouvement, il faut que dans la deuxième partie, il lutte, espère, puis désespère, s’imagine même un moment que tout est perdu (ibid., f° 372/25-373/26)
tandis que le livre deuxième, celui du milieu, devrait être beaucoup plus long (ibid., f° 374/27)
Pourtant comme l’ouvrier disparaît à la fin du Livre deuxième , et ne reparaît qu’un peu au Livre troisième (…) je n’aurai donc pas d’ouvrier sur lequel je puisse montrer un bon changement (ibid., f° 381/34)
Livre deuxième (ibid., f° 394/47)
Les deux premiers chapitres vont tout seul (ibid., F°410)
les deux pour peindre la déchéance du travail sous toutes ses formes. Le troisième chapitre (…) est plus difficile (ibid., F°411)
DEVANT
Le Ventre de Paris (1873)
Devant l’état, elle a les respect des sergents de ville (…) – Devant la famille, elle est morale (…) Enfin, devant le cercle de ses connaissances, elle va au succès (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 52-53)
Lisa devant Florent. (ibid., f° 82)
(Lisa devant la dévotion : point dévote, elle va à l’église, parce que cela est bien et qu’on doit le faire. Elle consulte son directeur parce que c’est un homme de bon conseil. (ibid., f° 88) J’étudie de cette façon Lisa devant une amie. (ibid., f° 93)
Cadine devant cocotte. (ibid., f° 96)
Quand Marjolin est devenu idiot, Cadine et Claude devant lui. (ibid., f° 112)
DÉVELOPPER (-PPEMENT)
Le Ventre de Paris (1873)
Plus tard, son opinion sur Florent transporté, conspirateur, régicide. C’est là où je la développe surtout. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 88)
Le caractère de Lisa se développant peu à peu. (ibid., f° 97)
La Conquête de Plassans (1874)
cette partie, la plus originale, doit avoir du développement (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F° 25)
Voir quel développement il faut donner à cette partie (ibid.F°25)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Je n’ai maintenant qu’à indiquer les promenades, parallèlement avec le développement de l’amour, de l’éducation du couple par la nature. Je les lâche dans le jardin, et à chaque promenade, je les montre plus charnellement amoureux, s’avançant peu à peu vers la faute. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Le Paradou, f° 45)
Nana (1880)
Dans les chapitres suivants, on les développera. (NAF Ms. 10313, Nana. F°12- Plan)
(Je poserai l’article, et je développerai plus loin, avec Muffat. (ibid. F°68).
Dès lors, s’est donnée une habitude du vice, que la société qu’elle fréquente développe justement. (NAF Ms. 10313, Nana. F°231- Ebauche).
Au bonheur des dames (1883)
(…) une histoire de bail qui m’est absolument nécessaire, dans le développement de mon colosse (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 6) \\(…) puis peu à peu je la [Denise] développe au milieu de l’élégance du Magasin (…) (ibid., f º 13)
=== Le Rêve (1888)== Ce que j’avais trouvé n’était pas mauvais, mais cela n’est pas très pur et m’inquiète pour les développements (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 219/3).
(…) je voudrais que toute cette partie de l’amour fut /sic/ développée, notée détail à détail (…) je voudrais au moins trois ou quatre chapitres d’amour idyllique (ibid., f° 256/39)
(…) Et la lutte en scène alors, avec tout le développement voulu (ibid., f° 287/70)
Tout ce désir d ‘amour développé détail à détail (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 59)
Au IV, reprendre les cloches, les bruits des offices, le chant, l’encens, l’ombre de l’église, et développer (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 62)
Toute cette partie du désir d’amour doit être développée détail à détail (ibid., première partie du chapitre IV, f° 65)
Et la lutte en scène alors, avec tout le développement voulu (ibid., f° 167)
Lourdes (1894)
Une miraculée [Sophie Couteau], une enfant l’air modeste et pur : ça l’intéresse [Pierre]. [Avec biffé] Portrait physique développé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°183)
Il [Pierre] développe tout cela comme un [exp biffé] récit mystique, un de ces exquis contes bleus, comme Bernadette en entendait. – (ibid. F°205)
Et enfin la première
apparition, prendre le récit dans Lasserre (…). Développer celle-ci, je crois ; et passer plus rapidement sur les autres (…) – (ibid. F°s206-207)
(…) Pierre, qui a commencé par lire, continue en improvisant, car il connaît très bien l’histoire, il peut la développer comme un exquis conte bleu, en lui donnant tout un charme. (ibid. F°217)
Développer donc la force de l’illusion dans cette salle, avec la lecture. (ibid. F°300)
Ne pas oublier de poser aussi l’abbé Peyramale, qui se développera à la fin de la troisième journée. (ibid. F°301)
Donc ne développer guère que cette [lettre biffé] lecture, et restreindre les autres épisodes. (ibid. F°307)
C’est un enfer que cette salle. La bien poser pour y développer la force de l’illusion, le besoin de mensonge, avec la lecture. (ibid. F°308)
Le chapitre m’a l’air un peu maigre, et je puis y développer une sorte d’idylle entre Marie et Pierre, par cette
promenade, cette petite voiture qu’il traîne sous la belle nuit. (ibid. F°s361-362)
Et pendant ce temps-là l’idylle entre Ferrand et sœur Hyacinthe. (…) Toute leur analyse développée – (ibid. F°404)
Enfin toute la situation développée. (ibid. F°412)
Toute la foule autour, gagnée peu à peu, conquise par l’exaltation, jusqu’au parapet du Gave. Ce qui s’y développe, la force inconnue. (ibid. F°421)
L’allumage de tout ce monde, le prêtre dans la chaire, les litanies : ne faire que poser et développer au chapitre [pr biffé] suivant. (ibid. F°428)
Les montrer [Ferrand et sœur Hyacinthe] ainsi à l’aller et au retour, et avoir une scène à Lourdes, au bord du Gave ou ailleurs, où je développerai cette idylle. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 88 – Notes sur sœur Hyacinthe)
Et développer ces idées. (ibid. Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Le docteur ne comprend pas ; et j’aurai ainsi mon lupus, une guérison que la science ne comprendra pas (la médecine, non une science, mais un art, à développer). (ibid. Fo 187 – Notes sur le Départ de Paris)
Travail (1901)
Alors, un peu ma Catherine de « Germinal », mais reprise et développée (F°406)
Puis, s’il n’a que des aspirations, il faut le / Luc/ développer là (F°420)
DEVENIR (RE)
Le Ventre de Paris (1873)
La marchande de poisson devient alors une belle femme, très riche, la rivale de Lisa.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 75)
Ce dernier, d’une bonté absolue, doux aux enfants, ému devant un rayon de lune, devient sectaire et parle de tuer l’empereur. (ibid., f° 84)
Ainsi Florent devient un vrai trouble fête. (ibid., f° 93)
Lisa tout en restant honnête devient de plus en plus acariâtre. (ibid., f° 98)
La Conquête de Plassans (1874)
Je crois inutile cependant de peindre la maison de fous et de montrer comment Mouret devient fou lui-même. Cela a été fait dans le roman de Malot (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F°25)
Donc elle devient dévote (ibid. F°31) Elle devient un danger pour lui. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXIII F˚ 13)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)
Ne pas oublier que le village devient un seul personnage, et le montrer à l’horizon de chacune de mes scènes, en évitant d’employer aucun nom. (ibid., f° 14)
Nana (1880)
[Le personnage dévot] a fait alors des spéculations et est devenu très riche. (NAF Ms. 10313, Nana. F°32- Plan)
Il y a déjà là Daguenet et Georges (ils deviendront bon (sic) amis)
(Nana devient très cérémonieuse.). (ibid. F°37)
les Georges au bout de la table avec Daguenet, se frottant contre lui, devenant son ami (ibid. F°39)
Ça devient dégoûtant. (ibid. F°42)
Elle est lancée, redevenue enfant (…). (ibid. F°58)
Ce que deviennent Mignon et Labordette. (ibid. F°61)
Nana cueillant des légumes, redevenant enfant. (ibid. F°63)
Là prendre Muffat. Son désir est devenu de l’amour. (ibid. F°92)
La vérité était qu’elle [Madame Lerat] devenait plus inquiète chaque jour, en voyant que Nana lui laissait le petit Louis sur les bras (ibid. F°92- verso)
Il [Daguenet] est devenu l’amant de cœur de Blanche de Sivry. Mais il veut rompre, il devient sérieux. (ibid. F°102)
Et Georges devient sombre. (ibid. F°103)
C’est là (ou au chap. suivant) que Nana voit l’ancienne fille devenue chiffonnière (…). (ibid. F°105)
Solférino est donc devenu grand favori à 2 contre un. (ibid. F°115)
Gaga redevenue dégoûtante. (ibid. F°142)
Amy Stewart est devenue dégoûtante. (ibid. F°146)
Que devient le chambellan ? (ibid. F°149)
Gaga est devenu (sic) dégoûtante. Gaga redevenue dégoûtante (mariée). (ibid. F°156)
Le poème du c. qui a servi au plaisir, et qui redevient générateur. (ibid. F°162).
[Simone Cabiroche] A été lancée par un de ses maîtres, puis est devenue la maîtresse d’un cabotin (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°170- Personnages)
Devenue grosse, mais sanglée et contenue dans un corset.
Ancienne blonde, devenue blanche et teinte en jaune. (ibid. F°177)
[Rose Mignon] Est devenue une étoile de l’opérette (…). (ibid. F°185)
Avec cela, finissant par considérer l’homme comme une matière à exploiter, devenant une force de la nature (…). (ibid. F°192)
[Théophile Venot] a fait des spéculations et est devenu très riche. (ibid. F°203).
Il devient imbécile. (NAF Ms. 10313, Nana. F°210- Ebauche)
Elle tue le vieux dégoûtant, qui devient imbécile. (ibid. F°212)
Puis Nana comprendra et deviendra très comme il faut. (ibid. F°214)
Dès lors, il devient explicable que Nana le prenne et le retienne par un piment charnel. (ibid. F°215)
Dans ce cas, il faudra que je prenne une autre fille pour le type de la fille qui redevient ordurière en vieillissant. (ibid. F°219)
L’homme mûr devenant l’amant. (ibid. F°222)
La femme de Muffat deviendrait l’autre face du vice (…). (ibid. F°227).
Alors ils se tendent la main, s’embrassent, deviennent bons amis (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F° 244- Notes)
Le garçon va à Saint-Cyr et devient militaire. (ibid. F°260/15)
Des cheveux châtains déteints, deviennent jaunes. (ibid. F°264)
Des hommes d’âge mûr, ayant des situations honorables, devenant vraiment amoureux. (ibid. F°265/25)
Les canotiers chics deviennent insolents. (ibid. F°334).
=== Le Rêve (1888)== Si je reprends l’église, certaines modifications importantes en résultent. D’abord mon Hautecoeur redevient évêque (…)
cette chapelle devient importante (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 52, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou premier Plan du chapitre III)
Lourdes (1894)
Cette acceptation de la vie n’est possible que pour une élite, et très peu nombreuse. Alors que devient l’énorme masse de l’humanité ? (…) Or, elle [la religion] devient impuissante, l’expérience en a été faite pendant des siècles (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°12)
Eux, [selon sont devenus inoffensifs biffé] qu’on a persécutés et tâché d’exterminer, sont devenus inoffensifs, parce qu’ils sont le passé, les conservateurs. (ibid. F°42)
Ce qui est gênant un peu pour le roman, c’est que le personnage du prêtre devient maintenant trop central. (ibid. F°81)
« Lourdes », avec ce prêtre, doit donc devenir une tentative de croire aveuglément, de se reporter à la foi crédule du XII e siècle, et mon prêtre y échouera. (ibid. F°94)
Je songe que mes bourgeois, à l’enfant scrofuleux, viendraient aussi pour que le père, dans l’administration, où il est sous-chef, devienne chef. (ibid. F°112)
Quel voyage de souffrance ! Elle en devient sérieuse, attristée, et s’allonge – (ibid. F°122)
Elle [Marie] est devenue de plus en plus dévote, s’est jetée dans la religion par la souffrance. (ibid. F°152)
Et tâcher que Pierre et Marie redeviennent centrale [sic]. (ibid. F°171)
Il n’y a pas eu d’orage, le ciel est redevenu d’une pureté infinie, les belles étoiles qu’on aperçoit [en interligne : pas de lune]. (ibid. F°218)
(Que sont devenus le père Massias, Bonamy, Berthaud, Gérard, le baron Suire. Les montrer, les faire partir.[)] (ibid. F°231)
J’ai donc toute la lutte avec le commissaire et le préfet (…) jusqu’au jour où sur un ordre de l’empereur (l’impératrice derrière) la grotte devient libre. (ibid. F°301)
J’ai donc toute la lutte avec le préfet et le commissaire (…) jusqu’au jour où, sur l’ordre de l’empereur, la grotte devient libre. (ibid. F°306)
Surtout un morceau pour bien montrer qu’elle [Bernadette] ne pouvait pas devenir une sainte militante, une conductrice de peuples (…). (…) Et le morceau de ce que seraient devenues
les choses, si elle avait eu le tempérament d’en prendre la direction. (ibid. F°s386-387)
Elle [Bernadette] ne pou- \\vait pas devenir une sainte, une agissante, une conductrice de peuples (…). (ibid. F°s393-394)
Pendant ce temps, le râle de Mme Vêtu sans doute. (…) Mais le râle devient plus fort. (ibid. F°404)
Maintenant qu’elle [Marie] est sauvée, [son biffé] sa joie et son malaise à la voir redevenir femme. (ibid. F°456)
Ce que l’antique petite ville pyrénéenne (…) est devenue sous la poussée de la superstition. (ibid. F°502)
Ce que l[a biffé]’antique petite ville [pyréneen biffé] pyrénéenne est devenue, sous la poussée de la superstition. (ibid. F°505)
Elle [Marie] est redevenue femme, lui [Pierre] ne peut redevenir homme. (ibid. F°542)
Elle [Bernadette] est navrée, son cri douloureux est sincère, dans sa douleur d’être ainsi devenue « la bête curieuse ».
Tout ce monde se ruant [en interligne : amour du silence], cette poursuite de ce pauvre être, devenu fétiche, qu’on traque pour le voir et le toucher (…) – (ibid. F°s570-571)
Elle [Bernadette] est devenue une habile brodeuse, elle brode des aubes, des vêtements sacrés, en dehors des soins qu’elle donne à l’infirmerie. (ibid. F°571)
Parfois, dans sa gaieté, elle [Bernadette] devenait très grave, elle se repliait sur elle, pliant sous la douleur. (ibid.F°573)
Si elle [Bernadette] [el biffé] avait été une dominatrice (…), elle serait devenue là-bas prêtresse, papesse, etc. (ibid. F°574)
Dire que la femme est d’autant plus grande que lorsqu’elle est vierge, et imaginer pour une qu’elle reste vierge en devenant mère, n’est-ce point un blasphème contre la nature. (ibid. F°575)
Un miracle, trois jours après la mort, le corps [de Bernadette] n’a pas changé, corps souple ; les lèvres, les doigts, les ongles étaient redevenus roses. – (ibid.F°579)
Il [Pierre] n’a pu redevenir enfant comme les autres, puisque le bonheur était dans l’ignorance et le mensonge. (ibid. F° 580)
Sous de tels coups, c’est une pitié de voir les plus forts, les plus clairs, redevenir enfants. – (ibid. F°584)
« Lourdes » devient donc pour lui une tentative de croire
aveuglément, de [croire biffé] se reporter à la foi aveugle du XII e siècle. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 26-27 – Notes sur Marie de Guersaint)
Devenu très pâle, très jaune ; mais la face pas ravagée par la souffrance. (ibid. Fo 34 – Notes sur M. Sabathier)
Une figure commune devenue sublime, dans sa foi, dans son aspiration à la vie. (ibid. Fo 37 – Notes sur Frère Isidore)
Mais les aînés, qui travaillent à la terre, ont pris tout le bien ; et celui-ci, toujours chétif, bien qu’ayant poussé en longueur, devient frère des écoles chrétiennes. (ibid. Fo 38 – Notes sur Frère Isidore)
Grande et forte, les cheveux très noirs, le teint devenu mat. (ibid. Fo 71 – Notes sur Madame de Jonquière)
Républicain, il est contre la Grotte ; mais (…) il devient inquiet dès qu’on parle de fermer la Grotte, car il vit d’elle, comme Lourdes tout entier. (ibid. Fo 105 – Notes sur Cazaban)
Devenu égoïste. Ne souffre plus, mais veut guérir quand même. (ibid. Fo 123 – Notes sur la maladie de M. Sabathier)
De légères coliques, le caractère devient capricieux, le caractère triste et irritable. – (…) Grand amaigrissement, face jaune, tout le corps devient jaune. (ibid. Fo 124 – Notes sur la maladie de Mme Vêtu)
La scrofule devient très grave. (ibid. Fo 129 – Notes sur la maladie de Gustave Vigneron)
Et là retrouver, suivre, étudier et peindre ce duel incessant entre la science et le besoin de surnaturel :
(…) la médecine qui reste un art, une magie, bien loin de devenir expérimentale (…). (ibid. Fos 208-209 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
La Vierge, croit-il, l’aurait guéri, pour qu’il devienne l’historien de Lourdes. (ibid. Fo 257 – Notes sur H. Lasserre)
Dans son corps épuisé, son âme devient forte, espère la guérison. (ibid. Fo 274 – Notes sur sur Mlle de Fontenay)
Travail (1901)
Une troisième partie, ce que le bourg est devenu, la cité (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 353/6)
le lien entre Luc et la femme, qui peut devenir une grande passion (ibid., f° 355/8) \\Devenir un gros et malade d’oisiveté (ibid., f° 365/18)
Ce serait donc la femme du capitaliste qui deviendrait l’âme noire (ibid., f°s 366/19-367/20)
C’est elle qui devient centrale (ibid., f° 367/20)
avec laquelle plus tard, il redeviendra très heureux, qu’il appréciera lorsqu’il travaillera (ibid., f° 368/21)
Et ne pas oublier surtout que c’est la femme qui le décide, la pitié pour la femme qui deviendra de la tendresse (ibid., f° 372/25)
Dès lors, dans la seconde partie, Luc devient un fondateur (ibid., f° 372/25)
Puis, un vieil ouvrier, le produit du salariat dans la vieillesse, ce que deviendra l’ouvrier dans sa vieillesse (ibid., 377/30)
C’est ça qu’il deviendra (ibid., f° 379/32) \\ce qui est insoluble dans le milieu social actuel, deviendra aisé dans la cité du travail réorganisé (ibid., f° 379/32) \\Ce que devient l’argent (ibid., f° 380/33) \\Et ce que deviennent les anciens habitants du bourg pourri (ibid., f° 396/49)
DEVINER
Lourdes (1894)
Mme [Vincent biffé] Maze, très discrète, ne dit pas sa douleur morale, mais faire deviner qu’elle ne va pas à Lourdes pour une blessure du corps : « Ah ! j’aimerais mieux avoir une plaie au flanc ». (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°133)
Mais le plus tôt possible, je mets Appoline en conversation avec Des Hermoises. (…)
Et laisser deviner une intrigue, mais très discrètement. (ibid. F°s500-501)
DEVOIR
Ce verbe qui signifie à la fois la possibilité et la nécessité, signale, avec beaucoup d’autres consignes synonymes (falloir, absolument, nécessaire…) le poids de l’utilitarisme et du finalisme du cahier des charges de l’écriture naturaliste Bibliographie : Philippe Hamon : « Je veux donc ils doivent » dans : Exigences et perspectives de la Sémiotique, recueil d’hommages pour A.J. Greimas (H. Parret et H.G. Ruprecht eds.) (Benjamins, Amsterdam, 2 vol. 1985)
La Curée (1872)
Tout doit être compris dans ce sens (MS NAF 10 282, La Curée, f°297 / Premiers détails).
Le Ventre de Paris (1873)
Le drame doit être dans les Halles et tenir à l’empire. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 55)
Le dieu de la Halle doit faire une fin. (ibid., f° 63)
Les deux intrigues doivent marcher parallèlement. (ibid., f° 69)
A une servante, avec laquelle il doit avoir des rapports. (ibid., f° 106)
Elle a dû être jolie, air fin et rusé. (ibid., f° 107)
Le plus âgé a 28 ans, c’est un garçon de Troyes, un champenois qui doit épouser la demoiselle. (ibid., f° 113)
Une boulangère de la rue Turbigo. – Elle doit jouer un bout de rôle, dans les cancans. (ibid., f° 114)
Mais elle [Lisa] ne devait pas avoir sa douceur de bête de somme. (ibid., f˚ 242)
Au moment du gibier, l’étalage doit être superbe (ibid, f°286)
La Conquête de Plassans (1874)
Pierre et Félicité (…) Ils doivent reparaitre , et tenir une large place. Mais plutôt un fond de tableau qu’un premier plan (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
cette partie, la plus originale, doit avoir du développement.(ibid.F° 25)
Les Rougon ne doivent savoir que plus tard la tache que Faujas vient accomplir à Plassans. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)
A cette fin de chapitre tous les personnages doivent être posés. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)
C’est à partir de ce moment que doivent commencer les succès de Faujas. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
Faujas sait ce qu’il fait en la poussant là dedans ; c’est la pente qui doit la conduire à la religion (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8-9)
Faujas doit avoir gagné Surin. Fenil ne doit pas être battu aisément (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXI F˚ 12)
Faujas doit finir mal. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXIII F˚ 13)
Il faut qu’il ait là un coup de scène que le lecteur lui-même n’attende pas ; le lecteur
doit croire que Mouret n’est pas fou. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXV F˚ 13-14)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Ce doit être là l’originalité de cette figure. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 7)
Enfin je le mêle au drame de la fin, il doit peser sur la mort de Blanche. (ibid., f° 8)
Le livre doit être compris par quelques grandes belles masses très simples. (ibid., f° 10)
Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (ibid., f° 14)
Serge doit en venir à ne plus chercher sa consolation dans aucune créature. (ibid., Extraits de L’Imitation, f° 37)
Nana (1880)
C’est l’heure où Nana doit aller chez la Tricon. (NAF Ms. 10313, Nana. F°15- Plan)
Madame Maloir doit partir aussi, ou bien rester avec Zoé pour quelque chose. (ibid. F°16)
Mais les détails ne doivent venir que peu à peu, à mesure des invitations, pour se compléter à la fin. (ibid. F°26)
Cette conversation devra continuer jusqu’à fin (sic). (ibid. F°28)
Cet aparté là doit se passer derrière Estelle, qui ne bronche pas. (ibid. F°29)
Ce chapitre doit servir à poser le milieu Muffat (ibid. F°30)
Voici ce que la scène doit contenir : (…).
Clarisse et Simonne les costumes doivent servir à poser tout cela. (ibid. F°48)
Toutes ces scènes, pour avoir de l’unité, doivent se passer dans le foyer. (ibid. F°49)
(voir si Clarisse ne doit pas lui rapporter la réponse dans la loge, plus loin, lorsque Muffat est là ?). (ibid. F°50)
Il faut l’amener à une déclaration à Nana ; mais c’est le prince qui doit coucher ce soir-là. (ibid. F°52)
Cela doit être dit et servir quand le prince vient. (ibid. F°56)
Nana doit poser tout cela dans une conversation osée avec Muffat (…). (ibid. F°73)
C’est Mignon qui doit l’amener. (ibid. F°91)
Voir s’ils doivent tous être là. (ibid. F°100)
Voir si Muffat doit quitter sa place de chambellan, là ou plus loin. (ibid. F°106)
C’est là que les g. doivent faire le pivot du chapitre. (ibid. F°107)
Voir si l’épisode Satin doit être mis là. (ibid. F°108)
Un cheval doit avoir le courage ou le cœur, la bonne conformation, extérieure et intérieure. (11). (ibid. F°113)
Cela doit être une fin tragique. (ibid. F°146)
C’est ici que le plan de l’homme dévot doit avoir son dénouement.
La marchande à la toilette doit reparaître pour proposer une affaire à Nana. (ibid. F°149)
Mais cette conversation qui doit me redonner la chambre est coupée par les cris des boulevards. (ibid. F°157)
Voir si là on ne doit pas étaler ces ruines. (ibid. F°159)
La maison de Laure Piedefer doit revenir. (ibid. F°160)
Voir si Muffat ne doit pas paraître, ou envoyer un prêtre. (ibid. F°161).
Arsène Labordette.– On ne connaît pas son origine, doit être le fils d’un marchand de chevaux. (NAF Ms. 10313, Nana. F°182- Personnages).
Mais surtout je réunirai un personnel d’hommes très nombreux et qui devra représenter toute la société. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
Voir, si j’ai tout le vice ; la haute cocotte ; Nana ; le théâtre devra me donner Nana. (ibid. F°221)
Je crois que cela est bon et que je dois garder cela. (ibid. F°228)
Muffat doit être un honnête homme, un esprit un peu lourd, mais droit. (ibid. F°229)
La comtesse devra avoir une origine particulière. (ibid. F°231)
Ne pas en faire une Fenci. Tous ces rôles doivent être restreint.
Je dois avoir un homme désespéré, et cet homme sera le comte Muffat, voilà tout. (ibid. F°232)
Le marquis de Chouard doit aller de l’une à l’autre. (ibid. F°327).
Un clerc de notaire très distingué a amené Sydonie, une femme du quartier latin à laquelle il doit acheter un café où elle s’établira avec sa sœur. (NAF Ms. 10313, Nana. F°245/3- Notes)
Les hommes doivent abandonner tout amour-propre. (ibid. F°268/28)
Le souffle (sic) du mari à Millaud, qui doit se fâcher. (ibid. F°281).
Pot-Bouille (1882)
C’est lui [Octave] qui doit conduire le roman (MS NAF 10321, Pot-Bouille, f° 384)
Le père qui mourrait seulement ; c’est de lui dont je dois faire un bourgeois solide (ibid., f° 384)
Au bonheur des dames (1883)
Le côté financier de Mouret doit être aussi très étudié (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 7) \\La lutte des deux magasins doit être le vrai drame, très vibrant (ibid., f º 9) \\(…) et peu à peu, l’histoire de la passion de celui-ci [Octave] qui doit être très étudiée (ibid., f ºs 11-12) \\La femme doit être petite et fine (…), une parisienne à chercher (ibid., f º 12) \\Pour me débarrasser de Mme Hédouin, voir si je ne dois pas la faire tuer dans les constructions au début (…) (ibid., fº 14) \\Le chef de rayon devrait avoir un lien avec la maîtresse d’Octave (ibid., f º 17) \\Quant aux vendeuses, elles doivent représenter toutes les variétés (ibid., f º 19)
La Terre (1887)
Bonhomme. (…) Sa passion de la terre doit aller avec l’amour du travail. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 443/44)
(…) Le Maire doit être l’épicier, enrichi dans un commerce spécial, du vin en gros peut-être. (ibid., f° 450/451) Tout ce caractère doit le mouvementer (MS NAF 10329 La Terre f° 35 – Personnages, Joseph Fouan)
Hourdequin doit représenter la grande culture (ibid., F° 68 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
=== Le Rêve (1888)== Comme je veux que l’histoire finisse bien (…)
(…) je dois mettre le drame au milieu (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 227/11)
(…) Ne pas oublier que le jeune homme doit arriver en prince charmant (ibid., f° 234/) \\(…) Elle ne doit pas savoir qui il est (ibid., f° 235/19) \\(…) Le recueil des voyages doit apporter aussi son effet, ces pays lointains qu’elle rêve (ibid., f° 244/28)
(…) Ce chapitre doit précéder celui où elle travaillera avec les Hubert et dira son rêve (ibid., f°s 254/38-255/38bis) (…) Il faut que la réalité dépasse encore l’espoir. Pour cela Félicien doit apparaître beau, superbe, riche à million (ibid., f° 262/45)
(…) Le chapitre doit être pour peindre cette lente
agonie (ibid., f°s 270/53-271/54)
(…) Elle épouse le prince charmant (…) C’est pourquoi tout doit chanter (ibid., f° 279/62)
(…) Angélique au XI doit finir par croire qu’elle n’est plus aimée (ibid., f ° 286/69)
(…) Il doit rester l’inconnu (ibid., f° 293/76)
(…) Les épisodes aussi ne doivent pas être romantiques mais terre à
terre relevés par la grâce (ibid., f°s 294/77-295/78)
(…) Les Hubert (…) doivent avoir aussi la sensation qu’un rêve est fini (…) cela doit rester triomphal (ibid., f° 306/89)
(…) La maison des Hubert doit être collée au cha
teau au lieu d’être collée à l’église (ibid., f°s 309/92-310/93)
Cela doit me donner le quartier. Le poser simplement (ibid., Plan, premier Plan détaillé du Chapitre I, f° 10)
(…) Et cela doit me donner aussi toute la religion pour elle et pour les Hubert (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 21) \\L’histoire de Beaumont l’église doit être là pour poser le milieu cloîtré (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 38)
Angélique doit être corrigée déjà (ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
Tout le chapitre doit se passer dans la chambre d’Angélique (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 63)
Toute cette partie du désir d’amour doit être développée détail à détail (ibid., première partie du chapitre IV, f° 65)
Il est le prince charmant. Il se nomme Félicien et c’est tout . Elle ne doit absolument pas soupçonner qui il est ni le lecteur non plus (ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 74)
L’émotion à la fin de l’épisode doit tuer le rire (ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 75)
La seule invraisemblance est qu’on doit savoir que le fils de l’évêque s’amuse à cela (ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 78)
Elle ne doit pas savoir ce que c’est. Elle s’interroge (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 79)
Et la mitre, son dessin en or nué, ce qu’elle doit être (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 80)
Cette scène doit être conduite avec un saisissement de l’un et de l’autre (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 81)
Elle devra comprendre brusquement au moment de la procession (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 83)
Félicien doit être très simple, l’air pauvre, avec les références nécessaires (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 86)
C’est ce qui doit faire l’originalité de ce chapitre (…) tout ce chapitre est un repos pour arriver au chapitre suivant (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 88)
Ne pas insister trop, car le point faible est l’invraisemblance de l’incognito qu’il peut garder : les Hubert devraient savoir qui il est (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 89)
Là au moins, à la fin, elle doit savoir qu’elle aime (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 91)
Elle doit au moins savoir qu’elle aime à partir de la fin de l’autre chapitre (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Angélique doit déjà frémir d’un pressentiment (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 103)
Le public lui aussi ne doit apprendre que là qui est Félicien. Il doit hésiter comme Angélique au début du chapitre (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 113.)
