Dictionnaire – D’abord-Déterminer

D’ABORD / PUIS/ ENSUITE/ENFIN

Voir aussi : Début ; Commencement ; Fin.

La Curée (1872)

D’abord Larsonneau seul trafiquant. Puis Saccard – fin du traité (MS NAF 10 282, La Curée, f°350).

Le Ventre de Paris (1873)

J’entrevois d’abord la police. Un sergent de ville, un type à trouver. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 60)
J’en ferai d’abord un soupirant aux pieds de la belle Lisa. (ibid., f° 63)
Je n’ai encore pour les Halles, comme types, qu’une charcutière, une marchande de poissons, une marchande des quatre saisons (avec voiture d’abord, puis devant un éventaire) (ibid., f° 72)
D’abord, impression pénible, puis respect devant le désintéressement de Florent ; (ibid., f° 83)
J’ai d’abord le grand chapitre d’une nuit aux Halles. (ibid., f° 83)
On parle d’abord d’organiser le quartier pour former des groupes républicains en cas de révolution possible. (ibid., f° 85)
Lisa d’abord a l’estime ou désintéressement de Florent; puis elle a une antipathie pour ce garçon qui vit en dehors du monde ordinaire (ibid., f° 89)
Ainsi donc le personnage de Lisa vis-à-vis de Florent est très net : estime d’abord, antipathie, puis frayeur (ibid., f° 90)
Comme maigres, j’ai d’abord Florent, puis Claude (ibid., f° 101)
D’abord drapiers, marchands de toutes sortes autour desquels viennent se grouper les marchands de comestibles (ibid., f°117)
Voici comment arrivent les marchands. D’abord les maraîchers (ibid., f° 121)
voici ce qu’on voit avant le jour. D’abord sur le trottoir de la triperie le marché au laurier, à l’ail, à l’échalotte, etc.(ibid., f° 170)
Un étalage. D’abord un lit de frisons roses.(ibid., f° 193)
Traîné d’abord de poste en poste, puis mis à la préfecture de police. (ibid., f° 202)
D’abord, ils avaient été forcés de travailler comme des forçats. (ibid., f° 207)

La Conquête de Plassans( 1874)

Pour mettre cela en œuvre, il faut d’abord que je fasse de Mouret un garçon gênant ( MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche F°19)
Comme comparses, j’ai d’abord Pierre Rougon et Félicité Rougon qui détestent leur gendre et qui par ordre sont pour le curé Bonnard (ibid. F°23)
Quelque chose de raide. D’abord les remords de
Marthe (ibid.F°s 25-26)
La conversation raisonnable qu’elle a d’abord avec lui, puis soudain la folie éclate (ibid. F°26)
D’abord faire Faujas chaste (ibid.F°29)
D’abord son action sur le clergé (ibid.F°32)
(…), un soir dans son jardin, d’abord en gros, sans l’histoire des personnages qui viendront au fur et à mesure. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan IV F° 6)
Les cancans ne sont d’abord qu’une rumeur vague (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XVI F° 11)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)
Le petit, d’abord au petit séminaire, puis au grand, puis prêtre. (ibid., Les personnages, f° 16)
Ne pas oublier de mettre Serge dans son milieu catholique habituel. D’abord parmi ses professeurs. Puis, parmi les prêtres du canton, avec le doyen, et au-dessus l’archevêque et les autorités ecclésiastiques. (ibid., f° 18)
D’abord description de la chambre. (ibid., Le Paradou, f° 61)
Je fais connaître le jardin par des promenades, d’abord courtes, puis lointaines, à tous les points, à toutes les heures. (ibid., f° 62)

Nana (1880)

Vous laissez naître ce ferment, il remonte et vous désorganise ensuite. (NAF Ms. 10313, Nana. F°1- Plan)
(…) puis le café de Madrid. (ibid. F°3)
Scène entre Diane et Vulcain, puis entre Diane et Vénus (ibid. F°5)
Puis Hector : « Tiens il y a un homme avec Amy » (…).
Daguenet passe, il va dans le foyer, puis fume une cigarette sur le balcon, le boulevard. (ibid. F°8)
Poser brièvement le comte et la comtesse, puis le Marquis. (ibid. F°9)
– Enfin Georges après avoir trouvé la grille du passage des Panoramas fermée, erre un instant, puis rencontre Satin. (ibid. F°10)
– Monsieur Daguenet est parti, puis la revue de l’argent (…). Puis madame Lerat doit aller chercher l’enfant (…). (ibid. F°14)
Puis elle reçoit les deux hommes. (ibid. F°17)
Puis elle [Nana] se sauve (…). (ibid. F°18)
Un lever de fille et un déjeuner. Puis les visites l’après midi. (ibid. F°19)
Bien faire sentir la nuance. Puis Estelle énigme. (ibid. F°27)
Fauchery est persuadé un instant que Sabine est une cocodette, qu’elle trompe Muffat, puis il hésite encore une fois à la fin. (ibid. F°29)
Là, il faut que j’explique les Muffat, le mari, la femme et la fille, puis le marquis de Chouard, puis madame Hugon et ses deux fils. (ibid. F°30)
[Le personnage dévot] a vendu son étude de bonne heure, puis a fait alors des spéculations et est devenu très riche. (ibid. F°32)
La Faloise et Clarisse d’abord. – Puis Steiner, Rose et Mignon (Nana commençant ses démonstrations) – Vendoeuvres et Blanche (Nana devient très cérémonieuse.). (ibid. F°37)
Il faut que le dîner d’abord très bourgeois se monte un peu de ton vers la fin. (ibid. F°40)
(…) le comte Xavier de Vendoeuvres avec Blanche de Sivry, Clarisse Besnus et Simonne Cabiroche, – Caroline Hèquet (sic), – puis Daguenet, Georges, Arsène Labordette, Mignon, Bordenave. (ibid. F°43)
Vénus arrive, nue. Puis, Mars. (ibid. F°47)
Puis Bordenave conduit le prince, Muffat et Chouard à la loge de Nana. (ibid. F°49)
Puis, la scène de Fontan, apportant le champagne. (ibid. F°50)
Chouard s’est rabattu de Simonne sur Satin, puis il lâchera Muffat.
Le prince aura pu descendre, puis aura hésité à passer par le passage (…). (ibid. F°53)
Alors Bébé feignant la migraine même avant le dîner, disant qu’il va s’enfermer, puis descendant par la fenêtre, et se sauvant le ventre vide. (ibid. F°57)
Puis envolée dans le jardin, la pluie tombe, Nana avec un parapluie pataugeant, les fleurs, les légumes, les fruits. (ibid. F°58)
Puis on annonce Muffat, et Georges s’en va (…). (ibid. F° 59)
(…) puis des couples : Vendoeuvres qui est maintenant avec Amy Steward, La Faloise avec Gaga et sa fille, – enfin Labordette, avec Caroline Hequet, Tatan Néné et Maria Blond (ibid. F°60)
Puis une rencontre dans un chemin (…).Puis, la fin de la promenade de Nana (…). (ibid. F°61)
Et me servir de la description du passage, la grande galerie, puis de la petite cour, du vestibule (ibid. F°67)
Dans la chambre ; son but d’abord à elle, est de l’éloigner. (…) D’abord, je crois sur la chronique de Fauchery, qui est là. – Puis la scène où Nana se met nue devant la glace et s’admire d’abord (ibid. F°68-69)
Elle veut le renvoyer, elle se laisse b. puis sur le ciel (…).
Le mariage de Muffat, qui épouse une fille dont il ne satisfait pas les instinct (sic) de plaisir, par ignorance d’abord, puis par dignité de mari ; (ibid. F°69).
Puis quand Muffat reçoit le coup.
Elle [Nana] est d’abord très maternelle. (…). Puis elle se fâche. (ibid. F°70)
Chapitre VII. – Cadre un dîner au restaurant, puis un coucher
Expliquer d’abord comment Nana peut savoir que Juillerat est avec la comtesse ; (…) puis une circonstance lui a appris que ce soir-là la comtesse est avec Juillerat, dans un restaurant, dans un hôtel garni. (ibid. F°71)
Puis comme il veut l’embrasser (…). (ibid. F°72)
Muffat épouse une fille dont il ne satisfait pas les instincts de plaisir, par ignorance d’abord, ensuite par dignité de mari ; cette fille va chercher le plaisir ailleurs. Puis Muffat qui n’a pas trouvé la volupté dans son ménage, la goûte à son tour, l’apprend et sa passionne pour la grossièreté dont Nana l’accompagne. (ibid. F°72-73)
La première fois où il est posé que le ferment, laissé en bas, pourrit les hautes classes ensuite. (ibid. F°73)
Muffat, Steiner, Daguenet. Puis les femmes. (ibid. F°79)
Puis des nouvelle (sic) Muffat la cherchant Rose triomphant.
Puis enfin la dernière scène (ibid. F°82)
Satin, l’emmène manger chez Laure, où l’on retrouve, Clarisse et Simonne, puis Madame Robert. (ibid. F°83)
La fille et son amant soupant le soir dans le lit puis secouant les miettes. (ibid. F°84)
Elle va chez elle. Puis elle finit par la voir bien réellement chez Laure. (ibid. F°85-6)
Le comte croyant parler à la maîtresse de Saint Firmin. Puis il voit la cocotte avec le Brésilien et il ne tient plus en place. (ibid. F°87 (sic))
Puis, un bruit dans une baignoire, un léger rire.
Puis la salle noire vue de la scène (…). (ibid. F°90)
C’est Mignon qui doit l’amener. – Puis : « Eh bien ! et ce rôle ? » Nana ne répond pas.
Puis brusquement le bruit se répand que Nana est là, et les commentaire (sic). (ibid. F°91)
Puis, à cent pas du café Riche, comme elles arrivaient sur (ibid. F°91 verso)
Puis elle monte dans la loge Labordette va chercher Muffat, qui s’éclipse.
Très amoureux de quoi ça est fait. Puis la montée de l’escalier le jour, le foyer, puis l’escalier et les couloirs. (ibid. F°92)
Puis Nana : « Mon cher Bordenave fera ce que vous voudrez, il a besoin de vous.
Puis ils restent à l’avant-scène.
Fauchery se révolte d’abord. Puis il s’incline devant le mari. (ibid. F°93)
Il offre un hôtel, une rente, etc. ; mais il veut être seul ; Nana l’écoute en silence, puis accepte (…). (ibid. F°95)
Le mariage de Daguenet, le salon – Puis la nuit avec sa femme faisant pendant avec la nuit avec Nana. Chouard se fâchant avec Muffat, pour la morale. La santé – Donner des détails sur l’état de fortune des Muffat. Où ils en sont. XIII. – Enfin un chapitre jeté. (ibid. F°97)
Puis Vendoeuvres. (ibid. F°98)
Là l’épisode de Zizi revenant et s’acoquinant. Puis il annonce un jour son frère.
Puis les journées vides de Nana, avec Madame Maloir.
Puis Satin disparaît. (…) Ensuite elle enlève Satin à Madame Robert, qui écrit des lettres anonymes. (ibid. F°99)
Scène avec Nana très autoritaire avec les domestiques, puis s’attendrissant.
Venot que Muffat a amené, puis comme femme Nana, Madame Maloir et Satin (ibid. F°100)
– Puis Nana: « Ah ! oui, par exemple, on fait bien de profiter quand on peut. » (ibid. F°101)
Puis, voyant que cela ne lui réussit pas, il se raccommode avec Nana (…). (ibid. F°103)
Nana très autoritaire avec les domestiques, puis s’attendrissant. (ibid. F°104)
Philippe la retrouver puis La Fafaloise (sic). (ibid. F°109)
Puis à 3 ans, Lusignan gagne dans la Grande Poule des Produits (…). Il a d’abord gagné dans le Prix des Cars (Longchamp avril) 6000 fr.
Puis au dernier moment Vandoeuvres fait venir un excellent Jockey inconnu Price (…). (ibid. F°115)
Poser d’abord les lieux.
Conversation – D’abord sur Vandeuvre, posant la course, les chevaux qui courent : Nana et l’autre. Puis sur Muffat
Une première rupture. Puis raccommodement, mais avec des crises.
Nana ne demanderait pas mieux – Puis, Sabine et Estelle, aperçue avec une lorgnette (…). (ibid. F°118)
Ces omnibus à droite des tribunes. Puis des fiacres, des landaux (…).
Puis Rose Mignon, avec Mignon et ses deux enfants (…). (ibid. F°119)
il regarda les deux femmes, puis se soumettant, il descendit.
Puis courant à la fenêtre (…). (ibid. F°119 verso)
Elle [Nana] ne fait d’abord que traverser la piste.
Puis l’impératrice arrivant. Muffat. (ibid. F°121)
Puis, Nana me donne le Ring (…). Et la piste ensuite.
Alors grande description. D’abord tout ce qu’on voit. (ibid. F°122)
(…) à droite le moulin, la tour, dans les arbres, une maison les pelouses avec les bouquets, puis l’avenue de Longchamp (…).
Le bruit des chevaux quand ils passent une première fois, puis l’arrivée. (ibid. F°123)
Puis le retour, dans le Bois (la retape)
Puis, terminer Vandeuvres par Nana, dans un résumé en conversation. Il a été exécuté aux Courses et au cercle Cercle impérial ; puis il s’est fait flamber avec ses chevaux (…). (ibid. F°124)
Il [Vendoeuvres] fait une canaillerie aux Courses. On en chuchotte (sic), et on l’exécute, d’abord sur le champ de courses, puis le soir au cercle. (ibid. F°125)
Madame Robert vue d’abord avec un monsieur très convenable. Puis filant avec Chouard. (ibid. F°127)
Elle veut qu’il se remette. Puis l’argent. (ibid. F°132)
Sabine toute surprise, se reculant d’abord, puis souriant, elle-même ayant besoin d’argent et acceptant. (ibid. F°135)
Puis la dépense de madame. (ibid. F°139)
– Puis comme Muffat se présente, ce qu’elle lui dit. (ibid. F°141)
Puis ce qu’elle continue à lui imposer.
Puis Satin, l’hôtel revient.
Puis les hommes défilant. – Foucarmont, d’abord, une bouchée – Steiner, son affaire du Bosphore, à la Bourse, mangé aisément. Simonne lâchée – enfin la Faloise, l’héritage croqué.
Alors la suite des humiliations qu’elle lui impose. (…) Tous ces hommes d’abord et d’autres – Puis elle a failli s’asphyxier pour un amant de cœur et c’est lui qui la soigne. (ibid. F°142)
Puis devant le lit. Son mot. Il parle de Rose et de Fauchery. Puis ensuite, le c. transformé en soleil, rayonnant. (ibid. F°143)
D’abord montrer tous ses hommes (les nommer depuis Vandoeuvres) abattus à ses pieds. Puis revenir sur le soleil de son c. rayonnant sur ces victimes. (ibid. F°144)
Puis enfin, comme dernier affront, elle se fait surprendre par lui avec le marquis de Chouard, complètement imbécille (sic). (ibid. F°145)
Cartier, après avoir lancé Simmone et refait ses affaires, est nettoyé par Caroline Hequet, puis reçoit le coup de pouce de Nana. Nana c’est la pourriture d’en bas, l’Assommoir, que les classes dirigeantes laissent se former, et qui remonte ensuite (…). (ibid. F°147)
Madrid. Les parties, l’été. la Grenouillère Mabille ensuite (ibid. F°148)
Sa vente. Elle réalise six cent mille francs puis disparaît
Puis le bruit de son retour, on annonce des diamants prodigieux. Un silence ensuite.
Puis, l’après-midi, à la tombée du jour, Lucy rencontre Caroline Hequet (…).
Puis une fâcherie avec la tante (…). (ibid. F°154)
Puis Mignon montrant Muffat sur un banc (il a été averti par Labordette.). (ibid. F°155)
Puis, après quelques mots sur Nana sur sa tante qu’elle n’a pas voulu voir et qui va hériter sans le savoir, elles passent à leurs enfants à elles mêmes.
Non c’est Maria Blond, puis un peu après Tatan Néné et Louise Violaine. (ibid. F°156)
Puis, son directeur lui ayant (ibid. F°158 verso)
Puis, la première d’une féerie, rien qu’un ballet. (ibid. F°159).
[Clarisse Besnus] Grande belle fille qui a été institutrice, qui joue du piano, puis qui a mal tourné. (NAF Ms. 10313, Nana. F°166- Personnages)
[Simonne Cabiraoche] A été lancée par un de ses maîtres, puis est devenue la maîtresse d’un cabotin, qui l’a mise au théâtre. (ibid. F°170)
[Caroline Héquet] Puis, la paix semble s’être fait avec sa mère. (ibid. F°178)
Mais femme digne [Madame Maloir], ayant des manière (…) ; puis se rendant utile, faisant des commissions (…). (ibid. F°184)
Puis, je ferai continuer le chassé-croisé des amants. (ibid. F°185)
Puis, devant le succès de sa femme, Mignon n’a plus rien fait. (ibid. F°186)
[Muffat] Son père a pu se trouver mêlé dans la tentative de Boulogne et a rendu ensuite des services au prince président ; puis il est mort (…). (ibid. F°187)
[Nana] s’est sauvée pour se mettre avec un vieux, (voir si elle ne s’est pas livré d’abord à un homme de sa classe), a quitté son vieux pour rouler (…). (ibid. F°191)
Dans les premiers temps, très lâchée, grossière ; puis, faisant la dame et s’observant beaucoup. (ibid. F°192)
[Venot] (…) a vendu son étude de bonne heure, puis a fait des spéculations et est devenu très riche. (ibid. F°203)
[Zoé] A servi dans une grande maison, puis chez un dentiste, puis chez un agent d’affaires. Puis a trouvé sa voie. (ibid. F°204).
Elle a des entreteneurs de tous les côtés. Puis un coup de descente. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche)
Maintenant, comme autres personnages secondaires, il faudrait un officier supérieur, puis de très hauts personnages tenant à la cour, un comte écuyer de l’empereur, un sénateur ayant une fonction, un autre encore ; enfin un prince de sang étranger, venant faire des voyages à Paris (…). (ibid. F° 209-210)
L’homme ruiné, séparé, ayant perdu sa place, reviendrait alors, et serait très mal traité ; puis il trouverait moyen d’avoir encore de l’argent et il se remettrait avec elle, pour en finir.
Ensuite il faudra distribuer les faits. (ibid. F°213)
Puis Nana comprendra et deviendra très comme il faut. (ibid. F°214)
Puis, si la femme pardonnait, cela irait contre mon but.
(…) puis, en voyant la ruine qui la menace et qui menace sa fille, elle finit par demander sa séparation de corps et de bien.
Puis, après la séparation, il se mettra complètement avec elle, voudra ne plus la partager, ce à quoi elle consentira d’abord, puis le trompera et l’amènera à toutes les capitulations, à toutes les hontes. (ibid. F°216)
La femme mourant tâche d’arranger les affaires de sa fille, elle peut causer avec sa fille. Puis quand elle est morte, tout le travail du père autour de sa fille pour avoir de l’argent ; et la fille en donne. (ibid. F°218)
Puis, ne pas oublier la vieille garde, une vieille lune, une vieille putain de cinquante-cinq ans exerçant encore. (ibid. F°220)
Judic, les rivales, puis les deux utilités, puis des comédiens hommes, un comique et d’autres, enfin le directeur ; le vice d’en bas fourni par les deux figurantes, l’amie de Nana qui roule le boulevard, la fille relativement honnête, enfin Louise et ses pensionnaires. (ibid. F°221)
– Puis, je voudrais une répé[ti]tion, ce qui achèverait de me donner le théâtre. (…) – Enfin, voir si on ne pourrait pas finir par changer de théâtre et montrer les coulisses d’une grande féerie. (ibid. F°221-2)
Puis, je ne vois plus le milieu du comte Muffat, qu’il faudrait que j’entourasse de dévots, ce qui ferait une singulière salade avec le monde de Nana. (ibid. F°226)
Il y aura une ou deux personnages qui auront intérêt à ce que Muffat appartienne à la religion et qui pourront le jeter à Nana pour le repêcher ensuite (…). (ibid. F°227)
Puis un jour que Muffat est couché avec elle : « Tu sais, ta femme, eh bien ! à l’heure qu’il est elle fait ça avec un tel. Tu peux y aller. » Muffat se lève, sort, s’asseoit et pleure sur une borne, puis revient. (ibid. F°228)
La situation est celle-ci : Muffat épouse une fille dont il ne satisfait pas les instincts de plaisir, par ignorance d’abord, ensuite par dignité de mari ; cette fille va chercher le plaisir ailleurs. Puis Muffat qui n’a pas trouvé la volupté dans son ménage, la goûte à son tour ailleurs, l’apprend et se passionne pour la grossièreté dont Nana l’accompagne. (ibid. F°230)
Réconciliation, puis l’infamie acceptée, l’argent demandé ; autre scène. Enfin le mariage fait, Daguenet épousant Estelle pour la retirer de là-dedans (…). (ibid. F°230-1)
Nana n’est pas encore lancée (…) ; le directeur Bordenave la pousse ; puis des amants inconnus derrière, mais rien de sérieux. Elle prend alors Cartier à Rose Mignon, tout en gardant Daguenet. Puis Muffat tout de suite se noue. (ibid. F°233)
(…) il a lui aussi des hauts et des bas, il remonte sur sa bête, puis finit par se faire exécuter. (…) puis il est nettoyé méthodiquement par Caroline Héquet. (ibid. F°234)
Clarisse Besnus est la première, une figurante ; puis Gaga, une fille chevronnée ; puis, après avoir passé par plusieurs, Nana qui est la célèbre du moment. (ibid. F°235)
Puis célébrant Nana dans une chronique, couchotant une fois ou deux, tout de suite ; ils ne se vont pas. (ibid. F°236)
Puis les autres fois dans des occasions très louches ; d’abord on doutera que c’est elle, puis elle se livrera à Juillerat. (…) Enfin, à la fin, elle aura couché avec tout le monde, et dans des conditions très sensuelles. (…) Puis, voir ensuite dans le plan. (ibid. F°237).
Forgemol se fâche, il exige qu’on respecte le vocable de ses ancêtres, puis s’apaise sous les bonnes paroles des voisins (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°243/2- Notes)
Une avait : 1 colonel suisse âgé 65 ans, cinq mille fr. par mois, venant 2 mois à Paris ; puis un sportmann (sic), marié (…). (ibid. F°253)
Puis on les veut gaie (sic). (ibid. F°255/4)
Les tours de (sic) successif (sic) du lac, vingt 6, l’amant sérieux, l’amant de cœur, puis 10 ou 12 hommes à recevoir, à renvoyer. (ibid. F°256/5)
Puis il cause de madame, paternellement, en homme sensé, disant qu’elle pourrait bien éviter ces rencontres, qu’elle se gaspille, qu’elle n’a pas d’ordre. Ils finissent par faire un bezigue. Puis Anna vient rechercher Lambert, en peignoir, un bougeoir à la main, le prince étant parti. (ibid. F°277)
Elle dépense deux cent mille francs par an. Achète un hôtel, puis veut le revendre. (ibid. F°278)
Le matin distribution de prix des enfants qu’elle adore (très bourgeoise.) Puis chez Millaud, puis chez le prince. (ibid. F°280)
tour au-dessus des arbres – maison, puis route jaune entre vert montant vers Maillot (ibid. F°288)
Juge devant lui une mire, puis le poteau d’arrivée ou disque. (ibid. F°297)
Puis dans la Grande poule des Produits
Puis Le jodkey ordi- (ibid. F°300)
Puis la coquinerie il en fait donner par un Bookmacker pour 2 mille louis pour lui. (ibid. F°304)
Le long couloir qui part du corridor et qui aboutit dans le vestibule ; tout droit, puis tournant. (ibid. F°311).

La Terre (1887)

je veux peindre d’abord, en bas, l’amour du paysan pour la terre, un amour immédiat, la possession du plus de terre possible, la passion d’en avoir beaucoup, parce qu’elle est à ses yeux la forme de la richesse ; puis, en m’élevant, l’amour de la terre nourricière (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 400/1)
(…) Il faut, d’abord, que j’organise les trois histoires (Bonhomme, Beaugrand et Bouffard) pour la lier l’une à l’autre. (ibid., f° 411/12) Le mieux serait de diviser la lutte pour la terre en deux. D’abord refus du partage, parce que son lot ne lui plait pas (ibid., f° 416/17)
(…)Dès lors, Bonhomme qui a épousé, forcé, attiré aussi par ses deux morceaux. Par un calcul d’abord, cela pousse peu à peu dans sa tête de paysan. (ibid., f° 420/21)
(…) D’abord, il [Jean Macquart] la [Louise] traite en gamine ; puis, il plaisante librement, il la mène à la vache ; et comment elle se donne. Leur amour ardent. Leur intérêt n’est que là. (ibid., f° 432/33) Passion à laquelle elle ne répond pas d’abord, qu’elle semble partager ensuite, et qu’il s’aperçoit ensuite qu’elle n’a jamais eue (MS NAF 10329 La Terre F° 6 – Personnages, Jean Macquart)
Puis sa passion pour Françoise qui naît lentement (ibid., F° 7)
Puis, pourtant, c’est à cela qu’il retourne (ibid., F° 8)
Il faudra faire sentir cela chez le notaire, et par la suite. Puis ne pardonnant pas une injure de son père (ibid., F° 25 – Personnages, Fany Fouan)
figure longue et jolie, petites moustaches plus tard (ibid., F° 29 – Personnages, Ernest Delhomme)
Mais presque tout de suite des vestons (ibid., F° 29)
Comme caractère : le premier abord bonhomme et gai. Puis de la malice et de la sournoiserie ; et au fond la violence du père, l’entêtement, d’où lui vient son surnom (ibid., F° 34 – Personnages, Joseph Fouan)
D’abord bonhomme, puis rusant, puis terrible quand il se découvre (ibid., F° 35)
Puis la peur du gendarme qui l’arrête seule, […]. A la fin, il ruse pour tuer son père (ibid., F° 36)
Plus tard, il va se réfugier un jour chez elle (ibid., F° 41 – Personnages, Marianne Fouan)
Fais des journées, de la couture, surtout. Puis, des gros travaux, quand il n’y a pas de couture (ibid., F° 42 – Personnages, Palmyre Pégout)
sauf un qui a pu coucher avec, puis qui a disparu, soit à l’armée, soit autrement (ibid., F° 43)
Vis-à-vis de sa sœur Françoise, même travail : dévouée d’abord, puis jalouse et mauvaise (ibid., F° 48 – Personnages, Lise Fouan)
Ce n’est que plus tard que la colère vient (ibid., F° 48)
Plus jolie d’abord, les traits réguliers (ibid., F° 49 – Personnages, Françoise Fouan)
Puis, sa révolte exaspérée, dans son ébranlement (ibid., F° 50)
D’abord jeune, sachant tout comme les filles des champs (ibid., F° 52)
… ensuite bataillant ; et le jour où elle s’avoue cela, à la fin seulement. – Donc, les deux sœurs très amies d’abord, puis peu à peu opposées, puis éclatant de haine (ibid., F° 53)
Puis de la colère qui n’est que du dépit (ibid., F° 54)
Il va s’enfermer avec sa femme à la Ferme, traîne d’abord des années mauvaises ; mais ne veut pas lâcher le morceau qui est déprécié (ibid., F° 67 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
D’abord, jeune, arriéré […]. Plus tard, […], il s’émeut, accepte le progrès, mais peu à peu, avec de la répugnance d’abord, et très prudemment ensuite (ibid., F° 68)
Pas d’enthousiasme trop vif, beaucoup de routine d’abord, et du progrès ensuite, mais combattu par toutes sortes de circonstances, et très lent (ibid., F° 68 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
trop de chevaux pour la moissonneuse et le semoir, puis le battage au [ ?], les semailles à la main ont leur avantage – Enfin le rêve serait de vastes propriétés cultivées en grand comme les grands magasins, avec des mécaniques et des équipes (ibid., F° 69-70)
Puis, homme, bouleversé par sa passion (ibid., F° 73)
servante infime d’abord pour la cour, passée à la cuisine ensuite, peu à peu élevée jusqu’au Maître. Et maîtresse absolue maintenant, conduisant tout depuis la mort de la femme (ibid., F° 74 – Personnages, Jacqueline Cognet)
la jalousie folle qui tue Hourdequin, puis l’explication de Jacqueline exaspérée de ce meurtre imbécile, avant qu’elle ait épousée Hourdequin (ibid., F° 80 – Personnages, Soulas)
Sa femme tenait une petite épicerie, à laquelle, plus tard, il a joint un débit de vin (ibid., F° 87 – Personnages, Eugène Macqueron)
Au début simplement conservateur, ne s’affichant pas ; puis, quand le gouvernement change M. de Chédeville pour M. Rochefontaine, soutenant le nouveau candidat terriblement (ibid., F° 88)
Puis, il disparaît, il n’en est jamais plus question (ibid., F° 97 – Personnages, Canon)
Et sa joie quand l’abbé Madeline vient, puis sa colère à la fin (ibid., F° 101 – Personnages, L’abbé Godard)

Le Rêve (1888)

Elle en meurt. Très forte d’abord, travaillant, puis déclinant peu à peu (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 237/21)
(…) Pour aller moins vite en besogne, peut-être d’abord pas de passion (ibid., f° 257/40) Si je reprends l’église, certaines modifications importantes en résultent . D’abord mon Hautecoeur redevient évêque (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 52, f° à reclasser sans doute dans le dossier Ebauche ou premier Plan du chapitre III) J’ai d’abord eu la statue avec l’enfant appuyée contre. J’aurai ensuite le lintau / sic/ et le tympan en un morceau. Puis (…) les statues des vierges (…) enfin les voussures (…) cela me donne la description (MS NAF 10323, Le Rêve, 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f° 5)
(…) D’abord tentative d’interrogatoire (…) Peut-être ne peut-elle parler, il faut la faire manger d’abord (…) Enfin faire que les Hubert aient le livret qui leur explique tout (ibid., f° 7). Poser d’abord Beaumont-l’église (…) mais sans l’histoire des abbés et des Hautecoeur (…) et arriver à l’église, mais sans détail, la montrer seulement faisant ombre sur la maison des Hubert (ibid., f° 16, deuxième plan du chapitre II)
(…) D’abord on n’a que regardé des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire le texte (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20) \\Les Hubert ont d’abord été inquiets de ses colères d’orgueil (….) Puis ils l’adorent (…) Alors (…) la tutelle officieuse (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 27)
(…) Hubert qui a le nom de la sage-femme va pourtant d’abord à l’Assistance Publique (?) . Puis chez la sage-femme (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 32)
(…)D’abord, enfant, elle n’a fait que regarder des images. Puis elle a voulu savoir, a tâché de lire du texte (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
(…) Et deux saints surtout, d’abord Sainte Elisabeth (ibid., f° 34)
C’est là que je pose d’abord l’atelier, complètement. Plan de Jourdain. Puis le meubler des vieux outils (…) Et dire d’abord que les Hubert sont allés faire avec Angélique leur grande promenade du lundi de la Pentecôte la veille (ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
(…) D’abord la conversation sur la promenade de la veille (ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 41)
Dans la nuit noire d’abord des pas (…) Puis elle voit (…) plus tard (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 60)
Dans la nuit noire d’abord des pas (…) Puis l’ombre à la lune (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 65)
je reviens là à la Légende dorée. D’abord pour le vitrail (…) Ensuite (premier plan du chapitre IV f° 67)
D’abord description du champ (ibid., plan détaillé du chapitre V, f° 72)
Les épisodes du travail au fur et à mesure qu’il avance peuvent être d’abord : un morceau sur toutes
les belles broderies (NAF MS 10323 deuxième plan détaillé du chapitre IV, f° s 83-84)
Je pourrai avoir d’abord la peinture du quartier qui attend ; puis la sortie de la procession (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
Une scène de travail. D’abord dans l’atelier (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre X, f° 127)
Donc il faut la montrer d’abord tenant la promesse faite à Hubertine (ibid., premier plan du chapitre X, f° 135)
D’abord la vie reprend dans l’atelier (ibid., deuxième plan du chapitre XI, f° 142)
D’abord elle s’est dit : s’il ne m’aime plus, tant mieux ! (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 145)

Lourdes (1894)