Cela n’empêche pas qu’elle doit avoir aussi conscience de ce qui s’écroule (ibid., plan du chapitre IX, f° 123)
Si je dois faire mourir Angélique, laisser entendre que c’est là qu’elle viendra (ibid., premier plan du chapitre X, f° 140)
C’est là aussi qu’il doit expliquer pourquoi elle l’a vu avec Claire (…) pourquoi il a laissé les choses aller jusque là (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 159)
Mais là dire que Félicien a parlé à son père (…) mais je crois qu’il ne doit arriver qu’après la cérémonie (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)
Elle épouse
le prince charmant, la beauté, la fortune, au delà de tout espoir. C’est pourquoi tout doit chanter (ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f°s 185-186)
Les Hubert (…) doivent aussi avoir la sensation qu’un rêve vient de finir (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 187)
C’est pourquoi tout doit chanter (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 189)
Les Hubert (…) doivent aussi avoir la sensation qu’un rêve vient de finir (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 193)
La chapelle des Hautecoeur dédiée à Saint-Georges doit revenir (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 194)
Lourdes (1894)
Ne devrait-on pas combattre bravement l’erreur, pour travailler à
une humanité sage, raisonnable (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s2-3)
Je puis donc finir « Lourdes » sur cette question anxieuse que se pose mon prêtre. Il ne la résoudra
pas, il la laissera à l’état d’inquiétude, car je dois finir sur la pitié, sur la tolérance pour la souffrance humaine. Cela infiniment triste, et avec ce frisson du devoir qu’on devrait avoir de combattre la superstition (…). (ibid. F°s3-4)
Je mettrai cette dame dans une situation où elle devrait vingt fois succomber (…). Et comment elle s’immole pour la religion, l’idée du devoir. (ibid. F°6)
Tout cela devra être étudié sur place. (…) La conclusion doit montrer l’impuissance de l’église catholique à évoluer assez pour se régénérer et suffire
au besoin moderne. (ibid. F°s8-9)
Après l’échec de mon prêtre à Rome, il doit tomber dans un désespoir muet,
une impuissance radicale. (ibid. F°s10-11 )
La cité future de félicité montrée : ainsi toute la partie où le prêtre cache son frère, où ce dernier l’initie, doit être [ext biffé] comme une brusque ouverture sur un Paradou social. (ibid. F°17)
Dans « Lourdes », je n’aurais qu’à poser le frère, et tout de suite je dois dire je crois qu’à la mort du père, il a eu sa part de la fortune en argent comptant et qu’il a disparu. (ibid. F°19)
Le peuple se détourne, il veut un idéal plus humain, une illusion plus immédiate. Toute ma conclusion dans « Rome » et dans « Paris » doit être là.– (ibid. F°26)
Tout ce mysticisme, pour un artiste, devrait se passer dans un décor du XIV e siècle, une vieille basilique, un cloître, où les artistes naïfs de l’époque auraient mis toute leur âme. (ibid. F°44)
Il y a encore les dames hospitalières de l’hôpital qui ont dû la panser, voir la plaie, puis voir la chair refaite. (ibid. F°47)
Est-ce que la foi ne devrait pas suffire pour croire aux miracles ? (…) Il n’y a qu’à s’incliner et à croire ; ou bien, du moment que l’examen commence, il ne doit plus s’arrêter, il va jusqu’au bout et aboutit fatalement [à la biffé] au doute, car la raison ne peut conclure. (ibid. F°48)
Et plus loin encore (…)
tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (ibid. F°s56-57)
Et à la fin, il [est biffé] doit renoncer à tout, car [il biffé] elle ne l’épouserait pas, défroquée [sic], après la certitude que Dieu l’a guérie. Donc, il est le martyr du fait, il doit
s’élever plus haut, dans l’abnégation. (ibid. F°s77-78)
Un peu intellectuel ; car, si je lui donnais des passions trop vives, il devrait lutter et ne résisterait peut-être pas. (ibid. F°79)
La grosse affaire est donc de bien régler l’abbé. Il a dû connaître la malade enfant. (ibid. F°84)
Cette crise doit l’amener au doute absolu des dogmes : il ne croit plus et il est prêtre. (ibid. F°88)
« Lourdes », avec ce prêtre, doit donc devenir une tentative de croire aveuglément, de se reporter à la foi crédule du XII e siècle, et mon prêtre y échouera. (ibid. F°94)
Il me faudrait certaines histoires à côté pour emplir certaines parties qui restent un peu vides. Cela doit être fourni par les hospitaliers, les hospitalières et les malades. (ibid. F°100)
Je crois que je devrais mettre un interne des hôpitaux du même âge. (ibid. F°114)
Personne ne le [l’homme] connaît, comment il a dû prendre un billet et s’être traîné là. (ibid. F°128)
Naturellement, garder Pierre et Marie au centre. C’est eux qui doivent tout mener, je les pose d’abord, dès les premières lignes, et je me sers d’eux, pour mener la présentation de tous les autres – (ibid. F°136)
Il [l’homme] mourra [après biffé], au IV, après les miracles, [au biffé] ou au V. Enfin, il doit être mort à la fin de la première partie. – (ibid. F°138)
J’ai dû introduire Mme de Jonquière et sœur Hyacinthe dans le wagon. (ibid. F°140)
Le départ du train blanc est à 5.25 du matin, le [sam biffé] vendredi 19 août, et il doit arriver à Lourdes le samedi 20 août, à 3h40. (ibid. F°143)
Je crois que je dois aller, avec le premier chapitre jusqu’à Saint-Pierre-des-Corps. (ibid. F°144)
Depuis [un an il biffé] longtemps, ils [les Guersaint] ont dû vendre la petite maison. (ibid. F°151)
Donc il [Pierre] refuse, mais de telle sorte, que Marie doit s’apercevoir qu’il ne croit pas. (ibid. F°153)
Dois-je dire tout de suite que Marie, seule au monde, sait que Pierre ne croit pas, et qu’elle va prier pour lui. Oui.– (ibid. F°161)
Pierre, je crois, doit avoir l’idée de courir tout de suite chercher le médecin qu’on lui a dit être dans le wagon de la cantine. (ibid. F°165)
Du reste, poser là le départ des personnages. En réservant pour plus loin ce qu’ils doivent faire. – (ibid. F°166)
D’abord dans le wagon, (…)
l’homme avec sœur Hyacinthe (mais ne pas oublier que c’est l’homme qui doit me donner les Vigneron, le garder donc pour la fin du morceau) – (ibid. F°s168-169)
Mme Volmar (…) ne rêve que d’arriver à Lourdes, où elle doit retrouver son amant. (ibid. F°170)
(Dès qu’elle [Sophie Couteau] arrive avec son miracle tous prêtent l’oreille, se relèvent. Cela doit commencer par Marie, centrale.) (ibid. F°172)
Dès l’arrêt du train, Pierre court chercher l’interne, qui arrive avec sœur Hyacinthe. Cela doit me donner ces deux personnages, les prendre aux Pers. (ibid. F°173)
Faire ce chapitre [III de la première partie] en épisode, très vivant, et avec cette idée constante que la souffrance doit monter. – (ibid. F°178)
Pourquoi elle [Sophie Couteau] était en retard. Une étourderie d’enfant qui doit la peindre. (ibid. F°183)
(On ne doit être à Bordeaux qu’à 7h35). (ibid. F°187)
Elle [la lecture] doit durer une heure, mais c’est si intéressant, qu’on supplie la sœur de laisser continuer. (ibid. F°199)
Et la discipline doit fléchir. Sœur Hyacinthe, intéressée elle-même, ferme les yeux, laisse continuer. – (ibid. F°206)
Mais bien voir où je devrais indiquer la formation de l’image de la Vierge chez Bernadette. (ibid. F°207)
Les paroles qu’elle prête à la Vierge, elle a dû les entendre. (ibid. F°208)
Enfin comment une Bernadette a dû fatalement pousser dans un tel milieu. – (ibid. F°209)
Le ciel lavé par l’orage, il a dû éclater là. (ibid. F°210)
Pierre a dû se griser lui-même, et le montrer ici près de croire, croyant qu’il croit. (ibid. F°215)
Voir où l’homme doit
mourir. (ibid. F°s218-219)
Le père Forcade [sic] doit avoir son idée de la résurrection (plus tard). (ibid. F°226)
Je reviens donc encore au wagon, et c’est ici que le petit jour doit naître, sur cette débacle d’ambulance, le quai encombré de malades et d’infirmes. (…) Le père Forcade [sic], le père Massias [en interligne : Bonamy] doivent revenir là, pour la fin avec le mort. Et c’est dans cette bousculade que je dois [pas biffé] mettre l’épisode du Commandeur. (ibid. F°229)
Les religieuses doivent être arrivées avant Mme de Jonquière, et la reçoivent. (ibid. F°245)
Et tout de suite l’histoire (Pierre (…) devait le [Chassaigne] savoir à Lourdes (…)). (ibid. F°258)
Se rappeler que la Grivotte, au chapitre suivant, doit venir au bureau des constatations crier qu’elle est guérie. (…) Bien [dire biffé] songer aussi qu’Elise Rouquet doit éprouver un soulagement. (ibid. F°262)
Je prends Pierre, lorsque, plein de malaise, (…) il s’éloigne de la grotte, où il doit revenir prendre Marie dans une heure. (ibid. F°265)
Mais Pierre : on ne doit arguer de cela en faveur du mystère, on doit espérer qu’un jour les faits inexpliqués s’expliqueront. Très ferme dans cet espoir : (…) l’espoir de l’homme doit être que tout sera expliqué. (ibid. F°275)
Et là voir si je dois mettre tout de suite la nouvelle installation, par Bonamy. (ibid. F°281)
Il ne faut pas arguer qu’on ne saura jamais tout en faveur du mystère. On doit toujours espérer qu’un jour les faits inexplicables s’expliqueront. (ibid. F°286)
Très ferme dans cet espoir : (…) l’espoir de l’homme doit être que tout sera expliqué. (ibid. F°286)
C’est donc la description que je fais à l’aide de Pierre qui s’est assis au chevet de Marie, et doit lui parler de la communion pour minuit (avec l’abbé Judaine, l’aumônier de la salle). (ibid. F°297)
Tout ce qui précède doit être traité brièvement, parce qu’en somme c’est Bernadette qui est centrale et qui doit emplir le chapitre. (ibid. F°300)
Mais en somme, c’est l’hôtel qui est le cadre du chapitre et le chapitre doit y tenir tout entier. (ibid. F°321)
Celle-ci [Mme de Jonquière] doit être au courant, to- \\lérante et pardonnant à cause des circonstances. (ibid. F°s323-324)
Régler les heures, car Pierre doit aller mener Marie devant la Grotte et revenir – (ibid. F°326)
Les couvents aussi doivent venir dans ce chapitre. (ibid. F°339)
Voir si je ne dois pas montrer les Dieulafay là-dedans. (ibid. F°344)
Je crois que c’est ici que je dois mettre le morceau sur tous les genres de prêtres qui viennent à Lourdes (…). (ibid. F°348)
Et surtout parler tout de suite, dès le début, de la procession aux flambeaux, qui doit être passée par là, car elle est le pivot du chapitre. – (ibid. F°351)
Sa fille finira par l’envoyer se coucher, puisqu’il [M. de Guersaint] doit partir à trois heures du matin. (ibid. F°359)
Il [Pierre] reste très troublé, mais il ne doit pas rejeter la foi ; car il ne fera cela qu’après le miracle de Marie, annoncé par la scène. (ibid. F°372)
Voir où je dois mettre la mort de la petite Rose sur les bras de sa mère. (ibid. F°373)
Ce sont les dates qui doivent conduire le tout. (ibid. F°387)
Ce qui ne pourra entrer dans ce chapitre, devra être conservé pour le chapitre V de la quatrième partie. (ibid. F°398)
Marie doit finir. (ibid. F°407)
En tous cas, y mêler Marie qui (…) vit dans une attente extasiée, Pierre ne doit venir la chercher qu’à trois heures (…). (ibid. F°410)
C’est hier que Raymonde doit annoncer à sa mère que le mariage est fait. (ibid. F°411)
Voir s’ils [Gérard et Berthaud] ne doivent rien dire du mariage, de Raymonde, qui est là. – (ibid. F°416)
Voir si le Commandeur devrait être là, et trouver ce qu’il ferait, ce qu’il dirait. Ne pas oublier qu’il doit être [presque biffé] à l’agonie, le lendemain. (ibid. F°448)
Comme la vie doit être mauvaise pour
qu’il monte un pareil cri de souffrance et d’imploration vers le ciel. (ibid. F°s457-458)
Mais le docteur [Chassaigne] vient du bureau des constatations, où il a appris le miracle, et il doit en parler à Pierre. (ibid. F°458)
Pourtant, je ne crois pas que Pierre doivent se livrer là : il préfère encore ne rien dire. (ibid. F°459)
Ne pas oublier que Marie doit aller remercier la Vierge à la Grotte. Elle aurait dû y aller tout de suite. (ibid. F°464)
Tout ceci doit se passer de bon matin, car je voudrais en arriver à cet épisode. (ibid. F°487)
Ce coup de fortune pour Lourdes, cette popularité doit être un effet qui revient d’un bout à l’autre du chapitre, comme la joie que Marie éprouve à marcher. (ibid. F°491)
Je crois que je dois tout de suite, après avoir posé Appoline (…), faire procéder à un achat. (ibid. F°498)
Je crois que je devrais conserver la boutique et Appoline pour la fin du chapitre (…). (ibid. F°504)
Tout le chapitre doit rendre cela sensible. La simonie, la foule. (ibid. F°504)
Je crois que je dois me débarrasser d’avoir les Vigneron. (ibid. F°514)
Il [Des Hermoises] doit rester à Lourdes. (ibid. F°532)
Tout cela doit aller jusqu’à Tarbes à 4h20 [en interligne : 40 minutes]. (ibid. F°533)
Puis l’épisode de Mme Vincent. (…) Et son épisode doit se poser avec Marie, Pierre et M. de Guersaint. (ibid. F°533)
Un cas de phtisie particulière [la Grivotte], où la névrose doit jouer un rôle. (ibid. F°539)
Je crois que je dois d’abord résumer tout le passé. (ibid. F°541)
C’est ce qu’il [Pierre] va encore combattre, ce dont il doit triompher. (ibid. F°544)
Dois-je mettre là le rappel du Commandeur. (ibid. F°547)
Et tout le wagon doit revenir. (ibid. F°549)
Pierre doit me servir à toute la conclusion philosophique. (ibid. F°553)
Je crois que je dois seulement l’indiquer là seulement, en me réservant de le reprendre
dans Paris, dont le sujet sera là sans doute – (ibid. F°s555-556)
Voir si je dois continuer à nommer les personnages sans leur rien faire faire. (ibid. F°569)
Son [ats biffé] asthme, son hérédité nerveuse, aggravée par le cloître avait dû tourner en phtisie. (ibid. F°576)
Rien que la science ne semble pas devoir suffire, et il semble nécessaire de laisser une porte ouverte sur le mystère (donc une religion nouvelle, plus loin). (ibid. F°586)
Ce qu’elle [Bernadette] devait penser, quand elle songeait à Lourdes. (ibid. F°592)
Je crois que, pour le balancement des lignes, je dois faire reprendre le petit livre de Marie. (ibid. F°594)
Voir s’il y a lieu de faire passer le Commandeur qui doit mourir le lendemain. (ibid. F°604)
Voir si elle [Marie] doit deviner son in- \\croyance. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 12-13 – Notes sur Pierre Froment)
Pas belle, mais du caractère ; et a dû être séduisante. (ibid. Fo 39 – Notes sur la Grivotte)
Enfin, il doit être mort à la fin du chapitre, entre Tarbes et Lourdes. (ibid. Fo 51 – Notes sur l’Homme)
Et comment il en est venu à souhaiter la mort de madame Chaise, sœur de sa femme qui doit laisser toute sa fortune à Gustave. (ibid. Fo 53 – Notes sur M. Vigneron)
Le sexe de la femme ne doit pas apparaître en elle. (ibid. Fo 88 – Notes sur sœur Hyacinthe)
D’ailleurs Pierre pourrait et devra passer en revue, en une page, tous les genres de prêtres qu’on rencontre à Lourdes. (ibid. Fo 92 – Notes sur l’abbé Judaine)
Voir si je ne dois pas donner un bout d’intrigue à Appoline. (ibid. Fo 103 – Notes sur Appoline)
Le grand médecin comprend donc que la cause première a dû disparaître, l’état organique s’améliorer (…). – (ibid. Fo 118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Dans les notes succinctes et primitives, rien que les bases d’une enquête qui doit se poursuivre. (ibid. Fo165 – Notes sur les Miracles)
Il y a des faits de guérison qui échappent à toute interprétation scientifique. Mon Dieu ! cela doit être vrai. Mon vieux médecin doit en avoir vu beaucoup de pareils, dans sa longue pratique. (ibid. Fo 174 – Notes sur les Miracles)
Comme il est entendu qu’on ne doit pas nourrir
les malades en voyage, on les pousse à emporter leurs petites provisions. – (ibid. Fos 182-183 – Notes sur le Départ de Paris)
En outre, les tableaux des grandes foules, (…) tous les types abominables de la souffrance, transfigurés parfois par l’espoir, rangés devant la grotte, où il doit en mourir (…) \\. (…) Et au fond les cierges, énormes, gros comme la jambe, rangés ainsi que des tuyaux d’orgue, qui doivent mettre des semaines à brûler. (ibid. Fos 212-213 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
En réalité elle [la cascade] doit glisser avec une rapidité foudroyante. – (ibid. Fo 219 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Les vraies proportions du cirque échappent, l’impression n’est pas aussi énorme qu’elle devrait l’être. (ibid. Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Le préfet doit renoncer à faire arrêter B. – (ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
Et le besoin d’illusion doit l’emporter quand même, tout balayer pour le besoin du surnaturel. (ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Comme christianisme naissant, l’app. de la V. doit traverser les épreuves et les persécutions. (ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
La Vierge lui [le biffé] dit un troisième secret personnel. Confidences intimes qui, d’après Lasserre, devaient sauvegarder Bernadette au milieu des périls
moraux auxquels allaient l’exposer les faveurs extraordinaires dont elle était comblée. (ibid. Fos 240-241 – Notes sur H. Lasserre)
((…) Et le besoin d’illusion devant l’emporter quand même, tout balayer par le besoin de surnaturel, de la croyance à la guérison par une puissance supérieure). (ibid. Fo 248 – Notes sur H. Lasserre)
Ça commençait par les petits et les humbles, et l’Evêque ne devait venir que plus tard. (ibid. Fo 248 bis – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette, épuisée par son asthme, fatiguée par les visiteurs, tombe malade. (…) Son départ devait calmer. (ibid. Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] priait pour les pécheurs, c’était sa grande occupation. (Elle aurait dû vivre.) (ibid. Fo 261 – Notes sur H. Lasserre)
L’église devait être entourée d’échafaud à l’intérieur. (ibid. Fo 280 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Travail (1901)
La femme malheureuse, Luc avec elle, et là elle doit être sur le point de se donner (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 361/14) \\L’usinier doit être un type, le patron (ibid., f° 365/18)
Je crois que le reste du drame doit m’être donné par des types d’ouvriers (ibid., f° 369/22)
La lutte des classes doit m’être donnée aussi (ibid., f° 370/23)
Il doit être préparé à en être très ému (ibid., f° 371/24)
Mais tout cela doit être encore confus (ibid., f° 372/25)
Cela me fait penser que le premier livre devrait être court, de même que le dernier, de même longueur tous les deux et symétriques (ibid., f° 373/26)
tandis que le livre deuxième, celui du milieu, devrait être beaucoup plus long (ibid., f° 374/27)
L’institution et l’éducation des enfants doit tenir une grande place, car c’est par elle que la nouvelle société se créera (ibid., f° 375/28)
Voilà le grand type, qui doit venir en avant, au premier plan, pour bien montrer la bête monstrueuse du salariat (ibid., f° 376/29-377/30)
Cet ouvrier que je sauve, doit être le terrain d’expérience, celui que Luc doit conquérir (ibid., f° 382/35)
J’ai réfléchi aussi que les passions politiques doivent exister dans mon œuvre (ibid., f° 389/42) \\Le contre-maître a un rôle dans cette décision, et la femme de l’ouvrier aussi, elle doit décider tout (ibid., f° 393/46)
La verrerie §§§ doit être centrée (F° 394/47) \\C’est ici que l’usinière doit travailler pour que l’ouvrier sonne un coup de couteau à Luc (ibid., f° 395/48) \\Elle doit me donner des tableaux §§§ de l’utopie prochaine (ibid., 397/50)
Tout cela doit être remanié (ibid., f° 398/51)
J’ai dit que Bonnaire doit rester sur le carreau. Et il faut donc le compromettre.La cause de la grève doit être absolument une augmentation de salaire (la forme du salaire doit être aussi règlée, est-ce le marchandage) (ibid., F°427)
Je me demande si tout cela ne doit pas être le premier chapitre de l’utopie ouvrant le rêve (ibid., F°438)
Ils doivent s’estimer (…) il a dû fréquenter chez eux (ibid., F°439)
DIABLE
(Personnification du Mal dans la religion catholique) === Le Rêve (1888)== Alors les grandes divisions faites par moi de la légende. Les Saints. Les diables.(…) les supplices des martyrs et les miracles (…) les bêtes et le comique. Spécialement pour l’amuser comme des romans (MS NAF 10323, 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20) \\Les saints. Les diables. Et la bataille entre eux (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 34)
et là il me faut donc reprendre le diable toujours battu (Légende dorée 4) (ibid., f° 42)
Le Diable, c’est la matière (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)
Le diable c’est la matière (ibid., f° 62)
Lourdes (1894)
La haine de la bonne nature : la nature, c’est le diable. – Lourdes est la cité privilégiée de Marie (59). Hélas ! (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°567)
La nuit, elle [Bernadette] voit le diable – Va-t’en, Satan ! Le démon a voulu se jeter sur moi, mais tout a disparu. Le démon dans cette vie innocente, pourquoi ? Elle n’avait
pas péché. (ibid. F°s578-579)
DIAGNOSTIC
Lourdes (1894)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°272)
Maintenant comment se trompe-t-on à Lourdes. Erreur possible des diagnostics, même de bonne foi. (ibid. F°277)
Et un petit diagnostic : « Allez-vous me montrer un miracle ? – Le miracle ne se fait pas sur commande. Dieu intervient quand il veut.– [»] (ibid. F°279)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (ibid. F°284)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : les certificats pas mensongers [en interligne : difficulté du diagnostic], mais mal établis, par l’ignorance fatale ; (…). (ibid. F°285)
Et Pierre pense au diagnostic de Beauclair. (ibid. F°286)
DIALOGUE / DIALOGUÉ
La Conquête de Plassans (1874)
Pas de portraits des faits et de dialogues (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan F˚ 4)
Lourdes (1894)
Je mettrai sans doute sous forme dialoguée la partie relative à N.–D. de la Salette. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°205)
DIATRIBE
Lourdes (1894)
Et là Cazaban reprenant ses diatribes contre la Grotte, puis tout à coup tournant : ah ! non, il ne faut pas qu’on ferme la Grotte, parce que lui libre penseur, ainsi que toute la
ville haute, en vit. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s506-507)
DIEU (DÉESSE) / DIVIN / DÉIFIÉ
(Voir aussi : Bible, Adam, Eve, dieu, Genèse, Jésus, Job, Marie, Paradis, Passion, Satan)
Le Ventre de Paris (1873)
Il sera le dieu de la Halle, il en connaîtra les coins les plus cachés (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 62)
Le dieu de la Halle doit faire une fin.(ibid., f° 63)
Ce dieu de la Halle peut être le fils d’une marchande de poissons (ibid., f° 64)
Lisa se trouvera en face du dieu de la Halle et de sa mère. (ibid., f° 65)
Le dieu de la Halle que je nomme en attendant Jacques Duval est une brute heureuse.(ibid., f° 66)
Jacques, le dieu de la Halle, sera décidément un orphelin, né dans la Halle. (ibid., f° 75)
La petite aimera le dieu de la Halle. (ibid., f° 77)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Je calque le drame de la Bible, et à la fin je montre sans doute Frère Archangias apparaissant comme le dieu de la Bible et chassant du paradis les deux amoureux. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 3)
Il représente le dieu de colère, le Dieu jaloux et terrible. (ibid., f° 8)
La façon dont une vieille femme nettoie le bon Dieu. (ibid., f° 15)
Deuxième morceau, à la fin du chapitre. Conversation avec Dieu, montrer plus intimement les fruits de cet état d’esprit. (ibid., Extraits de L’Imitation, f° 34)
Nana (1880)
bon Dieu. Ce n’était pas Muffat qui aurait plaisanté comme Vendoeuvre (NAF Ms. 10313, Nana. F°40-Plan)
(M. Venot veut ramener tout le monde à la religion. Content à la fin du chapitre. Dieu par tous les moyens.). (ibid. F°132)
Et Muffat tombant dans le salon, à genoux. le calvaire s’achève là Oh ! mon Dieu, c’est trop ! Justement Venot se présente. (ibid. F°144).
Superstitieuse, avec la peur du bon Dieu. (NAF Ms. 10313, Nana. F°192-Personnages).
Nana, c’est la perdition, c’est le diable ; pourquoi n’attirera-t-elle pas un catholique, tout frémissant de la crainte de Dieu ? (NAF Ms. 10313, Nana. F°226-Ebauche).
Il raconte le Sacrifice d’Abraham en patois d’Alsace. Quand Dieu jure, il dit : Sacré nom de moi. Isaac répond toujours : oui papa. (NAF Ms. 10313, Nana. F°245-3-Notes)
Le sentiment religieux. Elle parle du bon Dieu quand elle couche. (ibid. F°252-1).
Vénus paraît : tunique de déesse, cheveux blonds dénoués (NAF Ms. 10313, Nana. F°47-Plan).
=== Le Rêve (1888)== Le fils de l’évêque est donc comme le fils de Dieu le père (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 231/15)
(…) Un vrai bon Dieu (ibid., f° 239/23)
(…) Angélique (…) songeant à ce Jésus de Dieu le Père (ibid., f° 256/39)
(…) sa gloire de fils de Dieu (ibid., f° 262/25)
(…) L’évêque l’écoutera comme Dieu le père (ibid., f° 269/52)
(…) Il (…) demande un miracle à Dieu, dit à la mourante : Ma fille, si Dieu le veut, je le veux.(ibid., f° 297/80)
(…) Mon Dieu ! je suis décidé à en [Félicien] faire un oisif, un amateur, un demi-artiste (ibid., f° 302/85)
(…) Arranger cela avec Dieu (ibid., f° 306/89)
(…) le vitrail est celui d’une salle basse, d’ une salle des gardes par exemple, et il représentera un jeune dieu avec une déesse ou encore une scène mythologique (ibid., f° 310/93).
L’enfant de Dieu (ibid., Plan, premier Plan détaillé du Chapitre I, f° 11) \\L’enfant de Dieu à la porte de l’église (ibid., 2ème Plan détaillé du Chapitre I)
si Dieu veut je veux (ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Si Dieu veut je veux (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 57)
Mon Dieu, pourquoi m’avez-vous abandonnée ? (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 146)
La grâce qui vient de Dieu (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
La grâce qu’on prétend venir de Dieu viendrait d’elle (ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)
Monseigneur, alors, très pâle, dit qu’il n’y peut rien, que Dieu seul est le maître. Et c’est alors qu’il se substitue à l’abbé Cornille, s’en remettant à Dieu (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 173)
Si Dieu veut, je veux (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 174)
Le seul mot du marquis est : Je le veux, si Dieu veut (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 179)
Lourdes (1894)
Si Pierre ne croit plus, c’est par ma révolte de sa raison. La raison déifiée en lui. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°25)
L’évêque Laurence qui ne croit pas, mais qui finit par céder : Mon Dieu ! pourquoi résister au triomphe de la religion. (ibid. F°38)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « (…) Refaire des os, refaire de la chair, instantanément, mais c’est le miracle, et si je pouvais le faire, je serais Dieu. (…) » – (ibid. F°46)
Au temps de foi, de croyance, est-ce qu’on appelait la science à prouver Dieu ? (ibid. F°49)
Puisqu’ils sont heureux d’être trompés,
mon Dieu ! pourquoi leur refuser ce bonheur. (ibid. F°s64-65)
Le bâtir pour cela, faire que s’il ne croit plus, c’est par une révolte de sa raison. La raison déifiée en lui – (ibid. F°96)
Pour Pierre réflexion qu’il peut faire là-dessus. Haïr Marie, et pourquoi grand Dieu. (ibid. F°567)
« Je souffre, mais je suis contente de souffrir. – [»] Pourquoi, mon Dieu ! quel blasphème et quelle cruauté inutile ! (ibid. F°577)
Pourquoi vouloir pousser Dieu à transgresser [Dieu biffé] les lois de la nature qu’il a établies, dans sa sagesse infinie. (ibid. F°583)
(L’humanité est une grande malade, abandonnée par [l’a biffé] la science, qui s’adresse au miracle de Dieu. – [)] (ibid. F°586)
Et la scène où elle [Marie] jure de n’être qu’à Dieu. (ibid. F°605)
C’est là le grand effet du personnage : (…)
l’abattre, à genoux, devant sa fille guérie, dans une joie divine, un acte de remerciement et de foi ardent. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 29-30 – Notes sur M. de Guersaint)
L’idée de Dieu est l’idée de l’infini (parole de pasteur). Boissarie dit que cette parole est la réfutation du matérialisme. Pourquoi ? (ibid. Fo 145 – Notes sur Boissarie)
Dieu avait vaincu. Dieu, hélas ! non, mais la misère humaine, le besoin de mensonge. (ibid. Fo 226 – Notes sur H. Lasserre)
Dieu a fait son œuvre, non, etc. – (ibid. Fo 227 – Notes sur H. Lasserre)
Dieu avait vaincu – Dieu, hélas ! non, la misère humaine, le besoin de mensonge. (ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre)
Dieu a fait son œuvre – Non, l’illu- \\sion humaine. (…) Le triomphe de Lasserre, Dieu disant à la goutte d’eau de marcher (Bernadette) et la goutte d’eau emportant tout. (…) C’est cela qu’il faut que je fasse sortir de toute mon œuvre. La force divine est dans l’homme – (ibid. Fos 254-255 – Notes sur H. Lasserre)
Pourquoi la guérison des autres, et pas la sienne ? Pour la sauver [Bernadette] ? Mais alors, Dieu ne sauve donc pas les autres. – (ibid. Fo 261 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre dit que Dieu a béni son livre, parce que son livre s’est beaucoup vendu [)]. (ibid. Fo 264– Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] gémissait, puis se le reprochait. « Je souffre mais je suis contente de souffrir. » – Pourquoi mon Dieu ! quel blasphème et quelle cruauté inutile. (ibid. Fo 267 – Notes sur H. Lasserre)
DIFFÉRENT/DIFFÉRENCE
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Songer à montrer le tout dans des états différents (en fleurs, en fruits.) (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, La Bible, f° 65)
Nana (1880)
La différence avec Hulot, c’est que mon homme n’aime qu’une femme. (NAF Ms. 10313, Nana. F°213- Ebauche).
La Terre (1887)
Donc, quand il tombe chez les paysans, il a vingt-huit ans et Louise 15, treize ans de différence. Ce serait un obstacle, dont il faut tirer un effet. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 430/31) Tient de son père au physique et au moral. Mais avec des différences sensibles (MS NAF 10329 La Terre f° 33 – Personnages, Joseph Fouan) === Le Rêve (1888)== Angélique [et] Denise (…) il n’y a
entre elle [sic] que des différences de tempéraments et de faits (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 302/85-303/86)
Lourdes (1894)
Mais Cazaban (…) déblatère contre la Grotte. Le même fait [qu biffé] qu’avec Majesté quoique différent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°335)
Ils [Pierre et Chassaigne] se sont avancés assez loin, le long du Gave (différentes descriptions), et ils se sont même assis. (ibid. F°387)
DIFFICILE /DIFFICULTÉ
(voir aussi : complexe) Le Ventre de Paris 1873) Il y a une difficulté. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 96)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Conversation très difficile. La mener habilement, de façon à ce que Pascal ne soit pas odieux. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 22) \\La difficulté est d’expliquer comment il est là, malgré Jeanbernat et la Teuse. Il ne faut pas qu’on le sache. (ibid., Le Paradou, f° 61)
Nana (1880)
Alors l’épisode. Le difficile est d’amener Venot. (NAF Ms. 10313, Nana. F°143- Plan).
La Terre (1887)
Le très difficile, c’est d’introduire là dedans mon héros, Jean Macquart. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 404/5)
(…) Mais la difficulté est de savoir d’où vient l’héritage, le partage. (ibid., f° 412/13)
(…) Bonhomme. (…) Sa passion de la terre doit aller avec l’amour du travail. Donc, difficile de faire que la terre dépérit entre ses mains. (ibid., f° 443/44)
=== Le Rêve (1888)== Avoir la tombe. Dans l’église ce serait
difficile, mais ça m’irait joliment (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 250/34-251/35)
(…) Le difficile, je le répète, sera de faire cela absolument pur (ibid., f° 253/37)
(…) Ces instincts me sont d’autant moins difficiles à lui donner qu’elle est une Rougon-Macquart (ibid., f° 281/64)
(…) Lui faire réparer (…) un vitrail (…) Seulement on saurait qui il est, c’est difficile (ibid., f° 301/84)
Lourdes (1894)
La religion basée sur le surnaturel ; et la science démolit le surnaturel : là est la grosse difficulté. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°12)
La situation difficile de ce docteur, sans commission, sans aide, portant toute la responsabilité, et surtout de ce savant jeté au milieu de ce surnaturel. (ibid. F°48)
(…) c’est ce sentiment qui a produit les religions et [q biffé] dont la source est si difficile à connaître. (ibid. F°54)
Cela sera assez difficile à mettre, mais il le faudra au second plan. – (ibid. F°56)
Mais, pour arriver à cela, il y aura une grande difficulté à vaincre, qu’il faudra résoudre tout de suite pour le plan : comment revenir en arrière,
comment raconter tout Bernadette (et aussi le Lourdes ancien, Peyramale et les Pères), si mon roman se passe de nos jours ? (ibid. F°s57-58)
Ce sera difficile, mais la voie est là, je pense. (ibid. F°59)
Le haut clergé, le pape. (…) En effet, il me sera difficile de mettre cela dans Lourdes. (ibid. F°60)
Ce qui me tenterait ce serait d’en faire un prêtre, mais combien ce serait difficile. (ibid. F°73)
Il [Pierre] est bien résolu à mater son intelligence, comme il a maté sa chair ; mais c’est plus difficile. (ibid. F°151)
Et lui [Pierre], peut continuer l’enquête, mais se heurter à des difficultés. (ibid. F°160)
Il est assez difficile que Marie et Pierre restent au centre. (ibid. F°178)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : les certificats pas mensongers [en interligne : difficulté du diagnostic], mais mal établis, par l’ignorance fatale (…). (ibid. F°285)
Il est difficile que ce malade vienne à Lourdes, sans vouloir être guéri. Je préférerai prendre un homme qui soit déjà à Lourdes. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
Travail (1901)
Difficulté pour faire, avec cela, un livre vivant et humain (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2)
Car je crois difficile de faire toute l’évolution dans la paix (ibid., F° 403)
les deux pour peindre la déchéance du travail sous toutes ses formes. Le troisième chapitre (…) est plus difficile (ibid., F°411)
DIMENSION
Lourdes (1894)
Voir le Guide pour les dimensions et les détails. – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie) \
DIMINUER (SE)
Lourdes (1894)
Et alors le monde qui se trouve là : pas mal de personnes, dont le nombre diminuera peu à peu. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°366)
DIORAMA
Le diorama est un tableau ou une suite de tableaux de grandes dimensions, en usage surtout au début du xixe siècle et qui, diversement éclairé, changeait d’aspect, de couleur et de forme, était agrémenté ou non de premiers plans en relief et donnait aux spectateurs l’illusion du mouvement.
Lourdes (1894)
Je puis aussi utiliser le diorama et le panorama, pour faire une comparaison entre l’ancien Lourdes et le nouveau Lourdes. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°507)
Le diorama et le panorama (éb. 159). (ibid. F°509)
Le diorama, le panorama. (ibid. F°605)
DIRE
(Voir aussi : expliquer)
La Curée (1872)
Dire que tout le règne était là, les spéculations d’Arstide et la vie à outrance de Renée, ce que je n’ai pas dit (MS NAF 10 282, La Curée, f°247). – Dire un mot de la candidature, le préfet de la Noue reparaît un instant (MS NAF 10 282, La Curée, f°344). – Sur l’empereur, revenir, dire que tout le règne était là… (MS NAF 10 282, La Curée, f°345).
Le Ventre de Paris (1873)
Lecture d’un livre où il est dit : Il est permis de tuer le tyran. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 84-85)
Il sentira le mouchard sans que je le dise. (ibid., f° 87)
On dirait que les légumes sont une vaste aquarelle lavée ; très tendres, très délicats de ton. (ibid., f°173)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Jeanbernat, ce qu’il dit (les livres). Philosophie, le rayon de soleil qui passe. L’art est de le faire. Il n’y a rien. Jeanbernat lit. Les livres. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 24)
Ne rien dire de net, mais laisser comprendre quelle lutte le tient ainsi rigide. (ibid., f° 26)
Dans la première scène des chapitres, faire dire à Albine. « … » (ibid., La Bible, f° 66)
Nana (1880)
Dire un mot du docteur Boutarel. (NAF Ms. 10313, Nana. F°12- Plan)
faire dire qu’il [Le prince] a couché avec Nana ou qu’il y couchera encore sans doute. Dire qu’il est avec Muffat. (ibid. F°48)
Les disputes sont : un détail de mise en scène ; – une façon de dire (…). (ibid. F°89)
Il faut dire que Vandoeuvres depuis deux ans la fait retenir (…). (ibid. F°115)
Mais Labordette revient, il a des nouvelles qu’il peut chuchoter à l’oreille de Nana, ou dire tout haut (…). (ibid. F°124)
Elle a pleuré dans les bras de Philippe qui a volé la grenouille (ne pas le dire là, plus loin).
Et l’explication. – Mais ici, il faut dire à quel moment il trouve Nana. (ibid. F°140).
La Terre (1887)
Je l’ai dit fertile, il vaudrait peut-être mieux alors que Buteau n’ait pas pu la prendre (MS NAF 10329 La Terre f° 50 – Personnages, Françoise Fouan)
=== Le Rêve (1888)== On a dit que le succès, le livre attendu veux-je dire, serait « Paul et Virginie » (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 217/1). \\Je l’ai dit instruction très rudimentaire, très simple (ibid. f° 242/26)
(…) Dire qu’ils ont fait des neuvaines pour avoir un enfant (ibid., f° 250/34)
(…) Dire le mariage arrêté (ibid., f° 256/39)
(…) Bien dire la débâcle qui se produit dans son cœur (ibid., f° 277/60)
(…) Le plus grand tourment est de croire qu’on n’est plus aimé (à dire cela). (ibid., f° 286/69)
(…) Et bien dire que si elle triomphe, c’est au milieu, c’est à l’éducation qu’elle le doit (ibid., f° 288/71)
(…) C’est sous l’empire, et bien dire pourquoi il ne veut pas être soldat (ibid., f° 300/83).
Si je fais vivre Angélique, il faudra lui préparer un hôtel : à dire (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 256)
Il faut dire d’Angélique l’Hospice, les boucles d’oreilles, où elle a été en nourrice et toute l’histoire de son abandon (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, premier Plan détaillé du Chapitre I, f° 10)
Dire à la fin qu’ils gardent Angélique (ibid., f° 11) ; Dans la description, ne mettre que la porte du croisillon nord (…) et ne dire qu’un mot du derrière, le jardin, le champ, l’évéché (ibid., f° 13) \\Et dire là combien Hubertine est la femme pour cette éducation (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 18) \\(…) Mais dire qu’elle tient à la vie (pour expliquer son rêve au III) (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 22)
(…) Elle est femme, le bien dire (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 22) \\Ajouter La Vie des Saints qu’elle lit, dire surtout l’artiste qu’elle devient (…) et dire l’adorable fille qu’elle devient à quatorze ans (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 26)
(…) Bien dire cela et lire absolument mes notes (…) Dire que le seigneur s’est enfermé et garder son hist.[oire] pour le IV (ibid., f° 36)
(…) Il faut, en somme, poser toute la maison, même le jardin, dire comment tout s’y distribue (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37).
Et dire d’abord que les Hubert sont allés faire avec Angélique leur grande promenade du lundi de la Pentecôte la veille (…) Je les fais donc mettre au travail dans l’atelier décrit . Et je dis ce que c’est que ce travail (ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
dire qu’elles sont dans la chapelle (ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Dire dans quel monde miraculeux la légende la fait vivre (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)
Bien dire que ce quelqu’un qui lui vient de l’inconnu, c’est la continuation de tout ce qui frissonne autour
d’elle (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f°s 60-61)
C’est là que je reprends la description du château, pour dire avec détails ce qu’Angélique voit de sa fenêtre (ibid., f° 68)
Ne pas dire que le duc a fait revenir son fils. Laisser le lecteur dans l’ignorance comme Angélique (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
C’est la première fois qu’on voit monseigneur. Son portrait. Le faire ressemblant à Félicien mais ne pas le dire encore (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f°106)
Je puis dire d’ailleurs qu’on les y tolère. Non ! (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
Bien dire que l’église est vide, l’heure (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 132)
Dire qu’elle n’ose plus aller chez ses pauvres (…) dire le motif qui amènera Félicien à l’autre chapitre (ibid., premier plan du chapitre XI, f°156)
(il faudra dire où en est Félicien avec son père (…) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 159)
Ne pas dire, laisser entendre pourtant qu’il va voir son père (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 163)
Et bien dire que si elle triomphe de ses instincts, de son hérédité, c’est au milieu, à l’éducation qu’elle le doit (ibid., premier plan du chapitre XII, f° 167)
Mais là dire que Félicien a parlé à son père (…) mais je crois qu’il ne doit arriver qu’après la cérémonie (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)
Pourtant ne pas dire ces choses, ne les laisser que soupçonner (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 182)
pour éviter la petite porte, je les mets tous dans l’église sans dire comment ils sont entrés (ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 185)
Ne pas le dire, le laisser soupçonner : sa mort aura lieu en plein bonheur (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 191)
Bien dire qu’il ne peut rien faire (…) raisons qui l’écartent de l’état militaire (ibid., Dossier Personnages, f° 201)
Lourdes (1894)
J’ai déjà dit que dans « Lourdes », j’aurai la foi du premier âge, l’appel d[u]e [premier biffé] la souffrance humaine inguérissable vers une toute-puissance divine. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°2)
Mais j’ai le second volume « Rome »,
et j’ai déjà dit que mon prêtre, après avoir essayé vainement de revenir à la foi des premiers âges dans « Lourdes », tâche dans « Rome » de réconcilier le catholicisme ou tout au moins le christianisme avec la science moderne, le monde moderne, le progrès. (ibid. F°s4-5)
Je (…) le reprends
ensuite dans Paris, pour le montrer tel que je le dis, une haute et extraordinaire figure. – (ibid. F°s15-16 )
J’ai dit que mon héros serait un anarchiste ; mais je n’en sais rien, ce sera peut-être un évolutionniste (je préférerais cela). (ibid. F°18)
Dans « Lourdes », je n’aurais qu’à poser le frère, et tout de suite je dois dire je crois qu’à la mort du père, il a eu sa part de la fortune en argent comptant et qu’il a disparu. (ibid. F°19)
Ce que veut la justice, le dire et le montrer. (ibid. F°20)
Reprendre « tout dire, tout connaître, pour tout guérir ». (ibid. F°21)
On me disait à Lourdes : « Ah ! si vous ameniez les ouvriers ! » – (ibid. F°25)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « Si, moi, j’avais une source, où je guérirais les plaies apparentes, en les y plongeant, je voudrais bouleverser le monde. (…) » – (ibid. F°46)
Ce qui le prouve, (…) c’est ce qu’on
me disait : « Ah ! comme vous faites bien de voir ici de la consolation et de l’espoir, comme vous feriez une bonne œuvre en amenant ici les ouvriers. » (ibid. F°s50-51)
J’arrive à Bernadette. (…) Et je mettrai comme je l’ai dit, sa figure dominant tout le livre. – (ibid. F°57)
Dire pourquoi, régler le bilan du siècle au point de vue de la foi et de l’idée religieuse. (ibid. F°62)
Puisqu’ils sont heureux d’être trompés,
mon Dieu ! pourquoi leur refuser ce bonheur. Et puis la foi y gagne. C’est ce que mon évêque dira.– (ibid. F°s64-65)
Et il faudrait que je puisse interroger (…) le baron de Massy, je crois, qui était alors à Tarbes préfet, et qui est vivant, m’a-t-on dit : un [cr biffé] catholique, m’a-t-on dit, mais qui n’a jamais cru à la Vierges de Lourdes (…) \\. (ibid. F°s65-66)
Il va être de toutes les scènes, et en spectateur immobile, je veux dire chez lequel il n’y a pas conflit, progression ; par conséquent, il [f biffé] manque d’intérêt. (ibid. F°82)
Dans « Lourdes », je ne
dirai qu’un mot du frère pour le poser et le réserver. (ibid. F°s85-86)
J’ai dit que c’est lui qui finit par décider le père de la malade à la conduire à Lourdes. (ibid. F°96)
J’ai dit que j’aurai un mariage entre une fille hospitalière et un brancardier. (ibid. F°100)
La mère 50 ans, la fille 23 ; et quand la fille viendra annoncer que c’est fait, la mère dira : « J’avais demandé le succès à la Vierge ». (ibid. F°101)
Un garçon de vingt-cinq ans, frère des écoles chrétiennes, venu avec sa sœur. (…) Et il meurt comme je l’ai dit. (ibid. F°108)
Trouver la place de dire les choses nécessaires. (ibid. F°118)
Tout de suite, dire que le train n’arrivera à Lourdes que dans la nuit suivante, à 3h40 du matin. (…) Pierre sans doute a dit : « En voilà pour jusqu’à demain matin 3h40. » (ibid. F°122)
Je crois qu’il faut dire tout de suite, au début que c’est le train blanc, celui des grands malades. (ibid. F°123)
Mais, pendant que je donnais ces détails, on a passé à Juvisy (5.45, vingt minutes après Paris) où l’ont a dit le chapelet et l’on arrive à Brétigny (6, une demi-heure après Paris). (ibid. F°125)
Mais on est à Etampes (6.32, une heure et demie après Paris.) [en interligne : dire les stations, pour donner la sensation de la marche.] (ibid. F°126)
Et il faudra que je dise, vers la fin du chapitre sans doute, un mot de tous les autres trains du pèlerinage. (ibid. F°131)
Je mets donc dans ce compartiment frère Isidore et sa sœur Marthe, dont je dis naturellement l’histoire. (ibid. F°134)
Ce sera, je crois facile, de dire tout cela dans une conversation. (ibid. F°137)
Dire ceux qui le sont [hospitalisés] : Sabathier qui l’a voulu par humilité et foi ; frère Isidore ; la Grivotte ; madame Vêtu ; Elise Rouquet ; et Marie. – (ibid. F°137)
J’ai dit qu’on craignait des morts, et je voudrais bien mettre là l’homme qui meurt à Tarbes et que le père Fourcade voudra tenter de ressusciter. (ibid. F°138)
Dois-je dire tout de suite que Marie, seule au monde, sait que Pierre ne croit pas, et qu’elle va prier pour lui. Oui. – (ibid. F°161)
Il [Pierre] soupçonne l’abbé Ader d’avoir tout mis en marche, inconsciemment (le dire). (ibid. F°164)
Et avant de décrire le quai sans doute, dire ce que font mes gens du wagon. – (ibid. F°165)
L’homme est perdu. Ne dire [que biffé] qu’à la fin qu’on ne le mènera pas sans doute jusqu’à Lourdes. (ibid. F°167)
Dire que Mme Volmar et Mme Désagneaux attendent au buffet – (ibid. F°168)
Dans ce cas, je pourrais ne dire qu’un mot des cérémonies (…). Enfin, il faut dire un mot des hospitalières. (ibid. F°176)
S’il y a un lien entre madame Volmar et lui [Pierre], soit par la confession, soit d’une autre manière, il faudra le dire là : il saurait qu’elle va rejoindre un amant. (ibid. F°179)
La passion croît parmi les malades (…) : dire quel a été son malaise d’abord. (ibid. F°186)
Dire un mot des autres sœurs qui sont dans le wagon, et des autres dames hospitalières. (ibid. F°198)
Je veux dire que ce sera le récit de Sophie que je couperai sans doute par le chapelet et des cantiques. (ibid. F°198)
Ce n’est qu’à 9.5, après Lamothe, qu’on ordonne [en interligne : le dire] le silence. (ibid. F°202)
C’est la suite des miracles, l’origine des miracles plutôt. Le dire.
D’autre part dire qu’on traverse le pays de Laudes, au crépuscule qui tombe. (ibid. F°s202-203)
Dire alors qu’il [Pierre] la [Bernadette] connaît beaucoup, qu’il l’a étudiée. (…) Dire aussi qu’il l’aime, parce qu’il la croit une naïve, une véridique et une malheureuse. (ibid. F°203)
Bernadette à Bartrès, ce que m’a dit Barbet (éb. 147). (ibid. F°219)
Et dire que les Dieulafay partent en landau [en interligne : commandé à l’avance] et vont habiter un appartement particulier. (ibid. F°228)
Les Dieulafay dans un landau, et dire qu’ils vont à un logement particulier. Les Vigneron dans une voiture et dire qu’ils vont à l’hôtel des Apparitions. (ibid. F°235)
Dire au début que les pères de la Grotte, directeur Capdebarthe, s’effacent devant les pères de l’Assomption. (ibid. F°238)
Dire comment les trains étaient composés. (ibid. F°241)
D’abord poser l’Hôpital de N.-D.-des-Douleurs (…). Dire qui l’a construit, et dans quel but. (ibid. F°243)
Dire ce qu’elles [les soeurs] font. (…) Dire que Mme Volmar ne reparaît pas. – (ibid. F°245)
Dire tout de suite que M. de Guersaint est allé chercher deux chambres, n’importe dans quel hôtel – (ibid. F°245)
Donc, la salle Sainte-Claire par exemple où j’installe les hospitalières d’abord Mme Jonquière (dire tout de suite [de biffé] que sa fille Raymonde reste en bas, au réfectoire) et madame Désagneaux. (ibid. F°249)
Dire qu’il [M. de Guersaint] a trouvé enfin deux petites chambres à l’hôtel des Apparitions. (ibid. F°261)
Et dire qu’on trempe dans la même eau un autre malade, tout de suite, le petit Gustave peut-être. (ibid. F°263)
Et dire tout de suite à quoi il [M. de Guersaint] va employer son après-midi. (ibid. F°271)
On dit [sur biffé] celui-ci phtisique : oui, mais pourquoi, comment. (ibid. F°272)
Enfin, sur les plaies apparentes. Des lupus guéris. Comme dit le docteur Astier : « Ça m’embête ». (ibid. F°273)
Ce que je disais au docteur Boissarie : Si moi j’avais une source et [q biffé] si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. (ibid. F°274)
Dire tout de suite [que biffé] qu’on est en train d’installer un autre bureau, sous une arcade des rampes. – (ibid. F°279)
Mauvaises installations, organisations défectueuses, aucune certitude scientifique. C’est ce que dit le monsieur, ce que j’ai dit moi-même (notes). – (ibid. F°281)
Je pose d’abord le bureau, je dis [que biffé] les personnes [du biffé] qui sont là (…). (ibid. F°289)
Ils [les pères de la Grotte] sont derrière comme une force cachée, organisant tout et ramassant tout. Je puis dire cela ici et le répéter, le faire sentir à plusieurs reprises, plus loin. (ibid. F°290)
Et surtout dire que la première journée est finie (…). (ibid. F°296)
C’est le lendemain matin que Pierre la [madame Volmar] revoit. Lui est au courant, je crois déjà l’avoir dit (Première journée, chap. III). (ibid. F°298)
Bien dire qu’il y a parfois de ces révoltes dans les lits (…). – (ibid. F°300)
Enfin, j’ai dans la salle du bas, salle des ménages, [Sa biffé] M. Sabathier et le frère Isidore, dont je serai peut-être forcé de dire un mot. (ibid. F°307)
Ce que j’ai déjà dit dans le III de la 1ère j. (ibid. F°313)
Mais auparavant, dire que le mariage est décidé entre Raymonde et Gérard. (ibid. F°333)
Il faut dire que celui-ci [Gérard] a justement déjeuné plus tôt, trouver pourquoi. (ibid. F°341)
Dire qu’ils [les Dieulafay] ont loué un bel appartement dans une maison particulière donnant à l’extrémité de la rue de la Grotte sur les jardins. (ibid. F°344)
Organiser la partie (…). (…) Dire le prix. (ibid. F°346)
Dire aussi que Marie communiera le matin à la Grotte. (ibid. F°351)
Dire que tous ceux qui étaient là, sont allés à la procession. (ibid. F°352)
Dire où en est madame Vincent, qui rentrera tout de suite après la procession pour qu’on ne lui prenne pas sa place dans l’abri. (ibid. F°361)
Poser je crois tout de suite la Grotte de l’extérieur, braisillant dans la nuit ; et dire que, d’un bout de l’année à l’autre, en toutes saisons, des cierges y brûlent. (ibid. F°366)
J’ai donc la grotte braisillante toute la nuit. Dire que les cierges ne s’y éteignent jamais d’une [moment biffé] année à l’autre. (ibid. F°375)
Ne peut-on pas dire qu’elle [Marie] sait qu’elle guérira à quatre heures. L’auto-suggestion. (ibid. F°378)
Puis dire pourquoi Raymonde est montée. (ibid. F°406)
J’ai dit que Mme de Jonquière et Mme Désagneaux s’empressaient autour de Mme Vêtu. (ibid. F°411)
Je puis dire qu’on les voit de la Grotte, quelqu’un
qui serait du défilé et qui les verrait. (ibid. F°s416-417)
Seulement la plaie d’Elise de source ner- \\veuse. Dire cela. – (ibid. F°s429-430)
Lui [Pierre] sera perdu. Je veux dire qu’il ne
pourra plus croire. (ibid. F°s443-444)
Dire un mot de toutes les cérémonies qui s’y passent, le continuel culte. (…) Dire où est Pierre, le père Massias et les autres personnages. (ibid. F°454)
Seulement, elle [Marie] ira ensuite, à la Grotte. Et je le dirai au début de la cinquième partie. (ibid. F°464)
Dire ici quels sont ces médecins [en interligne : des gens considérables] ; et elle [Marie] est guérie, [qu’elle biffé] quel miracle ! (ibid. F°469)
Bien dire que Pierre, s’il pouvait se convertir, en serait empêché par ce qu’il voit. (ibid. F°473)
Reprendre ce que j’ai déjà dit à propos de Bernadette. (ibid. F°477)
Je n’ai donc plus [là biffé] ici que les résultats, dramatisés, le rappel de ce que j’ai dit, et ce qu’il en est advenu dans les faits. (ibid. F°479)
Bien dire, répéter, s’il est nécessaire, que Pierre n’est pas converti, et ne saurait l’être. (ibid. F°483)
Peut-être là dire qu’elle [Mme Volmar] ne croit pas, avec une belle franchise d’audace. (ibid. F°487)
La laideur de tout cela, dite par Pierre et par M. de Guersaint (…) \\. (ibid. F°s498-499)
La laideur de tout cela, dite par Pierre et par M. de Guersaint. (ibid. F°503)
Dire que des trains sont déjà partis, et que d’autres suivront (…). (ibid. F°510)
Les brancardiers sont là, mais ils sont surtout dans la cour de la gare (en dire un mot), pour prendre les malades à la descente des voitures. (ibid. F°510)
Cela me sert à [pos biffé] reprendre le wagon, à dire qu’il est bien le même. (ibid. F°512)
Le petit [Gustave Vigneron] très souffrant, plus malade. Dire que le voyage l’a avancé. (ibid. F°515)
(…) madame Vincent au dernier moment seulement, pâle, arrivant en se traînant (elle vient d’enterrer Rose ; mais je ne le dirai qu’au chapitre suivant). (ibid. F°521)
D’abord en récit, je dis que Marie a été faire des [vœux biffé] adieux ardents de reconnaissance à la Vierge, à la Grotte. (ibid. F°526)
Là dire les places, rétablir tout le wagon tel qu’il est – Dire pourquoi Marthe n’y est pas. (ibid. F°533)
Dire pourtant que les simulateurs sont assez rares. (ibid. F°538)
J’ai déjà dit cela dans la Crypte ; mais il faut que je le reprenne, que je le résume. J’ai dit « Il a senti le coup de hache : elle sauvée, lui perdu. [»] (ibid. F°542)
L’ironie de cela, comme je l’ai dit, et la
grandeur du sacrifice. – (ibid. F°s546-547)
Elise Rouquet et son lupus qui va mieux. En dire un mot. (ibid. F°559)
Avec M. Sabathier
sans doute, avec Mme Dieulafay peut-être, qui ne sont pas guéris, dire les sensations du retour. (ibid. F°s559-560)
Dire qu’une lecture sera faite [p biffé] après les Aulrays [sic], pendant qu’on déjeunera dans le train, et cela jusqu’à Etampes, ce qui donne près de deux heures – Puis continuer à dire les stations, comme je l’ai indiqué plus haut. (ibid. F°569)
Ce qui la [Bernadette] faisait partir de Lourdes, je l’ai dit : c’est l’ennui des visites, la persécution de la curiosité, le désir humble et sincère de disparaître (…). (ibid. F°570)
Et, je crois dire tout de suite que la curiosité la [Bernadette] suit à Nevers. (ibid. F°570)
Et donner alors un de ces pèlerinages en pensée, dire ce qu’elle [Bernadette] revoyait. (ibid. F°574)
Dire que la femme est d’autant plus grande que lorsqu’elle est vierge, (…) n’est-ce point un blasphème contre la nature. (ibid. F°575)
Et élargir cela, dire que l’humanité, dans tous les siècles, y est retournée (…).– (ibid. F°590)
Si je dis un mot des [ma biffé] personnages dans le wagon, montrer la Grivotte à l’agonie, mais [Marie et biffé] M. Sabathier plein d’une indestructible espérance. (ibid. F°595)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages, et de n’avoir dans ce chapitre que Pierre lisant
la vie et la mort de Bernadette au couvent. (ibid. F°s595-596)
Relire tout ce que Lasserre m’a dit de Bernadette (éb. 145). (ibid. F°596)
Le laisser dans le mystère, là-bas, sans même dire au fond de quel faubourg il habite ( …). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)
J’ai dit qu’elle gardait de beaux cheveux d’or,
lourds et épais (…). (ibid. Fos 20-21 – Notes sur Marie de Guersaint)
Elle n’a jamais été réglée ; et, si je pouvais,
le miracle, ce serait la venue du sang. Mais combien il faudrait que cela fût délicatement dit. (ibid. Fos 21-22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Mais le port superbe, un port de reine, comme on dit. (ibid. Fo 71 – Notes sur Madame de Jonquière)
Et elle a succombé, elle a un amant, (…) que je montre ensuite une seule fois devant la Grotte, à genoux, sans dire qui il est. (ibid. Fo 75 – Notes sur Madame Volmar)
Trouver la place de dire les choses nécessaires. (ibid. Fo 99 – Notes sur le père Capdebarthe)
Il l’examine, la palpe seulement et s’aperçoit que ce n’est pas la matrice (je dirai toujours l’organe) qui continue à être malade. (ibid. Fo 118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Ne pas prononcer le mot boule ; dire un poids, ou autre chose. – (ibid. Fo 121 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Judaine lui montre Marie qui a été guérie, et ce que disent les yeux du Commandeur : Non, non il ne veut pas. La belle avance d’être guéri – (ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
Il dit que les malades appartiennent à toutes les classes. (…) Et il répond : l’homme ne croit que ce qu’il veut croire. Et il leur dit de venir à Lourdes. (ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
Pas une fois, le médecin n’est là, je veux dire celui qui a constaté la maladie. (ibid. Fo 167 – Notes sur les Miracles)
La cliente du docteur Astier,
(…). (…) On lui a monté la tête, m’a dit le docteur. (ibid. Fos 185-186 – Notes sur le Départ de Paris)
La compagnie d’Orléans, prendrait aux Pères de l’Assomption, 40 fr. par malade ou pèlerin, aller et retour. C’est là le chiffre qui se dit.