Puis, devant la nature injuste et coupable, devant le péché originel, devant l’inégalité et l’injustice, il a fallu tout baser sur la charité qui corrige. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°12)
Je (…) puis le montrer seulement foudroyé par son second échec, et je le reprends
ensuite dans Paris, pour le montrer tel que je le dis, une haute et extraordinaire figure. – (ibid. F°s15-16)
Celui-ci le cache ; puis la vie commune, les conversations, l’envolée dans le bleu,
l’évocation [d’une biffé] de la société future (…). – (ibid. F°s16-17)
Puis, satisfaire les revendications : la charité étant impuissante, comment règnera la justice. (ibid. F°21)
Vue d’ensemble sur Lourdes. Quand je ferai « Rome » et « Paris », il faudra que je relise d’abord ces notes. (ibid. F°29)
D’abord, je voudrais mettre partout Bernadette, la détacher sur tout le roman. (…) Enfants précédents, famille, entourage, influence possible, son histoire, son caractère, sa figure ; puis l’hallucination de l’apparition et la persécution qui a suivi. Ensuite, la nécessité qui a fait qu’on l’a escamotée (…) \\. (ibid. F°s30-31)
Pour arriver à suivre d’abord l’idylle de l’enfance, l’apparition, puis le drame de l’âge mûr, il faudrait trouver un procédé (…). (ibid. F°33)
La ville pauvre, bouleversée, enrichie : (… la Basilique et la crypte d’abord, l’église du Rosaire et les rampes ensuite. (ibid. F°s33-34)
La grotte avec le quai du Gave, les lacets, tout ce travail qui a déjà coûté cinq ou six millions (la crypte et la Basilique, huit cent mille francs, les rampes et le Rosaire 3 millions deux cent mille, puis l’hôpital du Salut, les terrassements, tout enfin, la Résidence, un million encore). Le tout neuf – Puis les hôtels poussant, le commerce énorme des saintetés, la nourriture, la vente des cierges, tout Lourdes n’étant plus qu’une auberge à pèlerins. Une ville nouvelle enfin, enrichie – (ibid. F°34)
Alors la bataille des Pères de la Grotte et du curé Peyramale pour sa nouvelle église, la lutte avec l’évêque, l’âpreté des petites sœurs bleues, en lutte avec les hôteliers, la simonie des marchands de sainteté jalousant les Pères qui vendent eux aussi, enfin la lutte de la ville haute et de la ville basse (…). (ibid. F°35)
Et je ne parle pas des malades, un groupe que je suivrai, départ de Paris, voyage dans les wagons, débarquement, descendus à la grotte, puis les jours et les nuits à l’hôpital des N.-D.-des-Douleurs, (…) enfin toute la vie des quatre jours, puis le départ, l’enfermement dans le train (…) \\. – (ibid. F°s37-38)
L’évêque Laurence qui ne croit pas, mais qui finit par céder : Mon Dieu ! pourquoi résister au triomphe de la religion. (ibid. F°38)
D’abord un cri superbe de l’humanité souffrante, le cri de la douleur. (ibid. F°38)
Puis, après avoir bien étalé cela, le besoin immense de consolation, d’espoir, d’illusion. (ibid. F°39)
La vierge apparaît, la voyante est persécutée, l’idée prend, monte, à son apogée, puis décline. (ibid. F°45)
Il y a encore les dames hospitalières de l’hôpital qui ont dû la panser, voir la plaie, puis voir la chair refaite. Où sont-elles, qui sont-elles ? pourquoi n’avons-nous pas leur témoignage ? Et puis
des femmes, cela serait encore douteux. (ibid. F°s47-48)
Le haut clergé, le pape. Rome enfin, et Rome [se p biffé] tâchant de se plier aux idées modernes. (ibid. F°60)
C’est pourquoi, en faisant le plan de Lourdes, il faudra que je décide si je ferai ensuite Rome, pour préparer ce dernier. (ibid. F°61)
Il faut aussi que j’aie les procès verbaux du commissaire Jacomet, enfin tous les dossiers administratifs de l’époque. (ibid. F°64)
Puisqu’ils sont heureux d’être trompés,
mon Dieu ! pourquoi leur refuser ce bonheur. Et puis la foi y gagne. (ibid. F°s64-65)
J’aurai ainsi toute la souffrance réunie. D’abord dans un wagon de troisième où j’entasserais les malades, puis à gauche dans un wagon de seconde ; puis, à droite, dans un wagon de première. (ibid. F°68)
Il y va donc monté contre ces mômeries, presque avec colère ; et il faudrait, pour qu’il évoluât qu’il fût touché d’abord, puis qu’à la fin, il sentît pourtant le besoin d’autre chose. (ibid. F°73)
Quant à la famille de la malade, il faut qu’elle périclite peu à peu. D’abord, elle occupe une petite maison voisine. (…) Puis, le père a fait de mauvaises affaires. (ibid. F°92)
Enfin, dans Paris, voir le socialisme, le vingtième siècle. – (ibid. F°94)
Puis, pourquoi il accepte,
par tendresse pour la malade, et aussi avec la volonté de continuer ses études sur les lieux. (ibid. F°s97-98)
Je crée un autre brancardier (…). J’en fais le cousin du petit brancardier, chargé des transports, de la gare, et de l’hôpital à la grotte, puis
service de la grotte. (ibid. F°s101-102)
Elle a succombé, a [pou biffé] un amant, un monsieur que j’indique très correct et très grave, que je fais [voir à genoux biffé] entrevoir à l’hôtel, et que je montre ensuite une seule fois devant la grotte, à genoux. (ibid. F°103)
Enfin, je voudrais bien avoir une très jolie hospitalière, 20 ans, dans tout le charme de la jeunesse. (ibid. F°104)
En venant : « Cette fois-ci, je serai guéri ». Et quand il s’en retourne, le
premier abattement, puis la foi revient : « Ce sera pour l’année prochaine ». (ibid. F°s106-107)
Elle [m biffé] mange, court. A la procession aux flambeaux. Et puis, au retour, je la fais mourir dans le train. (ibid. F°107)
Enfin j’ai bien envie d’en mettre une autre qui a de la tuberculose aux
entrailles. (…) Elle va beaucoup mieux. Ils m’ont dit que j’étais guérie. Et puis on la renvoie devant la grotte, et elle meurt là, les yeux fixés sur la Vierge. (ibid. F°s107-108)
Enfin, il me reste le petit scrofuleux, venu avec sa famille ; et là je voudrais tout un drame qui peut me donner les deux chapitres qui me manquent. (ibid. F°108)
J’ai enfin la dame qui vient demander une grâce morale, et qui descend chez les sœurs bleues. (ibid. F°111)
Il y a ensuite les sœurs de l’Assomption. (ibid. F°113)
Une maladie qui traîne et elle s’installe à son chevet, elle le soigne, elle le sauve. Puis, ils se retrouvent dans le train. (ibid. F°114)
L’aumônier de la salle. (…)
Je l’ai donc dans le train, puis dans la salle, puis à la grotte et aux processions, et enfin au retour (…). (ibid. F°s115-116)
Cela dans les conversations avec mon prêtre. Celui-ci d’abord stupéfait, puis peu à peu, il comprend [et il biffé]. (ibid. F°119)
Enfin, un coiffeur en face de l’hôtel, qui couche et qui donne à manger. (…) Enfin, il représente la ville haute, le progrès de la libre pensée, et mieux
encore l’intérêt personnel. (…) D’abord contre la Grotte, puis croyant quand son intérêt l’exige. (ibid. F°s120-120 bis)
Puis, poser aussi Pierre et M. de Guersaint [en interligne : costumes, bagages]. (ibid. F°123)
Puis, poser sœur Hyacinthe et Mme de Jonquière. (ibid. F°123)
Puis la description du wagon lui-même, les parois, le lambris. (ibid. F°124)
Puis, comment, ne sachant pas, elle [Mme Vincent] a pris un simple billet. (ibid. F°125)
Enfin, à Beaugency sans doute, la Grivotte se soulève (très malade, phtisique au 3e degré). (ibid. F°127)
Enfin, l’homme avant de reprendre tout le wagon. (ibid. F°128)
Enfin, on est à Amboise (9.12). (ibid. F°129)
Les 14 trains qui arrivent à Lourdes, le lendemain. Puis tous ceux qui sillonnent la France [en interligne : à travers toute la France] pendant l’année. (ibid. F°130)
Et il faudra que je dise, vers la fin du chapitre sans doute, un mot de tous les autres trains du pèlerinage. Puis un mot de tous les trains qui vont à Lourdes dans la saison. (ibid. F°131)
Je mets donc dans ce compartiment frère Isidore et sa sœur Marthe, dont je dis naturellement l’histoire. Puis la Grivotte, debout qui se soulève, à chaque instant, malgré son état de faiblesse (…). (ibid. F°134)
Enfin, derrière M. de Guersaint et Pierre, je mets M. Sabathier et sa femme, dans l’autre compartiment. (ibid. F°134)
Enfin, dans un compartiment plus lointain, après celui de M. Sabathier, je mets Elise Rouquet, bonne, avec son lupus à la face. (ibid. F°135)
Naturellement, garder Pierre et Marie au centre. C’est eux qui doivent tout mener, je les pose d’abord, dès les premières lignes, et je me sers d’eux, pour mener la présentation de tous les autres – (…) Avec un crescendo dans la souffrance, et le sentiment que tout cela roule, est emporté. De Paris à Orléans par exemple (garder ensuite jusqu’à Angers pour le II). (ibid. F°136)
Enfin, je voudrais, dans ce premier chapitre, poser tout le fonctionnement du pèlerinage. (ibid. F°136)
Enfin sœur Hyacinthe est là, gaie et prévenante, s’occupant de ses malades avec Mme Jonquière. – (ibid. F°141)
Puis à l’autre bout un pêle-mêle de pèlerins. (ibid. F°142)
Et il n’y a plus ensuite que le Chapelet (à Ste-Maure), la Neuvaine et l’Angélus (à Châtellerault), ce qui me permettra de mettre les réflexions de Pierre, sans trop les encombrer par ce qu’on fera – (ibid. F°144)
Tous abandonnés de la science [en interligne : Puis passé de misère et de souffrance. Par récits, conversations, réflexions.], et allant à la consolation, à la chimère. (ibid. F°144)
La mère [de Pierre] a la grande joie [de lui voir biffé] d’assister à sa première messe. Puis elle meurt, brusquement. (ibid. F°149)
Pourtant, il [Pierre] avait eu un instant l’idée
d’aller y terminer une enquête. Sa curiosité, puis la peur de ternir Bernadette qu’il adore. (ibid. F°s152-153)
Et toute la consolation, au chevet de Marie (la prendre dans la maladie.) Puis la consolation avec Pierre ensuite (…). (ibid. F°153)
Enfin, trouver le moyen [qu biffé] pour que le mouvement du premier chapitre continue et soit naturellement repris au III. (ibid. F°156)
Puis l’idylle, quand il [Pierre] a seize ans et que Marie en a neuf. – Ensuite le séminaire pour lui, poser [tout biffé] en germe tout le prêtre qu’il sera. (…) Et le voilà prêtre. [Puis biffé] Puis la mort de sa mère. (ibid. F°s156-157)
Enfin, dernier morceau, il [Pierre] a retrouvé Marie absolument ruinée, vivant avec son père dans un misérable logement voisin. (ibid. F°157)
Puis, pourquoi il [Pierre] cède, par tendresse pour Marie et par un vague espoir d’être converti lui-même, d’en revenir à la foi de l’enfant, ce qu’il souhaiterait de toute son âme. (ibid. F°158)
Son voyage là-bas, devant lequel il [Pierre] recule, est déterminé un peu par l’envie de savoir. Pourquoi il hésitait d’abord : peur de gâter en
lui Bernadette. (ibid. F°s160-161)
Quand on parle de mener Marie, il [Pierre] refuse. (…) Puis il accepte par tendresse pour la malade, et avec le désir de continuer son enquête et de tenter la foi (ceci tout au fond de lui). (ibid. F°164)
D’abord, sœur Hyacinthe reconnaît Ferrand. (…) Puis tout de suite la consultation sur l’homme. (ibid. F°167)
D’abord dans le wagon (…)
– Puis le dehors (…) – J’ai aussi Marie (qui n’a pu boire tout son bouillon, Pierre reportera le bol) et son père fumant. Enfin, je reprends le quai avec sa bousculade croissante, tout le monde se butant. – (ibid. F°s168-169)
Enfin, on n’a plus que dix minutes, la bousculade augmente (…) \\. (ibid. F°s169-170)
Le buffet décrit – Puis Pierre arrivant, réclamant Mme de Jonquière, pour la Grivotte. (ibid. F°170)
Puis tous les personnages de mon wagon, revenant, terminant ce qu’ils ont à faire. (ibid. F°171)
D’abord, tout l’épisode de l’homme. (ibid. F°173)
Enfin, il faut dire un mot des hospitalières. (ibid. F°176)
Enfin s’arranger pour préparer
la suite. (ibid. F°s176-177)
Puis, elle [sœur Hyacinthe] achèvera le voyage près de l’homme, toute le nuit, elle lui éponge la face avec un linge. (ibid. F°181)
Première contrariété en voyant l’enfant [Sophie Couteau], puis on l’accepte. (ibid. F°183)
Puis le Magnificat terminé, il [Pierre] l’interroge [Sophie Couteau]. (…) Elle était là, puis elle est ressortie pour embrasser M. le curé de Sainte-Radegonde qui partait : elle le connaît depuis
son miracle. (…) Puis, peu à peu, avec les questions, sa maladie, le médecin qui l’a soignée, le curée de Vivonne aussi. – (…) Enfin, on lui fait montrer son pied, d’abord aux personnes des compartiments, puis à tout le wagon. (…) Mais surtout montrer peu à peu l’intérêt que le récit, puis le pied montré, déterminent chez tous les malades. (ibid. F°s183-184)
Puis quelques mots d’Elise Rouquet, son lupus la gêne. – Et ensuite le tour des gens qui se raniment : Mme
Vêtu, la Grivotte, frère Isidore. – Et enfin Marie pour amener Pierre – (ibid. F°s185-186)
La passion croît parmi les malades (…) : dire quel a été son malaise d’abord. Les révoltes de sa raison d’abord devant ces absurdités, [ces biffé] tout son malaise. D’abord il [Pierre] a souri, puis il a eu du malaise, de la révolte. (ibid. F°186)
Puis, sans doute, [en interligne : le cri vers elle] tout le paquet sur la Vierge. (ibid. F°186)
D’abord, contrariété, puis sourire, car elle [Sophie Couteau] est gentille, elle est petite, elle ne tiendra pas beaucoup de place. (ibid. F°192)
Il faut aussi que Sophie montre son pied, la cicatrice ; d’abord aux personnes qui sont dans le compartiment de Marie, ensuite, aux autres, en se mettant debout. Et, alors, le récit de tous les miracles qui commence. D’abord, les malades en connaîtront tous un ou deux et les raconteront à tour de rôle. (ibid. F°193)
Je n’ai qu’à dépouiller les miracles, à les avoir tous, puis à les classer. – (ibid. F°194)
Il [Pierre] a commencé par se révolter intérieurement, par en souffrir. Puis, il ne sait plus. (ibid. F°196)
Puis, tous les miracles qui vont se lever, et cela après les vêpres de la Vierge, qui commencent vers trois heures un quart. (ibid. F°198)
Puis prière du soir en partant de Bordeaux à 7.50, et silence à Lamothe 8.57 – (…) enfin, il faut que la lecture commence à la lampe après la prière du soir, vers huit heures. (ibid. F°199)
Puis, il [Pierre] cesse de lire, un peu ennuyé de cette platitude du récit. (ibid. F°203)
D’abord Bartrès tel qu’il est. (ibid. F°204)
Puis, la veillée, les contes de chevalerie, les histoires de sorciers (…), la Bible [en interligne : 149], avec l’épingle – Puis l’église où l’on se réunit le soir [en interligne : la décrire, espagnole déjà], sans doute pour ne pas dépenser de lumière. Le presbytère, le curé. Et là Bernadette à l’école, pas savante, puis son catéchisme commencé. (ibid. F°205)
On est à Lamothe, on l’a dépassé [en interligne : les laudes ensuite, reprendre et décrire] (…).– (ibid. F°206)
Et enfin la première
apparition, prendre le récit dans Lasserre (…). (ibid. F°s206-207)
Enfin, examen de tout. (ibid. F°207)
Puis ; par un artifice, revenir à l’ancien Lourdes (…), l’honnête Lourdes, à l’entrée des sept vallées, gardant l’impasse. (ibid. F°208)
Enfin comment une Bernadette a dû fatalement pousser dans un tel milieu. – (ibid. F°209)
Puis, brusquement, à un cahot plus dur, il tombe la face en avant. (ibid. F°211)
Puis Bartrès surtout : toute la vie de Bernadette (…). Puis l’arrivée à Lourdes, la rue des Petits-Fossés, les parents, la chambre. (ibid. F°214)
Puis, l’homme ne bouge plus, n’ouvre plus les paupières. (ibid. F°216)
Enfin, à Tarbes, comme on est réveillé, la prière du matin. (ibid. F°218)
Puis avec le père et le docteur qui continuent à se promener, je puis avoir les premiers pèlerinages (1875) (…). (ibid. F°224)
Ensuite, j’ai les brancardiers. (…) Puis, je montre le baron Suire qui se démène (…). (ibid. F°225)
Puis, je suis à mon wagon (…), où l’on est venu chercher le mort. (ibid. F°226)
Alors, je fais partir du wagon les valides, les dix femmes et les pèlerins d’abord, puis les sœurs, sœur Hyacinthe, Claire des Anges (…) – (ibid. F°227)
Il [le Commandeur] a dit cela d’abord à M. Sabathier qu’il connaît et avec lequel il cause. Puis, il s’approche au moment où l’on descend Marie, et son émotion, ce qu’il lui dit. (ibid. F°230)
Puis, [at biffé] se promenant de long en large, le père Fourcade et le père Massias, que je pose. (…)
Enfin, il y a aussi, sur le quai, madame Désagneaux, qui s’est levée à une heure indue pour recevoir ces dames. (ibid. F°s232-233)
Mais voici en outre les épisodes, qu’il
faudra ensuite classer logiquement.– (ibid. F°s233-234)
On le [le mort] dépose un instant, derrière des tonneaux, dans la salle des Messageries ; puis, à la fin du chapitre, on l’emporte discrètement à la Grotte.– (ibid. F°236)
Enfin, faire agir tout le monde le plus possible. (ibid. F°236)
Il [le Commandeur] a dit cela à Sabathier avec lequel il cause, lorsqu’il arrive devant Marie. Son émotion, puis ce qu’il dit tout de même. (ibid. F°237)
D’abord poser l’Hôpital de N.-D.-des-Douleurs (…). (ibid. F°243)
Puis, sous le jour qui se lève, l’encombrement dans la cour. (ibid. F°243)
Puis, je monte [en interligne : au troisième étage] dans la salle Sainte-Honorine [en interligne : mauvaise administr.], dont madame de Jonquière est la directrice. (ibid. F°244)
Enfin, montrer aussi Ferrand, qui reste à l’hôpital avec sa boîte de secours – (ibid. F°245)
Puis tous les malades inconnus qui prennent les 20 lits. Lorsqu’on monte enfin la
Grivotte, il faut ajouter un lit. (…) Enfin, l’abbé Judaine arrive, l’aumônier de la salle, et il calme l’impatience des malades qui brûlent tous d’aller à la Grotte. Enfin, on part. (…) Tout ce qui les suit, une énumération terrible, les vingt cas que je citerai et dont je me servirai ensuite toujours à la Grotte. C’est Pierre qui me sert ensuite pour le paysage, l’admirable pays que traverse l’horrible défilé. D’abord on descend la rue de la Grotte, puis la Merlasse, enfin [en interligne : Guide Barbet 9] sur la place du Rosaire [en interligne M.V. 197].
Ce qu’on voit. Derrière [en interligne : le Calvaire], l’église du Rosaire avec les rampes gigantesques et la Basilique en haut. Puis, en face, le château, Lourdes avec les magnifiques montagnes, par derrière. (ibid. F°s245-246)
Tout ce qui les [Pierre et Marie] suit, une énumération terrible, les vingt cas que je citerai et dont je me servirai ensuite toujours à la Grotte. C’est Pierre qui me sert ensuite pour le paysage, l’admirable pays que traverse l’horrible défilé. D’abord on descend la rue de la Grotte, puis la Merlasse, enfin [en interligne : Guide Barbet 9] sur la place du Rosaire [en interligne M.V. 197].
(…) Puis, en face, le château, Lourdes avec les magnifiques montagnes, par derrière. (…) Enfin, la Grotte. (ibid. F°s246-247)
Puis les malades, en gros : [Vi biffé] les Vigneron, les Dieulafay [en interligne : tous les malades en bloc]. (ibid. F°247)
L’installation à l’hôpital, d’abord. (ibid. F°249)
Donc, la salle Sainte-Claire par exemple où j’installe les hospitalières d’abord Mme Jonquière (…). (ibid. F°249)
Puis je répète qu’avec Marie, en haut, au premier, dans la salle Sainte-Claire, je pose toute la salle : d’abord elle qu’on couche un instant sur un lit (…). (ibid. F°250)
Enfin le départ. Il est huit heures. (ibid. F°251)
Puis devant le Rosaire, avec la basilique de haut, en haut des rampes. (…) Et enfin la Grotte. – (ibid. F°252)
Puis, quand il [Pierre] reviendra, il emmènera Marie aux piscines, et c’est là qu’il verra (au III, à la fin) tremper les hommes et même tremper le cadavre. (ibid. F°254)
Puis, une hésitation : à quoi bon troubler sa prière ? (ibid. F°257)
Et enfin la lassitude, le doute sur la science, que je ne fais que poser pour les reprendre au chapitre suivant. (ibid. F°260)
Et les deux hommes mènent Marie [à l’h biffé] à l’hôpital, puis vont déjeuner à l’hôtel. (ibid. F°261)
Puis madame Vêtu, et Elise Rouquet qui attendent. (ibid. F°262)
Puis ceux qu’on va baigner : Gustave Vigneron (…) \\, Sabathier, et enfin le frère Isidore (celui-ci on le rhabille, quand Pierre entre). (ibid. F°s262-263)
Puis, il [Pierre] fait la brusque rencontre de son ancien ami, le grand médecin, converti, [Beauclair biffé] Chassaigne. (ibid. F°265)
Enfin, j’ai les piscines. (ibid. F°268)
Puis Pierre à la piscine des hommes. (…) Les deux épisodes M. Sabathier (Faure) trempé, puis le petit Gustave Vigneron. (…) Il [Pierre] l’[Marie]a rentrée à l’hôpital, et à deux heures il la ramenée à la Grotte, puis il la conduit à la piscine. (ibid. F°269)
Je montre enfin Gérard
de Peyrelongue, dans son métier de brancardier (…). (ibid. F°s269-270)
Enfin, je termine par la tentative du miracle annoncé, le trempage du cadavre de l’homme dans la piscine. (ibid. F°270)
Puis, les sources mêmes de la maladie : qu’est-ce qui appartient aux nerfs. (ibid. F°272)
Puis, les remèdes qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple (…) \\. (ibid. F°s272-273)
Enfin, sur les plaies apparentes. Des lupus guéris. (…) Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes (…) \\. (ibid. F°s273-274)
Et je réserve son opinion sur la science et la médecine, je ne fais que l’indiquer là d’un mot, pour la reprendre ensuite au bureau des constatations. – (ibid. F°276)
Première petite pièce, avec un banc d’attente, puis la seconde pièce, de réunion, avec la fenêtre. (ibid. F°279)
Puis, [en interligne : M.V. 29, 128, 230], des malades guéris (?) dans la salle d’attente. (ibid. F°279)
Les dossiers examinés, les certificats. Grande salle commune où l’on introduit ensuite les guéris importants ; et discussion générale et contradictoire. (ibid. F°281)
J’ai ensuite les trois épisodes. – D’abord
Sophie Couteau [en interligne : ancienne guérison], répétant son miracle au monsieur, gentiment, Pierre l’a déjà entendu dans le wagon. (…) Après Elise Rouquet [en interligne : commencement de guérison], dont le lupus sèche déjà. (…) Enfin la Grivotte [en interligne : guérison brusque], à qui on a permis de se baigner (…). (ibid. F°s281-282)
D’abord sur les craintes de contagion. L’eau qu’on ne change pas, et qu’on changera davantage. Pourquoi il n’y a pas de contagion. D’abord la note qu’on m’a remise. Puis le bouillon de microbes. (ibid. F°283)
Puis les sources mêmes de la maladie : qu’est-ce qui appartient aux nerfs. (…) Puis le remède qu’on n’ose pas dans le courant, l’immersion dans l’eau glacée par exemple ; très dangereux, mais qui sait ? (ibid. F°284)
Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes : auto-suggestion (…) et surtout le souffle guérisseur, la force inconnue et non étudiée, qui se dégage sûrement de la foule. – (…) Puis des phénomènes inconnus incontestables. (ibid. F°285)
Puis des Hermoises [en interligne : les miracles de Lourdes passionnent] et M. de Guersaint qui s’est réveillé. – (ibid. F°287)
Je pose d’abord le bureau, je dis [que biffé] les personnes [du biffé] qui sont là, [des méde biffé] Bonamy que je présente, si je ne l’ai pas présenté à la gare, Raboin, son aide, puis des médecins, et le personnel (…). (ibid. F°289)
Enfin l’épisode de la Grivotte, la matelassière, phtisique, et criant : « Je suis guérie, je suis guérie ! » (ibid. F°291)
Puis, il [le Commandeur] s’arrête avec Pierre et Chas- \\saigne. (ibid. F°s292-293)
Grande salle commune où l’on introduit ensuite les guéris importants ; et là s’ouvre la discussion générale et contradictoire. (ibid. F°295)
Mme Désagneaux ensuite toujours dévouée, si heureuse de se dévouer. (ibid. F°298)
Ensuite, les malades. (ibid. F°298)
Enfin alors, après le mot de madame Vêtu, la révolte de Marie, [presque biffé] à l’oreille de Pierre. (ibid. F°299)
Puis ses reproches : Si je ne suis pas guérie, c’est que vous ne m’avez pas roulée. Vous n’avez pas prié assez, mon père n’était pas là. (ibid. F°299)
Enfin, pour la [Marie] calmer, [la biffé] sœur Hyacinthe ou madame Jonquière autorise la lecture. (ibid. F°300)
Et l’affreuse chaleur, l’odeur, l’angoisse, l’enfer enfin. (ibid. F°300)
Enfin, la victoire de la Grotte. (ibid. F°301)
Et enfin Marie ravie, espérant de nouveau dans le noir qui retombe. (ibid. F°303)
Il [Pierre] vient donc dans la salle avec l’abbé Judaine apporter la communion ; et je m’arrange pour qu’il y reste ensuite. (ibid. F°305)
Enfin, la victoire de la Grotte. (ibid. F°306)
Enfin, j’ai dans la salle du bas, salle des ménages, [Sa biffé] M. Sabathier et le frère Isidore, dont je serai peut-être forcé de dire un mot. (ibid. F°307)
Puis un
mot de la partie à Gavarnie, justement avec Des Hermoises. (ibid. F°s310-311)
Puis, sur l’Hôtel. Pierre achève de se débarbouiller. (ibid. F°311)
Enfin, faire que Pierre et M. de Guersaint soient libres à dix heures un quart, pour rentrer à l’Hôtel. Leur idée de faire un tour ensuite dans Lourdes, jusqu’à 2 h, heure de la Grotte. (ibid. F°313)
Puis, derrière le dos de la bonne, la porte fermée à double tour. Elle [Mme Volmar] sort du placard. (ibid. F°314)
Ils [Pierre et M. de Guersaint] causent d’abord avec Majesté, puis avec Mme Majesté. (ibid. F°314)
Puis [Majesté] contre la Grotte. (ibid. F°315)
Enfin, Pierre [en interligne : et M. de Guersaint] ont une table, et [les Vi biffé] description de la salle, telle que je l’ai vue. (ibid. F°315)
Puis, Pierre qui a vu Mme Volmar disparaître de l’hôpital, l’aperçoit. (…) Faire passer [dans biffé] ici la silhouette du monsieur, un homme grave. D’abord sans doute. (ibid. F°319)
Puis faire défiler les Vigneron sans doute. (ibid. F°321)
Enfin, il faut que je fasse manger Pierre et M. de Guersaint de bonne heure pour les mener ensuite à la popote. (ibid. F°325)
Puis, à table, le contrecoup de cela. Le petit [Gustave] a pu descendre, [para biffé] pâle, souriant, sachant. (…) Enfin toute cette famille demandant des grâces chacun
pour soi, et l’égoïsme naïf s’étalant devant la Vierge. (ibid. F°s326-327)
Il [M. de Guersaint] va donc s’y rendre pour savoir les prix (à quatre), et il se fera raser en même temps. Puis, c’est une façon de visiter la ville. (ibid. F°329)
Puis, les cinq continuent leur promenade. (…) D’abord à l’endroit (…) où l’on emballe l’eau, tout le détail. Puis par un crochet, au magasin des cierges ; la statistique, ce qu’on dit. (ibid. F°331)
Puis Mme Désagneaux pousse une exclamation. (ibid. F°333)
Enfin Pierre et M. de Guersaint (…) montent à la place du Marcadal. (ibid. F°334)
Le plan de Guersaint est de se faire raser d’abord. (ibid. F°334)
Mais c’est Cazaban en personne qui rase Guersaint et il se tait d’abord (…). (ibid. F°335)
Puis, les voitures. (ibid. F°336)
Le baron Suire, enfin toute l’hospitalité revient, et gentil, et jeune, plein d’appétit. (ibid. F°341)
Puis Gérard, sachant que M. de Guersaint a deux bouteilles à faire envoyer, les mène au bureau. (ibid. F°341)
Sans oublier les boutiques, la simonie, les cierges que les femmes vendent, les bouquets, enfin le grand, l’effronté commerce autour de la Grotte et de la basilique. (ibid. F°342)
Enfin M. de Guersaint va voir son coiffeur avec Pierre. (…) D’abord méfiant en les voyant avec la médaille du pèlerinage et de l’hospitalité (Pierre s’est mis de l’hospitalité[)]. Puis, il finit par se lâcher. (ibid. F°345)
Il ne faut [pas biffé] songer à y monter Marie. Puis elle préfère
rester là. (ibid. F°s353-354)
Puis, des mots dans la foule peut-être ; bien que je préfèrerais les [Pierre et Marie] avoir seuls, sous un arbre, dans l’ombre. – (ibid. F°354)
Puis, sa fille le décide à aller se coucher, puisqu’il [M. de Guersaint] doit être debout à deux heures du matin. (ibid. F°355)
D’abord il me semble la description de la belle nuit, de la fraîcheur qui emporte la godaille de la journée. (ibid. F°356)
Enfin, la place du Rosaire pleine des pèlerins avec les cierges. (ibid. F°357)
Toutes
les lumières [montent biffé] se réunissent à la Grotte, puis montent par les lacets. (ibid. F°s358-359)
Derrière tout cela ; même, se placer par la pensée au Calvaire, et tout voir de haut. Enfin, à tous les points de vue. (ibid. F°359)
Et ce pourrait être lui [M. de Guersaint] qui monterait au Calvaire, et puis qui reviendrait. (ibid. F°359)
Enfin, je puis avoir des conversations dans la folle [sic], des gens qui ont fait des excursions et qui les racontent. Enfin la fin de foire de ce beau dimanche, la gaieté, la mangeaille encore éparse dans le noir (…). (ibid. F°363)
Puis poser le Gave qu’on entend, la fraîcheur qui en vient, la grande nuit que la [fr biffé] lumière des cierges rend plus noire. (ibid. F°366)
Enfin il [Pierre] arrive à l’Abri, en revenant par les pelouses, maintenant noires. (…)
Puis pour finir, il tombe sur madame Vincent : Rose s’est réveillée et se plaint. (ibid. F°s368-369)
Puis le grand cri de la mère, le cri de mort
de la bête dans l’orage qui commence. (ibid. F°s373-374)
Enfin la source déborde [en interligne : comme toutes les sources de la montagne], lui mouille les genoux. (ibid. F°374)
Si Pierre y est entré, c’est qu’il veut y faire un effort désespéré de foi. Il le fait, puis sortira pour revenir – (…)
Puis, il va au Rosaire, et tout le Rosaire la nuit. (…) Je voudrais qu’il revînt ensuite, et que sa prière ardente fût tentée alors. (ibid. F°s375-376)
Enfin tous les détails que peut donner une nuit passée à la Grotte. (ibid. F°378)
Puis, Pierre l’interroge [Chassaigne] sur Bernadette, en se souvenant qu’il est venu faire une enquête sur elle. (ibid. F°384)
Puis, ils [Pierre et Chassaigne] se relèveront et reviendront [faire biffé] vers la ville. (ibid. F°387)
Rappeler qu’il [Chassaigne] n’a pas cru d’abord à Bernadette. Puis il l’a défendue plus tard. (ibid. F°387)
Puis, du monde rencontré, un prêtre qui a connu Bernadette, l’abbé Pommyan [sic] sans doute, ou le curé de Bartrès (non, il est mort). (ibid. F°392)
Puis, à côté, je pose toute la lutte du curé Peyramale et des Pères de la Grotte. (ibid. F°394)
Le sourd travail des Pères, (…) la basilique construite, puis le Rosaire et les rampes, les piscines, les grands travaux du détournement du Gave et du pont, des jardins créés. – (ibid. F°395)
Enfin, Sophie Couteau joue dans un coin (à quoi ?) (ibid. F°400)
Et je pose d’abord Marie, assise dans son lit dans l’attente, extasiée (…). (ibid. F°401)
Et puis, je passe à Mme Vêtu [en interligne : révolte contre la mort, d’abord ; puis résignation] qui est à côté. (ibid. F°402)
Puis, toute la salle des ménages. Le frère Isidore et sa sœur Marthe (voir les personnages.) (ibid. F°403)
Puis, je fais arriver ensemble la Grivotte et [Sophie biffé] Elise Rouquet, qui toutes les deux se disent guéries. (ibid. F°405)
Puis dire pourquoi Raymonde est montée. (ibid. F°406)
Enfin, agonie et mort de Mme Vêtu. (ibid. F°407)
Voir comment je la [Mme Vêtu] ferai mourir, résignée ou non. (ibid. F°410)
Enfin, comme l’agonie commence, l’interne Ferrand est appelé – (ibid. F°411)
Enfin toute la situation développée. (ibid. F°412)
Je pose la Grotte tout d’abord, avec ses cierges qui brasillent, ses bouquets, etc. (…) Puis, la foule, la houle tout autour, et jusque sur le parapet du Gave. (ibid. F°415)
Alors, le commencement des litanies. Je ne fais d’abord que les poser. (ibid. F°416)
Puis les Dieulafay, dont M. Vigneron parle. (ibid. F°419)
Enfin, l’épisode de frère Isidore. (…) Enfin la façon dont frère Isidore meurt, dans son extase, les yeux fixés sur la Vierge. (ibid. F°420)
Enfin, reprise de la foule. (ibid. F°421)
Puis à côté de lui [M. Sabathier], le frère Isidore et sa sœur Marthe. (ibid. F°424)
Enfin, madame Maze, qui demande le conversion de son mari. (ibid. F°426)
Et ensuite j’aurai peu à peu cette excitation. (ibid. F°427)
Et enfin, si j’ai besoin de Pierre, m’en servir uniquement pour le bureau des constatations. (ibid. F°428)
Tout cela d’abord, vivement. Puis, tout de suite, Marie menée par Pierre. (ibid. F°432)
L’entraînement depuis trois jours, le déplacement, le long voyage, puis la fatigue, le
paysage nouveau, les nuits sans sommeil, l’hôpital, les stations devant la Grotte, la nuit que Marie y a passée, extasiée, jusqu’à entendre des voix. (ibid. F°s433-434)
Enfin l’état de cette foule où l’on parle couramment de miracles. (…) Enfin une force s’élève de la foule, une force de vie, d’espoir, de guérison, qu’on n’a pas encore étudiée. (ibid. F°434)
Puis, les malades exposaient à voix haute leurs supplications : (…) – (…) Cela me donne une progression : d’abord cela ; puis, toutes les voix, et le Saint-Sacrement qui manque d’être emporté. – (ibid. F°437)
Enfin, elle [Marie] se soulève : « Je suis guérie (?) [»] – (ibid. F°438)
D’abord, Pierre n’avait pu croire à ce diagnostic étonnant, Marie n’ayant rien, souffrant d’une lésion guérie. (…) L’effet de ce phénomène, d’abord comme [illisible], puis ensuite il a tout vu, tout entendu, et la force logique de ce que Beauclair a dit. (ibid. F°441)
[Enfin biffé] Enfin, elle [Marie] arrive devant la Grotte. (ibid. F°442)
L’entraînement depuis trois jours, le long voyage, le déplacement, puis la fatigue, le paysage nouveau, les nuits sans sommeil, l’hôpital, les stations devant la Grotte, la nuit que Marie y a passée jusqu’à entendre des voix, les cris, les excitations ; enfin l’état de cette foule où l’on parle couramment de miracles. (…) Enfin, une force s’élève de la foule, une force de
vie, d’espoir, de guérison, qu’on n’a pas encore étudiée. (ibid. F°s444-445)
Puis, elle [Marie] se fait conduire aux piscines. (ibid. F°445)
Mais je réserve l’effet pour ensuite. Et la bénédiction à la Grotte. Puis, la procession se remet en marche. (ibid. F°446)
Puis les malades seuls exposant à voix haute leurs supplications (…) – (…) Cela me donnera une progression ; d’abord cela ; puis toutes les voix ; et le Saint-Sacrement qui manque d’être emporté. (ibid. F°449)
La rampe, vers la basilique, en
haut, puis la basilique s’élançant. (ibid. F°s452-453)
Puis, l’épisode de l’entrée, avec madame de Jonquière et madame Désagneaux qui s’exclament en voyant Marie guérie. (…) Le clergé, les délégations, les bannières qui se rangent, toute la procession. Puis Marie et les autres. – Cela me donne d’abord une description (…) de l’intérieur de la Basilique, que je n’ai pas encore eue. (…) Puis, j’en arrive à la cérémonie même de la Bénédiction du Saint-Sacrement. (ibid. F°454)
Et il [Pierre] [vo biffé] entend, tout à fait en bas les prières à la Grotte, dans la foule immense de la [foule de la biffé] place du Rosaire, puis de la Basilique. (ibid. F°456)
Enfin, je fais sortir Pierre, et il faut qu’il rencontre tout de suite, je crois le docteur Chassaigne. (ibid. F°458)
En haut la bénédiction à la vallée : les jardins, puis le Gave, le Château, Lourdes, les montagnes. (…) Et enfin dans la basilique, une description complète, car je n’y suis pas monté encore. (ibid. F°462)
Et alors, je donne avec lui [Pierre] toute la crypte, [les biffé] l’autel souterrain, puis les ex-voto, ces cris montant du marbre. (ibid. F°463)
Seulement, elle [Marie] ira ensuite, à la Grotte. (ibid. F°464)
Puis pourquoi chercher à faire long : un chapitre de 28 à 30 pages serait bien suffisant, s’il est d’une belle envolée. (ibid. F°467)
Donc la rue, la maison, [p biffé] l’allée, puis la chambre. D’abord, en [récit biffé] conversation, très simplement, la description des lieux, et comment la famille et Bernadette y vivaient. Le vicaire de la paroisse qui [ar biffé] habite justement là, arrive, et il m’aide. D’abord, sans embarras. Il connaît Chassaigne. Puis, sur les questions indignées de Pierre, il se trouble, il s’excuse. Enfin, il s’en va, après que j’ai tout [passer biffé] posé. (ibid. F°471)
Puis je reprends la conversation de Pierre et de Chassaigne, et j’explique tout. (ibid. F°473)
Le docteur Chassaigne, dans son culte pour Bernadette, en a eu l’idée. Puis ce qui l’en a empêché. (…) Puis, les détails sur ce qui a suivi la mort de Bernadette. (ibid. F°473)
Puis tout de suite la ruine, je la décris entièrement ; la lessive qui sèche ; les flaques d’eau qui sont restées du dernier orage, dans le chœur. (ibid. F°474)
Puis, le docteur Chassaigne dit : Venez ! (…) Il parle ensuite de lui, [des biffé] lit les inscriptions des tombes. (ibid. F°476)
Et peur enfin de ces grands morts, peur sacrée, peur du petit contre le grand, du résultat contre la cause. Le docteur Chassaigne mène donc d’abord Pierre rue des Petits-Fossés, et ils visitent la pauvre maison. (…) Puis la rue des Petits-Fossés, la maison et la chambre elle-même. (ibid. F°480)
Puis l’abandon honteux où tout cela est laissé. Ne devrait-il pas exister là un sanctuaire, un coin orné de fleurs au moins. Le [Ch biffé] docteur Chassaigne, dans son culte pour Bernadette, en a eu l’idée. Puis, ce qui l’en a empêché. (ibid. F°481)
Ensuite à l’église en ruine, et alors l’opposition se pose avec la Basilique, tout à l’heure si étincelante de lumière,
si débordante de foule, emplie d’encens et de cantiques. (…) Puis on descend à la crypte, et le tombeau du curé Peyramale. (ibid. F°s481-482)
Il faut d’abord que je me débarrasse des Vigneron. (ibid. F°485)
Et Marie se cachant sans doute, puis se présentant à son père « Je suis guérie ». (ibid. F°488)
Enfin, j’ai pour finir le chapitre, le déjeuner très gai qu’ils [Pierre, Marie et M. de Guersaint] peuvent faire à trois. (ibid. F°488)
Tout l’effet de M. de Guersaint : Père léger, distrait, quoique pratiquant ; puis l’abattre, à genoux, devant sa fille guérie, dans une joie divine, un acte de remerciement et de foi ardente. (ibid. F°490)
Enfin les [Pierre, Marie et M. de Guersaint] voilà [déjà biffé] descendus ; et M. et madame Majesté qui se précipitent. (ibid. F°491)
Mais d’abord elle [Marie] veut aller à la Grotte, reconnaissance. (…) Enfin à la Grotte, elle regarde tout le paysage qui lui semble changé. (ibid. F°492)
Il faut simplement [que biffé] que Marie donne les cierges, le bouquet, baise le roc, puis tombe à genoux ainsi que son père. (ibid. F°493)
Puis, M. de Guersaint se fait raser. (…) Et la réponse des pères : Nous fermons la Grotte. Colère de Cazaban, il s’emballe sur eux. Puis, sur un mot de Pierre. « Eh bien ! qu’il la ferme ! » (ibid. F°494)
Puis, il faut lui faire apprendre que ce monsieur est le père de la miraculée, dont tout Lourdes parle. (ibid. F°495)
Puis, retour à la Grotte. (ibid. F°495)
La Vierge apparaît, la voyante est persécutée, l’idée prend, monte, à son apogée, puis décline. (ibid. F°496)
Enfin, ils [Pierre et M. de Guersaint] [arrivent biffé] reviennent chez Majesté. (ibid. F°498)
Et Pierre, voyant une photographie de Bernadette la regarde (puis, il l’achètera). (ibid. F°501)
Et je termine avec Pierre qui résume le chapitre en ramassant tout le nouveau Lourdes, Cazaban, ce qu’a dit le cocher, les boutiques, la mangeaille, et enfin Appoline flirtant avec Des Hermoises, pour l’opposer à l’ancien Lourdes. (ibid. F°502)
D’abord dans le magasin qui appartient à Majesté. (ibid. F°503)
Et la [Appoline] montrer coquettement avec l’abbé Des Hermoises, qui cause ensuite avec M. de Guersaint. (ibid. F°504)
Et [elle biffé] ensuite : « Elle [Appoline] ressemble à Bernadette » – (ibid. F°506)
Et là Cazaban reprenant ses diatribes contre la Grotte, puis tout à coup tournant : ah ! non, il ne faut pas qu’on ferme la Grotte (…) \\. (ibid. F°s506-507)
Je poserai la gare d’abord, l’heure du départ du train, et en récit je reviendrai brièvement sur la Grotte. Puis le Commandeur. (ibid. F°507)
La Vierge apparaît ; la voyante est persécutée, l’idée prend, monte, à son apogée, puis décline. Partout la même chose. (ibid. F°508)
Expliquer tout de suite pourquoi Marie et son père ne sont pas avec lui [Pierre] : (…) lui a réglé à l’hôtel (?) puis est venu directement à la gare. (ibid. F°512)
Enfin j’ai Ferrand et sœur Hyacinthe qui vont être séparés. (ibid. F°514)
Enfin l’arrivée des malades. (ibid. F°514)
Ensuite Pierre revient vers les dames hospitalières (…). (ibid. F°515)
Et enfin Marie et son père arrivant avec les autres de la Grotte : pourquoi leur retard. (ibid. F°517)
Puis, Mme Dieulafay montée dans la poussée (…), M. Vigneron qui a enfin arrangé son affaire venant embrasser sa femme et son petit, restant là pour les voir partir – Adieu du docteur Chassaigne à Pierre – Au revoir. (…) Puis, plus bas : le Commandeur a raison : rien n’est bon comme la mort, mais pour aller retrouver les âmes chères. (ibid. F°520)
Enfin, le départ, et la joie [en interligne : (M.V. 58-59)], le soulagement, l’ébranlement qui continue. (…) Enfin au départ les mouchoirs agités (…) \\. (ibid. F°s521-522)
D’abord, j’ai l’épisode du Commandeur à régler, qui me gêne. (ibid. F°523)
Enfin, j’ai le départ du train, avec tous les épisodes. D’abord en récit, je dis que Marie a été faire des [vœux biffé] adieux ardents de reconnaissance à la Vierge, à la Grotte. (ibid. F°526)
Enfin, les dames hospitalières. (ibid. F°528)
Puis, mes malades. (ibid. F°528)
Je crois qu’il faut d’abord poser le wagon sans nommer les [pèlerins biffé] personnes. (…) Puis j’en arriverai à mes personnages et je dirai ceux qui y sont et ceux qui n’y sont pas – (ibid. F°533)
Puis l’épisode de Mme Vincent. (ibid. F°533)
Enfin Sophie Couteau, dans le compartiment de l’homme. (ibid. F°536)
Et enfin l’épisode de M. Sabathier, avec M. de Guersaint surtout et Pierre. (ibid. F°537)
Puis, M. Sabathier. (…) La matinée de tristesse et de révolte, puis l’espérance qui renaît (elle s’affirmera à la fin). (ibid. F°537)
Puis sur son malade, celui pour lequel il [M. Sabathier] a donné 50 fr., ne voulant pas prendre la place d’un vrai pauvre. On lui a dit qu’il était guéri. Un tuberculeux. Il en a été saisi, puis il en est heureux. (ibid. F°538)
Ensuite, sur Elise Rouquet qui fait sa toilette du soir devant son miroir. (ibid. F°539)
Tout le wagon enfin avec les bagages. – (ibid. F°540)
Je crois que je dois d’abord résumer tout le passé. (ibid. F°541)
Puis elle [Marie] a prié devant la Grotte pour lui [Pierre] – (ibid. F°543)
Puis, le matin, le dernier espoir devant la Grotte, espoir de croire
si la Vierge faisait le grand miracle de guérir Marie. (ibid. F°s543-544)
Ils [Marie et Pierre] causent, et les projets d’avenir d’abord. (ibid. F°546)
Puis la prière du matin n’est qu’à Châtellerault. (ibid. F°549)
Enfin tous ses projets, avec la joie de la santé. (ibid. F°550)
Puis, voilà que par un miracle, (une secousse que la science explique), voilà qu’elle [Marie] guérit, qu’elle est femme, qu’elle peut être épouse et mère (…). (ibid. F°551)
Enfin, s’il y a des arrêts, ne pas oublier les Dieulafay en première, et les Vigneron, [Ma biffé] la mère et son fils seulement, en seconde. (…) Enfin l’abbé Judaine que je mets avec les Dieulafay. (ibid. F°559)
Leur sensation de révolte et de désespérance, puis l’espérance de nouveau. (ibid. F°560)
Puis continuer à dire les stations, comme je l’ai indiqué plus haut. (ibid. F°569)
Donc les Aulrays [sic], puis le déjeuner et Pierre reprend le petit livre à couverture bleue (…). (ibid. F°569)
Enfin Bernadette quittant Lourdes le 8 juillet 66, quittant l’hospice, où sont les sœurs de Nevers, pour aller à la maison mère,
Saint-Gildard, à Nevers. (ibid. F°s569-570)
Puis, alors, l’installer [Bernadette] dans le couvent. (ibid. F°571)
Puis tout un morceau sur elle [Bernadette], à cette époque, à ses vingt-cinq ans. (ibid. F°572)
Elle [Bernadette] gémissait, puis se le reprochait. (ibid. F°577)
Enfin, la mort. Vendredi 28 mars 79, agonie. (…)
Elle [Bernadette] consent enfin à se faire administrer. (ibid. F°s577-578)
Enfin, le mercredi de Pâques, 10 avril, agonie. (ibid. F°579)
D’abord, son enquête est faite [en interligne : Eb. 5-10], son expérience est faite. (ibid. F°580)
Il [Pierre] [tolè biffé] veut d’abord tolérer Lourdes où tant de milliers de misérables vont se consoler. (ibid. F°581)
Puis, le scrupule qui saisit Pierre. (ibid. F°585)
Et alors le besoin [b biffé] d’une religion nouvelle. Mais d’abord où en est le catholicisme. (ibid. F°587)
Puis finir par lui, résolu à rester prêtre honnête, dans la grandeur désolée du prêtre incroyant (…) \\. (ibid. F°s588-589)
Puis finir par tout[e biffé] le symboli [sic] de l’œuvre. (ibid. F°s589-590)
Je [con biffé] raconte sa [vie t biffé] mort tout au long, puis je montre son
tombeau, dans la petite église, perdue au milieu du jardin du couvent de Nevers. (ibid. F°s593-594)
Puis, la bonne phtisique [en interligne : elle marche], [la jeune fille ouvrière d’Issy biffé] le frère des Ecoles, l’agrégé de l’Université, et la mère avec sa petite fille sur elle [en interligne : (à l’abri)]. (ibid. F°601)
Puis, la nuit qui tombe, et une lecture faite par l’abbé [en interligne : l’homme meurt]. (ibid. F°601)
Il [Pierre] voit passer sa malade ensuite, ce qui le fait frémir. (…) Mais d’abord il a rencontré son ancien ami le médecin, qui l’emmène le long du Gave et lui conte sa conversion. (ibid. F°602)
Puis la bonne phtisique, je suis guérie, je suis guérie. (ibid. F°602)
Puis la continuation de la vie de B. (ibid. F°602)
Puis, dans Lourdes. (ibid. F°603)
Puis le prêtre va au Rosaire. (ibid. F°603)
Puis la salle déjà posée. (ibid. F°604)
Et enfin la procession de quatre heures. (ibid. F°604)
Il [M. de Guersaint] conte ensuite son voyage à Gavarnie. (ibid. F°605)
Donc nommer le frère dans l’histoire au chap. II de la 1ère partie ; trouver ensuite un rappel du frère dans la troisième ou la quatrième partie (…) ; et enfin les anarchistes et les premiers chrétiens à la fin. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 18 – Notes sur Guillaume Froment)
On la promène dans toutes les Eaux d’abord, quand la famille a encore quelque argent. Puis le désespoir. (…) On finit par la mettre dans une sorte de gouttière, à laquelle on adapte des roues. (ibid. Fo 22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Pleure, [mot illisible biffé] se désespère, puis se console tout de suite. (ibid. Fo 28 – Notes sur M. de Guersaint)
Puis la maladie [de Rose] se déclare, impuissance de la médecine. (ibid. Fo 32 – Notes sur Mme Vincent)
Et, quand il s’en retourne, le premier abattement, puis la foi qui revient : « Ce sera pour l’année prochaine ». (ibid. Fo 35 – Notes sur M. Sabathier)
Elle [la sœur de Frère Isidore] [venait biffé] était venue avec une dame, en service à Paris ; et elle reste ensuite avec son frère. (ibid. Fo 38 – Notes sur Frère Isidore)
C’est une paysanne venue à Paris, bonne d’abord, ensuite épousée par le petit horloger (…) \\. (ibid. Fos 45-46 – Notes sur Mme Vêtu)
Il a dû prendre un billet et s’est traîné jusqu’au train ; puis, depuis Paris, il agonise dans son coin. – (…) Il mourra au IV, après les miracles pour finir le chapitre, ou plutôt au V. Enfin, il doit être mort à la fin du chapitre, entre Tarbes et Lourdes. (ibid. Fo 51 – Notes sur l’Homme)
Si la tante meurt, comme elle a fait un testament en faveur de Gustave, c’est celui-ci qui hérite ; et comme il mourra ensuite, [à biffé] ce sera le père qui aura tout. (ibid. Fo 54 – Notes sur M. Vigneron)
Poser tout cela dans une première scène à l’hôtel, et [pl biffé] puis dénouer par le drame dans une autre scène, lorsque Mme Chaise meurt. (ibid. Fo 55 – Notes sur M. Vigneron)
Et elle a succombé, elle a un amant, (…) que je fais entrevoir une seule fois à l’hôtel et que je montre ensuite une seule fois devant la Grotte, à genoux, sans dire qui il est. (ibid. Fo 75 – Notes sur Madame Volmar)
Enfin, l’oncle de la jeune fille [Raymonde], diplomate resté au service de la république, et qui fera un diplomate de son neveu. (…) Gérard est brancardier. (…) Il porte les malades à la Grotte, il les transporte ensuite aux piscines, etc. (ibid. Fo 82 – Notes sur Gérard de Peyrelongue)
Je l’aurai dans le train, puis dans la salle, puis à la Grotte et aux processions, et enfin au retour. (ibid. Fo 92 – Notes sur l’abbé Judaine)
Puis, je l’aurai au moins à la procession et à la fin. (ibid. Fo 93 – Notes sur le père Massias)
[Enfin l’utiliser. biffé] (ibid. Fo 95 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Enfin toutes les variétés [de prêtres], à chercher et à trouver. (ibid. Fo 96 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Ce singulier état, les républicains déblatérant, puis s’inquiétant (…) \\. – (…) Un mouvement, deux [illisible] : d’abord contre la Grotte, puis cédant quand son intérêt l’exige – (ibid. Fos 105-106 – Notes sur Cazaban)
Je l’ai donc pour finir le chapitre I de la deuxième partie, lors du débarquement (…).
Puis je l’aurai une fois à la Grotte, et là la colère de Lazare ressuscité. Enfin, je voudrais l’avoir au départ, mourant sans doute (…). (ibid. Fo 111 – Notes sur le Commandeur)
Puis il s’approche de Marie, et sa minute d’attendrissement. (ibid. Fo 113 – Notes sur le Commandeur)
Ensuite, il mesure son champ visuel, qui, chez les hystériques, se trouve rétréci (un doigt à gauche et un doigt à droite). (ibid. Fo 118 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Début insidieux. (…) Puis le ventre se ballonne, c’est ce qui avertit les parents. (ibid. Fo 122 – Notes sur la maladie de la petite Rose Vincent)
Puis troubles plus marqués des fonctions digestives. (ibid. Fo 124 – Notes sur la maladie de Mme Vêtu)
D’abord, petite toux sèche (vers la puberté) augmentant le soir. (…) La rémission que la Grivotte aura, un coup de fouet ; puis, elle retombe. (ibid. Fo 126 – Notes sur la maladie de la Grivotte)
Puis engorgement [lymphatique biffé] des ganglions lymphatiques du col. (écrouelles) (ibid. Fo 129 – Notes sur la maladie de Gustave Vigneron)
Etat de Bernadette. (…) « Le visage s’élevait tout doucement ; les traits s’épanouissaient ensuite et prenaient l’expression d’une béatitude extraordinaire. (…) Puis le visage redevenait naturel, elle s’en allait agile, sans fatigue. – [»] (ibid. Fo 132 – Notes sur le Dr Dozous)
Catalepsie, extase maladive ? Non, puisque usage des sens et mouvements sou \\mis à l’action de la volonté. Et puis fatigue. (…) Donc aliénation mentale. Non, Bernadette pas folle (…). Dehors, honnête, habitudes régulières, restée simple après. Ensuite jamais dérangement de raison. (ibid. Fos 132-133 – Notes sur le Dr Dozous)
Sœur Dorothée. Myélite grave. – (…)
Eau glacée, puis tiède et délicieuse. (ibid. Fos 136-137 – Notes sur les Miracles)
Philomène Simonneau. (…)
Retour au village (Chambreteau. On les attend. (…) Et les cloches à la volée magnifient. Puis récit du curé. (ibid. Fos 138-139 – Notes sur les Miracles)
Douleur d’abord, claudication et allongement du membre, puis raccourcissement. (…) Marguerite Gehier, 59 ans, malade depuis 27 ans, constitution scrofuleuse. (…) 15 ans, puis gonflement de la cuisse, hydarthrose du genou. (ibid. Fo 140 – Notes sur les Miracles)
Louise Gibert. (…) Enfin, elle boit encore, et la toux disparaît. (ibid. Fo 141 – Notes sur les Miracles)
Les malades éprouvent d’abord des douleurs très vives (…). (…)
Régénération immédiate, douloureuse nécessairement, puis santé parfaite. (ibid. Fos 143-144 – Notes sur les Miracles)
Un paralytique qui marche, puis qui est repris : paralysie nerveuse. (ibid. Fo 146 – Notes sur Boissarie)
Puis les maladies internes, où il faut [pa biffé] attendre. (ibid. Fo 150 – Notes sur les Miracles)
Muette depuis l’âge de 7 ans. (…) Elle jette un cri : – Vous êtes malade, demande une voisine – Non ! (le premier mot depuis 45 ans [)]. Puis : Je vous salue, Marie. Que de matériaux accumulés dans les Annales de Lourdes (…). [Mais biffé] Plus de mille malades, qui sourient ensuite, incrédules. (ibid. Fo 160 – Notes sur les Miracles)
Les médecins qui ont constaté, les témoins. Dozous d’abord, dès la 3e apparition. (ibid. Fo 162 – Notes sur les Miracles)
Ensuite, on peut étudier, et des cas ont été étudiés (?) (273). (ibid. Fo 165 – Notes sur les Miracles)
On ne veut pas la baigner. On [p biffé] veut l’éponger. Puis, on se décide. (ibid. Fo 167 – Notes sur les Miracles)
Une guérie en trois jours, d’abord les jambes, puis la parole rendue, puis l’ouïe revenue – (ibid. Fo 173 – Notes sur les Miracles)
Enfin, il y a l’installation des malades eux-mêmes (…). (ibid. Fo 183 – Notes sur le Départ de Paris)
Enfin, plusieurs compartiments portent [le biffé] une bande de papier collé à la vitre (…). Il faut comprendre dans ceux-ci les compartiments, aux deux bouts d’un wagon, que les sœurs se réservent. Elles ont des lampes à esprit de vin, elles y font du café, etc. qu’elles distribuent ensuite aux malades. (ibid. Fo 184 – Notes sur le Départ de Paris)
Les hospitalières enfin suivent leur train, quelques unes avec les malades, les autres à part. (ibid. Fo 185 – Notes sur le Départ de Paris)
Le docteur a vu naître le lupus, une irritation d’une glande sébacée. Puis un bouton, puis la face envahie. (ibid. Fo 187 – Notes sur le Départ de Paris)
Enfin, il faut s’imaginer la vie dans un wagon, pendant les vingt-deux heures que dure le voyage. (…) On part, on chante à des heures déterminées. Ensuite on cause. (ibid. Fo 189 – Notes sur le Départ de Paris)
Les plaintes. Enfin, un hôpital roulant (…). (ibid. Fo 190 – Notes sur le Départ de Paris)
Puis surtout les foules accourent, croyantes, extasiées. (ibid. Fo 209 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Il faudrait savoir les dessous, la vraie vérité. De même, la vraie vérité [pour biffé] sur la façon dont l’affaire a été menée (…) \\. Tous les dessous enfin – (ibid. Fos 211-212 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
En outre, les tableaux des grandes foules, vingt mille personnes à la fois envahissent la ville (…) ; puis le
défilé dans la grotte (…). (ibid. Fos 212 – 213 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Puis des prêtres, des évêques, des croyants et des spéculateurs, des foules surtout (…). (ibid. Fo 214 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Les mouchetures des petits arbres montent à un quart de la hauteur, puis la roche devient nue, effritée, fouillée, ridée de mille plis farouches. (ibid. Fo 219 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Les vapeurs qui remplissaient le cirque comme une cuve, puis qui se sont dissipées. (ibid. Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Portrait de Bernadette en extase (…) – Puis, Jacomet. D’abord doucereux, puis tu mens – (ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Puis les premiers miracles. Louis Bourriette œil blessé guéri (131). (…) Enfin le 2 mars, B. va revoir Peyramale. (ibid. Fo 223 – Notes sur H. Lasserre)
Enfin Laurence finit par céder (…). (ibid. Fo 225 – Notes sur H. Lasserre)
Enfin, on permet à Bernadette de les accompagner. (…) Les trois enfants passent le pont, sont sur la rive gauche du Gave, puis entrent dans l’île du Chalet, en passant par le Moulin. (ibid. Fo 232 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] dit enfin, en revenant : « J’ai vu quelque chose habillé de blanc. » Elle l’appela ensuite « la Dame ». (ibid. Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)
Bernadette se transfigure, l’apparition se produit. (…) Ensuite ça se répand dans la ville. (…) Elle voyait la lumière d’abord, puis [l’apparition biffé] la Dame (…). (ibid. Fo 234 – Notes sur H. Lasserre)
Enfin la persécution arrive. (ibid. Fo 236 – Notes sur H. Lasserre)
Premier interrogatoire [de Bernadette] (73). Doucereux, il faut tout raconter, puis se fâche (…). (ibid. Fo 237 – Notes sur H. Lasserre)
La source [en interligne : la source, un jeudi 25 février] d’abord bourbeuse, pourquoi pas tout de suite limpide ? (ibid. Fo 241 – Notes sur H. Lasserre)
Puis tout le travail fait à la grotte. (ibid. Fo 253 – Notes sur H. Lasserre)
Puis elle [Bernadette] embrasse tout son monde et part pour la Maison-Mère, à Nevers. Adieu à la grotte. (ibid. Fo 259 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] gémissait, puis se le reprochait. (ibid. Fo 267 – Notes sur H. Lasserre)
Elle [Bernadette] ne veut pas recevoir l’extrême-onction, parce quelle a guéri
chaque fois qu’elle l’a reçue. Puis elle accepte. (ibid. Fos 267-268 – Notes sur H. Lasserre)
Un jour, elle tomba d’une voiture qui se renversa sur elle. Pas de fracture, mais tout ébranlé. Ensuite, chute de cheval. (ibid. Fo 271 – Notes sur Mlle de Fontenay)
On consulta tous les médecins. (…) Un allopathe, puis un homéopathe. Puis un médecin de Strasbourg. (…) Enfin, il faut recourir à la chirurgie. (ibid. Fo 272 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Aux obsèques [de Peyramale], il [le père Sempé] exultait malgré lui. Enfin, il n’y avait plus que lui, et la nouvelle église était bien morte. (ibid. Fo 284– Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