Mais je crois qu’il y a encore des rabais – (ibid. Fos 191-192 – Notes sur le Départ de Paris)
Lasserre dit qu’elle [Bernadette] ôtait ses bas, lorsque le premier coup de vent a lieu (rien ne bouge). (…) Elle n’aurait pas été dans l’eau, comme le dit une autre version. – (ibid. Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
La Sainte Vierge ne s’était pas encore nommée. C’est la Sainte Vierge, disait-on. (ibid. Fo 235 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre dit : « Ce livre, elle [Bernadette] ne le lira jamais. » (ibid. Fo 256 – Notes sur H. Lasserre)
Lasserre dit que Dieu a béni son livre, parce que son livre s’est beaucoup vendu [)]. (ibid. Fo 264 – Notes sur H. Lasserre)
Travail (1901)
J’ai dit qu’il trouve le premier soir la femme de l’ouvrier à la rue (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f°s 359/12-360/13) \\J’ai dit que je prendrai deux frères, ou peut-être plutôt deux cousins (ibid., f° 364/17)
Puis, à la fin, dire que de proche en proche la cité sera imitée, va être pacifiée par la nouvelle organisation du travail (ibid., f° 375/28)
J’ai dit qu’il avait hérité d’un terrain (ibid., f° 383/36)
Ce n’est que pour poser les rouages de la société actuelle et dire comme ces rouages se briseront (ibid., F°415)
J’ai dit que Bonnaire doit rester sur le carreau (ibid., F°427)
Les Delaveau : comment Luc les connaît, et cela après que j’ai dit ce que Luc est venu faire à Beauclair (ibid., F°431)
DIRECTEMENT
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Mon avis est de commencer directement par la messe. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Sur la messe et l’église, f° 115)
Lourdes (1894)
Mais le baron Suire est là aussi, et Pierre, pour éviter de s’adresser directement aux pères, songe à lui demander directement la permission pour Marie, qui désire [de biffé] passer à la Grotte. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°331)
Directement indiquer la débauche qui rôde, les rires qui se perdent (Cazaban). (ibid. F°357)
Expliquer tout de suite pourquoi Marie et son père ne sont pas avec lui [Pierre] : (…) lui a réglé à l’hôtel (?) puis est venu directement à la gare. (ibid. F°512)
DISCRET(-EMENT) / DISCRÉTION
Nana (1880)
Fauchery est persuadé un instant que Sabine est une cocodette, qu’elle trompe Muffat, puis il hésite encore une fois à la fin. C’est encore très discret, une flamme sous la cendre. (NAF Ms. 10313, Nana. F°29-Plan).
Elle représente le vice discret. (NAF Ms. 10313, Nana. F°195-Personnages)
Voyons les apparitions de madame Robert. Quelque chose de discret et de rapide. (ibid. F°236).
=== Le Rêve (1888)== Il faudra que tout cela y soit, mais très discret, en peu de mots (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 277/60)
Tout cela pour donner à entendre que les Hubert s’aiment en bas. Très chaste, très discret (ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 93)
Je voudrais une visite d’ Hubertine à la tombe de sa mère (…) (discret) (ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Tout cela très discret, bref (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 179)
Lourdes (1894)
Puis, l’idée que la jeune malade pourrait être guérie le bouleverse : (…) la faire frapper dans son sexe, mais avec la plus grande discrétion, pour que tout le monde puisse lire mon livre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°77)
Tout ce drame très discret et formidable. (ibid. F°109)
J’ai envie de mettre dans le même compartiment : aux pieds de Marie, Mme Maze, discrète et effacée (douleur morale) et en face d’elle Mme Vincent et sa fille Rose (douleur maternelle). (…) Maze, très discrète, ne dit pas sa douleur morale (…). (ibid. F°133)
Jeanne d’Arc et ses secrets. Toujours des secrets dits, confiés. Enfin, examen de tout. Mais très discrète. (ibid. F°207)
Déjà il [Pierre] peut discrètement indiquer la sacrifiée [Bernadette]. (ibid. F°213)
Une scène au sortir de la gare, le racolage. La belle pisteuse que j’ai vue. Faire cela discret. (ibid. F°240)
L’abbé Des Hermoises, [vague biffé] discrètement sceptique. (ibid. F°294)
M. de Guersaint dit donc ce qu’il a entendu, des voix chuchotantes, trouver quelque chose de révélateur, mais de très discret. – (ibid. F°311)
Discrètement indiquer la débauche qui rôde, les rires qui se perdent. (ibid. F°364)
Il [Chassaigne] l’in- \\terroge [Pierre], comprend [ses dou biffé] qu’il doute encore ; et je pourrais le faire travailler, mais discrètement, à tâcher de rendre la foi à son jeune ami. (ibid. F°s383-384)
On l’y pousse d’ailleurs, on est heureux de se débarrasser d’elle [Bernadette] ; mais cela avec discrétion, pour son bien. (ibid. F°386)
On l’y pousse d’ailleurs, on tâche de se débarrasser d’elle [Bernadette] ; mais cela avec discrétion, dans son bien. (ibid. F°393)
C’est hier que Raymonde doit annoncer à sa mère que le mariage est fait. (Voir les Personn.) Cela très discrètement, et en trouvant le moment voulu. – (ibid. F°411)
Mais le plus tôt possible, je mets Appoline en conversation avec Des Hermoises. (…)
Et laisser deviner une intrigue, mais très discrètement. (ibid. F°s500-501)
Et
Pierre qui voit Mme Volmar [; ap biffé] : (…) « Oh ! j’ai [une biffé] eu une migraine ! » [mais biffé] à Mme Désagneaux, mais très discret. (ibid. F°s512-513)
Elle [Marie] peut le [Pierre] questionner discrètement, il répond de même. (ibid. F°552)
Même au séminaire, quand des doutes lui viennent sur sa vocation, ils ne parlent que de Marie. L’aimerait-il ? se tromperait-il, n’y aurait-il en lui que l’étoffe d’un mari ? Faire cela discret et délicieux. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 7 – Notes sur Pierre Froment)
Toucher le personnage discrètement ; et, pour sa fille, lui donner le désir de la marier, mais ne venant pourtant
pas exprès : un mélange très fin de tout cela, le dévouement absolu, la passion autoritaire et le désir d’utiliser son voyage pour marier sa fille. (ibid. Fos 71-72 – Notes sur Madame de Jonquière)
Oui, une intrigue avec Gérard, l’année d’auparavant ; et Gérard ne voulant plus, à cause de son mariage qui se décide. D’autre part, beaucoup d’autres tournant autour d’elle, la boutique très achalandée (c’est pourquoi Majesté ferme les yeux). Et l’abbé Des Hermoises lui-même, mais faire cela très discret. (ibid. Fo 104– Notes sur Appoline)
DISCUTER / DISCUSSION
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Son âge est à discuter. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 5)
Lourdes (1894)
Il n’entre pas dans la discussion métaphysique, il constate simplement. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°11)
Dans Rome, je pourrais montrer (…) la science discutée, mise en doute, et réaction spiritualiste : mais échec sans doute. – (ibid. F°28)
Le [sorte biffé] garçon de salle des constatations, l’aide de Boissarie, qui grogne quand on discute, et qu’il faut faire taire. (ibid. F°119)
Sur les Annales de Lourdes (Médecins 29). Sur la suggestion non possible (id. 30). Et toute la discussion continue. – (ibid. F°276)
Je crains que ce chapitre ne soit trop plein si j’y mets des discussions médicales. (…) Et je rejette à l’autre chapitre toute la discussion médicale et scientifique. (ibid. F°276)
Grande salle commune où l’on introduit ensuite les guéris importants ; et discussion générale et contradictoire. (ibid. F°281)
Les plaies d’origine nerveuse [en interligne : la foi qui guérit. Phénomène de la nutrition.], etc. Mais garder ces choses pour la discussion qui va suivre. – (ibid. F°282)
Grande salle commune où l’on introduit ensuite les guéris importants ; et là s’ouvre la discussion générale et contradictoire. (ibid. F°295)
Le portrait qu’il [Chassaigne] en fait, sa véracité, sa dignité : là peut-être la discussion [en interligne : revenir à Bartrès] scientifique sur l’enfantine, l’hystérique ir- \\régulière, qui n’a pas la volonté [en interligne : même milieu] de sortir de son hallucination. (ibid. F°s385-386)
Dans la discussion des miracles, il [l’abbé Judaine] se réserve, l’église ne demande pas d’y croire. (ibid. F°430)
Le Bureau des Constatations, véritable clinique. (…) Discussion courtoise, toujours élevée. Feu de la discussion, opinions qui se croisent, de Saint-Maclou écarte impitoyablement les maladies nerveuses (il sent que là est le faible). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 162 – Notes sur les Miracles)
Le 20 août 86, miracle. Célestine Dubois, depuis 7 ans, fragment d’aiguille brisée dans la main. (…)
Une commission d’enquête : toutes les hypothèses discutées (283). (ibid. Fos 165-166 – Notes sur les Miracles)
DISJOINDRE
La Terre (1877)
Il faudrait disjoindre les deux histoires. (MS NAF 10.328, Ebauche, La Terre, f° 414/15)
DISPARAÎTRE
Le Ventre de Paris (1873)
Méline (un faux maigre, dit Claude) disparaît (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 110)
Nana (1880)
Disparaître Elle a des créanciers qui la font vendre, et elle disparaît pour vivre avec Fontan. (NAF Ms. 10313, Nana. F°83- Plan)
Puis Satin disparaît. (ibid. F°99)
Les toilettes claires disparaissent. (ibid. F°123)
Daguenet doit un beau cierge à Nana, et faire qu’il disparaisse un instant vers la fin. (ibid. F°134)
Quelques mois se passèrent. Un plongeon. Nana disparue. (…) Sa vente. Elle réalise six cent mille francs puis disparaît (ibid. F°154)
XIV. – Un nouveau plongeon. Elle disparaît (…). (ibid. F°159).
Elle [Nana] a fait une bêtise pour un jeune homme, avec lequel elle disparaît. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche)
C’est quand il n’a plus le sou et que Muffat va le remplacer comme amant en titre qu’elle disparaît avec Fontan. (ibid. F°228)
Cartier est aussi trompé, comme Muffat, lorsque Nana disparaît avec Fontan. (ibid. F°233)
Cartier est aussi trompé, comme Muffat, lorsque Nana disparaît avec Fontan. (ibid. F°234).
Judic enceinte de Millaud ; le mari va faire un voyage à Dieppe, et recommande que l’enfant disparaisse avant son retour. (NAF Ms. 10313, Nana. F°280- Notes)
La tache des têtes sur l’herbe dans la piste tout noir, les toilettes claires disparaisse (sic). (ibid. F°286).
Disparition Tout le monde se demandant où est Nana. Disparition (NAF Ms. 10313, Nana. F°80- Plan)
Rose inquiète de la disparition de Muffat lui apprend que Nana est là. (ibid. F°92)
Venot pourra venir pour le trouver là, à la suite de quelque chose chez la comtesse, une disparition, ou mieux. (ibid. F°143).
Une disparition. Plongeon dans le vice d’en bas. (NAF Ms. 10313, Nana. F°223- Ebauche).
Lourdes (1894)
Mêler Blanche aux projets d’avenir de Marie, pour que la figure ne disparaisse pas (personn. de Marie.) (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°561)
Travail (1901)
Si je n’ai pas tous ces représentants de l’autorité, comment les faire disparaître plus tard (F°404)
DISTANCE
=== Le Rêve (1888)== Dans le second épisode (à quelques jours de distance) le linge est étendu (MS NAF 10323, deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 74)
Lourdes (1894)
Je puis ne faire partir M. de Guersaint que le lundi matin, parce que c’est moins cher, et il espère revenir le lundi soir (voir les distances). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°338)
DISTINGUER / DISTINGUÉ
Voir aussi : Apercevoir ; Regarder ; Voir.
Le Ventre de Paris (1873)
Dans les étroits sentiers on distingue les files de femmes et d‘hommes. (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°170)
Nana (1880)
On ne distinguait plus nettement. Les couleurs des casaques dansaient. (NAF Ms. 10313, Nana. F°134 verso- Plan).
La Terre (1887)
Dès lors cela peut marcher : les deux affaires sont distinctes, et se réunissent pourtant en une seule. Cela me donne la division par la famille. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 419/20 – Ebauche)
=== Le Rêve (1888)== Peut-être serait-ce distingué ne pas [sic] leur faire échanger un mot (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 260/43)
Félicien (…) Peut-être serait-il plus distingué de ne pas le montrer (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 179)
Lourdes (1894)
Maintenant, [pe biffé] peut-être serait-il distingué de ne plus dire un seul mot des autres personnages, et de n’avoir dans ce chapitre que Pierre lisant
la vie et la mort de Bernadette au couvent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s595-596)
Là aussi, d’ailleurs, on distingue des éboulis de terre, des roches tombées. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 218 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
DISTRIBUTION / DISTRIBUER
(Voir aussi : diviser ; poser ; d’abord ; ensuite ; chapitre ; séparer ; plus loin ; couper ; réserver ; chapitre ; morceau ; finir) Principale consigne, faisant partie d’un ensemble très riche, touchant à la division et à la distribution du matériau romanesque. A rapprocher de « poser » et de « finir ». Dans le détail ou à l’échelle locale du chapitre, il s’agit, souvent, d’éviter les « masses » trop compactes de description, de construire par petits « paquets », de varier en alternant description, narration et dialogue, en « coupant » l’un par l’autre, tout en conservant cependant l’impression de totalité ou d’unité d’un matériau.
Le Ventre de Paris (1873)
Mais Florent se compromet, prend les choses au sérieux, il dresse un plan de bataille, distribue les rôles, etc. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 85)
Nana (1880)
Ensuite il faudra distribuer les faits. (NAF Ms. 10313, Nana. F°213- Ebauche)
Maintenant voyons comme je distribuerai le théâtre. (ibid. F°221)
Voici en gros, et jusqu’à nouvel ordre distribution des faits. (ibid. F°222)
Voyons comment je distribuerai les fils des diverses intrigues. (ibid. F°233)
Maintenant, il faut distribuer tout cela et en faire des épisodes saisissants. (ibid. F°238).
=== Le Rêve (1888)== Voici la distribution de cet orgueil et de cette passion. Les poser dans le chapitre I. Au II et au III, l’éducation et le milieu corrigeant Angélique. Puis la passion qui croît pendant le IV, le V, et le VI (…) au VIII et au IX (…)le milieu
au X (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 284/67- 285/68) Indiquer comment les \\pièces s’y distribuent (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre II, f°s 16-17) \\Il faut, en somme, poser toute la maison, même le jardin, dire comment tout s’y distribue, et ne s ‘arrêter un peu que sur le salon et la chambre des Hubert (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37)
Lourdes (1894)
Prendre tous les renseignements aux notes et les distribuer ici. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°126)
Je prends donc mon wagon de troisième et j’y distribue mes personnages. (ibid. F°132)
A partir de là, je distribue donc les miracles dans une première partie de conversation. (ibid. F°185)
Naturellement, il faudra distribuer tous les personnages du wagon pour leur faire jouer un rôle, dans ce récit des miracles. (ibid. F°197)
Marie n’étant pas encore là, je n’ai qu’eux, et je distribue les épisodes, de façon à ce qu’ils emplissent bien le chapitre. (ibid. F°427)
Bien distri- \\buer les parties pour qu’on ait l’intense sensation de cette montée dans la foi. – (ibid. F°s461-462)
Travail (1901)
Ce qui me gêne pour distribuer cela, c’est que je ne sais comment attribuer les fonctions aux ouvriers, mes personnages, pour que quittant l’atelier Delaveau ils puissent être utilisés chez Luc (F°417)
DIVERS / DIVERSIFIER (SE)
La Conquête de Plassans (1874)
Documents divers (MS NAF,10280 ,Notes, La Conquête de Plassans, La fortune des Rougon, La Curée, F° 48)
=== Le Rêve (1888)== Faire passer sa silhouette à diverses reprises (MS NAF 10323, Le Rêve, Personnages, f° 212)
Documents divers (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes, f° 381)
Et sur le duc, son histoire, pourquoi il s’est enfermé là, ce qu’il fait , les Bollandistes (documents divers) (MS NAF 10323, premier plan du chapitre IV, f° 68)
Lourdes (1894)
Et je ne crois pas que j’aurais besogne [sic] de roman, d’intrigues diverses : simplement des malades avec l’histoire de leurs maladies, de leur espoir (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°55)
Je pourrai pourtant prendre Pierre comme lien naturel entre les divers épisodes. (ibid. F°178)
Le père [M. Vigneron] s’asseyant, pouvant causer avec quelqu’un, ce qui diversifierait un peu. (ibid. F°418)
Tout cela sur la place du Rosaire, avant la montée. Les chants, les [ch biffé] cris, les voix diverses. (ibid. F°452)
Travail (1901)
Voici les divers éléments que je puis employer (F°417)
DIVISER/DIVISION
(Voir aussi : couper ; distribuer)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Je divise mon roman en trois parties. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 2)
Je les vois divisées : plantes grimpantes, plantes hautes ; plantes à part comme rosiers, pélargonium ; plantes de plates-bandes ; plantes de bordure. (ibid., Le Paradou, Le parterre, f° 53)
La Terre (1887)
Beaugrand cède à ses deux fils Pierre et Jacques et à ses deux filles Palmyre et Louise son bien. – Je voudrais diviser plutôt. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 412/13 – Ebauche)
(…) Le mieux serait de diviser la lutte pour la terre en deux. (ibid., f° 416/17)
=== Le Rêve (1888)== Cela divise le roman en trois grandes parties (NAF MS 10323 Le Rêve f° 228/12-Ebauche) Alors les grandes divisions faites par moi de la légende (NAF MS 10323.2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)
Lourdes (1894)
C’est cela qu’il faudra chercher, une division par parties [qui biffé], peut-être, qui permettra des refrains, [qui biffé] quoique ce serait très mauvais d’interrompre
le récit. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s58-59)
Il ne me déplairait d’ailleurs pas d’innover, de trouver
une division originale, une coupe un peu singulière et mystique. (ibid. F°s59-60)
Diviser donc ce long récit par des rappels de la souffrance, des malades entassés dans le wagon ; et donner la sensation du chemin, en nommant les villes qu’on traverse. (ibid. F°159)
D’ailleurs, je diviserai plus tard Bernadette dans les cinq chapitres que je lui consacrerai. (ibid. F°215)
DOCTEUR
(Voir aussi Pascal) (Docteur Pascal Rougon, second fils de Pierre Rougon et de Félicité Puech, oncle de Serge Mouret, médecin à Plassans. Apparaît dans La Fortune des Rougon, La Curée, La Faute de l’abbé Mouret, L’Argent, Le Docteur Pascal)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Ce serait donc le docteur qui aurait tout fait, tout imaginé pour faire une expérience. On se serait caché en ville. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, La Bible, ibid., f° 66)
DOCUMENT
Maître-mot de l’esthétique naturaliste, emprunté aux historiens, et que l’on retrouve ressassé aussi bien dans les Préfaces des Goncourt et dans leur Journal, que dans la correspondance et les écrits théoriques de Zola.Le terme a été repris à des fins de « charge » par la caricature, la parodie et le pastiche anti-naturaliste (Gill, Robida…)
La Conquête de Plassans (1874)
Documents divers (MS NAF,10280 , Notes, La fortune des Rougon, La Curée, La Conquête de Plassans, F° 48)
=== Le Rêve (1888)== Documents divers (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes, f° 381)
Et sur le duc, son histoire, pourquoi il s’est enfermé là, ce qu’il fait, les Bollandistes (documents divers) (MS NAF 10323, premier plan du chapitre IV, f° 68)
Lourdes (1894)
Mais, alors, se pose la question : quel est ce médecin ? et il faudrait une enquête sur lui, tout document historique a besoin d’être contrôlé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°47)
Des dossiers chez lui [M. Froment], dans son cabinet, que Pierre trouve. (…) Des procès-verbaux, des renseignements, les premiers documents, à la veille de la mort de son père. (ibid. F°160)
Revoir toutes les notes sur l’hospitalité, la chemise des documents. (ibid. F°240)
On se prononce d’une façon hâtive, sur des documents incomplets. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 146 – Notes sur Boissarie)
Mais remarquer qu’il n’a eu que les documents de l’Evêché. (ibid. Fo 258 – Notes sur H. Lasserre)
DOMINER
Le Ventre de Paris (1873)
Le ventre domine l’action, il est l’organe dirigeant.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 59)
Lisa domine, c’est ma création principale. (ibid., f° 64)
Nana (1880)
[Nana] Comme caractère moral : Bonne fille, c’est ce qui domine tout. (NAF Ms. 10313, Nana. F°192- Personnages).
Tous ces rôles doivent être restreint. C’est Nana qui domine et écrase tout. (NAF Ms. 10313, Nana. F°232- Ebauche).
La Terre (1887)
La terre, la vraie domine et emplit le volume, toujours présente. Et surtout son impassibilité, son indifférence pour l’individu (MS NAF 10.328, La Terre, f° 486/78 – Ebauche)
Lourdes (1894)
J’arrive à Bernadette. (…) Et je mettrai comme je l’ai dit, sa figure dominant tout le livre. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°57)
La mangeaille domine, je veux montrer, d’un bout à l’autre, tout ce peuple mangeant. (ibid. F°339)
DONC
Voir aussi : Expliquer ; C’est pourquoi. Conjonction importante dans les consignes préparatoires, qui apparaît surtout au niveau de la rédaction des Plans détaillés, où se met en place le continu du texte. A rapprocher de l’emploi de la préposition « pour » et du mot « raison », ou des locutions : « c’est pourquoi » , « par ce que », « de là ». Signe d’un volontarisme de la création (voir les nombreux « je veux » ou « il faut »), de son côté démonstratif et argumentatif (donc, en latin ergo, a donné le verbe : ergoter) et du cahier des charges du principe de causalité. Zola a toujours insisté sur le fait que le naturalisme était avant tout une certaine méthode « logique » de mettre en forme les « documents humains », et la description des causalités secrètes, sociales ou psychologiques .Le « donc » signale le souci d’expliquer quelque chose, au double sens de « développer » et de « donner les raisons ou les causes »de quelque chose. , la logique de son « post hoc ergo propter hoc » (R . Barthes), et signale à la fois une intention pédagoqique de clarté dans l’exposé pour soi comme pour le lecteur. Mais il signale aussi, sans qu’une intention de logique soit à l’œuvre, la volonté de ne pas perdre le fil ni la cohérence interne de la séquence narrative ou le souci du suivi interne et accumulative d’une page descriptive. Il peut alors être simple scansion, marquer simplement le point où Zola reprend le fil de son récit, ou quelque inventaire systématique ,où il « rebondit » après une digression, après une parenthèse, après l’ébauche d’un dialogue ou un a-parté théorique, ou l’ essai d’un autre motif.
Bibliographie : Ph.Hamon : « Je veux donc ils doivent », dans Exigences et perspectives de la Sémiotiques, Recueil d’hommages pour A.J.Greimas (H. Parret et H.G. Ruprecht dirs., John Benjamins, 1985, 2 vol.)
La Curée (1872)
(Relevé non exhaustif) Donc tout le mécanisme du drame est entre ces trois personnages (MS NAF 10 282, La Curée, f°302). – Voici donc les éléments [= élément de l’intrigue] (MS NAF 10 282, La Curée, f°304). – Il faut donc indiquer rapidement le mécanisme des expropriations (MS NAF 10 282, La Curée, f°326). – Donc ici canaillerie de la Voirie, de la commission des indemnités… (MS NAF 10 282, La Curée, f°327).
Le Ventre de Paris (1873)
Donc, j’appuie surtout sur la place de l’œuvre dans la série. Elle complète La Curée, elle est la curée des classes moyennes (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 49)
Donc, j’ai Cayenne, j’ai l’histoire d’un complot, j’ai une trahison. (ibid., f° 59)
Je veux donc qu’elle soit un centre considérable d’où rayonne les diverses intrigues, les différents épisodes. (ibid., f° 64)
Vis à vis de la famille donc, égoïsme parfait. (ibid., f° 65)
Ces deux créatures sont donc jalouses d’Eugène Charvet. Elles sont d’ailleurs les bonnes amies de Lisa. (ibid., f° 74)
Il n’a donc pas de parent. (ibid., f° 75)
Donc Société secrète. (ibid., f° 85) \\Lisa peu à peu s’effraye donc devant Florent. (ibid., f° 86)
Ainsi donc le personnage de Lisa vis-à-vis de Florent est très net (ibid., f° 90)
Le voilà donc travaillant pour un autre, sans un sou lui-même, mangeant chez son frère. (ibid., f° 97)
Donc, le personnel de la Conspiration (ibid., f° 101)
Cadine a donc été recueillie par une marchande aux petits tas Conspiration (ibid., f° 111)
Les amours de Marjolin et de Cadine datent donc du berceau, du tas de choux où ils ont été élevés (ibid., f° 111)
La viande arrive donc par les camions (ibid., f°181)
L’étuve est donc en melchior.(ibid., f° 192)
Le Carnaval, la fin (le carnaval avait donc continué) (ibid., f° 200)
Anna en 1868 peut dont* avoir dix-huit ans. (ibid., f° 243)
En 1827, il a Lisa qui a donc 32 ans en 59. (ibid., f° 243)
La Conquête de Plassans (1874)
Donc, dans ma série, ce roman est la province sous l’Empire (…) Mon drame physiologique sera donc l’étude de la parenté qui rapprochent /sic/ les époux (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Donc une brouille (ibid.F°20)
Je ne lui donnerai donc aucun désir devant Marthe (ibid.F° 29)
C’est donc par les Mouret qu’il fait les premiers pas. C’est donc les Mouret qui le conduise /sic/ chez les Rougon (ibid .F°30)
Donc elle devient dévote (ibid. F°31)
Ils l’aideront donc plus tard. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Donc, c’est un tempérament, dont je ferai naître un caractère. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 7)
Donc deux familles de paysan [sic] me suffiraient presque, pour personnifier tout le village. (ibid., f°12)
Le ménage, Marthe et François, va se fixer à Marseille vers 1846, l’enfant a donc cinq ans. (ibid., Les personnages, f° 16)
Il suffira donc de montrer tout au fond les prêtres du canton. (ibid., f° 19)
C’est donc Archangias qui sera cause du suicide. Insister. (ibid., Plan du troisième livre, f° 23)
Après les promenades, j’ai donc pour mon compte la possession du jardin entier (ils sont là pour le cultiver et le garder. Genèse.) (ibid., Le Paradou, f° 45)
Nana (1880)
Donc Muffat absolument connu de Fauchery. (NAF Ms. 10313, Nana. F°27- Plan)
Nana a donc loué un appartement garni avec Fontan. (ibid. F°83)
Solférino est donc devenu grand favori à 2 contre un. (ibid. F°115)
Son gain est donc de douze cent mille francs. (ibid. F°117)
Penser (sic) de se venger de Nana, donc il faudrait que le piège fût tendu, avant que Nana fît son second plongeon. (ibid. F°127)
Avec Muffat, donc, le premier amant accepté. (ibid. F°139)
Donc Muffat, ouvrant la porte, il a une clef aperçoit Chouard qui sort du lit d’or avec ses jambes maigres et blanches de vieillard. (ibid. F°144)
Nana se meurt. Où donc ? (ibid. F°154).
Rose Mignon. – Née à Paris en 1867, vingt-sept ans ; donc, dix ans de plus que Nana. (NAF Ms. 10313, Nana. F°185- Personnages).
Il me faut donc montrer Nana, centrale, comme l’idole aux pieds de laquelle se vautrent tous les hommes, pour des motifs et avec des tempéraments différents. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
Donc, carrément, il faut aborder un type de femme, qui, lorsqu’elle se voit délaissée, commence par fermer les yeux, par orgueil (…). (ibid. F°216)
J’aurai donc, deux milieux chez Nana, et chez ma paralytique. (ibid. F°218)
Il me faudrait donc trouver autre chose. (ibid. F°225)
Je crois donc cela impossible (…). (ibid. F°226)
Lorsque leur fille a 15 ans, la mère n’a donc encore que trente-deux ans. (ibid. F°229)
Il faut donc que Muffat apprenne qu’il est cocu, pendant qu’il est chez Nana (…). (ibid. F°230).
Il gagne donc cinquante mille francs gagnant et 10 mille placé (NAF Ms. 10313, Nana. F°307- Notes).
Pot-Bouille (1882)
Il [Octave] ressemble à son père, François Mouret, physiquement et intellectuellement : donc, posé, raisonnable (MS NAF10321, Pot-Bouille, f° 381)
Donc, il [Octave] est venu à Paris pour faire fortune, après avoir vécu quelques temps à Marseille (ibid., f°382)
Donc les Lambert, ma famille, loge là, au quatrième étage, et Octave habite au dehors (ibid., f°383)
La Terre (1887)
C’est là que j’établirai la part du socialisme dans l’œuvre. A étudier, à voir – Le rôle du paysan donc. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 402/3- Ebauche)
(…) Paysan qui n’a rien vu, attaché au sol. Si j’ai besoin qu’il s’absente, il ira se louer à quelque lieue de là. Très bien. Donc, il revient et il épouse sa nièce. (ibid., f° 413/14)
(…) Pourtant, voyons, s’il épousait sa nièce. On le marie pour éviter un scandale, il l’a engraissée, et l’enfant mourra. Donc le voilà marié. (ibid., f° 414/15)
(…) Il reviendra par héritage. Et il répond : Mais Louise. Non ! L’entêtement stupide. Donc, il refuse. (ibid.)
(…) Tout donc dans l’amour de la terre, dans la constitution d’un grand lopin. (ibid., f° 418/19)
(…) Les deux filles ont donc deux morceaux de terre contre le lot qu’il convoite, et ce lot va à un de ses frères. Il refuse donc sa part. (ibid., f° 419/20)
(…) Donc le père donne tout, et la misère affreuse qui commence pour lui. (ibid., f° 421/22)
(…) Cela serait donc taillé sur le plan de « Germinal », en cinq partie [sic], avec de courts chapitres. (ibid., f° 424/25)
(…) Donc, quand il [Jean Macquart] tombe chez les paysans, il a vingt-huit ans et Louise 15, treize ans de différence. (ibid., f° 430/31)
(…) Donc Jean n’est intéressant que s’il l’[Louise] adore et se dévoue pour elle jusqu’à l’épouser, à la retirer de là. (ibid., f° 433/34)
(…) Il [Jean Macquart] lâcherait donc tout, en renonçant à sa part, les ennuis que lui fait la famille, la communauté. (ibid., f° 433/34)
(…) Bonhomme. (…) Sa passion de la terre doit aller avec l’amour du travail. Donc, difficile de faire que la terre dépérit entre ses mains. (ibid., f° 443/44)
(…) La fille et le gendre. Je fais donc du gendre, dans le même village, le type du bon paysan travailleur, assez éclairé, sage, allant assez volontiers aux nouvelles méthodes, mais sans prêche et sans étalage. (ibid., f° 445/46)
(…) Il s’est marié, a fait élever sa fille dans un couvent voisin ; puis quand il s’est retiré avec sa femme, au moment de lâcher cette maison si bonne, il s’est décidé à marier sa fille et à lui céder la maison ; maintenant donc, c’est sa fille qui est là bas avoir [sic] son mari (ibid., f° 468/60)
(…) Voilà donc Bonhomme intéressé, agissant dans l’affaire (ibid., f° 474/66)
(…) Je crois donc qu’il ne faut pas incarner la terre dans un personnage. Aucun ne serait assez grand, aucune femme. (ibid., f° 485/77)
(…) On appelle ça le château, pas loin de la ferme. – et donc toute l’histoire de la terre depuis 93. (ibid., f° 488/80)
(…) Je suis un peu ennuyé d’un adultère à la ferme. Il faudrait [sic] mieux peut-être y avoir une servante maîtresse , montée du village, tenant le fermier. Ce serait mieux déjà, cela ne rappellerait pas les Hennebeau. Puis, cela est dans les mœurs de la campagne. Donc le fermier veuf, un fils capitaine, tué à Sébastopol, une fille qui s’est donnée à un garçon de labour, et qu’il a chassée. (ibid., f° 489/81)
(…) Le fils de paysan qui tournera à la ville sera donc le fils du gendre, âgé de 14 ans au début, et de 25 ans au dénouement. (…) Lui donner un camarade comme lui, pour avoir une paire. Le fils du grade champêtre qui travaille à la ferme sans doute. (…) Les deux jeunes gens quittant donc le village vers le milieu, puis retour à la fin, épatement des autres (une fille qui a mal tourné qui fait la vie à Paris, à voir). (ibid., f° 491/83) Donc, parti en juillet 1850 de Plassans, à 19 ans (MS NAF 10329 La Terre f° 4 – Personnages, Jean Macquart)
Donc, au sortir du service, je lui donne le vague dégoût de son métier (ibid., F° 6-7)
Donc, au début, le montrer très bon, désireux de calme (ibid., F° 8)
un homme qui n’est pas né à la campagne […], qui voit donc la campagne et qui en goûte le calme (ibid., F° 9)
Donc partir d’une scène où il fait tout trembler (ibid., F° 15 – Personnages, Louis Fouan)
Donc toute la première partie avec autorité (ibid., F° 15)
40 ans en 59, donc né en 19 – (ibid., F° 19 – Personnages, Hyacinthe Fouan)
Elle a douze ans en 59, donc née en 49, et elle aura 22 ans en 70 (ibid., F° 22 – Personnages, Olympe)
Agé de 26 ans, en 59 ; donc né en 1833 ; et il aura 37 ans en 70 (ibid., F° 33 – Personnages, Joseph Fouan)
Il ne faut donc pas de la violence, de la brutalité seulement et continuelle ; mais un caractère plus compliqué quoique simple (ibid., F° 34)
Elle a six ans de plus que Louis, donc quatre-vingt ans en 59 et quatre-vingt-onze en 70 (ibid., F° 38 – Personnages, Marianne Fouan)
La vieille les repousse donc, et ne rêve que de les déshériter (ibid., F° 41)
Elle a donc 34 ans en 59 et 45 en 70 (ibid., F° 42 – Personnages, Palmyre Pégout)
né en 1835, dix ans de moins que sa sœur ; donc 24 ans en 59, et 35 en 70 (ibid., F° 44 – Personnages, Hilarion Pégout)
Donc il est né 1799 (ibid., F° 46 – Personnages, Michel Fouan)
Il ment donc quand il prétend qu’il couche avec les deux (ibid., F° 51 – Personnages, Françoise Fouan)
– Donc, les deux sœurs très amies d’abord, puis peu à peu opposées, puis éclatant de haine (ibid., F° 53)
Donc Françoise, en secret, a l’envie, le besoin de Buteau. […]. Elle n’aimerait donc pas Jean, elle le prendrait simplement par dépit (ibid., F° 54)
Donc Elodie née l’année suivante est de 1847 (ibid., F° 59 – Personnages, Monsieur Charles)
Donc, deux autres fermiers (ibid., F° 71 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
L’opposer donc à Nénesse (ibid., F° 85 – Personnages, Delphin Bécu) \\Il ne s’en occupe donc pas, laisse sa femme tenir le cabaret (ibid., F° 87 – Personnages, Eugène Macqueron)
Donc, au demeurant, bonapartiste, écrasant Lengaigne à la fin en le faisant saisir (ibid., F° 90)
=== Le Rêve (1888)== Une lutte chez Angélique (…) Je voudrais donc mettre en elle des instincts (…) Donc deux mauvais instincts (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 281/64)
Je veux opposer au devoir la
passion. Donc Angélique sera une passionnée, il y aura en elle la Rougon-Macquart (ibid., f° 283/66)
Et revenir à Angélique. Elle a neuf ans, aller jusqu’à quatorze, cinq ans donc, toute sa jeunesse. Elle est donc enfermée là, dans cette ombre de la cathédrale (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, deuxième plan détaillé du chapitre II, f° 16,)
(…) En somme rien, l’ignorance. Ne sort donc jamais, ignore tout du monde (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 17)
(…) Donc montrer cette maison d’amour influant sur Angélique (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 19) \\C’est donc une maison d’amour conjugal, honnête (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 25)
(…) Donc grammaire, choix de dictées, arithmétique, histoire sainte où on la fait lire (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33). \\Je les fais donc mettre au travail dans l’atelier décrit (ibid., Second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
(…) Donc les détails du travail des trois coupent à chaque instant les morceaux (ibid., f° 41)
Donc elle brode et excitée par l’histoire des Hautecoeur elle dit ce qu’elle voudrait (…) et là il me faut donc reprendre le diable (…) elle se voit donc reine, veut un prince charmant (ibid., f° 42)
Elle rêve donc le monde qu’elle ne connaît pas (ibid., premier plan du chapitre III, f° 46)
Hubertine a donc un fond de tristesse, de remords (…)
Donc, dans la scène, Hubert craint d’avoir blessé sa femme (ibid., premier Plan du chapitre III, f°s 48-49)
j’ai posé Beaumont-L’Eglise au II. Reprendre donc et complèter (ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Donc la fenêtre de la chapelle Hautecoeur. La décrire. Le vitrail voir la note pour date et composition (ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
Donc l’attente, elle est vibrante (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 59)
Donc tout un enveloppement avant que le rêve se montre (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 66)
Donc ce qu’il reste, trois ou quatre hangars à demi écroulés (ibid., deuxième plan du chapitre V, f° 72)
Donc toutes les aumônes posées avec les noms (ibid., deuxième plan du chapitre V, f° 75)
Donc, voilà sa présence dans le champ expliquée (ibid., deuxième plan du chapitre V, f° 78)
Donc combat, inquiétude, mais tout cela délicieux (…) (Tout le chapitre avec ce trouble, cette question qui revient : qu’a-t-elle donc ?) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 79)
cela la calme donc (?) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VI, f°s 83-84)
Donc Angélique très troublée (ibid., premier plan détaillé du chapitre VI, f° 85)
Elle s’entend donc avec Félicien (ibid., f° 87)
Elle s’inquiète donc, comprend ou ne comprend pas, à régler (ibid., f° 89)
Donc chercher à employer le plus possible les Hubert dans ce chapitre (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 90)
Pourquoi donc a-t-elle lutté, pourquoi l’aimer sans jamais le dire ? (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 93)
Donc elle l’attend presque (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 94)
Préparer donc, en faire un résultat, un cri (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 98 )
Je voudrais donc réveiller là la passion (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Voilà donc Angélique et Hubertine dans l’église. Elles y attendent, le jour tombe. Donner la sensation du dehors, de la procession qui parcourt la ville et qui va rentrer (ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
Angélique entrera donc dans cette vie oisive (…) Donc la causerie entre les deux, rien que sur eux (ibid., plan du chapitre IX, f° 119)
Félicien la trompant donc, qu’il ne lui a pas parlé de son mariage projeté avec Claire ? (ibid., Plan du chapitre IX, f° 124)
Félicien a donc tout dit à son père (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 130)
Donc voilà ce que Angélique apprend (ibid., f° 131)
Donc il faut la montrer d’abord tenant la promesse faite à Hubertine (ibid., premier plan du chapitre X, f° 135)
Les Hubert voulaient refuser (?) Pourquoi donc (ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 143)
C’est donc une révoltée (ibid., f° 144)
La vie reprend donc avec les Hubert (…) Elle est donc au travail, la broderie reprend (ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Je l’amène donc à ne plus quitter sa chambre (ibid., premier plan du chapitre XI, f° 153)
Donc elle va jusqu’à la porte (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 161)
Donc faire revenir l’éducation avec la pudeur qui s’éveille sans doute, la broderie qui est là, etc. (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 162)
Donc un véritable héroïsme (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 163)
Donc l’éduca \\- tion et le milieu interviennent là (ibid., premier plan du chapitre XII, f°s 167-168).
Donc depuis le matin on est allé demander l’extrême onction (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 170)
Donc Angélique presse les préparatifs bien qu’elle n’aille pas mieux (…) donc une scène pour la date du mariage fixée (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 183)
Sidonie Rougon (…) Donc, en 1853, lors du commencement de La Curée, 35 ans (…) Son mari s’appelle Touche, donc Madame Touche (…) Il faudrait donc imaginer que le mari/ de Sidonie, Mr.Touche, est mort (ibid., Personnages, f° 213-214)
Lourdes (1894)
Je puis donc finir « Lourdes » sur cette question anxieuse que se pose mon prêtre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°3)
Mais ce que je veux surtout c’est peindre
une passion prête à déborder et qui se contient. (…) Il me faut donc cet éclat au milieu de la trilogie. – (ibid. F°s6-7)
Lui donner donc dès le début la sensation qu’une religion est nécessaire à l’homme. (ibid. F°11)
Ce sera donc la charité qui sera vaincue par la justice. (ibid. F°20)
Je ne puis guère prêter à mon socialiste que ces idées-là, et ce sera donc un évolutionniste. (ibid. F°21)
Pour les revendications du socialisme, mettre donc toutes les souffrances des misérables (…). (ibid. F°24)
Donc, quand l’idée de l’autre vie sera absolument ruinée, il faudra une autre assiette
sociale, basée sans doute sur la justice, et qui mettra le bonheur sur cette terre. (ibid. F°s26-27)
Elle est donc mise à part par sa situation, parce qu’elle a vu la vierge, que celle-ci l’a choisie pour une mission. (ibid. F°31)
La [Bernadette] voilà donc frappée de solitude par la grandeur même, et souffrant. La montrer donc ainsi, tandis que son œuvre grandit et s’exalte jusqu’au triomphe. (ibid. F°32)
Donc la voir toujours derrière l’[h biffé]œuvre qui grandit, l’opposer toujours, finir par son pauvre tombeau, là-bas – (ibid. F°33)
Donc, sous le prodige, sous le ciel ouvert, toutes les misères poussant. (ibid. F°36)
Quand elle a touché le malheur de vivre, l’injustice de la nature (d’où nous vient donc l’idée de justice ?), la misère de tout, elle a besoin de faire un appel à un pouvoir mystérieux qui peut tout pour [l’im biffé] le bonheur, même l’impossible. (ibid. F°40)
Donc, pour me résumer, l’œuvre de la grotte enrichissant Lourdes et la pervertissant, le cri de la souffrance humaine et l’immense besoin de l’illusion et de l’au-delà, et toute la légende, toute l’histoire vraie aussi de Bernadette par derrière cela. (ibid. F°43)
Quel serait donc [cette croyance biffé] cette nécessité de l’illusion, ce besoin de l’au-delà (…). (ibid. F°53)
Il faudra donc chercher, voir ce que pourrait être Rome. (ibid. F°62)
Il y va donc monté contre ces mômeries, presque avec colère ; et il faudrait, pour qu’il évoluât qu’il fût touché d’abord, puis qu’à la fin, il sentît portant le besoin d’autre chose. (ibid. F°73)
Cela serait donc assez original de faire passer le drame psychologique du miracle dans un prêtre. (ibid. F°76)
Donc, il [Pierre] est le martyr du fait, il doit
s’élever plus haut, dans l’abnégation. (ibid. F°s77-78)
Il faut donc que le miracle ne l’ait pas convaincu, il faut qu’il s’attende à la guérison. (ibid. F°78)
Un peu intellectuel (…). Ne lui donner donc que des passions de tête – (ibid. F°79)
Il la conduit donc à la grotte, et veille sur elle. (ibid. F°81)
Donc, au départ, tout au fond de lui, cette expérience de savoir si un miracle ne se fera pas pour lui (en dépit [de ce qu’il biffé] de l’effet d’incrédulité où il est.) (ibid. F°83)
La grosse affaire est donc de bien régler l’abbé. (ibid. F°84)
Donc lui donner un instant un doute, lorsqu’il pourrait rompre encore avec le séminaire. (ibid. F°86)
Quand sa mère n’est plus là, la crise se déclare donc, et je voudrais qu’elle fût déterminée par un fait. (ibid. F°88)
Le prêtre continue donc à être prêtre, et il est vicaire [en interligne : un prêtre libre] à l’église de Neuilly. (ibid. F°93)
« Lourdes », avec ce prêtre, doit donc devenir une tentative de croire aveuglément, de se reporter à la foi crédule du XII e siècle, et mon prêtre y échouera. (…) « Lourdes » serait donc l’effort de mon prêtre pour retourner à la foi [du biffé] absolue. (ibid. F°94)
J’en fais donc une veuve, de bonne noblesse restée seule avec sa fille, pas belle, mais assez agréable. (ibid. F°100)
La mère a conservé d’assez belles relations et elle fera de son gendre aisément un diplomate. Elle est donc veuve d’un homme de la carrière – (ibid. F°101)
Sa femme silencieuse et donc, autour de lui comme une servante, s’est fait hospitaliser cette année là, a voulu venir là comme un pauvre. (ibid. F°106)
La tante est riche, sans enfant, et c’est elle qui les amène. Elle adore cet enfant qui lui ressemble, il faut qu’elle meure avant lui. Donc elle aussi malade d’une maladie de cœur, et elle vient demander sa guérison. (ibid. F°109)
Donc il y a deux scènes, dans l’hôtel. (ibid. F°110)
Très triste et silencieuse donc, résignée. (…) Donc, elle implore la Vierge qu’elle lui ramène son mari et qu’elle le lui ramène. – (ibid. F°111)
Elle est donc sur le quai, lors du départ du train blanc, « Vous partez » – Oh ! non, mon mari m’emmène à [Cauter biffé] Luchon ». (ibid. F°112)
L’aumônier de la salle. (…)
Je l’ai donc dans le train, puis dans la salle, puis à la grotte et aux processions, et enfin au retour (…). (ibid. F°s115-116)
Je prends donc mon wagon de troisième et j’y distribue mes personnages. (ibid. F°132)
Je mets donc dans ce compartiment frère Isidore et sa sœur Marthe, dont je dis naturellement l’histoire. (ibid. F°134)
Cette année, à cause des élections, on n’y va pas [à Poitiers]. Donc, je puis imaginer une cause qui fait qu’on ne s’y arrête pas. (ibid. F°140)
Donc, bien quatre malades : Marie, la Grivotte, Elise Rouquet et Mme Vêtu – (ibid. F°141)
Mon premier chapitre part donc de 5h30 à peu près (dès qu’on est sorti des fortifications [)]. Le soleil se lève vers cinq heures à cette époque-là (il se couche à 7). Donc le soleil est depuis une demi-heure sur l’horizon. (ibid. F°143)
On est à Poitiers à midi et demi. Mes deux premiers chapitres [von biffé] vont donc jusqu’à cette heure-là. (ibid. F°144)
Le voilà donc au séminaire. Pas de détails. (ibid. F°148)
Le voilà donc prêtre habitué, à l’église de Neuilly. (ibid. F°151)
Donc il [Pierre] refuse, mais de telle sorte, que Marie doit s’apercevoir qu’il ne croit pas. (ibid. F°153)
Il faudra donc des rappels continuels. (ibid. F°155)
Ils sont donc partis, Blanche ayant fourni les quelques sous nécessaires. (ibid. F°158)
Diviser donc ce long récit par des rappels de la souffrance, des malades entassés dans le wagon (…). (ibid. F°159)
Donc pendant un quart encore les dernières réflexions
de Pierre, avec ce moribond, et l’arrivée à Angers.– (ibid. F°s159-160)
Il [Pierre] y va donc par tendresse pour Marie (après des répugnances) et pour continuer ses recherches, avec le sourd espoir encore d’être converti (…). (ibid. F°161)
Chassaigne est d’un village près de Lourdes. C’est donc lui qui a pu mettre le père de Pierre [sur biffé] dans l’étude des apparitions. (ibid. F°161)
Les réflexions de Pierre, son histoire et celle des Guersaint commencent donc après Saint-Pierre-des-Corps, lorsqu’on a le 3e chap. p. 134 et le cantique p. 231. – Il peut être 11 h, et comme on n’arrive à Poitiers qu’à midi et demi, il a donc une heure et demie pour réfléchir. (ibid. F°162)
Donc Marie étendue, les yeux ouverts, maintenant ; abattue, mais heureuse de n’être [pas biffé] plus secouée. (ibid. F°165)
D’abord dans le wagon, (…)
l’homme avec sœur Hyacinthe (mais ne pas oublier que c’est l’homme qui doit me donner les Vigneron, le garder donc pour la fin du morceau) – (ibid. F°s168-169)
Et là il [Pierre] est en face de Mme Volmar. (…) C’est donc par lui que j’aurai cette histoire. (ibid. F°170)
Je reprends donc chacun de mes malades du wagon et je le fais agir selon la logique et selon les besoins du récit. (ibid. F°175)
Garder donc les faits les plus affreux pour la fin, les échelonner. (ibid. F°178)
On est à Poitiers à 12h30 et on en repart à 1.15. Donc on y reste trois quarts d’heure, pour déjeuner et se dégourdir. (ibid. F°182)
Pendant la partie qui [va suivre on ira biffé] s’est écoulée, on est allé de Poitiers à Ruffec, où l’on arrive à 3h00. C’est donc à peu près deux heures, pendant lesquelles, il n’y a [en interligne : eu] que des chapelets et des cantiques. (ibid. F°185)
A partir de là, je distribue donc les miracles dans une première partie de conversation. (ibid. F°185)
Et c’est donc l’éternelle illusion que je montre (…). (ibid. F°188)
Donc bien expliquer la force de Lourdes qui est là : (…) c’est le besoin d’illusion, l’espoir de guérison qui les poussent. (ibid. F°189)
J’ai donc deux heures de chapelet et de cantique, pendant lesquelles Sophie Couteau pourra raconter son miracle. (ibid. F°198)
Il faut donc qu’après les prières du soir, il reste un peu de jour (non, car la nuit arrive vers 7 ¾ [)] (…). (ibid. F°199)
Donc il [Pierre] lit les deux premières pages. (ibid. F°203)
Donc elle [Bernadette] avait vu la Vierge, à Bartrès, sur des images, dans des tableaux ou des statues. (ibid. F°207)
Donc, la vieille petite ville avec son château,
ses rues étroites, son honnêteté (…), sa croyance religieuse. (ibid. F°s208-209)
Les uns dorment, les autres rêvent, donc dans l’ébranlement de cette belle histoire. (ibid. F°209)
Donc, il [Pierre] dit ce qu’il sait sur Bernadette car il l’a beaucoup étudiée (…) \\. (ibid. F°s212-213)
C’est donc une heure à employer, et puisque tous les exercices de piété sont faits, tous
les cantiques chantés, on va faire une lecture. (ibid. F°s216-217)
Le chapitre est empli par cela ; et le faire finir rapidement par le silence qui tombe de 11.40 (Mont-de-Marsan) à 2.39 (Tarbes) pendant trois heures donc. (ibid. F°217)
Donc elle [Bernadette] rêvait de la Vierge, à Bartrès. (ibid. F°221)
Et il [le chef de gare] cause donc [en interligne : samedi] avec le père Fourcade et le docteur Bonamy, tous les deux se promènent sur le quai en attendant. (ibid. F°223)
Un mot donc échangé entre le chef de gare et le père Forcade [sic]. (ibid. F°224)
Alors, je fais partir du wagon les valides, (…) donc une voiture (songer à la cantine qui va rester seule) – (ibid. F°227)
Je reviens donc encore au wagon, et c’est ici que le petit jour doit naître, sur cette débâcle d’ambulance, le quai encombré de malades et d’infirmes. (ibid. F°229)
Donc, un maniaque [le Commandeur] que tout le monde connaît bien à Lourdes (…). (ibid. F°230)
Donc, le quai. (ibid. F°232)
Donc, le train est signalé, il arrive. (ibid. F°233)
Donc mêler Pierre aux autres incidents, serrer [de biffé] tout cela, et finir par le Commandeur qui arrive, au petit jour. Il faut donc que l’abbé Judaine soit resté, après avoir [em biffé] mis les Dieulafay dans un landau qui est là et qu’on a commandé à l’avance. – Donc le Commandeur, une sorte de maniaque bien connu de tout Lourdes (…). (ibid. F°237)
Donc, la salle Sainte-Claire par exemple où j’installe les hospitalières (…). (ibid. F°249)
Donc finir sur le miracle, pour que cela se rattache avec la conversation du grand médecin converti et de Pierre. (ibid. F°253)
Donc elle [Marie] renvoie Pierre en lui disant de ne venir le chercher que pour revenir à l’hôpital. (ibid. F°254)
Il [Pierre] ne s’arrête donc pas, il suit le bord, le quai du Gave. (ibid. F°257)
Rappeler qu’il [Chassaigne] ne croyait pas à Bernadette autrefois (…) et aujourd’hui il s’incline. Que s’est-il donc passé ? (ibid. F°260)
Donc, voilà Pierre dans la piscine aux hommes (…). (ibid. F°262)
Foule énorme. (…)
Je ne fais donc qu’en donner la sensation : les malades, les gens derrière eux, ceux qui se lavent et qui boivent. (ibid. F°s267-268)
Ce n’est donc que l’après-midi que Pierre a amené Marie aux piscines. (ibid. F°269)
Ce que je disais au docteur Boissarie : Si moi j’avais une source et [q biffé] si je guérissais les plaies apparentes, je voudrais bouleverser le monde. (…) Donc à la fin du chapitre suivant – (ibid. F°274)
Il [Chassaigne] n’est donc qu’un type, le représentant du savant qui retourne à la croyance par faiblesse humaine (…). (ibid. F°277)
Le bain ne serait donc que sale, et moins sale que toutes les plaies qu’on y trempe. (ibid. F°278)
Les bains ne seraient donc que sales, et moins sales que les plaies qu’on y trempe. (ibid. F°283)
J’ai donc tout le personnel rassemblé dans la petite salle des constatations, où l’on étouffe. (ibid. F°290)
C’est donc la description que je fais à l’aide de Pierre (…). (ibid. F°297)
Donc Pierre reprend le petit livre bleu et lit. (ibid. F°300)
Développer donc la force de l’illusion dans cette salle, avec la lecture. (ibid. F°300)
J’ai donc toute la lutte avec le commissaire et le préfet (…) jusqu’au jour où sur un ordre de l’empereur (l’impératrice derrière) la grotte devient libre. (…) Donc sur Bernadette (Lasserre, pages 20 à 26.) – (ibid. F°301)
Il [Pierre] vient donc dans la salle avec l’abbé Judaine apporter la communion ; et je m’arrange pour qu’il y reste ensuite. (ibid. F°305)
J’ai donc toute la lutte avec le préfet et le commissaire (…) jusqu’au jour où, sur l’ordre de l’empereur, la grotte devient libre. (ibid. F°306)
Donc ne développer guère que cette [lettre biffé] lecture, et restreindre les autres épisodes. (ibid. F°307)
Donc, pendant que Pierre s’habille (pudeur) première conversation sur Marie, que Pierre dit plus heureuse (il ne veut pas inquiéter le père). (ibid. F°310)
M. de Guersaint dit donc ce qu’il a entendu, des voix chuchotantes, trouver quelque chose de révélateur, mais de très discret. – M. de Guersaint donne donc ces détails à Pierre habillé, parle des bruits faits, lorsqu’une grosse fille leur apporte le chocolat commandé. (ibid. F°311)
On [fait biffé] achève justement la chambre, le placard fermé. [en interligne : Il faut voir sortir la bonne.] Il n’y a donc évidemment personne. (ibid. F°312)
Il faudrait donc que Pierre déjeune à l’hôtel avec M. de Guersaint – (ibid. F°320)
Je finis donc par le déjeuner et les Vigneron. – (ibid. F°322)
Donc la lettre qu’il [Vigneron] reçoit est une première marque de la faveur de la Vierge, qui lui fait espérer davantage. (ibid. F°327)
Il [M. de Guersaint] va donc s’y rendre pour savoir les prix (à quatre), et il se fera raser en même temps. (ibid. F°329)
Donc les [Pierre et M. de Guersaint] voilà dehors, au milieu de la foule endimanchée. (ibid. F°329)
J’ai donc M. de Guersaint pour le promener comme je voudrais, même l’inviter à la popote. (ibid. F°339)
Tout le chapitre donc, en dehors de la Grotte, de la foi, des choses religieuses. (ibid. F°s339-340)
Il [M. de Guersaint] va donc aller chez ce coiffeur, d’autant plus qu’il veut se faire raser. (ibid. F°340)
Cazaban aurait donc aussi un intérêt dans un louage de voitures. (…) Organiser cela avec l’abbé Des Hermoises
et deux autres prêtres que je ne nommerai même pas. Il faut donc que l’abbé Des Hermoises soit libre. (ibid. F°s346-347)
La baron Suire a obtenu la permission du père Fourcade, et il a prévenu Mme de Jonquière. Celle-ci laisse donc partir Marie. (ibid. F°351)
Pierre la [Marie] ramène donc, et c’est près de l’Abri qu’il l’arrête, le point de vue y étant le meilleur. (ibid. F°352)
Donc,
personne. Pierre aperçoit pourtant Mme Vincent seule, avec Rose sur ses genoux. (ibid. F°s352-353)
Donc, dès neuf heures, Pierre vient chercher Marie. (ibid. F°358)
M. de Guersaint rentre donc seul à l’hôtel. (ibid. F°360)
Donc [La biffé] la mère et l’enfant simplement dehors, [et biffé] sur un banc, à la porte de l’abri. (ibid. F°361)
Il [Pierre] quitte donc le baron Suire, et dit un mot en passant à Marie, ce qui me redonne celle-ci. (ibid. F°368)
J’ai donc la grotte braisillante toute la nuit. (ibid. F°375)
Donc, je ne fais encore que le [Pierre] laisser ici affreusement troublé, mais après une ardente tentative de foi. (ibid. F°377)
Il [Chassaigne] l’a donc [Bernadette] vue quand elle était à l’hospice, chez les sœurs de Nevers. (ibid. F°385)
Je fais donc que Pierre le [Chassaigne] rencontre, après la nuit passée à la Grotte. (ibid. F°392)
Donc toute l’histoire de la Grotte, jusqu’à nos jours. (ibid. F°396)
Aujourd’hui la dette, grossie des intérêts, est de 600 mille francs. Et il faudrait quatre cent mille fr. pour terminer l’église : donc, un million – (ibid. F°398)
Et un rayon de soleil entre, suffit à égayer toute la salle. Elle est vide, donc grand calme. (ibid. F°400)
Le matin, l’abbé Judaine a administré Mme Vêtu, et il ne reste donc que le recours au médecin. (ibid. F°402)
Donc sœur Hyacinthe amène Ferrand au chevet de Mme Vêtu. (ibid. F°404)
Enfin, agonie et mort de Mme Vêtu. (…) La montrer donc, résignée, avec une immense tristesse. (ibid. F°407)
Donc retour des malades, le brouhaha recommence, toute la misère grouillante envahit de nouveau la salle, si calme et si [g biffé] ensoleillée tout à l’heure. (ibid. F°407)
Et j’ai donc, cette salle à moitié vide, puisque tous les malades sont à la Grotte. On n’a laissé que Mme Vêtu, la femme au cancer, qui est à l’agonie ; et j’aurai donc l’épisode de la mort cette femme, à côté de Marie, exaltée, certaine qu’elle va guérir. (ibid. F°409)