Il peut écouter d’abord (…) puis débauché par l’usine il retombe (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 361/14)
D’abord, il se contente du minimum ; puis il travaille, se porte mieux (ibid., f° 365/18)
La femme du capitaliste a fini par s’apercevoir que son mari la trompait ; et elle n’en parle pas d’abord (ibid., 366/19) \\D’abord, pour le phalanstère que Luc fait bâtir (ibid., f° 387/40)
Donc lutte, elle est d’abord, d’essence, avec la verrerie capitaliste (ibid., f° 388/41) \\Le capitaliste d’abord (ibid., f° 396/49) \\D’abord, prendre une verrerie comme usine ma paraît une donnée étroite (ibid., f° 398/51) \\D’abord, il peut s’occuper d’une usine qui a poussé au flanc du colosse, une usine d’instrument aratoire en plus simple, charme, biche, etc. (ibid., 399/52) ==== DAGOBERT Ier ==== (VIIe siècle-vers 638) Roi des Francs de 629 à 638.

Nana (1880)

Jupiter Roi Dagobert fait la cour à une petite blanchisseuse. (NAF Ms. 10313, Nana. F°4- Plan)
Arrivée des dieux, conduits par Iris, égarée. Jupiter, en Roi Dagobert (…). (ibid. F°47).

D’AILLEURS

Le Ventre de Paris (1873)

L’opposition est suffisamment indiquée. D’ailleurs, les personnages secondaires l’indiqueront encore mieux. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 59)
Elle résiste à l’amour du jeune homme (…), est heureuse d’ailleurs de vivre dans cette adoration. (ibid., f° 66)
Ces deux créatures sont donc jalouses d’Eugène Charvet. Elles sont d’ailleurs les bonnes amies de Lisa. (ibid., f° 74)
Elle les remet fidèlement à Quenu, qui, d’ailleurs, a hérité. (ibid., f° 82)
Purement épisodique, d’ailleurs. (ibid., f° 94)
Fier, d’ailleurs, n’aimant pas Lisa, trouvant Marjolin idiot (c’est lui qui peindra tout d’un mot.) (ibid., f° 96)
D’ailleurs, Lebigre fait ce commerce plus en grand. (ibid., f° 109)

La Conquête de Plassans (1874)

C’est un bavard, d’ailleurs, appuyé sur sa fortune, qui se moque de tout le monde ; on parle de lui pour le conseil général (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 19)
Mais Marthe (…) souffrante d’ailleurs (…) tombe dans la dévotion (ibid. F° 31)
D’ailleurs on lui a promis de se tailler lui-même sa part (ibid.F°33)
Marthe a d’ailleurs une prédisposition naturelle pour la religion, Mouret et les autres achèvent de l’y jeter. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VI F° 9)
Marthe, d’ailleurs, restant courbée, sans oser hasarder un aveu ((NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIV F° 11)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Très vieux, d’ailleurs, 75 ans. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 9)
Le paysan Hubert, veuf, maire de la commune, un des plus riches, d’ailleurs pauvre comme Job ; riche parce qu’il a un coin de terre labourable où pousse du blé. (ibid., f° 12)
Tous trois, Serge, Désirée, Octave sont d’ailleurs des dégénérescences. (ibid., Les personnages, f° 17)
Et elle plaide toutes les joies du défendu. Ce n’est pas vrai, d’ailleurs, c’est permis. Tout pousse à cela, etc. (ibid., Le Paradou, f° 46)

Nana (1880)

D’ailleurs, tout (sic) les personnages sont là : le comte Xavier de Vendoeuvres avec Blanche de Sivry, Clarisse Besnus et Simonne Cabiroche (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°43-Plan)
S’il avait consenti à y paraître ce soir-là, c’était sur les instance (sic) de sa petite-fille, dont il désapprouvait d’ailleurs le mariage (…). (ibid. F°141 verso).
[Paul Daguenet] Honnête d’ailleurs, pas maq. (NAF Ms. 10313, Nana. F°172- Personnages)
[Léon Fauchery] Le père d’ailleurs a déjà payé ses dettes deux fois. (ibid. F°174).