En tous cas, y mêler Marie qui (…) vit dans une attente extasiée, Pierre ne doit venir la chercher qu’à trois heures (donc pas de Pierre dans ce chapitre, ce que je préfère). (ibid. F°410)
Ce serait donc là, près de cette mourante qu’ils [Ferrand et Hyacinthe] [soignent biffé] assistent ensemble que je reprendrai ce que j’appelle leur idylle, ou plutôt leur amitié si pure et si profonde. (ibid. F°412)
Je finirai donc par la mort de madame Vêtu, et par tous les malades qui
reviennent de la Grotte et des piscines pour déjeuner. (ibid. F°s413-414)
Donc la foule énorme qu’il faut contenir. (…) Les brancardiers, avec Berthaud qui est le chef du service. C’est donc lui qui organise tout, en s’aidant de Gérard. (…) Donc surtout les malades et les privilégiés sur les bancs, dans un espace protégé par les cordes, où les brancardiers ont toutes les peines du monde à introduire les malades. (ibid. F°415)
Donc, un chapitre tout entier devant la Grotte, avant que Marie y soit amenée [et que Pierre biffé]. (ibid. F°423)
C’est donc la foule qui va être le grand personnage, le personnage enveloppant. (ibid. F°427)
C’est l’abbé Judaine qui sera sous le dais, pour la procession de 4 heures. Et il faut donc que je lui fasse quitter la Grotte. (ibid. F°432)
Les difficultés qu’ils [Pierre et Marie] ont pour passer. (…) Donc, des détails sur cette difficile approche. (ibid. F°432)
Ici donc, je n’ai qu’à suivre la progression, la marche chez lui [Pierre] [du biffé], sans conclure. – (ibid. F°436)
Donc à trois heures, Pierre l’amène [Marie], et la difficulté qu’il éprouve pour que le chariot passe et arrive devant la Grotte. (ibid. F°442)
Donc, dès maintenant, lui donner le souvenir de ce que le célèbre médecin lui a dit (…). (ibid. F°444)
Donc Marie reste un instant devant la Grotte, le temps sans doute de permettre à Pierre d’analyser [les biffé] la situation. (ibid. F°445)
Donc, je reprends avec la procession de quatre. (ibid. F°446)
Craint-il [Pierre] donc de l’aimer [Marie] : Non, il se sait très honnête, incapable de troubler cette âme. (ibid. F°456)
Marie traîne donc son chariot en montant la rampe, suivie de Pierre. (ibid. F°461)
Donc la rue, la maison, [p biffé] l’allée, puis la chambre. (ibid. F°471)
Je la [l’église] dresse donc dans le soleil, et je la décris – (ibid. F°474)
Le docteur Chassaigne a donc donné rendez-vous à Pierre pour lui montrer la chambre de Bernadette et l’église du curé Peyramale. (…) Je n’ai donc plus [là biffé] ici que les résultats, dramatisés, le rappel de ce que j’ai dit, et ce qu’il en est advenu dans les faits. (ibid. F°479)
Le docteur Chassaigne mène donc d’abord Pierre rue des Petits-Fossés, et ils visitent la pauvre maison. (ibid. F°480)
C’est le jour du départ, et tous se bousculent. Donc toute la nuit du vacarme. (ibid. F°485)
Et laisser entendre que Vigneron avait supplié la Vierge que cet héritage ne lui échappât pas. Elle l’a donc exaucé (naïvement monstrueux.) (ibid. F°485)
Les deux hôteliers viennent donc témoigner leur joie et ils font leurs offres de service pour les objets religieux. (ibid. F°491)
Donc, je fais sortir Marie avec
[M. biffé] son père et Pierre, et je la promène dans le nouveau Lourdes. (ibid. F°s504-505)
Donc le train blanc, qui est resté tout formé, sur la voie de garage, depuis trois jours, est amené sur le quai d’embarquement, et il reste là à attendre pendant une demi-heure. (ibid. F°510)
Donc devant ce compartiment aussi. (ibid. F°514)
Lui donner donc une maladie qui puisse l’emporter [le Commandeur] en trois attaques, et en lui conservant à peu près son intelligence à la troisième. (…) Donc, pas un pessimiste, et pourtant d’accord avec eux. – (ibid. F°524)
Non, non, vivre et croire à la vie. Donc Pierre rappellera cela au V. Je pourrais donc mettre l’épisode du Commandeur à la fin de ce chapitre. (ibid. F°526)
Cela jusqu’à Riscle où l’on arrive à 5.45. Donc ça dure une heure 15. (ibid. F°535)
L’épisode de la Grivotte n’arrive donc qu’après la prière du soir, quand la nuit est tombée. (ibid. F°539)
Tout est posé, et les [Marie et Pierre] voilà donc côte à côte sur la banquette, dans la nuit, dans le wagon qui roule. [Les av biffé] La psychologie de Marie (…). (…) Donc, 25 ans, mais pas 15. (ibid. F°545)
Ce serait donc un doute du bonheur chez elle [Marie], que Pierre dissiperait. (ibid. F°547)
Et il faut qu’elle [Marie] ait compris, qu’elle le [Pierre] sache jaloux confusément, qu’elle ait donc déjà elle-même une prescience de la vie, puiqu’elle sait qu’elle va le calmer. (ibid. F°548)
Donc, c’est fini, il [Pierre] restera prêtre : la poignante tristesse de cela – (ibid. F°551)
Donc une scène très pénétrante, pendant que M. de Guersaint dort. (ibid. F°552)
Je le [Pierre] pose donc comme ayant échoué à croire, à retrouver la foi des simples (…) \\. (ibid. F°s553-554)
Voilà donc son scrupule, son doute, ce qui le [Pierre] fait souffrir. (…)
Donc il reste en suspens, sur cette idée que l’humanité a un besoin d’au-delà indéniable, et que ce serait peut-être la tuer que de vouloir lui enlever ce besoin. (ibid. F°s555-556)
Donc il [Pierre] ne peut conclure, il sent le besoin de laisser, au-delà de la science, une porte ouverte à l’inconnu (…) \\. (ibid. F°s556-557)
Donc les Aulrays [sic], puis le déjeuner et Pierre reprend le petit livre à couverture bleue (…). (ibid. F°569)
La [Bernadette] voilà donc à Nevers, dans un beau couvent, avec un grand jardin. (ibid. F°570)
Fallait-il donc qu’elle [Bernadette] souffrît. Pour la sauver. Mais alors Dieu ne sauve donc pas les autres ? (ibid. F°576)
Rien que la science ne semble pas devoir suffire, et il semble nécessaire de laisser une porte ouverte sur le mystère (donc une religion nouvelle, plus loin). (ibid. F°586)
Et Pierre reste donc en suspens sur cette idée qu’il a besoin d’une religion nouvelle (…). (ibid. F°588)
Sa femme avait [dix biffé] quinze ans de moins que lui, donc elle avait 35 ans à la naissance de Pierre, et 25 à la naissance de [Jacques biffé] Guillaume. (…) Donc, quand [elle biffé] il meurt à 55 ans, elle en a 40, et son fils [Jacques biffé] Guillaume en a 15 (…). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 5 – Notes sur Pierre Froment)
Il entre donc au séminaire, poussé par sa mère (…). – (ibid. Fo 7 – Notes sur Pierre Froment)
Sa mère le voit donc prêtre, sa grande joie, son
rêve réalisé. Et elle meurt tout de suite après. Lui a alors vingt-cinq ans, et elle meurt donc à 60. (…) Pierre est donc seul, après la mort de sa mère, au lendemain du jour où il a reçu la prêtrise. – (ibid. Fos 8-9 – Notes sur Pierre Froment)
Donc sa mère a eu la suprême joie de lui entendre dire sa première messe (à l’église de Neuilly), et elle meurt. Lui se trouve donc dans leur
petite maison de Neuilly malade de la mort de sa mère qu’il adorait (…). (…) Le voilà donc qui lit les papiers, qui lit les livres de la bibliothèque (…). (ibid. Fos 9-10 – Notes sur Pierre Froment)
Donc nommer le frère dans l’histoire au chap. II de la 1ère partie (…). (ibid. Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)
Donc gaie et brillante, avec un visage rond, des joies très fraîches, des yeux bleus et une bouche rouge très rieuse. (ibid. Fo 20 – Notes sur Marie de Guersaint)
Donc ce père est tout bâti pour faire de mauvaises affaires. – (ibid. Fo 23 – Notes sur Marie de Guersaint)
Elle tombe malade à 13 ans à la formation, et quand Pierre la voit à 18 ans, (…) il y a donc cinq ans qu’on la promène [d biffé] à toutes les Eaux et qu’on consulte tous les grands médecins. (ibid. Fo 23 – Notes sur Marie de Guersaint)
Donc la maison périclite, dès que la mère n’est plus là. (ibid. Fo 25 – Notes sur Marie de Guersaint)
Pierre revoit donc Marie. (ibid. Fo 25 – Notes sur Marie de Guersaint)
« Lourdes » devient donc pour lui [Pierre] une tentative de croire
aveuglément, de [croire biffé] se reporter à la foi aveugle du XII e siècle. (ibid. Fos 26-27 – Notes sur Marie de Guersaint)
Cela me donne donc Ferrand, sœur Hyacinthe et sœur Saint-Francois, qui apporte un bouillon, le croyant épuisé par la faim. (ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Elle [Mme Chaise] a une maladie de cœur, et Gustave s’en va de scrofule. C’est donc à qui des deux
mourra le premier. (ibid. Fos 53-54 – Notes sur M. Vigneron)
C’est elle qui va chez les sœurs bleues. Donc quelque argent. (…) A la fin, M. Maze (…) vient retrouver sa femme à Lourdes (…). Elle reste donc sur le quai, au moment du départ du train blanc. (ibid. Fo 62 – Notes sur Madame Maze)
Il faudra donc que je donne la psychologie de cela. (ibid. Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Donc faire sans cesse gronder Raboin. (ibid. Fo 70 – Notes sur Raboin)
Goutteux. (…) La Vierge ne le guérit donc pas. (ibid. Fo 97 – Notes sur le père Fourcade)
Il représente donc la ville haute, le progrès, la libre pensée, et mieux encore l’intérêt personnel. (ibid. Fo 106 – Notes sur Cazaban)
Il faudrait donc un malade, incroyant, qui cédât à son désir des siens en allant à Lourdes, mais qui fût convaincu que la Vierge ne le guérira pas. (ibid. Fo 110 – Notes sur le Commandeur)
Je l’ai donc pour finir le chapitre I de la deuxième partie, lors du débarquement (…). (ibid. Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Donc, dans sa faiblesse après la chute, tous les symptômes de la neurasthénie, que j’ai déjà décrits dans « le Docteur Pascal ». (ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Pourquoi la visiter ? c’est la dévirginiser : le spéculum dépucelle. Donc, toutes sortes de médecins qui se trompent et l’envoient aux Eaux. Seul, le grand médecin voit clair (…). A la luxation a donc
succédé un état névropathique. Le grand médecin comprend donc que la cause première a dû disparaître (…). – (ibid. Fos 117-118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Donc, seul le grand médecin découvre l’hystéro-neurasthénie. (ibid. Fo 119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Il attend donc la troisième attaque qui arrive à soixante ans. (ibid. Fo 130 – Notes sur la maladie du Commandeur)
Catalepsie, extase maladive ? Non (…) \\. (…) Donc aliénation mentale. Non, Bernadette pas folle (…). (ibid. Fos 132-133 – Notes sur le Dr Dozous)
Dozous était un serin. « L’hallucination n’est qu’une réminiscence » donc elle avait vu la Vierge à Bartrès. (ibid. Fo 146 – Notes sur Boissarie)
Bernadette reste pauvre. Donc, pas une simulatrice. Aucun mobile vénal en elle. – (ibid. Fo 147 – Notes sur Boissarie)
Au départ des trains, (…) on distribue, une sorte de prospectus (…). Chaque malade a donc ce prospectus, qui le renseigne. – (ibid. Fo 192 – Notes sur le Départ de Paris)
La neige s’amasse sur les marches elles-mêmes,
et il y en a donc comme trois étages, trois plaques, un peu obliques superposées. (ibid. Fo 218 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Remarquer que la 1ère apparition est du jeudi 11 (…). On aurait donc eu huit jours pour organiser cela, dans le cas d’une organisation – (ibid. Fo 235 – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette, épuisée par son asthme, fatiguée par les visiteurs, tombe malade. (…) Une tante l’emmène donc à Cauterets. (ibid. Fo 249 – Notes sur H. Lasserre)
Pourquoi la guérison des autres, et pas la sienne ? Pour la sauver [Bernadette] ? Mais alors, Dieu ne sauve donc pas les autres. – (ibid. Fo 261 – Notes sur H. Lasserre)
La fabrique autorise le curé à accepter tous les dons ; donc consentante. (ibid. Fo 287 – Notes sur L’église du curé Peyramale)
Travail (1901)
Après avoir créé la famille, je crée donc la cité (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 350/3)
Donc, j’ai tout de suite des groupes, des drames individuels (ibid., f° 352 \\5) \\Il ne peut donc avoir que des élans, une prédestination (ibid., f° 358/11)
C’est donc chez le vieux professeur que Luc peut venir (ibid., f° 358/11) \\Donc une scène où elle se jette dans ses bras (ibid., f° 360/13) \\Il y apporte donc le trouble, il s’en va (ibid., f° 362/15)
Prendre donc l’amitié entre un homme et une femme (ibid., f° 363/16) \\Il lutte donc, s’oppose à toutes les utopies de Luc (ibid., f° 366/19)
Ce serait donc la femme du capitaliste qui deviendrait l’âme noire (ibid., f° 366/19-367/20)
Je ne leur donnerai donc à chacun qu’un enfant (ibid., f° 369/22)
Donc, il ne faut pas que les choses marchent à l’aise (ibid., f° 373/26)
Donc, une place (ibid., f° 375/28)
Donc pas d’église, pas de prêtre (ibid., f° 376/29) \\Il est donc le beau frère de l’ouvrier (ibid., f° 378/31-379/32)
Comme j’ai voulu celle-ci orpheline, elle sera donc restée seule avec son frère, plus jeune qu’elle de trois ou quatre ans (à régler) (ibid., f° 380/33)
Pourtant comme l’ouvrier disparaît à la fin du Livre deuxième , et ne reparaît qu’un peu au Livre troisième (…) je n’aurai donc pas d’ouvrier sur lequel je puisse montrer un bon changement (ibid., f° 381/34)
Il faut donc que je crée à côté de l’ouvrier (celui qui assassine Luc) un autre ouvrier paresseux, ivrogne, etc. et que je convertis, sur lequel je fais l’expérience (ibid., f° 381/34) \\Donc lutte, elle est d’abord, d’essence, avec la verrerie capitaliste (ibid., f° 388/41) \\Donc des partis conservateurs, républicains, socialistes, anarchistes (ibid., f° 389/42) \\Donc, l’embryon de l’usine future avec la petite usine d’instruments autour (ibid., 399/52) \\Il me faut donc des personnages paysans, avec leur petit drame (ibid., f° 400/53)
Les personnages peuvent donc être un fermier (ibid., f° 400/53) \\Donc, dans mon premier livre poser aussi la campagne, les agriculteurs agonisant (ibid., f° 401/54)
J’ai donc une petite usine dont Luc s’emparera, fera prospérer, et comment peu à peu il arrivera à déposséder les Hauts Fourneaux (ibid., f° 401/54) \\Donc, tout le rêve de Fourier s’accomplissant (ibid., f° 402/55)
Et si je le pousse jusqu’à quatrevingt dix ans, j’ai donc cinquante ans pour l’hypothèse de mon utopie (ibid., F°404) (…) Je donne à Josine 18 ans (…)
je ne donne donc à Nise qu’un an (ibid., F°404-405)
Cela plus tard donc (ibid., F°407)
Luc et Josine ne se marient donc pas (ibid., F°408)
On pourrait donc imaginer ceci (ibid., F°420)
J’ai donc Bonnaire, chef puddleur (ibid., F°422)
Donc ma famille Morfain représentant les premiers ouvriers, et je les garde dans le silence, dans la dignité (ibid., F°424)
Il faut donc leur donner des enfants et régler les mariages (ibid., F°426)
Bonnaire a donc accepté de parler (ibid., F°427)
Puis, on ne s’expliquerait pas comment Delaveau se séparerait d’un bon ou
vrier en somme.Donc il faut que Bonnaire soit un révolutionnaire (…) J’en fais donc un collectiviste (ibid., F°427-428)
Donc malgré la reprise du travail, le malaise profond et l’exaspération (ibid., F°430)
Donc il s’éveille et dit tout à Suzanne (ibid., F°437)
Donc ils n’ont pu se connaître que pendant deux ans à Paris (ibid., F°439)
Donc Luc vit dans le pavillon (ibid., F°444)
DONNÉE
(Voir aussi : Cadre)
Travail (1901)
D’abord, prendre une verrerie comme usine me paraît une donnée étroite (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 398/51) ==== DONNER (REDONNER/ ME DONNER) ====
(Voir aussi : Pour ; Par ; entendre)
Consigne signalant le double mouvement de la pratique descriptive de l’écrivain naturaliste (un dossier préparatoire est le lieu permanent d’un « don » et d’un « contre-don ») soucieux de distribuer au mieux ses « documents » : premièrement tel ou tel épisode est prévu pour lui « donner »(et donc donner au lecteur) telle ou telle information déjà en attente dans les notes (« X me donne Y »/ « X m’est donné par Y ») ; deuxièmement il prend directement à son compte la volonté de « donner » (ou redonner) telle ou telle information nécessaire ou vraisemblable concernant tel ou tel personnage (« Lui donner X ou Y »). Cette consigne témoigne de l’extrême et permanente finalisation de la mise en fiction, jamais gratuite ou purement ludique.
La Curée (1872)
On pourra donner à Renée comme amie une camarade de couvent (MS NAF 10 282, La Curée, f°212). – Donner le fin mot de l’affaire de Charonne (MS NAF 10 282, La Curée, f°233). – Donner plus tard des détails sur le luxe (MS NAF 10 282, La Curée, f°341). – Mais je donnerai des détails quand j’expliquerai les affaires (MS NAF 10 282, La Curée, f°341).
Le Ventre de Paris (1873)
Honnête, il faut s’entendre. Je veux lui donner l’honnêteté de sa classe, et montrer quels dessous de lâcheté, de cruauté il y a sous la chair calme d’une bourgeoise. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 49)
Le mari me sera donné par le drame. (ibid., f° 54)
Il me donne Cayenne dans mon histoire de l’empire, et il me le donne de façon à opposer les souffrances atroces des proscrits à l’engraissement des bourgeois (ibid., f° 58)
Je donnerai surtout une place au jeune homme, dont je ferai un peintre plus tard. (ibid., f° 61)
Je donnerai des enfants à Lisa et à Louis, qui me serviront plus tard et qui augmenteront mes personnages, mes épisodes. (ibid., f° 61)
Cela me donne la poissonnerie. (ibid., f° 64)
La trahison envers Charles n’est qu’un de ces épisodes, et il ne faut pas donner à Charles trop d’ampleur. (ibid., f° 64-65)
Je préfère en faire un orphelin de marchande de poisson, un orphelin riche, à qui je donnerai une tante poissonnière, avec une jolie cousine (petite et mignonne au milieu de la marée) auxquelles je donnerai des rôles très secondaires. (ibid., f° 70)
Elle seule pénétrerait Lisa, ce qui me donnerait des oppositions.(ibid., f° 71)
Maintenant comme drame, je lui donnerait [sic] une nièce (ibid., f° 73)
Cette rivalité me donnera un thème assez important pour étaler la poissonnerie en face de la charcuterie.(ibid., f°s 75-76)
C’est un fond seulement qui me donne la Halle, avec son peuple grouillant, ses intrigues (ibid., f° 76)
Il faut donner à tous ces types une coquinerie réelle. (ibid., f°s 76-77)
Cela me donnera un petit type curieux.(ibid., f° 77)
Il faut lui donner un rôle assez important .(ibid., f° 78)
La Conquête de Plassans (1874)
Voir quel développement il faut donner à cette partie (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche.F°25)
Lui donner simplement une sinécure à la maison d’aliénés (…) On pourrait lui donner un intérêt quelconque qui lui ferait lâcher Mouret (ibid. F° 27)
Seulement il faut ar
ranger celui-ci de façon à lui donner une belle encolure (ibid. F°s 27-28)
Je ne lui donnerai donc aucun désir devant Marthe (ibid.F° 29)
D’autre part Faujas représentant la domination, le caractère clérical intriguant et envahisseur, je lui donnerai une sœur mariée à un petit employé qui représenteront eux l’appétit immédiat (ibid, F° 30)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Ces enfant [sic], Marie d’un côté, Charles et Léon de l’autre, me donne [sic] mes trois galopins. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f°13)
L’encanailler comme figure, pour éviter de lui donner une hauteur symbolique. (ibid., Les personnages, f° 18)
(Plus tard, la fenêtre ouverte, le premier coup d’œil dehors me donnera un tableau.) (ibid., Le Paradou, f° 61)
Nana (1880)
Un bout de conversation me donnera cela. (NAF Ms. 10313, Nana. F°6- Plan)
Dans ce chapitre ne donner que des indications rapides, suffisantes pour poser les personnages. (ibid. F°12)
Donner un rôle à Prullière et à Bosc. Bosc est régisseur. (ibid. F°13)
Mme Lerat me donne les détails sur Nana, entre l’Assommoir et Nana. (ibid. F°19)
Vendoeuvres, qui cause avec les dames (donner la conversation très collet monté) revient à Fauchery et cause de nouveau du dîner. (ibid. F°28)
On donne le dîner comme un dîner d’artistes. (ibid. F°29)
Le prince reste pendant le troisième acte, ce qui me donne la scène pendant que le rideau est levé. (ibid. F°50)
Cela me donne une description rapide de la maison. (ibid. F°58)
Et donner à entendre que Nana a voulu voir la pièce avant d’accepter le rôle. (ibid. F°90)
Il faudrait que cela me donnât le théâtre en entier, grâce à des intrigues secondaires. (ibid. F°95-6)
Donner des détails sur l’état de fortune des Muffat. Où ils en sont. (ibid. F°97)
Donner un rôle à Mme Robert. (ibid. F°108)
Et elle me donne tout de suite l’enceinte du pesage. (ibid. F°121)
Puis, Nana me donne le Ring, le Padock (sic), les Boxes, les buffets, la salle de pesage. (ibid. F°122)
Le C transformé en soleil rayonnant. La sensation du luxe. C’est Mignon qui me donnera ça. (ibid. F°143)
La description donnée par la position des femmes. (ibid. F°156)
Mais cette conversation qui doit me redonner la chambre est coupée par les cris des boulevards. (ibid. F°157).
[Madame Maloir] Lui donner un dada. (NAF Ms. 10313, Nana. F°184- Personnages)
[Muffat] Lui donner une suite d’emplois et en dernier lieu une charge à la cour. (ibid. F°187)
Cela donnera plus de valeur à chacune de ses déchéances. (ibid. F°188)
Pour lui [Estelle Muffat] donner du caractère, voir si à la fin je ne puis pas faire éclater chez elle une personnalité (…). (ibid. F°190)
Je la [Nana] reprendrai là, sans donner beaucoup de détails. (ibid. F°191).
Cela me donnerait sans doute le roman. (NAF Ms. 10313, Nana. F°209- Ebauche)
Mais il faudrait une autre intrigue pour corser ça davantage. Mes jeunes gens me la donnerait (sic) sans doute. (ibid. F°210-211)
Les femmes me donneront un chassé-croisé suivi (…).
Cela me donnera l’observation ; début sale ; milieu de la tenue ; fin sale. (ibid. F°214)
Je puis lui [Muffat] donner une jeunesse austère ; pas de femmes, surtout pas de débauche (…). (ibid. F°215)
Cela me donnerait un coin d’originalité et expliquerait le dérangement du mari et sa douceur à elle. Cela peut même me donner de jolie scène (…).
Je crois que cela me donne tout (…). (ibid. F°217)
(…) le théâtre devra me donner Nana.
Le bordel me sera donné par le voyou, qui pourra y finir.
J’ai la 1ère représentation qui me donnera, la salle, le soir. Je voudrais une autre soirée passée derrière la toile, un jour de représentation ordinaire ; cela me donnerait l’intérieur du théâtre (…). – Puis, je voudrais une répé[ti]tion, ce qui achèverait de me donner le théâtre. (ibid. F°221)
Le drame le plus simple, c’était de lui donner une femme, et de faire qu’il y ait lutte entre ses désirs d’amant et ses devoirs d’époux (…). (ibid. F°223)
Mon drame ne peut pourtant m’être donné que par un homme qui aimera Nana (…).
Le drame le plus simple, c’était de lui donner une femme, et de faire qu’il y ait lutte entre ses désirs d’amant et ses devoirs d’époux (…).
(…) je le ferais volontiers veuf, en lui donnant seulement une fille. (ibid. F°225)
Je crois donc cela impossible ; tout au plus puis-je donner des instincts de dévotion à Muffat, pour ménager un dénouement (…). (ibid. F°226)
Je me décide à donner une femme légitime à Muffat, et une femme légère qui aura des amants. (ibid. F°227)
Il faut donc que Muffat apprenne qu’il est cocu, pendant qu’il est chez Nana ; cela me donne une péripétie. (ibid. F°230)
Il n’y a que la figure de Mathilde changée (je vais lui donner un autre nom.). (ibid. F°232)
Je peux lui donner aussi un étranger, un Russe, qui ne fait que paraître. (ibid. F°233)
Elle l’achève, car il est déjà très entamé ; c’est lui qui donne la campagne. (ibid. F°234).
Pot-Bouille (1882)
Je ne puis prendre qu’Octave Mouret. Mais il faut alors qu’il tienne une place, et que je lui donne un caractère (MS NAF 10321, f° 381)
[Octave] se promenant ainsi parmi la bourgeoisie et me la donnant (ibid., f° 384)
Au bonheur des dames (1883)
Je puis mettre cette boutique dans le pâté de maisons et la faire absorber, ce qui me donnerait le drame d’un immeuble longtemps convoité et enfin conquis (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 6) \\Si, au contraire, je ne la [Mme Hédouin] garde pas, il faut que je donne à Octave la propriété entière du magasin (ibid., fº 8) \\D’un côté, le côté financier et commercial, la création du monstre donné par la rivalité des deux magasins (…) (ibid., f° 10) \\(…) le côté passion, l’amour, donné par une intrigue de femme (ibid., f° 10) \\Je lui [à Denise] donne une parenté avec la boutique rivale, pour serrer l’action (ibid., f° 12) \\(…) lui [à Denise] donner un défaut, l’étudier dans sa chair (ibid., f° 14) \\Voir ce que cela me donnerait si Octave avait un associé (ibid., f° 18) \\(…) leur [aux vendeuses] donner à chacune un dénouement typique (ibid., f° 20) \\Des clientes promenées de comptoir en comptoir me donnant l’animation, la vie (ibid., f° 26)
Donner tous ces détails en posant la boutique (ibid., f° Plan, fº 34)
La Terre (1887)
Et je leur donne des enfants, une fille et deux garçons au moins, peut-être trois (MS NAF 10.328, La Terre, f° 403/4- Ebauche)
(…)Le père Bouffard pourra être chez la fille mariée, ce qui me donnera là un second drame en épisode. (ibid., f° 404/5)
(…) j’arriverai au reste si je faisais des deux filles les nièces de Bonhomme. Je lui donne alors un frère très aimé qui a pour filles Palmyre et Louise. (ibid., f° 412_13/13-14)
(…) Dès lors cela peut marcher : les deux affaires sont distinctes, et se réunissent pourtant en une seule. Cela me donne la division par la famille. (ibid., f° 419/20)
(Jean Macquart 🙂 Il faudrait lui donner une importance. (ibid., f° 430/31)
(…)La F. des R. me le [Jean Macquart] donne comme un garçon entêté et peu intelligent. (ibid. F° 430/31)
(…) Un enfant compliquerait les choses, faut-il lui [Jean Macquart] en donner un : on ne saurait s’il est de lui ou de Bonhomme. (ibid., f° 432/33)
(…) La fille du braconnier (…) C’est elle qui peut me donner ma bande d’oies. – Je lui donnerai un compagnon, un ivrogne comme lui, qui aura servi aussi, le garde champêtre peut-être. (ibid., f° 449/50)
(…) Lui [le braconnier], dans une élection, me donnera le côté politique. (ibid.F° 450/51)
(…) Il faut que la ferme me donne toute la grande culture, des histoires de chasse, et que je puisse conclure sur la grande culture et sur la petite. (ibid., f° 467/59)
(…) – Cela et les cancans sur le Bonhomme, toutes les affaires de rut, suffiront à me donner le village. (ibid., f° 474/66)
(…) Je voudrais un jeune paysan qui incarnerait le paysan quittant la terre, attiré par la ville, s’habillant chez Godchau, d’une élégance canaille. Je voudrais même lui donner un rôle important, du moins quelques apparitions typiques. (ibid., f° 481/73)
(…) Ces insectes qui vivent d’elle, qu’elle laisse faire pour le grand but. Cela me sera donné par l’enfouissement du vieux et un semeur dans un champ voisin (ibid., f° 487/99)
(…) Le fils de paysan qui tournera à la ville sera donc le fils du gendre, âgé de 14 ans au début, et de 25 ans au dénouement. (…) Lui donner un camarade comme lui, pour avoir une paire. Le fils du grade champêtre qui travaille à la ferme sans doute. (ibid., f° 491/83)
Donc, au sortir du service, je lui donne le vague dégoût de son métier (MS NAF 10329 La Terre f° 6-7 Personnages, Jean Macquart)
Cela me donne absolument ce fait que je cherchais de la vilenie de l’homme sur la terre belle (ibid., F° 8)
Lorsqu’il entend Lequeu, lui donner des idées de violence (ibid., F° 11)
Si cela ne me la donne pas sympathique dans le sens romanesque du mot, cela me la donne vivante et je n’en veux pas davantage (ibid., F° 55 – Personnages, Françoise Fouan)
Lui donner enfant l’amour de son village (ibid., F° 85 – Personnages, Delphin Bécu)
Voir à lui donner un rôle (ibid., F° 98 – Personnages, Godille)
Voir si je n’en ferai pas un historien amateur, ayant achevé une histoire de mon village, à travers les âges, qu’il n’achève jamais. Cela me donnerait cette histoire, mais ce serait du procédé bien visible. Si j’en fais un beau-frère de Hourdequin, je puis le faire déjeuner à la ferme. (ibid., F° 105 – Personnages, Maître Baillehache)
=== Le Rêve (1888)== Au milieu un débat pour me donner la psychologie (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 224/8) \\(…) Cela me donnerait donc une certaine lutte, une certaine psychologie (ibid., f° 225/9)
(…) Mais je n’ai pas l’au delà, qui pourrait peut-être m’être donné par le mari . Il faudrait lui donner un métier d’art(ibid., f° 230/14). \\(…) Cela me donnerait une figure d’évêque très à l’arrière-plan ce que je préfèrerai (ibid., f° 239/23) \\(…) Cela me donne tout à fait Hubertine, sage, belle, repoussant les amours (…) Quand Angélique fait son rêve sur le prince charmant (…) cela me la donne aussi (ibid., f° 247/31) ).
(…) J’ai Hubertine suffisamment, mais je n’ai pas Hubert (…) Je lui donnerai des traits un peu tourmentés pour ne pas avoir que des figures correctes (ibid., f° 248/32)
(…) Ne pas donner à Hubert d’autre mouvement que cette passion pour sa femme (…) je donnerai à Hubert un fond de passion (ibid., f° 251/35)
(…)Ces instincts me sont d’autant moins difficiles à lui donner qu’elle est une Rougon-Macquart (ibid., f° 281/64)
(…) C’est même Hubertine qui me donnera la crainte de la fin sur l’entrée dans la réalité (ibid., f° 282/65)
(…) Et je veux que cette charité me donne des épisodes, au moins dans l’idylle (ibid., f° 289/72)
(…) le ruisseau peut me donner un épisode de linge lavé (ibid., f° 292/75)
(…) Je crois qu’il faut donner à l’œuvre une base réelle (…) Donc asseoir le plus possible mes personnages, leur donner surtout un acte civil très solide (ibid., f° 294/77)
(…) donner une grande place possible à la lutte psychologique (ibid., f° 295/78)
(…) La richesse sera donnée par la pompe de la cérémonie (ibid., f° 304/87)
Mon Hautecoeur redevient évêque . Mais je voudrais lui conserver le blason et son histoire. Peut-être le pourrai-je en lui donnant une chapelle dans la cathédrale (MS NAF 10324, Le Rêve, f° 52 à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou Plan).
Donner seulement la date de la façade du transept, sans historique (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, premier plan du chapitre I, f° 14). \\Cela me donne la description. Dans ce jour, j’ai alors la première apparition d’Hubertine ouvrant sa fenêtre. Cela me redonne un mot sur la rue des Orfèvres (ibid., Plan, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 5)
(…) Il ne faut pas que ce soit seulement Angélique qui me donne la maison. Je la donnerai, moi, pour avoir les modifications (…) et je donnerai alors toutes les autres modifications sans doute (ibid., f° 6)
(…) Elle mange (…) avec des regards furtifs autour d’elle,. Ce qui me donne la salle commune (ibid., f° 7)
(…) Toute l’histoire /d’Angélique/ m’est donnée par l’inspection du livret, puis par les questions à Angélique et par ses réponses qui donnent ce que le livret ne donne pas (ibid., f° 8)
(…) Cela me donne l’histoire des Hubert (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 18).
(…) Et cela doit me donner aussi toute la religion pour elle et pour les Hubert (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 21) \\Reprendre la salle commune et surtout donner le salon arrangé ainsi que la chambre des Hubert (ibid., f° 37) \\Et il faut que le travail me donne des détails pour tout le chapitre, coupant (ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
Ici un changement dans le travail. Donner à Angélique le travail pour accompagner son rêve (…) reprendre le diable toujours battu (Leg.dorée 4) ce qui donne le dédain du mal (ibid., deuxième plan du chapitre III, f° 42)
Rappeler les miracles des supplices et donner tous ceux que j’ai réservés (ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 58)
donner aussi les trois légendes des chatelaines (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 67)
Tout cela m’est donné par Angélique à la fenêtre sans doute au commencement du chapitre (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 68)
La chapelle donnée où l’on ensevelit (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 71)
Félicien peintre verrier, ouvrier primitif. Voir s’il y a des détails à donner, je crois que non (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 92)
Tout cela pour donner à entendre que les Hubert s’aiment en bas. Très chaste, très discret (ibid., deuxième plan du chapitre VII, f° 93)
Un long silence pendant lequel je donne toutes ces explications (ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
Lui donner une attitude, sombre peut-être (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
Voilà donc Angélique et Hubertine dans l’église. Elles y attendent, le jour tombe. Donner la sensation du dehors, de la procession qui parcourt la ville et qui va rentrer. Donner peut-être auparavant la façade de l’église en faisant rentrer les deux femmes (ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
Une procession (…) Elle me donne l’église , le petit bijou de la renaissance (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 111)
Et cela me donne la description de l’église (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
c’est lui qui donne toute son histoire (la prendre aux Personnages) (ibid., Plan du chapitre IX, f° 120)
Félicien (…) éloigné de son père, pourquoi rappeler (ce détail ne sera sans doute donné que par Hubertine. Mais le reste est donné par le jeune-homme lui-même. (…) Ce journal est donné par les visites du sous-inspecteur (ibid., Plan du chapitre IX, f° 125)
Là, grand morceau développé me donnant tout l’évêque (…) Tout l’évêque (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 128)
Voir si les détails de l’entrée doivent être donnés là ou plus loin. Non, plus loin je crois (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 171)
Donner
aussi un doute à Hubertine, mais ni à Hubert ni à Félicien (…) elle presse, ce qui me donne un soupçon pour la fin (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f°s 182-183)
Et j’ai la description de l’église qui m’est donnée par la cérémonie (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 185)
elle en mourra (je ne donne aucune explication médicale) (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 191)
Lourdes (1894)
Et tout cela, dès maintenant, je voudrais l’incarner dans une dame romaine
à qui je donnerai une grande passion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s5-6)
Lui donner donc dès le début la sensation qu’une religion est nécessaire à l’homme. (ibid. F°11)
Et quant à Rome, le milieu, je lui donnerai trois parties, et
un nombre à fixer de chapitres dans chaque partie. « Rome » est le tableau central. (ibid. F°s24-25)
Et plus loin encore (…)
tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (ibid. F°s56-57)
D’autre part les mots : « Je suis l’Immaculée conception » sont très singuliers dans la bouche de cette enfant. (…)
On leur donne une grande importance (…). (ibid. F°s62-63)
Ce qui me donnera de la peine c’est l’organisation du livre. (ibid. F°68 )
Puis, lui donner un roman, un peu à côté. S’il s’est fait prêtre, c’est qu’il n’a pu épouser une jeune fille de son intimité, clouée depuis l’âge de neuf ans par une maladie. (ibid. F°74)
Un peu intellectuel ; car, si je lui donnais des passions trop vives, il devrait lutter et ne résisterait peut-être pas. Ne lui donner donc que des passions de tête – (ibid. F°79)
Il ira dans le Rosaire, me donnera toutes les scènes de la nuit – (ibid. F°81)
Il faudrait lui donner du [moment biffé] mouvement. Ou bien le garder immobile, mais alors tirer de là une originalité. (ibid. F°82)
La mère sera morte ; mais je ferai bien de [ plu biffé] lui donner un frère, que la mère ne voyait plus, un frère aîné, 40 ans, dont je pourrai me servir dans « Rome », et dans « Paris ». (…) Toutes les combinaisons sont possibles, surtout si je marie ce frère, ou si je lui donne une maîtresse : l’introduction de femmes entre eux. (ibid. F°85)
Donc lui donner un instant un doute, lorsqu’il pourrait rompre encore avec le séminaire. (ibid. F°86)
Lui donner, avant le départ, une grande tendresse pour Bernadette, qui croîtra là-bas. (…) Lui donner encore toutes mes sensations. – (ibid. F°98)
L’enfant a cinq ans. (…) Une figure complètement à part, qui me donne l’abri, et le dehors. (ibid. F°106)
Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille ; et là je voudrais tout un drame qui peut me donner les deux chapitres qui me manquent. (ibid. F°108)
Je lui donne vingt-cinq ans, je la fais blonde, avec des yeux bleus admirables, et une fraîcheur de lait. (ibid. F°113)
Mon aumônier, je puis l’avoir pour le train accompagnant la petite hydrocéphale (…). Je verrai la maladie à lui donner. (ibid. F°116)
Et je donne alors une description [en interligne : Organis. des trains, éb. 205] de tout le wagon, avec ses malades [en interligne : (relire tout le départ du train blanc.)], en réservant les malades, mes personnages. (ibid. F°124)
Mais, pendant que je donnais ces détails, on a passé à Juvisy (…). (…) Mme Maze, effacée, discrète. (…) Donner à comprendre une profonde douleur [malade biffé] morale – (ibid. F°125)
Mais on est à Etampes (6.32, une heure et demie après Paris.) [en interligne : dire les stations, pour donner la sensation de la marche.] (ibid. F°126)
Je reprends aussi madame Jon- \\quière et je me sers d’elle pour donner Mme Vêtu, l’horlogère, avec son cancer qui empoisonne, et Elise Rouquet, avec son lupus, une affreuse vision, quand le [f biffé] mouchoir s’écarte. (ibid. F°s127-128)
Je ne donnerai que plus loin les détails de ce qu’il [l’homme] a dans sa poche : [un scapulaire biffé], un chapelet
et trois sous [en interligne : un couteau]. (ibid. F°s128-129)
Je donne ces réflexions à Pierre, parce que cela amorce le chapitre suivant. (ibid. F°130)
Je les pose tous les trois [Marie, M. de Guersaint et Pierre] : portraits physiques, conversation donnant les détails suffisants pour voir qui ils sont. (ibid. F°132)
Elle [la Grivotte] parle du Frère Isidore : celui-là est plus avancé qu’elle, et elle donne des détails sur la phtisie. (ibid. F°134)
Et son histoire [M. Sabathier] est donnée par sa conversation avec M. de Guersaint qui ne tient pas en place, qui se lève et cause à chaque instant. (ibid. F°135)
Je ne lui donnerai pas de nom, l’homme. (…)
A Angers, Ferrand viendra pour le soigner, appelé par Pierre. (…) Cela me donnera Ferrand et sœur Hyacinthe, ainsi que sœur Saint-François, qui pourra apporter un bouillon. (ibid. F°s138-139)
L’épisode de Ferrand
et de sœur Hyacinthe m’est quand même donné au III, car s Hyacinthe court le chercher pour l’homme. – (ibid. F°s141-142)
Se débarrasser tout de suite du docteur Chassaigne, qui va partir pour [Lour biffé] Cauterets avec sa femme malade. Cela lui donnera quatre ans, pour son évolution. (ibid. F°150)
Pierre, central, regardera par la portière, et les villes traversées, les lieues parcourues donneront la sensation continue du train qui roule. (ibid. F°155)
Oh ! avoir la foi, s’abîmer dans la croyance. C’est ce qui donnera du mouvement à toute la figure. (ibid. F°158)
Diviser donc ce long récit (…) et donner la sensation du chemin, en nommant les villes qu’on traverse. (ibid. F°159)
Il [Pierre] soupçonne l’abbé Ader d’avoir tout mis en marche, inconsciemment (le dire). Lui donner toutes mes sensations. (ibid. F°164)
D’abord dans le wagon, (…)
l’homme avec sœur Hyacinthe (mais ne pas oublier que c’est l’homme qui doit me donner les Vigneron, le garder donc pour la fin du morceau) – (…) Et alors, pour voir l’homme dont on parle [dans le biffé] parmi les gens du train, j’amène les Vigneron (…). Cela me donne le père, la mère, Mme Chaise, et le triste Gustave, si chétif. (ibid. F°s168-169)
Il [Pierre] connaît l’abbé Judaine qui l’arrête et lui donne tous les détails sur les Dieulafay. (ibid. F°170)
Dès l’arrêt du train, Pierre court chercher l’interne, qui arrive avec sœur Hyacinthe. Cela doit me donner ces deux personnages, les prendre aux Pers. (ibid. F°173)
J’ai aussi tous les malades qui sont dans le train, donner le nombre, la sensation de ces malades qu’on déballe pour un instant. (ibid. F°175)
Elle [Mme de Jonquière] me donne Raymonde, Mme Désagneaux et Mme Volmar, en descendant ; ou c’est plutôt sa fille qui vient la voir. (ibid. F°180)
Si je fais monter Sophie Couteau, seulement au début de ce chapitre, je l’installe tout de suite, et je donne son portrait physique. (ibid. F°192)
Pierre a dû se griser lui-même, et le montrer ici près de croire, croyant qu’il croit. Cela donnera du mouvement à la figure. (ibid. F°215)
Voir, si j’ai déjà fait chanter le matin, l’Ave, Ave, Ave, Maria, à le faire chanter peut-être de nouveau, à l’arrivée à Lourdes. Cela donnerait le branle, l’obsession. (ibid. F°218)
J’ouvre par cette scène, qui me donne le nombre de trains lancés. (ibid. F°223)
Ils [le baron Suire, Berthaud et Gérard de Peyrelongue] me donnent aussi toute l’Hospitalité. (ibid. F°225)
Cela donne la description de la première bousculade dans la nuit et la confusion, un véritable escamotage. (ibid. F°226)
Foule énorme. (…)
Je ne fais donc qu’en donner la sensation : les malades, les gens derrière eux, ceux qui se lavent et qui boivent. (ibid. F°s267-268)
Et madame Vincent avec sa petite fille Rose sur les bras, me donnant un épisode, devant la piscine des femmes, pendant que Pierre attend. (ibid. F°268)
Au bureau des constatations. Tout le bureau donné et décrit tel qu’il est, tel qu’il fonctionne. (ibid. F°289)
Il faut que je donne seulement à fond le bureau des constatations. Le reste est réservé. (ibid. F°291)
Elle [madame Vêtu] horlogère, son mari un peu à son aise. Une lettre reçue peut-être, donnant des détails sur le petit commerce. (ibid. F°299)
M. de Guersaint donne donc ces détails à Pierre habillé, parle des bruits faits, lorsqu’une grosse fille leur apporte le chocolat commandé. (ibid. F°311)
Ces personnages me donneraient le déjeuner à l’hôtel des Apparitions, le brouhaha, la [appar biffé] promiscuité. (ibid. F°320)
Avant le déjeuner sans doute, comme la salle est comble et que Pierre et M. de Guersaint attendent, ils causent avec Majesté, ce qui me donne tout celui-ci, et Appoline qui passe – (ibid. F°322)
Cela ne me donne pas madame Maze, il faut que je l’aie ailleurs, [pen biffé] devant la Grotte, pendant la nuit. (ibid. F°325)
Voir s’il ne faut pas garder ces scènes pour la fin et au contraire lui donner là une inquiétude, de façon à ce qu’il [Vigneron] n’ait ce matin-là que des inquiétudes. (ibid. F°326)
Cela me donne un bon retour sur la foule. (ibid. F°s333-334)
Si j’ai de la place, je donnerai là un peu de l’ancien Lourdes. (ibid. F°334)
Voir s’il faut tout donner, les deux villes, celle qui se bâtit ; et Lourdes ancien n’existant plus.– (ibid. F°336)
Celui-ci [M. de Guersaint] veut se faire raser, et cela me donnera l’épisode de Cazaban criant contre la Grotte, disant un mot de l’église Peyramale (…). (ibid. F°337)
Peut-être donner des paroles que je ferais alors revenir toujours, en refrain. (ibid. F°352)
Et la description qu’il [M. de Guersaint] donne du spectacle, vu du Calvaire (…). (ibid. F°355)
Enfin tous les détails que peut donner une nuit passée à la Grotte. (ibid. F°378)
Je voudrais le garder jusqu’au soleil levant, pour l’avoir là, et pour que le médecin converti ou un autre me donne le cinquième chapitre, en continuant l’histoire de Bernadette. (ibid. F°379)
Sur le curé Peyramale, notes données par le frère (éb. 214). (ibid. F°398)
Raymonde me donne, en bas, le réfectoire. (ibid. F°406)
Ce serait Ferrand qui pourrait me [le biffé] donner le frère Isidore qu’il serait en train de ranimer, lorsqu’on l’appelle pour Mme Vêtu. Il me donnerait en même temps M. Sabathier, et toute la salle du bas, en une page. – De même que Raymonde peut me donner le réfectoire, en bas, où mangent les malades qui peuvent marcher. (ibid. F°413)
Il [frère Isidore] est avec sa sœur Marthe. Tâcher de donner un rôle à celle-ci. (…) Marthe peut causer avec Mme Sabathier, ce qui me donnerait un bout de conversation. (ibid. F°420)
Je donne seulement à Pierre le sentiment de la foule immense qu’il traverse si péniblement. (ibid. F°432)
Et alors là [en interligne : revoir la maladie de Marie] donner à Pierre le brusque souvenir de son [cou biffé] petit cousin Beauclair (Fin du pl. 5). (ibid. F°435)
Cela me donne une progression : d’abord cela ; puis, toutes les voix, et le Saint-Sacrement qui manque d’être emporté. – (ibid. F°437)
Le miracle de Marie. Pierre la regarde, c’est lui qui donne la description. (ibid. F°438)
Le dernier effort qu’il [Pierre] va faire vers la foi ; et, pour corser le chapitre, il faut que je donne tout entier l’écroulement en lui, lorsque Marie poussera son cri : « Je suis guérie ». (ibid. F°443)
Donc, dès maintenant, lui donner le souvenir de ce que le célèbre médecin lui a dit (…). (ibid. F°444)
Cela me donnera une progression ; d’abord cela ; puis toutes les voix ; et le Saint-Sacrement qui manque d’être emporté. (ibid. F°449)
Cela me donne d’abord une description (…) de l’intérieur de la Basilique, que je n’ai pas encore eue. (ibid. F°454)
Il [Pierre] souffre tellement de la [Marie] voir si belle dans l’église, lorsque les chants commencent (je donnerai la bénédiction à la fin), qu’il ne peut pas rester (…). (ibid. F°455)
Je la [la basilique] donne toute ici, avec une [re biffé] cérémonie religieuse, une bénédiction du Saint-Sacrement ; en rappelant
toutes les cérémonies qu’on y célèbre. (ibid. F°s462-463)
Et alors, je donne avec lui [Pierre] toute la crypte, [les biffé] l’autel souterrain, puis les ex-voto, ces cris montant du marbre. (ibid. F°463)
Donner le mot à un de mes politiques. (ibid. F°469)
Marie, très forte, veut absolument rester avec son père et Pierre, et les accompagner partout, dans cette dernière matinée. C’est ce qui me donne le chapitre suivant. (ibid. F°489)
Cela me donne tous les bibelots qu’on vend. (ibid. F°498)
Ce qui me donne le chapitre, c’est Marie, guérie, qui veut aller partout avec son père et Pierre, ayant une soif de montrer combien elle est forte. (ibid. F°503)
Je fais aussi arriver Ferrand, sœur Hyacinthe, sœur Saint-François, sœur Claire des Anges, ensemble. Je les pose près du [wagon biffé] fourgon, et [elles biffé] ils me le donnent tel que je l’ai vu [en interligne : provisions, médicaments] – (ibid. F°514)
Mais madame Sabathier me donne alors l’épisode de Mme Maze, qui lui a fait des confidences. (ibid. F°516)
Il [le Commandeur] vit dans la gare de Lourdes, et je lui donnerai volontiers la garde des matelas et des oreillers, [qu biffé] dont j’ai vu le magasin près des messageries. (ibid. F°523)
Lui donner donc une maladie qui puisse l’emporter [le Commandeur] en trois attaques, et en lui conservant à peu près son intelligence à la troisième. (ibid. F°524)
D’ailleurs, il faudra que je donne du mouvement à ces Dieulafay. – (ibid. F°529)
[en interligne : Ce sont des détails du wagon qu’elle revoit et lui donnent la crise. (…)] (ibid. F°534)
L’entaille que Marie retrouve et qui continue l’effet [contraire biffé] donné déjà par Mme Vincent, mais dans un sens contraire. (ibid. F°536)
Mauvais diagnostic, les diagnostics contradictoires, la mer d’erreurs possible. Cela donne raison à Chassaigne. (ibid. F°539)
L’épisode central est celui que me donnent Marie et Pierre. (ibid. F°550)
Dire qu’une lecture sera faite [p biffé] après les Aulrays [sic], pendant qu’on déjeunera dans le train, et cela jusqu’à Etampes, ce qui donne près de deux heures – (ibid. F°569)
Elle [Bernadette] n’y est pas même allée pour la mort de son père et de sa mère, elle aimait pourtant sa famille, son frère l’a vue ; donner les détails. (…) Et donner alors un de ces pèlerinages en pensée, dire ce qu’elle revoyait. (ibid. F°574)
Et c’est à la fin d’un de
ces pèlerinages en pensée à Lourdes que je voudrais lui donner un regret de sa libre jeunesse (…)– (ibid. F°s574-575)
Et Pierre, pendant qu’on se rapproche de Paris où l’on sera à 3h10 (une heure et demi encore) tombe dans une profonde rêverie. Et c’est ce qui me donne tout le morceau de la conclusion. (ibid. F°580)
Lui donner une grande tendresse pour Bernadette qui grandira là-bas. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 15 – Notes sur Pierre Froment)
Je lui donne le même front qu’à Pierre, le front droit, la tour. (ibid. Fo 16 – Notes sur Guillaume Froment)
Lui donner [M. de Giuersaint] des trous, des lacunes, et une demi fêlure artistique. (ibid. Fo 22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Cela me donne donc Ferrand, sœur Hyacinthe et sœur Saint-Francois, qui apporte un bouillon, le croyant épuisé par la faim. (ibid. Fo 52 – Notes sur l’Homme)
Il faudra donc que je donne la psychologie de cela. (ibid. Fo 65 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Toucher le personnage discrètement ; et, pour sa fille, lui donner le désir de la marier, mais ne venant pourtant
pas exprès (…). (ibid. Fos 71-72 – Notes sur Madame de Jonquière)
Voir si je ne dois pas donner un bout d’intrigue à Appoline. (ibid. Fo 103 – Notes sur Appoline)
Mais il faut lui donner une hérédité nerveuse, en faire une neurasthénique. (ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
L’inscription sur la plaque de marbre donnant les dates et tout des apparitions (36). (ibid. Fo 146 – Notes sur Boissarie)
Travail (1901)
cela peut donner un drame intéressant (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 352/5)
Cela ne donnerait qu’une idylle, et il faut un drame (ibid., f° 354/7)
En outre, il faut lui donner un idéal, du génie, une grande bonté, la puissance d’aimer (ibid., f° 359/12)
Je crois que le reste du drame doit m’être donné par des types d’ouvriers (ibid., f° 369/22)
Je ne leur donnerai donc à chacun qu’un enfant (ibid., f° 369/22)
Dans ce cas-là, je puis donner deux enfants aux capitalistes que j’utiliserai (ibid., f° 370/23)
La famille de l’ouvrière me donnant des types (ibid., f° 370/23)
La lutte des classes doit m’être donnée aussi (ibid., f° 370/23)
Mais si je veux lui donner du mouvement, il faut que dans la deuxième partie, il lutte, espère, puis désespère, s’imagine même un moment que tout est perdu (ibid., f° 372/25-373/26)
Je ne puis guère donner à Luc d’autre mouvement, c’est un architecte, un constructeur de ville (ibid., f°s 374/27-375/28)
Et celui-là, je puis le donner comme une recrue hésitante à Luc (ibid., f° 377/30-378/31)
Comme lieutenant, il faut que je donne à Luc un contremaître de l’usine, très intelligent et très bon (ibid., f° 378/31)
Je ne lui donne aucune parenté, il est à part, avec sa femme et ses deux enfants déjà (ibid., f° 382/35)
Cela me donnerait des épisodes intéressants, un fond de tableaux envieux (ibid., f° 385/38-386/39)
mais je puis avoir encore de la verrerie artistique, ce qui me donnerait des ouvriers d’art (ibid., f° 386/39)
Elle doit me donner des tableaux §§§ de l’utopie prochaine (ibid., 397/50)
Cela est bon, parce que cela me donne la campagne, les paysans, la culture (ibid., f°s 399/52-400/53)
Je donne à Josine 18 ans (…)
je ne donne donc à Nise qu’un an ; et elle en aura onze à la fin (…) ce qui donne 7 ans dans la troisième partie (ibid., F°404-405)
Il les attend et se promène.Cela me donne
tout mon premier livre (ibid., F°408-409)
les deux bourgeois rentiers (…) peuvent avoir une fille que je ferai épouser plus tard au fils Boisgelin. Voir ce que donnera ce croisement (ibid., F°415)
Peut-être pourrais-je donner à Delaveau le haut-fourneau (ibid., F°417)
Un fondeur (Mabire), des puddleurs (Bonnaire et Ragu), un arracheur (Bourron), des lamineurs et des ouvriers du marteau pilon (Coignet et Fauchain) me paraissent donner un ensemble assez complet (ibid., F°423)
Je prends Morfain, chef fondeur à 40 ans.Et je le fais veuf (…) Et je lui donne deux enfants (ibid., F°423)
Il faut donc leur donner des enfants et régler les mariages (ibid., F°426)
Ce serait donner tout le beau rôle à Luc, un bourgeois (ibid., F°427)
seulement cela ne me donne pas la prison, la répression, le vol (ibid., F°429)
Voir s’il faut donner un coup d’œil sur le travail soit les puddleurs, soit les arracheurs (ibid., F°431) \\le passage (…) me donnant tout l’Abîme, mais très bref (ibid., F°431)
cela me donne le second chapitre (ibid., F°434)
Cela a plusieurs avantages. Donner un passé à Luc, le
montrer mêlé à toutes les misères (ibid., F°440-441)
Ensuite cela me donne une Suzanne bonne, la digne petite fille du vieux Qurignon (ibid., F°441) ==== DON QUICHOTTE ====
Personnage éponyme du roman de Cervantes (1605) et, par synecdoque, type de rêveur idéaliste et absurde.