La Terre (1887)

L’épargne, des paysans, comparée à la dépense des ouvrières de la ville sera incarnée dans le vieux et dans tous d’ailleurs (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 482/74) Lui d’ailleurs d’une génération plus forte, plus équilibrée (MS NAF 10329 La Terre F° 14 – Personnages, Louis Fouan)
Très respectée d’ailleurs et crainte (ibid., F° 39 – Personnages, Marianne Fouan)
Exige des égards comme une patriarche, égards qu’on lui rend d’ailleurs à cause de sa fortune (ibid., F° 39)
Parle très bien mais n’est pas familier avec les paysans. Inconnu d’eux d’ailleurs (ibid., F° 112 – Personnages, M. Rochefontaine)
Le Rêve (1888) Les éléments du problème à résoudre restent d’ailleurs toujours les mêmes : pureté, psychologie, au delà. (ibid., f° 227/11)
Peu de lutte d’ailleurs avant l’arrivée de l’amour (ibid., Ebauche f° 243/27)
(…) D’ailleurs l’horreur de la science . Au contraire, tous les arts lui [Félicien] mettent les larmes aux yeux (ibid., f° 300/83)
Je puis dire d’ailleurs qu’on les y tolère. Non ! (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
Je crois que tout cela va d’ailleurs à l’autre chapitre (ibid., f° 180)
d’ailleurs elle est certaine d’aller jusqu’au bout (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 183)

Lourdes (1894)

D’ailleurs, je crois que tout mon sujet [de biffé], mon prêtre voulant réconcilier l’église et l’esprit moderne, peut très bien s’organiser autour de cette passion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°7)
Il ne me déplairait d’ailleurs pas d’innover, de trouver
une division originale, une coupe un peu singulière et mystique. (ibid. F°s59-60)
La poussée de la foule a été telle, qu’il a fallu fermer les yeux et laisser faire, Bernadette et tous étant d’ailleurs de bonne foi et nulle supercherie n’étant dans l’affaire. (ibid. F°64)
Tous abandonnés de la science d’ailleurs, et allant à la consolation, à la dernière. – (ibid. F°69)
Une mère me gênerait peut-être (d’ailleurs, je peux la mettre avec le père, si j’en sens le besoin). (ibid. F°76)
D’ailleurs, il se sent honnête homme, froid de tempérament, très décidé à tenir les vœux qu’il prononce. (ibid. F°87)
C’est l’ancien magistrat qui fait, conseille le mariage. (…) Très gai et très dévoué d’ailleurs, pas poseur. (ibid. F°102)
Lui qui n’est pas croyant, a accepté d’aller à Lourdes par curiosité, en remplacement d’un ami d’ailleurs. (ibid. F°115)
D’ailleurs, mon prêtre pourra en une page, passer en revue tous les genres de prêtres qu’on rencontre à Lourdes. (ibid.  F°116)
Pour le médecin des constatations, je prendrai un Boissarie quelconque. Il n’aura d’ailleurs pas d’autre rôle qu’à la salle des constatations. (ibid. F°118)
Très brefs, d’ailleurs, tous ces détails. (ibid. F°137)
D’ailleurs revoir tous les personnages. (ibid. F°181)
On la [Sophie Couteau] connaît d’ailleurs, [en interligne : la poser, la petite guérie un miracle] madame de Jonquière et sœur Hyacinthe. (ibid. F°183)
D’ailleurs, je diviserai plus tard Bernadette dans les cinq chapitres que je lui consacrerai. (ibid. F°215)
D’ailleurs, il lui faut ses roues, dans le fourgon, et son père et Pierre vont les chercher. – (ibid. F°227)
D’ailleurs, ce matin du premier
jour, elle [la foule] n’est point aussi considérable qu’elle le sera les autres jours, l’après-midi. (ibid. F°s267-268)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : (…) pas d’examen à l’arrivée, [car biffé] ils ne serviraient d’ailleurs à rien. (ibid. F°285)
Ne pas oublier que M. de Guersaint ne songe qu’à sa partie à Gavarnie, malgré son grand amour pour sa fille. C’est d’ailleurs celle-ci qui le pousse à la faire, le connaissant et l’adorant. (ibid. F°327)
Et en arriver à expliquer comment elle [Bernadette] finit elle-même par préférer s’en aller à Nevers. On l’y pousse d’ailleurs, on est heureux de se débarrasser d’elle (…). (ibid. F°386)
Et comment elle [Bernadette] finit elle-même par préférer s’en aller à Nevers. On l’y pousse d’ailleurs, on tâche de se débarrasser d’elle (…). (ibid. F°393)
M. Sabathier ne sera baigné qu’un peu plus loin (dans le III sans doute), ce qui ne réussira pas d’ailleurs. (ibid. F°418)
Il [Pierre] a senti passer la force, la foi qui guérit. Bouleversé d’ailleurs, des larmes plein les yeux, le cœur éperdu. (ibid. F°447)
Je puis aussi utiliser le diorama et le panorama, pour faire une comparaison entre l’ancien Lourdes et le nouveau Lourdes. D’ailleurs, c’est là aussi un amusement de foire. (ibid. F°507)
D’ailleurs, ces messieurs font leur service, transportent les malades, les enfournent dans le train (voir toutes mes notes). (ibid. F°527)
D’ailleurs, il faudra que je donne du mouvement à ces Dieulafay. – (ibid. F°529)
D’ailleurs, la Vierge peut avoir des caprices. (ibid. F°558)
D’ailleurs, il se sent honnête homme, maître de son tempérament, très décidé à tenir les vœux qu’il a prononcés. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 8 – Notes sur Pierre Froment)
D’ailleurs, je n’aurai besoin de lui que dans « Paris ». (ibid. Fo 16 – Notes sur Guillaume Froment)
Lui [M. de Guersaint] est architecte, inventeur, et catholique pratiquant d’ailleurs. (ibid. Fo 22 – Notes sur Marie de Guersaint)
Et (…) lui
comprend, a des sourires terribles et tristes, obéit d’ailleurs. (ibid. Fos 57-58 – Notes sur Gustave Vigneron)
D’ailleurs Pierre pourrait et devra passer en revue, en une page, tous les genres de prêtres qu’on rencontre à Lourdes. (ibid. Fo 92 – Notes sur l’abbé Judaine)
Enfin, il faut s’imaginer la vie dans un wagon, pendant les vingt-deux heures que dure le voyage. (…) J’ai d’ailleurs le programme de tout cela, avec les chants et les prières. (ibid. Fo 189 – Notes sur le Départ de Paris)
Là aussi, d’ailleurs, on distingue des éboulis de terre, des roches tombées. (ibid. Fo 218 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)

Travail (1901)

(Les quatre sujets d’ailleurs se pénètrent, la fécondité ne va pas sans le travail, qui ne va pas sans la science, qui entraîne la justice) (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 348)

DALAVAT

Greffier de la justice de paix chez qui Zola et sa femme logèrent, à Lourdes, du 19 août au 1er septembre 1892.

Lourdes (1894)

Les laudes sur Bernadette (Dalavat, Mon V. 91), Capdevielle M. V. 164, Lasserre Mon V. 141, Barbet id. 147. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°206)
Les pères propriétaires de la Grotte. Ville haute et ville basse. Dalavat. (éb. 96). (ibid. F°349)
Les Pères propriétaires de la Grotte. Ville haute et ville basse. « Nous fermerons la Grotte.[»] Dalavat. (éb. 97). (ibid. F°509)

D’APRÈS

Nana (1880)

C’est Flavio d’après les cabalistiques. (NAF Ms. 10313, Nana. F°291-Notes).

Lourdes (1894)

La victime [Bernadette] dans tout cela, la sacrifiée, l’escamotée, la femme malade, que la Vierge en la choisissant (d’après eux) a retranchée du nombre des épouses et des mères (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°57)
Description de la Vierge, d’après B. (éb. 223) – (ibid. F°219)
Et une description de la gare d’après mes notes. (ibid. F°223)
Mais les plaies apparentes de source nerveuse d’après Charcot (la foi qui guérit). (ibid. F°293)
Ne pas le [Pierre] faire rejeter la foi encore, car je garde cela pour après le miracle, (…) parce qu’il l’attend et le voit s’opérer selon la science d’après le grand médecin. (ibid. F°377)
Description d’après mes notes. – (ibid. F°462)
Et ici la jeune ruine, les pierres qui se mangent à la pluie, toute la description d’après mes notes – (…) Et le rêve de ce prêtre, la cathédrale vaste qu’il a rêvée (d’après la photographie). (ibid. F°482)
Un portrait physique même (…), la face s’est un peu allongée, et décrire le reste d’après la photographie.– (ibid. F°572)
La Vierge lui [le biffé] dit un troisième secret personnel. Confidences intimes qui, d’après Lasserre, devaient sauvegarder Bernadette au milieu des périls
moraux auxquels allaient l’exposer les faveurs extraordinaires dont elle était comblée. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 240-241 – Notes sur H. Lasserre)

DATE/DATER

Le Ventre de Paris (1873)

Les amours de Marjolin et de Cadine datent donc du berceau, du tas de choux où ils ont été élevés ; je les ferai effectives. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f°111)
Voici les dates. (ibid., f°200)
En 1850, au commencement, (changer les dates du livre) elle se sauve avec son amant et ses deux enfants. (ibid., f° 243)

La Terre (1887)

il faudra qu’il y ait un mariage en jeu. Le mieux, si les dates s’y prêtent, ce sera de ne l’amener là qu’après son tirage au sort, soit qu’il ait tiré un bon numéro qui l’exempte, soit qu’il ait fait son temps (si les dates le permettent). Plus tard, il se rengagerait si les dates le permettent, après avoir échoué dans son amour. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 404/5)
(…) Pour le village, pour mettre en branle toutes les autorités, vers la fin sans doute, à cause des dates, il faudrait avoir un fait ; et le meilleur serait une discussion de chemin, dans laquelle je mêlerais la ferme. (ibid., f° 472/64) Calculer les dates : un premier enfant mort peut-être. Buteau ne la possède qu’enceinte de Jean (MS NAF 10329 La Terre F° 51 – Personnages, Françoise Fouan)
S’inquiéter des dates pour les élections 63, 69 etc. (ibid., F° 111 – Personnages, M. de Chédeville) Lourdes (1894) Régler les dates de tout cela, de façon
à ce que les faits s’espacent logiquement. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s91-92)
Tout de suite, je crois, la date et le temps. Le vendredi 19 août. (ibid. F°122)
Elle [Bernadette] est avec les sœurs, [son biffé] les dates de son entrée et de sa sortie, combien elle est restée là. (ibid. F°385)
Ce sont les dates qui doivent conduire le tout. (ibid. F°387)
Le père Sempé. Les dates. Sempé vient en 66. (ibid. F°398)
Il [Chassaigne] a connu Peyramale, il a pu le voir mourir, il en parle. Pourtant, les dates ne [s’y biffé] sont pas. (ibid. F°482)

DAUMONT

Nana (1880)

(…) le drapeau à la Daumont (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°118- Plan).

Voiture à la Daumont (NAF Ms. 10313, Nana. F°298- Notes).

D’AUTANT MIEUX

La Terre (1887)

Cela est d’autant mieux, que le drame là encore est sur une possession (MS NAF 10329 La Terre F° 53 – Personnages, Françoise Fouan)

D’AUTANT PLUS QUE

Travail (1901)

D’autant plus qu’il y a, paraît-il, de grandes améliorations scientifiques à apporter à la fabrication (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 398/51)

DAVANTAGE

Le Ventre de Paris (1873)

(Gavard a fait des cadeaux à sa nièce et à sa belle-sœur, ce qui les a irritées davantage) (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 105)

La Faute de l’abbé Mouret (1875) Cela est préférable, pour plusieurs raisons ; d’abord, je ne puis entrer dans le particulier, étudier la vie au village, ce qui me détournerait de mon idée première ; ensuite, je reste davantage dans le système des grandes masses ; enfin, de cette façon, mon village devient un seul être, une création d’une simplicité utile, un troupeau humain tel qu’il a dû en exister aux premiers temps du monde. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 14)

Nana (1880)

Mais il faudrait une autre intrigue pour corser ça davantage. (NAF Ms. 10313, Nana. F°210-1- Ebauche)
. Le point sur lequel j’insisterai, c’est que dès que son mari se met avec Nana, elle [Sabine] s’émancipe davantage et accepte franchement le rôle de cocodette. (ibid. F°232).

La Terre (1887)

Mais eux, bien qu’ils aient acquis, morceleront [sic] davantage encore. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 403/4)
(…) Cette histoire est bonne ; mais elle a le défaut de ne pas trop tenir à mon histoire centrale. Il faudrait l’y nouer davantage. (ibid., f° 463/55)
(…) Comme cela, il m’encombrerait moins, et je pourrais le mouvementer davantage (ibid., f° 478/70)
(…) Quant au prêtre, à la religion, on pourrait l’avoir, en faisant que le prêtre dessert seulement l’église du village, comme à Medan. Il serait d’une commune à trois kilomètres, et viendrait seulement les dimanches et les jours de fête. Comme cela, il m’encombrerait moins, et je pourrais le mouvementer davantage. (ibid., f° 478/70)

Le Rêve (1888)

Seulement, Félicien m’inquiète davantage comme solidité psychologique (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 297/80)

Lourdes (1894)

Il faudrait n’en faire qu’un type, tout au fond, à moins de trouver à l’utiliser davantage. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°105)
On leur dit que c’est une bonne, et ils [Pierre et Marie] n’en savent pas davantage. (ibid. F°135)
Sentiment de révolte de Pierre, qui ne peut en entendre davantage et qui s’en va. – (ibid. F°253)
Cela vaut mieux, chauffe [d’av biffé] davantage la scène, emploie toute la journée. (ibid. F°269)
D’abord sur les craintes de contagion. L’eau qu’on ne change pas, et qu’on changera davantage. (ibid. F°283)
Et Chassaigne lui disant qu’il [le Commandeur] ferait mieux de boire à la source, de se guérir lui-même. Mais il se fâche davantage – (ibid. F°287)
En somme, il faut que Pierre sorte de là pas convaincu, troublé davantage (…) – (ibid. F°292)
Et il [M. Vigneron] espère [que biffé] obtenir davantage, tout ce qu’il désire (la mort de Mme Chaise). (ibid. F°316)
Donc la lettre qu’il [Vigneron] reçoit est une première marque de la faveur de la Vierge, qui lui fait espérer davantage. (ibid. F°327)
Depuis le miracle de [Mas biffé] Marie, la foule est plus éperdue et pousse davantage (…). (ibid. F°451)
Voir s’il n’en faut faire qu’un type ou l’utiliser davantage. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 78 – Notes sur Madame Desagneaux)
Voir si je puis l’employer davantage. (ibid. Fo 85 – Notes sur le baron Suire)
[(…) Et voir si je ne pourrais pas le mêler [d’ava biffé] davantage aux différents drames. (…) biffé] (ibid. Fo 95 – Notes sur l’abbé des Hermoises)
Il [le carreau] est trop rare, je prends la péritonite tuberculeuse chronique. (…) Dure un an et davantage. – (ibid. Fo 122 – Notes sur la maladie de la petite Rose Vincent)

DÉBÂCLE (LA)

Dix-neuvième et avant-dernier volume des Rougon-Macquart publié en 1892, c’est-à-dire l’année même où Zola effectua son premier voyage à Lourdes.

Lourdes (1894)

Encore moins d’intrigues que dans « la Débâcle », rien de forcé pour représenter tous les mondes, aucune rencontre romanesque, aucun dénouement forcé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°55)

DÉBARRASSER (SE)

Le Rêve (1888)

Finir sur un mot d’Angélique (…) Brusquer cette fin sans doute pour se débarrasser de Monseigneur (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 175)

Lourdes (1894)

Se débarrasser tout de suite du docteur Chassaigne, qui va partir pour [Lour biffé] Cauterets avec sa femme malade. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°150)
Et tâcher de garder Pierre et Marie au centre, avec M. de Guersaint, dont je me débarrasserai, si je puis, en lui faisant lier connaissance avec l’abbé Des Hermoises (…). (ibid. F°236)
Alors (…), je me débarrasse vivement des petits épisodes indispensables, toujours avec Pierre mêlé et assistant.– (ibid. F°297)
Il faut d’abord que je me débarrasse des Vigneron. La fin de leur histoire. (ibid. F°485)
Me débarrasser tout de suite du paiement de la voiture (non c’est fait), mais de l’histoire de l’accident et du retard. (ibid. F°494)
Il faut que je me débarrasse de ceci, avant de conclure sur Bernadette et le nouveau Lourdes. (ibid. F°498)
Dès que je suis débarrassé de cela (…), je termine avec Appoline et Bernadette – (ibid. F°500)
Je crois que je dois me débarrasser d’avoir les Vigneron. (ibid. F°514)

Travail (1901)

Ou du moins je me débarrasserai en un premier chapitre de toute l’organisation nouvelle (F° 403)

DÉBAT

(Voir aussi : Lutte)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Pas de prière, débat de Jeanbernat. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 25)

Le Rêve (1888)

Surtout appuyer sur cette idée qu’elle veut courir à Félicien, car c’est là que sera le débat (MS NAF 10323, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 144)

Lourdes (1894)

C’est tout le débat de cette [Cela m’amène biffé] fin de siècle. Y a-t-il un compromis possible entre la science et la foi ? (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°49)
En province, à Tarbes par exemple, il ne trouve pas ce qu’il veut, il veut une parisienne qui le lance ; et quand il prend la jeune fille en question, c’est après un débat et un choix entre [deux biffé] elle et deux autres, que je ne ferai que nommer pour ne pas encombrer mes chapitres. (ibid. F°102)
Ne pas le [Pierre] révolter tout de suite ; mais un malaise, une sorte de répugnance, laissant du champ au débat.– (ibid. F°248)
Les débats résumés par Bonamy, dictant, à voix haute et sous le contrôle de ses confrères, le procès verbal de la séance. – (ibid. F°281)
Les débats sont résumés par le dr Boissarie dictant, à haute voix et sous le contrôle de ses confrères, le procès verbal de chaque partie de la séance – (ibid. F°295)

DÉBORDER

Lourdes (1894)

Mais ce que je veux surtout c’est peindre
une passion prête à déborder et qui se contient. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s6-7)
C’est là enfin ce que je voudrais surtout mettre dans mon œuvre, au premier plan, débordant tout. D’abord un cri superbe de l’humanité souffrante, le cri de la douleur. (ibid. F°38)
Et plus loin encore, à peine revendiqués, les petits épisodes des pèlerinages, (…)
enfin tous ces petits faits qui donnent de la couleur, mais qui ne doivent pas déborder. (ibid. F°s56-57)
Outre
que la matière est importante et déborderait, il [sera biffé] est certain que le haut clergé n’est pas pour Lourdes. (ibid. F°s60-61)

DÉBUT (-ER)

(voir aussi : commencement ; d’abord ; fin)

Nana (1880)

Nana souffrante depuis la veille, tout un début de chapitre sinistre. (NAF Ms. 10313, Nana. F°131- Plan).
Et entrée [Zoé] chez Nana le matin même du début. (NAF Ms. 10313, Nana. F°204- Personnages).
Les femmes me donneront un chassé-croisé suivi : au début, j’aurai mon homme mûr absolument fidèle à sa femme. (NAF Ms. 10313, Nana. F°214- Ebauche)
C’est une vengeance que cette fille exercera parce que Nana, dès le début du livre lui aura pris l’homme de bourse.
Cela me donnera l’observation ; début sale ; milieu de la tenue ; fin sale. (ibid. F°214)
J’ai dit qu’au début la rivalité se posait entre Nana et Rose Mignon. (ibid. F°233).

La Terre (1887)

Il a gardé quelque [sic] rentes, ce qu’il faut poser dès le début, trois ou quatre cents francs de rente, et c’est ce qui le fera tuer plus tard (…). (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 439/40)
(…) Je voudrais bien que Jean fût menuisier au moins pendant le début. (ibid., f° 466/58)
(…) Le fils de paysan qui tournera à la ville sera donc le fils du gendre, âgé de 14 ans au début, et de 25 ans au dénouement. (ibid., f° 490/82)
(…) Tout de suite poser l’argent que le vieux a caché. On le flaire dès le début, on sent qu’il l’a fait disparaître. Et plus tard, quand on le retrouve. (ibid., f° 492/84)

Le Rêve (1888)

Il ne sera pas chez son père au début (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche f° 234/18)
(…) Donc, pour justifier le titre très important : le Rêve posé au début, tel qu’il se réalisera à la fin, après le combat du milieu (ibid., f° 244/28)
Le public lui aussi ne doit apprendre que là qui est Félicien . Il doit hésiter comme Angélique au début du chapitre (ibid., premier plan du chapitre VIII f° 113.)

Lourdes (1894)

Lui donner donc dès le début la sensation qu’une religion est nécessaire à l’homme. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°11 )
Mais dans le début du livre opposer violemment les deux frères, trouver quelque chose qui les jette l’un contre l’autre comme des loups. – (ibid. F°17)
Naturellement, je mets mon prêtre, ma malade et son père, dans le compartiment de troisième, où se passeront les scènes principales du début. (ibid. F°80)
Je crois qu’il faut dire tout de suite, au début que c’est le train blanc, celui des grands malades. (ibid. F°123)
Son père se réveillant en lui. Le portrait repris sans doute dans le début, le père l’emportant. (ibid. F°150)
Bien montrer le début de ce moment, dans le wagon qui est parti désespéré de rentrer dans sa souffrance, et qui va en arriver à l’espoir. (ibid. F°185)
Si je fais monter Sophie Couteau, seulement au début de ce chapitre, je l’installe tout de suite, et je donne son portrait physique. (ibid. F°192)
Une peinture de l’ancien Lourdes, au début ou à la fin. Je la préférerai à la fin. (ibid. F°214)
Dire au début que les pères de la Grotte, directeur Capdebarthe, s’effacent devant les pères de l’Assomption. (ibid. F°238)
Et surtout parler tout de suite, dès le début, de la procession aux flambeaux, qui doit être passée par là, car elle est le pivot du chapitre. – (ibid. F°351)
Poser la procession, dès le début du chapitre. (ibid. F°432)
Seulement, elle [Marie] ira ensuite, à la Grotte. Et je le dirai au début de la cinquième partie. (ibid. F°464)
Résumer ça, à la fin dans Appoline, que j’ai posée au début du chapitre (…) – (ibid. F°506)

Travail (1901)

Débuter par l’Abîme (F°431)
C’est l’arche des alliances au début de l’utopie. Et tout le résumé
de l’histoire depuis quatre-vingt-neuf (F°438-439)
Comment Luc se retrouve-t-il seul à Beauclair au début (F°443)

DÉCADENCE

Le Rêve (1888)

Tout décline (…) La peinture sur verre en se perfectionnant a dépassé les limites qui lui étaient naturelles et est allée au delà du véritable but. Au XVI décadence de l’art (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Vitraux, f° 277) ==== DÉCHIRER / DÉCHIRANT ====

Lourdes (1894)

C’est toute la vie en elle ; car elle ne parle pas, elle a seulement, par instant, une petite plainte, un petit gémissement doux et [mot illisible biffé] si douloureux, qu’il vous déchire. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 33 – Notes sur Rose)

DÉCIDER (-DÉMENT)

La Curée (1872)

Décidément, c’est une nouvelle Phèdre que je vais faire (MS NAF 10 282, La Curée, f°298 / Premiers détails).

Le Ventre de Paris (1873)

Jacques, le dieu de la Halle, sera décidément un orphelin, né dans la Halle. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche,f° 75)
L’intrigue à trouver est décidément dans la conspiration, fausse ou non. (ibid., f° 84)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Décidément, mon village ne sera pas au bord de la mer. La mer est trop grande ; elle absorberait mon intrigue. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 10)
Un grand morceau, décidément. (ibid., Plan du troisième livre, f° 24)

Nana (1880)

C’est là où j’amènerai décidément tous les hommes. (NAF Ms. 10313, Nana. F°123- Plan).
Décidément, je ferai de lui [Juillerat/Fauchery] un chroniqueur très chic. (NAF Ms. 10313, Nana. F°235- Ebauche).

Au bonheur des dames (1883)

Tout le roman est là, décidément (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fºs 10-11)

La Terre (1887)

Palmyre . Décidément, j’en fait [sic] la paysanne, forte, gaie, bonne ménagère, travaillant dur, suivant le ménage par son travail (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 441/42)

Le Rêve (1888)

Mon Dieu ! je suis décidé à en [Félicien] faire un oisif, un amateur, un demi-artiste (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 302/85)
(…) L’idée de l’église et de l’évêque me gêne décidément (ibid., f° 307/90) \\Décider aussi ce que Félicien fait dans ce chapitre (premier plan du chapitre XI, f° 154)
Seulement j’ai décidé qu’Angélique mourrait (…) je ne fais donc le miracle que pour la conclusion du rêve seulement (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 191) \\Puis Angélique, si je m’y décide (NAF MS 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 253)

Lourdes (1894)

DÉCIDEMMENT

C’est là que je [en interligne : voulais] mettr[ai biffé]e l’ancien Lourdes. Mais, décidément, je crois qu’il serait plus logique de le mettre au commencement. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°215)
Pas un croyant décidément ; ce qu’il [le Commandeur] souhaite, c’est le repos de la mort, et non le paradis. (ibid. F°239)
Je ne veux avoir décidément les piscines que l’après-midi ; et Marie ne voudra être trempée que l’après-midi. (ibid. F°254)
Décidément, je vois le chapitre ainsi. (ibid. F°339)
J’en ferai décidément un homme [le Commandeur] d’assez peu d’instruction, un ancien sous-officier [d’assez biffé] décoré pour sa belle conduite, philosophe d’instinct, s’étant instruit lui-même. (ibid. F°523)
Pas un croyant, décidément ; ce qu’il [le Commandeur] souhaite, c’est le repos de la mort, et non l’autre vie. (ibid. F°530)
Les plaies apparentes. On ne peut décidément rien savoir. (ibid. F°559)
Pierre pas converti décidément, et le miracle qui s’est accompli tel que le science l’a annoncé. (ibid. F°604)

DÉCIDER

C’est pourquoi, en faisant le plan de Lourdes, il faudra que je décide si je ferai ensuite Rome, pour préparer ce dernier. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°61)
Décider ceux
que j’y mets, les Vigneron par exemple, la Grivotte comme une folle avec son [S biffé] cierge, Sophie Couteau. – (ibid. F°s362-363)

Travail (1901)

Je ne veux décidément pas en faire un médecin (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 364/17)
Cela ne me convient pas beaucoup, et j’aimerais mieux décidément que la femme active, mauvaise, fût la femme de l’usinier, maîtresse du capitaliste (ibid., f° 367/20)

DÉCLARER (SE)

Lourdes (1894)

Quand sa mère n’est plus là, la crise se déclare donc, et je voudrais qu’elle fût déterminée par un fait. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°88)
Et l’émotion immense qui se déclare. (ibid. F°436)

DÉCOMPOSER (SE)

Voir aussi : COMPOSER (SE)

Le Ventre de Paris (1873)

Gibier, de 67 à 68 – 3 114 294 pièces, qui se décomposent ainsi : 1 110 746 alouettes (…) (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°126)

DÉCOR

Lourdes (1894)

Tout ce mysticisme, pour un artiste, devrait se passer dans un décor du XIV e siècle, une vieille basilique, un cloître, où les artistes naïfs de l’époque auraient mis toute leur âme. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°44)

DÉCOULER

Lourdes (1894)

Une grande loyauté, il croit fermement, simplement, et tout le reste en découle. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 91 – Notes sur l’abbé Judaine)

Travail (1901)

Un hosanna du travail créant la cité, la ruche en travail, et faire découler de là tous les bonheurs (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 349/2)

DÉCRET

Le Ventre de Paris (1873)

Décret de Saint-Arnaud (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°200)
Saint-Arnaud : « Tout individu pris construisant ou défendant une barricade sera fusillé. » (ibid., f° 201)

DÉCRIRE (DESCRIPTION)

Voir aussi : Détail ; Donner ; Poser ; Revenir.
Zola est revenu à plusieurs reprises sur l’importance qu’il accorde à la description, et sa théorie générale du roman naturaliste lui fait, dans ses articles ou textes théoriques, souvent dévaloriser de façon provocatrice le récit (l’intrigue) au profit de la description. Il lui fait prendre en charge l’évocation de cet actant collectif primordial qu’est pour lui le « milieu », et la description est également le lieu de redistribution des notes documentaires. Morceau de bravoure stylistique, elle est également le moment de ponctuation de la « symphonie » du roman (d’où les consignes de faire « revenir », à intervalles soigneusement calculés, telle ou telle description) .Mais on s’aperçoit souvent que, dans ses dossiers préparatoires, Zola tient compte des nombreux reproches que lui fait la critique contemporaine concernant sa propension à « trop » décrire, et qu’il s’efforce de les réduire, de les « casser », de les intercaler (« couper ») avec des plages narratives, de les distribuer en masses pas trop compactes. De plus, toujours conformément aux présupposés de non-intervention du narrateur de l’esthétique naturaliste, l’introduction d’une plage descriptive (paysage, intérieur, portrait d’un personnage, cérémonies sociale) demande à être soigneusement justifiée et motivée, et donc déléguée de façon vraisemblable à un spectateur désoeuvré, à un travailleur affairé, ou à un bavard volubile qui « donneront », à Zola mais surtout à son lecteur, la tranche descriptive à « poser ».

Bibliographie :Zola : « De la description »
Philippe Hamon : Du descriptif (nlle.édition, Paris Hachette,1993) E.Le Calvez :

La Curée (1872)

Description du Salon et du monde qui le fréquente (MS NAF 10 282, La Curée, f°212). – Au retour du Bois, description de l’extérieur de l’hôtel […] Puis après autre chose description de la salle à manger […] description du grand salon […] Et à la fin description de la serre (MS NAF 10 282, La Curée, f°214). – Description de l’Hôtel (MS NAF 10 282, La Curée, f°260 : titre d’un folio). === Le Ventre de Paris (1873) ===

Je commencerai sans doute mon second chapitre par cette histoire et les descriptions de la charcuterie. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 82)

Le Faute de l’abbé Mouret (1875)

Et arriver à petite fête [sic] où le curé est invité. La décrire brièvement. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 22) \\Dernière description générale du Paradou. (ibid., f° 24)
Courte description de l’église. (ibid., f° 26)
Mener de front : L’éveil d’un homme a vingt cinq ans / Un amour suivant les phases du printemps / Le parallèle avec la Genèse / Les épisodes amenant la description des jardins. (ibid., Le Paradou, f° 43)
D’abord description de la chambre. (ibid., f° 61)
(Description du jardin) (ibid., f° 62)
Ils vont à l’arbre, leur crainte sourde. Description de l’arbre. (ibid., f° 62)
Je commencerai la messe et ce n’est que lorsque le prêtre sera monté à l’autel que je jetterai un coup d’œil dans l’église. (La description de l’église, sous le soleil, sans bruit du dehors.) (ibid., Sur la messe et l’église, f° 111)

Nana (1880)

La salle s’emplit lentement. Description sommaire.
La description déguisée, la voûte peinte, le rideau, les loges, les baignoires, l’orchestre.
Juillerat et la Faloise venus trop tôt me servent pour la description. (NAF Ms. 10313, Nana. F°6- Plan)
– Le tohu-bohu de l’entrée décrit.
Tout le monde se précipite. Description de la salle pleine.
Alors Juillerat présente du monde, ce qui m’aide pour ma description (sic). (ibid. F°7)
Arrivé là, je décris l’appartement à mesure que les visites arrivent. Description très courte. (ibid. F°16)
Elle passe dans son cabinet de toilette, description courte. (ibid. F°17)
La toilette. Pas de description trop longue. (ibid. F°21)
Courte description de la maison de passe. (ibid. F°22)
Un chat dans le foyer Description. (ibid. F°48)
Ici, quand ils passent, la 1ère description de l’escalier. (ibid. F°49)
La loge décrite (…). (ibid. F°49-50)
Cela me donne une description rapide de la maison. (ibid. F°58)
Et me servir de la description du passage, la grande galerie, puis de la petite cour, du vestibule, [et] du bec de gaz, pour espacer les explications sur Muffat. (ibid. F°67)
L’appartement. Courte description. (ibid. F°68)
Toute la description du passage. (ibid. F°74)
Satin rencontrée. Son chez elle, rue de LaRochefoucauld. Description (ibid. F°80)
Elle la mène chez Laure dîner un soir. Description. (ibid. F°81)
La maison de passe tout au long. Description. (ibid. F°86)
L’escalier le jour redescription (…).
Description de la salle reprise avec le jour. (ibid. F°88)
Et description de la scène, avec les artistes qui attendent.
Puis la salle noire vue de la scène ; redescription, le lustre, les loges; la serge. (ibid. F°90)
Tout cela avec des descriptions et des détails sur la pièce pour couper. (ibid. F°91)
Puis la montée de l’escalier le jour, le foyer, puis l’escalier et les couloirs. Description.
Reprendre Nana en haut. Description de la loge. (ibid. F°92)
Une scène dans une loge donnant sur les vitrages du passage: l’horizon, description (…). (ibid. F°96)
Alors Nana devint chic et entra dans la haute vie. Description de l’hôtel. (ibid. F°98)
la description des pièces revient. (ibid. F°100)
Description de l’hôtel. Cabinet de toilette. (ibid. F°104)
Voir à décrire le quartier de l’Europe qui se bâtit. (ibid. F°107)
Poser largement les tribunes qui sont presque vides, Bois et briques courte description. (ibid. F°118)
Courte description. Pas d’importance.
En description coupée de petites conversations, de mots typiques.
Des toilettes décrites (ibid. F°119)
Alors grande description. (ibid. F°122)
Et la course, description (…). (ibid. F°123)
Une orgie de luxe. Belle description. (ibid. F°139)
L’hôtel revient, description. (ibid. F°151)
Juillet. Une courte description de Paris émotionné. (ibid. F°154)
Alors le groupe sur le boulevard, dans la nuit, et la description des groupes qui commencent à passer en chantant. (ibid. F°155)
Une nudité. Description.
La description donnée par la position des femmes. (ibid. F°156)
Description du masque. Vénus (ibid. F°158).

Au bonheur des dames (1883)

Une description du Grand Magasin au début (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, fº 25) \\La maison décrite par la promenade d’Octave du haut en bas (ibid.) \\Première description du Bonheur (ibid., Plan, fº 33) \\Description extérieure de chez Baudu (ibid.)