Lourdes (1894)
Le marquis de Salmon-Roquebert, 45 ans, grand et maigre, un peu don Quichotte, grand nez dans une figure maigre, avec [lettres biffées] de très fortes [lettre biffée] moustaches, et le reste rasé. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 83 – Notes sur le marquis de Salmon-Roquebert)
DOSSIER
Le Ventre de Paris (1873)
Dossiers de la préfecture consultés : trois classes : individus pris les armes à la main, individus moins coupables, individus dangereux (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°202)
La Terre (1887)
Voir dans le dossier Rognes (MS NAF 10329 La Terre F° 67 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
Lourdes (1894)
Il faut aussi que j’aie les procès verbaux du commissaire Jacomet, enfin tous les dossiers administratifs de l’époque. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°64)
Il me faudrait [voir biffé] avoir tous les dossiers administratifs de l’époque, que je demanderai, quand j’aurai lu Lasserre. (ibid. F°65)
Il faut que, le prêtre lui-même soit très au courant de Lourdes. Des circonstances lui ont mis des dossiers entre les mains. (ibid. F°96)
Dès lors, le mieux serait qu’il ait trouvé le dossier dans le cabinet de son père, qui aurait été l’ami du fonctionnaire en question. (ibid. F°97)
Le dossier que Pierre trouve chez son père, le double des procès-verbaux administratifs, des rapports de police [en interligne : enquêtes de toutes sortes], des interro- \\gatoires de Bernadette, des rapports des médecins, et lettres confidentielles. (ibid. F°s150-151)
Son analyse, sa résolution (est-ce que Lourdes est déjà là-dedans ? a-t-il [Pierre] les dossiers et comment ? voir cela aux Personnages) – (ibid. F°157)
Des dossiers chez lui [M. Froment], dans son cabinet, que Pierre trouve. (ibid. F°160)
Dire alors qu’il [Pierre] la [Bernadette] connaît beaucoup, qu’il l’a étudiée. Les dossiers chez son père, revoir le morceau du II. (ibid. F°203)
Rappeler qu’il [Chassaigne] ne croyait pas à Bernadette autrefois, qu’il a fourni les notes des dossiers autrefois ; et aujourd’hui il s’incline. (ibid. F°260)
Pour la lutte du curé Peyramale, et pour le départ de Bernadette, qui amènent le chapitre V de la quatrième partie, voir les notes, le dossier de ce chapitre V. (ibid. F°397)
DOUBLE
Lourdes (1894)
Le dossier que Pierre trouve chez son père, le double des procès-verbaux administratifs, des rapports de police [en interligne : enquêtes de toutes sortes], des interro- \\gatoires de Bernadette, des rapports des médecins, et lettres confidentielles. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s150-151)
Pour Lourdes, doubles des procès-verbaux administratifs, rapports de police, interrogatoires de Bernadette, consultations des médecins, enquêtes de toutes sortes, lettres confidentielles. (ibid. F°163)
DOUCEUR
Lourdes (1894)
Enfin la façon dont frère Isidore meurt, dans son extase, les yeux fixés sur la Vierge. Il expire dans un acte d’amour. La douceur de cela. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°420)
La douceur de cela, il [frère Isidore] est mort,
et ses yeux sont restés ouverts sur la Vierge, il la regarde toujours. (ibid. F°s424-425) ==== DOUTE / DOUTEUX ====
La Terre (1887)
Ne pas le faire ressembler à Etienne, ne pas sans doute lui faire quitter son métier et en faire mon paysan. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 405/6 – Ebauche)
(…) (arranger le type de Palmyre. La faire écrasée sans doute). (ibid., f° 408/9)
(…) Sans doute, créer le troisième frère, qui n’a eu qu’un enfant, qui vit chez lui, avec de petite rente placée, et qui serait Bouffard, qu’on tuerait lentement. (ibid., f° 421/22)
(…) Pour le village, pour mettre en branle toutes les autorités, vers la fin sans doute, à cause des dates, il faudrait avoir un fait ; et le meilleur serait une discussion de chemin, dans laquelle je mêlerais la ferme. (ibid., f° 472/64)
(…) Le fils de paysan qui tournera à la ville sera donc le fils du gendre, âgé de 14 ans au début, et de 25 ans au dénouement. (…) Lui donner un camarade comme lui, pour avoir une paire. Le fils du grade champêtre qui travaille à la ferme sans doute. (ibid., f° 491/83)
Lourdes (1894)
Ce que je disais au docteur Boissarie : « (…) Surtout, je voudrais organiser les choses de façon à ce qu’aucun doute ne subsistât. Je prendrais des mesures telles que la terre entière verrait et croirait. » – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°46)
Et puis
des femmes, cela serait encore douteux. Tout le va comme je te pousse. Aucune certitude, aucune constatation vraiment définitive. (ibid. F°s47-48)
Il n’y a qu’à s’incliner et à croire ; ou bien, du moment que l’examen commence, il ne doit plus s’arrêter, il va jusqu’au bout et aboutit fatalement [à la biffé] au doute, car la raison ne peut conclure. (ibid. F°48)
DOZOUS
(Docteur Pierre Romain) Médecin lourdais, auteur en 1874 de La Grotte de Lourdes, sa fontaine, ses guérisons. Cet ouvrage, de même que celui de Boissarie, constitua l’une des principales sources de Zola sur le plan médical.
Lourdes (1894)
Miracles, tout Dozous et tout Boissarie (médecins, dès la page 3). Premiers miracles seulement. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°201)
Et alors Bernadette [en interligne : née le 7 janv. 44] à Lourdes, chez ses parents, revenue une dizaine de jours avant les apparitions. [en interligne : Les médecins sur Bernadette Dozous et Boissarie.] (ibid. F°206)
Dozous sur Bernadette (Médecins 1 et suiv.) Premiers miracles. (ibid. F°221)
Dr Dozous (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)
Depuis 58, contrôle médical. Dozous était un serin. (ibid. Fo 146 – Notes sur Boissarie)
Sur Dozous, (un serin) 48. ). (ibid. Fo 147 – Notes sur Boissarie)
Bourriette (dans Dozous), [yeux biffé] œil perdu depuis 20 ans, recouvré. (ibid. Fo 148 – Notes sur les Miracles)
Les médecins qui ont constaté, les témoins. Dozous d’abord, dès la 3e apparition. (ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
L’histoire de Lourdes a été écrite en entier par des médecins. Dozous, Vergez, ou St-Maclou, etc. (ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Louis Bourielle (Dozous, 125). Carrier borgne, retrouve la vue. Antoinette Thardivail (Dozous, 123) avec la Veuve Rizan. Caroline Esserteau (Dozous 196). (…) Sophie Druon (Dozous 220). Rosine Ollivier, détail des piscines intéress. (D. 20). (…) Philomène Simonneau (D. 7) [en interligne : pas à Lourdes] jambe scrofuleuse. Philippe de Rudder, jambe cassée par un arbre (19-24) (ibid. Fo 176 – Notes sur les Miracles)
Dozous 7-12 (ibid. Fo 178 – Notes sur Dozous 7-12)
Le 21 février, 3e jour de la quinzaine. (…)
Le pouls régulier [Bernadette], comme à l’ordinaire (docteur Dozous). (ibid. Fos 236-237 – Notes sur H. Lasserre)
Enquête sur les guérisons. On les soumettait à deux médecins, Vergez et Dozous. (ibid. Fo 252 – Notes sur H. Lasserre)
DRAME/DRAMATIQUE/DRAMATISER
Le terme, avec d’autres comme « scène » notamment, fait partie, avec d’autres références à des genres littéraire (poème, roman, etc.), des nombreuses références au théâtre qui parsèment les dossiers préparatoires.
La Curée (1872)
Le drame se noue […] Le drame en plein entre le père et le fils (MS NAF 10 282, La Curée, f°211). – Le drame à trouver est un drame intérieur (MS NAF 10 282, La Curée, f°297 / Premiers détails). – Il faut que ma description du boul[evard] tienne tout le chapitre et suive le drame (MS NAF 10 282, La Curée, f°228). – Dans un pareil ménage à trois, le drame qui se passe entre coquins, ne peut avoir beaucoup de larmes (MS NAF 10 282, La Curée, f°300 / Premiers détails). – Mais lorsqu’Aristide recouche avec sa femme, le drame éclate (MS NAF 10 282, La Curée, f°301 / Premiers détails). – Donc tout le mécanisme du drame est entre ces trois personnages (MS NAF 10 282, La Curée, f°302 / Premiers détails). Maintenant j’ai le drame, grâce à Blanche qui se révolte et qui lutte un moment (MS NAF 10 282, La Curée, f°304 / Premiers détails). – A la fin du chapitre, il faut que les lecteurs comprennent le drame (MS NAF 10 282, La Curée, f°317 / Premiers détails). – Pour le drame, il faut que l’inventaire passe d’après Larsonneau dans d’autres main[s] (MS NAF 10 282, La Curée, f°346). – Drames du tableau vivant (MS NAF 10 282, La Curée, f°353).
Le Ventre de Paris (1873)
Devant la famille, elle est morale (…), puis l’abandonne le jour où elle se sent compromise par elle (Là est sans doute le drame à trouver.) (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 53)
Le mari me sera donné par le drame. (ibid., f° 54)
Et c’est quand il est tout à fait bon, qu’elle lui fait commettre quelque grosse infamie. Là est le drame. (ibid., f° 55)
Le drame doit être dans les Halles et tenir à l’empire. (ibid., f° 55)
Le drame pourrait être celui-ci. (ibid., f° 55)
Telle est la grosse charpente du drame.(ibid., f° 58)
On pourrait imaginer ce drame. Le dieu de la Halle, que je nomme en attendant Jacques Duval, est une brute heureuse.(ibid., f° 66)
C’est le drame aigu dans cette vie honnête.(ibid., f° 67)
Maintenant comme drame, je lui donnerait (sic) une nièce (ibid., f° 73)
Lisa tient à ce que la Normande vienne chez elle. Voilà à peu près le drame. (ibid., f° 94)
Quand il va être arrêté, drame, que je n’arrête pas encore. (ibid., f° 105)
La Conquête de Plassans (1874)
Mon drame physiologique sera donc l’étude de la parenté qui rapprochent /sic/ les époux (…) Quant au drame social, il est tout indiqué (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 18)
Mon drame peut se passer en 1857 (ibid.F°19)
C’est alors que peu à peu l’idée de chasser le mari germe dans la tête de Bonnard. Le drame. (ibid.F°22) \\tout le drame nait de là (ibid.F°23)
Enfin le drame arrive (ibid F°24)
Les scènes se renouvellent, en trouver d’autres aussi typiques et dramatiser le sujet le plus possible en trouvant des péripéties (ibid.F° 24)
Puis la fin du drame, le dénouement (ibid.F°25)
Il me reste le drame (ibid.F°33
Le drame physiologique: Mouret, un Mcquart,- Marthe, une Rougon; parenté qui rapproche, puis qui éloigne ; le vieux levain de haine de la bâtardise. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 8)
Un drame affreux entre les Trouche, Faujas, la mère de Faujas et Mouret (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXVII F˚14)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Faire tout cela très dramatique et très simple. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 25)
Je calque le drame de la Bible, et à la fin je montre sans doute Frère Archangias apparaissant comme le dieu de la Bible et chassant du paradis les deux amoureux. (ibid., Ebauche, f° 3)
3° : Le drame. Serge redevient prêtre. L’impuissance le reprend. (ibid., f° 4)
Et alors le drame peut être celui-ci. Blanche qu’il a éveillée, veut qu’il la suive dans l’amour. (ibid., f° 4)
Seulement, j’ai besoin d’un drame. Je la ferai se tuer, tandis que Serge lui-même n’aura pas la force d’en faire autant. Mêler les personnages épisodiques à cet [sic] drame qu’il faudra rendre aussi poignant que possible. (ibid., f° 4)
Enfin je le mêle au drame de la fin, il doit peser sur la mort de Blanche. (ibid., f° 8)
Elle rit d’un rire puissant et innocent au milieu du drame. C’est la terre. On peut la mêler au drame, en la faisant céder à un homme. (ibid., f° 10)
Les paysans, ce serait comme un fond gris, inommé [sic], une masse de brutes travailleuses et courbées, sur laquelle je détacherait [sic] mon drame humain. (ibid., f° 13)
Maintenant, le tout sera de trouver avec ces quelques personnages un drame assez poignant et une mise en scène assez intéressante. (ibid., f° 15)
Puis le drame, le dénouement. (ibid., Plan du troisième livre, f° 24)
Puis, le drame, les paroles de Dieu, la lassitude, la terreur, le passé revenant. (ibid., Le Paradou, f° 63)
Nana (1880)
VII. – Drame. Nana disant à Muffat que sa femme le trompe.
XIII. – Chez Nana, le drame des Hugon, Muffat trouvant Chouard. (vers février 70). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Il faudra arranger cela dramatiquement. (ibid. F°71)
Arranger ça dramatiquement, avec un doute. (ibid. F°85)
Il faut que le drame violent de Muffat reprenne là-dedans pour que le roman ne fléchisse pas au milieu.
Chapitre IX. – Une répétition au théâtre. Nouer là un drame, une action. (ibid. F°95)
Et une soirée, après dîner, où je dramatiserai le tout. (ibid. F°100)
Le drame est celui-ci : (…). (ibid. F°102)
Et c’est là que je noue le drame de Vandeuvres. (ibid. F°122)
Mais Labordette revient, il a des nouvelles qu’il peut chuchoter à l’oreille de Nana, ou dire tout haut : fin du drame de Vandeuvres. (ibid. F°124)
D’autre part, le drame des Hugon. Georges a surpris Nana avec son frère (…). (ibid. F°146)
Il faut que cela soit dit nettement et à plusieurs fois, en conversation, en drame, par Nana, par les autres. (ibid. F°147)
Voir si cela ne pourrait pas servir de cadre à un des deux chapitres, terminés par le drame des Hugon. (ibid. F°148)
Faire très noir et dramatique. (ibid. F°149).
Ce monde à côté pourrait me servir à dramatiser un peu l’action. (NAF Ms. 10313, Nana. F°208- Ebauche)
Voilà quel peut être ce coin de drame. (ibid. F°211)
C’est là que je n’ai pas très clairement le drame. (ibid. F°212-3)
C’est toujours cette partie, ce drame qui me gêne. (ibid. F°215)
A quoi bon courir les chances d’un rapprochement, lorsque chez moi le drame est tout à fait secondaire. (…) Mon drame ne peut pourtant m’être donné que par un homme qui aimera Nana (…).Voyons les conditions où le comte Muffat peut se trouver, pour qu’en aimant Nana, il y ait drame. Le drame le plus simple, c’était de lui donner une femme, et de faire qu’il y ait lutte entre ses désirs d’amant et ses devoirs d’époux ; mais je repousse cela. (ibid. F°225)
tout au plus puis-je donner des instincts de dévotion à Muffat, pour ménager un dénouement ; mais il me faut chercher mon petit drame ailleurs. (ibid. F°226-227).
Lucie se lève, très digne, et avec un geste dramatique qui lui vient du Théâtre de la Tour d’Auvergne (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°246- Notes).
Pot-Bouille (1882)
Plus tard, le drame sera celui-ci : la fille recommençant dans le ménage ce que sa mère lui a appris pour se marier (MS NAF 10 321, Pot-Bouille, f° 381)
Trouver le drame dans ses détails (ibid.,, f°381)
Le drame est dans ce qui se passera lorsque Cécile couchera avec lui. Je ne voudrais pas de drame violent ; des larmes, des gifles, mais pas de duel (ibid., f° 384)
Enfin, dans la maison, un bourgeois de classe plus relevée, ayant épousé une détraquée qui celle-là couche en dehors d’Octave , mais qu’il faudra unir au drame (ibid., f° 385)
Jusqu’ici, je n’ai pas la grande ligne philosophique. Il me faudrait peut-être pour l’avoir prendre un ouvrier et le poser en comparaison. Mais non, il suffira de montrer la pourriture d’une maison bourgeoise, des caves aux greniers, avec une montée du drame, et un summum final (ibid., f° 386)
Au bonheur des dames (1883)
Je puis mettre cette boutique dans le pâté de maisons et la faire absorber, ce qui me donnerait le drame d’un immeuble longtemps convoité et enfin conquis (…) (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 6) \\La lutte des deux magasins doit être le vrai drame, très vibrant (ibid., f° 9) \\Pour le drame, cette femme [Denise] peut être aimée de quelque employé (ibid., f° 11) \\Et à la fin, pour que tout finisse bien, je lui [à Mouret] ferai sauver ses cousins [à Denise] (après une chose très dramatique comme un suicide par exemple) (ibid., f° 13) \\Tout le drame passionnel va donc être dans l’opposition d’Octave et de la femme (ibid., f° 13) \\Mettre beaucoup plus d’analyse que dans Pot-Bouille tout en gardant le plus de vie dramatisée (ibid., f° 14) \\Un rôle à un caissier, amant et une vendeuse rare – un type à créer et intéresser au drame (ibid., f° 19) \\Maintenant le drame d’argent. – Une guerre d’expropriation avec une boutique (ibid., f° 20) \\Mais surtout un drame commençant dans une petite boutique, par exemple, des merciers (…) (ibid., f° 20) \\Tout le magasin dramatisé (ibid., f° 26) \\La tentation sur la femme, base posée, une scène dramatisée (ibid)
La Terre (1887)
Mon drame se présente naturellement par un partage entre vifs. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 403/4- Ebauche)
(…) le dénouement avec le fils qui accepte ou non ; et pour finir la mort des parents, un drame peut-être. (ibid., f° 404/5)
(…) Le père Bouffard pourra être chez la fille mariée, ce qui me donnera là un second drame en épisode. (ibid., f° 404/5)
(…) Il faudrait qu’on lui tue sa maîtresse, qu’elle soit la victime de ce drame pour la terre. (ibid., f° 405/6)
(…)Je voudrais diviser plutôt. Beaugrand a deux fils Bonhomme et Jacques et une fille mariée à Durand. Il partage mais Bonhomme n’accepte pas sa part ; et voilà tout mon drame du partage. (ibid., f° 412/13)
(…) Cela me donnerait la grande culture, et je tacherai de nouer cela au récit par un intérêt, un drame qui se mêlerait à celui que j’ai déjà. (ibid., f° 461/53)
(…) la haine contre cette masse de terre dont le coin entre dans le pays. Mais laisser cela absolument au second plan. (…) – je voudrais bien que Jean soit mêlé à cela, mêler deux drame [sic]. (ibid., f° 461/53) Marquer toutes les phases de ce drame intérieur (MS NAF 10329 La Terre F° 10 – Personnages, Jean Macquart)
Il faut que le drame soit entre lui et Buteau, son fils (ibid., F° 14 – Personnages, Louis Fouan)
Le drame sera dans l’autorité paternelle (ibid., F° 14)
Elle meurt grosse, ce qui sera plus dramatique (ibid., F° 50 – Personnages, Françoise Fouan)
Cela est d’autant mieux, que le drame là encore est sur une possession (ibid., F° 53)
il parle, et c’est ce qui amène le drame de la fin (ibid., F° 79 – Personnages, Soulas)
=== Le Rêve (1888)== Comme je veux que l’histoire finisse bien (…) \\(…) je dois mettre le drame au milieu (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 227/11)
(…) Je désirerais donc entre eux un
petit drame (ibid., f°s 245/29-246/30)
(…) Hubert reparait avec son drame personnel (ibid., f° 269/52)
avec son mari, le mot sur leur propre drame (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre III f° 44)
je ne sais si je dois pousser cette scène à fond ou plutôt la garder pour le milieu du livre, afin d’avoir les Hubert de nouveau, avoir leur drame (ibid., premier Plan du chapitre III, f° 49)
Tout le drame derrière son impassibilité (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 134)
tout le drame derrière son impassibilité (ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
Et les Hubert reparaissent avec leur drame personnel (ibid., premier plan du chapitre XI, f° 151)
Pousser à une extrême passion, à l’extrême drame. Une envolée (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° 158)
A régler le drame sur la cérémonie (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)
Les Hubert (…) suivant le
drame (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° s179-180)
Lourdes (1894)
Des femmes sans doute, le frère marié avec des enfants peut-être, et cela corsant mon drame. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°18)
Pour arriver à suivre d’abord l’idylle de l’enfance, l’apparition, puis le drame de l’âge mûr, il faudrait trouver un procédé (…). (ibid. F°33)
Cela serait donc assez original de faire passer le drame psychologique du miracle dans un prêtre. (ibid. F°76)
Ne pas oublier que la malade a deviné le drame qui se joue chez le prêtre, et qu’elle prie pour lui. (ibid. F°99)
Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille ; et là je voudrais tout un drame qui peut me donner les deux chapitres qui me manquent. (…)
Pour avoir un drame d’intérêt, il suffirait que le petit ait sur sa tête un héritage, que les parents perdraient, s’il venait à mourir. (…) Tout ce drame très discret et formidable. (ibid. F°s108-109)
Et son premier souvenir, la mort de son père, comme il a [quatre biffé] 5 ans. Le drame. Une explosion. (ibid. F°146)
Un dernier effort chez lui [Pierre], pour reconquérir la foi – Le drame est là. (ibid. F°435)
Je n’ai donc plus [là biffé] ici que les résultats, dramatisés, le rappel de ce que j’ai dit, et ce qu’il en est advenu dans les faits. (ibid. F°479)
Pierre songe qu’il l’épouserait [Marie], s’il n’était pas prêtre, et c’est là qu’est le drame, le combat dans lequel il va se vaincre. (ibid. F°546)
Très important, tout le drame psychologique est lu. – (ibid. F°589)
Il faut que Marie ait deviné le drame qui se passe chez Pierre. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 27 – Notes sur Marie de Guersaint)
C’est donc à qui des deux [Mme Chaise ou Gustave]
mourra le premier. L’affreux drame est là. (…) Terreur secrète et inconsciente de Vigneron, le drame est là. (ibid. Fos 53-54 – Notes sur M. Vigneron)
Poser tout cela dans une première scène à l’hôtel, et [pl biffé] puis dénouer par le drame dans une autre scène, lorsque Mme Chaise meurt. (ibid. Fo 55 – Notes sur M. Vigneron)
Affiné par le mal, voyant dans les âmes ; et au courant de tout le drame qui se passe. (ibid. Fo 57 – Notes sur Gustave Vigneron)
[Une simple figure, mais nécessaire, je crois. Et voir si je ne pourrais pas le mêler [d’ava biffé] davantage aux différents drames. (…) biffé] (ibid. Fo 95 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Travail (1901)
Tout un drame nécessaire, d’une intensité décuplée (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 351/4)
Pour avoir un drame, le mieux est de partir des misères et des hontes de la société actuelle (ibid., f° 351/4) \\Donc, j’ai tout de suite des groupes, des drames individuels (ibid., f° 352/5) \\cela peut donner un drame intéressant (ibid., f° 352/5)
Cela ne donnerait qu’une idylle, et il faut un drame (ibid., f° 354/7)
Mais il faudrait tout de suite les grandes lignes du drame entre eux (ibid., f° 360/13)
Il faudra un drame chez l’usinier (ibid., f° 364/17)
Puis, à la fin elle l’accable, lui dit qu’il est cocu, voir le drame de cela (ibid., f° 366/19) \\Je vois le drame de l’usinier, du patron qui ne veut pas céder (ibid., f° 368/21)
Je crois que le reste du drame doit m’être donné par des types d’ouvriers (ibid., f° 369/22)
J’ai le drame du patron et des ouvriers (ibid., f° 370/23)
Tout le drame (ibid., f° 374/27)
Livre premier, peinture noire de ce qui est,§§§ tous les personnages posés, tous les drames partiels mis en marche (ibid., f° 374/27)
Je reprends les drames personnels de chaque groupe, de chaque personnage et les §§ dans la joie (ibid., f° 374/27-375/28)
Mais un drame chez lui (…) et il peut avoir à sa charge le père de cette femme (ibid., f° 378/31)
Drame de l’amour. Drame de l’argent (ibid., f° 380/33) \\Et, dans le drame de sa fille aimant Luc (…) s’étonne de ce drame (ibid., f° 385/38) \\§§pour poser les deux ménages du capitaliste et de l’usinier, avec leurs drames respectifs, leur histoire (F° 392/45) \\Et le drame l’usinière §§ sa faute à son mari (ibid., f° 395/48)
Il me faut donc des personnages paysans, avec leur petit drame (ibid., f° 400/53)
Voir si le
drame ne serait pas dans le fait qu’elle succombe avant le départ du mari (ibid., F°405-406)
Le drame terrible du salariat (ibid., F°434)
DRESSER
Lourdes (1894)
Je puis faire passer le père Capdebarthe. Résumer tout en lui, le râteau. Dresser leur figure. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°332)
Mais on les [les Pères] sent derrière, on sent le coup de râteau qui ramasse toute la monnaie. Et dresser leur figure. (ibid. F°342)
Je la [l’église] dresse donc dans le soleil, et je la décris – (ibid. F°474)
DROIT
(ensemble des disciplines juridiques) === Le Rêve (1888)== Il revient décidé à l’adoption. Voir le point de droit (MS NAF 10323, Le Rêve, Personnages, f° 214)
DrÔle (Voir aussi : comique ; ironie)
Nana (1880)
Poser la fête de Fontan. Prénom drôle. (NAF Ms. 10313, Nana. F°48- Plan)
Il est question de madame Robert. (…) Nana croit l’avoir rencontrée dans un drôle d’endroit. (ibid. F°65).
La Terre (1887)
Un chapitre dans le village. Des légumes. Le fouet. Palmyre travaillant, accusée d’inceste. Le braconnier et sa fille drôle. Le village contre la ferme. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 500/2 – Plan)
DUALITÉ
Lourdes (1894)
Son portrait [Pierre] serait bon ici. Le prendre au personnage. La dualité en lui [en interligne : ce qu’il tient de sa mère et de son père] [et biffé] l’intellectuel. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°148)
Sa dualité, la prendre au personnage. (ibid. F°589)
Ainsi dualité du cerveau et de la bouche, l’intellectualité et la passion (…) – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 4 – Notes sur Pierre Froment)
DUBOIS (Lucien)
Le Ventre de Paris (1873)
Lucien Dubois, ex inspecteur général, 2 ou 4 rue de Provence (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°240)
DUCAMP (Maxime)
Journaliste, historien (1822-1894).
Le Ventre de Paris (1873)
Notes prises dans le travail de Maxime Ducamp (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°116)
Notes prises à Maxime Ducamp (ibid., f° 117)
DUEL
Lourdes (1894)
Et là retrouver, suivre, étudier et peindre ce duel incessant entre la science et le besoin de surnaturel (…) \\. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 208-209 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
DULAC (général)
Le Ventre de Paris (1873)
Vers une heure, le 4, (…) la troupe arrive. Le général Dulac, avec une brigade (…) (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°201)
DU MOINS
Nana (1880)
C’est Caroline Hequet et sa mère qui rachèteront la campagne (…) ; ou du moins elles la feront racheter (NAF Ms. 10313, Nana. F°63- Plan)
J’aimerais assez que le chapitre se passât presque entièrement chez les Muffat, ou du moins fût à cheval sur les deux intérieurs. (ibid. F°71).
La Terre (1887)
Je puis faire aussi qu’elle retourne à Bonhomme, ou du moins qu’il la prenne et qu’elle en meurt. (MS NAF 10.328, La Terre, f° 434/35 – Ebauche)
(…) Pour ne pas avoir trop de parallélisme, ne pas faire retourner Jean chez la fermière, ou s’arranger du moins pour que la symétrie ne se sente pas. (ibid., f° 467/59)
(…) Je voudrais un jeune paysan qui incarnerait le paysan quittant la terre, attiré par la ville, s’habillant chez Godchau, d’une élégance canaille. Je voudrais même lui donner un rôle important, du moins quelques apparitions typiques. (ibid., f° 481/73)
=== Le Rêve (1888)== Il faut que Félicien dise cela à Angélique, ou du moins à Hubertine qui le répétera à Angélique (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 267/50)
Du moins il faut qu’elle reste croyante en sa chimère (ibid., plan du chapitre IX, f° 123)
Mais je crois qu’il ne doit arriver qu’après la cérémonie, ou du moins que Angélique ne le voit qu’après, qu’au moment nécessaire pour l’effet (ibid., premier plan du chapitre XIII, f° 177)
Lourdes (1894)
Ou du moins, le prêtre l’a connu incroyant, et il le retrouve converti. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 64 – Notes sur le docteur Chassaigne)
Travail (1901)
Ou du moins je me débarrasserai en un premier chapitre de toute l’organisation nouvelle (…) Du moins, chercher cela (F° 403)
DUPANLOUP (Félix Mgr) Évêque d’Orléans de 1849 à sa mort, en 1878, célèbre pour avoir prononcé un panégyrique en faveur de Jeanne d’Arc, dont il souhaitait la béatification. En 1871, il menaça de démissionner de l’Académie française, où il avait été élu dix-sept ans plus tôt, parce qu’Emile Littré, auquel il reprochait son agnosticisme, venait d’y obtenir un siège.
Lourdes (1894)
Mgr Dupanloup, tous ces grands prêtres, tous ces pontifes qui vont sangloter, et qui l’ennuient [Bernadette] dans sa simplicité. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°571)
Dupanloup va la voir [Bernadette] et pleure (au couvent de Saint-Gildard). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 260 – Notes sur H. Lasserre)
DUPRAT
Juge de paix au moment des apparitions, à Lourdes.
Lourdes (1894)
Autorité civile s’émeut et va agir : le procureur impérial, Dutour ; le juge de paix, Duprat ; le commissaire de police Jacomet ; le préfet, M. le baron Massy. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Le procureur impérial, M. Dutour ; le juge de paix, M. Duprat ; le maire, le substitut, le commissaire de police. (ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
DURER (faire)
La Faute de l’abbé Mouret (1875)
Pour bien montrer que Serge est repris par le catholicisme, faire durer la situation. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 24)
Faire durer la tentation jusqu’en août. (ibid., Le Paradou, f° 46)
Nana (1880)
Et la comtesse Sabine, avec Estelle et Daguenet, près de la voiture de Nana. On se dévisage. Cela dure longtemps. (NAF Ms. 10313, Nana. F°124- Plan).
Monde de bourse et de sport gagnant l’argent au jour le jour. Ça peut durer des années comme ça peut finir brusquement. Les amants de cœur très variables. (NAF Ms. 10313, Nana. F°22- Notes).
Lourdes (1894)
Elle [la lecture] doit durer une heure, mais c’est si intéressant, qu’on supplie la sœur de laisser continuer. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°199)
Cela jusqu’à Riscle où l’on arrive à 5.45. Donc ça dure une heure 15. (ibid. F°535)
L’apparition dure un quart d’heure. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
Le miracle du cierge (198). [Un biffé] Ça durera un peu plus d’un quart d’heure. (ibid. Fo 245 – Notes sur H. Lasserre)
DU RESTE
=== Le Rêve (1888)== Félicien du reste ne dit pas un mot d’amour (MS NAF 10323, premier plan du chapitre VI, f° 88)
DUSSOUBS (Denis)
Républicain mort sur les barricades à Paris en décembre 1851.
Le Ventre de Paris (1873)
mort de Dussoubs (Denis), frère du représentant (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f° 201)
DUTOUR
Procureur impérial au moment des apparitions, à Lourdes.
Lourdes (1894)
Autorité civile s’émeut et va agir : le procureur impérial, Dutour ; le juge de paix, Duprat ; le commissaire de police Jacomet ; le préfet, M. le baron Massy. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Le procureur impérial, M. Dutour ; le juge de paix, M. Duprat ; le maire, le substitut, le commissaire de police. (ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
On a commandé à un membre d’un ordre considérable une histoire pour réhabiliter M. (…) Dutour, ancien procureur (…) \\. (ibid. Fos 286-287 Notes sur L’église du curé Peyramale)