La Terre (1887)

Hiver décembre 59. (…) III. Le mesurage par le géomètre. Chez la Grande, Fouan, son cadet. Description de tout le pays. Poser là toute l’histoire du chemin à faire. Chez les retraités, dans le jardin, la maison. Patoir et le chat des Charles. (MS NAF 10.328, La Terre, Plan, f° 499/1)
(…) 2 ans s’écoulent. Printemps 61 mai. I. – Si j’ai une histoire à la ferme, je puis la poser là avec Jean. La fermière prendrait la brute. Description de la grande culture. (ibid., f° 500/2)

Le Rêve (1888)

Décrire sa chambre, important (MS NAF 10323, Le Rêve, Plan, résumé du Plan du chapitre II, f° 2,)
description de l’église intérieure (ibid., f° 3, résumé du Plan du chapitre VIII)
Et alors, à mesure que la neige tombe et que le jour se lève, se servir de l’enfant qui change de place devant l’envahissement de la neige pour décrire le portail
J’ai d’abord eu la statue avec l’enfant appuyée contre. J’aurai ensuite le lintau [sic] et le tympan en un morceau. Puis (…) en séparant chaque morceau par Angélique souffrante, les statues des vierges (…) cela me donne la description (ibid., 2ème Plan détaillé du Chapitre I, f°s 4-5) \\Dans la description, ne mettre que la porte du croisillon nord (…) et ne dire qu’un mot du derrière, le jardin, le champ, l’évéché (…) Maison des Hubert, face sur rue, description 2, 3, 4, 8, par une fenêtre, un mot du jardin , de l’église, et salle commune, description ibid., Premier Plan du chapitre I, f° 13) ; livret d’élève, description (ibid., f° 14)
(…) Une description de la chambre des Hubert (ibid., 2ème Plan du chapitre II, f° 17)
(…) J’en arrive ainsi à la Légende dorée. Citations en vieux langage. En dehors de ses quelques livres classiques étroits et secs, la légende (…) Il est là depuis sa publication, il a dû servir aux anciens brodeurs pour les images de saints, chasubles. Date de l’édition, description du volume (…) (ibid., 2ème plan détaillé du chapitre II, f° 20)
Sa chambre (décrite, avec les charpentes et le treillage) (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 26) \\La Légende dorée, sa seule lecture. Description du volume (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 33).
(…) description sommaire du château, un mot du seigneur qui l’habite, et impression surtout de l’ombre qu’il jette sur le jardin (ibid., f° 36)
(…) Là, je ne voudrais pas avoir encore la description de l’église . Mais il faut que j’en aie la masse , pour faire ombre sur la maison (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37) \\Je les fais donc mettre au travail dans l’atelier décrit (ibid., Second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
(…) Description des ruines (…) (Ne réserver que la description de l’église, le roman et le gothique superposé) (ibid., Second plan détaillé du chapitre III, f° 41)
description complète de l’atelier, maison (3) (ibid., premier plan du chapitre III, f° 54)
Et alors description de la chambre (J.15) (…) Une description, pour poser simplement (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 56)
Donc la fenêtre de la chapelle Hautecoeur. La décrire. Le vitrail voir la note pour date et composition (ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 57)
(je garde la description de la chapelle pour plus loin) (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 58)
C’est là que je reprends la description du château (ibid., f° 68)
Description complète de la chambre (…) Décrire aussi la façade sur le jardin 5. Toute l’histoire de l’église et toute la description détaillée de l’extérieur (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
D’abord description du champ (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 72)
reprendre la description de l’atelier (13 maison) (ibid., premier plan détaillé du chapitre VI, f° 92)
Mais la chambre s’éclaire. La lune se lève. Et Angélique voit la chambre. Reprise de la description, le lit surtout (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 94)
Ses tourments décrits (ibid., Deuxième plan détaillé du chapitre VII, f° 96)
Mais la scène très chaste, tout de suite saisie par cette chambre de jeune fille dont la description revient (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 99 )
Reprendre la description de la chambre (13) et surtout de la façade pour la montée de Félicien (5). Reprendre la chambre du IV (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 103)
rappeler la procession du miracle, les seigneurs d’Hautecoeur, etc. Beaumont- L’Eglise (reprendre) (…) (rappeler la description de la vieille façade) (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 104)
Description après mes notes. Il faut seulement que je place et que je décrive l’antique statue de Ste Agnès (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre VIII, f° 105)
Elles sont près de la chapelle Hautecoeur, le vitrail restauré, le vitrail au jour tombant. Description de l’église dans l’attente. Je la reprendrai avec les cierges (ibid., deuxième plan du chapitre VIII, f° 108)
Et cela me donne la description de l’église (ibid., premier plan du chapitre VIII, f° 112)
Là la description de la chapelle (Eglise 12) romane que je n’ai pas encore eu ibid., f° 131)
J’ai ici la description intérieure du château (ibid., premier plan du chapitre X, f° 139)
La description, car elle n’a été que posée à l’extérieur. (…) La description de l’atelier revient là et au suivant (…) La chapelle Saint-Georges, description de cette chapelle (Eglise 12) (ibid., premier plan du chapitre x, f° 140)
La chambre, reprendre la description (ibid., deuxième plan du chapitre XII, f° 158)
La description de la chambre revient, là et au suivant (15 Maison) (…) La grâce (…) (Religion 9) (ibid., premier plan du chapitre XII, f° 169)
Ensuite tout l’argent donné. La richesse, la corbeille, la robe de mariée décrite surtout (ibid., deuxième plan du chapitre XIV, f° 184)
Et j’ai la description de l’église qui m’est donnée par la cérémonie (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 185)
La scène de l’anneau. Description de l’anneau (ibid., deuxième plan du chapitre XIX, f° 186)
elle va au somptueux hôtel qu’on a préparé : le décrire brièvement cet hôtel, il fait partie de la grande richesse (ibid., premier plan du chapitre XIV, f° 192)

Lourdes (1894)

Comme pères de l’Assomption, je voudrai le père Picard, que j’appellerai autrement, mais que je décrirai identique (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°117)
Et je donne alors une description [en interligne : Organis. des trains, éb. 205] de tout le wagon, avec ses malades [en interligne : (relire tout le départ du train blanc.)], en réservant les malades, mes personnages. (…) Puis la description du wagon lui-même, les parois, le lambris. (…) La description sera reprise à la fin. (ibid. F°124)
La petite maison décrite (avec la maison voisine, les jardins qui se [trou biffé] touchent [)]. (ibid. F°146)
Et avant de décrire le quai sans doute, dire ce que font mes gens du wagon. – (ibid. F°165)
Et la description de ce quai envahi, par ce millier de personnages qui [l’en biffé] descendent. (…) Tous les malades du train, un mot seulement, et plus loin j’en décrirai quelques uns pour faire sentir tout le train. (ibid. F°166)
Alors, Pierre qui a songé à aller chercher un bol de bouillon et le médecin, arrive au fourgon. Une courte description du fourgon. (ibid. F°166)
Le buffet décrit – (ibid. F°170)
Le quai décrit de nouveau. – (ibid. F°171)
Tous peuvent s’approcher pour voir l’homme, même l’infirme, le petit Gustave ; et décrire la pauvreté de celui-ci, la souffrance. (ibid. F°174)
D’abord Bartrès tel qu’il est. Description du pays, la qualité du vert des prairies, avec les dessous d’eau. (ibid. F°204)
Puis l’église où l’on se réunit le soir [en interligne : la décrire, espagnole déjà], sans doute pour ne pas dépenser de lumière. (ibid. F°205)
On est à Lamothe, on l’a dépassé [en interligne : les laudes ensuite, reprendre et décrire] (…). – (ibid. F°206)
A l’église pourtant, et garder, je crois, la description de l’église pour la fin, ainsi que le vieux Lourdes – (ibid. F°206)
Les roses d’or : dans quel conte de chevalerie [en interligne : la Vierge décrite par B. (Mon V. 223).] ou ailleurs ? (ibid. F°207)
L’église [en interligne : (196)] décrite [en interligne : Guide Barbet 84], rapprochée de celle de Bartrès. (ibid. F°209)
Description de la Vierge, d’après B. (éb. 223) – (ibid. F°219)
Toute la description de l’emplacement ancien de la grotte, avec Barbet (éb. 195). (ibid. F°221)
Et une description de la gare d’après mes notes. (ibid. F°223)
L’arrivée dans la nuit noire, et une première description du déballage. (ibid. F°226)
Description lamentable sous le jour levant tandis qu’on descend Marie enfin, dont Pierre et son père ont apporté les roues. (…) Toute une description nouvelle du quai encombré. – (ibid. F°229)
Description de la salle, peinte en blanc, mur, fenêtres, etc. (ibid. F°244)
Description de la salle encombrée, avec les bagages, les paniers, les valises (à reprendre pendant la nuit). – (ibid. F°246)
Et après Marie, voici les malades qu’on installe dans la salle (une description sommaire, que je reprendrai au V : des matelas ajoutés par tous). (ibid. F°250)
Et le défilé des malades (…)
et la description en une page d’une vingtaine de cas affreux, en dehors de ceux de mes malades acteurs. (ibid. F°s251-252)
Orienter la description, pour les ombres. (…) Je fais une description assez complète du paysage. (ibid. F°252)
Guide Barbet 1 à 10. Description. (ibid. F°256)
Description, le parapet de pierre, la belle avenue qu’on a créée là, entre les lacets et le Gave. (ibid. F°257)
Difficulté qu’il [Pierre] a à revenir près d’elle [Marie], car la foule a encore augmenté ; mais pas de description. (ibid. F°261)
Les abords des piscines décrits (…). (ibid. F°261)
Toute la fontaine décrite, avec ses épisodes. – (ibid. F°262)
Tout de suite la description de la piscine. (…)
Description de l’eau [en interligne : glacée] : la saleté, l’eau pas changée, autrefois [en interligne : se méfier du bouillon de microbes]. (ibid. F°s262-263)
Foule énorme. Je ne la décris pas, je ne l’analyse pas, car je la garde pour la quatrième partie. (ibid. F°267)
Description, toute cette piscine. (ibid. F°269)
Et, tout de suite, la description du bureau. La cabane en planches, surchauffée par le soleil. (ibid. F°279)
C’est par lui [Pierre] que j’ai la description de la salle et du personnage. (ibid. F°280)
Au bureau des constatations. Tout le bureau donné et décrit tel qu’il est, tel qu’il fonctionne. (ibid. F°289)
Et surtout dire que la première journée est finie (…), et décrire toute la salle à cette heure avancée de la nuit. (ibid. F°296)
C’est donc la description que je fais à l’aide de Pierre (…). (ibid. F°297)
Enfin, Pierre [en interligne : et M. de Guersaint] ont une table, et [les Vi biffé] description de la salle, telle que je l’ai vue. (ibid. F°315)
Poser tout ce qu’il sera nécessaire de l’Hospitalité. (…) Description. (ibid. F°330)
Et sur la place du Marcadal, décrite : Cazaban, coiffeur. (ibid. F°334)
Et j’ai alors la popote avec eux. Toute la description. (ibid. F°341)
Il est désert [en interligne : salle d’abri, M.V. 77], description. (ibid. F°352)
Le chant arrive, très faible, très lointain. Première petite description, avec de la conversation, pour couper – (ibid. F°353)
Alors Pierre et Marie seuls, et toute la description de la procession descendant, se développant et revenant au Rosaire. (…) Je coupe la description par des mots de Pierre et de Marie sans doute. (ibid. F°354)
Et la description qu’il [M. de Guersaint] donne du spectacle, vu du Calvaire [en interligne : proc. vue du Calvaire M.V. 70]. (ibid. F°355)
D’abord il me semble la description de la belle nuit, de la fraîcheur qui emporte la godaille de la journée. (ibid. F°356)
Décrire tout l’abri, les gens qui sont là. (ibid. F°360)
Il [l’abri] ne sera bon à décrire que plus tard, dans la nuit, lorsqu’on y dormira, dans une grande promiscuité. (ibid. F°361)
Il [le baron Suire] [a biffé] fait visiter la Grotte [en interligne : (M.V. 107)] à Pierre : tout l’intérieur décrit, les cierges, les ustensiles, la roche que l’on baise, les lettres qu’on jette [en interligne : M.V. 79], l’argent, etc. (ibid. F°367)
Et l’abri, qu’il [Pierre]
a vu vide, décrit avec l’entassement, la promiscuité des gens. (ibid. F°s368-369)
Aussi les [ch biffé] autels [en interligne : M.V. 88] des chapelles prises d’assaut par les prêtres qui veulent dire leur messe (…). Bien décrire cela. (ibid. F°370)
Reprise de
la description de la Grotte, vue du dehors. (ibid. F°s371-372)
Ils [Pierre et Chassaigne] se sont avancés assez loin, le long du Gave (différentes descriptions), et ils se sont même assis. (ibid. F°387)
Cela [comm biffé] quand ils [Pierre et Chassaigne] reviennent vers la ville [en interligne : nouvelle] dont j’ai une description panoramique (…). (ibid. F°389)
Un [pr biffé] prêtre (?) est dans la chaire (la décrire), et les phrases qu’il clame. (ibid. F°416)
Alors, une grande description des malades devant la Grotte, sans spécifier. (…)
C’est une description générale, et je la fais en prenant les malades qui ont défilé, à la sortie de l’hôpital. (ibid. F°s416-417)
Les malades rangés devant la Grotte, grande description ; et de façon à ce que chacun de mes malades ait son épisode, classé. (ibid. F°428)
Prendre à mes notes la description de la procession qui avance lentement au milieu de la foule. (ibid. F°436)
Le miracle de Marie. Pierre la regarde, c’est lui qui donne la description. (…) Description, petite robe noire, mais superbe, le visage rayonnant. (ibid. F°438)
Au bureau. (…) En reprendre brièvement la description. (ibid. F°439)
Ce chariot qui a été à la souffrance, étant au triomphe. Le décrire [en interligne : Pierre en larmes], le rendre symbolique. (ibid. F°440)
Une description de la Grotte, brasillante dans le jour (?) (ibid. F°443)
Et là des femmes la [Marie] baignent, je puis décrire cela pour corser le chapitre, s’il en est besoin. (ibid. F°445)
Description, comment elle [la foule] est composée. (ibid. F°446)
Et le flot des gens qui les [les brancardiers] supplient ar- \\demment (…) de les laisser passer : en citer, décrire. (ibid. F°s451-452)
Dès lors, la description de cette montée d’exaltation, hosanna. (ibid. F°452)
Cela me donne d’abord une description (…) de l’intérieur de la Basilique, que je n’ai pas encore eue. (ibid. F°454)
Bien distri- \\buer les parties pour qu’on ait l’intense sensation de cette montée dans la foi. – Description d’après mes notes. – (…) Grande description, au soleil qui s’incline. (…) Et enfin dans la basilique, une description complète, car je n’y suis pas monté encore. (ibid. F°s461-462)
Ce qu’on voit de la place du Rosaire (éb. 197). Description (Guide Barbet 1 à 10). (ibid. F°468)
Et j’arrive immédiatement à la rue des Petits-Fossés (…). Prendre la description à mes notes. (…) D’abord, en [récit biffé] conversation, très simplement, la description des lieux, et comment la famille et Bernadette y vivaient. (ibid. F°471)
Avant de décrire la ruine [en interligne : G.B. 87] telle qu’elle est, je voudrais, par un moyen quelconque, montrer l’église debout, telle que Peyramale la voyait, dans son rêve de prêtre constructeur. (…) Je la dresse donc dans le soleil, et je la décris – Puis tout de suite la ruine, je la décris entièrement  (…). Je puis avoir la description en y faisant promener mes deux personnages – (ibid. F°474)
Description de la crypte et du tombeau qui s’y trouve. (ibid. F°476)
Puis la rue des Petits-Fossés, la maison et la chambre elle-même. Description de cette chambre misérable. (ibid. F°480)
Et ici la jeune ruine, les pierres qui se mangent à la pluie, toute la description d’après mes notes – (ibid. F°482)
Mais la conversation, M. de Guersaint racontant son excursion, décrivant le Gave (…), les montagnes, etc., Gavarnie surtout. (ibid. F°489)
Mais ne pas recommencer les descriptions à
la Grotte. (ibid. F°s492-493)
Une description, et presque une ovation à Marie, qu’on reconnaît. (…) Mais Pierre devant le Panorama évoque l’ancien Lourdes. (…) Cela pour l’opposer au nouveau Lourdes que je vais décrire à l’instant. (…) Mais surtout, je le répète, tout l’ancien Lourdes pour que je puisse l’opposer au nouveau que je vais décrire. (ibid. F°496)
Toutes ces rues décrites, avec les marchands ininterrompus d’objets de sainteté. (ibid. F°497)
Je reprends toute la description (…). (ibid. F°510)
Toute ma description du chapitre de l’arrivée reprise.– (ibid. F°511)
La description reprise, les malades et les pèlerins, les deux sœurs, madame de Jonquière [et s biffé] etc. (ibid. F°533)
Et une description de la nuit, [qui biffé] du sommeil. (ibid. F°541)
Un portrait physique même (…), la face s’est un peu allongée, et décrire le reste d’après la photographie.– (ibid. F°572)
Description de la Basilique. (ibid. F°604)
Le [m biffé] visage comme mort dans cette toilette. Le décrire. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 42 – Notes sur Mme Dieulafay)
La description scientifique de son mal. (ibid. Fo 47 – Notes sur Elise Rouquet)
Décrire l’effet de la scrofule sur son corps. (ibid. Fo 58 – Notes sur Gustave Vigneron)
Donc, dans sa faiblesse après la chute, tous les symptômes de la neurasthénie, que j’ai déjà décrits dans « le Docteur Pascal ». (ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
A l’auscultation, les ravages décrits (305). (ibid. Fo 166 – Notes sur les Miracles)
La grande description des foules qui accourent, le côté foi et le côté godaille. – (ibid. Fo 215 – Notes sur Un roman sur Lourdes)
Toute la description de l’apparition (26). (ibid. Fo 233 – Notes sur H. Lasserre)

Travail (1901)

Description de la rue de Brias avec tout le piétinement des pauvres bougres (F°432)

DÉCUPLER

=== Lourdes (1894) ===

Rappeler que Pierre [en interligne : devant la Grotte 10-42] a entendu déjà cela au bureau des constatations ; mais ici, décuplé. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°434)

DEDANS

Lourdes (1894)

Ici, pendant qu’il la regarde, une interruption. La souffrance du wagon peut revenir. Un intermède, avec le dedans et le dehors. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°147)

DÉFAUT

Au bonheur des dames (1883)

(…) lui [à Denise] donner un défaut, l’étudier dans sa chair (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 14) === La Terre (1887) ===

Rôle de Jean là-dedans. – Le lendemain du jour où elle a refusé son galant. La ferme brûle. Une haine de tout le pays qui monte contre la ferme. Cette histoire est bonne ; mais elle a le défaut de ne pas trop tenir à mon histoire centrale. (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 463/55)

Le Rêve (1888)

Il cause seulement avec les Hubert. Cela a le défaut de le matérialiser, de dire qui il est, et il vaudrait /faudrait surchargé, ou inversement/ mieux le laisser dans l’inconnu (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 259/42)

DÉFILE(R)

Le Rêve (1888)

Je rappellerai ça deux fois dans le livre, et j’aurai tout ainsi, les deux légendes anciennes avec le défilé des noms (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes Hautecoeur, f° 256)

Lourdes (1894)

Et j’ai ainsi tout un défilé de malades sans
conséquence (à prendre dans mes notes), qui m’aident à tout poser. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s280-281)
Et je prends les épisodes que j’ai vus : un défilé quelconque de malades (…). (…)
Défilé de malades se prétendant guéris, je les prendrai dans mes notes. (ibid. F°s290-291)
Puis faire défiler les Vigneron sans doute. (ibid. F°321)
Prêtres mondains comme Des Hermoises (c’est à propos de lui que je montrerai défilant dans Lourdes toutes les variétés). (ibid. F°348)
Régler aussi le défilé dans
la Grotte. (ibid. F°s415-416)
Je puis dire qu’on les voit de la Grotte, quelqu’un
qui serait du défilé et qui les verrait. (…) C’est une description générale, et je la fais en prenant les malades qui ont défilé, à la sortie de l’hôpital. (ibid. F°s416-417)
Reprendre le baron Suire, Berthaud, Gérard, réglant toujours
le défilé (…). Ce défilé surtout piétinant dans la Grotte (…). (ibid. F°s421-422)
Défilé des malades se rendant à la Grotte. (ibid. F°602) ==== DÉFINITIF/DÉFINITIVEMENT ====

(Voir aussi : fin ;dernier ; dénouement)

Le Rêve (1888)

Triomphe définitif de l’éducation et du milieu sur l’hérédité (NAF MS 10324, Le Rêve, deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 186)

Lourdes (1894)

Tout le va comme je te pousse. Aucune certitude, aucune constatation vraiment définitive. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°48)
Voici comment il faut régler définitivement le chapitre. (ibid. F°322)
C’est dans cette promenade que Raymonde conquiert définitivement Gérard. (ibid. F°341)
Mais cette fois, je fais monter en chaire le père Massias. Poser son personnage définitivement (le prendre aux personn.). (ibid. F°419)
Plan définitif (ibid. F°600)

Travail (1901)

Donc une scène où elle se jette dans ses bras, se donne, mais de cœur, quelque chose de chaste, mais de définitif (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 360/13)
qui s’en repent ensuite, et enfin qui est définitivement conquis (ibid., f° 378/31)
Luc (…)(dans ce premier chapitre, ne pas le poser définitivement ) (ibid., F°433)

DÉFRICHER

Travail (1901)

Des bruyères aussi, des terrains de chasse, pour défricher plus tard (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 400/53)

DÉGAGER (SE)

Lourdes (1894)

Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes : auto-suggestion (…) et surtout le souffle guérisseur,
la force inconnue et non étudiée, qui se dégage sûrement de la foule. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s273-274)
Enfin examen de ce qui se passe à Lourdes : auto-suggestion (…) et surtout le souffle guérisseur, la force inconnue et non étudiée, qui se dégage sûrement de la foule. – (ibid. F°285)
Ce qui [en interligne : la griserie] se dégage de cette foule surchauffée, affolée, toujours fouettée de litanies. (ibid. F°434)
Ce qui se dégage de cette foule surchauffée et fouettée toujours de litanies, affolée. – (ibid. F°445)

DÉGÉNÉRESCENCE

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Tous trois, Serge, Désirée, Octave sont d’ailleurs des dégénérescences. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 17)
Il explique les dégénérescences chez les Rougon et les Maquart [sic]. (ibid., Plan du troisième livre, f° 22)

DEGRÉ

La Terre (1887)

D’un degré plus avant dans le siècle que son père, par son séjour à la ferme ou à la ville (MS NAF 10329 La Terre f° 36-37 – Personnages, Joseph Fouan)

DÉGUISER

Le Rêve (1888)

Je l’ai déguisé avec une blouse. Un peu étrange et original (MS NAF 10323, Plan détaillé du chapitre V, f° 78)

DEHORS (EN)

Lourdes (1894)

Quel serait donc [cette croyance biffé] cette nécessité de l’illusion, ce besoin de l’au-delà qui jette [en biffé] toujours l’humanité en dehors du possible, de la nature fatale des choses. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°53)
Comme malade, j’ai, en dehors de mon héroïne centrale : La petite fille avec sa mère. (ibid. F°105)
La souffrance du wagon peut revenir. Un intermède, avec le dedans et le dehors. (ibid. F°147)
Et le wagon revient, et le dehors. La souffrance monte. – (ibid. F°151)
Puis le dehors, Mme Vincent promenant sa fille, Mme Maze à l’écart, Mme Vêtu assise et souffrant au soleil, Elise Rouquet buvant, ce qui écarte tout le monde de la fontaine – (ibid. F°169)
Et (…)
la description en une page d’une vingtaine de cas affreux, en dehors de ceux de mes malades acteurs. (ibid. F°s251-252)
Ce serait vilain de mettre [la vér biffé] la conclusion en dehors du bonheur par la science et par la raison. (ibid. F°277)
Tout le chapitre donc, en dehors de la Grotte, de la foi, des choses religieuses. (ibid. F°340)
Cette exaltation de la femme, en dehors de la nature (l’immaculée conception), lorsque jamais la femme n’est plus grande que lorsqu’elle est épouse et mère. (ibid. F°567)
Non, Bernadette pas folle, simple en ses habitudes, soumise, laborieuse. Dehors, honnête, habitudes régulières, restée simple après. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 133 – Notes sur le Dr Dozous)
Tout mon livre est là, dans ce besoin de croyance au merveilleux, à une puissance division [sic] qui guérit les hommes, leur donne le bonheur, en-dehors de la science impuissante. (ibid. Fo 228 – Notes sur H. Lasserre)
Il est vrai qu’elle [Bernadette] ne renonçait à rien, puisqu’on lui avait fait tout mettre en-dehors. (ibid. Fo 268 – Notes sur H. Lasserre)

DEIFEMME

(personnage de femme héroïque antique des romans de chevalerie)

Le Rêve (1888)

Les preuses (…) neuf femmes guerrières de l’antiquité : Tammaris, Deifemme, Lampredo, Hippolyte, Sémiramis, Tancqua, Déisille et Ménélippe (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur le château de Hautecoeur, f° 374)

DÉISILLE

(personnage de femme héroïque antique des romans de chevalerie)

Le Rêve (1888)

Les preuses (…) neuf femmes guerrières de l’antiquité : Tammaris, Deifemme, Lampredo, Hippolyte, Sémiramis, Tancqua, Déisille et Ménélippe (MS NAF 10324, Le Rêve, Notes sur le château de Hautecoeur, f° 374)

DÉJÀ

La Conquête de Plassans ( 1874)

Elle ne peut \\déjà plus parler (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche,.F°26-27) \\L’aïeule, Adélaïde, est déjà dans cette maison MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche,.F°27)
Faujas est déjà un peu dans l’intimité de la famille (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan III F° 5-6)
Mais Fénil a déjà travaillé les femmes. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan V F° 7)
Elle souffre déjà de la phtisie (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIII F° 10)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

J’ai déjà l’histoire de Jeanbernat et d’Albine. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Les personnages, f° 17)

Nana (1880)

Les créanciers sont déjà là. (NAF Ms. 10313, Nana. F°15- Plan)
On a apporté déjà des bouquets.
Zoé dit qu’il y a déjà des visites (…). (ibid. F°16)
Des bouquets déjà dans le cabinet (ibid. F°17)
[Madame Lerat] Elle vient le matin déjeuner et trouve déjà madame Maloir installée. (ibid. F°19)
Une table de 28 couverts. La table déjà petite.
Il y a déjà là Daguenet et Georges (ils deviendront bon (sic) amis). (ibid. F°37)
Elle est en chemise déjà mais Bordenave introduit tout de même. (ibid. F°49)
Indiquer déjà la tendresse de Nana pour Fontan. (ibid. F°50)
Il faudrait indiquer déjà qu’il va beaucoup chez les Muffat, et qu’il est en observation entre la comtesse et le comte, pour avoir la fille. (ibid. F°84)
Muffait (sic) fronce déjà les sourcils. (ibid. F°95)
Muffat a déjà beaucoup dépensé pour elle. (ibid. F°132)
Sabine lui faisant un peu de morale lui plein de remords déjà, repris par la religion (…). (ibid. F°135)
Lui, déjà plein de remords, repris par la religion (…). (ibid. F°136)
Le comte songeait déjà qu’il donnerait par semaine quatre (ibid. F°139- verso)
Elle a déjà renvoyé Muffat une fois (XI) sa façon de les retenir. (ibid. F°142).
[Fauchery] Le père d’ailleurs a déjà payé ses dettes deux fois. (NAF Ms. 10313, Nana. F°174- Personnages)
[Gaga] N’était déjà plus jeune, lors de la révolution de 48. (ibid. F°177)
[Nana] Elle est déjà connue d’un certain monde. (ibid. F°191).
Poser déjà le futur mariage de la fille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°224- Ebauche)
Elle l’achève, car il [Cartier] est déjà très entamé (ibid. F°224).

Le Rêve (1888)

Bien poser déjà Hubertine (…) mais poser seulement, car la scène que je veux
entre Hubert et Hubertine résumant leur passé ne se trouvera qu’au chapitre suivant (MS NAF 10323, Premier plan détaillé du chapitre II, f°s 24-25) \\(…) Bien poser déjà l’au-delà dans le milieu (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 29)
Angélique doit être corrigée déjà (ibid., Premier plan du chapitre III, f° 50)
Angélique doit déjà frémir d’un pressentiment (ibid., premier plan du chapitre VII f° 103)

Lourdes (1894)

J’ai déjà dit que dans « Lourdes », j’aurai la foi du premier âge, l’appel d[u]e [premier biffé] la souffrance humaine inguérissable vers une toute-puissance divine. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°2 )
Mais j’ai le second volume « Rome »,
et j’ai déjà dit que mon prêtre, après avoir essayé vainement de revenir à la foi des premiers âges dans « Lourdes », tâche dans « Rome » de réconcilier le catholicisme ou tout au moins le christianisme avec la science moderne, le monde moderne, le progrès. (ibid. F°s4-5)
La grotte avec le quai du Gave, les lacets, tout ce travail qui a déjà coûté cinq ou six millions (…). (ibid. F°34)
La fille a déjà 23 ans, et inquiète de ne pas se marier. (ibid. F°100)
Admirable matinée ; mais déjà des buées et de petits nuages ronds, à l’horizon, qui annoncent une terrible journée de chaleur – (ibid. F°122)
Son frère Guillaume, dix ans de plus que lui, déjà au collège. (ibid. F°146)
Guillaume, 15 ans, déjà au collège, lui échappe [Mme Froment]. (ibid. F°147)
Le voilà donc au séminaire. Pas de détails. Mais déjà le prêtre qu’il [Pierre] sera. (…) Il a vingt-quatre ans, Marie en a 18. Et il l’a retrouvée malade, malade depuis 5 ans (…). Depuis cinq ans malade, déjà [dans sa biffé] promenée partout (pas encore dans sa gouttière.) (ibid. F°148)
Ils [Pierre et Marie] reprennent leur idylle, elle tout en noir de la mort de sa mère, lui déjà en soutane, quoique
pas engagé. (ibid. F°s148-149)
Marie est immobilisée déjà sur une chaise longue. (ibid. F°149)
Elle [Marie] est devenue de plus en plus dévote, s’est jetée dans la religion par la souffrance. Et déjà son désir d’aller à Lourdes. (ibid. F°152)
Reprise de l’idylle, mais douloureuse, avec Marie [en interligne : déjà ruinée], immobilisée déjà : elle ne sera jamais femme, pourquoi serait-il homme ? – (…) Son analyse, sa résolution (est-ce que Lourdes est déjà là-dedans ? a-t-il [Pierre] les dossiers et comment ? voir cela aux Personnages) – (ibid. F°157)
Et une grande fatigue déjà, un accablement déjà. (ibid. F°162)
Il faut attendre, dix minutes sont déjà passées, et la bousculade. (ibid. F°168)
Mme Désagneaux est déjà à Lourdes, où elle s’est rendue en sleeping-car (…). – (ibid. F°177)
Les deux pères de l’Assomption sont déjà à Lourdes, et je les montrerai seulement sur le quai d’arrivée (I chap. de la deuxième partie). (ibid. F°177)
Et c’est donc l’éternelle illusion que je montre, les misérables se reprennent à l’espoir, se soulèvent sur leur couche, ranimés déjà, les yeux luisants aux récits des miracles, de la guérison qui les attend peut-être. (ibid. F°188)
Et ici c’est l’éternelle illusion que je montre, les misérables se reprenant à l’espoir, se soulevant sur leur couche, ranimés déjà, les yeux luisants, au récit des miracles, de la guérison qui les attend peut-être. (ibid. F°195)
Mais là déjà je suis dans l’autre chapitre et j’ai commencé [de biffé] la lecture de Pierre sur Bernadette. (ibid. F°199)
Déjà il [Pierre] la [Bernadette] croit une naïve et une véridique, mais il voudrait en être sûr. (ibid. F°203)
Puis l’église où l’on se réunit le soir [en interligne : la décrire, espagnole déjà], sans doute pour ne pas dépenser de lumière. (ibid. F°205)
Déjà il [Pierre] peut discrètement indiquer la sacrifiée [Bernadette]. (ibid. F°213)
Voir, si j’ai déjà fait chanter le matin, l’Ave, Ave, Ave, Maria, à le faire chanter peut-être de nouveau, à l’arrivée à Lourdes. (ibid. F°218)
Deux trains sont déjà arrivés, [et biffé] (quelles couleurs), et l’on attend le train blanc, celui des grands malades, le plus douloureux. – (ibid. F°223)
Je crois que j’ai le quai de la gare avant l’arrivée du train. Déjà deux autres sont arrivés, et j’ai là du monde qui attend. (ibid. F°232)
En outre j’ai les deux hospitaliers, [et biffé] Berthaud,
Gérard de Peyrelongue, que je pose. Déjà un mot du mariage. (ibid. F°s232-233)
Déjà Mme Volmar a disparu. (ibid. F°249)
D’abord
Sophie Couteau [en interligne : ancienne guérison], répétant son miracle au monsieur, gentiment, Pierre l’a déjà entendu dans le wagon. (…) Après Elise Rouquet [en interligne : commencement de guérison], dont le lupus sèche déjà. (ibid. F°s281-282)
Et je prends les épisodes que j’ai vus : un défilé quelconque de malades, puis la petite Sophie Couteau qui répète son récit tel qu’elle l’a déjà dit dans le wagon. (ibid. F°290)
C’est le lendemain matin que Pierre la [madame Volmar] revoit. Lui est au courant, je crois déjà l’avoir dit (Première journée, chap. III). (ibid. F°298)
M. de Guersaint déjà tout habillé et pimpant lui [à Pierre] rappelle qu’il faut déjeuner et aller chercher Marie pour la conduire à la Grotte. – (ibid. F°310)
Ce que j’ai déjà dit dans le III de la 1ère j. (ibid. F°313)
Le matin, il faut que je les [les Vigneron] ai déjà posés là-haut dans les chambres (…). (ibid. F°325)
Poser tout ce qu’il sera nécessaire de l’Hospitalité. [en interligne : Pourquoi Gérard a déjeuné déjà.] (ibid. F°330)
Il est près d’onze heures déjà. (ibid. F°355)
Le morceau que j’ai déjà indiqué dans le chapitre précédent. (ibid. F°362)
Et déjà si prise qu’elle [Marie] répond à peine à Pierre, à peine d’un murmure. (ibid. F°368)
Où mettrai-je le morceau des cloches ? Ici, si je ne l’ai déjà mis. (ibid. F°431)
Les béquilles en l’air. Encore un miracle. Déjà un miracle. (ibid. F°433)
Rappeler que Pierre [en interligne : devant la Grotte 10-42] a entendu déjà cela au bureau des constatations ; mais ici, décuplé. – (ibid. F°434)
Seulement, je ne suis pas sans crainte ; car j’ai déjà la Grotte, au chapitre précédent, et je ne veux pas en abuser. (ibid. F°443)
Reprendre ce que j’ai déjà dit à propos de Bernadette. (ibid. F°477)
Rappeler la salle à manger, les images de sainteté qui s’y trouvent. Peut-être un galop des pèlerins qu’il héberge. Et toute la scène qui s’y est déjà passée. (ibid. F°494)
Mais Bartrès déjà gâté comme Lourdes. (ibid. F°501)
Dire que des trains sont déjà partis, et que d’autres suivront (…). (ibid. F°510)
L’entaille que Marie retrouve et qui continue l’effet [contraire biffé] donné déjà par Mme Vincent, mais dans un sens contraire. (ibid. F°536)
On l’a forcée à prendre un oreiller et elle [la Grivotte] sommeille déjà, mais d’un sommeil de cauchemar, avec des sauts et des cris. (ibid. F°540)
J’ai déjà dit cela dans la Crypte ; mais il faut que je le reprenne, que je le résume. (ibid. F°542)
Et il faut qu’elle [Marie] ait compris, qu’elle le [Pierre] sache jaloux confusément, qu’elle ait donc déjà elle-même une prescience de la vie, puiqu’elle sait qu’elle va le calmer. (ibid. F°548)
Dans le compartiment des Sabathier. Celui-ci, déjà raffermi, très calme, disant qu’il retournera à Lourdes l’année suivante. (ibid. F°558)
Elle [Bernadette] avait vingt-[quatre biffé]deux ans, les apparitions s’étaient produites il y avait déjà huit ans, elle [elle biffé] allait rester douze ans à Nevers, où elle est morte en 79. – (ibid. F°570)
Rappeler la Bible, qu’on lisait tous les soirs à Bartrès (…). Elle [Bernadette] savait déjà des pages par cœur. (ibid. F°572)
Puis la salle déjà posée. (ibid. F°604)
Donc, quand [elle biffé] il meurt à 55 ans, elle en a 40, et son fils [Jacques biffé] Guillaume en a 15 : c’est déjà un garçon élevé dans les idées matérialistes du père, et qui lui échappe. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 5 – Notes sur Pierre Froment)
Mme Vincent, 32 ans. – Taille moyenne et dévastée déjà. L’ouvrière de Menilmontant [sic] que le travail a vieillie avant l’âge. (ibid. Fo 31 – Notes sur Mme Vincent)
Comme j’ai déjà deux phtisiques, je voudrais avoir une autre maladie, une décomposition du sang. (ibid. Fo 37 – Notes sur Frère Isidore)
Un homme jeune encore, amaigri, livide, avec un peu de barbe déjà grisonnante. (ibid. Fo 51 – Notes sur l’Homme)
Un gros homme, grisonnant déjà, à la large figure [debon biffé] débonnaire. (ibid. Fo 53 – Notes sur M. Vigneron)
Donc, dans sa faiblesse après la chute, tous les symptômes de la neurasthénie, que j’ai déjà décrits dans « le Docteur Pascal ». (ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Sabathier depuis [vingt biffé] quinze ans déjà, [illisible] en cet état-là, mais pas gâteux encore. (ibid. Fo 123 – Notes sur la maladie de M. Sabathier)
Le nombre des guérisons est déjà un prodige. – (ibid. Fo 161 – Notes sur les Miracles)
Lourdes regorge déjà d’hôtels. (ibid. Fo 224 – Notes sur H. Lasserre)
On s’empressait déjà partout autour de Bernadette. (ibid. Fo 240 – Notes sur H. Lasserre)
Lourdes regorge déjà de monde, des hôtels. (ibid. Fo 243 – Notes sur H. Lasserre)
Six années déjà, on était en 73. (ibid. Fo 272 – Notes sur Mlle de Fontenay)

Travail (1901)

La misérable fille peut-être déjà mariée (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 354/7) \\imbu déjà des idées de Fourier (ibid., f° 358/11)
Mais Luc a-t-il déjà lu Fourier, ou le lit-il seulement par hasard chez le vieux professeur ? (ibid., f° 359/12)
Je le voudrais déjà apôtre du travail (ibid., f° 359/12)
Ce que je veux, c’est qu’à la fin, dans le triomphe l’ouvrier reparaît (il est le symbole de l’ouvrier du salariat, ni bon ni mauvais, gâté par le salariat, c’est pour cela qu’il ne peut pas s’entendre dans le phalanstère trop gâté déjà pour s’améliorer) (ibid., f° 361/14-362/15)
Elle est déjà avec lui, de tous ses rêves (ibid., f° 363/16)
Mais gros d’une création à faire, très nourri déjà de lectures, ayant lu tous les ouvrages des précurseurs Saint-Simon, Fourier (surtout), Comte, etc. (ibid., f° 372/25)
elle l’aime déjà à la fin de la première partie, et lui est très ému (ibid., f° 372/25)
mais lié au patron, par l’habitude, abêti déjà et incapable de liberté (ibid., f° 376/29)
Mon contremaître est déjà acquis, c’est le lieutenant actif de Luc (ibid., f° 381/34) \\L’amour déjà entre elle et Luc (ibid., f° 393/46) \\La terre déjà posée, les paysans en action (F° 394/47) \\Luc arrive lorsque la lutte est aiguë entre le capital et le travail et lorsque tous deux souffrent déjà beaucoup. Les Hauts Fournaux déjà en péril, par les grèves, par la bataille (ibid., f° 399/52) \\Il arrive en Messie, en Sauveur, avec des idées déjà connues, mais pas complètement formulées (ibid., f° 399/52)
Mais j’ai déjà beaucoup de personnages, et je crois qu’il faut me borner le plus possible (ibid., F°423)
Pour les deux enfants, je les fais déjà touché par l’évolution (ibid., F°425)
Il faut spécifier pour Luc, le mettre dans une petite chambre, déjà studieux (ibid., F°440)
déjà gros de réflexion et de rêves (ibid., F°441)

DELESCLUZE (Charles-Louis)

Journaliste (1809-1871), auteur du Journal d’un transporté (1869). Le Ventre de Paris (1873) Notes prises dans le livre de Delescluze (Le Ventre de Paris, Notes documentaires, Ms.Naf. 10.338, f°204)

DÉLICAT (-TEMENT) / DÉLICATESSE

Le Rêve (1888)

Indiquer délicatement qu’ils se croiraient pardonnés s’ils avaient un autre enfant (MS NAF 10323, Le Rêve, premier plan détaillé du chapitre II, f° 25)
La puberté qui arrive avec ses seize ans (femme très femme, toucher ce point délicatement) (ibid., deuxième Plan du chapitre IV, f° 56)
enfant de seize ans, pubère (toucher délicatement le point physiologique) (ibid., Premier plan du chapitre IVn f° 63)
Le : je vous aime de Félicien, à l’oreille, murmuré. Très délicat (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 76)

Lourdes (1894)

Quand il a aimé la malade, c’est pour son charme et sa souffrance. Il faudrait faire tout cela très délicat [en interligne : extrêmement chaste et envolé] – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°79)
Toujours très délicat, très envolé, très mystique. (ibid. F°386)
Et toujours très délicat, très envolé, très mystique, en parlant de Bernadette. (ibid. F°394)
Très délicat, trouver la transition. (ibid. F°547)
Non, la Vierge ne lui a pas rendu la foi : très délicat, la question et la réponse. « Mais elle m’a guérie, moi ! » Et il [Pierre] a la délicatesse de ne pas la [Marie] désabuser : (…). (ibid. F°552)
Faire cela, comme tous les chapitres qui la [Bernadette] concernent, avec une très grande délicatesse, un peu mystique, avec des tons de vitrail. (ibid. F°595)
Elle n’a jamais été réglée ; et, si je pouvais,
le miracle, ce serait la venue du sang. Mais combien il faudrait que cela fût délicatement dit. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 21-22 – Notes sur Marie de Guersaint)

Travail (1901)

Cela est délicat, mais possible (F°442)

DÉLICIEUX

Le Rêve (1888)

Combat, inquiétude mais tout cela délicieux (MS NAF 10323, deuxième plan détaillé du chapitre VI, f° 79 et premier plan du chapitre VI f° 85)

Lourdes (1894)

D’où venaient les roses, le parfum même de leur tendresse, dans ce beau cadre. Ah ! la nuit délicieuse ! (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°596)
Quand il la quitte elle [Marie] a 10 ans et lui 16, et elle lui laisse un délicieux souvenir. (…) L’aimerait-il ? se tromperait-il, n’y aurait-il en lui que l’étoffe d’un mari ? Faire cela discret et délicieux. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 7 – Notes sur Pierre Froment)
Marie restée délicieuse dans son mal. (ibid. Fo 12 – Notes sur Pierre Froment)

DEMANDER

Le Ventre de Paris (1873)

J’ignore encore si je mettrai la police véritable dans l’œuvre ; cela demanderait bien de la place (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 78)

Lourdes (1894)

Il me faudrait [voir biffé] avoir tous les dossiers administratifs de l’époque, que je demanderai, quand j’aurai lu Lasserre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°65)

Travail (1901)

Je me demande si tout cela ne doit pas être le premier chapitre de l’utopie ouvrant le rêve (F°438)

DEMI

La Conquête de Plassans (1874)

Faujas demi-complice (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XIV F° 11)

DEMEURER

=== La Faute de l’abbé Mouret (1875) ===

Je reviens à l’autel à la rupture de l’hostie, et j’y demeure pendant la communion (l’hostie prise, les miettes ramassées, le calice pris). Et c’est ici que je fais arriver Désirée avec les lapins. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Sur la messe et l’église, f° 111)

DÉMONTRER

=== Lourdes (1894) ===

Il me paraît évident que l’enquête avait démontré l’hallucination (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°64)

DENISE BAUDU

(personnage du roman de Zola : Au Bonheur des Dames, 1883)

Le Rêve (1888)

Faire Angélique triomphante à la fin, c’est répéter Denise . Des deux côtés, c’est une jeune fille triomphant par sa vertu, arrivant à la fortune (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 302/85)

DÉNOMBREMENT

Nana (1880)

*Un/Un millier/un million
I. – Première représentation 12 avril (avril 1867). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Nana a eu un enfant à seize ans. (ibid. F°22).
Fauchery est persuadé un instant que Sabine est une cocodette, qu’elle trompe Muffat, puis il hésite encore une fois à la fin. (ibid. F°29)
Grandie [Nana] dans un ménage désuni, passant un mois auprès de son père et un mois auprès de sa mère, elle s’était mariée très jeune (…). (ibid. F°37 verso)
C’est à une lieue, dans le pli d’un coteau, derrière une rivière qu’il faut remonter pour avoir un pont. (ibid. F°57)
Nana n’ose lui rendre visite, son respect pour elle, elle ne la voit qu’une fois et en garde un grand souvenir. (ibid. F°65)
Et le soir même, Fauchery est avec Sabine, passe la nuit ; elle revient de la campagne un jour plus tôt, sans qu’on le sache chez elle. (ibid. F°68)
Nana de retour à Paris est surprise un jour par Muffat avec Fontan, le comique. (ibid. F°71)
Au bout d’un mois, la petite installation de Nana et de Fontan à Montmartre, rue Véron. (ibid. F°79)
Un seul amant à la fois. (ibid. F°80)
Le décor figuré – Un banc, une chaise. (ibid. F°87)
Puis, un bruit dans une baignoire, un léger rire.
Alors Fauchery donne encore un coup d’oeil sur la baignoire (ibid. F°90)
Zoé, les domestiques, un cocher. Train de maison (ibid. F°98)
1 pesage (ibid. F°100)
Tandem, voiture légère, 2 places un domestique derrière, 2 chevaux en flèches, un au brancard bai bruns (sic) et l’autre alezan allure plus douce un peu plus petit. (ibid. F°114)
Solférino est donc devenu grand favori à 2 contre un.
[Nana] est offerte à 50 contre un. (NAF Ms. 10313, Nana. F°115- Plan)
il donne de Nana à 40 contre un, par exemple (ibid. F°116)
Je mets Nana prise à une moyenne de 30 contre un, parce que, quand on la voit prise brusquement, quand on la voit ramassée, la cote baisse et finit par tomber à 10 contre un.
Seul Maréchal qui ne croit pas aux chances de l’écurie Vandoeuvres, après la confidence de Vandoeuvres, donne toujours Nana à 40 contre un. (ibid. F°117)
3 coups de cloche 1 pesage 2 évacué 3 arrivé (sic) des chevaux
La barrière grise où s’appuie la foule l’enceinte du pesage avec les chaises, la piste, vide, piétinée, pas un arbres (sic)
Un officier de sergent de ville tous les 2 poteaux (ibid. F°122)
Elle n’ajouta pas un mot.
Pendant près d’une heure, elle tourna (ibid. F°122 verso)
Voir si cela ne pourrait pas servir de cadre à un des deux chapitres, terminés par le drame des Hugon. (ibid. F°144).
[Clarisse Besnus] Un vice à lui trouver. (NAF Ms. 10313, Nana. F°166- Personnages)
Nana, quand elle l’[Madame Maloir] emmène, peut lui en faire faire un [chapeau]. (ibid. F°184)
Elle [Rose Mignon] aura un fils de douze ans. (ibid. F°185)
Ils ont eu un enfant qui a neuf ans et dont ils raffolent. (ibid. F°186)
Elle se pique de n’avoir qu’un amant à la fois, toujours quelque homme de cinquante ans, dans le commerce ou les affaires. (ibid. F°195).
Trois jeunes gens. Un né à Paris, voyant Nana par toquade ; un titré venant par chic ; un autre, de Province, très riche assez tenu par sa famille, jouant le rôle de chérubin, très jeune. (NAF Ms. 10313, Nana. F°209- Ebauche)
Un chapitre de folies.
Un bas de Nana.
Un chapitre pour la course du grand prix (ibid. F°223)
Un chapitre pour montrer à quelle tolérance, à quelle honte, Nana amène l’homme mûr. (ibid. F°224).
Une avait : 1 colonel suisse âgé 65 ans, cinq mille fr. par mois, venant 2 mois à Paris; puis un sportmann (sic), marié – faisant l’appoint 5 000 fr, chacun se croyant seul. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Notes)
Un jour ou 2 brouillée avec l’amant sérieux. (ibid. F°254-21)
Baisade brusque avec le coiffeur qu’on tutoie, un des deux patrons (ibid. F°257-6)
Personnel d’amants : Un amant en titre, six à huit mille fr. par mois; 3 ou 4 qui postulent la place et qui font des cadeaux en bijoux (ibid. F°258-17)
Sa théorie est qu’il faut, non pas un amant, mais trois au moins. (ibid. F°278)
Pas un arbre, 2 à gauche, en dehors.
3 coups de cloque (sic) 1 pesage 2 évacuer 3 arrivée des chevaux (ibid. F°286)
[Nana à 50 contre un. (ibid. F°303)
[Sofferino venant à 2 contre un. (ibid. F°304)
l’autre ne gagnera et il donne à une cote d’outsider, cote élevé (sic) à 50 contre un – le favori de la cote 2/1 et met un autre cheval à 3/1] (ibid. F°307-verso).
La veille ouvertement il a pris au Salon des Courses Lusignan pour un millier de louis rien sur Nana. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan).
Quant au gain de Vandoeuvres, le voici. Il égalise ses pertes sur Lusignan Mais il a parié 2000 louis sur Nana à 30 contre un ce qui fait 60000 louis (1200000 fr). (NAF Ms. 10313, Nana. F°117- Plan).

*Deux/deux cents/deux mille/deux cent mille
Le c. et le c., les deux grands leviers. (NAF Ms. 10313, Nana. F°1- Plan)
II. – Le lendemain chez Nana. Lever. Déjeuner. Après-midi. avril (ibid. F°2)
2 escaliers desservent les étages (…). (Deux colonnes soutiennent les av.-scène). (ibid. F°3)
Ils ont deux fauteuils d’orchestre. (ibid. F°6)
La rivalité des deux femmes posée en a parte par Bordenave. (ibid. F°7)
Il appelle Juillerat et tous deux aperçoivent madame Robert avec son sous-chef de bureau (…).
mais devant l’œil de Mignon, il en fait prendre deux [bouquets]. (ibid. F°9)
Les Muffat passent et saluent les deux cousins. (ibid. F°10)
Tout cela à demi mot, sans que les deux femmes aient l’air de comprendre. (ibid. F°15)
Zoé à chaque visite pose le personnage, en en parlant à Mme Lerat et à madame Maloir, toutes deux veuves. (ibid. F°16)
Puis elle reçoit les deux hommes. (ibid. F°17)
Les deux musiques du chap. (ibid. F°25)
L’histoire des deux personnage (sic). (ibid. F°28)
Là, il faut que j’explique les Muffat, (…) puis madame Hugon et ses deux fils. (ibid. F°30)
Deux femmes s’engueulent dans un coin en s’accusant de coucher avec des gens pas assez riches (ibid. F°41)
Deux femmes qui s’engueulent dans un coin du salon. (ibid. F°44)
Bordenave assignant le côté jardin à Fauchery et le côté cour à Mignon. Tous deux restent. (ibid. F°51)
Les aides de camp du prince sont restés dans l’avant-scène, deux personnes, qui vont l’attendre sur le trottoir. (ibid. F°52)
La querelle des deux hommes, au moment où Rose Mignon entre en scène (ibid. F°54)
Poser comment elle est partie, en écrivant à Steiner qu’il ne vienne que dans deux jours. (ibid. F°57)
Fauchery avec Mignon et les deux enfants en vacance (sic), parce que Rose est occupée à Paris (…).Tout ce monde n’est venu que pour deux jours. (ibid. F°60)
Elles adorent les lettres emphatiques. « Tu m’écriras », même absentes deux jours. Alors les deux sociétés comparées. (ibid. F°61)
Mignon promène ses enfants et veille sur leur éducation : il s’est remis avec Fauchery, qu’il rencontre dans un sentier, et tous deux jugent Rose avec son nouvel entreteneur, quelqu’un à trouver. (ibid. F°62)
Mes deux mondes pourraient se rencontrer dans un chemin. En tous cas, Muffat viendrait nuittament (sic), deux ou trois fois (…). Madame Hugon garde ses deux fils. (ibid. F°64)
J’aimerais assez que le chapitre se passât presque entièrement chez les Muffat, ou du moins fût à cheval sur les deux intérieurs. (ibid. F°71)
opposer les deux couchages. (ibid. F°72)
Ils jouissent tous les deux et se gobergent. Très amis. (ibid. F°79)
Grande amitié des deux vieilles. (ibid. F°82)
Sur les trottoirs de la rue Notre-Dame de Lorette, deux files de femmes rasant les boutiques (…). (ibid. F°91 verso)
Et Mignon renvoie sa femme, car on recommence le deux. (ibid. F°92)
Finir les Mignon : Mignon raccommode les 2 femmes dans un intérêt commun. (ibid. F°97)
Toutes deux se baise (sic). (ibid. F°101)
Elle se rappelle la petite vieille de la campagne. Les deux sorts. (ibid. F°105)
Tandem, voiture légère, 2 places un domestique derrière, 2 chevaux en flèches, un au brancard bai bruns (sic) et l’autre alezan allure plus douce un peu plus petit. (ibid. F°114)
Il a un cheval Lusignan, qui a deux ans, a gagné le Prix de Condé, à Chantilly) 6 000 fr, n’étant pas encore tout à fait prêt. (Le prix de Condé, 2000 met, est de la plus grande longueur pour les chevaux de deux ans.
Solférino est donc devenu grand favori à 2 contre un.
Nana au contraire battue à 2 ans dans le Prix de Diane (Chantilly)
Il faut dire que Vandoeuvres depuis deux ans la fait retenir (ibid. F°115)
Puis sur Muffat : deux mois se sont écoulés (…). (ibid. F°118)
Steiner avec Simonne, épatant tout (sic) les deux.
Puis Rose Mignon, avec Mignon et ses deux enfants : c’est elle qui règne après Nana. (ibid. F°119)
(…) il regarda les deux femmes, puis se soumettant, il descendit. (ibid. F°119 verso)
3 coups de cloche 1 pesage 2 évacué 3 arrivé (sic) des chevaux
La barrière grise où s’appuie la foule l’enceinte du pesage avec les chaises, la piste, vide, piétinée, pas un arbres (sic), 2 à gauche en dehors avec le juge
Un officier de sergent de ville tous les 2 poteaux (ibid. F°122)
Les deux voitures un instant peuvent être côte à côte. (ibid. F°125)
Poser Sabine et Muffat recevant, tous les deux souriants. (ibid. F°133)
Ils étrennent tous les deux le lit d’or. (ibid. F°143)
Ils [Venot et Muffat] s’appellent tous les deux mon frère.
Voir si cela ne pourrait pas servir de cadre à un des deux chapitres, terminés par le drame des Hugon. (ibid. F°144)
Alors, comme il était au bord du lit, elle l’empoigna de ses deux bras nus (…). (ibid. F°144 verso)
Voir si cela ne pourrait pas servir de cadre à un des deux chapitres, terminés par le drame des Hugon. (ibid. F°148)
Au milieu des quatre hommes, les deux femmes, les coudes sur la table, se regardaient (…). (ibid. F°150 verso).
Louis, le petit Louis, Louiset 2 ans
Louis, le petit Louis, Louiset 2 ans (NAF Ms. 10313, Nana. F°165- Personnages)
[Simonne Cabiroche] A servi comme femme de chambre, dans deux ou trois maisons. (ibid. F°170)
[Daguenet] A mangé les trois cent mille francs en deux ans avec les filles (…). (ibid. F°172)
[Fauchery] Le père d’ailleurs a déjà payé ses dettes deux fois. (ibid. F°174)
[Caroline Héquet] Sa mère habite la même maison qu’elle, deux étages plus haut (…). (ibid. F°178)
Cartier passera à Nana, ce qui brouillera les deux femmes. (ibid. F°185)
Il [Mignon] s’adorait tous les deux. (ibid. F°186)
à peine deux ou trois personnes s’en doutent-elles. (ibid. F°189).
La mère vit en province, dans la Touraine, près de la propriété que Nana achètera. Elle a deux fils (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°211- Ebauche)
Elle prend les deux frères à la mère, l’un se déshonore et l’autre se tue. (ibid. F°212)
C’est cette lutte entre deux femmes qui peut seule me faire introduire plusieurs femmes. (ibid. F°214)
J’aurai donc, deux milieux chez Nana, et chez ma paralytique. Les deux mondes, les hommes les mêmes, les femmes changeant seulement. (ibid. F°218)
J’ai dit que j’aurais surtout deux rivales (…).
Maintenant c’est de la maigre dont je pourrai faire Judic, avec son mari et deux enfants.
Dès que j’aurai deux femmes, je puis en grouper plusieurs autres. (ibid. F°219)
Je veux aussi mettre, face à face, les deux fins des filles.
Le vice d’en bas me sera donné par deux figurantes et par une fille qui roulera le boulevard.
Les deux figurantes aussi seront des amies de Nana. (ibid. F°220)
Voir, si j’ai tout le vice ; la haute cocotte ; Nana ; le théâtre devra me donner Nana. Judic, les rivales, puis les deux utilités (…).le vice d’en bas fourni par les deux figurantes (…).
(…) cela me donnerait l’intérieur du théâtre ; chez Nana, chez les deux filles en haut et chez un artiste homme. (ibid. F°221)
La femme voyou, les deux figurantes (…). (ibid. F°223)
Maintenant, j’ai souvent exprimé cette pensée que les deux plus grands leviers des passions humaines, c’étaient l’amour et la religion, le « cul et le ciel » ; au fond même, en fouillant bien, on trouverait une communauté de souche entre les deux. (ibid. F°225-6)
J’aurais la lutte entre les deux principes (…). (ibid. F°226)
Il y aura une ou deux personnages qui auront intérêt à ce que Muffat appartienne à la religion (…).
La femme de Muffat deviendrait l’autre face du vice, le vice protégé par une situation légale, bien plus destructif, et j’aurais ainsi deux figures la cocotte et la cocodette. (ibid. F°227)
Quant à Muffat je le montrerait (sic), tiraillé entre les deux, voyant d’un côté et de l’autre l’écroulement de son honneur. (ibid. F°227-8)
Puis célébrant Nana dans une chronique, couchotant une fois ou deux, tout de suite ; ils ne se vont pas. (ibid. F°236)
Hector de la Faloise descendant des croisés entre ces deux vieillards, par chic. (ibid. F°237).
Le jour entre, les 2 filles veulent aller boire du lait au bois de Boulogne. On a causé, elle (sic) racontent tous (sic) les 2 leurs histoires (NAF Ms. 10313, Nana. F°250-2- Notes)
Une avait : 1 colonel suisse âgé 65 ans, cinq mille fr. par mois, venant 2 mois à Paris ; puis un sportmann (sic), marié – faisant l’appoint 5 000 fr, chacun se croyant seul. (ibid. F°253)
Un jour ou 2 brouillée avec l’amant sérieux. (ibid. F°254-21)
Baisade brusque avec le coiffeur qu’on tutoie, un des deux patrons (ibid. F°257-6)
Un fort bézigue jusqu’à 2 heures. Sa toilette de 2 à 3 passe son peignoir et reçoit de 4 à 6, ou va au bois. (ibid. F°259/8)
On dort vers 2 h. et demie. (ibid. F°260/9)
Il a deux enfants de sa femme (9 et 10 ans) qu’il adore.
Judic a deux maris (ibid. F°280)
Pas un arbre, 2 à gauche, en dehors.
3 coups de cloque (sic) 1 pesage 2 évacuer 3 arrivée des chevaux (ibid. F°286)
Sergent de ville tous les 2 poteaux, tout autour (ibid. F°292)
2 laquais derrière et 2 postill (ibid. F°298)
Non. Solferino courant à 2 ans et gagnant ill. (ibid. F°300)
à 2 ans – La plus longue 2000 mètres- (ibid. F°302)
[Sofferino venant à 2 contre un. (ibid. F°304)
(…)Solferino 2 mille louis et met les 2 mille louis sur Nana (ibid. F°305)
l’autre ne gagnera et il donne à une cote d’outsider, cote élevé (sic) à 50 contre un – le favori de la cote 2/1 et met un autre cheval à 3/1] (ibid. F°307-verso)
Rideau coupant la loge en 2, glissant sur une tringle de cuivre. (ibid. F°316)
Lustre, des torches autour du bureau, 2 chaque côté, et devant. (ibid. F°323 verso)
La loge du concierge entre les 2 escalier (sic), administr. et artistes. (ibid. F°324)
Café des Variétés – l’hiver 2 salles, le devant petit carré long, divan brun sombre autour table de marbre ronde, chaise (sic) noir (sic), glace aux 2 bouts – (…) 2 lustres à 3 becs. (ibid. F°324 verso)
Les 2 escaliers donne (sic) au balcon. Le foyer est au 2me. (ibid. F°327)
La mère des 2 jeunes gens Madame Hugon 55 (Inid. F°340).
Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10, ce qui ajoute 10 mille francs ce qui fait que le boockmacker (sic) perd de ce côté cent mille francs ; et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan).
C’est Caroline Hequet et sa mère qui rachèteront la campagne, laquelle est avantageuse ; ou du moins elles la feront racheter, se feront donner une somme de deux cent mille francs et bénéficieront. (NAF Ms. 10313, Nana. F°63- Plan)
(Le prix de Condé, 2000 met, est de la plus grande longueur pour les chevaux de deux ans. (ibid. F°115)
Quant au gain de Vandoeuvres, le voici. Il égalise ses pertes sur Lusignan Mais il a parié 2000 louis sur Nana à 30 contre un ce qui fait 60000 louis (1200000 fr). (ibid. F°117).
Les 2000 fr. dans un panier de pêches (Céard). (NAF Ms. 10313, Nana. F°44- Plan).
Puis la coquinerie il en fait donner par un Bookmacker pour 2 mille louis pour lui. (NAF Ms. 10313, Nana. F°304- Notes)
contre Solferino 2 mille louis et met les 2 mille louis sur Nana (ibid. F°305).
*Trois/Trois cents/ Trois mille
III. – Soirée chez le Cte Muffat. (avril) (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Façade des Variétés Grilles en bas, trois bec (sic) de gaz, boules blanches. (ibid. F°3)
Chacun vient trois jours par semaine. (ibid. F°14)
Cependant trois heures arrivent. (ibid. F°15)
Le rendez-vous est pour de trois à quatre. (ibid. F°22).
Trois ou quatre dames. (ibid. F°25)
Pourtant il arrive encore trois personnes. (ibid. F°38)
– Il est trois heures et demie. (ibid. F°41)
Poser aussi Satin que Nana a ramassé (sic) sur le trottoir et qu’elle traîne depuis trois jours (…).
Histoire du ménage à trois racontée par les autres. (ibid. F°48)
En tous cas, Muffat viendrait nuittament (sic), deux ou trois fois (…). (ibid. F°64)
Voir, dans l’autre chapitre, la note sur Cartier Muffat et Daguenet, qui se trouvent nez à nez, lâchés tous les trois pour Fontan. (ibid. F°75)
XIII Chemises de foulard pour les hommes, trois tailles. (ibid. F°105)
Puis à 3 ans, Lusignan gagne dans la Grande Poule des Produits
Nana au contraire battue à 2 ans dans le Prix de Diane (Chantilly) et battu (sic) par Lusignan, à trois ans, dans le Prix Des Cars et dans la Gr. Poule des produits (ibid. F°115)
3 coups de cloche 1 pesage 2 évacué 3 arrivé (sic) des chevaux (ibid. F°122)
Les trois premières nuits à le soigner. (ibid. F°154)
Et les trois femmes montent pour la voir. (ibid. F°155-6)
Quand les trois femmes entrent, elles disent la difficulté qu’elles ont eue pour arriver (ibid. F°156)
Et elles s’en vont toutes les trois, après avoir mis la lampe sur un autre meuble (…). Alors toutes les trois voient le masque de Nana et se sauvent. (ibid. F°158).
(…) à peine deux ou trois personnes s’en doutent-elles. (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages)
[Simonne Cabiroche] A servi comme femme de chambre, dans deux ou trois maisons. (ibid. F°170).
Trois jeunes gens. Un né à Paris, voyant Nana par toquade ; un titré venant par chic ; un autre, de Province, très riche assez tenu par sa famille, jouant le rôle de chérubin, très jeune. (NAF Ms. 10313, Nana. F°209- Ebauche).
Personnel d’amants : Un amant en titre, six à huit mille fr. par mois; 3 ou 4 qui postulent la place et qui font des cadeaux en bijoux (NAF Ms. 10313, Nana. F°258-17- Notes)
Sa théorie est qu’il faut, non pas un amant, mais trois au moins. (ibid. F°278)
Les cavaliers sur la pelouse 3
3 coups de cloque (sic) 1 pesage 2 évacuer 3 arrivée des chevaux (ibid. F°286)
l’autre ne gagnera et il donne à une cote d’outsider, cote élevé (sic) à 50 contre un – le favori de la cote 2/1 et met un autre cheval à 3/1] (ibid. F°307-verso).
Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10, ce qui ajoute 10 mille francs ce qui fait que le boockmacker (sic) perd de ce côté cent mille francs ; et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan).
Elle [Rose Mignon] a en plus un prince russe, et le financier Cartier qui lui donne chaque fois qu’il va avec elle 3 mille francs. (NAF Ms. 10313, Nana. F°185- Personnages).

*Quatre/ quatre cents/ quatre cents mille
IV. – Souper chez Nana. (avril). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
De 4 à 6 chez elle. Série d’hommes (ibid. F° 21)
C’est alors que Nana rentre par l’escalier de service. Il est quatre heures et demie.
Pourtant pendant la scène, le timbre a continué de résonner, quatre fois. (ibid. F°16)
Le rendez-vous est pour de trois à quatre. (ibid. F°22).
Trois ou quatre dames. (ibid. F°25)
Chapitre IV. (ibid. F°37)
Chapitre IV – Le dîner chez Nana (ibid. F°43)
Alors il y a chez Nana une chambre pour La Faloiset (sic) et Gaga, avec un cabinet pour Amélie, une grande chambre où l’on met quatre lit (sic) pour Caroline Hequet, Amy Stewart Tatan Néné et Maria Blond. (ibid. F°60)
Il compta laborieusement que quatre heures et demi (sic) font deux cent soixante-dix minutes et seize mille deux cents secondes. (ibid. F°81 verso)
Quatre amants.
Alors revenir aux hommes, aux quatre amants. (ibid. F°99)
Le jeu de Nana est de renvoyer les quatre hommes et de rester avec Satin. (ibid. F°100)
Four-in hand. Voiture à 4 chevaux avec cocher tenant toutes les rênes. (ibid. F°114)
Salon très grand, très haut, 4 fenêtres sur le jardin (…). (ibid. F° 129)
L’ancien honneur qui est là brûle aux quatre coins. (ibid. F°135)
Le comte songeait déjà qu’il donnerait par semaine quatre [ ???] (ibid. F°139 verso)
Il n’avait plus une protestation. Au milieu des quatre hommes, les deux femmes, les coudes sur la table, se regardaient (ibid. F°150 verso).
De 4 à 6 ; l’homme mûr paraît, la femme de chambre introduit. (NAF Ms. 10313, Nana. F°222- Ebauche).
De 4 h. à 6. elle est chez elle.
Le maniement des hommes de 4 à [ill.]. (NAF Ms. 10313, Nana. F°255/4- Notes)
de 4 à 6 jamais la baisade (ibid. F°256/5)
Un amant en titre, six à huit mille fr. par mois ; 3 ou 4 qui postulent la place et qui font des cadeaux en bijoux (ibid. F°258/17)
Sa toilette de 2 à 3 passe son peignoir et reçoit de 4 à 6, ou va au bois. (ibid. F°259/8)
L’écurie Lagrange, 6 contre 4 (ibid. F°292)
4 chev. 12 amis. (ibid. F°298)
Voyons les apparitions de madame Robert. Quelque chose de discret et de rapide. Quatre ou cinq fois au plus. (ibid. F°326-7).
Personnel d’amants : Un amant en titre, six à huit mille fr. par mois ; 3 ou 4 qui postulent la place et qui font des cadeaux en bijoux (NAF Ms. 10313, Nana. F°258-17- Notes)
Au milieu du couloir, une porte, quatre ou cinq marches qui conduisent au magasin des accessoires. (ibid. F°312)
5 étages. Judic au 1er. Quatre étage (sic) de loges – Lanterne ronde, avec chapeau compliqué. (ibid. F°319).
Il donne deux cents (sic) mille francs à sa fille au lieu de quatre cents. (NAF Ms. 10313, Nana. F°132- Plan).
Estelle devait avoir 400 mille francs. (NAF Ms. 10313, Nana. F°336-Notes).
*Cinq/ cinq cents/Cinq mille
V. – Représentation derrière la toile. (mai 1867). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan).
En mots énigmatiques, un monsieur donne 500 fr. pour l’avoir. (ibid. F°22).
Une avait : 1 colonel suisse âgé 65 ans, cinq mille fr. par mois, venant 2 mois à Paris ; puis un sportmann (sic), marié – faisant l’appoint 5 000 fr, chacun se croyant seul. (NAF Ms. 10313, Nana. F°253- Notes).
*Six/six cents/six mille
VI. – La campagne. (septembre). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
De 4 à 6 chez elle. Série d’hommes (ibid. F°21)
Il a un cheval Lusignan, qui a deux ans, a gagné le Prix de Condé, à Chantilly) 6 000 fr, n’étant pas encore tout à fait prêt.
Il a d’abord gagné dans le Prix des Cars (Longchamp avril) 6000 fr. (ibid. F°115).
Personnel d’amants : Un amant en titre, six à huit mille fr. par mois; 3 ou 4 qui postulent la place et qui font des cadeaux en bijoux (NAF Ms. 10313, Nana. F°258-17- Notes)
Un banquier donne six, huit mille francs par fois; en tout 80 mille francs pour une dizaine de fois. (ibid. F°280).
*Sept
VII. – Drame. Nana disant à Muffat que sa femme le trompe. (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Chez Louise. A Asnières sept ou huit femmes ont des chambres dans la maison. (ibid. F°77).
A sept h. le coiffeur, la grande toilette. (NAF Ms. 10313, Nana. F°259-08- Notes)
Aucun luxe. Le papier est un papier à sept sous le rouleau, des treillages verts sur rose. (ibid., F°314).
*Huit/Huit mille
VIII. – Premier plongeon de Nana. (janvier-octobre 68). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Chez Louise. A Asnières sept ou huit femmes ont des chambres dans la maison. (ibid. F°77).
A coup sûr, elle [Sabine] a eu un amant vers 26 ans, il y a huit ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages).
Personnel d’amants : Un amant en titre, six à huit mille fr. par mois; 3 ou 4 qui postulent la place et qui font des cadeaux en bijoux (NAF Ms. 10313, Nana. F°258-17- Notes)
Un banquier donne six, huit mille francs par fois ; en tout 80 mille francs pour une dizaine de fois. (ibid. F°280).
*Neuf
IX. – Une répétition au théâtre (novembre 1868). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan).
Ils ont eu un enfant qui a neuf ans et dont ils raffolent. (NAF Ms. 10313, Nana. F°186- Personnages).
Il a deux enfants de sa femme (9 et 10 ans) qu’il adore. (NAF Ms. 10313, Nana. F°280- Notes).
*Dix/Dix mille/Dizaine
X (NAF Ms. 10313, Nana. F°98-Plan)
Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10, ce qui ajoute 10 mille francs ce qui fait que le boockmacker (sic) perd de ce côté cent mille francs ; et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (ibid. F°116)
Quant au gain de Vandoeuvres, le voici. Il égalise ses pertes sur Lusignan Mais il a parié 2000 louis sur Nana à 30 contre un ce qui fait 60000 louis (1200000 fr). (ibid. F°117).
Il a deux enfants de sa femme (9 et 10 ans) qu’il adore. (NAF Ms. 10313, Nana. F°280- Notes).
Un banquier donne six, huit mille francs par fois; en tout 80 mille francs pour une dizaine de fois. (NAF Ms. 10313, Nana. F°280- Notes)
Il gagne donc cinquante mille francs gagnant et 10 mille placé (ibid. F°307).
*Onze
XI. – Course du grand prix. (mai 1869). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2-Plan).
*Douze/Douze cent
XII. – Chez le Cte Muffat, mariage de Daguenet. Argent emprunté. (novembre 1869). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
XII. Chez les Muffat. (ibid. F°97)
XII Il faut que Muffat sache absolument qu’il est cocu. (ibid. F°103)
XI et XII Le bois de Boulogne. (ibid. F°104)
XII. Sur le ciel, au milieu d’une nuit. (ibid. F°108)
Chapitre XII ———————————– La chambre de Nana, la nuit, à demi éclairée. (ibid. F°131)
XII. – Chez les Muffat. (Ibd. F°136).
Elle [Rose Mignon] aura un fils de douze ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°185- Personnages).
Son gain est donc de douze cent mille francs. (NAF Ms. 10313, Nana. F°117- Plan).
*Treize
XIII. – Chez Nana, le drame des Hugon, Muffat trouvant Chouard. (vers février 70). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2-Plan).
*Quatorze
XIV. – Deuxième plongeon. La féerie. (février-juillet 1870). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
XIV. – Plongeon. (ibid. F°97)
Finir Satin (un mot dans le XIV). (ibid. F°151)
Chapitre XIV (ibid. F°154)
XIV. – Un nouveau plongeon. (ibid. F°159).
*Quinze
XV. – Mort de Nana, entourée de femmes, au grand- Hôtel. (juillet 70, déclaration de la guerre). (NAF Ms. 10313, Nana. F°2- Plan)
Une cour à bouquet de 15 jours au moins. (ibid. F°21)
Maria Blond (15 ans). (ibid. F°36)
Alors justement Bordenave sera venu la prendre pour une pièce nouvelle qu’il faut jouer dans quinze jours. (ibid. F°95)
Une cour à bouquets de 15 jours au moins, si amoureuse qu’elle soit. (ibid. F°04
Quinze jours dans une féerie (ibid. F°154)
Chapitre XV. – Mort de Nana au grand hôtel. (ibid. F°161).
Lorsque leur fille a 15 ans, la mère n’a donc encore que trente-deux ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°229- Personnages).
Une cour à bouquet (sic) ; visite de 15 jour (sic) au moins, si amoureuse qu’elle soit. (NAF Ms. 10313, Nana. F°257/6- Notes)
Elle la prend à 15 ans chez elle, défense d’y toucher. (ibid. F°250/15).
*Seize
Nana a eu un enfant à seize ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°22- Plan).
Sabine, comtesse Muffat de Bréville, légitimiste.– (…) A épousé Muffat, un homme grave ; l’a épousé pour être libre à dix-sept ans. En a une fille de 16 ans en 67. (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages).
*Dix-sept 17 r. des Martyrs- chez Louise Taillandier. NAF Ms. 10313, Nana. F°76- Plan).
Nana, 17 ans
Georges (Zizi) 17 ans (NAF Ms. 10313, Nana. F°165- Personnages) \\Simonne Cabiroche, de son vrai prénom Justine. (…) Est venue à Paris, à dix-sept ans comme domestique, avec une dame qui était aux bains de Luc-sur-Mer. (ibid. F°170)
Georges Hugon. – 17 ans. (ibid. F°180)
Il [Mignon] était chef d’orchestre et avait 25 ans, lorsqu’il a épousé Rose qui en avait dix-sept, et qui chantait à son café. (ibid. F°186)
Sabine, comtesse Muffat de Bréville, légitimiste.– (…) A épousé Muffat, un homme grave ; l’a épousé pour être libre à dix-sept ans. (ibid. F°189).
Elle est toute jeune 17 ans, quand il épouse. (NAF Ms. 10313, Nana. F°229- Ebauche).
L’héroïne Nana 17 ans.
La fille Estelle 17 (NAF Ms. 10313, Nana. F°340).
*Dix-huit
D’autre part, la comtesse mange un argent fou depuis dix-huit mois (NAF Ms. 10313, Nana. F°132- Plan).
Satin. – Un voyou adorable ; 18 ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°196- Personnages).
*Vingt/une vingtaine/vingt mille
Justement ce soir-là peut (sic) de monde, une vingtaine de personnes. (NAF Ms. 10313, Nana. F°25- Plan).
Muffat est en voyage pour vendre un dernier petit bien (pas gros, une vingtaine de mille francs.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°143- Plan).
Puis à 3 ans, Lusignan gagne dans la Grande Poule des Produits Longchamps (20 000 fr.). (NAF Ms. 10313, Nana. F°115- Plan).
L’ami prend à Hug pour Nana sans prévenir Vandoeuvres cent louis de Nana à 50/1 ce qui fait que le Bookm perd 50 mille francs et comme il n’en gagne que vingt mille il en perd 30 mille.] (NAF Ms. 10313, Nana. F°305- Notes).
*Vingt et un
Enfin Amy Stewart à (sic) un fils de 21 ans qui est dans une école de marine. (NAF Ms. 10313, Nana. F°46- Plan).
*Vingt-quatre
Philippe capitaine à 24 ans venant furieux, cavalier, et restant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°99- Plan).
Simonne Cabiroche, de son vrai prénom Justine. – Vingt quatre ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°170- Personnages).
*Vingt-cinq
Il [Mignon] était chef d’orchestre et avait 25 ans, lorsqu’il a épousé Rose qui en avait dix-sept, et qui chantait à son café. (NAF Ms. 10313, Nana. F°186- Personnages).
*Vingt-six
A coup sûr, elle [Sabine] a eu un amant vers 26 ans, il y a huit ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages).
*Vingt-huit
Une table de 28 couverts. (NAF Ms. 10313, Nana. F°37- Plan).
[Muffat] lui avait vingt-huit ans en coup d’Etat. (NAF Ms. 10313, Nana. F°187-188- Personnages)
Madame Robert. – Agée de 28 ans. (ibid. F°195).
*Trente/trente mille
Quant au gain de Vandoeuvres, le voici. Il égalise ses pertes sur Lusignan Mais il a parié 2000 louis sur Nana à 30 contre un ce qui fait 60000 louis
Je mets Nana prise à une moyenne de 30 contre un, parce que, quand on la voit prise brusquement, quand on la voit ramassée, la cote baisse et finit par tomber à 10 contre un. (1200000 fr). (ibid. F°117).
L’ami prend à Hug pour Nana sans prévenir Vandoeuvres cent louis de Nana à 50/1 ce qui fait que le Bookm perd 50 mille francs et comme il n’en gagne que vingt mille il en perd 30 mille.] (NAF Ms. 10313, Nana. F°305- Notes).
*Trente-quatre
On rallonge la table, on est trente-quatre ; pourvu qu’il ne vienne plus personne. (NAF Ms. 10313, Nana. F°38- Plan).
Sabine, comtesse Muffat de Bréville, légitimiste.– Trente quatre ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages).
*Trente-cinq
Mignon.– Ancien chef d’orchestre d’un café concert de Lyon. Il a trente-cinq ans (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°186- Personnages).
*Quarante/Quarante mille
il donne de Nana à 40 contre un, par exemple. Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10, ce qui ajoute 10 mille francs ce qui fait que le boockmacker (sic) perd de ce côté cent mille francs ; et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan)
Seul Maréchal qui ne croit pas aux chances de l’écurie Vandoeuvres, après la confidence de Vandoeuvres, donne toujours Nana à 40 contre un. (ibid. F°117).
*Quarante-quatre
Comte Muffat de Bréville (Alexandre).– Quarante-quatre ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°187-188- Personnages).
*Quarante-cinq
Steiner (Gustave). Quarante-cinq ans. (NAF Ms. 10313, Nana. F°198- Personnages).
*Cinquante/Cinquante mille [Nana] est offerte à 50 cont \\re un. (NAF Ms. 10313, Nana. F°115- Plan)
Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10, ce qui ajoute 10 mille francs ce qui fait que le boockmacker (sic) perd de ce côté cent mille francs ; et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (F°116- Plan).
Elle se pique de n’avoir qu’un amant à la fois, toujours quelque homme de cinquante ans, dans le commerce ou les affaires. (NAF Ms. 10313, Nana. F°195- Personnages).
[Nana à 50 contre un. (NAF Ms. 10313, Nana. F°303- Notes)
L’ami prend à Hug pour Nana sans prévenir Vandoeuvres cent louis de Nana à 50/1 ce qui fait que le Bookm perd 50 mille francs et comme il n’en gagne que vingt mille il en perd 30 mille.] (ibid. F°305)
Il gagne donc cinquante mille francs gagnant et 10 mille placé (ibid. F°307)
l’autre ne gagnera et il donne à une cote d’outsider, cote élevé (sic) à 50 contre un – le favori de la cote 2/1 et met un autre cheval à 3/1] (ibid. F°307-verso).
*Soixante/Soixante mille
M. Théophile Venot.– Un petit homme de 60 ans, gros et doux, avec des dents mauvaises et un sourire fin. (NAF Ms. 10313, Nana. F°203- Personnages).
Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10, ce qui ajoute 10 mille francs ce qui fait que le boockmacker (sic) perd de ce côté cent mille francs ; et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan)
Quant au gain de Vandoeuvres, le voici. Il égalise ses pertes sur Lusignan Mais il a parié 2000 louis sur Nana à 30 contre un ce qui fait 60000 louis (1200000 fr). (ibid. F°117).
*Soixante-quatre
– J’ai dit soixante-quatre… (NAF Ms. 10313, Nana. F°28-verso- Plan).
*Soixante-cinq
Une avait : 1 colonel suisse âgé 65 ans, cinq mille fr. par mois, venant 2 mois à Paris; puis un sportmann (sic), marié – faisant l’appoint 5 000 fr, chacun se croyant seul. (NAF Ms. 10313, Nana. F°253- Notes).
*Soixante-sept
Sabine, comtesse Muffat de Bréville, légitimiste.– (…) A épousé Muffat, un homme grave ; l’a épousé pour être libre à dix-sept ans. En a une fille de 16 ans en 67. (NAF Ms. 10313, Nana. F°189- Personnages).
*Quatre-vingt/Quatre-vingt mille
Quatre vingts à cent. Grande cocotte de 100 à 150 mille francs, en hôtel, ou en appartement. (NAF Ms. 10313, Nana. F°259/16- Notes)
Un banquier donne six, huit mille francs par fois; en tout 80 mille francs pour une dizaine de fois. (ibid. F°280).
*Cent/cent mille
Labordette en prend pour deux cent louis à 50 et 100 louis placé à 10, ce qui ajoute 10 mille francs ce qui fait que le boockmacker (sic) perd de ce côté cent mille francs ; et comme il n’a parié que trois cent louis contre Lusignan, (60000 fr de gain) il en perd en somme 40 mille. (NAF Ms. 10313, Nana. F°116- Plan)
vient faire un scène affreuse pour cent trente trois fran (sic). (ibid. F°140).
Labordette prend pour Nana pour cent louis] (NAF Ms. 10313, Nana. F°306- Notes).

Travail (1901)

(Les quatre sujets d’ailleurs se pénètrent, la fécondité ne va pas sans le travail, qui ne va pas sans la science, qui entraîne la justice) (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 348/1)
Puis les deux autres romans créeront l’humanité (ibid., f° 350/3) \\L’usinier et le capitaliste, deux frères, cela peut donner un drame intéressant (ibid., f° 352/5) \\Lutte entre deux hommes (ibid., f° 355/8)
J’ai dit que je prendrai deux frères, ou peut-être plutôt deux cousins (ibid., f° 364/17) \\Les deux enfants utilisés en bien donc (ibid., f° 368/21)
Je ne leur donnerai donc à chacun qu’un enfant (ibid., f° 369/22) \\Une idylle entre les deux enfants (ibid., f° 369/22-370/23)
Dans ce cas-là, je puis donner deux enfants aux capitalistes que j’utiliserai (ibid., f° 370/23)
Après trente ou quarante ans de travail (ibid., f° 377/30)
Comme j’ai voulu celle-ci orpheline, elle sera donc restée seule avec son frère, plus jeune qu’elle de trois ou quatre ans (à régler) (ibid., f° 380/33) \\Un deux ouvriers, celui qui a souffert physiquement, et celui qui a souffert intellectuellement du travail mal organisé, ne sont que des types secondaires (ibid., f° 381/34)
Je ne lui donne aucune parenté, il est à part, avec sa femme et ses deux enfants déjà (ibid., f° 382/35) \\Les deux autres (…) peuvent être deux frères (ibid., f° 382/35)
) \\§§pour poser les deux ménages du capitaliste et de l’usinier, avec leurs drames respectifs, leur histoire (F° 392/45)
Les personnages peuvent donc être un fermier (…) et deux petits propriétaires, avec leur type. Un grand parc improductif (ibid., f° 400/53)

DÉNOUEMENT

(Voir aussi : Conclusion ; Dernier(e) ;Fin/ enfin/ à la fin/finir)

La Curée (1872)

Dans mon premier portrait de Toutin, j’ai mis en train l’affaire du Maroc, sans donner le dénouement… (MS NAF 10 282, La Curée, f°220). – Quel est le dénouement logique ? (MS NAF 10 282, La Curée, f°298 / Premiers détails). – Au dénouement, Maxime pourrait dire à son père… (MS NAF 10 282, La Curée, f°299 / Premiers détails). – Quand au dénouement la folie et la honte de Blanche éclate, c’est comme un coup de foudre (MS NAF 10 282, La Curée, f°315 / Premiers détails). – Roman de l’expropriation, de la construction, de la démolition, de la spéculation, et au dénouement expiation ou liquidation (MS NAF 10 282, La Curée, f°369).

Le Ventre de Paris (1873)

Au dénouement, je fais compromettre Charvet dans le complot.(MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 74)
Sa belle-sœur et sa nièce se réjouissent ; là, il faut un dénouement. (ibid., f° 75)
Je pourrai finir par une réconciliation (…) amenée par le dénouement même. (ibid., f° 77)
(Elle ne sait pas encore que Florent veut tuer l’empereur; elle l’ignore jusqu’au dénouement) (ibid., f° 86)
Voir le dénouement. (ibid., f° 89)
Je puis montrer Lisa au dénouement visitant et purifiant la mansarde de Florent. (ibid., f° 90)
C’est lui qui, au dénouement, comprenant la trahison, passant devant la charcuterie illuminée murmure en se serrant le ventre : « Quels gredons que ces honnêtes gens! » (ibid., f° 95)
Au dénouement Florent peut le rencontrer dans sa promenade : Pour quoi ne viens-tu plus chez Lebigre. (ibid., f° 110)
Il faut qu’au dénouement, l’arrestation de Florent détermine le mariage de Justine et d’Auguste. (ibid., f° 114)

La Conquête de Plassans (1874)

Puis la fin du drame, le dénouement (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche .F°25)
.Pour le dénouement, il me faudrait quelque chose de raide (ibid f°25)
Plus tard, les remords donnés par la religion (…) et le dénouement (ibid .F°32)
Le dénouement, un incendie en province, avec les pompiers et les autorités. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan XXVIIF˚14)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Il faut que le dénouement soit extrêmement tragique. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 8)
Puis le drame, le dénouement. (ibid., Plan du troisième livre, f° 24)

Nana (1880)

Puis, Mars. Trio. Mars seul avec Vénus. La séduction. Vulcain arrivant avec son filet. L’Olympe appelé. Dénouement. (NAF Ms. 10313, Nana. F°47- Plan)
Le dernier mot de Rose sur Muffat, qui reste (Cette fois, il faut qu’elle se venge au dénouement.). (ibid. F°94)
Le détraquement d’une famille par la luxure, trouver le dénouement effroyable, comme dans L’Assommoir. (ibid. F°107)
C’est ici que le plan de l’homme dévot doit avoir son dénouement. (ibid. F°149).

Alors, resplendissement complet, folie de l’or et de la dépense. Jusqu’à un dénouement, la mort ou autre chose. (NAF Ms. 10313, Nana. F°207- Ebauche)
Je crois donc cela impossible ; tout au plus puis-je donner des instincts de dévotion à Muffat, pour ménager un dénouement (…). (ibid. F°226)
On lui trouvera plus tard un dénouement : affaires véreuses à la Bourse, il a lui aussi des hauts et des bas, il remonte sur sa bête, puis finit par se faire exécuter. (ibid. F°234).

Pot-Bouille (1882)

Un ménage dont on ne sait rien, jamais, excepté une échappée au dénouement (MS NAF 10 321, f° 386) === Au bonheur de dames (1883) ===

(…) leur [aux vendeuses] donner à chacune un dénouement typique (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, fº 20)

La Terre (1887)

le dénouement avec le fils qui accepte ou non (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 404/5)
(…)Le fils de paysan qui tournera à la ville sera donc le fils du gendre, âgé de 14 ans au début, et de 25 ans au dénouement. (ibid., f° 490/82) Il faudrait aussi que le dénouement intéresse les Fouan (MS NAF 10329 La Terre f° 90 – Personnages, Eugène Macqueron)

Le Rêve (1888)

Enfin, au dénouement, je l’y ferais
aller une dernière fois (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 246/30-247/31) \\Je veux garder le baiser sur la bouche pour le dénouement (ibid., premier plan du chapitre VII, f° 102)
Une émotion pourtant, un frémissement faisant prévoir le dénouement possible (ibid., premier plan du chapitre X, f° 138)
Enfin le dénouement, la mort (…) Grand, pur, élancé (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 186)

Lourdes (1894)

Encore moins d’intrigues que dans « la Débâcle », rien de forcé pour représenter tous les mondes, aucune rencontre romanesque, aucun dénouement forcé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°55)
Des guérisons dans la procession. Des conversations. Y dénouer des faits. (ibid. F°603)
Poser tout cela dans une première scène à l’hôtel, et [pl biffé] puis dénouer par le drame dans une autre scène, lorsque Mme Chaise meurt. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 55 – Notes sur M. Vigneron)
Des contes de fées merveilleux, où le dénouement est toujours exquis. (ibid. Fo 244 – Notes sur H. Lasserre)

Travail (1901)

Je reprends les drames personnels de chaque groupe, de chaque personnage et les dénoue dans la joie (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 374/27-375/28)

DÉPENDRE

Lourdes (1894)

Il ira à Rome avec un évêque, il pourra être le confident de la dame, il [p biffé] voudra la faire servir au triomphe de son idée, et c’est la
dame qui sera l’holocauste de l’idée, sans la faire réussir. Tout dépendra de qui elle aimera. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s7-8)

DÉPLAIRE

Lourdes (1894)

Ce qui me déplaît surtout, c’est la laideur esthétique de leur religion. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°44)
Il ne me déplairait d’ailleurs pas d’innover, de trouver
une division originale, une coupe un peu singulière et mystique. (ibid. F°s59-60) \

DE PLUS

Lourdes (1894)

De plus je puis mettre en haut les Vigneron, que je retrouverai dans la Grotte, et madame de Jonquière et madame Désagneaux, dont j’aurai besoin tout à l’heure – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°453)

DÉPOUILLER

Lourdes (1894)

Je n’ai qu’à dépouiller les miracles, à les avoir tous, puis à les classer. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°194)

DEPUIS

Le Rêve (1888)

Toute l’histoire de l’église et toute la description détaillée de l’extérieur depuis la porte Sainte Agnès jusqu’à l’abside (MS NAF 10323, premier plan du chapitre IV, f° 69)

DE PLUS EN PLUS

Travail (1901)

Luc engage l’ouvrier intéressé de plus en plus par la femme (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 394/47)

DÉRISOIRE

Lourdes (1894)

Constatations peu sérieuses, garanties insuffisantes, façons de procéder dérisoires, le doute reste quand même. – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°281)
Les garanties insuffisantes, les façons de procéder dérisoires, le doute restant
quand même. (Iibid. F°s291-292)

DERNIER(E) (AVANT-)

(Voir aussi : Conclusion ; Premier ; Dénouement ; Fermer ; Fin ; finir ; enfin)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Dernière description générale du Paradou. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 24)
Le dernier mot d’Albine. Il vaudrait mieux qu’elle ne parlât pas. (ibid., f° 24)
Puis le dernier mot de Désirée : La vache a fait son veau ! (ibid., f° 25)

Nana (1880)

Dernière scène dans la loge de Nana. (NAF Ms. 10313, Nana. F°50- Plan)
Sa dernière pensée fut qu’il serait plus heureux en ne sachant pas. (ibid. F°80- verso)
Puis enfin la dernière scène (ibid. F°82)
Le dernier mot de Rose sur Muffat, qui reste (ibid. F°94)
Une bêtise de Vendoeuvres, une rage dernière, le feu de la fin. (ibid. F°99)
dernière folie Georges surtout (c’est ce qui amène son suicide.). (ibid. F°107)
Une surprise au dernier mom (sic). (ibid. F°111/2)
Puis au dernier moment Vandoeuvres fait venir un excellent Jockey inconnu Price (…). (ibid. F°115)
(Il faut que Fauchery vienne très tard ; cet épisode sera le dernier du bal.). (ibid. F°133)
Et, pour dernières ignominie (sic), il lui emprunte de l’argent (ibid. F°136)
Muffat est en voyage pour vendre un dernier petit bien (pas gros, une vingtaine de mille francs). (ibid. F°143)
[Nana] elle a croqué les derniers bois et les derniers pans de murs de la Faloise (…).
Puis enfin, comme dernier affront, elle se fait surprendre par lui avec le marquis de Chouard, complètement imbécille (sic). (ibid. F°145)
la dernière fois qu’ils l’avaient vue. (ibid. F°156)
C’est le dernier éblouissement jeté par elle.
La comtesse brûlant les dernières années de l’empire. (ibid. F°159).
Lui donner une suite d’emplois et en dernier lieu une charge à la cour. (NAF Ms. 10313, Nana. F°187- Personnages)
[Vandoeuvres] Le dernier d’une grande race. (ibid. F°202).
Mort de Nana au grand Hôtel. Les dernières personnes qui sont auprès d’elle. (NAF Ms. 10313, Nana. F°224- Ebauche)
S’emballant comme toilette, comme langage, comme tenue, dans les dernières années de l’empire (ibid. F°231)
Nana lui [Muffat] donnera le dernier coup, le coup de pouce. (ibid. F°234)
(…) c’est le comble de l’infamie, le dernier coup pour lui. (ibid. F°237).
Des vieux s’acoquinant, en dehors du ménage, et donnant là leur (sic) derniers souffles – bestialité. (NAF Ms. 10313, Nana. F°265/25- Notes)
En haut, au dernier étage, le magasin de costumes. (ibid. F°315).

Le Rêve (1888)

Enfin, au dénouement, je l’y ferais
aller une dernière fois (NAF MS 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 246/30-247/31)
(…) Ce chapitre est pour asseoir l’amour chez Angélique, l’y accoutumer (…) et alors le derniers /sic/ chapitre de l’idylle serait pour amener la jeune
fille au mot je t’aime (ibid., f°s 260/43-261/44)
(…) Je voudrais encore cinq chapitres, ce qui est possible. Le dernier, le triomphe. L’avant-dernier, la venue de l’évêque avec l’extrême onction. Ce qui me fait trois pour la lutte (ibid., f° 265/48)
(…) L’avant-dernier chapitre.(ibid., f° 275/58)
(…) Respectueux pour son père, puis s’emportant contre lui dans une dernière scène (ibid., f° 298/81)
J’arrive au dernier épisode, dans le terrain vague (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre V, f° 76)
Le dernier mot, le sourire quand elle ne peut plus marcher : « Maintenant, je suis bien certaine que je n’irai pas » (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XI, f° 150)
Le réveil a eu lieu, et c’est le dernier combat, analysé, étendu, entre son hérédité et le milieu et l’éducation (…) la dernière
crise, elle le sent (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XII, f° s 161-162)
La légende, une dernière apparition des Vierges, Agnès, Catherine, Barbe, toutes, les reprendre avec leurs attributs (…) L’idée de virginité (ibid., deuxième plan du chapitre XII, f° 162)
Et le livret comme marque d’humilité dernière. Le livret contre le parchemin de Félicien (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 183)

Lourdes (1894)

Même l’arrière-pensée de faire un dernier effort de croyance, de s’anéantir lui-même dans la foi, si la foi vient – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°98)
Elle est donc sur le quai, lors du départ du train blanc, « Vous partez » – Oh ! non, mon mari m’emmène à [Cauter biffé] Luchon ». Et son visage rayonne. Cela sera très bon. Au dernier plan du reste, un épisode à peine. (ibid. F°112)
La souffrance reviendra avec tout le wagon, quand il [Pierre] reverra Marie, dernier portrait. (ibid. F°151)
C’est là que je voudrais un dernier portrait d’elle [Marie], en opposition avec son portrait de belle enfant. (ibid. F°152)
Il [Pierre] priera aux pieds de la Vierge, il tâchera de s’abîmer dans une foi d’enfant [en interligne : dernier effort de croyance, s’anéantir dans la foi, si la foi vient (suprême et ardent espoir). (…)]. (ibid. F°154)
Enfin, dernier morceau, il [Pierre] a retrouvé Marie absolument ruinée, vivant avec son père dans un misérable logement voisin. (ibid. F°157)
Donc pendant un quart encore les dernières réflexions
de Pierre, avec ce moribond, et l’arrivée à Angers.– (ibid. F°s159-160)
Dernier effort de croyance, s’anéantir dans la foi, si la foi vient (suprême et ardent espoir). – (ibid. F°164)
Tous les malades du train qu’on remballe, la bousculade dernière. (ibid. F°171)
Sophie Couteau va monter au dernier moment. (ibid. F°178)
Elle [sœur Hyacinthe] peut ne pas l’avoir [Ferrand] encore vu, car il remplace un ami, au dernier roman [sic]. (ibid. F°180)
Et alors un dernier tableau sur tous les malades. (ibid. F°190)
Et finir par l’homme lui-même [en interligne : à demi mort, ouvre une dernière fois les paupières. Un sourire, le seul qu’on lui ait vu, illumine un instant sa face. Bientôt il va mourir mais il aura espéré encore une fois.] (…) : il va mourir bientôt, mais il [aura espéré biffé] a rêvé sa guérison une dernière fois, il aura eu une illusion, une espérance encore. – (ibid. F°190)
Il faut même que l’homme en soit remué : il est à demi mort, et il ouvre une dernière fois les paupières, un sourire, le seul qu’on lui ait vu, illumine un instant sa face. (ibid. F°194)
Tout ce morceau est de la dernière importance, car il contient toute l’explication de cette fureur de pèlerinage. (ibid. F°194)
Voir s’il n’y a pas à faire dire un dernier mot [pour biffé] par [le] père Fourcade, sur le miracle raté. – (ibid. F°263)
Dernier mot de Boissarie [en interligne : au journaliste], sur la future installation sans doute. (ibid. F°287)
Et un dernier aspect de Lourdes, tout le monde rentrant, par les rues peu claires, des pèlerins qui traînent, qui demandent leur chemin. (ibid. F°357)
Pierre se retrouve dehors [en interligne : voir la dernière page du plan primitif (Guide Barbet. 41)] et va au Rosaire, allumé. (ibid. F°369)
Je retourne à l’hôpital, et j’ai une dernière fois la salle, dans la matinée du lundi. (ibid. F°409)
Je voudrais que la dernière scène fût son agonie. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 113 – Notes sur le Commandeur)

Travail (1901)

Cela me fait penser que le premier livre devrait être court, de même que le dernier, de même longueur tous les deux et symétriques (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 373/26)

DÉROULER (SE)

Lourdes (1894)

Et alors l’expérience qui se déroule. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°98)
Et l’expérience se déroule. (ibid. F°161)
L’expérience se déroule, et tourne mal. (ibid. F°380)
Tout le panorama de Lourdes se déroulant ; mais garder cela pour le retour. (ibid. F°383)
Pour que Pierre soit mêlé, le mieux est de faire qu’on l’appelle, quand on trouve Mme Chaise agonisante ou morte, pour [l’ex biffé] la confession, etc. – Et la scène se déroule devant lui – (ibid. F°486)

Et l’expérience se déroulera. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 15 – Notes sur Pierre Froment)

DERRIÈRE (PAR)

(voir aussi : arrière-plan ; basse ; accompagner)

Le Rêve (1888)

La montrer à l’œuvre (…) avec son éducation et le milieu par derrière (MS NAF 10323, premier plan du chapitre III, f° 46)

Lourdes (1894)

Donc la voir toujours derrière l’[h biffé]œuvre qui grandit, l’opposer toujours, finir par son pauvre tombeau, là-bas – (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°33)
Donc, pour me résumer, l’œuvre de la grotte enrichissant Lourdes et la pervertissant, le cri de la souffrance humaine et l’immense besoin de l’illusion et de l’au-delà, et toute la légende, toute l’histoire vraie aussi de Bernadette par derrière cela. (ibid. F°43)

DÈS / DÈS QUE

Lourdes (1894)

Dès que les Pères parlent de fermer la grotte, tous s’indignent. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°35)
J’aimerai assez que cela se passât à sa sortie du séminaire, dès qu’il a été ordonné. (…) Lui-même, dès que sa mère est en terre, tombe
malade (…). (…) Dès qu’il va un peu mieux, il s’est remis à dire sa messe ;
ne pas arrêter l’exercice de la prêtrise. (ibid. F°s88-89-90)
Républicain [Cazaban], celui-ci [n biffé] criant contre la Grotte ; mais inquiet dès qu’on parle de la fermer, car il vit d’elle. (ibid. F°120)
Mon premier chapitre part donc de 5h30 à peu près (dès qu’on est sorti des fortifications [)]. (ibid. F°143)
Dès qu’on parle de Lourdes, malaise de Pierre. (ibid. F°158)
Dès qu’elle [Sophie Couteau] arrive avec son miracle tous prêtent l’oreille, se relèvent. (ibid. F°172)
Dès que M. de Guersaint a fini de déjeuner, il emmène Pierre qui est libre (…). (ibid. F°340)
Dès que je suis débarrassé de cela (…), je termine avec Appoline et Bernadette – (ibid. F°500)
Autrement, dès que le miracle peut passer, il est admis. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 70 – Notes sur Raboin)
L’espoir reste sans bornes, dès que l’on croit au miracle. (ibid. Fo 216 – Notes sur Un roman sur Lourdes)

Travail (1901)

C’est qu’il y a de bon, c’est que dès le premier chapitre, j’ai de l’amour (MS NAF 10333 Travail, Ebauche, f° 355/8)
se résumant dès le premier chapitre dans une pauvre femme jetée à la rue (ibid., f° 355/8)

DÈS À PRESENT

Le Ventre de Paris (1873)

Je vois dès à présent un homme meilleur qu’Elisa, plus brusque, plus inégal (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 54-55)

DÉSASTRE

Lourdes (1894)

La tante heureuse, elle a prié, elle croit bien que la Vierge commence à lui guérir sa maladie de cœur. [en interligne : Si elle l’obtenait] quel désastre ! (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°316)

DESCENDRE

Lourdes (1894)

Enfin descendre le plus avant possible dans cette âme. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 66 – Notes sur le docteur Chassaigne)

DÉSIR / DÉSIRER

Voir aussi : Aimer ; Préférer ; Vouloir.

Le Rêve (1888)

Je désirerais donc entre eux un
petit drame (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f°s 245/29-246/30)

Lourdes (1894)

C’est là surtout mon vif désir : que la douleur aille en montant jusqu’au IV (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°155)

DESLIONS (Anna)

(1820-1873) Courtisane.

Nana (1880)

L’aventure de Lambert Thiboust chez Anna Deslions. (NAF Ms. 10313, Nana. F°147- Plan).
Aventure de Lambert Thiboust chez Anna Deslions.
Puis Anna vient rechercher Lambert, en peignoir, un bougeoir à la main, le prince étant parti. Cette Anna superbe créature, courtisane magnifique bonne fille, se donnant aux amis. (NAF Ms. 10313, Nana. F°277- Notes).

DÈS LORS

(Voir aussi : alors)

La Conquête de Plassans (1874)

Il faut dès lors qu’elle soit très nécessaire à son plan général. Il a besoin d’elle (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, .F°29)

Nana (1880)

Et elle s’occupe d’elle dès lors, elle a un certain respect. (NAF Ms. 10313, Nana. F°46- Plan)
Il faut que dès lors le but de l’homme dévot s’indique (…). (ibid. F°106)
Dès lors, il [Vandoeuvres] fait retenir Lusignan et fait pousser Nana. (ibid. F°116).
Dès lors, il devient explicable que Nana le prenne et le retienne par un piment charnel. (NAF Ms. 10313, Nana. F°215- Ebauche)
Dès lors, [La comtesse Muffat] s’est donnée une habitude du vice, que la société qu’elle fréquente développe justement. (ibid. F°231)
Dès lors le plaisir que j’ai indiqué plus haut reste à peu près le même. (ibid. F°232)
Au dîner, Rose Mignon le fait, et le garde dès lors (…). (ibid. F°236).

Pot-Bouille (1882)

Dès lors Cécile, par exemple, épouserait le patron, et le ferait ensuite cocu avec Octave qui pourrait aller fonder sa grande maison plus loin (MS NAF 10 321, Pot-Bouille, f° 383)

La Terre (1887)

Et, dès lors, la querelle dans la famille, tout le roman sera l’histoire de ce partage (MS NAF 10.328, La Terre, Ebauche, f° 403/4)
(…)Dès lors cela peut marcher : les deux affaires sont distinctes, et se réunissent pourtant en une seule. Cela me donne la division par la famille. (ibid., f° 419/20)
(…)Le père de Louise et Palmyre peut avoir mangé presque tout, ivrogne et n’avoir gardé que les deux lopins en question, et la maison. Dès lors, Bonhomme qui a épousé, forcé, attiré aussi par ses deux morceaux. (ibid., f° 420/21)
(…) Lui faire perdre sa femme au milieu du livre à l’endroit où cette mort sera un premier coup pour lui. Dès lors, il voyagera chez ses enfants qui lui font vendre sa maison, pour qu’il ne nourrisse pas son chenapan de fils. (ibid., f° 440/41)
(…) Bonhomme (…)et sa rage que la terre ne donne pas tout d’elle-même : sa passion de la terre pour la terre, pour la possession de la terre. Dès lors, son bien périclite, et sa rage contre la marâtre, qu’il faut cultiver (ibid., f° 444/45)
(…) Il ne faut plus dès lors, le mettre à la ferme, mais l’enfoncer dans la routine. (ibid., )
(…) Le fermier est le maire de la commune : dès lors, il pousse son affaire, s’entend avec un des cabaretiers qui lui aussi a intérêt. (ibid., f° 472/64) Et, dès lors, la plaie chez cet homme, sans qu’on s’en aperçoive (MS NAF 10329 La Terre F° 65 – Personnages, Alexandre Hourdequin)
Le Rêve (1888)
Et celui-ci dès lors revient presque tous les jours pendant un mois (MS NAF 10323, premier plan du chapitre VI, f° 87)
Dès lors son émotion : est-ce bien lui, ne s’est-elle pas trompée ? (ibid., premier plan du chapitre VIII f° 112)

Lourdes (1894)

J’en ferai un anarchiste par exemple, un autre Souvarine, et je voudrais dès lors que la lutte s’établît entre lui et son frère. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°10)
Ma crainte est de ne pas trouver pour celui-ci un sujet qui m’aille (…) et que, dès lors, venant après Lourdes, l’intérêt ne monte pas (…) \\. (ibid. F°s61-62)
Dès lors, il a un intérêt, la conversion possible, la grâce qui reviendrait. (ibid. F°83)
Mais ce médecin, ami du père du prêtre, lui parle de ce père, le lui présente tel qu’il était et non tel que la mère le voyait ; et dès lors il aide au doute chez le prêtre. (ibid. F°90)
Ce pourrait même être sur une de ces offres, qu’il regrette de ne pas croire, pour accepter et se rendre utile : dès lors, l’effort pour croire à Lourdes. (ibid. F°93)
Dès lors, le mieux serait qu’il ait trouvé le dossier dans le cabinet de son père, qui aurait été l’ami du fonctionnaire en question. (ibid. F°97)
[Dès lors l’id biffé] Elle [Mme Froment] ferme le cabinet, ne brûle rien. Dès lors, le désir de la rançon, et comment elle élève Pierre [en interligne : le prêtre possible] pieusement. (…) La mère désolée, fréquente madame de Guersaint dévote, et dès lors le rapprochement entre les deux familles. (…) Et dès lors l’idylle heureuse. (ibid. F°147)
Et Marie dès lors dans sa gouttière. (ibid. F°152)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (ibid. F°272)
Dès lors, je n’aurai ici que la confession de Chassaigne, disant à Pierre comment il a pu en arriver à croire. (ibid. F°276)
Comment s’entendre sur le diagnostic, comment savoir au juste d’où vient le mal, et dès lors comment pouvoir l’attaquer dans sa source. (ibid. F°284)
Comment on peut dès lors se tromper à Lourdes : (…). (ibid. F°285)
Arrivée du père Sempé (…), pendant une indisposition de Peyramale (1866). Dès lors,
lutte sourde du père pour l’évincer. (ibid. F°s387-388)
Dès lors, la description de cette montée d’exaltation, hosanna. (ibid. F°452)
Et dès lors, la promenade [en interligne : (M.V. 163)] dans le nouveau Lourdes ayant un sens. (ibid. F°497)
Tout ce monde se ruant (…) : le malheur d’avoir été élue [en interligne : rayée du nombre des femmes et dès lors malheureuse] (…) – (ibid. F°571)
Dès lors [Mme Froment] maîtresse de Pierre qui n’a que cinq ans, elle s’empare de lui, l’élève très catholiquement, le met chez des prêtres, pour qu’il soit la rançon du père. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 6 – Notes sur Pierre Froment)
Dès lors son besoin de foi, il croira peut-être encore, il trouvera un modus vivandi. (ibid. Fo 11 – Notes sur Pierre Froment)
Ce pourrait même être, à la suite d’une de ces offres, qu’il regrette de ne pas croire, pour accepter et se rendre utile : dès lors, l’effort pour croire, à Lourdes. (ibid. Fo 26 – Notes sur Marie de Guersaint)
Dès lors, elle est restée avec sa petite Rose toujours souffrante. (ibid. Fo 31 – Notes sur Mme Vincent)
Dès lors, elle mange, court, crie : « Je suis guérie ! » (ibid. Fo 40 – Notes sur la Grivotte)
Et, dès lors, elle a éprouvé comme une pesanteur entre les jambes, des tiraillements dans les reins. (ibid. Fo 116 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Le tout est basé sur ce qu’on n’a pas voulu la visiter, par pudeur. Dès lors, c’est l’inconnu. (ibid. Fo 119 – Notes sur la maladie de Marie de Guersaint)
Dès lors, elle voit l’évêque, elle demande sa guérison à Marie, avec l’idée de retourner à Lourdes. – (ibid. Fo 274 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Elle voit en songe Bernadette. Hantée. Dès lors résolue. (ibid. Fo 274 – Notes sur Mlle de Fontenay)
Dès lors [le père Sempé] conspire contre Peyramale. (ibid. Fo 283 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

Cela dès lors permet un combat (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 354/8) \\Et, dès lors, le vieux professeur n’est qu’un type de travailleur (ibid., f°s 358/11-359/12) \\Dès lors, dans la seconde partie, Luc devient un fondateur (ibid., f° 372/25) \\Dès lors, le sang a été versé, la victime frappée et la cité sera fondée (ibid., f° 373/26)
Et dès lors tout s’enchaine (ibid., F°411)
Dès lors tout peut marcher assez bien (ibid., F°418)
Dès lors les choses sont assez en place (ibid., F°431)

DÉSORGANISER / DÉSORGANISATION

Nana (1880)

La désorganisation d’en haut par Nana, Sabine et Muffat, comme l’Assommoir est la désorganisation d’en bas.
Vous laissez naître ce ferment, il remonte et vous désorganise ensuite. (NAF Ms. 10313, Nana. F°1-Plan)
désorganis. d’une famille par la luxure. (ibid. F°25)
Nana c’est la pourriture d’en bas, l’Assommoir, que les classes dirigeantes laissent se former, et qui remonte ensuite, et qui pourrit et désorganise les classes dirigeantes. (ibid. F°147).

DÉSORMAIS

Lourdes (1894)

Et désormais elles [madame Jonquière et madame Désagneaux] veillent sur Marie, on peut la leur confier, ce qui rend Pierre libre. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°454)

DESSINER (SE) / DESSIN / DESSINATEUR

Le Ventre de Paris (1873)

Je ferai peut-être bien de ne pas inventer une conspiration vraie. Le sujet se dessine mieux ainsi. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 68)

La Conquête de Plassans (1874)

Dessiner Bonnard, un fort tempérament, un ambitieux (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 21)

Faujas alors se dessine (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan X F° 10)

Nana (1880)

– Dessiner caractères des femmes dans la conversations (sic). (NAF Ms. 10313, Nana. F°39- Plan)
La bourse. Steiner. Les clubs. Vendoeuvres Dessiner les figures nettement (ibid. F°57)
C’est là où il [Daguenet] peut voir Estelle et où il se dessine comme roublard. (ibid. F°64).
Les voitures jaunes – les toilettes claires – les ombrelles. Le bouquet d’arbres est en dehors – C’est au tournant que ça se dessine. (NAF Ms. 10313, Nana. F°285- Notes).

Le Rêve (1888)

Pour varier, je puis amener Félicien qui ment, qui se donne comme un dessinateur, ou autre chose (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 258/41)
Très sensible également à la beauté, au dessin
(…) musicien et dessinateur (…) il dessine, il peint (…) la peinture sur verre (ibid., Ebauche, f°s 300/83-301/84)
Félicien pouvait être sous les arbres à lire, à dessiner plutôt le moulin (…) un jeune homme qui dessine pour s’amuser sans doute : on vient beaucoup dessiner là (ibid., plan du chapitre V, f°s 73-74)
très sensible à la beauté, à une certaine beauté, au dessin (ibid., plan du chapitre IX, f° 119)
L’extase de la musique, des voix, sur lui . Le goût du dessin, de la beauté, une certaine beauté mystique. Peintre verrier, ouvrier primitif (ibid., Personnages, f° 203)

DESSUS, DESSOUS

(voir aussi : sur, sous, par-dessus, par-dessus tout, là-dessus…) :

La Terre (1887)

Mais par-dessus tout la passion de la terre, qui le grise, qui le fait délirer (MS NAF 10329 La Terre f° 35 – Personnages, Joseph Fouan)

Lourdes (1894)

La vénération qu’il a pour elle [sœur Hyacinthe], la fraternité qu’elle a pour lui, et jamais un désir entre eux, leur liaison très
pure et au-dessus de la vie même. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 89-90 – Notes sur Ferrand)

DESSOUS (EN)

(voir aussi :derrière ; fond)

La Terre (1887)

Son acharnement contre lui, son besoin de brutalité (le désir du mâle en dessous) (ibid., f° 434/35)

Lourdes (1894)

Il faudrait savoir les dessous, la vraie vérité. De même, la vraie vérité [pour biffé] sur la façon dont l’affaire a été menée, lancée, et dont elle est en \\tretenue. Tous les dessous enfin – (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 211-212 – Notes sur Un roman sur Lourdes)

DÉTACHER (SE)

Le Ventre de Paris (1873)

Il faut que la figure se détache en pleine fantaisie sur les autres figures réelles. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 75)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Je veux détacher les deux figures de Serge et de Blanche sur un fond de réalité absolue. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Ebauche, f° 9)
Les paysans, ce serait comme un fond gris, inommé [sic], une masse de brutes travailleuses et courbées, sur laquelle je détacherait [sic] mon drame humain. (ibid., f° 13)

Nana (1880)

D’autre part bien détacher les épisodes suivants : la Faloise s’emballant pour Gaga et lâchant Clarisse (…). (NAF Ms. 10313, Nana. F°26- Plan).

Au bonheur des dames (1883)

Ensuite quelques clientes se détachant de la foule, une cohue de femmes (MS NAF 10277, Au bonheur des dames, Ebauche, f° 10).

Lourdes (1894)

C’est sur ce fond que je puis détacher mon Jacques et l’histoire où il sera mêlé. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°24)
D’abord, je voudrais mettre partout Bernadette, la détacher sur tout le roman. (ibid. F°30)

DÉTAIL (-ILLER)

(Voir aussi : décrire ; tout ; pièces)
Maître-mot de l’esthétique et de l’écriture réaliste et naturaliste, le détail factuel, ponctuel, insignifiant, sans fonction narrative, sert à individualiser le réel, à provoquer un fort « effet de réel »(R.Barthes) par sa précision même, et par le fait qu’il a l’air si « précis » qu’il passe alors pour ne pas pouvoir avoir été « inventé ». Il est souvent fourni par la prise de note sur le terrain, ou par la lecture des « documents. Il demande cependant à être intégré à la description, à être rendu vraisemblable, et à être distribué en masses pas trop compactes. Mais on remarque que chez Zola, à la différence d’un Balzac, d’un Stendhal ou d’un Flaubert, le détail n’est pas tant cet élément unique (qui n’a pas de sens, pas de fonction narrative, qui ne réapparait pas), cette sorte de « hapax » ponctuel faisant saillie, que la partie d’un tout à « détailler » exhaustivement. Pour Zola, ce n’est pas tant le détail isolé qui est intéressant, que le fait de « détailler » quelque chose méthodiquement (objet, milieu, protocole social, travail, etc.) Bibliographie : Roland Barthes : « L’effet de réel », revue Communications n° Naomi Schor : Lecture du détail (Paris, Nathan, 1994)

La Curée (1872)

Détails sur la vie d’Arstide […] Détails sur la fortune de Blanche (MS NAF 10 282, La Curée, f°210). – Tout le caractère de Renée avec des détails (MS NAF 10 282, La Curée, f°217). – Détails antérieurs sur la vie entre le fils et la belle mère… (MS NAF 10 282, La Curée, f°221). – Détails sur l’hôtel du Parc Monceau et l’hôtel Béraud. La serre. Personnages, professions, âges (MS NAF 10 282, La Curée, f°259 : titres d’une des rubriques du dossier). – Premiers détails (MS NAF 10 282, La Curée, f°293 : titre d’une des rubriques du dossier). – Détail sur la construction de l’hôtel (MS NAF 10 282, La Curée, f°339). – Donner plus tard des détails sur le luxe (MS NAF 10 282, La Curée, f°341). – Mais je donnerai des détails quand j’expliquerai les affaires (MS NAF 10 282, La Curée, f°341). – Détails donnés par M. Dejouy (MS NAF 10 282, La Curée, f°410 et 411 : titre d’une des rubriques du dossier).

Le Ventre de Paris (1873)

Quand Florent, après le 2 décembre, est transporté, Quenu se réfugie chez son oncle, auquel Florent l’a recommandé (les deux frères habitaient la même chambre, au quartier latin, rue Royer-Collard ; détails.) (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 81)
La famille Lantier-Ledoux paraît à peine. Le moins de détails sera le meilleur. (ibid., f° 105)
J’ai ainsi un fort, un [porteur], et j’aurai des détails sur les facteurs par Logre qui sera employé d’un facteur à la marée (ibid., f° 108)
Les détails de leurs courses dans les Halles. (ibid., f° 111)

La Conquête de Plassans (1874)

Les détails seront faciles à trouver (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche, F° 24)
Tous les détails (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan 4˚ F˚15)

La Faute de l’abbé Mouret (1875)

Les détails des événements mêlés à la cérémonie. (MS NAF 10294, La Faute de l’abbé Mouret, Plan du troisième livre, f° 26)
Un plan très détaillé à faire. (ibid., Le Paradou, f° 57)
Raconter des journées avec des détails. (ibid., f° 62)

Nana (1880)

Pas encore de détails sur l’enfant. (NAF Ms. 10313, Nana. F°14-Plan)
Mme Lerat me donne les détails sur Nana, entre l’Assommoir et Nana. (ibid. F°19)
Mais les détails ne doivent venir que peu à peu, à mesure des invitations, pour se compléter à la fin. (ibid. F°26)
La conversation a repris, Fauchery songe, et on lui donne quelques détails ; le plus court mais le plus complet possible. (ibid. F°27)
Faire revenir les autres et les jeunes gens ; couper les épisodes par les détails du menu et du service, par des rappels du salon. (ibid. F°40)
Détails sur les Judic (notes d’Halévy). (ibid. F°55)
Sa chemise cassée, détails réels d’un garçon qui a découché et qui a peur de sa mère. (ibid. F°58)
Pas de détails sur les femmes qu’ils ont eues. Mais les femmes se donnent des détails entre elles sur les hommes. (ibid. F°74)
Les disputes sont : un détail de mise en scène ; – une façon de dire ; – une coupure à un artiste (…). (ibid. F°89)
Tout cela avec des descriptions et des détails sur la pièce pour couper. (ibid. F°91)
Donner des détails sur l’état de fortune des Muffat. Où ils en sont. (ibid. F°97)
L’homme qui veut réussir se fait discret. Pas de détails sur les femmes qu’ils ont eues. Mais les femmes se donnent entre elles des détails sur les hommes. (ibid. F°108)
Le soir, Mabille. Nana portée en triomphe Détails brefs. Soûlerie élégante. (ibid. F°124)
Mignon est sur le seuil. Ça l’ennuie que Rose reste là-haut, lui ne veut pas monter. Il peut encore donner des détails. (ibid. F°155).
Je la reprendrai là, sans donner beaucoup de détails. (NAF Ms. 10313, Nana. F°191-Personnages).
Cela pourra finir par une séparation de corps, avec tous les détails de l’alcôve exposé brutalement, Paris mis au courant de tout. (NAF Ms. 10313, Nana. F°213- Ebauche)
Cherchons un peu les détails. (ibid. F°228).
Avec un homme qui a couché avec la rivale, on ne parle pas des détails intimes. L’homme qui veut réussir se fait discrets (sic).
Elles se donnent entre elles des détails, tandis que les hommes ne s’en donnent pas (NAF Ms. 10313, Nana. F°261/14-Notes).

Pot-Bouille (1882)

Trouver le drame dans ses détails (MS NAF, 10321, f° 381) \\Donner tous ces détails en posant la boutique (ibid., Plan, fº 34)

La Terre (1887)

Le notaire sera mêlé à cela, il sera pour la ferme, et il pourra en dire un mot, dans le chap.II. – A chercher, à régler la procédure et l’affaire en elle-même, sans trop de détails techniques. ( MS NAF 10.328, La Terre, f° 475/67) Vanité de Badeuil, détails sur la façon dont il se vante d’avoir dirigé sa maison (MS NAF 10329 La Terre F° 56 – Personnages, Laure Fouan)

Le Rêve (1888)

je voudrais que toute cette partie de l’amour fut /sic/ développée, notée détail à détail (MS NAF 10323, Le Rêve, Ebauche, f° 256/39)
(…) Tout cela dans le terrain vague, avec des détails vivants (ibid., f° 259/42)
(…) Le matérialiser avec des détails qui font revenir les Hubert (ibid., f° 260/43)
(…) Beaucoup de détails me restent à fixer (ibid., f° 281/64).
Garder beaucoup de détails sur la broderie pour le VI où Angélique fait son chef d’œuvre (MS NAF 10323, Le Rêve, f° 50- f° sans doute à reclasser dans le dossier Ebauche).
Détails dans Broderie (ibid., Plan, résumé du Plan du chapitre III f° 2) \\Poser d’abord Beaumont-l’église (…) mais sans l’histoire des abbés et des Hautecoeur (…) et arriver à l’église, mais sans détail, la montrer seulement faisant ombre sur la maison des Hubert (ibid., deuxième plan du chapitre II, f° 16) \\Le vitrail éclairé par derrière. Détails d’architecture (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 28)
(…) Je crois qu’il faudra mettre là un mot du duc de Hautecoeur et du château, mais en réservant les détails pour le IV. (…) Détails sur Sidonie (aux personnages) (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 36)
(…) Les bourdonnements de l’église. Mais sans détail (ibid., premier plan détaillé du chapitre II, f° 37) \\Et il faut que le travail me donne des détails pour tout le chapitre, coupant (ibid., second plan détaillé du chapitre III, f° 40)
(…) Donc les détails du travail des trois coupent à chaque instant les morceaux (ibid., f° 41)
garder beaucoup de détails sur la broderie pour le IV, où Angélique fait son chef-d’œuvre. (ibid., premier plan du chapitre III, f° 50)
Mais surtout ce qu’on voit de là : l’évéché, si touffu l’été, le Clos-Marie avec ses détails (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 56)
Tout ce désir d ‘amour développé détail à détail (ibid., f° 59)
Toute cette partie du désir d’amour doit être développée détail à détail (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 65)
C’est là que je reprends la description du château , pour dire avec détails ce qu’Angélique voit de sa fenêtre (ibid., f° 68)
toute l’histoire de l’église et toute la description détaillée de l’extérieur (ibid., premier plan du chapitre IV, f° 69)
Félicien revenant presque tous les jours pour des détails (ibid., deuxième plan du chapitre IV, f° 82)
Ce qu’ils font. Détails de travail (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre IV, f° 83)
Les détails complets sur la broderie (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 87)
Félicien peintre verrier, ouvrier primitif. Voir s’il y a des détails à donner, je crois que non. Les détails ne peuvent venir que lorsqu’il est connu après la procession (ibid., premier plan du chapitre VI, f° 92)
Donc la causerie entre les deux, rien que sur eux , à l’infini. Un besoin de se répéter les mêmes détails (ibid., plan du chapitre IX, f° 119)
Félicien (…) éloigné de son père, pourquoi rappeler (ce détail ne sera sans doute donné que par Hubertine) (…) Détail sur le peintre verrier (ibid., Plan du chapitre IX, f° 125)
Prendre les détails dans la note sur les vitraux (ibid., f° 126)
Faire là son portrait de malade en détail en reprenant son portrait de jeune fille (ibid., deuxième plan du chapitre XII , f° 158)
Là je crois que je mettrai l’entrée de Monseigneur (…) Voir si les détails de l’entrée doivent être donnés là ou plus loin. Non, plus loin je crois (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIII, f° 171)
Félicien a pu suivre l’extrême-onction (…) Dès lors la cérémonie avec tous les détails (ibid., deuxième plan du chapitre XIII, f° 173)
Toute la cérémonie avec les détails (ibid., deuxième plan détaillé du chapitre XIV, f° 187) === Lourdes (1894) ===

Dans la quatrième partie, je mettrai [l’éclat biffé] d’autres détails : la nuit passée au Rosaire, les messes enfin des détails (…) \\. (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°s70-71)
Enfin, dans la cinquième partie finir les malades, mettre des détails, et reprendre le train, le remontrer roulant, remuant les malades, avec toutes les conclusions. Le [detai biffé] départ de la gare tout un tableau. (ibid. F°71)
Les détails
nécessaires pour expliquer sa présence là. (…) Et pauvreté, pour expliquer qu’elle est hospitalisée : on peut renvoyer ce détail [en interligne : sa carte au cou] à plus tard, au moment de l’explication de l’organisation des pèlerinages – (ibid. F°s122-123)
Un ensemble enfin, pour tout poser, sans les détails sur mes personnages, les malades, que je vais présenter un à un. (ibid. F°124)
Mais, pendant que je donnais ces détails, on a passé à Juvisy (…). (ibid. F°125)
Tous les détails sur Sabathier, l’intellectuel. (ibid. F°127)
Je ne donnerai que plus loin les détails de ce qu’il [l’homme] a dans sa poche : [un scapulaire biffé], un chapelet
et trois sous [en interligne : un couteau]. (ibid. F°s128-129)
Je mets au milieu Marie, M. de Guersaint et Pierre. (…) Je les pose tous les trois : portraits physiques, conversation donnant les détails suffisants pour voir qui ils sont. (ibid. F°132)
Elle [la Grivotte] parle du Frère Isidore : celui-là est plus avancé qu’elle, et elle donne des détails sur la phtisie. (ibid. F°134)
Très brefs, d’ailleurs, tous ces détails. (ibid. F°137)
Détails aussi sur la cantine, sur les compartiments que les sœurs se réservent pour faire du café. (ibid. F°142)
Détails sur l’organisation du pèlerinage (éb. 82). (…) Relire le départ du train blanc, de Paris. Toutes les heures et tous les détails y sont, cantiques, prières, etc. (ibid. F°145)
Le voilà donc au séminaire. Pas de détails. (ibid. F°148)
Il [Pierre] a 26 ans. [en interligne : les 3 Villes 18. Son frère disparu (au Personn. détails)] (ibid. F°149)
Son frère disparu, au loin, détails nécessaires. (ibid. F°157)
Il [Pierre] connaît l’abbé Judaine qui l’arrête et lui donne tous les détails sur les Dieulafay. (ibid. F°170)
Pour Ferrand et sœur Hyacinthe, voir s’il ne suffirait pas de les poser là, et [d’uti biffé] de renvoyer toute leur idylle, les détails du passé, à l’hôpital. (ibid. F°179)
Surtout le miracle, son histoire qu’elle [Sophie] raconte à Pierre (c’est lui qui l’interroge), et tous les détails. (ibid. F°192)
Nommer Barbet, Ader ; [en interligne : la Salette, détails] les fameux mots sur l[a biffé]es [Vierge biffé] bergers de la Salette [en interligne : prendre les paroles au Guide]. (ibid. F°205)
Détails sur les trains (V. 203). (ibid. F°224)
Ils [le baron Suire, Berthaiud et Gérard de Peyrelongue] me donnent aussi toute l’Hospitalité. Prendre les détails dans la [pe biffé] brochure. (ibid. F°225)
Détails aussi sur l’hospitalité, car le baron Suire est là, avec Berthaud, et tous deux causent du service. – (ibid. F°233)
Donc, le train est signalé, il arrive. Tous les détails que j’ai en notes. – (ibid. F°233)
Détails sur l’Hospitalité du Salut (Eb. 26[)]. Détails sur les trains à la gare (éb. p. 203). (ibid. F°240)
Tous les détails, la façon dont on procède pour les malades : les pancartes, les lits, les numéros d’ordre, etc. – (ibid. F°244)
Je ne fais que poser la Grotte, sans détail (…). (ibid. F°247)
Mais pourtant, je ne fais que poser la Grotte, sans grands détails. L’aspect premier. (ibid. F°252)
Tout cela très bref, sans détails. – (ibid. F°261)
Elle [madame Vêtu] horlogère, son mari un peu à son aise. Une lettre reçue peut-être, donnant des détails sur le petit commerce. (ibid. F°299)
Détails sur la salle sur les personnages, Mme de Jonquière, Mme Désagneaux, sœur Hyacinthe, [la biffé] Elise Rouquet endormie, la Grivotte guérie, dormant, Mme Vêtu agonisante. (ibid. F°302)
Détails sur Bernadette (228 éb.) (ibid. F°308)
M. de Guersaint donne donc ces détails à Pierre habillé, parle des bruits faits, lorsqu’une grosse fille leur apporte le chocolat commandé. (ibid. F°311)
Je ne fais que poser cet air de fête, sans détails. (ibid. F°329)
D’abord à l’endroit (…) où l’on emballe l’eau, tout le détail. (ibid. F°331)
Détails sur l’Hospitalité, la popote (Eb. 26) [en interligne : la popote (éb. 28)]. (ibid. F°348)
La procession aux flambeaux, détails indispensables (G. Barbet 196). (ibid. F°365)
Détails complets, les lettres dans un coin. Quelqu’un peut être là, le baron Suire, et lui donner les détails, la Grotte par tous les temps, l’hiver, etc. (ibid. F°375)
Enfin tous les détails que peut donner une nuit passée à la Grotte. (ibid. F°378)
Devant la Grotte (éb. 10-42) – Nouveaux détails. 80 – (ibid. F°381)
Alors, en conversation (…), pendant qu’ils [Pierre et Chassaigne] s’éloignent de la ville, tout le morceau sur Bernadette [en interligne : détails M.V. 228]. (ibid. F°384)
Et tous les détails de la lutte, le tronc pour l’église paroissiale à la Basilique, et tout l’argent gardé. (…) [en interligne : je garde les détails qui serviront pour la V e partie]. – (ibid. F°389)
Tous les détails sur l’église du curé Peyramale. (ibid. F°397)
Détails sur Bernadette (éb. 228). (ibid. F°398)
Faire que Sophie quitte un instant son jeu, et vienne écouter très intéressée par ces détails [de biffé] d’agonie. (ibid. F°402)
La façon patiente dont il [M. Sabathier] dit son chapelet. La septième année. Trouver des détails nouveaux. (ibid. F°418)
Donc, des détails sur cette difficile approche. (ibid. F°432)
Elle [Marie] se soulève (prendre des détails chez Lasserre, Mlle de Fontenay [) biffé], pour la marche du miracle). (ibid. F°438)
Puis, les détails sur ce qui a suivi la mort de Bernadette. (ibid. F°473)
Les détails sur ce qui se passait, le buste de Peyramale, devant lequel les dévotes entretenaient des lampes. (ibid. F°476)
Et des détails sur les épisodes du voyage, sur l’abbé Des Hermoises. (ibid. F°489)
Bien établir tous ces détails de l’Hospitalité – (ibid. F°511)
On reprend le train, tel qu’on l’a laissé. (…) Tous les détails. (ibid. F°530)
[en interligne : Ce sont des détails du wagon qu’elle [Mme Vincent] revoit et lui donnent la crise. (…)] (ibid. F°534)
Avec lui [M. Sabathier], reprendre les détails du wagon : ce qu’il a remarqué à l’aller. (…) Tous les rêves de guérison qu’il avait faits en regardant ces détails ; et il les retrouve et il n’est pas guéri – (ibid. F°537)
Les détails [qu biffé] du wagon qu’ils avaient remarqués à l’aller ; et il les retrouvent : une tache, une brisure à la boiserie, une déchirure dans l’étoffe. Tous les rêves de guérison qu’ils avaient faits en regardant ces détails ; et ils retrouvent les mêmes choses, mais ils ne sont pas guéris. (ibid. F°560)
Elle [Bernadette] n’y est pas même allée pour la mort de son père et de sa mère, elle aimait pourtant sa famille, son frère l’a vue ; donner les détails. (ibid. F°574)
Tous les détails sur l’organisation des pèlerinages et du train. (ibid. F°601)
Rosine Ollivier. (…) Elle reste un
quart d’heure dans l’eau. Et en sort guérie. (Prendre les détails intéressants 27). (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fos 141-142 – Notes sur les Miracles)
300 médecins attendent la guérison. Certificats détaillés. (ibid. Fo 161 – Notes sur les Miracles)
Ils [les Pères de l’Assomption] écrivent, sous la dictée des médecins, tous les détails des observations. (ibid. Fo 164 – Notes sur les Miracles)
Voir le Guide pour les dimensions et les détails. – (ibid. Fo 221 – Notes sur Le Cirque de Gavarnie)
Cher plutôt par la masse que par le détail. (ibid. Fo 281 – Notes sur L’église du curé Peyramale)

Travail (1901)

Des détails sur la verrerie (MS NAF 10333, Travail, Ebauche, f° 392/45)
Il prend Bonnaire soit pour chef d’un de ces fours, soit pour contre-maître général (à voir, quand j’aurai tous les détails) (ibid., F°421)
la grève aussi posée sans détail (ibid., F°431)

DÉTERMINER / DÉTERMINANT

Le Ventre de Paris (1873)

Il faut qu’au dénouement, l’arrestation de Florent détermine le mariage de Justine et d’Auguste. (MS NAF 10338, Le Ventre de Paris, Ebauche, f° 114)

La Conquête de Plassans (1874)

Ces remords sont déterminés par une violence quelconque de Bonnard, un abandon ou autre chose (MS NAF 10280, La Conquête de Plassans, Ebauche,.F°s 25-26)
Un fait : des filles, qui ont mal tourné, ont déterminé le plan de Faujas. (NAF MS 10.280 La Conquête de Plassans, Plan VII F° 9)

Lourdes (1894)

Cela m’amène à ce vœu évident des zélateurs de Lourdes qui voudraient y amener tout le peuple. Ce qui le prouve, c’est le mouvement qu’on tâche de déterminer dans les cercles ouvriers (…). (MS NAF 1455, Lourdes, Deuxième ébauche, F°50)
Quand sa mère n’est plus là, la crise se déclare donc, et je voudrais qu’elle fût déterminée par un fait. (ibid. F°88)
Un grand médecin (Charcot) le pousse à déterminer la malade au voyage, puisqu’elle a des sentiments religieux ardents. (ibid. F°96)
Son voyage là-bas, devant lequel il [Pierre] recule, est déterminé un peu par l’envie de savoir. (ibid. F°160)
Mais surtout montrer peu à peu l’intérêt que le récit, puis le pied montré, déterminent chez tous les malades. (ibid. F°184)
Aussi, à Lourdes, dans ce milieu où l’on veut ressusciter la foi, les objets religieux jurent, sont très laids ou trop jolis, pas en rapport avec le mouvement qu’on veut déterminer. (ibid. F°499)
Aussi, à Lourdes, dans ce milieu où l’on veut ressusciter la foi, les objets religieux jurent, sont très laids, pas en rapport avec le mouvement qu’on veut déterminer. (ibid. F°503)
On ignore quel coup de fouet peut modifier la nutrition. Une émotion peut déterminer des modifications. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 128 – Notes sur la maladie d’Elise Rouquet)
Mme Ancelin. Affection organique du cœur, détermine une hydropisie gale. (MS NAF 1456, Lourdes, Deuxième ébauche Fo 154 – Notes sur les Miracles)

Travail (1901)

Je peux très bien faire que la grossesse de Josine soit le point déterminant de la querelle (F°407)